Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Belgrif

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Elle niait la bougresse ! Belgrif hésita du coup à continuer sur sa lancée ou à accorder à Malon le bénéfice du doute. Il toisait la demoiselle de ses yeux verts, comme s’il cherchait à percer jusqu’à son âme. Il conserva le silence, une dizaine de secondes, puis, il reprit.

-Bien. Je m’égard, sans doute. Mes excuses.

Il n’était pas du tout convaincu mais fit comme si c’était le cas. Pour détendre l’atmosphère, il refit face au paysage et écarta les bras, comme s’il souhaitait embrasser le panorama.

-Ces incidents ne sont de toute façon que de petites ombres dans un si beau tableau ! Il n’en est pas terni, loin de là. Sitôt la pluie achevée, j’aimerais bien reprendre la visite. J’ai hâte de voir d’autres merveilles ! Ce monde me doit bien ça, non ?

Rabaissant les bras, il se dirigea ensuite vers le lit et s’assis dessus. S’il fallait attendre, autant être confortablement installé. La seconde d’après, il s’était affalé, nonchalamment. On reconnaissait bien là son côté félin.

-Dites-moi, Malon, vous vivez seule ici ? N’y a-t-il personne d’autre en ce ravissant pays ?

Une question innocente qui en réalité avait pour but de déterminer un éventuel autre coupable. Si ce dernier n’était pas la demoiselle, alors il allait profiter d’elle, de s on savoir, de ses informations. Puis, il l’éliminerait, histoire de la remercier. Ben quoi ? Il l’avait déjà fait plusieurs fois à Nexus. Un coup de poignard, ça coûte moins cher que de devoir payer un encombrant collaborateur.


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Etrange cette réaction. Belgrif n’avait parlé que de la statue mais voilà que Malon en doutait. Pour la première fois, elle était devenue agressive ; pour la première fois, elle paraissait être déstabilisée. Oui étrange… et ce qui est étrange devient vite suspect. Le chat, silencieux, ne répondit pas tout de suite. Il se détourna, portant son attention sur cette magnifique pluie de perles. Quand il reprit la parole, il avait retrouvé son calme et son amabilité. Pourtant, quelque chose dans ses mots, les rendaient froids et menaçants.

-Quelle remarquable averse ! C’est amusant. Pour un peu, on pourrait croire que la météo s’accorde à votre humeur, Malon.

C’était une accusation déguisé. Les doutes du matou ne faisaient que s’amplifier. Il était pratiquement certain que la jeune femme contrôlait ce monde. Tout, absolument tout, paraissait répondre à ses moindres désirs. La pèche, l’oiseau, la statue, c’était elle, elle qui se jouait de lui ! Cela ne pouvait durer ainsi ! Il allait se venger, il allait le lui faire payer ! Comment ? S’il avait deviné juste, il n’avait pas le droit à l’erreur. Mais de toute façon, sous le coup de la colère, il en oubliait la prudence. Cette bizarrerie sur la statue était peut-être un début de piste, une faiblesse à exploiter.

Il refit face à Malon, un sourire malicieux aux lèvres. Il avait croisé les mains dans son dos, l’air très décontracté.

-Allons, coquine, inutile de me le cacher plus longtemps. Vous avez sur ce monde une grande emprise, n’est-ce pas ? Vous n’êtes pas tout à fait étrangère aux petits incidents dont je suis victime. Que cherchez-vous ? A me faire la morale ?

La malveillance du chat commençait à faire surface. On le sentait presque venimeux. Evidement, il n’était encore sûr de rien. Peut-être se trompait-il, que Malon n’était pas coupable. Dans ce cas, si elle était si gentille que ça, elle arriverait sans doute à le convaincre mais franchement, à présent, il avait tant de doutes sur elle qui devait un peu la bousculer. Il devait, il fallait qu’il sache ! Bon dieu, à Nexus, il vendait des esclaves par dizaines ! On n’osait pas croiser son regard ! On le respectait, on avait peur de lui ! Personne, absolument personne n’avait le droit de se jouer de lui ! Blessé dans son orgueil démesuré, il avait tant envie de faire mal ! Mais il se retenait, encore un peu, il tâtait le terrain. D’ailleurs, il n’avait pas répondu au sujet de la statue. C’était désormais une carte dans son jeu, il l’abattrait au bon moment.


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Ville-Etat de Nexus / Re : Une alliance profiteuse ... [PV: Belgrif]
« le: mardi 02 août 2011, 11:52:55 »
-Mes excuses patron. Cette idée m’est venue sur le lieu du piège. Mais cela ne se reproduira pas, soyez-en assuré.

Tout content de cette victoire, car il s’agissait bien d’une victoire, Belgrif suivit son nouvel employeur en ville. Une nouvelle vie s’offrait à lui, une vie fastueuse et monstrueuse. Hiro avait visé juste, employé la bonne personne. Peut-être fut-il lui-même surpris de la rapidité d’adaptation du Terranide félin. En à peine quelques semaines, il n’eut plus grand-chose à lui apprendre et déjà Belgrif rendait d’appréciables services. En à peine quelques mois, le chat avait prit une indéniable importance.  En ville, on le respectait autant qu’on craignait. Accumulant les succès ainsi que la richesse, il participa à rendre son maitre plus puissant, plus influant qu’il ne l’était déjà. Il était connu comme son fidèle et effroyable bas droit. Mais la soif de pouvoir du matou était sans fin. Sans cesse il montrait une volonté d’aller de l’avant, de développer ses affaires. Peu à peu, il prit une certaine indépendance vis-à-vis Hiro. Il devint responsable de l’approvisionnement en esclaves et pour cela, nul besoin d’aide. Il ne reculait devant rien pour offrir à son patron une marchandise abondante et de qualité. Il alla jusqu’à faire des raids sur les villages de sa terre natale. Pour Belgrif, c’était une vengeance en quelque sorte, une vengeance contre son passé.

Un an et deux moins s’écoulèrent ainsi…
Le Terranide félin était devenu un autre, mais cela ne lui suffisait toujours pas…
En cette radieuse journée d’été, il s’apprêtait à mettre à exécution le plus sombre de ses plats…

Pas de velours sur sol de marbre blanc, le maitre des lieux s’avançait dans la vaste salle à colonnade. Il était ici chez lui, dans son imposant manoir qui trônait fièrement dans les hauteurs de Nexus. Cette demeure montrait à elle seule la puissance qu’avait acquis Belgrif. Ce dernier avait abandonné depuis bien longtemps sa veste et son chapeau, trop vulgaire désormais pour sa personne. Il était vêtu de soie et d’argent, une tenue étincelante digne d’un noble. A une main, il portait une grosse et magnifique chevalière, elle-aussi d’argent, frappé du symbole qui était devenu le sien : une griffe recoubée. A son côté, il portait une rapière. Cet arme, avouons-le, était là uniquement pour l’esthétisme car le félin n’était pas un homme d’action. Tout juste s’en servait-il pour occire un serviteur qui lui avait manqué de respect ou avait commis d’irréparables erreurs. Oui, cela lui arrivait de tuer ainsi.

-Monsieur.

A l’approche du maitre, les gardes s’étaient inclinés bien bas comme l’exigeait l’excentrique règlement.

-Allez attendre nos invités au grand portail.
-A vos ordres.

Les invités, c’était Hiro et sa sœur. Cela n’avait rien d’extraordinaire, ces invitations étaient devenues quotidienne. Tantôt Belgrif invitait chez lui, tantôt était-il invité chez Hiro. Les deux hommes discutaient, autour d’un bon repas, de leur affaire. Seulement, ce jour là, il y avait bien quelque chose d’un peu étrange. Dans le manoir, nul trace des domestiques habituels. Il ne restait que les gardes du corps de Belgrif, ces soldats d’élite lourdement armés et à l’air si sévère, si implacable. Leur fidélité envers le fourbe félin était indiscutable. Avec eux, au moins, pas de souci à avoir, il ne dirait rien de ce qui allait se passer…

Belgrif se dirigea dans la grande salle à magnée. La table était déjà dressée. Il s’empara de la carafe de vin et rempli trois verres de cristal. Il posa l’un des verres devant sa propre place. Ensuite, il sortit de la poche intérieure de son costume une petite fiole dont il versa le contenu dans les deux autres verres. Il ricana. Non, vraiment, il ne reculait devant rien. Il plaça les verres devant les assiettes des invités, rangea la fiole et prit place. Ensuite, il attendit.


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-Heu… voir autre chose ? fit le chat, visiblement un peu ébranlé.

Il fallait dire qu’entre la bizarrerie sexuelle de la statue et sa main énorme, Belgrif s’était senti plus concerné par la seconde. La perspective d’être attrapé augurait du pire, surtout compte tenu des lourdes accusations portées à son encontre. Il avait bondit en arrière, hors du lit. Il avait agit avec tant de précipitation que son équilibre était venu lui faire défait. Alors il s’était affalé, dos contre une colonne. A présent, tout honteux de réflexe qui ne le mettait pas à son avantage, il se redressa et, machinalement, réajusta veste et chapeau.

-Cela commence à faire beaucoup ! Comme si les pèches menteuses et les oiseaux voleurs ne suffisaient pas, voilà que les agressives statues s’y mettent !

On sentait que le Terranide était partagé entre l’envie de rester courtois et son énervement croissant. S’il pouvait très vite se remettre de ses peurs, sa patience, elle, avait des limites. Et dans tout cela, il commençait à douter de l’innocence de Malon. Ce pouvait très bien être elle qui lui jouait tout ces tours ! La statue n’était-elle pas à son effigie ? Mais rien n’était sûr, rien n’était prouvé. Et même si c’était effectivement cette jeune femme l’origine de ces petits malheurs, mieux valait ne pas se fâcher avec elle, mieux valait éviter d’être directement confronté à sa puissance. Non, s’il fallait sévir, la traitrise était tout indiquée.

En attendant d’y voir plus clair dans cette histoire démente, Belgrif joua encore la carte du pauvre petit minou innocent et martyrisé. Il n’oublia évidement pas l’inévitable couche de vantardise qui lui allait si bien.

-Je crois que ce monde ne m’aime pas beaucoup, il faut se faire une raison. Il est assurément jaloux de mes trop nombreuses qualités et doit se sentir obligé de ternir ma magnifique image pour ne pas vivre dans mon ombre.

Avouons-le, être aussi imbu de soi-même était de l’art. Le chat, l’air déterminé à présent, croisa les bras. Dans son regard brillait une lueur de défi.

-Mais il en faudra plus ! J’apprendrais à ce monde l’humilité s’il le faut ! Nul n’a le droit de blasphémer sur ma personne, n’en déplaise à toutes les pèches, oiseaux et statues de Terra ! Allons-y, continuons la visite.

Ouais, cette fois, c’était la guerre ! Belgrif était très fermement décidé à ne plus se laisser embêter. Il voulait voir toutes les merveilles de ce monde et ce serait ainsi, point final ! Seulement, avant de reprendre la route, sa curiosité le poussa à faire une remarque pas si anodine que cela.

-Au fait, j’y pense, cette si désagréable statue vous représentant était… comment dire… bizarrement faite, non ? Enfin, je me fais peut-être des idées…

Pas besoin d’être devin pour deviner qu’il faisait référence au sexe masculin. Mais il avait aperçut ce dernier si peu de temps qu’il doutait de sa vision. Et puis il sentait qu’il marchait sur des œufs, il ne savait pas trop comment aborder le sujet. Sans doute valait-il mieux en changer.


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Bon… comment dire ? Après le cheval, la charrette et autres carrioles, Belgrif pouvait ajouter la rivière de lapis en guise de moyen de transport. C’était rapide et, il fallait bien l’avouer, assez flippant. Le félin était, on pouvait le deviner, un acrobate talentueux mais jamais il n’aurait put être prêt à affronter sans broncher ces démentielles montagnes russes ! Assis sur son postérieur, il fut secoué, ballotté, et encore les mots étaient faibles face à cette descente furibonde au cœur des montagnes oniriques. Au départ, il n’avait vu aucune objection à ce que Malon le tienne comme elle faisait. Même si c’était un peu inconvenant, s’y opposé aurait été peu stratégique vu la situation et l’éventuel bénéfice à retirer de cette histoire. Au final, c’est bien le chat qui fut rassuré d’être retenu. Sans cela, il était vraiment persuadé qu’il serait passé par-dessus-bord. Mais attention, ça, jamais il ne l’avouerait ! Il avait une fierté à conservé tout de même. D’ailleurs, de sa frayeur, il n’en montra presque rien. Tout juste on put la lire dans son regard et au rythme de ses battements de cœur.

Quand ce fut terminé, le félin soulagé se leva en chancelant. Il paraissait vraiment avoir plus souffert du trajet que la demoiselle. Il en fut surpris mais supposa qu’elle devait avoir l’habitude.

-Quelle descente ! Elle n’était peut-être pas aussi impressionnante que celles que j’ai brillamment dévalées lors de mes voyages, mais pour sûr, elle valait le coup ! fanfaronna-t-il, déjà remis de ses émotions.

Après l’envie de vol et ses mensonges, il se ventait. Décidément, tant de défauts dans un seul matou, cela forçait le respect !

Belgrif aperçu le lit encadré de colonnes. Le tout était si richement décoré qu’on aurait put croire cet endroit réservé à un monarque et encore, à un dieu plutôt. Après avoir vu tant de merveille, l’effet de surprise fut moindre pour le Terranide mais la fascination était toujours bien présente en lui. Malon alla s’installer confortablement sur ce lit. Belgrif, alors qu’il la rejoignait, fut subitement agressé par un oiseau de fumé. Ce dernier, non coutant de le traiter de menteur, lui subtilisa son couvre-chef. Cette fois, le chat perdit quelque peu son calme. Sortant les griffes, tentant d’attraper le maudit volatil, il lui vociféra dessus.

-Menteur ? C’est ce que tu es ! Et voleur en plus ! Rends-moi mon chapeau avant que je ne te déplume !

Mais en vain. L’oiseau s’en était allé avec sa prise. Ennuyé, Belgrif refit face à la jeune femme qui, il en fut stupéfait, lui rendit son bien tout en s’excusant et en lui expliquant ce qu’était l’agressif oiseau. Il se fit un devoir de répondre à la question qui suivit.

-Ha, décidément, ce n’est pas mon jour. La pèche, maintenant cet oiseau… évidement que c’est une erreur. J’ai le cœur sur la main. La moitié de ma fortune, je la donne aux nécessiteux. Sans doute ais-je un jumeau, un méprisable jumeau qui est venu ici avant et pour qui on me prend à présent. Si ce n’est ça, je ne vois pas… Non, franchement, c’est injuste.

Il avait quelque peu changé de stratégie. Tout en tentant de se faire plaindre, il évitait de blâmer uniquement ce qui l’accusait et préférait chercher une autre explication afin de rester crédible. Malon l’invitait sur le lit. Il allait s’y rendre quand il remarqua une statue qui, curieusement, ressemblait beaucoup à la jeune femme mais qui avait l’air beaucoup plus sévère. Tout en ajustant son chapeau, le chat ne put s’empêcher de faire une remarque.

-Diantre ! Est-ce bien vous qu’on a sculpté en cette statue ? Quel remarquable ouvrage ! C’est magnifique vraiment.

Belgrif avait volontairement fait l’impasse sur l’air accusateur de la représentation. Il s’assis sur le lit, à côté de Malon et posa une dernière question.

-Est-ce là votre abri ?


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« Rien de plus ni de moins que toi »… voilà qui était intéressant. Si cette fille n’était pas extraordinaire, alors elle ne représentait pas un grand danger. Elle serait aussi moins utile à Belgrif. La nécessité de se montrer aimable diminua sans toute fois disparaitre. De toute façon, pour l’instant, le chat ne gagnerait rien à changer d’attitude. Il resta donc dans son rôle de gentil homme et ne manqua pas d’avoir mille éloges pour ce monde.

-Oui, effectivement, cet endroit est superbe, extraordinaire, féérique ! Que de richesse, que de faste, que de grâce ! Les mots m’en manquent. J’ai l’impression de rêver, c’est dire ! Le paradis doit paraitre si terne face à ce lieu ! Comment… comment diable ce coin miraculeux peut-il exister ? Il doit être d’origine magique, j’en mets ma main à couper !

A peine eut-il achevé sa tirade que la dénommée Malon lui offrit, à sa grande joie, une pèche de diamant. Hélas, cette dernière eut la mauvaise idée de traiter le matou de voleur avant de prendre feu et de disparaitre en une bourrasque de cendre. Voilà Belgrif un peu ennuyé. Mais il n’allait pas se laisser démonter à cause d’une sale pèche trop bavarde, ha ça non !

-La vérité ? Mais point du tout ! rétorqua-t-il toujours aimablement mais avec conviction. Il jouait le courtois indigné. Ces pèches sont des menteuses ou alors elles font erreur sur mon compte. Sachez qu’il n’y a pas félin plus honnête que moi dans tout Terra. Si je puis me permettre un conseil, jeune et jolie Malon, prenez garde à l’avenir à ce qu’affirmeront ces pèches.

Heureusement qu’il n’était pas Pinocchio car sinon son nez mesurerait déjà plusieurs mètres. En attendant, il s’employa à réfléchir à la réponse qu’il allait donner à la dernière question de la demoiselle. Se tournant, balayant l’horizon de son vert regard, puis fixant le ciel parcouru d’un oiseau plus fascinent que les autres, il reprit la parole.

-Ma foi, visitez un lieu si enchanteur que celui-ci ne peut que m’enthousiasmer. Vous avez l’air de bien le connaitre alors votre destination sera la mienne. Montrez-moi les merveilles de ce monde !

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Alors que Belgrif marchait au milieu des arbres argentés et que l’envie de remplir ses poches de diamants tel un vulgaire voleur allait croissant en son esprit, un bruit de vague attira son attention. Il fit halte et se retourna. Quel ne fut pas sa surprise de découvrir en lieu et place de la vallée d’émeraude un océan d’un bleu profond.

-Diantre, il se passe de curieuses choses ici, commenta-t-il sans savoir si c’était une bonne ou une mauvaise chose.

Curieux, il s’approcha de l’eau où une nouvelle surprise l’attendait.

]-De plus en plus fort ! fit-il en s’emparant d’un lapis-lazuli.

Il porta un regard nouveau à cet océan, un regard brillant, fasciné. Il ne résista pas au plaisir de se « tremper » les pieds dans cette mer de roches mouvantes. Mais alors qu’il le faisait, vint le raz-de-marée. Il recula, il lâcha le lapis, jeta un coup d’œil affolé derrière lui. Il cherchait désespérément un point élevé et proche pour échapper à une mort certaine. Mais déjà, il était trop tard. L’ombre de la vague titanesque était sur lui. Alors, preuve de courage, il fit face, il restait sur place. Le trépas l’aurait cueillit ainsi, silencieux, droit, quoi qu’à l’ultime seconde, il lâcha tout de même un petit « Merde ! ». Sauf que le trépas ne se décida pas à venir. Une nouvelle bizarrerie se produisit. Une colonne d’eau véritable se forma et il en émergea peu à peu une jeune femme. D’abord elle-aussi faite d’eau puis devenait plus réelle, elle souhaitait la bienvenue au félin.

Ce dernier, tout de même soulagé d’avoir échappé à la noyade, se remit très vite de sa frayeur. C’était une nouvelle preuve de courage. Il observa l’étrange inconnue qui devait être la maitresse des lieux et décida de se montrer avec elle aussi aimable qu’il le pouvait. Avec un peu de chance, il pourrait profiter d’elle ou tout du moins, il échapperait à son courroux si elle pouvait en éprouver.

Il s’avança et, tout en effectuant une courbette des plus respectueuses, il prit la parole, affable.

-Je vous remercie, enchanteresse inconnue. Etes-vous une fée ? Ou une déesse ? Ce lieu grandiose est incroyable ! Jamais de toute ma vie je n’ai vue pareille chose ! Ho, mais j’en oublie mes bonne manière… Seconde courbette, cette fois en enlevant son chapeau. Je me nomme Belgrif, pour vous servir. Il remit son chapeau. A qui ais-je l’honneur ?

Quelle hypocrisie ! Le chat voulait se montrer gentil homme alors qu’une minute auparavant il envisageait de voler des fruits de diamants. Enfin bon, sans doute n’est-il pas utile de le rappeler.


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Ville-Etat de Nexus / Re : Une alliance profiteuse ... [PV: Belgrif]
« le: lundi 01 août 2011, 16:58:44 »
Belgrif avait toujours eu une grande confiance en lui, allant même souvent jusqu’à se surestimer. Mais en cet instant, alors qu’il accompagnait Hiro à cheval, le doute s’insinuait en lui. Et s’il échouait, s’il ratait complètement ce coup ? A n’en pas douter, ce serait lui qu’on allait vendre. Dans cette histoire, il avait tout à gagner… ou tout à perdre. Commander, il ne l’avait jamais fait. Et là, il allait commander des esclavagistes, des gens qui pour l’instant le regardaient plus comme une marchandise qu’autre chose. Il était petit, il faisait mal du cheval, il ne payait vraiment pas de mine. S’il voulait jouer le rôle auquel on le destinait, il allait devoir être bon, très bon.

-Bien monsieur. Je ferais selon votre désir.

Voilà le Terranide félin à pied, ce qu’il appréciait, et en compagnie de ses quatre hommes. Leur expliquer le plan fut rapide et pour cause, le chat se limita à une phrase.

-Vous quatre, avec moi : on a un piège à tendre dans la forêt.

Bien qu’intimidé, Belgrif n’en montrait rien. Il s’était exprimé avec une fermeté stupéfiante. Il savait jouer la comédie, c’était un don chez lui. Sur ce, il prit la tête de la petite troupe et imposa une marche rapide. Il voulait gagner un maximum de temps. Dix minutes plus tard, il fut sur place, dans la forêt. Là, il s’apprêta sagement à respecter les ordres d’Hiro mais une autre idée lui vient à l’esprit. Tout en observant les arbres à proximité du chemin, il hésitait.  On le testait, n’est-ce pas ? On l’avait prit pour sa réputation, sa ruse. S’il se contentait d’obéir, il ne serait au final qu’un être banal. Tout le monde povuait obéir. Non, il voulait être mieux que ça, il voulait se démarrer et ce dès le début. Peut-être faisait-il là une erreur ou au contraire, peut-être allait-il enchanter son nouvel employeur. Ce dernier, au final, voulait un résultat aussi bon que possible. Pour lui, rien d’autre ne devait compter.

Le Terranide se tourna vers ses hommes. Pendant le trajet personne n’avait parlé. Il n’y avait eu que des murmures entre les humains. L’homme chat désigna un arbre particulièrement gros à côté du chemin.

-Toi, avec ta hache, coupe cet arbre au trois quart. Il faut qu’à mon signal tu puisses le faire s’effondrer sur le chemin en un rien de temps. Vous deux, vous allez vous cacher dans ces buissons, juste à droite de la route. Toi, Belgrif s’adressait au quatrième et dernier de ses hommes, tu va rester avec moi, on va se poster sur la gauche. A mon signal, l’arbre tombe, les caravanes vont devoir s’immobiliser ou contourner l’obstacle. Nous attaquons sans attendre, l’effet de surprise nous aidera. Notre objectif : les montures, il faut les abattre. Toi, dès que tu as fait tomber l’arbre, tu viens nous aider, bien sûr. N’oubliez pas que la seconde équipe va poursuivre les marchands. Si certains de ces derniers retournent en arrière, on les laisse faire, ils seront prit au piège. Ce qu’il ne faut pas, c’est qu’ils parviennent à forcer notre barrage. Allez, on se prépare !

Bien vite, le piège fut tendu. Belgrif estimait que ce dernier allait être plus efficace que le plan d’origine. Sauter depuis les arbres représentait un risque qu’il voulait épargner à ses hommes, et à lui-même. Seulement, l’avenir allait sous peu dire si son choix avait été judicieux. Le « bucheron » était prêt à faire s’effondrer l’arbre. Il était dissimulé derrière le tronc. Le reste des esclavagiste ainsi que leur chef félin se terraient dans les buissons. Il ne leur faudrait pas plus de quelques secondes pour sortir de leur cachette et se jeter sur les chevaux. Belgrif scrutait le chemin. En son fort intérieur, il revit l’étrange monture noir d’Hiro. Ce dernier devait avait sans doute quelques secrets tournant autour de lui. Raison de plus pour lui plaire…


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La fourberie, l’égoïsme, la méchanceté de Belgrif n’était plus à prouver. Chaque jour passé sur Terra était le théâtre de sa vilénie. Mais chaque nuit au pays des songes, le félin subissait les remords, les doutes, les regrets, la honte de ce qu’il était devenu. Pourquoi fallait-il que sa conscience complique tant les choses ? N’était-ce déjà pas suffisamment difficile sans cela ? Cette nuit, au grand dam du Terranide, les cauchemars étaient de retour. Monde sombre, silhouette torturée, supplique déchirante, le voilà confronté à la misère provoquée par ses actes. Lui qui avait trahit jusqu’à sa propre race, fuyait vainement ses démons implacables. Il allait être refrappé, il allait être maitrisé. Déjà il redoutait le fouet auquel il était promis.

-Non ! Allez-vous-en ! criait-il.

Tout d’un coup, l’homme chat bascula dans le vide, un néant lumineux. Il hurla, il ferma les yeux. L’instant d’après, il heurtait le sol. Recroquevillé sur lui-même, protégeant son visage avec ses mains, il redoutait la suite.

-Laissez-moi tranquille ! Je m’excuse, je m’excuse ! fit-il d’une petite voix vacillante.

Puis il attendit, persuadé qu’on allait le saisir, le frapper, l’humilier… mais rien de tout ceci ne se produisit. Autour de lui, tout paraissait calme, paisible. Alors, le félin, timidement, osa entrouvrir les yeux. La lumière, toujours vive, l’éblouit. Quand il s’y fut habitué, il distingua un paysage dont il n’avait pas l’habitude.

-Mais…

Il retira les mains de son visage et adopta une position assise. Intrigué, curieux, il observa ce monde inconnu qui l’entourait. Quel merveilleux étalage de richesse ! Des arbres en argent et aux fruits de diamant, du sable d’or, une immense vallée d’émeraude… était-il en train de rêver ? Oui, assurément, mais il n’en avait pas l’impression. Tout ceci semblait si réel ! Déjà il oubliait son mauvais songe et n’avait qu’une envie : visiter ce précieux paradis. Alors il se redressa. Il épousseta son grand manteau rouge pour en chasser… de la poussière d’or. Il eut un petit rire. Il piétinait de l’or, c’était euphorique ! Qu’allait être la prochaine étape ? Se baigner dans une rivière de saphir ? Un large sourire aux lèvres, Belgrif récupéra son chapeau, qu’il avait perdu lors de sa chute, le remit sur sa tête et se tourna au hasard dans une direction. Il y pointa son indexe et déclara :

-Par là !

Joignant le geste à la parole, il s’en alla dans cette direction. Où allait-elle le mener ?


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Le coin du chalant / Re : Rps avec Malon...
« le: lundi 01 août 2011, 11:59:20 »
Citer
Alors, tu veux la trame numéro 3 Belgrif ?
J'ai peut-être une préférence pour la trame 3, effectivement. L'idée de me laisser conduire dans tes rêves me plais pas mal. Mais après, à toi aussi de choisir. La 2 est sympa aussi. Ton choix sera le mien.

71
Le coin du chalant / Re : Rps avec Malon...
« le: lundi 01 août 2011, 11:33:31 »
J'aime bien la trame 2 et la trame 3.
L'univers onirique m'attire énormément.

Pour la trame 2, vu l'histoire de Belgrif, j'ai amplement de quoi lui faire faire des cauchemars. C'est une petite ordure dont les actes titillent tout de même sa conscience.

Pour la trame 3, ce serait amusant à mon sens que Belgrif, habitué à tout tourné à son avantage, à manipuler tout le monde, bref à prendre le contrôle de la situation en quelque sorte, ne se retrouve plus au commande. Subir le rêve peut lui apporter une petite leçon mais sans que ce soit forcément désagréable. Un Alice au pays des merveilles avec lui dans le rôle d'Alice et toi dans le rôle qui te plais.

(Mon personnage ne quitte pas la dimension de Terra mais je présume qu'au niveau des rêves, ce détail n'est pas dérangeant.)

A toi de voir^^

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Ville-Etat de Nexus / Re : Une alliance profiteuse ... [PV: Belgrif]
« le: samedi 30 juillet 2011, 10:51:29 »
-Satisfait, répondit simplement Belgrif.

Il avait étouffé un ronronnement de satisfaction. Jamais il n’aurait imaginé qu’on pouvait offrir tant, si vite. Bien sûr, il se doutait que tout ceci était soumis à de bon résultat de sa part. Hiro, comme beaucoup de puissant, ne devait pas vraiment tolérer l’échec. Le jeu que constituait cette collaboration si atypique n’en devait que plus excitant. Négocier maintenant n’était peut-être pas une bonne idée, d’autant plus qu’un soldat venait d’entrer pour transmettre une information à son maitre et que ce dernier demandait à son nouveau subordonné d’entrer dans le vif du sujet. Le félin, excité à l’idée de devenir dès à présent ennemi des Terranides, n’allait pas se faire prier.

-Ma foi, je n’y vois aucune objection. Un peu de sport me fera le plus grand bien.

Il se leva, histoire de joindre le geste à la parole. Il reprit ensuite.

-Ceci dit, comprenez que ce n’est certainement pas aujourd’hui, en cette chasse, que je monterais le meilleur de moi-même. Il me faudra un petit temps d’adaptation afin de pleinement appréhender mes nouvelles fonctions. Mais je veillerais à ce que ce ne soit pas trop long.

Il disait cela afin de se couvrir d’une certaine façon. Cette affaire qu’on venait de lui faire valait son pesant d’or. Il était plus que certain qu’il ne trouverait pas mieux ailleurs et il ne voulait pas, de ce fait, la laisser passer à cause d’une bête erreur de débutant. Il n’avait que peu l’habitude de commander. Heureusement, tendre des pièges, ça, il savait faire. Comme un gosse, il trépignait intérieurement d’impatience.


73
Ville-Etat de Nexus / Re : Une alliance profiteuse ... [PV: Belgrif]
« le: vendredi 29 juillet 2011, 11:04:40 »
Un coup de poignard par ici, une belle parole par là, une main furtive qui passe, qui prend… Belgrif, en quittant son village natal, n’était guère qu’un voyageur perdu, un être vulnérable ignorant du monde qui se découvrait peu à peu à ses yeux. Mais à force de persévérance et de fourberie, il était devenu un autre : un escroc, un manipulateur, un criminel. Il s’était vite adapté, il avait compris les règles du jeu en Terra. Il ne devait sa survie qu’à son immoralité. Tuer de sang froid, tuer par traitrise, lui avait permis à plusieurs reprises de ne pas finir la chaine au cou, esclave, marchandise de chair. Dépouiller les riches ou les miséreux lui permettait de gagner sa vie. Evidement, nombreux étaient ceux qui lui en voulaient mais peu lui importait. Ces gants qui le détestaient faisaient sa notoriété. Il n’était peut-être pas devenu le plus célèbre les bandits mais à Nexus, sa ville de prédilection, son nom circulait. Sa sinistre réputation décrivait un être au visage d’ange et aux manières de démons, quelqu’un capable de vendre père et mère pour un peu de plaisir, un monstre d’égoïsme.  Oui, c’en était bel et bien fini de ce pauvre minou errant dans les rues sans savoir où il allait. A présent, il hantait les bas-fonds tel un fantôme, il s’aventurait même dans les cartiers aisés pour y prendre ce qui lui plaisait. Tout, absolument tout ce qu’il avait sur le dos, il ne l’avait pas payé, histoire de principe.

Ces dernières semaines, le Terranide félin avait remarqué quelque chose de curieux. On l’observait, il en était presque certain ayant aperçu un curieux individus le suivant de nuit sur les toit de la cité. On cherchait à se renseigner sur lui. Alors, de son côté, il avait mené sa propre enquête. Si on cherchait à lui faire un mauvais coup, à lui qui jamais encore n’avais connu l’échec, il devait être prêt. Lentement mais surement, il remontait la piste. Il n’eut toute fois pas le temps de découvrir qui était le commanditaire lorsque ce dernier lui adressa directement un message, une invitation. Hiro Atayoshi, un influant marchant d’esclaves.

Voilà Belgrif surpris. Devait-il répondre à l’appel ? Il ne fallait pas oublier qu’il avait le profil parfait pour devenir un esclave. Seulement, il se dit que les intentions du marchant devait être autre. Sinon, au lieu d’un message, il aurait envoyé ses sbires, il aurait tendu un piège. Et puis le félin était curieux d’avoir le fin mot de cette histoire. Aussi, il se décida à venir. C’était risqué, certes, mais peut-être y avait-il là une opportunité à ne pas laisser passer.

Voilà donc Belgrif dans le bureau de Atayoshi. Il avait prit ses aises. Installé confortablement sur sa chaise, un verre à la main, l’air très décontracté, il donnait l’impression d’un individu confiant en lui-même et en l’avenir. Comme à son habitude, il était vêtu d’embles habits derrière lesquels il se dissimulait. Un large chapeau orné d’une plume et un manteau tombant plus bas que ses genoux étaient se qu’on voyait en premier lieu. Sous l’obscurité du chapeau, on devinait son visage de chat au regard d’émeraude.

Le félin garda le silence tout en sirotant l’alcool dans son verre et en écoutant avec attention. Il avait simplement salué d’un geste respectueux le maitre des lieux histoire d’être convenable mais sans trop en faire. Quand ce fut à lui de répondre, il déposa son verre sur el bureau et s’exprima avec calme. Son ton était posé.

-Monsieur Atayoshi, quel étrange marchant d’esclaves vous faites. Vous me demandez, à moi, Terranide, de vous seconder dans une activité qui brime les Terranides. Ou vous êtes fou… Il ménagea une brève pause, laissant sa phrase en suspend. …ou ma notoriété est passé à un tout autre niveau. On va dire qu’il s’agit de ce dernier cas, il convient mieux à mon égo.

Il fit l’un de ses sourires malicieux dont il avait le secret. Puis il reprit, presque rêveur.

-Moi, associé à un marchant d’esclaves, moi le Terranide qui vend des Terranides. Soyez certain que l’idée me plait mais elle va me placer dans une situation délicate. Je serais, pour mes semblables et beaucoup d’autres, un monstre, un symbole à abatte. Est-il possible de pousser plus loin la trahison ? Sur le principe, je suis d’accord, je dirais même que cela m’enthousiasme. Alors parlant paiement.

Un éclair d’avidité passa dans le regard du filou félin.

-Si vous voulez des esclaves, je pourrais vous en procurer. Je peux même vous aider à gérer vos affaires. Mais si vous voulez bénéficier de mes services, que m’offrez-vous en échange ?

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Le coin du chalant / Re : Mille et une histoires avec filou félin…
« le: mercredi 27 juillet 2011, 16:15:30 »
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Je... Me suis senti interpellé dans ta dernière trame

Puis-je?
Celle qui consiste à faire de Belgrif son serviteur ? Il va falloir en discuter. Contactes-moi par MP et donnes-moi les informations suivantes :

1.Parles-moi un peu de ton personnage, de sa position sociale, de ses activités, voir de ses projets futurs. Ne te sens pas obligé de rédiger un roman ou de tout dire. Il faut juste que tu me donne une idée de qui tu es.
2.Ensuite, si Belgrif devient ton serviteur, que lui demanderais-tu ? Quel serait son utilité ? Aura-t-il une marge de manœuvre ? Bref, a quoi risque de ressembler la vie de félin filou avec toi comme patron/maitre ?
3.Enfin, comment comptes-tu faire de Belgrif ton serviteur ? Tu es du genre :
-à le piéger par la ruse ou par al force puis une fois à ta merci, tu le "dresses" pour qu'il te soit loyal ? (Esclavage)
-à agir de façon plus convenable en te payant les services de Belgrif, en étant plus un patron, un employeur, qu'un maitre ?

En fonction de tes informations, si cela me convient, je trouverais une ou plusieurs trames scénaristiques susceptibles de t'intéresser. Tu n'auras plus qu'à choisir (à modifier éventuellement) et puis place au RP.

J'attends donc ton MP.
 

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Le coin du chalant / Re : Mille et une histoires avec filou félin…
« le: mercredi 27 juillet 2011, 13:01:09 »
Diantre, je n'avais pas vu votre message, belle demoiselle, et j'en suis profondément navré, croyez-moi !
Ma foi, je suis partant.
Je vous laisse en revanche créer le sujet. C'est simple, vous pouvez le faire n'importe où sur Terra. Où que vous soyez, Belgrif vous rejoindra, même par infraction s'il le faut. :)
Si vous êtes ok, pensez à me prévenir, ici ou par MP, quand le sujet sera posté. Ainsi, je ne le louperais pas^^

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