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Messages - Poison Ivy

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Sakura ne tarda pas à lui répondre, et Ivy continuait à lui caresser la joue. Pour l’heure, aucune pulsion sexuelle n’habitait son corps, ou ne motivait son geste. Elle désirait juste réconforter cette jeune fille, mais elle ne pouvait pas parler pour elle. Les spores d’Ivy agissaient naturellement, indépendamment de son état d’excitation. Des phéromones naturelles, qui amenaient toujours ses adversaires potentiels à devoir se préparer contre ça, sous peine d’hésiter à la frapper ou à la blesser. En revanche, pour Sakura, il était possible qu’elle se sente attirée par cette femme. Une attirance qui ne serait pas nécessairement sexuelle, mais qui l’amènerait au moins à apprécier son contact.

« Pas vraiment..., lâcha-t-elle.
 -  Que cherches-tu donc ? glissa rapidement Ivy.
 -  Je veux retrouver ma sœur... que j'ai confiée à une elfe, peu avant de me faire capturer par les es... esclavagistes... J'ai été esclave une année entière... »

Une année… Une année d’esclavage. Pour Poison Ivy, c’était inconcevable ! Elle méprisait l’arrogance de l’humanité, et l’esclavage était, pour elle, la plus belle forme d’expression de cet orgueil. Elle ne put s’empêcher de glisser ses mains derrière la nuque de Sakura, et de caler son corps contre elle, la tête de la jeune fille arrivant à proximité de ses seins recouverts par son tissu verdâtre.

« Ma pauvre petite… soupira Ivy. Crois bien que tu as toute ma compassion pour les atrocités qu’on t’a fait subir. »

Pour le coup, Poison Ivy était sincère. Qu’on lui donne seulement l’opportunité d’aller à Sylvandell, et elle trouverait bien un moyen de faire payer à ces esclavagistes. Elle tuerait en personne ce Roi, d’un baiser mortel, mais elle n’aurait probablement jamais l’occasion d‘aller à Sylvandell. Là où elle se trouvait, on ne voyait aucune montagne, ce qui signifiait que ce royaume maudit devait être loin. Sans doute devrait-elle marcher vers l’Empire d’Ashnard, cet endroit que bien des gens décriaient, et qui organisait fréquemment des raids et des pillages dans les régions libres. Sakura semblait avoir honte de sa situation, fuyant le regard de la femme-plante, qui essaya de parler, mais elle ajouta alors autre chose.

« Avant d'être esclave sur Terra... J'étais lycéenne à Seikusu, sur Terre... »

Ivy hocha la tête, fronçant les sourcils. Seikusu… Elle y était depuis quelques mois, maintenant, ayant réussi à obtenir un poste de professeur en sciences et vies. Ce n’avait pas été bien difficile. Elle n’avait en soi aucun diplôme dans l’enseignement, mais ses phéromones, ainsi qu’une séance torride avec les membres du conseil d’administration du lycée, avait amplement suffi à lui obtenir un poste. Ainsi donc, c’était une Terrienne… Une Terrienne transformée en esclave sur ce monde. Ivy ressentit à nouveau de l’empathie pour elle, caressant tendrement ses longs cheveux. Elle finit par parler.

« Je viens moi aussi de la Terre… Je suis professeur à Seikusu… N’aie pas peur, ma belle, je vais veiller sur toi, maintenant… Plus personne ne fera de toi son esclave, Sakura Korvander. Je te ramènerai sur Terre avec ta sœur. Personne ne te fera plus de mal, je te le jure. »

Poison Ivy continua à tendrement lui caresser les cheveux.

« Ma pauvre… Comment as-tu pu finir ainsi ? Et, si tu es une simple Terrienne, comment peux-tu te transformer en dragon ? Est-ce qu’on… Est-ce que les gens de Sylvandell ont fait des… Des choses avec to code génétique ? »

Ivy soupçonnait que la jeune femme avait subi des expériences magiques sur son corps, afin d’en faire une espèce de mutante hybride. Poison Ivy désirait savoir ce qui avait pu lui arriver, ressentant de l’empathie pour cette jeune femme, sans vraiment pouvoir se l’expliquer. Elle avait après tout démoli plusieurs arbres, mais, dans une certaine mesure, la femme-plante n’arrivait que difficilement à lui en tenir rigueur.

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La jeune fille ressortit de l’eau après un certain temps. Ivy se mit à craindre qu’elle ne savait pas nager. Les dragons, ça avait peur de l’eau, non ? Mais le lac n’était pas très profond, et elle finit par en ressortir. L’eau avait collé ses longs cheveux sur son joli visage de poupée, lui donnant un charme assez enfantin. Son absence de poitrine proéminente, ce visage tendre et attirant, amenait Ivy à la voir plus jeune qu’elle n’était, tout en sachant combien le physique était un critère défaillant sur Terra. Quelqu’un qui avait l’air jeune était généralement plus âgé qu’un centenaire. Elle finit par répondre, divulguant son identité.

« Je me nomme Sakura Kon... heu... Korvander... »

Pourquoi cette brusque hésitation ? Simple hésitation de sa langue ? Entre « Kon » et « Kor », il y avait une simple différence de lettre, mais une forte différence de son. Elle avait lancé ce « Kon » comme si elle comptait dire autre chose, avant de se rabattre sur « Korvander ». L’hypothèse d’une jeune mariée, ou d’une esclave affranchie, vint à l’esprit d’Ivy, qui rejeta rapidement l’hypothèse du mariage. Si elle était bien une jeune mariée, où se trouvait son mari ? En toute logique, les premiers jours, on désirait rester le plus proche possible de son mari, surtout à un âge si jeune, où l’esprit était empreint à ce romantisme mielleux qu’Ivy trouvait insipide. Non, il devait probablement s’agir d’une affranchie, qui avait abandonné le nom donné par son esclavagiste, pour prendre le sien.

« Je viens du royaume de Sylvandell, une région montagneuse avec peu de végétation... »

Cette autre phrase confirma ce qu’Ivy pensait : une affranchie qui venait de s’échapper d’un royaume montagneux, soit un royaume austère, dangereux, hostile. Elle se mit à imaginer un vieux Roi fatigué, croulant sous le poids des années, impuissant, qui utilisait de jeunes filles pour assouvir ses envies sexuelles, ou pour obtenir une fille, une héritière. Elle imagina une dragonne ensorcelée, incapable de reprendre sa forme de dragonne, et laissa Sakura poursuivre son récit.

« Et je ne suis pas une dragonne... seulement une Demi-dragonne. Ça veux dire que je suis avant tout une humaine capable de prendre une forme mi humaine mi dragonne, voir complètement dragonne. C'est uniquement grâce à un rituel du dragon Alpha que je peux faire cela, même si j'ignore encore pour quel genre de mission il m'a choisi... »

Cette tirade interloqua un peu Ivy. Un dragon Alpha ? Et elle s’était visiblement trompée, en inversant le processus. Sakura n’était pas une dragonne capable de prendre forme humaine, mais une humaine capable de prendre une forme de dragon. Voilà qui changeait pas mal de choses, et elle s’approcha lentement de Sakura.

*Je n’ai compris que la moitié de ce qu’elle m’a dit… Une affranchie libérée par une espèce de dragon surpuissant ?*

Ivy décida de la réconforter, de la rassurer. Elle savait que les esclaves pouvaient, soit devenir paranoïaques, en croyant que n’importe qui leur voulait du mal, soit rechercher l’affection de n’importe qui. Sakura n’avait pas l’air particulièrement inquiète, mais Ivy tenait tout de même à la rassurer sur ses intentions. Elle tendit donc une main pour caresser lentement la joue de Sakura. Sa main devait être douce ou chaude, et, quand elle commença à la caresser, son gant vert s’effaça pour révéler sa première peau. Elle remonta jusqu’à l’oreille de Sakura, et se mit à lui répondre.

« Peut-être qu’il a juste vu en toi une créature exceptionnelle qui méritait d’être libre, et qui devait voler de ses propres ailes… Même si tu as encore des efforts à faire sur l’atterrissage… »

La perte des arbres était une véritable catastrophe, mais Ivy n’avait pas ressenti cela comme une douleur physique, comme quand on arrachait l’une des roses qu’elle avait aidé à enfanter. En ce sens, elle n’était pas particulièrement en colère contre Sakura. Elle lui sourit même légèrement. Cette petite semblait si innocente, si fragile… Difficile de croire qu’elle avait dégommé deux arbres…

« Et où te rends-tu donc comme ça ? poursuivit-elle, sans laisser le temps à Sakura de répondre. Erres-tu comme moi sur ce monde immense ? »

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Comment est-ce qu’une jeune fille comme ça avait pu se transformer en dragonne ? Ou, plutôt, comment est-ce qu’une dragonne qui démolissait des arbres pouvait prendre cette apparence chétive ? Les apparences étaient toujours trompeuses, et Ivy fronça les sourcils. La jeune fille avait la tête en bas, et Ivy, avec une autre liane, l’enroula autour de la gorge de la femme, afin de l’aider à se redresser, sans chercher à l’étrangler.

« Heeeuuu.... Désolée pour votre forêt, ce n'était pas dans mes intentions... », lança-t-elle rapidement.

Poison Ivy ne répondit rien. Fallait-il la croire ? Oui, indéniablement. Elle avait atterri sans raison sur cette forêt, probablement pour boire, et s’était écrasée sur le sol. Visiblement nerveuse à l’idée d’être étranglée, elle ne tarda pas à enchaîner, sans vraiment laisser le temps à Ivy de répondre quoi que ce soit.

« Je... c'étais mon premier atterrissage... et apparemment, j'ai encore besoin d'entrainement, si je ne veux pas tout détruire sur mon passage... Je...est-ce qu'il y a moyen de réparer ma faute ? En évitant de mourir si possible ? »

Son « premier atterrissage » ? Les dragons attendaient si longtemps avant de voler ? Il y avait plusieurs choses qu’Ivy ne comprenait pas ici. Elle esquissa un léger sourire quand cette dernière lui demanda comment se racheter, en évitant l’option de la mort. Pourquoi est-ce que tout le monde pensait systématiquement qu’elle voulait les tuer ? C’était fatigant, à force ! Elle desserra ses lianes, en se mettant à parler.

« Ce n’est pas ma forêt, précisa-t-elle. Je ne suis que de passage, mais, contrairement à toi, je ne démolis pas par erreur des arbres. Quant à te racheter… »

Elle desserra pour de bon ses tentacules, et la jeune femme tomba comme une pierre dans l’eau, émettant un petit *PLOUF !* en éclaboussant Ivy. Elle attendit que la jeune femme sorte de l’eau, ne se souciant guère que son kimono soit mouillée, et enchaîna rapidement.

« Si je devais tuer tous ceux qui ont fait du mal à la Nature, je commencerai par me tuer moi-même. »

Un aveu difficile à dire, mais réaliste. Ivy avait déjà marché sur des herbes, tué des brindilles, et une brindille, aussi insignifiante soit-elle, était une pépinière de vie, comprenant des organismes, de nombreux insectes microscopiques, une véritable faune silencieuse et animée.

« Ne crains donc pas pour ta vie, et commence par te présenter, jeune dragonne. Sache que je m’appelle Poison Ivy, et que, comme tu l’as remarqué, mon être est intimement lié à la flore. »

Il était de surcroît inutile de lui préciser qu’Ivy serait bien incapable de lutter contre une dragonne qui parvenait à arracher des arbres comme des fétus de pailles.

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(Par rapport à ton post, je pars du principe qu’Ivy ne se trouve pas vraiment à l’arrière, mais dans le lac. J’ai trouvé ça plus… Sexy x))

Bien loin de la nuit de noces de la Princesse de Sylvandell, et des transformations de Sakura, Poison Ivy, elle, continuait à explorer Terra, à s’y promener. Elle errait là-dedans depuis sa rencontre avec Sentinel Prime, depuis qu’elle avait du abandonner Green Avenger, ne pouvant empêcher la résurgence de Prime. Elle avait été de rencontres en rencontres, et sentait bien qu’elle n’était pas au bout de ses surprises. Elle avait vu une forêt géante disposer d’une âme propre, un vampire qui avait succombé à ses charmes, satisfaisant les pulsions d’Ivy, et elle avait continué à errer sur Terra, se promenant le long des forêts. Elle se trouvait aujourd’hui à proximité d’une communauté de fermiers près d’une grande ville qu’elle venait de quitter pour la forêt, s’enfonçant à l’intérieur, malgré la menace de loups et autres bestioles. Les animaux ne la menaceraient jamais sérieusement, c’était un fait. Elle se promenait ainsi depuis un ou deux jours dans cette forêt, n’éprouvant guère le désir d’y dresser ses plantes, et s’était arrêtée à proximité d’un grand lac au milieu de la forêt, en profitant pour se baigner dedans.

Ici, personne ne venait l’embêter, et elle était bien dans le lac depuis une heure quand elle entendit un dragon approcher. Elle le vit à vrai dire lui recouvrir la vue, et, en levant les yeux, vit que ce dernier était passé entre elle et les rayons du soleil. Elle vit le dragon cracher un jet de flammes, et fronça les sourcils. Les habitants de Terra, généralement, appréciaient les dragons, en voyant des créatures nobles et puissantes, mais elle voyait surtout des animaux qui crachaient du feu, et, qui, partant de là, pouvaient déclencher un incendie. Elle se demanda accessoirement ce qu’un dragon fichait ici, sachant qu’elle pensait qu’on devait plus facilement les trouver près des montagnes ou des volcans.

*Fiche donc le camp, rapace aérien, songea Ivy. Je ne tiens pas à ce que tu incendies par mégarde cette forêt.*

Au lieu de ça, le dragon tenta d’atterrir, et Poison Ivy comprit qu’il devait s’agir d’un jeune dragon, dans la mesure où il descendit en piqué bien trop vite. Il tenta de s’appuyer sur ses pattes, mais était arrivé si vite qu’il trébucha sur le sol, et roula par terre, filant vers le lac. En d’autres circonstances, elle aurait pu trouver cette scène comique, mais elle se sentait surtout furieuse en voyant que le dragon, dans sa descente, s’écrasait sur les arbres, les fauchant. Espèce de barbare ! Sauvage ! Monstre ! Meurtrier ! Elle vit la tête du dragon approcher de la surface de l’eau, et, à la surprise d’Ivy, le dragon changea de forme, prenant la forme d’une belle petite humaine, se mettant à s’abreuver au lac.

Sur le coup, Ivy fut surprise. Était-ce vraiment un dragon ? Ou une dragonne ? Elle avait entendu parler de dragons qui pouvaient prendre une apparence humaine. C’était peut-être le cas ici. Dans tous les cas, Poison Ivy était énervée, agacée, et décida d’agir, de ne pas laisser cette espèce de fillette impunément massacrer des arbres. Elle s’extirpa de l’eau, la moitié de son corps en ressortant. Elle avait alors une peau beige d’humaine, et une tenue verdâtre, et tendit un doigt. Une liane jaillit, et s’enroula autour de la taille de Sakura, la tirant en arrière pour la soulever.

« Hééééééééé !!!!! » protesta cette dernière.

Poison Ivy la souleva dans le ciel, à quelques mètres d’elle, une main sur les hanches, l’autre maintenant Sakura, serrant le tentacule sur son ventre.

« Dis-moi, toi… De quel droit est-ce que tu oses démolir des arbres qui ne t’ont rien fait ? Ne crois-tu donc pas que ces arbres méritent un peu de respect, eux qui vivent depuis des années ? »

Ivy parlait calmement, mais on sentait la colère sous-tendre ses propos.

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Les terres sauvages / Re : La fleur du mal ( PV Poison Ivy )
« le: jeudi 02 février 2012, 22:41:03 »
Iruka la regarda s’empaler sur l’homme plante, sans réagir. Voyeur ? Elle décida de le laisser contempler, s’empalant sur son homme-plante, utilisant ses tentacules pour remuer les sexes d’autres hommes, jusqu’à sentir son premier homme plante jouir. Il en poussa des grognements de plaisir, et elle sentit son jus se répandre en elle. Ivy poussa un cri de plaisir, alors que les hommes-plantes près d’elle jouirent également, tâchant son corps verdâtre de leur semence. Elle se releva, sa mouille et le jus de l’homme coulant de ses jambes, son regard bouillonnant de plaisir plongeant sur Iruka, qui marcha vers elle. Elle lui sourit en coin, et il la guida vers un autre de ses clones. Elle se serra contre cet homme, et l’embrassa. Ses lèvres n’avaient pas le même goût que celles du vampire, mais elle n’allait tout de même pas considérer que ses propres enfants n’avaient pas bon goût. L’homme-plante ne tarda pas à la pénétrer, et fut en ce sens rejoint par Iruka.

Prise entre les deux, Ivy poussa un cri de plaisir, et tendit une main en arrière, attrapant la nuque d’Iruka, afin qu’elle le sente mieux s’enfoncer en elle. Ses jambes se hissèrent, s’enroulant autour de la taille de l’homme-plante devant elle, et elle se laissa balancer entre les deux, gémissant et hurlant de plaisir, se tortillant tendrement entre eux, sentant leurs membres tendus se glisser en elle, s’immiscer longuement et violemment.

« Haaaa… Haaaan !! Ah, oh oui, oui, OUIII ! Votre mère, mes enfants, votre… Oh, votre mère est heureuse ! Si heureuse, si heureuse ! »

Elle hurla à nouveau, un rugissement jouissif, alors qu’on continuait à s’immiscer en elle, à la rendre complètement folle. Elle sentit l’homme-plante se presser contre elle, et sentit Iruka utiliser ses doigts pour les transformer en tentacules, de légers tentacules qui s’enroulèrent autour de ses seins, remontant pour s’enrouler sur ses tétons, et les remuer, la faisant redoubler de plaisir. Sa main qui tenait Iruka à la nuque se serra encore plus, et elle poussa un nouveau cri de plaisir, sentant un nouvel orgasme arriver. Pendant ce temps, Iruka lui parla. L’homme avait sûrement une idée en tête, car, quand il lui parla de « fusionner » leurs corps, Ivy ne comprit pas trop à quoi il fit allusion.

Il finit par se retirer du cul d’Ivy, tandis que l’homme-plante avait, de son côté, joui. Ivy finit sur le sol, où elle ne tarda pas à s’empaler sur un autre de ses clones, tandis qu’Iruka se tenait face à elle, elle voyant son membre. Il utilisa ses doigts pour se masturber, refusant à Ivy ce plaisir, et éjacula alors sur son visage. Elle ferma les yeux, le laissant l’éclabousser, et ce dernier eut alors la surprise de voir la peau d’Ivy absorber sa sève, son jus filant dans son corps, se mélangeant à l’intérieur. Elle le regarda alors, tout en remuant son corps sur celui de son clone.

« Qu’… Qu’as-tu en tête, mon enfant ? Dis-moi tout, dis-moi ce que tu veux que mes plantes te fassent, ce que tu entends par ‘‘fusionner nos corps’’. Raconte-moi tout !! »

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Après cette étreinte, Ivy se sentait tout de même légèrement fatiguée, suffisamment pour baisser sa garde. Avenger venait de jouir en elle, et, ce faisant, elle était persuadée qu’il allait sagement retourner dans son cocon, apaisé, ses doutes envolés. Elle, de son côté, entreprit, de s’asseoir au milieu de son trône, et laissa plusieurs tentacules s’enrouler autour d’elle, rentrant en communion avec la Nature, avec la serre, avec ses plantes, évaluant les dégâts. Sa forêt avait souffert des agissements de Prime, et ce n’était que justice que ce dernier soit mort. Sa petite forêt ne lui permettrait toutefois jamais de changer les choses, mais des idées commençaient à émerger dans son esprit. L’éco-terrorisme, attaquer des raffineries industrielles, ne lui apporterait rien. Il y en avait bien trop, et, de toute manière, les détruire ne ferait qu’endommager encore plus la nature, que l’abîmer davantage. Si elle détruisait une centrale nucléaire, elle risquait de créer des zones radioactives qui porteraient sur les humains. Il lui fallait donc trouver autre chose, et exploiter au mieux son dernier enfant. De ce qu’elle savait, il était virtuellement invincible. Les balles et les explosions ne lui faisaient rien, il pouvait voler rapidement, et disposait d’une force surhumaine. De plus, l’image de Prime était connue sur toute la planète. Il y avait sûrement là de quoi jouer.

Un frémissement parcourut alors ses plantes, ce qu’elle ressentit, mais traîna à l’identifier. Une menace qui enflait, mais ne venait pas de l’extérieur. Les pompiers, les ambulances, la police, ils étaient tous dehors, à s’occuper des sinistres, et les médias filmaient la scène du carnage. Plusieurs interviews parleraient initialement de Poison Ivy, mais on les oublierait rapidement pour se concentrer sur Sentinel Prime, sur son ancienne identité. C’est en repensant à lui qu’elle identifia alors la source du problème, mais à peine eut-elle le temps d’y penser que quelque chose explosa dans son dos…

Sonnée, Ivy tomba sur le sol, et sentit Avenger jaillir vers elle, se mettant à l’étrangler. Elle n’eut même pas le temps de se relever ou de réagir qu’elle sentait un étau d’acier se serrer autour de sa gorge, lui coupant le souffle, l’empêchant de parler. Un vent de panique s’empara de son corps, et des tentacules jaillirent alors, s’enroulant autour des bras d’Avenger, mais sans parvenir à le déloger. Sa poigne était trop forte, ses bras en acier trop solides pour que de simples plantes les repoussent, et Poison Ivy sentait l’air lui manquer. Dans un sursaut, elle posa une main sur le poignet du Vengeur, et utilisa ses propres tentacules. L’une fila le long de son bras rapidement, et se faufila dans sa bouche. Il rejoignit rapidement son cerveau, car il était impensable qu’un de ses bébés ne pose la main sur elle. Le tentacule s’enfonça délicatement dans le cerveau d’Avenger, et agit, provoquant une sorte d’arrêt cérébral des fonctions motrices du corps d’Avenger. Un tel acte était possible en raison des modifications génétiques qu’il avait subi, et son corps s’immobilisa alors, la relâchant.

Ivy resta allongée plusieurs secondes, reprenant son souffle, et entreprit lentement de se redresser. Ses yeux continuaient à s’animer, mais le tentacule d’Ivy était toujours dans sa bouche. Elle le récupéra lentement, et le fixa, essayant de comprendre ce qui avait pu se passer. Est-ce que Prime était revenu ? Non, c’était impossible… Elle réfléchit rapidement. Immobile, Avenger était sans danger, mais il ne le resterait pas longtemps.

*C’est sûrement un réflexe inconscient… Il faut que j’en sache plus…*

Elle se rapprocha de lui, et de nouveaux tentacules jaillirent du plafond, et s’enroulèrent autour d’Avenger et d’Ivy, tandis que la femme se colla contre l’homme. Les tentacules s’enroulèrent autour d’eux et entre eux, tandis que des piques jaillirent, des espèces de lianes qui s’enfoncèrent dans leurs peaux. Les tentacules les enveloppèrent totalement, et Ivy embrassa l’homme, utilisant ses plantes et sa conscience répartie sur eux pour pouvoir « communiquer » avec l’esprit de Green Avenger. Ce fut bref, presque instantané, mais elle comprit que l’homme luttait inconsciemment, entre son ancienne personnalité, et la nouvelle, et qu’il était au bord de la schizophrénie. Le plus sage était sans doute de le tuer, de s’en débarrasser pour de bon, mais Ivy hésita. Elle avait besoin de lui, besoin de ses capacités pour réussir, et elle décida de lui parler.

Leurs esprits étaient reliés dans une espèce de vision psychédélique. Les tentacules les coupaient du monde, absorbant leurs sens, simplifiant cette espèce d’échange un peu surréaliste. Tout devait être noir dans ce que voyait Avenger, l’obscurité absolue, et la voix de sa Mère se fit entendre.

« Tu as tenté de me tuer, mon enfant. Tu as porté la main sur moi, tu as essayé de m’étrangler, et tu m’as fait souffrir. Un enfant ne devrait pas blesser sa mère. En toute logique, je devrais te punir en t’abandonnant, en te reniant, mais tu n’es pas un enfant normal, mon bébé. Tu as du le remarquer. Il est temps pour moi de t’expliquer ce que tu étais, et ce que tu es devenu. »

Poison Ivy prenait naturellement un risque, mais elle savait qu’elle ne pourrait jamais totalement réussir à l’asservir. Une part de Prime résistait encore en lui, car il trouvait que Prime était plus intéressant qu’Avenger. Il fallait donc qu’elle se débrouille pour lui montrer que Prime, ou ce qu’il croyait être Prime, n’était qu’une erreur, un être imparfait.

« Il y a en toi de mauvaises voix, mon enfant. Avant que je ne te trouve, tu étais semblable à ces autres humains qui pullulent à la surface de notre belle planète. Un être exceptionnel, aux idées nobles. Tu entendais lutter contre l’injustice et le Mal, ou tu croyais lutter contre ça. Tu arrêtais les petits délinquants, les criminels, les voleurs à la tire, et tu pensais agir pour le bien commun. Ce n’était qu’un mensonge. »

Tout en lui parlant, des images se mettaient en marche, s’implantant dans ses esprits. Il vit l’ancien lui, Sentinel Prime, fondre sur des voleurs, les arrêter, mettre fin à une course poursuite, arrêter des gangsters, des trafiquants.

« Qui croyais-tu qu’il aidait en arrêtant des petits voleurs, des criminels ? Personne, en réalité. Les victimes ? Il ne faisait que leur montrer qu’il était inutile d’avoir confiance en la police, qu’il valait mieux faire justice soi-même. Les criminels ? Il les envoyait en prison, il leur montrait que, tant qu’ils n’avaient pas à le craindre, lui, ils pouvaient narguer la police. La société ? Des gens comme ça ne font que prouver à la société son inefficacité. En réalité, cet homme n’aidait que lui-même. Tu dois en prendre confiance, mon fils, car cet homme-là, c’était toi. Et je t’ai sauvé, je t’ai donné une véritable cause. Ceux que tu croyais défendre, mon enfant, ces victimes innocentes, commettent toutes un génocide qui dépasse de loin de simples vols à l’étalage. Chaque jour, l’humanité contribue sciemment à détruire notre monde, et, ce faisant, à se détruire elle-même. Regarde par toi-même, mon enfant. »

L’image se mit à changer, et Ivy lui montra des images déchirantes. Elle lui montra la Nature en train de se décomposer… Des éléphants s’effondrer sur le sol d’une savane massacrée, des jungles entières disparaître dans les gouffres d’abominables monstres en acier, des requins par milliers se faisant traquer et abattre pour nourrir les ventres des consommateurs. Elle lui montra les tours en acier noirâtres des usines, la fumée nocive qui s’en échapper, elle lui montra des cimetières d’ordures, des caddies flottant dans une eau marron, elle lui montra la mort mécanique de la société industrielle, l’assèchement des montagnes, le dépérissement de la nature, des lacs entiers devenus de simples bancs de terre. Elle lui montra la banquise se morceler, les ours polaires mourir à petit feu, elle lui montra les arbres périr, elle lui montra les carcasses de satellites flottant dans l’espace, preuve ultime de l’arrogance humaine, en allant jusqu’à polluer l’immensité du cosmos. Elle lui montra les cascades disparaître, les animaux mourir, elle lui montra les humains suffoquer, les bidonvilles, les tribus africaines disparaître, la souffrance des peuples indiens qui voyaient leurs arbres être soufflés par des industriels, les tas d’ordures, l’insouciance généralisée, elle lui montra comment la bêtise humaine avait mené la Terre au bord du gouffre.

« Vois ce monde, Avenger, vois ce monde, et vois comment des gens comme Prime ont mené le mauvais combat. Vois comme ils étaient dans l’erreur, et comprends notre cause. Cesse d’avoir foi au fond de toi envers ces humains imbéciles. Ils ne comprennent rien. Leur histoire le prouve. Ils ne connaissent que la violence ou la force, et n’agissent que sous la contrainte. Alors que leur monde se meure, ces derniers s’amusent à faire des films dessus, des documentaires ! A se faire des bénéfices ! Vois comme ils sont arrogants ! Comme ils sont prétentieux ! Comme ils se moquent de ce qu’ils font subir à leur terre génitrice. Il est temps pour eux de passer des accords réellement constructifs, et c’est ce à quoi nous nous attellerons. Tu seras mon arme, Avenger, le bras vengeur de la Nature qui amènera son fils indigne à retrouver la raison. L’Humanité est la plus belle création de la Nature, mais elle est si belle qu’elle se croit supérieure à elle. Demain, Avenger, oui, demain, nous écrirons ensemble une nouvelle page de l’Humanité, celle où elle se réconciliera avec la Nature. Nous sauverons le monde d’une mort certaine. N’est-ce pas ce pour quoi tu as toujours lutté ? »

Elle cessa son étreinte, et les tentacules se retirèrent. Ivy laissa plusieurs secondes s’écouler, regardant son fils, et lui offrit un délicat sourire, avant de l’embrasser.

« Je sais pourquoi tu m’as attaqué, mon enfant. Tu m’as attaqué, parce que tu doutes de toi, et de la justesse de notre cause. Sache que tu dois avoir confiance en ta Mère. Tu es le meilleur de mes fils, mais tâche de ne pas l’oublier. Tâche de ne pas te croire supérieure à moi, comme l’Humanité le fait avec la Nature. »

(Perso’, je trouve que Ethnicolor 1 constitue un bon fond musical pour la vision d’Ivy de la Nature ^^)

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Le premier choix d’Avenger se porta rapidement sur les lèvres d’Ivy, qui étaient après tout à proximité de son membre. Des lèvres à ce sexe tendu, il n’y avait qu’un pas à franchir, et son enfant fit preuve d’une témérité surprenante. Il posa ainsi sa main sur la nuque d’Ivy, qui écarta volontiers ses lèvres, goûtant à cette belle sucrerie qu’il glissa dans sa bouche. Elle le suçota volontiers, promenant sa langue sur ce morceau, tout en sentant Avenger retirer son costume. Le plaisir aidant, Poison Ivy en vint même à se demander que cette espèce de semi-transformation n’était pas si mauvaise. Elle avait réussi à créer un homme soumis, qui n’avait pas hésité à abandonner tous les anciens principes de sa vie passée en attaquant des humains, et qui, en même temps, faisait preuve d’une espèce d’inventivité très plaisante.

*Peut-être est-ce que je m’en fais trop, après tout, songea-t-elle en s’occupant de ce membre. Défends-toi, et profite du spectacle. Ce n’est pas tous les jours que j’ai l’occasion d’avoir le corps d’un super-homme pour moi.*

Super-homme ou pas, face au sexe, un homme restait un homme, et elle s’occupait de son membre en poussant quelques soupirs, roulant sa langue dessus, mordillant cette masse de chair. Elle s’en occupa pendant un certain temps, plongeant son regard sur les yeux d’Avenger, voyant combien l’homme semblait apprécier ce traitement. Au bout d’un moment, il finit par émettre une suggestion, et, encore une fois, Ivy veilla à le laisser faire. Il la positionna de telle sorte à ce qu’elle se retrouve à quatre pattes, dos face à lui, et se demanda pendant un instant s’il n’envisageait pas de la prendre par le fondement. Elle en frémissait de plaisir, mais le sentit finalement se glisser dans son intimité. Dommage, dans un sens… Et satisfaisant, dans l’autre.

Il s’enfonça doucement en elle, et elle serra les poings, sentant sa virilité s’enfoncer en elle, faisant couler son nectar.

« Hum… Allez, mon beau ! »

Poison Ivy commença à remuer son corps d’avant en arrière, avant de le sentir saisir l’une des lianes qui pendaient dans les environs. Quand il la toucha, Ivy le sentit, et choisit de le laisser faire, et même de l’aide. Ses lianes et ses plantes fonctionnaient comme des membres à part entière de son corps. Difficile d’en résumer le fonctionnement, il fallait être dans la peau de Poison Ivy pour comprendre comment ça marchait. Tandis que sa verge s’enfonçait, elle le sentit glisser le bout de la liane dans son fondement, dans ce petit trou, et elle en poussa un cri sec et sonore,

« Aw !! »

Doublement pénétrée, Ivy ressentit un double plaisir, quelque chose d’explosif et de violent, comme un coup de fouet. Poison Ivy se mit à bouger rapidement, tandis que son plaisir se répercutait sur chacune de ses plantes. Sa petite forêt en frémissait, et Poison Ivy balançait son corps avec joie, poussant des cris et des gémissements, étouffés dans ce trône sombre. Il devrait vite comprendre qu’il lui était inutile de remuer la liane qui s’enfonçait dans le fondement d’Ivy. Cette dernière agissait de manière autonome, et le spectacle se paracheva par la venue d’un autre tentacule, qui choisit, quant à lui, de se glisser dans la bouche de Poison Ivy, étouffant une bonne partie de ses gémissements, alors qu’elle sentait ce tentacule s’enfoncer au fond de sa bouche, la faisant souffrir avec délice.

L’Empoisonneuse tremblait de plaisir, d’un plaisir sauvage et violent. Les spores naturelles qui s’échappaient de son corps s’amplifièrent sensiblement, au fur et à mesure qu’elle succombait au plaisir, qu’elle s’y abandonnait, et elle sentit son tentacule jouir dans sa bouche, crachant une sève qui était relativement comparable au nectar intime d’Ivy, continuant ses vas-et-viens sans s’arrêter, sa sève se mettant à dégouliner depuis son menton, quand elle ne parvenait pas à l’avaler. Des gémissements s’échappèrent des lèvres de la Reine des Plantes, tandis qu’elle fermait de temps en temps les yeux, son corps remuant dans tous les sens.

Le plaisir continuait à monter graduellement, et plusieurs tentacules vinrent en supplément. Il fallait reconnaître que leur génitrice, leur Mère, était particulièrement émoustillée, après avoir vu le potentiel de son arme. Deux autres tentacules jaillirent au niveau de ses seins, et présentaient cette particularité d’avoir, en leur extrémité, une espèce de grosse bouche. Ces bouches rondes se placèrent sur les seins d’Ivy, aspirant les bouts, tandis que leurs « dents », des multitudes de petites langues rosâtres se mirent à lécher sa poitrine. D’autres tentacules gargouillaient sur le plafond, ressemblant à une espèce de nids de serpents, certaines têtes pointant, avant de se renfermer.

Sous un tel traitement, Poison Ivy ne tarda pas à avoir son premier orgasme. Ses plantes et son Vengeur s’occupaient d’elle comme il le fallait, et elle ne tarda pas à récompenser Avenger comme il le méritait. Son orgasme vint, et chaque orgasme d’Ivy était l’occasion de sentir une véritable floraison sensorielle. Sa cyprine parfumée était un véritable régal pour le nez.

Les tentacules ne tardèrent pas à se retirer, et Ivy se retourna. Sa cyprine gisait sur le sol, ainsi que le sperme d’Avenger, et elle le regarda. Il était tentant de le conserver avec elle, mais elle ne devait prendre aucun risque, et devait surtout réfléchir à ce qu’elle devrait faire, maintenant qu’elle avait avec elle une machine de guerre indestructible.

« Tu es un bon fils, Avenger, reconnut Ivy. A tel point que tu m’as épuisé… J’ai besoin de me ressourcer, et tu as besoin de retourner dans ton cocon, afin que tu récupères tes forces. »

Elle se releva un peu, et lui offrit un léger baiser, avant de l’inviter à partir. Elle tenait surtout à réfléchir sur ce qu’elle allait faire de lui, et sur la manière dont son corps évoluait et réagissait face à ce qu’elle lui avait injecté. Elle ne comptait donc pas vraiment encore dormir, mais elle n’avait pas besoin de dire ce qu’elle voulait réellement faire à son fils. Il lui suffisait d’obéir.

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Les terres sauvages / Re : La fleur du mal ( PV Poison Ivy )
« le: mercredi 01 février 2012, 22:34:39 »
Elle ne comptait pas le transformer de manière complète. Malgré ce qu’Iruka voulait, elle n’avait pas besoin de serviteurs à longue durée pour le moment. Elle n’était pas sur Terra pour former une armée, mais pour, non seulement prendre des vacances, mais aussi accomplir des recherches scientifiques. S’autoriser du plaisir de temps en temps n’était qu’une brève pause. La transformation fut donc assez rapide, et ne modifia que superficiellement les gènes d’Iruka. Elle n’altéra pas sa mémoire, mais diffusa quand même en lui l’aphrodisiaque qui permettait à ses esclaves de lui être fidèlement docile, et de ne jamais rien tenter contre elle. Il remua faiblement dans le cocon, jusqu’à en ressortir. Sa peau s’était alors teintée de vert, et il semblait plus en phase avec les plantes qui l’entouraient, commençant à saisir le lien qui unissait chacune des créations de Poison Ivy. Il retourna vers elle, alors qu’une excroissance se formait sous les pieds, un bourgeon qui donnait naissance à une fleur, les faisant sortir de ce bassin d’incubation. Son esclave s’inclina devant elle, et elle sourit.

« Ce que je désire de toi ? Tu resteras dans cet état magnifique pendant un petit moment. Je ne me répéterai pas sur ce que je veux. »

Se taisant, Ivy attendit plusieurs secondes, tandis que des tentacules frottaient ici et là ses jambes et ses bras. Le bassin d‘incubation se mettait à vibrer, les cocons se relâchant, libérant d’autres hommes-plantes La sève d’Ivy continuait à s’échapper de son intimité, coulant le long de ses jambes.

« Mon corps est un corps très spécial. Il n’est pas que beau, il a aussi un besoin constant de sexe pour continuer à produire ses enzymes et ses phéromones qui me sont indispensables. Et puis, de manière plus générale, disons que j’aime bien baiser, tout simplement. La seule chose que tu puisses faire, c’est d’utiliser ton corps sur moi, et de me faire jouir pendant toute ta transformation. »

Elle avança l’un de ses pieds dans son champ de vision. On voyait que la sève d’Ivy coulait suffisamment pour s’approcher de la plante de ses pieds.

« Qu’attends-tu pour me lécher ? » s’impatienta-t-elle.

Tandis qu’il le faisait, la fleur jaillit hors du bassin, les relâchant près d’une espèce de petite mare, et elle repoussa Iruka du pied, l’envoyant rebondir sur l’herbe. Ivy descendit ensuite, toujours aussi nue, tandis que ses autres créations commençaient à arriver également. Elles avaient la forme de corps humains, et l’une de ces créations s’approcha d’elle. Poison Ivy s’approcha d’Iruka, et un sourire éclaira ses lèvres, alors qu’elle se retourna vers l’une de ses créatures. Ils avaient toujours des virilités assez attirantes, et elle poussa sur le sol, avant de s’empaler sur lui. Elle aurait pu le faire sur Iruka, mais elle estimait qu’il avait peut-être envie d’explorer d’autres parties de son corps.

« HAAAAANNNN !!! rugit-elle. Oh, mes bébés, mes beaux bébés ! continua-t-elle. Venez, venez me faire plaisir ! »

Les tentacules d’Ivy jaillirent de ses doigts pour s’enrouler autour des virilités de plusieurs hommes plantes, laissant celle d’Iruka en paix. Son corps remuait sur le membre de l’homme plante, qui poussait des croassements de plaisir, se sentant probablement délicieusement bien sous le corps de Poison Ivy.

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Elle lui faisait de l’effet. Pas surprenant, à vrai dire. Ivy savait qu’elle était naturellement belle, et elle constata que son héros en avait profité pour astiquer son membre. Ivy sourit, son corps nu offert à l’homme, qui avança vers elle. Ivy était très excitée, ayant rarement senti un tel état sans avoir fait l’amour. Tous ces morts, le chaos dehors, les tours humaines qui étaient brûlées, la civilisation humaine qui vibrait sur ses fondations… Comme elle pouvait les haïr, ces arrogantes constructions en métal. Elle donnait aux humains le sentiment d’être forts, de dominer la Nature, mais elles étaient comme des quilles, et il suffisait d’une pichenette, d’un tressautement de la Nature, pour les souffler. En l’occurrence, Avenger avait été le bras vengeur de la Nature.

Avait-elle senti de l’ironie dans la manière dont il l’avait complimenté sur son nom ? Ou était-ce sa paranoïa qui reprenait le dessus ? Entre Sentinel Prime et Green Avenger, elle était de toute façon incapable de dire lequel des deux semblait le plus ridicule, mais son nom avait au moins l’avantage de résumer sa fonction : lui servir de bras vengeur contre la Nature. Il ne tarda pas à l’embrasser, faisant preuve de réflexes qui ne la surprirent qu’à moitié. Il caressa ses seins, et guida l’une de ses mains vers son membre, faisant en ce sens preuve d’un certain doigté, indéniable, qu’un simple homme plante à l’esprit formaté ne pouvait avoir instinctivement. Néanmoins, Ivy sentit le plaisir jaillir en elle, balayant ses angoisses, alors qu’elle le sentait palper l’un de ses seins, jouant avec le téton, tirant dessus.

« Hummm… » soupira-t-elle.

Elle caressa son membre, comme son enfant l’y avait incité, sentant ce sexe dur s’épaissir entre ses mains, le serrant, promenant ses doigts dessus, tandis qu’elle répondait à ses baisers, utilisant autre main pour caresser ses cheveux au niveau de la nuque, les empoignant dans sa paume. L’autre main d’Avenger alla alors se promener sur son intimité, sans vraiment chercher à s’y aventurer, plus à l’exciter, faisant preuve d’une concentration telle qu’elle comprit que, du temps où il était Sentiel Prime, son Vengeur avait du avoir une vie sexuelle assez remplie. Bah ! S’il ne devait rester du Prime originel qu’un goût prononcé pour les justaucorps et son expérience sexuelle, elle saurait largement s’en contenter.

Ses soupirs de plaisir devaient résonner comme de délicieuses offrandes aux oreilles de son Vengeur, alors que chacun des baisers d’Ivy voyait le plaisir de ce dernier continuer à croître. Chaque baiser excitait l’aphrodisiaque qui battait dans ses veines, et elle le laissait faire, le laissait jouer avec son corps, le félicitant par ses caresses, le complimentant en serrant son sexe. Après ces préliminaires, après avoir caressé avec sa doigt le jus naturel qui s’échappait du trou de plaisir de sa Mère, Avenger la poussa délicatement. Elle s’assit, écartant les jambes, sentant des frissons de désir la parcourir, de longs frissons remontant dans les entrailles de son corps.

Loin d’en avoir fini, le héros, utilisant ses mains pour maintenir écartées les jambes de sa Mère, embrassa son corps, abandonnant ses lèvres pour embrasser sa mâchoire, Il glissa ainsi délicatement vers le bassin de sa Mère, faisant frémir cette dernière.

« Han ! gémit-elle. Tu as un talent inné pour ça, mon bébé. Si tu savais comme ta Mère est fière de toi… »

Elle s’était finalement trompée sur lui. Elle n’avait vu en lui qu’un outil de destruction, mais il pouvait aussi être un outil de création, ou, plutôt, de procréation. Les idées déferlaient dans la tête de l’Empoisonneuse, qui bascula lentement son corps en arrière, s’allongeant, afin de lui permettre de plus facilement atteindre ce qu’il convoitait. Il continua à titiller sa Mère. Avait-il aussi conservé ce côté plaisantin de son ancien être ? De ce qu’elle avait pu en juger, Prime était un provocateur insolent, sans doute un masque pour dissimuler sa lâcheté et ses doutes, ce qui était typique des humains, mais sans doute aussi l’expression d’une certaine forme d’humour étrange. Il jouait avec elle, développant l’impatience d’Ivy, mais développant aussi la sienne. Contrairement à la mouille de simples humains, celle d’Ivy présentait aussi l’avantage d’avoir une véritable odeur, un délectable nature qui faisait penser aux plus tendres exhalaisons des fleurs. Des effluves superbes, enivrants pour l’odorat, mais qui influaient aussi, d’une certaine manière, sur la libido et le système hormonal. Ivy ne rendait pad fous hommes et femmes sans raison, et sa beauté ne se résumait pas qu’à son simple corps, et à ses formes langoureuses. Elle avait l’arrogance de croire que nul ne pouvait vraiment lui résister.

« Go-goûte à-à ma sè… A ma sève, mon brave bébé, Mère t’en fait cadeau », dit-elle d’une voix tremblante.

Utilisant ses mains, elle caressait sa tête, ses ongles s’enfonçant entre ses cheveux, amenant parfois assez autoritairement son visage sur ses lèvres vaginales assoiffées, afin qu’il aille s’immiscer dans les profondeurs de son corps. Elle le laissa ainsi jouer pendant plusieurs minutes, le laissa se délecter de son arôme, succombant provisoirement, elle aussi, aux affres du plaisir, à tel point qu’elle décida de lui offrir sa récompense, de manière assez originale. Des tentacules jaillirent du trône, et s’enroulèrent autour des bras du Vengeur, le soulevant. Ivy se redressa à son tour, lui faisant face, à quatre pattes sur son trône, sur cette espèce de grand coussin rougeâtre.

« Il est temps que je m’occupe un peu plus de ce bâton qui doit te faire souffrir… »

Elle contempla son membre, sa virilité, et comprit au moins pourquoi Prime avait été si arrogant. C’était une belle érection, et les tentacules qui l’avaient relevé repartirent. Elle ne désirait nullement l’entraver, et s’approcha de son membre. Elle ne le prit naturellement pas en bouche. N’avait-il pas, après tout, cherché à la faire patienter ? Elle ne ferait que lui rendre la pareille, et elle lécha ce membre, l’embrassant, avant de le caresser avec l’une de ses mains, sans vraiment chercher à le masturber, plutôt à le remuer dans tous les sens, à le tirer, et à le soulever. Elle avait été tellement nerveuse, la première fois qu’elle avait vu un sexe… Comme elle pouvait être naïve, à cette époque. Elle souleva cette virilité, et promena sa langue sur sa surface inférieure, remontant de ses testicules jusqu’à l’extrémité, avant de déposer un baiser dessus, puis de le regarder en souriant.

« Tu es un très bon fils, et je vais, en tant que tel, te laisser décider quelle partie de mon corps devra satisfaire ce gros bâton impatient. Mes belles lèvres, ou ce tendre trou que tu as léché avec adoration ? A moins que tu ne sois du genre à aimer les espaces confinés et étroits ? » fit-elle, offrant une allusion assez explicite à son postérieur.

Une question à laquelle un homme plante aurait été incapable de répondre, mais elle était sûre qu’Avenger, avec son inconscient, avec cette poche de résistance qui continuait à résister, saurait trouver la réponse. Et, même si, en temps normal, c’était un élément de nature à l’inquiéter, en l’occurrence, elle trouvait cela particulièrement jouissif. Le sexe était une arme efficace, mais, en tout cas pour Ivy, une arme à double tranchant.

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Les terres sauvages / Re : La fleur du mal ( PV Poison Ivy )
« le: mardi 31 janvier 2012, 23:08:46 »
Ils flottaient littéralement dans l’eau, baignant ici et là, et Ivy se contentait de s’empaler sur son membre, soupirant et gémissant de plaisir, des tentacules jaillissant des espèces de troncs les entourant pour immobiliser Iruka, afin qu’elle puisse s’empaler en toute quiétude. Elle regardait ses bébés, ses espèces de dryades, qui avaient le défaut de ne survivre qu’une ou deux heures, avant de se décomposer, mais qui semblaient tellement prometteurs. Dans leur corps errait une sève chimique reconstituée à partir de celle qui était dans la forêt Alraunya. Poison Ivy n’était pas repartie sans rien, mais avec, dans le corps, le jus intime de Weldenela, quelque chose de suffisant pour permettre à son corps si spécial d’analyser les compositions de cette sève, et de la reproduire. Dit comme ça, ça semblait simple, mais c’était en réalité quelque chose de complexe, et reproduire la sève qui permettait à Alraunya de vivre frôlait l’impossible. Depuis des semaines, Ivy ne cessait d’échouer. Certes, elle parvenait brièvement à animer des végétaux, mais ça ne durait jamais éternellement.

Elle cessa d’y penser quand Iruka lui demanda des détails sur la transformation. L’esclave était curieux ? En temps normal, elle ne donnait pas autant d’informations, mais l’homme avait deux arguments jouant en sa faveur. D’une part, il était volontaire, ce qui était suffisamment rare pour qu’Ivy s’y intéresse, et, d’autre part, il avait une endurance physique assez solide, surhumaine, même. Il n’était pas un humain, mais ce n’était pas si surprenant. Elle était dans le monde des possibles, Terra, celui où on pouvait voir une forêt indestructible se déplacer sur des milliers de kilomètres. A partir du moment où on voyait ça, tout semblait possible, non ?

Ivy se permit un petit sourire, et promena ses doigts sur les lèvres d’Iruka.

« Qu…Quelle curiosité, mon-mon cher… »

Elle se tut, le temps d’un cri, et de jouir à nouveau, sa mouille, pour celle qui en ressortait, se dispersant dans ce bassin. Elle sentit les mains de l’homme caresser son opulente poitrine, et consentit à lui répondre.

« Définitif ? Non, malheureusement, répondit-elle, sa libido un peu plus apaisée pour lui permettre de répondre aux questions qu’Iruka devait fondamentalement se poser. Peu importe mes efforts, au bout d’un moment, les cellules humaines finissent toujours par reprendre le contrôle, même si je… Han… Travaille pour lutter contre ça. Du… Du reste, tu seras dans un incubateur, mon beau, et… Ce dernier se chargera de te transformer. J’ignore dans quelle mesure tu seras transformée, vu que tu… Hummmmm… N’es pas vraiment un humain. »

Elle lui sourit. Avec Sentinel Prime, le résultat avait été assez inattendu, mais non moins intéressant. Et puis, en le mettant dans l’un de ses incubateurs, elle pourrait en savoir plus sur lui, sur ce qu’il était. Elle tira sur les cheveux d’Iruka, afin qu’il voit l’un des troncs.

« Tu… Tu es dans un bassin d’in… D’incubation, hum… Continue à me faire jouir, et j’irais ensuite te mettre contre l’un des troncs. Ensuite, ton corps sera modifié, et je serais ta Déesse. »

Elle continua à se glisser sur lui, et, après un autre orgasme, se détacha de lui, l’amenant vers l’un des incubateurs, dont les tentacules se dressèrent. Sur le tronc, on voyait des espèces de petits bouts roses, qui se planteraient dans le corps d’Iruka, les tentacules servant de sangles. La séquence n’était pas douloureuse, loin de là, mais il fallait surtout veiller à bien plaquer le corps, pour que la transformation ne s’arrête pas en plein milieu du processus.

« Accroche-toi. Ne me fais pas attendre. »

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Quand Prime s'envola, elle le regarda partir, songeuse. Il avait regardé sa poitrine, y trouvant un vif intérêt. De la part d’un humain, ce n’était pas surprenant, mais, de la part d’un homme plante ? Elle ne se souvenait pas qu’un homme plante ait inconsciemment regardé sa poitrine, sans qu’elle ne l’y invite. Les seins étaient une chose qui faisaient fantasmer les humains, parce qu’ils vivaient dans une société où la poitrine était quelque chose de dissimulée au regard. Mais une plante ? Prime… Elle comprit qu’il restait effectivement en lui des résidus inconscients, et se demanda comment agir, pendant que ce dernier traversait la serre pour aller à l’air libre.

*Ce ne sont que des pulsions sexuelles, dans le fond…Peut-être que je suis un peu trop nerveuse, mais qui ne le serait pas, après tout, quand on a un super-héros comme servant ? Quel nom dois-je lui donner, d’ailleurs ?*

Une partie de son esprit se mit à y réfléchir, pendant que celui qui fut Prime jaillit dans le ciel, et attaqua avec une rage indescriptible la ville, dépassant, et de loin, les espérances d’Ivy. Il commença par bouler des boules qui pulvérisèrent les hélicoptères, ainsi que les véhicules. Ivy se régalait des hurlements, alors qu’elle s’asseyait sur une sorte de trône, entendant les cris terrorisés des gens, alors que les pouvoirs de son homme les châtiaient. Les gens hurlaient, souffrant, et il balaya alors toute une partie de la ville, la soufflant dans l’explosion. En fermant les yeux, Ivy vit les cadavres de tours, les flammes brûlant dans le ciel, les hurlements des sirènes, les alarmes, alors que la foule paniquée s’écartait. Elle se mordilla les lèvres, et, quand l’homme revient, elle lui avait trouvé son nouveau nom, alors que, depuis son intimité, sa sève naturelle coulait, signe de son plaisir.

Il revint, et se colla contre elle, et elle sentit son érection. Elle se redressa lentement, se levant de son trône, plaquant son front contre celui de l’homme, plaçant sa main sur sa tenue, caressant son torse.

« Ils ne t'importuneront plus, Mère, dit-il d’une voix éteinte et sourde.
 -  Mes félicitations, dit-elle d’une voix chaleureuse sourde.
 -  Est ce que tu m'aime pour ça, Mère ? Que dois-je faire pour que tu m'aime encore plus, Mère ? » demanda-t-il.

Elle sourit, et glissa une main pour caresser sa joue, avant de l’embrasser à nouveau. Un tendre baiser, alors que ses seins frottaient contre son torse. Oui, elle était convaincue qu’au fond de lui-même, il restait un peu de Prime, et elle devrait veiller à ce que ce peu disparaisse. Cette puissance de destruction était telle qu’elle ne saurait la négliger. Elle l’embrassa donc avec tendresse, et tendit une main pour attraper un peu de sa sève naturelle, sa mouille, et la porta aux lèvres de l’homme.

« Goûte, sens à quel point tu me rends heureuse, toi qui venge la Nature. Je crois avoir trouvé comment t’appeler, mon héros. Tu seras mon Vengeur vert. ‘‘Green Avenger’’. Qu’en dis-tu ? Est-ce que ton nom sonne bien à tes oreilles ? »

Elle avait choisi de le nommer, contrairement à ce qu’elle faisait habituellement avec ses hommes plantes, mais Avenger n’était pas un esclave comme un autre, après tout. Elle l’embrassa à nouveau, et glissa sa main vers son membre tendu, le caressant délicatement, le remuant entre ses doigts, continuant à embrasser son visage.

« Tu as très bien agi. Ta Mère est heureuse de toi, et va te récompenser comme il se doit… »

Elle insista un peu, et le costume d’Avenger se détacha un peu à hauteur de son membre. Il était également composé de végétaux, après tout, et Ivy libéra ainsi l’accès à son sexe. Elle le caressa, éprouvant cette virilité, et continua à le caresser, la sentant durcir entre ses doigts. Elle-même était très excitée, et les végétaux recouvrant sa peau s’affaiblirent assez rapidement, laissant une peau verdâtre, nue, parcourue ici et là de quelques lianes. Elle s’écarta un peu de lui, se retournant, lui laissant admirer la vue de son postérieur, puis alla s’asseoir sur son trône, une sorte de langue sèche, douce et rougeâtre. On voyait au-dessus le sommet du trône, l’ensemble formant une espèce de gueule verdâtre acérée. Elle s’allongea sur le trône, et passa une main sur son sein, le pressant en lui adressant un sourire aguicheur.

« Mes seins… J’ai vu ton regard, je sais qu’ils te plaisent. Viens donc, mon Vengeur, je veux sentir tes mains se poser sur eux. Il est temps pour toi de réaliser que, si ta Mère est dure et intransigeante avec ses bébés, elle daigne aussi les récompenser à la hauteur de leur mérite. Dans toute sa cruauté, la Nature est avant tout juste et équitable. »

Avenger avait fait un tel boucan dehors qu’il s’écoulerait bien un certain temps avant que d’autres ne viennent, et, même s’il avait été performant, Ivy ne comptait pas le renvoyer. Il avait fait des choses que Prime n’aurait jamais assez faire, et elle savait que l’esprit humain, s’il était malléable et faible, était parfois doté de subtilités étonnantes. Mais ils avaient largement le temps de s’amuser avant que la ville ne vienne à utiliser des méthodes plus draconiennes pour venir à bout de ce qui se passait là.

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Les terres sauvages / Re : La fleur du mal ( PV Poison Ivy )
« le: mardi 31 janvier 2012, 17:24:49 »
C’était une belle et très agréable danse, à n’en pas douter. Ivy était ballottée par le poids de ses tentacules et par le corps du vampire, ondulant avec lui. C’était terriblement agréable, et elle ne tarda pas à avoir, au bout de plusieurs minutes, son premier orgasme. Elle serrait Iruka contre son corps, dans cette étroite plante, et frémit de plaisir, poussant des cris brefs et furieux, sentant le désir affluer et exploser.

Iruka avait l’air relativement heureux aussi, ce qui, à vrai dire, n’était pas surprenant. Pourquoi ne l’aurait-il pas été ? Il gémissait de plaisir, et, entre ses cris, émit à nouveau le souhait de devenir un homme plante, d’offrir pour l’éternité son corps à la Nature. Indiscutablement, il parlait avec l’intonation du désir sexuel, cette force qui amenait les êtres à dire bien des choses, à délier les langues très facilement. Elle lui sourit, griffant sa peau, et l’embrassa à nouveau.

« Tes désirs seront exaucés », répliqua-t-elle simplement.

Il était son jouet, balayé par les plantes qui s’amusaient avec lui, et elle ne tarda pas à le sentir jouir en elle, les minutes défilant rapidement. Difficile, à vrai dire, dans cette plante, d’avoir la notion du temps. Ils avaient beau hurler, à l’extérieur, on ne les entendait pas, et la plante remuait très faiblement. A l’intérieur, c’était un véritable feu ardent qui dura un certain temps. Au bout d’un moment, Ivy décida néanmoins de changer d’endroit, d’opter pour un espace un peu plus libre. Elle alla se serrer contre Iruka, son esclave, et la plante se chargea de les envoyer, en les faisant passer à travers des espèces de canaux souterrains étroits, dans une espèce de grand bassin souterrain. Ivy et Iruka atterrirent dans un endroit assez orangé, comprenant beaucoup de la sève qu’Ivy utilisait, que ses plantes secrétaient.

En réalité, depuis sa rencontre avec Weldenela, elle se livrait à de petites expériences, et, dans ce grand bassin d‘incubation, on pouvait voir des espèces de troncs dans les coins, où des corps en forme d’hommes et de femmes prenaient vaguement forme. On était bien loin du résultat obtenu par Alraunya sur Weldenela, mais c’était un début relativement prometteur. Des tentacules continuaient à flotter dans les coins, mais Ivy ne s’en préoccupa, et retourna embrasser Iruka, avant de l’amener à s’allonger, et de s’empaler sur lui, flottant dans ce grand bassin.

« Bienvenue dans mon antre, Iruka, l’endroit où je vais faire de toi l’homme pur et propre de la forêt ! » claironna Ivy, avant de pousser un hurlement de plaisir, qui se noya dans le liquide qui flottait autour d’elle.

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Les terres sauvages / Re : La fleur du mal ( PV Poison Ivy )
« le: lundi 30 janvier 2012, 23:27:55 »
C’était une sensation très violente, très ardente. Il ne valait mieux pas être claustrophobe pour apprécier moment. Les parois de la plante leur laissaient peu d’espace, les étouffant délicieusement dans son liquide et dans leurs soupirs, et, comme si ça ne suffisait pas, des tentacules émergèrent pour les immobiliser encore plus, les faisant autoritairement remuer. Poison Ivy sentit le membre d’Iruka s’enfoncer en elle, et en poussant un cri de plaisir, se rappelant à quel point cette sensation lui manquait. Les tentacules se retirèrent autour du fessier et des jambes d’Ivy, qui sentit ces derniers se perdre dans une série de lianes, la collant contre Iruka. Les tentacules se chargeaient de les immobiliser, et tout ce qu’ils avaient à faire, c’était de profiter du plaisir. N’était-ce pas formidable ?

Elle le sentait s’enfoncer elle, et lui griffait le dos, le sentant s’approcher de ses tétons. Elle le laissa venir, l’attrapant par les cheveux, relevant un peu sa poitrine, afin de le sentir caresser et embrasser ses seins verts. Sa peau était alors devenue verdâtre, alors qu’il s’enfonçait en elle, et son membre devrait avoir la surprise de sentir, dans l’intimité d’Ivy, une espèce de sève naturelle qui n’avait rien à envier à la mouille de la femme. Sa propre cyprine ne tarda pas à émerger, tandis que les tentacules amplifiaient leurs gestes, et qu’un alla se glisser dans le derrière d’Ivy, lui faisant pousser un véritable rugissement. Iruka jouait avec les fesses d’Ivy, les écartant suffisamment pour qu’un tentacule s’enfonce dans son fondement, la faisant hurler de plaisir.

Le membre d’Iruka, de son esclave, continuait à glisser en elle, et elle remonta le visage ce dernier, afin de l’embrasser, avant de descendre une main vers ses fesses, les tentacules s’écartant probablement. Elle amena son autre main, les empoignant, les remuant, les écartant. Pour un homme aussi, le derrière était synonyme de plaisir, et l’homme, après tout, avait tenu à préciser à plusieurs reprises qu’il était à elle. Elle le regarda en souriant, et un tentacule ne tarda pas également à se glisser dans le postérieur de l’homme. Elle relâcha alors ses fesses, des tentacules plus petits se chargeant de les écarter suffisamment pour que le tentacule un peu plus gros remue dedans. Elle caressa la joue d’Iruka.

« Allez, allez, esclave, fais-moi-l’a-mour ! » martela-t-elle.

L’homme continua à remuer en elle, et elle poussa un autre hurlement, leurs corps remuant en harmonie, dans une danse chaude, étroite, et ô combien sensuelle. Les mains d’Ivy griffaient maintenant le corps de l’homme, ses seins s’enfonçant contre son corps. Un bonheur immense se faisait sentir dans son corps, une joie intense et explosive. Elle dansait en rythme avec lui.

« Haaaaaannnnnn !! » finit-elle par s’exclamer.

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Tandis que la plante faisait son office sur Prime, Ivy méditait silencieusement. Elle devait se ressourcer. Contrôler une telle forêt n’était pas aussi facile que ce qu’elle avait cru. Elle acquit la conviction, alors qu’elle reposait, qu’elle devrait retourner sur Terra, y séjourner un peu plus longtemps, afin de s’imprégner de ce qui se passait là-bas. Il y a des années, elle aurait sans problème, ou presque, pu survivre à la destruction d’une partie de ses plantes, tant que la majorité restait indemne, mais, quand Prime avait attaqué ses plantes, Poison Ivy avait senti son énergie se vider, littéralement. Une migraine phénoménale, une douleur lancinante dans la poitrine. Elle ferma les yeux, reprenant son souffle, sa peau se recouvrant d’une couleur verte prononcée, tandis que dehors, la police prévoyait une nouvelle attaque. Deux fourgons blindés avaient largué des groupes d’intervention, des commandos d’élite, et plusieurs hélicoptères tournaient dans le ciel, envisageant probablement d’entrer par le toit. Ivy les laissa se préparer. Rien de tout cela n’importait. La seule chose importante était Prime, qui barbouillait dans la plante. Ce n’était effectivement pas une création qu’on trouvait dans la Nature, mais Ivy ne voulait pas non plus laisser la Nature telle qu’elle était. Ses motivations étaient ambiguës, mais, ce qu’elle espérait, c’était aider cette dernière à améliorer ses défenses naturelles, et à montrer aux hommes qu’ils n’étaient pas les maîtres de la Terre, mais ses créations, et se devaient, en ce sens, de la respecter. Ses plantes spéciales, comme les incubateurs où barbouillait Prime, n’avaient pas d’autres fonctions. Même pour les hommes qui étaient libérés de cette emprise, dont les corps redevenaient normaux au bout d’un certain temps, il arrivait parfois que ceux-ci changent radicalement de point de vue, et, sans devenir de fervents écologistes, se penchent un peu plus sur les problèmes environnementaux. Ivy, après tout, ne désirait pas non plus que les humains virent dans un écologisme primaire et stupide, et ne mangent que de la soupe. Elle connaissait la Nature, savait que cette dernière était cruelle et violente, chaotique et anarchique, mais n’acceptait pas l’entreprise de démolition à grande échelle que l’humanité menait par ignorance. C’était sans doute ça qui l’énervait le plus : l’ignorance. Le plus terrible des péchés, selon Baudelaire. Force était d’admettre qu’il n’avait pas tort. Il n’y avait rien de pire que ce génocide que l’humanité faisait sciemment et à petit feu.

Ivy divaguait silencieusement, jusqu’à ce que la transformation s’échappe. Elle rouvrit alors les yeux, alors que la police se préparait à attaquer, à comprendre ce qui se passait. Se sentant un peu mieux, mais ayant tout de même besoin de Prime pour repousser cet assaut, estimant ne pas le pouvoir faire tout seul, Poison Ivy retourna dans la salle avec ses incubateurs végétaux, et elle fit celui dans lequel se trouvait Prime se mettre à luire. Des éclairs en jaillirent, et furent absorbés par ses plantes, redonnant à Ivy sa vitalité. Une réaction anormale, mais Prime était, après tout, quelqu’un d’anormal.

L’homme finit par sortir, recouvert de tentacules et de la sève de son incubateur, qui l’avait lâché en s’ouvrant en deux, lui permettant de sortir. Se mordillant les lèvres, Ivy vit l’homme se dresser. Son corps se recouvrit d’une espèce de tenue noirâtre et verdâtre, qui la fit sourire. Même dans cet état, Prime restait fidèle à lui-même. Son regard se posa sur le sien, et elle y lut une absence totale de contestation. Son esprit semblait vide et atténué, comme l’était généralement celui de ses hommes plantes. Elle ne l’avait normalement pas prévu de ses facultés mentales, c’est juste qu’il était désormais un automate insensible, ou presque. Elle s’approcha de lui, et promena ses mains sur son torse. C’était une texture un peu spéciale, qui lui rappelait ses propres vêtements. Elle le caressa.

« Et bien… Te voici dans ta nouvelle peau, à présent, fidèle à toi-même. J’ignore encore comment t’appeler, mais une chose est sûre : tu es mon super-héros. »

Elle se colla contre lui, et l’embrassa. Si les phéromones avaient bien agi, Prime, à défaut de l’appeler autrement pour le moment, ne pourrait répondre qu’à Ivy, et, de la palette de sentiments qu’il était susceptible d’éprouver, le désir sexuel en faisait partie. Au fond de lui-même, l’homme restait un animal. Le meilleur moyen de le contrôler, c’était le sexe. Personne ne pouvait vraiment y résister, et c’était encore plus vrai pour ses hommes. Prime devait probablement la voir comme une espèce de Déesse, mais elle n’oubliait pas qu’il était quelqu’un de spécial, d’exceptionnel, et elle devait donc se méfier. Qu’il soit dans cette tenue suggérait que, quelque part, dans les tréfonds de son esprit, son inconscient continuait à s’agir. Curieux, tout de même… Elle en vint à se demander si l’homme qui se cachait derrière Sentinel Prime avait jamais eu une quelconque importance, si, dans le fond, la vie de cet homme n’était pas qu’une existence fantomatique se résumant au personnage héroïque qu’il incarnait. Dans le fond, elle lui avait rendu service, en supprimant son ancienne personnalité. Désormais, il ne serait plus qu’un héros, un héros au service d’Ivy pour le bien de la Terre. Elle continua son baiser en se collant contre lui, contre son corps musclé, puis se retira de ses lèvres.

« Il est temps pour toi, mon champion, de me prouver ton amour. Des humains ingrats essaient de rentrer ici. Sors, et montre-leur qu’on ne m’attaque pas impunément. »

Ivy se rappela néanmoins de plusieurs choses, et tint à préciser quelque chose.

« Il ne t’est pas nécessaire de les tuer ; fais-le si tu en as envie, mais je veux qu’ils sortent, qu’ils aient peur, et qu’ils hurlent. Quand ils s’éloigneront d’ici, tu reviendras me voir. »

Normalement, Prime pouvait toujours parler, même si ses hommes-plantes parlaient souvent peu.

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Les terres sauvages / Re : La fleur du mal ( PV Poison Ivy )
« le: lundi 30 janvier 2012, 13:17:00 »
Dans cet espace étroit et confiné, leurs corps étaient délicieusement enlacés, serrés l’un contre l’autre, et Iruka ne tarda pas à parler. Même dans ce liquide ambiant, le son pouvait passer, et il lui avoua n’être pas vraiment un humain, ce qui expliquait sans doute pourquoi son aphrodisiaque fonctionnait aussi bien… A moins que faire l’amour avec une femme-plante ne soit pour lui une sorte de fantasme, amplifié par l’aphrodisiaque. Il lui dit de ne pas hésiter à y aller, de l’épuiser autant que possible, et elle sourit, ses seins s’enfonçant contre le torse d’Iruka. C’était une précision inutile, mais qui avait au moins le mérite de lui donner une bonne idée de son état d’excitation. Il en alla même jusqu’à lui demander d’en faire un homme plante. Pourquoi pas, après tout ? Généralement, elle ne demandait pas l’avis de ses sujets avant de les transformer, mais, puisqu’on le lui demandait… Elle répondit à son baiser, continuant à pétrir ses fesses, avant de lui répondre.

« C’est ce que j’avais l’intention de faire, jeune homme… »

Le plaisir. Ivy pouvait le ressentir à nouveau, le sentir battre dans ses veines, et elle sentait les mains d’Iruka se promener à nouveau sur son derrière. Il voulait la pénétrer, se faufiler en elle, elle pouvait le sentir, mais il préféra retourner s’occuper des pieds de la femme, montrant à quel point il lui était soumis. Un sourire de plaisir se dessina sur les lèvres vertes de Poison Ivy, qui le laissa s’occuper de ses pieds, sentant l’impatience monter. Elle le laissa jouer pendant un certain temps, avant d’ordonner.

« Relève-toi »,  dit-elle simplement.

Quand ce fut fait, elle lui caressa une joue en souriant, et un tentacule apparut. A son extrémité, il s’ouvrit, révélant une ouverture assez faible, mais suffisamment grande pour absorber la verge de l’homme. Le tentacule s’empara de la verge, jusqu’à atteindre les testicules, et se mit à tirer dessus, le frottant massivement, le tentacule remuant rapidement. Sous ce traitement, le jeune homme ne tarda pas à jouir, et son sperme traversa le tentacule pour jaillir depuis les parois de la plante, se mélangeant dans le liquide ambiant. Le tentacule continua à pomper pendant plusieurs minutes sur le membre de l’homme, et Ivy comprit effectivement qu’il n’était pas un humain, vu que son sexe, son érection, ne semblaient nullement faiblir, malgré la pression.

Il jouit à plusieurs reprises, et son sperme se mélangea, se dilua dans cet espace clos, jusqu’à ce que le tentacule se replie. Poison Ivy glissa alors sa propre main pour caresser le pénis d’Iruka, le serrant entre ses doigts, le branlant tendrement. Elle le regarda alors, et retira sa main, tandis que d’autres tentacules vinrent s’enrouler autour d’eux, les serrant l’un contre l’autre.

« Allez, soupira-t-elle, je veux sentir cette infatigable queue en moi. Baisez-moi ! » glapit-elle.

Sous le désir, elle devenait un peu plus autoritaire, un peu plus dirigiste dans sa façon de procéder. Ses tentacules écartèrent ses jambes, et aidèrent Iruka à s’avancer de quelques centimètres, afin de la pénétrer, tandis que des tentacules entouraient leurs bassins.

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