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Messages - Poison Ivy

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Après les cours (PV Poison Ivy)
« le: mercredi 15 février 2012, 14:13:23 »
Un cours avec Ivy, c’était quelque chose de dur, de difficile, d’insurmontable. Ceci ne tenait pas seulement à la nature difficile de ce cours, et à l’intransigeance particulière qu’Ivy manifestait envers ses élèves, mais aussi (et surtout) parce que la prof’ était une beauté terrifiante. Au sens physique du terme, il était difficile de ne pas s’attarder sur ses belles jambes fuselées, sur son visage parfait, sans faille, et, au sens chimique, les spores naturelles que son corps dégageait influait sur les hormones de bien des élèves. Le cours d’Ivy était probablement le cours où les étudiants avaient le plus besoin d’aller se soulager, dans tous les sens du terme, aux toilettes. Et, contrairement à ce qu’on pouvait en dire, les femmes n’étaient pas en reste, ne se privant pas de devoir filer aux toilettes. En ce Samedi matin, Ivy avait rendu des copies guère attendues par les élèves sur un contrôle sur table particulièrement difficile sur la chlorophylle. Passionnée, Ivy était aussi d’une sévérité extrême, et avait fait son cours sans problème, souriant en voyant les mâles devenir rubiconds, les femmes se tortiller, remuant légèrement sur leurs chaises, se débrouillant pour frotter leurs intimités contre la chaise, gémissant silencieusement. Même dans sa blouse, Ivy était torride, et elle le savait, naturellement. Elle s’était plusieurs fois amusée à utiliser ses tentacules sur toute une classe.

Avec Ivy, on notait beaucoup. Elle avait autorisé l’emploi de l’ordinateur portable, mais était particulièrement vigilante. Quand elle avait vu que quelqu’un semblait plus occupé à traîner sur MySpace ou Facebook, elle avait décrété un interrogatoire surprise général, en insistant bien pour expliquer que c’était une punition collective à cause d’un seul agent. C’était la meilleure méthode pour que ses élèves restent concentrés et sages. Sentant la fin du cours approcher, sentant les poignets des élèves trembler, les suppliques silencieuses des regards, et comme on était après tout le Samedi matin, Ivy décida d’arrêter la prise de notes.

« Sortez vos agendas, jeunes gens. Comme les vacances approchent, vous me ferez le plaisir, pour le Samedi suivant la reprise des cours, de lire les pages 510 à 540 de votre manuel, et, à partir des différents documents, schémas, images, réaliser une note de synthèse sur la question. »

En observant une main se lever, Ivy laissa la jeune femme parler, qui se leva, conformément à ce qu’Ivy avait mis en place.

« Senseï, une note de synthèse, ce n’est normalement vu qu’à l’a fac’, non ?
 -  Les étudiants de fac’ sont aussi imbéciles que ceux du lycée, Mme Tomishori. Veuillez donc vous rasseoir, et noter les exercices. Cette note de synthèse aura une part importante dans votre moyenne. Si vous ne savez pas en faire une, je vous invite, soit à aller voir des bouquins dans la bibliothèque, soit à utiliser vos machines pour en trouver des explications. Voilà pour vos vacances. Comme vous avez encore une semaine de cours, vous lirez pour Lundi les pages 430 et 431 de votre manuel, et vous ferez les questions correspondantes. »

Il y eut des regards de reproches, mais aucune protestation. La dernière fois que les élèves avaient protesté, Ivy avait transformé une dissertation maison en dissertation sur table. Car, oui, avec Ivy, on faisait de tout. Aussi bien des exercices de restitution de connaissance que de dissertations. Les élèves détestaient profondément Ivy, mais ne pouvaient s’empêcher d’adorer ses cours. Comment résister aux spores de la femme ? Sans ces derniers, il est sûr que les élèves auraient depuis longtemps décidé de boycotter ses cours, des cours si élevés que les manuels d’Ivy étaient des manuels de facultés.

Conformément à ses souhaits, Mlle Kawashima resta assise, les élèves sortant rapidement. Une curiosité, que cette Satsumy. Elle était belle, une beauté, mais restait relativement seule et isolée, et était la meilleure élève de la classe. Elle avait obtenu une note défiant toute concurrence lors du précédent contrôle, un joli 15/20. Ivy avait donc demandé à s’entretenir avec elle. Les élèves partant, Ivy resta assise, jambes croisées, tandis que Satsumy s’approchait, parlant d’une voix calme et délicate.

« Oui, acquiesça-t-elle. Je t’en prie, assieds-toi, Satsumy. »

Cette dernière obtempéra sagement, prenant une chaise, et Ivy se pencha un peu, sortant un relevé de notes de la classe.

« En corrigeant les copies de ta classe hier soir, Satsumy, j’ai réalisé que tu avais des notes bien au-dessus des autres. Relativement inférieures par rapport à tes autres moyennes, mais, contrairement à mes collègues, je ne fais pas dans la facilité. Là où la classe a obtenu une moyenne de 7.5/20 à une dissertation sur la reproduction animale, tu as obtenu un 13/20. Et ta note actuelle est une très bonne chose. Je tenais à te féliciter, Satsumy, avoua Ivy en la regardant. Tu es une élève talentueuse… »

Dans une certaine mesure, Satsumy lui faisait penser à elle. Belle, intelligente, mais aussi renfermée, repliée sur elle-même.

« Est-ce que tu as déjà réfléchi à ton avenir, Satsumy ? De ce que je peux voir de ton dossier, les matières scientifiques semblent te plaire plus que les matières littéraires. Sache que ce n’est pas une conversation destinée à te noter ; n’hésite pas à te détendre, et à voir en moi autre chose qu’une senseï. Disons plutôt que tu m’intéresses… » fit-elle en souriant.

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Les terres sauvages / Re : La fleur du mal ( PV Poison Ivy )
« le: samedi 11 février 2012, 22:54:43 »
S’appuyant sur son fessier, Iruka s’enfonça rapidement en elle. L’intimité d’Ivy était déjà bien trempée, et elle se mit à hurler son plaisir, sentant l’infatigable membre du vampire se déverser en elle. Son corps brûlait d’une forte chaleur, et elle se laissa faire, le laissant la prendre. Elle jouit à plusieurs reprises, le sentant utiliser toute son expérience pour lui offrir le plus grand plaisir qui soit. Elle se laissa faire, laissant son fils la prendre comme il le voulait. Il plaqua sur le sol, se glissant par derrière, continuant à la prendre, la faisant hurler et gémir. Ils s’assirent ensuite l’un sur l’autre, et continuèrent ainsi. Pendant ce temps, le bûcheron continuait à se faire labourer le dos, poussant des cris et des soupirs. Les fouets s’abattaient en fonction du plaisir qu’Ivy ressentait, sa forêt étant inextricablement liée à elle, et à ce qu’elle ressentait. Iruka tint particulièrement bien, jusqu’à finir par avoir son orgasme. Il éjacula en elle, soupirant, et la complimenta à nouveau. Elle sourit, l’embrassant tendrement sur les lèvres, se collant contre lui, promenant son doigt sur les lèvres du vampire.

« Je ne suis pas ta mère pour rien… »

Iruka se détacha de Poison Ivy, qui s’allongea sur la fleur, regardant le bûcheron. Les fouets s’arrêtèrent, et Iruka lui demanda s’il n’était pas temps d’en finir avec lui. Elle le regarda silencieusement, et les tentacules amenèrent l’homme devant ses pieds. Son dos saignait, et il resta à quatre pattes, souffrant. Levant une jambe, Ivy caressa avec son pied la tête de l’homme.

« Veux-tu toujours vivre ? demanda-t-elle simplement.
 -  O-Oui… confirma ce dernier.
 -  Alors, viens me prendre… Allez, allez ! »

Silencieusement, le bûcheron se redressa, et s’avança le long des jambes de Poison Ivy, jusqu’à atteindre sa bouche. Son membre était tendu, dur et impuissant. Visiblement, les coups de fouet avaient été loin de réfréner ses ardeurs, et, quant à Ivy, elle était toujours aussi assoiffée. L’homme alla se faufiler en elle, enfonçant son membre dans son intimité, et Poison Ivy poussa un hurlement de plaisir. Elle enroula ses jambes autour de son bassin, et l’homme commença à remuer son sexe en elle, la pénétrant.

« Oh oui, hum… Continue, petit humain, et tu auras ta récompense… »

L’homme remua en elle de plus en plus rapidement, pleurant et gémissant à la fois, tant son dos le faisait souffrir. Les fouets s’étaient abattus avec rage quand Ivy jouissait, et il ne savait plus vraiment s’il voulait vivre ou mourir. Tout semblait tellement surréaliste, alors il se contenta de remuer rapidement et frénétiquement son sexe en elle, tandis qu’elle le serrait contre lui. L’homme grogna en elle, s’enfonçant, soupirant,  La douleur le faisait remuer, et il finit par se laisser aller, s’effondrant sur elle. Plusieurs longues secondes s’écoulèrent entre leurs corps enchevêtrés, jusqu’à ce qu’Ivy ne le repousse par le biais des tentacules.

« Il est temps de te récompenser comme il se doit… Et de récompenser mon cher fils, si désireux de faire plaisir à sa mère », ajouta-elle en regardant Iruka.

Ivy remarqua alors que le vampire s’était finalement déconnecté du lien psychique l’unissant aux arbres. Sans doute avait-il eu sa dose, ce que Poison Ivy pouvait comprendre. La nature était insatiable, et elle vit le bûcheron disparaître sous les racines d’un arbre, anesthésié. Poison Ivy se releva alors, soupirant, et regarda son fils, avant de s’approcher de lui, caressant avec ses doigts son menton.

« Je vais essayer d’enfanter… C’est une expérience difficile, Iruka, alors je vais devoir m’isoler… En attendant, ma forêt s’occupera de toi comme il convient… »

Des tentacules soulevèrent Ivy, tandis que d’autres allèrent s’occuper d’Iruka, dont un qui retourna s’enrouler sur son membre. Ivy se colla contre un arbre, celui où se trouvait le bûcheron, et se mit à travailler activement, se mélangeant aussi profondément que possible à l’arbre, ce dernier enfonçant un tentacule dans son intimité, dans sa bouche, se faufilant dans son corps pour prélever la sève d’Ivy, tout en modifiant le corps du bûcheron. Pour lui, la douleur devait être inimaginable, mais, dans l’arbre, ses cris ne pouvaient pas s’entendre, et l’arbre s’enfonçait douloureusement dans son corps, plantant des racines sans spécialement viser ses parties génitales, veillant toutefois à ne pas le tuer, le transformant intégralement. Ivy utilisa ses maigres connaissances récupérées sur Terra, en compagnie de Weldenela, auprès de la forêt vivante, pour regrouper ses forces, et modifier en profondeur la structure génétique de l’homme. Elle savait que ce serait temporaire, mais pas dans la mesure où l’homme allait retrouver sa vraie forme, mais dans le sens où le corps pourrirait, vu les modifications génétiques que Poison Ivy faisait. Elle l’écorchait, remodelant tout son corps, son poids, sa taille, ses formes, la pigmentation de son épiderme, ses cheveux, et même son sexe. Une intense chirurgie esthétique naturelle, où même le liquide anesthésiant dans lequel l’homme baignait ne fut pas suffisant pour réfréner sa douleur.

Une bonne heure dut au moins s’écouler, quand l’arbre relâcha Ivy. Cette dernière s’écrasa mollement sur le sol, subitement épuisée, la sueur coulant de tout son corps.

« C’était… C’était épuisant… Mais elle est prête. »

S’appuyant sur l’arbre, Poison Ivy tenta de se relever, tandis qu’une forme gracieuse sortait entre les buissons. C’était jadis un petit bûcheron sans intérêt. C’était une belle dryade, qui s’approchait de sa génitrice. Ivy regarda alors Iruka en lui souriant.

« Je suppose qu’on peut la considérer comme ta sœur », glissa-t-elle.

ivy s’approcha d’elle, et lui caressa le visage. Les yeux de la dryade la fixèrent, et elle caressa les belles lèvres verdâtres de la femme verte.

« Me reconnais-tu ? demanda Ivy.
 -  Vous… Vous êtes ma mère… parvint à faiblement articuler cette dernière.
 -  Le résultat est excellent… »

Poison Ivy l’embrassa tendrement, et la poussa vers Iruka, avant de s’appuyer contre l’arbre. Ce que ça avait été usant ! Elle soupira légèrement, reprenant ses forces, avant de regarder à nouveau le jeune vampire.

« Je suppose que tu dois la trouver bien plus intéressante sous cette forme, non ? »

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Les terres sauvages / Re : La fleur du mal ( PV Poison Ivy )
« le: mercredi 08 février 2012, 22:18:55 »
Le bûcheron avait l’air heureux sous elle, la prenant avec un plaisir certain. Sous ce spectacle, Iruka, son enfant, ne put plus rester calme, et alla les rejoindre. Il était encore relié à l’arbre par quelques tentacules discrets plantés à hauteur de sa colonne vertébrale. Sans ces derniers, le lien psychique avec l’arbre, et se briserait si rapidement et si brutalement que ce pouvait en être dangereux pour la santé d’Iruka. Il s’approcha du beau petit cul de sa mère, et alla le lécher avec sa langue. Elle en frémit, caressant le torse du bûcheron, poussant de longs soupirs.

« Hum… Oh, mes braves hommes, comme j’aime vous sentir contre moi ! »

Elle sentit alors le membre de son enfant retourner dans ses fesses, et elle en poussa un cri de plaisir, frémissant. Sous ce membre solide, des tentacules jaillirent de ses doigts, sans qu’elle ne puisse les retenir, et elle les rappela mentalement, frémissant, son corps remuant sous l’impulsion des sexes des deux hommes. Même pour elle, sentir deux grosses queues dans son corps lui procurait un bonheur intense. Des ondes de plaisir explosaient dans tout son corps, et elle se mit à hurler, à rugir son plaisir, à le clamer follement.Que c’était bon ! Oh, que c’était bon, bordel !  Elle ne s’en lassait pas. Yeux mi-clos, elle posa ses mains sur les joues de l’homme, les caressant tendrement, se sentant bercée entre ces deux êtres, et elle ne tarda pas à avoir un autre orgasme, inondant de sa mouille parfumée le corps du bûcheron, qui, en réponse, éjacula à son tour.

N’étant qu’un simple homme, l’effort l’avait épuisé. Elle se retira du corps du bûcheron, caressée par son enfant, tandis que l’homme, se rappelant le sort arrivé à son collègue, se racheta misérablement à sa vie. Elle sentait son enfant embrasser son oreille, caresser son intimité, et elle le laissa faire, sa mouille glissant le long de ses jambes.

« Sans vouloir influencer votre choix... Je vous conseille de lui montrer à quelle point une rose est belle mais aussi à quel point... Elle peut piquer quand on la prend mal... »

Elle tourna sa tête, caressant la joue de son fils, et l’embrassa.

« Une mère doit toujours tenir compte de l’avis de son enfant. Et je suis sûre que ce brave homme a compris que la nature, aussi belle soit-elle, peut aussi se montrer particulièrement cruelle.
 -  Oh oui, oui, oui, oui. Épargnez-moi, pitié, pitié, pitié ! »

Il la supplia, se mettant à genoux, pleurant, et, dans un sursaut, lécha ses pieds.

« Je serais votre esclave, je lècherai vos pieds, je ferais tout ce qu’il faut, mais ne me tuez pas, pitié ! »

Joignant le geste à la parole, il prit l’un des pieds d’Ivy, le léchant vigoureusement, s’appliquant, agissant de manière frénétique, tandis qu’Ivy continuait à embrasser son fils. Un doigt se transforma en tentacule, et s’enroula autour du coude l’homme, qui frémit. Ivy le releva, le soulevant lentement, et d’autres tentacules jaillirent pour s’enrouler autour de ses membres, le redressant.

« Tu m’as fait jouir, petit humain… Je vais donc te laisser vivre pour le moment… »

Elle lui caressa une joue délicatement, et l’embrassa lentement. Le jeune homme se détendit, baissant les yeux, et elle prolongea son baiser, glissant une main pour caresser son dos… Et les tentacules le soulevèrent.

« Mais ce n’est pas suffisant… Il est temps pour toi de goûter à l’autre face de la nature, sa face sombre et cruelle… Cette face qui a enfanté l’humanité… Je t’ai embrassé, répandant suffisamment d’aphrodisiaque en toi pour que tu éprouves à nouveau le plaisir… Mais ce plaisir-là devra résulter de la douleur, si tu veux survivre… »

Les tentacules qui l’empoignaient se serrèrent sur les membres, les tirant, tandis que d’autres tentacules jaillirent dans son dos, et se mirent à le fouetter en cadence. Elle se retourna vers son fils, et alla l’embrasser, tendant une main pour caresser son membre, et le faufiler dans son intimité.

« Ah… Voilà, hum… Te sens-tu bien, mon enfant ? Moi, c’est… Parfait ! »

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Moins patient qu’Ivy, le soleil finit par se coucher, plongeant la forêt dans une belle nuit étoilée. Cette dernière était allongée sur le sol, le haut de son dos posé contre un arbre, observant la scène silencieusement. Son esprit était relié à cette grosse fleur dans laquelle végétait Sakura, et les signes vitaux de cette dernière étaient calmes. Elle ne courait aucun danger, et il fallait juste attendre qu’elle se réveille. Ivy somnolait à moitié, quand elle sentit que Sakura était sortie du néant. Elle ne sortit pas tout de suite de bulbe, et Poison Ivy réalisa alors qu’elle ne pouvait plus vraiment contrôler cette fleur. Cette dernière semblait s’être liée aux gènes de Sakura, qui baignait avec plaisir dans ce liquide délicieux. Elle devait se sentir très apaisée à l’intérieur, comme tous ceux qui avaient eu la chance de bénéficier des traitements magiques de Poison Ivy en la matière. Oui, la petite Sakura barbotait à l’intérieur, n’ayant visiblement pas envie de sortir. En position fœtale, elle finit par se redresser, et, parvenant à contrôler la plante, sortit, visiblement heureuse et épanouie. Redressée, Ivy l’observa en souriant.

Le corps de Sakura avait légèrement changé. Elle avait perdu ses jambes, ces dernières ayant été avalées par sa plante. Des tentacules traversaient sa peau, qui était malheureusement restée beige, à l’exception de la base de son corps, sous son intimité. C’était une peau vert claire, et ses cheveux avaient également pris une teinte verdâtre. Le résultat n’était pas si mal, après tout. La forme de son visage avait légèrement changé, même s’il se dégageait toujours de Sakura ce côté doux et innocent, qui donnait envie de la serrer dans ses bras. Lentement, Ivy s’approcha d’elle, tandis que Sakura prenait conscience de ce qu’elle était devenue.

« Je... Je suis devenue une Mandragore... !?
 -  Tu es très perspicace, petite Sakura… » la félicita Ivy.

Oui, une très belle mandragore, et un sourire ravi éclaira les lèvres de Sakura, qui glissa vers elle, utilisant les tentacules de sa plante pour se déplacer. Ivy la laissa venir, et glissa ses mains dans le superbe dos de Sakura, l’embrassant tendrement, sentant les tentacules sur son corps remuer. Ce fut un long et très agréable baiser, Ivy serrant le corps de Sakura la mandragore contre elle. Elle lui caressa le dos doucement, glissant légèrement vers ses petites fesses, constatant que les zones érogènes du corps de Sakura étaient les mêmes, avant de remonter ses mains. Elle finit par en placer une sur le devant de son corps, mais ne chercha pas à malaxer ses sens, préférant serrer entre ses doigts l’un des tentacules traversant le corps de la jeune mandragore, afin de le serrer et de le caresser tendrement, prolongeant le baiser.

Sakura était heureuse, c’était un fait indéniable, et la savoir heureuse renforçait le plaisir qu’Ivy ressentait. La transformation avait l’air parfaite, et elle joua avec sa langue contre celle de la mandragore, l’embrassant furieusement. Elle avait déjà fait l’amour avec une dryade, et avait plutôt bien fait l’amour avec cette dernière ; elle devait bien varier les plaisirs, après tout. Elle continua à l’embrasser follement, glissant sa main pour la poser sur l’une des fesses de Sakura, serrant cette masse de chair entre ses doigts, et continua à l’embrasser avec ardeur, pinçant son joli petit cul, donnant de petites gifles dessus. La libido de Sakura était apparemment toujours aussi élevée. La pauvre allait comprendre que la nature avait de gros besoins, et que, dans cet état, il lui serait difficile de résister à ses pulsions naturelles.

« Merci, je... Je ne sais comment vous remercier... sans vous rendre la pareille, pour tout à l'heure...
 -  C’est tout à fait ce que j’escomptais, bout de chou répondit Ivy en l’embrassant sur le nez.
 -  Acceptez-vous ? » demanda-t-elle.

Ivy sourit. Sakura la vouvoyait, voyant probablement en Ivy une femme supérieure, et elle l’embrassa à nouveau, savourant ses belles lèvres.

« Dans une certaine mesure, tu peux me considérer comme ta mère… Au moins pour cette forme-là. Car c’est bien une partie de mon ADN qui bat désormais en toi, un code génétique qui est passé par mes plantes pour évoluer dans ton corps. Et sache, ma jeune fille, fit-elle en caressant avec son doigt les lèvres de Sakura, que je me dois de voir quelles sont tes performances. Je t’ai offert de nouvelles opportunités, Sakura, j’ai fait de toi mon enfant, et je me dois de veiller sur toi et sur ton éducation. Apprends à utiliser ton nouveau corps, Sakura, et fais-le sur moi. »

Poison Ivy se recula un peu, se retournant pour lui montrer son postérieur, avant de se remettre face à elle, lui faisant signe de la main.

« Viens, ma fille… Déchaîne tes pulsions sur mon corps… »

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Sakura ne manquait décidément pas de surprise, et Ivy se contentait de l’observer. En soi, après avoir fait l’amour avec Iruka, son appétit sexuel était assez satisfait, et elle ne ressentait pas vraiment le besoin de sauter sauvagement sur Sakura… La voir se faire prendre par cet arbre était un plaisir bien plus appétissant que tout. Elle vit alors une verge jaillir avec violence, pointant entre plusieurs tentacules, et l’arbre réagit rapidement. Un tentacule s’enroula autour de cette verge, et tira dessus, remuant ce dernier dans tous les sens. Sakura bouillonnait de plaisir, continuant à jouir sans s’arrêter, et l’arbre orienta l’extrémité de la verge de manière à pouvoir jouir sur Ivy. Cette dernière se trouvait à proximité de son corps, très proche, caressant la base de l’arbre avec ses mains, et sentit le sperme l’éclabousser sur le visage, glissant de ses cheveux. On continua à tirer sur le sexe masculin de Sakura. Elle jouissait sans s’arrêter, son corps se trémoussant entre les tentacules de l’arbre, au bord du point de rupture. Poison Ivy, elle, prenait tout simplement une forme de douche, arrosée par le sperme de Sakura, ce sperme que son corps absorbait presque naturellement, et qui la galvanisait. Elle sourit, ravie, continuant à la voir être prise dans tous les sens.

Progressivement, tout le corps de Sakura se mit à dégouliner d’une sève blanchâtre, le jus de plaisir de l’arbre, issu de ses fibres naturelles. Il se répandait sur l’intégralité de son beau corps, coulant sur le sol, la tachant de blanc. Un spectacle aussi fascinant que dégoûtant pour un observateur étranger. Les yeux de Sakura fléchissaient.

« HHHHMMMMMMMMMMMMMMMMMM !!!! » finit-elle par gémir.

Ses yeux se révulsèrent ensuite, dans un ultime sursaut, et Sakura fut plaquée contre le tronc de l’arbre. Les tentacules continuaient à jouer en elle, mais ils avaient désormais d’autres fonctions que simplement faire plaisir à la petite femme. Elle ne lui avait pas menti, et, dans une certaine mesure, son histoire avait touché Poison Ivy. Il était donc naturel que cette dernière lui offre une espèce de cadeau. Vu la manière dont elle avait aimé le contact avec ses plantes, Poison Ivy ne doutait nullement qu’elle apprécierait.

Les tentacules finirent par se retirer de ses parties intimes, pour mieux l’enlacer, la plaquant contre l’arbre. Sa colonne vertébrale se retrouva le long d’une espèce de tentacule glissant sur l’arbre, qui enfonça dans son épiderme de petites lianes. Le sperme qui baignait sur Sakura lui servait pour ainsi dire de seconde peau, et, contrairement au sperme d’un homme normal, il était relativement différent, comme elle ne tarderait pas à le réaliser. Poison Ivy s’approcha d’une fleur, et lui offrit un peu de son sang. Au bout d’un certain temps, la fleur poussa, devenant une sorte de grosse bulbe nourrie par la sève naturelle de son arbre, ses racines s’enfonçant sous la surface du sol pour nourrir la plante.

Poison Ivy regarda ensuite Sakura, dont le corps avait disparu dans une espèce de cocon. L’arbre modifiait son ADN en se servant de son sperme, modifiant toute la structure cellulaire du corps de Sakura, afin de lui offrir une nouvelle forme. Ivy aurait été tentée de lui permettre d’être une dryade, sachant que les dryades sont très respectueuses de la Nature, mais elle sentit que ce serait, non seulement une transformation génétique difficile, mais aussi excessive. Elle prévoyait un stade intermédiaire, même si tout dépendrait, au fond, de ce que Sakura voudrait. Le cocon se mit à grouiller, et s’ouvrit progressivement, déposant le corps nu et endormi de Sakura dans le bulbe. Cette dernière se referma sur elle. Vue de l’extérieur, on ne verrait qu’une espèce d’énorme plante avec de gros pétales. A l’intérieur, Sakura barbotait dans un jus qui avait tout du liquide amniotique. Quand Sakura se réveillerait, elle serait transformée. En revanche, Ivy ignorait le temps que ça prendrait.

Poison Ivy se pencha contre un arbre, et attendit patiemment, sentant le bulbe s’activer en modifiant le corps de la jeune femme.

*A quoi donc va-t-elle ressembler ?*

546
Oh oui, Sakura était une option de choix. Ivy eut un sourire de fierté en la voyant pleurer, tant elle était heureuse. Qui aurait cru ? Chacun des partenaires qu’elle avait rencontré sur Terra, depuis sa rencontre avec Weldenela, raffolait de ses tentacules, de ce contact dans leurs corps, et il n’en fut pas différent pour Sakura, bien au contraire. Plus elle se faisait prendre, et plus elle appréciait cela. L’arbre continuait à prendre forme, et Ivy le sentit empreint de désir à l’attention de cette elfe, désireux de la perforer avec tous ses tentacules. Elle ne faisait qu’échauffer Sakura, qui se mettait à hurler son plaisir, alors que les tentacules se multipliaient sur et dans son corps. Des espèces d’aspérités se formèrent sur les tentacules qui enlaçaient et serraient son corps, répandant en elle des doses exquises de plaisir. Les minutes devinrent des secondes, les heures des minutes dans ce cocon de plaisir que devenait le corps de la jeune femme, et, tandis qu’Ivy continuait à s’amuser avec elle, son arbre se mit à réagir. Les tentacules pointèrent vers Sakura, et, progressivement, Poison Ivy commença à retirer ses tentacules, cédant à son arbre, qui se mit à l’attraper, et à la perforer comme il fallait.

« Haaaaaaaaaaaaa!! Maî.....tresse........ encore....c'est.....si bb-boooooOOOOOoooon...Haaaaaaaaaaaa!!! » jubilait Sakura.

De tells aveux arrachèrent à Poison Ivy un sourire amuse, qui ne tarda pas à parler à son tour, tandis que l’arbre la prenait entre ses tentacules.

« L’arbre a l’air aussi de te trouver à son goût. J’espère que cela t’aide à comprendre un peu mieux, maintenant… Mais la leçon, petite jeune Terrienne, ne fait que commencer. »

Faire l’amour avec Ivy et ses plantes présentait cet avantage qu’une plante n’était jamais fatiguée, et ne connaissait pas, contrairement aux partenaires sexuels classiques, la panne ou la fatigue. Sakura enchaînait les orgasmes, mais ce n’était qu’un début, et Ivy l’observa, tandis que son arbre poursuivit son exploration intime, très intime. Les tentacules se faufilaient partout où il était possible d’aller. Ceux qui étaient entre les doigts de Sakura étaient rejoints par d’autres, qui caressaient ses longues oreilles, qui se masturbaient sur ses joues, qui se glissaient dans ses cheveux. Ils grouillaient tous sur elle, caressant son ventre, s’enroulant sur ses jambes, se masturbant sur ses pieds. Elle put ainsi sentir une verge verte sur chacun de ses pieds, l’extrémité caressée par ses doigts de pied, tandis que ses parties intimes devinrent les cibles d’assauts furieux.

« En... core... plus... En... Mmmmmm...
 -  L’arbre va te satisfaire au-delà de ce que tu peux imaginer, ne t’en fais pas. »

L’arbre s’activa en effet. Un gros tentacule se glissa violemment dans la bouche de Sakura, se faufilant dans sa gorge, multipliant des gorges profondes. Un tel acte aurait du l’étouffer, normalement, mais elle faisait l’amour avec la Nature, et, sans que Sakura ne le réalise, les espèces de petites pointes qui caressaient son corps avaient en fait de microscopiques trous tout el long de son corps. Des plaies qui, sans la présence des tentacules, auraient provoqué une hémorragie. Pour autant, elle ne souffrait nullement, car chaque trou était précédé et suivi d’une espèce d’anesthésiant, tandis qu’un petit tentacule se faufilait à chaque fois à l’intérieur de son corps, afin d’éviter une infection. De cette manière, les tentacules parvinrent à permettre au corps de la jeune femme de respirer en oxygénant directement son système pulmonaire. L’ensemble était également facilité par de multiples micro-tentacules qui partirent depuis l’urètre de la femme et sa bouche, se faufilant dans les profondeurs de son corps. Tout en lui offrant une dose maximale de plaisir, un plaisir qui dépassait l’entendement, Ivy s’assurait également de lui offrir un cadeau. En explorant les profondeurs intimes de ce corps, elle comprit effectivement que la jeune Sakura ne mentait pas, et que son corps était une exception génétique universelle.

« Ton corps est vraiment une pure merveille, petit ange… Savoure donc. Sens à quel point les délices de la nature peuvent être infiniment supérieurs à ceux que les hommes peuvent te donner. Sens comme cet arbre te désire… »

Plusieurs tentacules ne tardèrent pas également à jouir un peu partout, mais les tentacules continuèrent à la recouvrer, à la remplir, tandis qu’Ivy observait le spectacle. Le temps passait, naturellement, et de nombreuses minutes s’écoulèrent, mais, avec un arbre, c’était généralement en nombre d’heures qu’il fallait parler. En réalité, l’arbre ne s’arrêterait que si Ivy lui en donnait l’ordre, ce qu’elle ne comptait pas faire. Sakura continuait à se tortiller, alors que les tentacules multipliaient leurs agissements sur son corps, grouillant sur elle. C’était une image assez belle à voir, mine de rien, que le spectacle de ces nombreux tentacules.

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Les terres sauvages / Re : La fleur du mal ( PV Poison Ivy )
« le: lundi 06 février 2012, 23:59:05 »
Les deux bûcherons ne tardèrent pas à se déchaîner. Les spores naturelles d’Ivy influaient sur eux. Elle comprit rapidement qu’ils étaient frustrés, et ne couchaient pas autant qu’ils le voulaient. Elle s’imaginait un camp de bûcherons isolés, où les bûcherons passaient l’essentiel de leur temps dans la forêt, à couper des arbres. Même si l’abattage des arbres était une chose qui choquait Ivy, elle savait que c’était nécessaire. C’était le cycle de la vie et de la mort, et, tant que cet abattage n’était pas excessif, et permettait le renouvellement progressif de la forêt, Poison Ivy n’allait pas pour cela tuer des bûcherons. Ils étaient bien bâtis, et avaient de belles érections. On ne pouvait que très facilement les comprendre. Ivy était une beauté renversante, et, s’ils survivaient, nul doute qu’ils fantasmeraient longtemps sur elle, et continueraient à revenir ici pour voir si cette nymphe de la nature n’était pas encore là.

Son fils ne tarda pas à les menacer de les tuer à nouveau s’ils ne la satisfaisaient pas. Un bain d’acide parut à nouveau sous leurs pieds, et les deux bûcherons s’exécutèrent du mieux qu’ils pouvaient. De son côté, son fils s’amusait désormais avec des clones à son effigie. Elle le laissa faire, les tentacules jaillissant du corps d’Ivy pour caresser l’homme se tenant devant elle. Elle glissa un membre dans sa bouche, lui faisant pratiquer une fellation, avant qu’un autre tentacule ne pratique une autre fellation sur l’homme se trouvant sous elle. Ces deux tentacules ne tardèrent pas à éjaculer, remplissant leurs bouches de sperme, mais cela ne les découragea nullement, et ils continuèrent à la pénétrer, sauvagement, les sens décuplés par ce qu’elle leur faisait subir. Ivy les laissa faire, sentant le plaisir s’emparer d’elle. Le bûcheron sous elle ne tarda pas à jouir dans un long soupir, et son sexe ne tarda pas à se dégonfler, alors qu’il frissonnait.

Rompant son érection, Ivy baissa les yeux vers l’homme qui avait joui.

« C’est tout ? dit-elle.
 -  Je… Maî…
 -  Chuuut… » répliqua-t-elle en posant un doigt sur ses lèvres.

Les tentacules d’Ivy jaillirent, et se glissèrent dans la bouche de l’homme, l’étouffant, lui offrant une mort lente, douloureuse, et silencieuse. Elle regarda l’autre bûcheron.

« Tu as intérêt à mieux me baiser que ce minable…
 -  Mon… Montrez-moi vos… Vos fesses, Ma…
 -  Tu parles trop », dit tout simplement Ivy.

Elle obtempéra toutefois, et se retournant, lui offrant la vue de sa croupe, tandis qu’elle envoyait basculer le cadavre du premier bûcheron dans l’acide. Le second posa ses mains sur le beau postérieur tendre d’Ivy, et s’enfonça dans ses fesses. Elle en poussa un cri de plaisir, et le laissa faire, balancée d’avant en arrière sous les mouvements de l’homme dans son cul. Il était bien plus résistant que le précédent, et elle sentait sa grosse queue se faufiler en elle. Elle serra la plante sur laquelle elle se tenait, et les tentacules jaillirent, caressant et frottant le corps de Poison Ivy, au rythme de l’excitation de leur génitrice. Les tentacules frottaient contre de multiples endroits de son corps, se faufilant entre ses seins, sur ses mains, ses pieds, son dos, ses fesses, ses joues, ses cheveux. Elle en sentait d’autres tirer sur ses tétons, et ses cris de plaisir furent bientôt couverts par un autre tentacule lui offrant une fellation.

Au bout de plusieurs minutes, tous les tentacules finirent par éjaculer, répandant le corps d’Ivy d’une sperme chaude et délicieuse, allant jusqu’à maculer ses cheveux, et l’homme se soulagea en elle. Satisfaite, Poison Ivy poussa un long soupir de plaisir, et s'intéressa à Iruka.

« Tu t’amuses bien, mon fils ? » s’enquit-elle à l’attention d’Iruka.

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L’effet de l’aphrodisiaque se faisait ressentir sur le corps de Sakura. Elle en tremblait d’impatience, et tandis qu’Ivy avait du modifier la structure de son arbre, elle en était presque à se caresser. Était-ce seulement dû à l’aphrodisiaque ? Sans doute pas… Après tout, Ivy ne l’avait embrassé qu’après avoir utilisé sur elle ses tentacules. Or, vu la vitesse à laquelle elle avait joui, il fallait en déduire qu’elle aimait l’idée de se faire prendre par ces filaments verdâtres. En soi, ce n’était pas vraiment surprenant. La totalité des partenaires sexuels d’Ivy avaient fini par apprécier les tentacules d’Ivy. Ceux qui y étaient réfractaires initialement avaient fini par l’apprécier. Sakura ne l’était pas du tout, réfractaire. Elle ne tarda pas à se transformer en une belle elfe, un choix plutôt judicieux, connaissant l’amour naturel d’Ivy pour la Nature. Or, les elfes vénéraient la nature. Elle ne pouvait donc que les adorer, et elle ressentit une bouffée de plaisir à l’idée de voir Sakura dans cet état. Poison Ivy remarqua en souriant que Sakura mouillait sans pouvoir se retenir. L’aphrodisiaque avait l’air d’agir de manière extrêmement efficace sur son corps, et elle marcha à quatre pattes vers elle.

Silencieusement, Ivy la laissa s’approcher, tandis que l’arbre se mettait à vibrer, que des tentacules commençaient à se former le long de l’écorce. L’arbre remuait, se réveillant, se reliant à l’esprit d’Ivy, qui se mit à soupirer de plaisir. En parfaite soumise, Sakura alla lécher son intimité, levant l’une de ses mains pour la poser sur son postérieur. Poison Ivy ne tarda pas, entre ses gémissements, à mouiller également, sa cyprine coulant pour que Sakura la boive. Sa mouille, outre être délicieuse, laissait aussi s’échapper des effluves qui ne faisaient qu’exciter l’odorat de celui qui les respirait. Comme c’était bon ! Sakura la léchait fiévreusement, avec un appétit incroyable. Elle buvait sa cyprine sans s’arrêter, et sentir ses mains presser son derrière excitait lourdement Ivy.

« Hum ! Hann… Comme c’est bon, ma belle… Là, vas-y, continue à lécher, à boire, abreuve-toi, je sens ta gorge sèche… Oh oui… »

C’était bon. Délicieux. Elle ne se lassait pas de sentir cette petite langue se glisser en elle. L’une des mains de l’elfe alla se glisser entre ses fesses, et Ivy en poussa un petit cri, avant de sentir une autre main se poser sur l’un de ses seins, le serrant. Sakura essayait-elle de l’exciter ? Si c’était le cas, elle se débrouillait plutôt bien, mais, à ce petit jeu, c’est elle qui finirait par s’épuiser. L’aphrodisiaque brûlait en elle, et était renforcée par les spores naturelles de Poison Ivy. Elle ne pourrait pas tenir longtemps. L’une des pieds de Sakura caressait l’un des tentacules naissants de l’arbre, dont le bout avait la forme d’une virilité masculine, une belle verge qu’elle caressait sans vraiment s’en rendre compte, faisant frémir l’arbre. Des feuilles en tombaient des branches, exprimant tout le plaisir que ce dernier ressentait. Un être vivant,  voilà ce que cet arbre était, ce qu’il avait toujours été. Ivy espérait bien qu’au terme de cette séance, Sakura serait moins négligente avec les arbres.

Pendant que Sakura la léchait, Ivy promenait ses mains et ses tentacules. Ses deux mains caressaient tendrement les longs cheveux de l’elfe, tandis que ses tentacules jaillissaient de ses doigts pour malaxer les seins de l’elfe, évitant soigneusement les parties intimes, afin de la faire saliver. Le résultat fut bientôt au rendez-vous, car Sakura finit par se redresser, et par la supplier :

« Haaaaa... Maîtresse.... Je peux plus attendre... Pénétrez moi avec vos tentacules... Pitié...
 -  Maîtresse ? répliqua Ivy en souriant. Comme c’est flatteur… Te voilà donc redevenue une esclave… Mais je te traiterai bien pendant cette courte période de servage, rassure-toi. Tellement bien que tu vas finir par te croire au paradis… »

Sous l’effet de l’excitation intense, les fantasmes de Sakura ressortaient. Avait-elle toujours rêvé d’être une soumise ? Ou est-ce que son année de servitude avait fini par faire d’elle, au fond de son corps, au fond de ses désirs et de ses fantasmes, une soumise ? La question était permise, mais Ivy décida de l’éluder. L’arbre continuait à se constituer, et elle décida donc de continuer à s’occuper de l’elfe avec ses tentacules. Elle tendit une main, et deux tentacules s’enroulèrent autour des bras de l’elfe, la soulevant, tandis que deux autres s’enroulèrent autour de ses jambes. Deux tentacules un peu plus gros allèrent alors frotter les mains de l’elfe. Ils avaient la forme d’une verge, et d’autres allèrent s’enrouler autour des tétons de l’elfe. Un tentacule supplémentaire, humide, alla se glisser dans son postérieur, s’enfonçant dans son anus, tandis qu’un autre entra dans son vagin. Elle s’approcha du corps de Sakura, et embrassa ses lèvres.

« Allez, ma beauté, gémis, et satisfais mes tentacules. Ils ont tellement soif de ton corps… »

Ivy frottait le dos de l’elfe avec d’autres tentacules, ainsi que ses jambes. Un maigre avant-goût de ce qui l’attendait quand son arbre sera enfin prêt, et Ivy continua à jouer avec ses tentacules.

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Les tentacules agissaient en fonction du plaisir que Sakura ressentait. Pour Ivy, il n’y avait que peu de différence entre le sexe et la tendresse. Un simple câlin, ou un câlin sexuel, ce n’était qu’une zone différente, et elle sentit, alors que ses tentacules se promenaient le long de son délicieux corps, que le corps de Sakura en demandait plus. Les tentacules se dirigeaient donc lentement vers les zones érogènes du corps de la jeune fille, alors qu’elle se mit à parler.

« Merci... Mais je n'ai que 18 ans... , expliqua Sakura, alors que ses tentacules se promenaient sur son délicieux corps. Pour mes métamorphoses, elles sont plus que physique, puisque j'ai aussi les capacités naturelles et la longévité de la créature... Mon ADN change... par transmission d'un... hmmm... d'un autre ADN... ou paaar... imagination... haa ! Pour les formes p-plus... haaaa... plus simples....
 -  Hum hum… » acquiesça silencieusement Ivy.

Poison Ivy s’amusait avec ses tentacules, et l’un venait d’atteindre l’intimité de la jeune fille, tandis que deux autres s’enroulaient autour de ses seins, sous son kimono, les caressant et les emprisonnant. La jeune fille était consentante, les tentacules le ressentaient en se promenant sur son corps, et Ivy, de son côté, se demanda si elle ne pouvait pas, à sa manière, s’occuper convenablement du corps de cette jeune femme. Elle était belle, ça oui, très mignonne, mais elle avait aussi expliqué que son corps pouvait évoluer par transmission d’un code génétique. Elle devait être une belle créature à étudier, et Ivy rêvait déjà de la glisser dans un cocon, mais aussi de s’amuser avec elle. Compte tenu du passé de la jeune fille, elle se voyait mal s’en servir comme cobaye uniquement. Autant joindre l’utile à l’agréable, et les idées évoluaient dans l’esprit d’Ivy.

Ses tentacules se mirent à changer en leurs extrémités, devenant des espèces de bouches dévoreuses et affamées qui suçotèrent les tétons et le clitoris de Sakura, la mettant dans un état difficile. Dur de se calmer, et, pendant ce temps, avec son autre main, Poison Ivy ôta le kimono de la jeune fille, le posant sur une branche d’arbre. Les tentacules s’enroulèrent délicatement autour du corps de la jeune mariée, la soulevant. 18 ans, et déjà mariée… 18 ans, et une année d’esclavage… Ivy ne savait si elle devait la plaindre ou la féliciter.

« M... Merciiiiiiiiii....haaaaan... J-je suis ma-mariée de... hmmm... depuis trois j-jouuuuuuuur... haaaaaa... huuuuuu... Je ne p-pensais.... pas trouver l'aaaaaaa... l'amour sur ce huuummmm... sur ce m-monde... haaaa...haaaa... »

Ivy sourit lentement. Trois jours ? Elle était déjà en train de tromper sa femme, sans éprouver la moindre gêne. Le mariage sylvandien devait être différent du mariage tel qu’il était traditionnellement conçu sur Terre. Le devoir de fidélité ne devait pas figurer parmi les obligations du mariage, et Ivy continua à soulever Sakura, l’enroulant avec tendresse dans ses tentacules, tout en commençant à marcher, s’extirpant du lac. Tandis qu’un tentacule suçait son clitoris, deux autres s’étaient glissés dans son vagin, lui offrant des sensations de plaisir extrêmes.

« Profite, ma belle… Vois ça comme ma bénédiction de mariage…, lança doucement Ivy. Ainsi que comme ma volonté de t’aider à ne plus penser à ta vie d’avant
 - HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! » répliqua  Sakura dans un long cri.

Ivy sentit la mouille de la jeune fille éclabousser son visage et son torse, coulant entre ses seins, et elle libéra un peu Sakura, retirant ses tentacules, la déposant sur le sol. Avec l’une de ses mains, Poison Ivy caressa la cyprine, du bout des doigts, et la suçota tendrement. La mouille de cette fille avait bon goût, et elle s’avança lentement vers la jeune fille, assise sur le sol, ses tentacules se baladant sur le sol.

« Tu as fait une longue route, petite Sakura… Je vais te réconforter comme il faut… »

Elle se pencha vers elle, et l’embrassa sur les lèvres, répandant dans son corps l’aphrodisiaque de l’Empoisonneuse. Elle se redressa ensuite, et planta ses tentacules dans l’écorce d’un arbre à proximité.

« Je vais… Modifier la structure cellulaire de cet arbre… De manière provisoire, naturellement… J’ai envie de voir, Sakura, envie de voir si je peux aider ton corps à se parfaire encore plus, si je peux, dans une certaine mesure, te montrer que cette nature que tu écrabouilles si innocemment n’est pas qu’un décor vert, mais un lieu vivant en chacun de ses points. »

Ivy retira ses tentacules de l’arbre. Il s’écoulerait plusieurs minutes avant que ce dernier ne soit prêt, et elle se retourna vers Sakura. Ses vêtements végétaux s’enfoncèrent dans sa peau, révélant la beauté de son corps, de ses formes langoureuses, de ses superbes hanches. Plusieurs tentacules saisirent délicatement Sakura au niveau de ses bras, l’aidant à se redresser.

« Montre-moi l’une de tes formes, ma beauté, et tu pourras jouer avec mon corps, et avec mes tentacules. Vu la vitesse à laquelle tu as joui, j’en déduis que tu as du apprécier le contact de mes petites lianes… »

Poison Ivy lui offrit un franc sourire, et la mouille qui coulait sur son corps fut alors avalée par ce dernier, s’enfonçant dans le corps d’Ivy, révélant sa peau verdâtre et belle.

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Les terres sauvages / Re : La fleur du mal ( PV Poison Ivy )
« le: dimanche 05 février 2012, 21:57:31 »
Sans résister, Ivy se laissa coller contre l’arbre, contre le corps d’Iruka, embrassant ses lèvres. Une telle soumission… Elle en vint à se demander si elle n’avait pas exaucé un fantasme de ce dernier. Pour qu’il soit si coopératif, tout en restant si autonome, il fallait bien admettre qu’il était volontairement soumis. Curieux, pour un vampire. Ils avaient la réputation d’être relativement insoumis, arrogants. Celui-là devait être une exception. Ivy se laissa s’enrouler dans les tentacules de l’arbre-Iruka, se retrouvant rapidement physiquement prisonnière des tentacules. Physiquement seulement. Au moindre signe de volonté, elle pouvait en effet se défaire des liens qui l’enserraient, mais elle ne ressentait aucun danger. Iruka décida de s’occuper des deux bûcherons.

Des femmes plantes apparurent, ayant chacune la silhouette d’Ivy. Une forme de déclaration d’amour narcissique, pouvait-on dire. Quoiqu’il en soit, les deux formes s’approchèrent des bûcherons, et les embrassèrent. Ayant visiblement du mal à comprendre ce qu’il se passait, les deux hommes entreprirent de se laisser faire, tandis que les plantes sur lesquelles ils se trouvaient se levèrent subitement, les hissant à une hauteur convenable, montrant des bains jaunâtres en contrebas, d’où des bulles explosaient de temps en temps. Les deux hommes déglutirent, se demandant probablement dans quel enfer ils étaient tombés, avant d’entendre la proposition de son fils. Interloqués, les bûcherons se regardèrent, hésitant, voulant vérifier qu’ils avaient bien compris cette proposition. Les femmes-plantes agirent donc pour se faire comprendre, faisant jaillir des tentacules de leurs doigts pour déshabiller les hommes. Les tentacules se faufilèrent sous la ceinture d’un bûcheron, et déchirèrent son pantalon. Un tentacule s’enroula autour de son sexe, jouant avec, et ils ne tardèrent pas à agir, se pressant contre les corps attirants.

De son côté, Poison Ivy continuait à embrasser Iruka, et promenait ses mains, jusqu’à sentir le tentacule qui avait emprisonné le sexe du vampire. Le tentacule continuait à tendrement pomper dessus, à l’exciter, le faisant jouir sans arrêt. Elle caressa le tentacule, tandis que son propre corps se recouvrait, et qu’elle embrassait l’homme. Elle continua à l’embrasser, sentant à quel point il se sentait heureux et épanoui.

« Je sens à quel point tu te sens bien, mon fils, et je suis fier de toi. Puisque tu me demandes d’éprouver leurs goûts, je vais le faire… »

Poison Ivy s’extirpa alors de l’arbre, et descendit sur le sol. Quant aux deux bûcherons, ses clones disparurent, et des tentacules attrapèrent les bûcherons, les amenant vers elle. Ils atterrirent au bout de plusieurs secondes, hagards, hébétés, devant elle, et sursautèrent en voyant ce corps nu et verdâtre.

« Êtes… Êtes-vous une… Une nymphe ? Une fée des bois qui a décidé d’étendre sa protection sur cette forêt ? finit par demander l’un des hommes.
 -  Peu importe ce que je suis ! siffla Ivy. En entrant dans ce sanctuaire, et en voulant couper mes précieuses branches, vous m’avez fait du tort ! »

Des tentacules jaillirent, s’enroulant autour des corps, prêts à les pourfendre. Ces derniers ne tardèrent pas à rapidement parler, à vendre leur peau.

« Nous… Nous… Nous l’ignorions !
 -  Nous… Nous implorons votre pardon, Ma… Madame…
 -  L’ignorance ne justifie pas la mort, ni la souffrance ! trancha Ivy, sévère. Si vous avez envie de survivre, utilisez votre corps à bon escient, non pas sur mes clones, mais sur moi ! »

Bizarrement, Ivy trouvait assez excitante l’idée de coucher avec ces deux hommes sous le regard de son fils. Ses phéromones naturelles ne tardèrent pas à les décider, et ils s’avancèrent vers elle. Ils n’étaient pas spécialement beaux, assez velus, mais elle avait vu plus laid. Ils avaient le corps bien bâtis, étant après tout des bûcherons, et ne tardèrent pas, après quelques baisers et caresses, à la pénétrer. Ivy reprit l’une de ses positions préférées : elle s’empala sur l’un des deux hommes, et enroula ses tentacules autour de la virilité de l’autre, tirant et jouant dessus, avant de l’embrasser et de la suçoter, remuant son corps, sous, et elle n’en doutait pas, le regard de son enfant.

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Ivy caressait tendrement cette jeune adolescente, qui ne tarda pas à parler, et à préciser certains éléments que Poison Ivy n’avait pas bien compris.

« Vous n'y êtes pas... C'est... C'est grâce à la princesse de Sylvandell que j'ai été affranchie... »

Surprise, Ivy regarda Sakura. Qu’est-ce que ça voulait dire ? Fort heureusement, Sakura ne la fit pas trop attendre sur ce point, reprenant assez rapidement ses explications, les développant.

« Il y a un an, un... Un chasseur d'esclaves, travaillant pour un esclavagiste de Nexus, m'a capturée dans le parc de Seikusu... L'esclavagiste se nomme Hiro Atayoshi... et est avocat à Seikusu... Il... il a tué mes parents et gardé ma sœur en otage, disant que si je ne faisais p-pas ce qu'il v-voulais, il... en ferrait une esclave se... sex... Elle... Elle n'avait que 10 ans... Je voulais la protéger... et pour ça, j'ai été v... Vio... »

Ivy sentit son cœur se serrer. Même pour elle, donner sciemment la mort était quelque chose d’odieux, quand bien même il s’agissait de simples humains. Sakura se mit à fondre entre ses bras, et Ivy la serra contre elle, amenant ses tentacules à caresser un peu plus bas le corps de la jeune femme, se glissant sous son kimono pour frotter directement son dos. Chaque tentacule était pour cela pourvu d’une série de petites langues qui frottèrent le corps de la jeune fille, répandant des ondes de plaisir, des vibrations, dans son corps.

« Pleure, ma belle… Laisse ta souffrance s’échapper à tes larmes. Une larme n’est jamais un mal. »

Poison Ivy continua ainsi à caresser le corps de Sakura, jusqu’à ce que la jeune fille, parvenant à calmer ses sanglots, reprenne. Mentalement, Ivy espérait avoir un jour l’occasion de se rendre vers Nexus. De ce qu’elle savait, Nexus était une grande cité-État, l’un des plus grandes villes de Terra, où l’esclavage était donc autant autorisé que sur Ashnard. A quoi rimait donc la guerre qui opposait l’Empire et la cité-État ? Aucun ne semblait meilleur que l’autre.

« Il y a moins d'une semaine, je suis parvenue à m'enfuir avec ma sœur... Mais j'avais p-peur de me refaire capturée avec elle... Je l'ai confiée à une elfe, que ma seule amie de Terra m'avais conseillée... et j'ai bien fait... D'autres chasseurs d'esclaves m'ont lâchement capturés et m'ont conduit à Sylvandell... Si la princesse ne m'avait pas achetée, je serrais aujourd'hui entre les mains d'un obèse pervers... Et entre nous deux, ça à été le coups de foudre... j'ai été affranchie et je lui ai demandée sa main... Mon ancien nom,  Konoe, est synonyme de souffrances et de drames... mon nouveau nom est comme une renaissance... C'est pour cette raison que je veux retrouver ma sœur... pour l'amener dans notre nouvelle famille... et lui présenter sa nouvelle belle-sœur... »

L’Empoisonneuse comprit donc le rôle de Sylvandell, ou, plutôt de la Princesse qui s’y trouvait, et qui devait forcément être belle. Une esclave qui se mariait avec une Princesse, qui devenait elle-même, dans une certaine mesure, une Princesse… Un conte de fées assez curieux, qui laissait rêveur. D’ici quelques années, elle ne doutait pas que des conteurs en parleraient. Sakura partait donc retrouver sa petite sœur, en espérant qu’elle ait été bien traitée. Poison Ivy avait toutefois tendance à moins se méfier des elfes, dans la mesure où ils étaient bien plus respectueux de la nature, contrairement aux humains arrogants. Les cités elfiques resplendissaient de beauté, d’une certaine fierté propre aux elfes, naturellement, mais aussi d’une propreté et d’un amour de la beauté qui témoignait d’un profond respect envers la nature. Elle avait donc affaire à une jeune mariée, et elle sourit vaguement, en comprenant le ridicule de sa proposition.

*Quelle lycéenne normalement constituée voudrait revenir sur Terre, quand elle n’a plus aucune attache, et est mariée à une Princesse ici ? A sa place, le choix ne se poserait même pas…*

Poison Ivy s’encouragea donc à ne pas trop lui parler de ça, à ne plus évoquer son retour sur Terre, et, continuant à serrer Sakura contre elle, cette dernière lui parla alors de sa transformation en dragon.

« Pour mon code génétique... Le dragon Alpha ma dit, que l'ADN est achevé à chaque création, et n’évolue que sous des conditions spécifiques. Le mien, présente cette originalité d’être comme le tronc d’un arbre, dont les feuilles sont encore à découvrir. Mes liens avec la princesse de Sylvandell faisaient de moi quelqu’un qui méritait qu'il ne déverrouille l’accès à d’autres branches de mon ADN. Dans une certaine mesure, mon ADN est donc malléable et peut s'adapter naturellement à diverses espèces semi-humaines... La forme complète de dragonne est un cas spécifique...
 -  Intéressant… » commenta Ivy.

Sakura, en relevant la tête, résuma cette situation en décrétant être une espèce d’« être multi-races ». Ivy se mit à légèrement sourire, amusée par cette idée, et retourna caresser avec une tendresse et une douceur infinie la joue de Sakura. Après tout, n’était-elle pas une mère, quand elle créait des hommes-plantes ? Il semblait normal que Poison Ivy sache faire preuve de cette tendresse propre aux mères, surtout avec une femme aussi belle.

« En tout cas, si tu t’es mariée, c’est que tu dois être plus vieille que ce que j’avais cru. Maintenant, dis-moi… Comment est-ce que tes transformations fonctionnent ? Comment est-ce qu’elles te sont apparues ? Car, tu sais, je ne suis moi non plus pas vraiment une humaine normale, comme tu as pu le constater… Mon ADN a évolué, a mué, faisant de moi une femme hors normes, et je peux influer sur l’ADN des autres… »

Elle illustra cela en plaçant une main devant son visage, ses doigts se transformant en tentacules qui glissèrent vers le visage de Sakura, caressant lentement ses joues, avant de remonter, reprenant leur forme de doigts, tandis qu’elle-même continua à parler.

« Si tu vas chercher ta sœur pour ton mariage, j’en déduis que tu es récemment mariée. Je te souhaite dans ce cas mes plus sincères félicitations. Trouver l’amour est si rare… »

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Les terres sauvages / Re : La fleur du mal ( PV Poison Ivy )
« le: samedi 04 février 2012, 12:12:09 »
Iruka ne tarda pas à prendre conscience des facultés de ce qu’il était devenu. Son corps était mélangé avec celui de l’arbre, se perdant à l’intérieur du tronc. Seule sa tête en ressortait, et il aida Ivy à s’élever à côté de lui. Elle lui sourit, et glissa une main pour caresser ce qui, vaguement, lui faisait office de torse. Ses doigts se faufilèrent dans les tentacules qui s’enveloppaient, et elle vit alors deux clones d’Iruka se former à partir de l’arbre. Elle en caressa un, et frémit en sentant les deux s’entourer autour d’elle, avant de mutuellement la prendre. Elle poussa un cri de plaisir, et embrassa avec envie le clone devant elle, se serrant contre lui, sentant leurs mains caresser son superbe corps, leurs membres se faufiler en elle. Infatigable, Poison Ivy fermait les yeux, et gémissait, poussant des cris de plaisir, continuant à hurler, sentant les tentacules et les lianes composant le corps des clones se glisser sur elle. Elle en frémit longuement, et ne tarda pas à avoir un nouvel orgasme, prise entre les deux membres, qui plantaient leurs dents dans son cou, répandant leur sève dans son corps. Comme elle se sentait heureuse et sereine ! Utilisant ses jambes, elle les enroula autour du clone devant elle, tirant ses mains en arrière pour les serrer autour du cou du second clone, penchant la tête pour l’embrasser, sentant leurs tentacules glisser sur son corps. Elle en poussa des cris de plaisir, des vociférations jouissives.

« Aaaaaaahhhh !!! Oh, mais comme c’est bon, han !!! »

Elle poussa un autre cri de plaisir, et était tellement excitée qu’elle ne sentit pas vraiment les deux bûcherons arriver. Iruka, en revanche, les sentit, et alerta Poison Ivy, qui prit alors conscience de leur présence. Ils s’approchaient de la partie de la forêt qui appartenait à Ivy, et venaient probablement d’un des petits villages à proximité. Elle se décolla des deux clones, et reprit son souffle, reprenant ses esprits, au moins le temps de se débarrasser d’eux. Elle s’approcha de la véritable forme d’Iruka, et caressa les tentacules qui le recouvraient, l’embrassant tendrement.

« Tu comprends, maintenant ? Tu comprends pourquoi j’ai souffert quand tu as arraché une partie de moi ? Il faut les faire partir, en effet…, murmura-t-elle. Je ne laisserai personne faire du mal à ma forêt. »

Personne, c’était un fait. Mais Ivy était trop heureuse pour donner la mort. Même des humains étaient des créatures vivantes, qui, à leur manière, ne faisaient que répéter le cycle naturel de destruction, intrinsèque à la Nature. Si elle ne pouvait pas laisser indûment ces bûcherons lui faire du mal, elle se sentait bien trop épanouie pour les massacrer. Elle regarda donc son fils, enchaîné dans l’arbre, mélangé avec ce dernier, et n’eut qu’à penser pour agir. L’un des deux bûcherons s’approchait d’un arbre, levant sa hache, quand un tentacule jaillit des arbres, s’enroulant sur ce dernier pour l’envoyer voler au loin. Interloqué, l’homme regarda autour de lui, peinant visiblement à comprendre ce qui se passait.

« Qu’est-ce que ça veut dire ? s’étonna-t-il.
 -  Je… »

Son compares n’eut pas le temps d’achever que des tentacules jaillirent des arbres, et l’arrachèrent du sol, le soulevant pour la maintenir la tête en bas. Il poussa des hurlements de panique, et l’autre bûcheron, surpris, paniqué, entreprit d’aller ramasser une hache, quand l’un des hommes-plantes d’Ivy jaillit pour l’attraper à la gorge, et le plaquer contre un arbre.

« VOUS AVEZ OFFENSÉ LA NATURE ! LA MÈRE EST EN COLÈRE CONTRE VOUS, PROFANATEURS ! IMPLOREZ SON PARDON !! »

La voix avait tonné, furieuse, et l’homme-plante balança le bûcheron sur plusieurs mètres, le faisant rebondir sur le sol. Secoué, ce dernier entreprit de faiblement se redresser, et, devant le regard dangereux de la créature, tremblant de panique, s’inclina devant un arbre, alors que les tentacules commençaient à recouvrir le corps du bûcheron qui gesticulait en l’air.

« Par… Pardonnez-nous, Ma…. Mè… Déesse ! Nous… Nous ne voulions nullement endommager vos arbres ! »

Ivy soupira, et se retourna vers le vampire fusionné avec l’arbre, et lui sourit.

« Je te laisse décider de ce qu’il convient de faire, mon bébé. »

L’excitation de ce dernier ne s’était toujours pas démentie, et son corps continuait à jouir, le maintenant dans un état de bonheur constant, un état où torturer des gens pouvait revêtir un plaisir sexuel particulier. Poison Ivy le savait, pour avoir déjà éprouvé cette joie sadique, et elle tenait à faire découvrir ce plaisir à son enfant, qu’il ressente l’ivresse du pouvoir, et le plaisir qu’on éprouvait à le mettre en application.

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Les terres sauvages / Re : La fleur du mal ( PV Poison Ivy )
« le: vendredi 03 février 2012, 16:51:45 »
Sur son clone, Ivy se soulageait, remuant sur le membre tendu de l’homme-plante, modifiant son corps comme elle le voulait. Un second membre, une espèce de tentacule, s’enfonça à nouveau dans son fondement, se glissant entre ses fesses, et elle poussa de longs gémissements, serrant si fort le torse de sa créature qu’elle s’enfonça dans sa peau, un mélange de sève, d’une peau humaine, et de mousse. Iruka continua à parler, ayant une demande assez curieuse, qu’Ivy ne comprit toujours pas. Est-ce qu’il voulait qu’elle l’absorbe dans son corps ? Que son corps se mélange au sien ? C’était une demande assez curieuse, mais elle commençait à comprendre comment réussir à le satisfaire. Dans son état, il devait ressentir à quel point la conscience d’Ivy était difficile à percevoir, dans le sens où elle était éclatée avec sa forêt. Elle ressentait chaque inflexion de la Nature, chaque infléchissement, chaque fleur apparaître, chacune de ses créations heureuses. Ses hommes-plantes étaient heureux, oui, mais ils n’avaient aucune véritable conscience. Ils se contentaient d’être des espèces d’animaux, ressentant le plaisir, tout simplement.

Iruka s’amusait avec une femme-plante, et finit par regarder Ivy, pénétrant solidement la femme-plante, dont le corps libérait de nombreux tentacules s’enroulant autour du corps d’Iruka. Le jeune vampire demanda à Ivy si elle n’avait pas un secret, et elle se contenta de lui sourire, avant qu’il ne la rejoigne, s’asseyant sur sa création, et elle l’embrassa, le serrant entre ses bras, continuant à se faire prendre, sentant l’homme-plante libérer d’autres tentacules visqueux, maculés de sa sève, pour frotter le corps de sa mère. Le membre d’Iruka frottait contre son ventre, et elle tendit une main pour le caresser, avant qu’un tentacule ne vienne s’en charger, absorbant le membre d’Iruka pour le pomper. Elle utilisa sa main pour caresser ce tentacule, remontant vers les testicules de son esclave, retournant frotter ses fesses. Elle poussa un soupir de plaisir, en mordillant les lèvres d’Iruka, sentant la sève de son clone exploser en elle, et elle contracta un nouvel orgasme, puis retira ses lèvres, et sourit.

« Tu… Tu n’es pas comparable à mes créations. Ce sont des créations qui émanent de simples plantes, des bourgeons qui ont fleuri et muri, alors que toi, tu es déjà une construction parfaite de la Nature. Parfaite », fit-elle en caressant ses lèvres avec un doigt.

Elle lui sourit, et l’embrassa à nouveau.

« Je ne peux toutefois pas te dire, petit esclave, comment je fais pour améliorer la nature. Il y a dedans un savant mélange de science et de mon corps, tout naturellement, ce qui fait que, comme tu peux le sentir, mon esprit est intimement lié à celui de la Nature. »

Ivy sentait l’homme frémir sous l’effet du tentacule, et attendit qu’il jouisse pour pouvoir poursuivre, en profitant pour embrasser tendrement son corps, le suçotant ici et là. Elle l’embrassait autour du visage, du torse, retournant sur ses lèvres, continuant à le satisfaire, frissonnant de plaisir en le sentant éjaculer à chaque fois. Elle continuait à caresser son corps, et finit par se redresser. Elle souleva Iruka, et l’amena près d’un arbre où on voyait de nombreux tentacules remuer sur le tronc. Elle caressa ce dernier, et les tentacules se dressèrent, s’enroulèrent autour de sa main.

« Si j’ai bien compris ce que tu veux, tu vas te mettre dans cet arbre. Nos corps ne peuvent fusionner, mais tu pourras te mélanger à cet arbre, et, partant de là, te mélanger à ma forêt, le contrôler, devenir sa conscience vivante. »

Les tentacules de l’arbre jaillirent, et attrapèrent Iruka, tandis qu’un autre retourna attraper son membre, afin de continuer à le faire jouir, alors que son corps se retrouva collé à l’arbre, se recouvrant d’écorce, de mousse, et de tentacules grouillantes. Ivy caressa l’un des tentacules de l’arbre, et le pressa. Si elle ne s’était pas trompée, le jeune vampire aurait maintenant la possibilité de contrôler l’arbre, tout en continuant à ressentir le plaisir que son corps avait en sentant sa virilité être continuellement excitée.

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Sakura ne tarda pas à lui répondre, et Ivy continuait à lui caresser la joue. Pour l’heure, aucune pulsion sexuelle n’habitait son corps, ou ne motivait son geste. Elle désirait juste réconforter cette jeune fille, mais elle ne pouvait pas parler pour elle. Les spores d’Ivy agissaient naturellement, indépendamment de son état d’excitation. Des phéromones naturelles, qui amenaient toujours ses adversaires potentiels à devoir se préparer contre ça, sous peine d’hésiter à la frapper ou à la blesser. En revanche, pour Sakura, il était possible qu’elle se sente attirée par cette femme. Une attirance qui ne serait pas nécessairement sexuelle, mais qui l’amènerait au moins à apprécier son contact.

« Pas vraiment..., lâcha-t-elle.
 -  Que cherches-tu donc ? glissa rapidement Ivy.
 -  Je veux retrouver ma sœur... que j'ai confiée à une elfe, peu avant de me faire capturer par les es... esclavagistes... J'ai été esclave une année entière... »

Une année… Une année d’esclavage. Pour Poison Ivy, c’était inconcevable ! Elle méprisait l’arrogance de l’humanité, et l’esclavage était, pour elle, la plus belle forme d’expression de cet orgueil. Elle ne put s’empêcher de glisser ses mains derrière la nuque de Sakura, et de caler son corps contre elle, la tête de la jeune fille arrivant à proximité de ses seins recouverts par son tissu verdâtre.

« Ma pauvre petite… soupira Ivy. Crois bien que tu as toute ma compassion pour les atrocités qu’on t’a fait subir. »

Pour le coup, Poison Ivy était sincère. Qu’on lui donne seulement l’opportunité d’aller à Sylvandell, et elle trouverait bien un moyen de faire payer à ces esclavagistes. Elle tuerait en personne ce Roi, d’un baiser mortel, mais elle n’aurait probablement jamais l’occasion d‘aller à Sylvandell. Là où elle se trouvait, on ne voyait aucune montagne, ce qui signifiait que ce royaume maudit devait être loin. Sans doute devrait-elle marcher vers l’Empire d’Ashnard, cet endroit que bien des gens décriaient, et qui organisait fréquemment des raids et des pillages dans les régions libres. Sakura semblait avoir honte de sa situation, fuyant le regard de la femme-plante, qui essaya de parler, mais elle ajouta alors autre chose.

« Avant d'être esclave sur Terra... J'étais lycéenne à Seikusu, sur Terre... »

Ivy hocha la tête, fronçant les sourcils. Seikusu… Elle y était depuis quelques mois, maintenant, ayant réussi à obtenir un poste de professeur en sciences et vies. Ce n’avait pas été bien difficile. Elle n’avait en soi aucun diplôme dans l’enseignement, mais ses phéromones, ainsi qu’une séance torride avec les membres du conseil d’administration du lycée, avait amplement suffi à lui obtenir un poste. Ainsi donc, c’était une Terrienne… Une Terrienne transformée en esclave sur ce monde. Ivy ressentit à nouveau de l’empathie pour elle, caressant tendrement ses longs cheveux. Elle finit par parler.

« Je viens moi aussi de la Terre… Je suis professeur à Seikusu… N’aie pas peur, ma belle, je vais veiller sur toi, maintenant… Plus personne ne fera de toi son esclave, Sakura Korvander. Je te ramènerai sur Terre avec ta sœur. Personne ne te fera plus de mal, je te le jure. »

Poison Ivy continua à tendrement lui caresser les cheveux.

« Ma pauvre… Comment as-tu pu finir ainsi ? Et, si tu es une simple Terrienne, comment peux-tu te transformer en dragon ? Est-ce qu’on… Est-ce que les gens de Sylvandell ont fait des… Des choses avec to code génétique ? »

Ivy soupçonnait que la jeune femme avait subi des expériences magiques sur son corps, afin d’en faire une espèce de mutante hybride. Poison Ivy désirait savoir ce qui avait pu lui arriver, ressentant de l’empathie pour cette jeune femme, sans vraiment pouvoir se l’expliquer. Elle avait après tout démoli plusieurs arbres, mais, dans une certaine mesure, la femme-plante n’arrivait que difficilement à lui en tenir rigueur.

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La jeune fille ressortit de l’eau après un certain temps. Ivy se mit à craindre qu’elle ne savait pas nager. Les dragons, ça avait peur de l’eau, non ? Mais le lac n’était pas très profond, et elle finit par en ressortir. L’eau avait collé ses longs cheveux sur son joli visage de poupée, lui donnant un charme assez enfantin. Son absence de poitrine proéminente, ce visage tendre et attirant, amenait Ivy à la voir plus jeune qu’elle n’était, tout en sachant combien le physique était un critère défaillant sur Terra. Quelqu’un qui avait l’air jeune était généralement plus âgé qu’un centenaire. Elle finit par répondre, divulguant son identité.

« Je me nomme Sakura Kon... heu... Korvander... »

Pourquoi cette brusque hésitation ? Simple hésitation de sa langue ? Entre « Kon » et « Kor », il y avait une simple différence de lettre, mais une forte différence de son. Elle avait lancé ce « Kon » comme si elle comptait dire autre chose, avant de se rabattre sur « Korvander ». L’hypothèse d’une jeune mariée, ou d’une esclave affranchie, vint à l’esprit d’Ivy, qui rejeta rapidement l’hypothèse du mariage. Si elle était bien une jeune mariée, où se trouvait son mari ? En toute logique, les premiers jours, on désirait rester le plus proche possible de son mari, surtout à un âge si jeune, où l’esprit était empreint à ce romantisme mielleux qu’Ivy trouvait insipide. Non, il devait probablement s’agir d’une affranchie, qui avait abandonné le nom donné par son esclavagiste, pour prendre le sien.

« Je viens du royaume de Sylvandell, une région montagneuse avec peu de végétation... »

Cette autre phrase confirma ce qu’Ivy pensait : une affranchie qui venait de s’échapper d’un royaume montagneux, soit un royaume austère, dangereux, hostile. Elle se mit à imaginer un vieux Roi fatigué, croulant sous le poids des années, impuissant, qui utilisait de jeunes filles pour assouvir ses envies sexuelles, ou pour obtenir une fille, une héritière. Elle imagina une dragonne ensorcelée, incapable de reprendre sa forme de dragonne, et laissa Sakura poursuivre son récit.

« Et je ne suis pas une dragonne... seulement une Demi-dragonne. Ça veux dire que je suis avant tout une humaine capable de prendre une forme mi humaine mi dragonne, voir complètement dragonne. C'est uniquement grâce à un rituel du dragon Alpha que je peux faire cela, même si j'ignore encore pour quel genre de mission il m'a choisi... »

Cette tirade interloqua un peu Ivy. Un dragon Alpha ? Et elle s’était visiblement trompée, en inversant le processus. Sakura n’était pas une dragonne capable de prendre forme humaine, mais une humaine capable de prendre une forme de dragon. Voilà qui changeait pas mal de choses, et elle s’approcha lentement de Sakura.

*Je n’ai compris que la moitié de ce qu’elle m’a dit… Une affranchie libérée par une espèce de dragon surpuissant ?*

Ivy décida de la réconforter, de la rassurer. Elle savait que les esclaves pouvaient, soit devenir paranoïaques, en croyant que n’importe qui leur voulait du mal, soit rechercher l’affection de n’importe qui. Sakura n’avait pas l’air particulièrement inquiète, mais Ivy tenait tout de même à la rassurer sur ses intentions. Elle tendit donc une main pour caresser lentement la joue de Sakura. Sa main devait être douce ou chaude, et, quand elle commença à la caresser, son gant vert s’effaça pour révéler sa première peau. Elle remonta jusqu’à l’oreille de Sakura, et se mit à lui répondre.

« Peut-être qu’il a juste vu en toi une créature exceptionnelle qui méritait d’être libre, et qui devait voler de ses propres ailes… Même si tu as encore des efforts à faire sur l’atterrissage… »

La perte des arbres était une véritable catastrophe, mais Ivy n’avait pas ressenti cela comme une douleur physique, comme quand on arrachait l’une des roses qu’elle avait aidé à enfanter. En ce sens, elle n’était pas particulièrement en colère contre Sakura. Elle lui sourit même légèrement. Cette petite semblait si innocente, si fragile… Difficile de croire qu’elle avait dégommé deux arbres…

« Et où te rends-tu donc comme ça ? poursuivit-elle, sans laisser le temps à Sakura de répondre. Erres-tu comme moi sur ce monde immense ? »

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