Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Souta et Janus

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Ah oui, les applis. Ces machins carrés sur les écrans de smartphone qui font tout et n'importe quoi. En l’occurrence ça peut être utile ici. Un programme qui permet de commander et payer rapidement sans passer deux heures au téléphone car la personne à l'autre bout du fil n'entend rien à cause du bordel en cuisine est pratique. Mais celle qui reproduit le bruit d'un pet comme me l'ont montré les gosses plus tôt, j'ai des doutes. Ca semble con mais faut le programme le truc. Que ça demande une heure ou une journée, j'suis pas convaincu du truc.

Quand elle me demande si je veux un truc précis en m'indiquant qu'elle optait pour du thaï je me contente d'un rapide "C'est toi la patronne." en terminant de remettre les coussins en place sur les fauteuils.
En me redressant je me retrouve nez à nez avec l'écran de son portable qui affiche une carte et visiblement l'endroit où se trouve le livreur en temps réel.

- C'est aussi flippant que pratique la technologique. En tout cas t'as l'air de gérer.

Je me doute que le mec est suivi par un programme de son propre chef. Une question de sécurité pour lui et le client. Du moins c'est de cette façon qu'ils doivent vendre la chose auprès de leurs employés durant les entretiens. Ce qui est pas faux dans l'absolu. Sans pour autant être entièrement vrai.
Je termine le rangement en réunissant les manettes qui étaient posés un pu partout pour les déposer à leur tour sur la table basse.
Tout me semble bon pour passer une bonne soirée. Tranquille et relaxe.

Je rejoins alors le sofa pour "poser un cul" comme disait un petit vieux que je connaissais. Cette expression a toujours été amusante et étrange à la fois. Et c'est là que Kara engage la conversation.

- Après ce qui s'est passé hier... Ouais, comme un bébé. Faut dire que tu m'as bien fatigué.

La phrase sort tout naturellement avec un petit sourire sincère. Faut dire que je l'imaginais pas comme ça au fond. Dans un coin de ma tête je me dis que j'y suis allé un peu fort. Et dans un autre qu'elle s'est aussi lâchée, du moins en partie. Comme les gifles par exemple. Libérer son côté animal de temps est une excellente chose.

- Et toi, le boulot ? Vu tes fringues t'es venue directement ici.

La soirée commence tranquillement avec une conversation assez banale. Le tout est de la faire se sentir à l'aise. Quand on est de repos on veut s'amuser, passer de bon moment, ne pas se prendre la tête pour quoi que ce soit. Et je compte bien faire ça ce soir.

Quand le livreur arrive je me lève et pars lui ouvrir, récupérer la commande et le payer.

- Euh... La commande est déjà payée monsieur.
- Ah bon ?
- Oui, via l'application.
- Ce sera ton pourboire alors.
- Merci, vous êtes très généreux. N'hésitez pas si vous avez besoin de quelque chose.


Je me saisis des sacs et les dépose sur la table passe en repoussant légèrement les manettes. Puis je file dans la cuisine afin de rapporter deux packs de six qui se trouvaient dans le frigo.

- T'en fais pas, il en reste encore pas mal d'où elle viennent.

Pour le moment j'ai pas très faim. La faute aux saloperies que je me suis enfilé dans l'aprem avec les gosses. De toute façon on est là pour un moment et je peux bien manger plus tard. C'est à ça que servent les micro-ondes.

A la place j'attrape une manette qui n'est... pas celle qui permet de contrôler le jeu. J'en change et la seconde ne fonctionne pas plus. Heureusement je passe moins pour un con avec la troisième.

- J'ai juste regardé les enfants jouer t'à l'heure. Mais je connais les touches... en gros.

Avec un mal évident je parviens à revenir à l'écran de départ. De là je me trompe ou deux fois dans les menus en cherchant à lancer une partie à quatre en ligne. Nous deux et deux inconnus. Mais en mode chacun pour soi.

- On pourrait ajouter un jeu au jeu. Genre, celui qui meurt en premier aura un gage décidé par l'autre. Surtout que tu pars avec un gros avantage vu que c'est ma première partie.

Enfin, en théorie. Même si elle arrivera probablement à se servir de moi comme paillasson 9 fois sur 10, je veux au moins tester un truc.
Pour cette partie je choisis un espèce d'alien rose tout petit et rond. Il a pas l'air super fort, mais de toute façon je cherche pas à gagner car j'y arriverai pas.
Non, j'ai aucune chance de finir vainqueur de ce combat.

Et... J'avais raison. Je termine 3ème. Sauf que Kara s'est faite avoir avant moi. A défaut de balancer des coups j'ai opté pour la célèbre technique du lâche. A force de fuir en permanence les autres joueurs en eu marre et se sont ligués sur Kara qui semblait chercher à m'avoir. Ils l'ont salement prise en traître pour me dégommer dans la foulée.
A moi donc d'imposer le premier gage. Je me retourne alors dans sa direction avec un immense sourire aux lèvres. Le genre à te faire bien flipper car tu vas t'attendre à un truc tordu sorti de nulle part.

- Bon, j'ai un peu triché. Alors au lieu d'un gage j'vais te demander plutôt... Raconte-moi la plus grosse connerie que t'as faite.

Cool et relax, comme j'l'avais dit. C'est juste une question à la con. Rien de bien méchant dans le fond.

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En me levant ce matin un drôle d'état que je croyais appartenir à un lointain passé revient me déranger : celui provoqué par les courbatures. Il n'en faut pas beaucoup pour qu'elles reviennent à la charge ces saloperies. Un passage à vide aux niveau des entraînements sur quelques jours associé à un stress trop important et prolongé des muscles ne font pas des chocapic. Non, ça vous fait chier. Et accessoirement mal si celles-ci sont importantes.

La séance de reprise est donc plus légère et je me contente d'une petite heure de course et d'étirements pour filer ensuite sous la douche. En chemin je tombe sur Lucius et tout le reste de sa famille qui part à l'école. On croirait presque voir un maman canard avec ses petit qui suivent en file indienne avec une démarche des plus singulières.

- Tiens, t'es pas avec ta copine ?
- Non, je m'entraîne toujours seul, tu le sais.
- Ca veut dire que c'est toujours mort ?
- Pour t'entraîner ?
- Ouais !
- Dans quelques années ptète.
- Allez, sois cool !
- J'suis cool. D'ailleurs tu devrais passer cet aprem si t'as pas cours, tu vas en voir des trucs cools.
- Ah ouais ? Même si j'viens avec tout le monde ?
- Ouais, venez tous.


Après deux ou trois autres échanges assez bref, tout le monde reprend son chemin. Faut pas qu'ils arrivent en retard à l'école et moi j'ai un entraînement à boucler. Même si ce quartier est pourri et dangereux on peut s'y sentir chez soi.

En fin de compte je suis resté dehors quasiment une heure et demie. Un bon décrassage en règle comme on dit dans le milieu du sport. Se retrouver seul permet de se vider la tête, se vider le corps en transpirant et en se concentrant sur sa propre respiration tout du long. Ca m'a même fait penser à la veille. Mon but était de pousser Kara à se lâcher. Mais ça se trouve j'ai été trop cash ? Je devrais sans doute changer de stratégie.

De retour à l'appart je tente de filer à la douche... sans me cogner aux meubles. Va me falloir plusieurs jours pour m'habituer vu que suis passé d'une pièce vide où le moindre son résonnait à un endroit complètement meublé. Au moins j'aurais aucune excuse pour ne pas laisser trainer mes saletés au sol maintenant.

|------|

Au milieu de l'après-midi Lucius passe comme prévu avec toute la marmaille. On peut voir immédiatement leurs yeux s'illuminer et pratiquement sauter de leurs orbites en voyant le nombre de cartons de consoles et jeux qui sont entassés les uns sur les autres à côté du meuble télé dans lequel se trouve un écran hyper def de K. Enfin, un truc du genre. J'ai rien capté au charabia du vendeur. J'ai juste vu que l'image était bonne et ça me suffisait largement.

- T'as trouvé ça où ? C'est tombé d'un camion ?
- Nan, ça vient de la boutique ***.
- Sérieux, j'ai jamais vu autant de jeux.
- Justement, je compte sur toi pour installer un truc. Ce que tu veux. Et après vous pourrez jouer.
- N'importe laquelle ?
- Ouais.
- Alors attends...


De toute ma vie je ne crois pas les avoir vu travailler ensemble aussi rapidement et sans se gueuler dessus. Faut croire qu'avoir un but commun permet de voir des miracles se produire. Jusqu'à.... ce que la dispute des manettes arrive. On ne peut jouer qu'à quatre on dirait. Et vu qu'ils sont six...

- Okay, okay, on se calme. Il y n aura quatre qui jouent et les deux premiers qui perdent passent leur manette.
- Ouais, il a raison.
- Mais Lucius il pert jamais !
- Ca c'est votre problème.


Deux ou trois heures passent dans la joie et la bonne humeur. Jeux vidéos, sodas, gateaux et bonbons. Le paradis des ados visiblement. Il en faut peu pour les contenter en même temps.
Sauf que toutes les bonnes choses ont une fin. Je les renvoie donc logiquement chez eux dans les plaintes et les pleurs pour les deux plus petits. De toute façon ils savent qu'ils peuvent passer quand ils veulent du moment que j'suis dispo.
De toute manière ils ont pas le choix. Même dans les écoles publiques des quartiers populaires il y a des devoirs. Et leurs parents ne se tuent pas à la tâche pour élever des cancres.

Je profite de cette brève période de calme pour ranger, nettoyer en attendant Kara qui arrive plus vite que prévu. Pile à la seconde où je termine. Quel timing, digne d'une série télé.
Je fonce lui ouvrir en la saluant rapidement pour retourner rapidement mettre deux meubles à leur place.

- Salut ! Vas-y, rentre ! J'viens de finir de ranger. Mets tes affaires où tu veux.

Ca doit lui changer d'il y a deux jours. Et au moins, cette fois, elle est pas tombée en entrant. Enfin, je crois. Les meubles à leur place je pars dans la cuisine récupérer deux bières et je lui en tends une directement en déposant la seconde sur la table basse.

- Soirée bouffe et jeux vidéos, ça te va ? Par contre j'suis un... Comment il a dit déjà ? Un moob ?

La console est restée allumée sur un jeu où quatre bonhommes se tapent sur la gueule pour s'éjecter de plusieurs plateformes. Parait que c'est à la mode et qu'on comprend vite comment ça marche. En théorie, car avec moi c'est pas gagné.

- D'ailleurs, si tu veux commander un truc, le téléphone est là.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)
« le: mercredi 23 décembre 2020, 22:02:30 »
Lorsqu'elle me déclare ne pas avoir eu d'orgasme je me remets à sourire. Vraiment ? Dans son état actuel ? Après toutes les fois où j'ai senti que ma bite se faisait écraser par une pince hydraulique ? A d'autres. Mais je ne vais pas jouer son jeu. Oh que non, une idée plus amusante me vient à l'esprit et je vais la lui dévoiler dans quelques instants.

- Vraiment ? Aucun orgasme ? Pas même un petit ? Mince alors...

Ma queue, toujours dure et pulsante dans sa chatte qui baigne dans nos deux liquides, se remue pour touiller ce cocktail crémeux et pervers. L'étalant sur ses parois qui semblent plus sensibles qu'elle veut me le faire croire vu les expressions de son visage.

Je fais durer le jeu quelques secondes avant de la soulever assez haut pour que nos corps se séparent enfin. Mais pas complètement. Enfin, dans un sens. En la soulevant au de mes mains je garde sa chatte dégoulinante au-dessus du sol pour voir s'y former une petite flaque pâteuse et blanchâtre.

Une fois l'objectif atteint je dépose Kara au sol un peu plus loin en lui présentant la bête. Le gland qui empeste un puissant parfum de sperme se retrouve pile sous son nez.

- Quand on termine son dessert il faut nettoyer sa cuillère, non ?

Je m'avance un peu plus pour coller mon bout sur ses lèvres afin qu'elle me nettoie complètement la queue et les couilles qui sont aussi sales après tout ce qui a coulé dessus. Alors que ma queue entre doucement entre ses lèvres je pose ma main sur sa tête sans prévenir et la bloque où elle est.
Mon regard est fixe, au loin, comme à la recherche de quelque chose. La chose dure plusieurs longues secondes.

- Oups, j'ai cru voir quelqu'un arriver. Mais c'était juste un piaf.

Je relâche alors la pression sur son crâne et l'observe recracher ma bite désormais couverte de salive. Mais il en reste un peu, alors je l'encourage à continuer une petite minute pour ensuite lui présenter ms gros testicules encore bien chargés malgré ce qui vient de sortir entre ses cuisses plus tôt.
Mais il ne faut pas avoir les yeux plus gros que le ventre.

- C'est bon, ça devrait faire l'affaire.

Je l'interrompt alors et fais deux pas en arrière pour ranger mon attirail sous mon boxer dont le tissu me colle immédiatement. Vivement que je rentre prendre une douche sinon ça va renifler là-dessous. Puis je repars en avant dans la direction de Kara pour lui tendre la main afin qu'elle arrive à se relever et se plaquer contre un arbre à quelques centimètres de nous si besoin.
Elle a beau dire je vois bien que ses jambes flagellent. A ce rythme je suis parti pour la porter jusqu'à la bagnole. Ce que je fais assez rapidement sans lui demander son avis.

- Désolé, j'aurais bien voulu continuer jusqu'à te faire jouir. Mais la promesse était de t'offrir un petit dessert. Et tu me connais, j'aime pas forcer les choses.
Après, j'suis libre demain. Pourquoi tu passerai pas ? On pourrait essayer les consoles et... Je me rattraperai pour aujourd'hui.


Pour dire vrai, y mettre un terme ici me permet d'un côté de la pousser à revenir me voir car je sais qu'au fond d'elle l'envie de poursuivre et de recommence est présente. Tandis que de l'autre je vais arriver en retard chez moi. Enfin, je suis déjà en retard à en juger par l'horloge du parc.

On retourne alors à la voiture. Elle dans mes bras, soulevée comme une princesse alors que je viens de la ramoner comme un bête il y a encore même pas dix minutes. Je prends juste soin de récupérer une serviette sur la banquette arrière pour l'installer sur le siège passager. Parce qu'avec tout ce que je lui ai mis il y a des chances que ça continue de couler en chemin pour la déposer chez elle.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)
« le: mercredi 23 décembre 2020, 17:54:09 »
N'importe qui de normalement constitué s'énerverait en prenant un coup. Voir même en entendant une insulte, une moquerie, une critique. C'est parfaitement normal de réagir de manière négative quand quelqu'un cherche à vous atteindre d'une quelconque façon. Et je ne suis pas différents des autres êtres humains. Ce qui devrait signifier, dans le cas présent, que sa claque me pousse à réagir en conséquence.

Le résultat est probablement dû à un ongle ou une bague. Ma lèvre inférieure saigne et ce n'est pas parce que celle-ci s'est frottée ou cognée contre une dent au passage. Ma réaction est sûrement différente de celle qu'elle s'imaginait. Ou peut-être qu'elle cherche justement à m'énerver pour que je la baise comme une actrice de porno, un vulgaire objet, un trou à bites comme certaines personnes les surnomment.

- Hé hé...

Moi cela me fait rire. Pas par moquerie, pas par supériorité. Je trouve juste ça amusant et excitant à la fois. L'excitation et le plaisir peuvent se matérialiser sous tant de formes différentes.
D'un coup de langue habile je lèche ma plaie ouverte et avale les quelques gouttes de sang qui en sortaient.
Je commence alors à y aller plus fort en elle. Mon élan la fait se soulever un très bref instant. Mes hanches font le sens inverse pour me laisser sortir en remontant et je retourne m'enfoncer en elle en soupirant encore plus fort qu'avant. De façon très exagérée.

- T'as raison, t'es pas une salope.

Au même moment où ma phrase se termine, je coince ma queue gonflée et tremblant aussi profondément que je le peux en elle. Ce qui m'arrache une écrasante sensation au passage. Mais je peux gérer ça.

Je lâche alors ses chevilles pour glisser l'intérieur de mes coudes dans ceux de ses genoux et je la soulève une nouvelle fois, avec une facilité déconcertante, pour nous retrouver debout. A peine arrivés sur mes pieds, je fais descendre mes bras pour que son corps en fasse autant. Mon gland et la première moitié de mon sexe entrent en elle comme dans du beurre fondu.
Modeler cette chatte selon mes mensurations pendra un moment. En tout cas le résultat est parfait pour le moment.

Arrivé à mi-chemin je m'arrête exprès pour la regarder droit dans les yeux en souriant autant qu'après sa claque alors que des premiers signes de fatigue font leur apparition.

- T'es un grosse salope.

Je fais alors remonter mes bras et son corps. Et je décontracte mes muscles pour la laisser tomber et s'empaler sur ma trique tendue sans l'avertir. La contraction de ses parois sur ma bite est à la limite de l'insoutenable. Merde alors ! Elle a de la ressource et se laisse pas faire.

- Tu crains plus de pas jouir que de te faire surprendre. Avoue...

Cette fois j'opte pour un autre angle d'attaque. Je contracte le bassin et utilise mes hanches sur un mouvement rapide et compact pour la faire littéralement rebondir sur ma bite. Je pourrais prendre appui contre un arbre pour me faciliter les choses. Mais la tenir en l'air sans lui laisser la moindre échappatoire et la faire se sentir vulnérable au possible est un petit bonus malsain qui m'excite encore plus.

Je commence alors à la pilonner plus brutalement et sèchement qu'avant en ne cherchant qu'à la faire crier, grimacer, couiner. Qu'elle rameute tout le quartier s'il le faut, car je la lâcherai pas avant qu'elle accepte la situation.

Mes coups de bites sont brutaux, la façon de détendre les muscles de mes bras se fait sur un faux rythme pour qu'elle ne puisse pas les anticiper. Je mise tout sur des cadences et des poussées différentes. Mon corps tout entier me brûle et la seule source de fraîcheur que j'ai sont ces mains douces alors qu'elles sont désormais loin d'être froides.

- Hmmmmmmm ! Putain ! Cette chatte !

Comme dans la voiture, je suis pas là pour savourer au maximum et prendre mon temps. Plus maintenant en tout cas. J'ai pris sur moi pour l'habituer, la travailler au corps comme on dit. Mais là je vais pas me retenir et la baiser comme elle le souhaite au fond d'elle.

C'est pourquoi mes mains se saisissent de ses hanches pour m'offrir un meilleur appui. Mes doigts viennent s'y coller, s'enfoncer dans sa chair tendre.
De là, c'est en mode bestial que je passe. Mes mains, mes bras, mes hanches... Tout se déchaîne. Je sens chaque muscle de mon corps se contracter pendant que je passe à la vitesse supérieure. Mes mains tirent son corps léger vers le bas. Mes hanches vont se relever sur son bassin.

Ma bite trempée se fait masser et presser à la perfection par sa chatte. Je sens même du liquide dégouliner sur les derniers centimètres et mes couilles. L'orgasme arrive à grand pas.

- Putain... Ca vient... Je vais te... remplir !

Et aussitôt dis, aussitôt fait. Je ne pensais pas mes muscles capables de se contracter davantage et pourtant. Mes doigts s'enfoncent encore plus dans sa peau sans que je le veuille. L'orgasme est si grand que je ne contrôle plus tout mes gestes.

Pourtant ça ne m'arrête pas. Je lui redonne un coup de rein quand les deux premières giclées de crème sortent de mon gland. Et je recommence, sèchement, pour la suivante. J'avais les couilles si pleines qu'il me faut de longues secondes pour arrêter.
Le liquide gélatineux s'amasse en elle, je le sens. Celui-ci se met à couler depuis les infimes ouvertures à sa disposition pour dégouliner le long de ma tige et finir sur le sol.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)
« le: mercredi 23 décembre 2020, 14:56:25 »
La chaleur que dégage son corps est aussi contagieuse que son excitation qui est en train d'atteindre des sommets. Ca me surprendrait pas une seconde de voir sa silhouette imprimée sur le sol après avoir fait disparaître l'herbe sous son corps fiévreux quand on se relèvera.

- Hmmmnnnnnnnn !

Le long soupir qui suit est le résultat d'une double sensation. Plaisir et douleur se mélangent dans un cocktail enivrant qui me pousse à aller encore plus loin. Physiquement et mentalement. J'ai du mal à contrôler mes mouvements à tous les endroits qui stimulent son corps. Ma prise se défait légèrement au niveau de sa bouche.
Sans réfléchir je desserre ma poigne et laisse glisser trois doigts entre ses lèvres. Les sucer gardera sa bouche occupée et bloquera en partie ses gémissements de plaisir.

Ma seconde main se pose sur un de ses cuisses pour l'ouvrir légèrement et me permettre de poursuivre ma progression. Elle est tellement étroite que chaque centimètre d'enfoui dans ce four m'arrache un grognement supplémentaire. J'ai l'impression de déflorer une vierge tellement c'est difficile. Pourtant elle est trempée là-dessous. Qu'est-ce que ce serait sans ?

Plus haut mes dents relâchent leur emprise sur ce téton que je n'arrête pas de lécher pour autant. Des lèvres je suce et tète la bête comme le ferait un gros bébé.

Arrivé aux trois quarts je me retire délicatement pour revenir de façon plus sèche. Un coup de rein compact mais bien dosé. Ses parois continuent d'opposer une faible résistance. Son corps veut me résister alors qu'il doit savoir qu'il n'a aucun chance d'y parvenir. Cette simple pensée me fait sourire et y aller de plus belle.

A la cinquième pénétration j'aspire aussi fort que je peux son sein pour le voir s'étirer. Je le recrache de façon vulgaire dans un bruit sale et humide sous ses yeux.

- T'es pas habituée à t'en prendre une aussi grosse, hein ?

Je me renfonce immédiatement en elle d'un coup sec. Encore une fois jusqu'aux trois quarts. J'installe ensuite un rythme plus rapide pour qu'elle s'y habitue. Que sa chatte s'ouvre sur le passage de ma trique puissante et épaisse pour finir par épouser ses formes le moment venu. Un moment qui finira par se produire inévitablement.

Ma main sur sa cuisse ouvre encore un peu plus ses jambes pour me mettre à la caresser en même temps. Je reste dans cette position pendant bien cinq minutes. Chaque coup de rein plus énergique que le précédent, plus rapide. Sans pour autant la pilonner comme une brute. C'est beaucoup trop tôt pour ça.

Le sexe toujours logé en elle, je tente une acrobatie pour corser les choses. Et pour ça j'ai besoin de mes deux mains. Je me saisis de ses chevilles pour relever ses jambes et les rabattre sur elle même. C'est d'ailleurs dans cette configuration que je poursuis mes assauts.
Elle sur le dos, les jambes complètement écartés et tenue par les chevilles.

- Si quelqu'un passe dans le coin il verra tout.

Lors de première poussée j'écrase lentement mon corps sur le sien. Jusqu'à ce que mon visage se rapproche dangereusement du sien, comme pour tenter de l'embrasser. A la place je lui susurre.

- Il verra ton vrai visage, celui d'une salope qui aime se faire baiser en public.

Je recule ensuite le visage sans déplacer mes hanches. Ho non, je vais commencer à m'y mettre sérieusement. Dans cette position il suffit de pousser et remonter. Mes cheveux me gênent un peu, mais c'est un faible prix à payer. Ma respiration également se veut plus lourde et audible.
Les muscles de mon bassin se contractent et lancent la machine. Une pluie de coups de reins viennent s'abattre sur le corps pulpeux de la belle Kara.

Mes cuisses claquent contre les siennes dès que la cadence augmente. Encore un peu plus et mes couilles en feraient autant sur ses fesses. Malheureusement il faudra du temps pour qu'elle s'habitue à la taille de mon membre. Puis de toute matière ça gâcherait une partie du plaisir.

Je veux la faire s'y habituer petit à petit. Qu'elle découvre les différentes sensations que cela pourra lui procurer sur la durée. Quand mon gland viendra embrasser son col dans une pénétration digne de ce nom.
Parce que ce qu'on fait là ne sont, au final, que des préliminaires.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)
« le: mercredi 23 décembre 2020, 12:38:06 »
La partie est lancée et ma chaude co-pilote est clairement prête à relever le défi. Me lécher l'oreille ans prévenir comme elle l'a fait un peu plus me provoquer un léger sursaut. Merde quoi ! Je m'attendais à certaines choses, mais clairement pas à celle-ci. Plus le temps passe et plus je trouve qu'elle cachait bien son jeu.

- Ouais, ce serait con.

Pour le moment je n'ai droit qu'au son et au toucher pour ne pas me laisser influencer. A la moindre seconde d’inattention je pourrais être tenter de lui faire des trucs. Un taaaaas de trucs. J'ai ces images dans ma tête. Des picotements dans les doigts en m'imaginant saisir cette énorme paire de seins pour me venger de ce qu'ils ont fait à ma queue plus tôt.
En temps normal c'est le cuir du volant qui m'aurait procuré cette sensation. Une preuve de plus que la situation est complètement folle et survoltée.

Mon bassin se tortille même par moments pour lui laisser encore plus de place afin qu'elle me branle et ma caresse bien comme il faut. Seigneur, ce que j'aime sentir ses mains sur mon corps. Autant en bas qu'en haut. La façon qu'elle a de les déplacer. C'est comme si elle cherchait à le mettre en pièce pour se l'approprier complètement. Et ça me plaît énormément.

Je m'attends à ce qu'elle me chauffe aussi verbalement car elle n'a quasiment plus aucune retenue désormais. On est loin du discours coincé de la vendeuse. Là, de manière brute et hard elle enchaîne des scénarios qui font tous bien envie.

- Ca me plaît l'idée du jardin. Par contre c'est pas mes mains qui t'attendent.

Un jardin ? Non, on dirait plutôt un petit parc. Désert à première vue alors qu'il fait beau et qu'en général tout le monde est dehors à cette heure. Suffit de voir la galerie marchande qui était bondée tout à l'heure. C'est bizarre.. Mais aussi très pratique.

Je commence alors à ralentir en cherchant un endroit où me garer. Le risque d'accident était quasiment limité, voir nul, je tiens le volant d'une main et pose l'autre sur sa tête pour la guider entre mes jambes.

- Reviens me sucer pendant que je cherche une place. Entraîne-toi dessus, car un truc me dit que ce sera pas la dernière fois que tu le feras.

Vu comment les choses se passent entre nous, cette situation sera la première d'une longue série. Kara a clairement des fantasmes à assouvir que je me ferais un plaisir d'expérimenter avec elle. Je continue de faire avancer la voiture, lentement. Quand je remarque une place libre. Je commence à faire tourner le volant pour m'y engouffrer quand... je décide de faire machine arrière et de continuer ma route. L'envie d'en profiter encore un peu est trop forte. Sentir sa langue se coller à ma hampe veineuse, l'entendre aspirer mon sexe et sa propre salive. Qui pourrait se retenir de faire un petit tour de plus ?
Et si ça se trouve il y a une meilleure place plus loin ?

Sauf que non, du coup je savoure chaque seconde en la regardant à l'oeuvre par instants vu la vitesse faible du véhicule. Jusqu'à retrouver la dite place.

- On est arrivé ma belle.

J'actionne le frein à main tout en gardant la main sur sa tête pour la laisser poursuivre jusqu'à ce qu'elle se rende compte de ce que je viens de lui annoncer. En quittant sa bouche délicate, ma bite se retrouve couverte de salive. Pulsante sans doute encore plus que tout à l'heure. L'idée de la prendre m'excite déjà énormément. Mais dehors ? C'est le bouquet. J'ai un mal pas possible à me retenir et me fous complètement que mon boxer se retrouve collé à ma queue lorsque je range ma marchandise et remonte mon pantalon dans la foulée.
L'idée de me balader à moitié à poil me dérange pas une seconde. Par contre ce sera dur de marcher avec un jean coincé au niveau des chevilles.

J'ouvre la portière rapidement, me précipite d'un pas rapide de son côté pour lui ouvrir et là, je la tire vers moi et l'embarque sur mon épaule comme une plume.
Dans la foulée j'active la fermeture automatique de la caisse et l'emmène dans la zone la plus tranquille et entourée de buissons ou d'arbres du parc et l'allonge par terre, sur le dos. En prenant quand même soin de glisser un doigt ou deux dans sa petite chatte humide en chemin. C'est elle qui a dit que ça lui manquait après tout. Je voudrais pas être un salaud.

Cette fois les positions sont différentes. A moi de me retrouver au-dessus. Je lui descends un peu plus sa robe pour avoir un parfait accès à ses seins sur lequel je fond comme le ferait un aigle sur sa proie. Ma bouche vient carrément engloutir sur téton gauche déjà dressé. Je colle ma langue dessus en lui faisant tracer des cercles autour de cette petite pointe sensible. Ma main droite venant s'occuper presque instantanément de son jumeau.

Je comptais jouer un peu avant de me lancer. Mais je crois que c'est inutile. Mon autre main remarque que c'est une vraie fontaine en bas. Ca coule tellement que je pourrais quasiment y entrer le poing complet.
D'un geste habile je déboucle ma ceinture et fait de nouveau sortir sa bête de sa cage en laissant son entrejambe respirer. Mon gland est si sensible qu'il me brûle presque. Si il pouvait parler il me supplierait de le faire entrer comme Kara l'avait fait dans la bagnole sur la route.

La main qui harcelait son téton jusque là vient se poser sur sa bouche quand j'entame le mouvement. Mon gland Violacé, et déterminé à écarter tout ce qui se trouvera sur son passage, s'engouffre dans son antre humide et brûlante.

- Putain ! Ce que t'es serrée !

Elle est pas humaine, si ? Parce que j'ai déjà affronté un gars qui contrôle le feu et la température n'était pas aussi élevée. En poussant fort avec mes hanches je finis par faire entrer mon gland épais. Sans m'arrêter pour autant.
Un mélange entre une touche de sadisme et un geste involontaire me font lui mordre plus fort que prévu son téton en même temps que la poussée.
Heureusement que j'ai eu l'intelligence de garder une main sur sa bouche... Qui est d'ailleurs déjà en train de se faire couvrir de salive.
Voilà que j'arrive bientôt à la moitié. Merde, si elle est déjà bien serrée par là, ce sera quoi si j'essaie l'autre trou ?

Faudrait pas qu'elle ameute tout le quartier. Je la veux pour moi tout seul.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)
« le: mercredi 23 décembre 2020, 10:45:46 »
La femme timide et hésitante que j'ai rencontré hier et retrouvé aujourd'hui semble être une toute autre personne. Comme on le dit souvent, elles sont le jour et la nuit. Deux parfaites opposées. L'envoyer jouer et taquiner mes boules était surtout une façon de l'embêter car sur le moment j'étais certain qu'elle refuserait. Peu nombreuses sont les femmes à accepter d'aller jusque là. Et je suis tout excité à l'idée qu'elle n'en fasse as partie.

- Putain, ce que c'est bon.

Entre les bruits de succion qui résonnent dans la bagnole et les sensation qui les accompagne je suis en train de subir un supplice tellement agréable. De là-haut je ne vois que son front et ses petits yeux illuminés par un lueur perverse. Enfin, pas exactement. Ses mains viennent très rapidement remplacer sa bouche sur ma queue. Je vois celle-ci trembler à son contact. Sentir ses doigts fins s'enrouler et presser ma tige pour tenter de dévorer a proie à l'image d'un cobra renforce mon excitation.

Le prédateur est devenu la proie. Et de ce que j'en vois, elle ne ma lâchera pas avant d'obtenir ce qu'elle veut de moi. Quand elle desserre son emprise c'est pour moi laisser un doigt parcourir ma grosse veine. J'ignore ce qu'elle cherche à faire et pourtant ça fonctionne.

La sensation douce, humide et rugueuse de sa langue qui se pose régulièrement sur mon gland sensible, celle de ses lèvres fines et délicates qui peuvent le gober à tout moment lorsqu'elle ne se contente pas de me chauffer sur un bref baiser. Ou encore la chaleur de son souffle qui suffit presque à me faire vibrer complètement rien qu'en venant s'écraser sur ma peau sensible. C'est peut-être inconscient chez elle car elle ne semblait pas à l'aise au début. Et pourtant elle a une technique à la limite de la perfection.

Je ne dis pas du tout ça parce qu'elle arrive avec sa poitrine énorme pour prendre la relève et tenter de me donner le coup de grâce. Depuis le retrait de mon jean et de mon boxer il m'arrivait de les sentir s'écraser sur mes cuisses quand elle me suçait. C'était de brefs contacts excitants et furtifs. Jouer sur de petites choses durant l'acte est une évidence. Qu'on le fasse volontairement ou non.

Le clou du spectacle arrive donc. Elle n'a même pas besoin d'utiliser ses mains pour parvenir à glisser son nouveau jouet entre cette énorme poitrine si moelleuse. Les femmes optent souvent pour la tendresse au départ. Question de contrôle. Elles aiment savoir qu'elles ont le dessus sur leur homme et qu'il aime de qu'elles font, qu'il ne cherchera jamais à s'extirper de cette situation car il sera toujours perdant au final.
Dans son cas, la chose est légèrement différente. Elle vise directement la jugulaire, cherchant l'efficacité avant tout. Sa fellation n'est pas très baveuse et pourtant ma bite glisse sans souci dans cet étau chaud qui s'adapte à ses dimensions. Ce mélange entre douceur et pression. En fin de compte c'est une image qui lui ressemble bien depuis qu'on est entré dans cette voiture.

Les râles de plaisir s'enchainent et je ne cherche ni à retenir mes vocalises, ni mon orgasme. On n'est pas là pour ça de toute façon. Et quand on ne se retient pas devant cette avalanche d'attention, on se met à jouir plus vite que prévu. Ce qui entraîne un second problème. Comment la chose va se terminer ? Je peux pas saloper la bagnole sinon je suis dans une merde folle. Lui demander d'avaler ? Ca me semble jouable mais compliquer car elle voudra sûrement pas.
L'autre possibilité serait de lui jouir dessus et lui demander de sortir rapidement. Mais là ce serait encore pire. Ca reviendrait à dire "Allez, dehors, t'es toute crade !"

Et voilà qu'elle décide d'elle-même de prendre les devants. Quand la jouissance arrive enfin, ses fines lèvres viennent de nouveau engloutir mon gland d'une traite. Elle a clairement compris ce qui allait arriver sans que je lui dise quoique ce soit.
Après une activité aussi prolongée ma crème doit être plus gélatineuse que d'habitude. Sans parler de la quantité qui va avec. Pourtant elle avale tout, jusqu'à la dernière goutte. Ou morceau dans ce cas particulier.

Bien entamé par cet exercice, je laisse tomber ma tête sur le siège en la regardant, elle, qui me fixe dans le blanc des yeux.

- Non, j'ai du mal quand on s'occupe aussi bien de ma bite.

Je me redresse alors un peu et décide de laisser glisser ma main gauche sur son ventre. Cette dernière continue son chemin et arriver rapidement au niveau de sa culotte pour y glisser immédiatement et vérifier l'état des lieux.

A mon tour de la regarder avec un grand sourire.

- Jouer avec ma queue à l'air de bien te plaire.

Mes doigts se mettent à doucement frotter ses lèvres intimes et son clitoris. De tous petits contacts et frottements qui ont pour unique but de la chauffer davantage. Sauf que je me laisse emporter et glisse mon index et mon majeur en elle. Sa fente n'oppose aucune résistance. Pire, elle les aspire carrément.

- Ta bouche est pas la seule à vouloir y goûter.

Maintenant que la machine est lancée elle aura du mal à s'arrêter. Pas avant d'avoir atteint son objectif ou d'imploser à cause d'une surcharge. Mes doigts continuent de s'enfoncer un peu plus en frottant les parois sensibles de son sexe chaud et humide.

- On sera plus tranquilles ailleurs.

Pour mieux reprendre ma place et lui faire comprendre de retourner sur le siège passager le temps que je nous conduise ailleurs je retire mes doigts trempés d'entre ses cuisses et lui montre le résultat de ma brève exploration. Je les porte ensuite à ma bouche pour les sucer avant de les essuyer sur mon torse.

J'enclenche ensuite le contact et fait démarrer la voiture sans prendre la peine de ma rhabiller. La queue toujours tendue et à l'air libre. Mon éjaculation de tout à l'heure était si forte que du sperme se remet à fuir du gland en petite quantité.

- On va faire un jeu. D'ici à ce qu'on arrive, je dois pas débander une seule fois.

Bah ouais, ça peut être marrant.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)
« le: mercredi 23 décembre 2020, 01:00:04 »
Alors comme ça je causais trop ? La remarque est faite pour se rassurer ou est-elle sincère ? Le but est juste de l'aider à poursuivre au lieu d'agir sans dire un mot et risquer de la braquer. Mais bon, autant continuer tranquillement en se laissant porter.

Je la laisse prendre son temps et profiter. Le fait d'avoir un sexe imposant, plus épais et plus long que la moyenne n'est pas toujours facile à vivre. Surtout avec la plupart des femmes. La vie réelle n'est pas un porno. En avoir une grosse, voir une énorme pour certains, ne joue pas tant qu'on peut le croire sur la virilité durant l'acte. Tout est question de mesure et d'utilisation. Et pourtant on utilise cette expression bien souvent pour ceux doté d'un trou petit bout.

Après des caresses compliquées à cause de l'endroit étroit qu'est la voiture, je m'exécute et l'aide à me débarrasser de mon jean et mon boxer. La sensation de ses doigts fins et délicats sur mon membre épais et pulsant est un vrai régal. Un geste simple, mais un parfait avant goût de ce qui va suivre dans quelques instants car je doute qu'elle se contente de le caresser ou de le contempler.

Ma position allongée m'offre une vision assez excitante lorsqu'elle se retrouve nez face à la bête. Son visage était masqué en grande partie par ma bite lorsque cette dernière décide de s'y attaquer après avoir déposer quelques derniers baisers au creux de mes cuisses.
A mon tour d'exprimer mon plaisir. Un long soupir de plaisir s'échapper de ma bouche lorsque ses douces lèvres humides viennent embrasser ma peau sensible et veinée.

- Mmnnnnn ! Oui...

Les mots sortent tous seuls. Tout comme ma main qui s'active, guidée par la situation, pour se déposer sur sa tête et se glisser dans sa chevelure. Celle-ci l'accompagne dans ses gestes durant les première secondes. Car de toute évidence, elle ne parvient pas à engloutir plus des trois quarts de son dessert. Ce n'est pas faute de l'encourager en appuyant légèrement sans trop forcer.

Au bout de quelques minutes je me décide de prendre littéralement les choses en main. La droite dans ses cheveux lui fait comprendre de reculer un peu la tête pour que la gauche attrape ma queue à la base et la retire de sa bouche. D'un mouvement habile du poignet je lui fait pencher la tête sur le côté afin qu'en la remuant de gauche à droite, sa bouche remonte et descende le long de ma tige.

Je me retiens de lui donner la moindre consigne vu que je "parle trop". A elle donc de décider de la façon de procéder pour me donner un maximum de plaisir. Que ce soit avec ses lèvres, sa langue, sa salive. Il faut expérimenter dans la vie.
A chaque fois qu'elle fait un "tour" complet, mes veines font pulser mon sexe. L'organe gorgé de sang adore le traitement qui lui est offert et le rend bien à la belle Kara.

Mais au bout d'un temps l'envie est trop forte.

- J'adore ta façon de sucer ma bite... Mais oublie pas mes couilles.

Ma main pousse alors un peu sa tête pour lui faire comprendre de descendre encore plus bas. Je n'ai pas eu d'orgasme depuis trois semaines déjà, alors inutile de dire qu'elles commencent prendre à me démanger vu l'attention particulière apportée à ma tige et mon gland.

En tout cas elle est sur la bonne voie et peut-être qu'une fois que j'aurais visité sa gorge ce sera au tour de ses seins. Il serait criminel de ne pas tester une paire pareille alors qu'elle est juste là.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)
« le: mardi 22 décembre 2020, 23:19:55 »
La façon qu'elle a de prendre son temps entre chaque geste, la délicatesse et la détermination qu'elle insuffle dedans est à la limite de la perfection. Je n'ai aucun mal à ressentir son désir passer entre ses chemins pour en sortir par chaque pore de sa peau et ainsi s'injecter dans mon corps.

Lorsqu'elle me demande de l'aider, j'hésite un bref instant. Est-ce qu'elle parle de prendre les choses en main pour elle ? Ou alors de, justement, laisser les choses suivre leur cours ? Dur à dire vu qu'elle n'arrête toujours pas de faire trainer ses doigts pour dessiner encore et encore les contours de mes muscles saillants. Si encore ce n'était que ça. Voilà que sa main se dirige encore plus bas sur mon ventre. Rapidement, la voici qui semble hésiter à partir en conquête de ce qui se trouve un étage en-dessous.

- Viens-là !

Ma main gauche se glisse dans ses cheveux pour ramener son visage au mien pendant que ses petites mimines restent accrochées à ma ceinture. Comme si cette dernière lui permettrait de ne pas se faire emporter par un raz de marrée. Mon corps tout entier brûle de désir. J'ai envie d'aller plus loin, bien plus loin.
Réussir à garder le contrôle se fait de plus en plus compliqué. Surtout avec des formes aussi attirantes que les siennes qui feraient pâlir un grand nombre de femmes.

Mon autre main, la droite, libre jusque là, abandonne ses fesses pour remonter au niveau de sa poitrine. D'un simple geste de l'index je fais descendre la fine bretelle pour ensuite tirer sur le pan de sa robe. Un geste rapidement reproduit avec son soutien-gorge et libérer le nouvel objet ma convoitise.

- J'avais raison, ils sont parfaits.

Dans nos positions je peux soupeser et jouer avec son sein qui est d'une telle douceur. Ferme mais pas trop, juste ce qu'il faut. Comme avec ses fesses plus tôt je m'amuse à tester ses réactions en continuant de l'embrasser sans discontinuer. De quelle façon est-ce qu'elle réagit quand je presse ma paume sur son téton tendu ? Et lorsque je m'amuse à le saisir entre mon pouce et mon index pour tirer doucement dessus ? Ou alors lorsque je le pince un peu trop fort ?

Chacune de ses réactions me fait fondre. Que ce soit quand ses lèvres se mettent à me pincer, quand son souffle se coupe une fraction de seconde ou encore lorsque sa salive se met à déborder car l'excitation est trop forte.

Mais assez joué, c'est à son tour d'en profiter.

- Désolé, je voulais juste jouer un peu. Je pourrais passer des heures sur des seins aussi parfaits.

Je la laisse reprendre sa place initiale. Voir descendre encore de quelques centimètres si elle le souhaite. En tout cas ses mains n'ont pas changé de place depuis tout à l'heure. Je décide donc de poser les miennes sur les siennes et de l'aider à déboucler ma ceinture. Tout doucement. Puis le bouton de mon jean. Elle y découvrira alors un bosse uniforme et pulsante à travers le boxer. La matérialisation de ses multiples caresses et baisers.

- Viens la découvrir, la sentir. Elle est toute à toi.

Une main sur son poignet, je guide celui-ci sur ma bosse avant de le lâcher. A ce contact, mon pénis tressaute d'anticipation quant à ce qui risque de l'attendre. Tandis que de la seconde main je guide son visage entre mes cuisses jusqu'à une certaine distance. Le but n'est pas de lui écraser le visage dessus. Mais elle voulait que je l'aide, non ?

- Après avoir goûté à mes lèvres et à mon torse, autant passer à la partie suivante.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)
« le: mardi 22 décembre 2020, 21:44:34 »
Eh ben, je vais finir par me demander ce qui a pu lui arriver avant pour flipper autant. Peut-être qu'avec son boulot et ses amis elle croise que des calculateurs ou manipulateurs, voir des coincés qui sont incapables de se lâcher ou de d'agir sans passer trois ans à réfléchir de chaque aspect d'une situation. De toute manière elle semble vouloir tenter l'expérience et avec de la chance elle continuera à se libérer.

Parce que ouais, elle est clairement partante. Ses gestes sont même beaucoup plus convaincant que ses paroles. Afin de pas y aller de façon trop brusque et de la braquer je m'étais contenté de l'embrasser en laissant mes mains vagabonder de façon assez soft. Alors qu'elle... bah elle m'attaque l'oreille cash. L'hésitation est évidente sans que j'ai besoin de la voir. Ou alors ce serait dû à son état d'excitation ? Un mix des deux ? Peu importe, l'essentiel est de se faire plaisir des deux côtés. Ses mains se mêlent rapidement à la bataille par-dessus mes vêtements. Puis rapidement en-dessous alors que les sensations que me procurent sa bouche me font légèrement trembler.

Son souffle chaud sur ma peau nu fait contraste avec sa bouche douce et humide. L'effet contraire du vent frais sur la peau quand on ressert trempé de la piscine. L'arrêter, ou plutôt la freiner, en pleine ascension ne me plaît pas. Mais faire ça devrait rendre les choses plus intéressantes.

- Attends, ce sera mieux si...

De mon bras libre j'attrape et active la commande pour faire descendre doucement mon siège. Pas jusqu'à me retrouver allonger, mais pas loin. Je lui saisis alors le poignet pour la guider vers moi sans la forcer. Qu'elle vienne se positionner au-dessus étant donné qu'elle semble s'être décidé à prendre les devants durant notre échange.

Le sexe ce n'est pas qu'une question de domination et soumission. Sauf pour des cas particuliers. Là il est uniquement question de... De quoi d'ailleurs ? Il n'y en a pas vraiment de raison. On se détend, on se lâche et il se passera ce qu'il se passera. C'est aussi simple que ça.

Lorsqu'elle se retrouve au-dessus de moi, les jambes ouvertes, je dépose sa main et la seconde que j'attrape dans la foulée sous mon haut.

- Tu peux toucher autant que tu veux.

Et je libère ses mains pour faire passer les miennes sous sa robe. En premier temps sur ses cuisses à la peau si douce. Mais pas à l'aide de mes paumes. Non, je préfère les effleurer avec la pulpe de mes doigts, délicatement, sensuellement. Car plus tôt dans la cabine j'ai remarqué l'effet que ça lui faisait.

Je monte, je descends, prenant tout mon temps pour savourer l'instant. Puis je décide de remonter délicatement jusqu'à me saisir de ses fesses bien rondes et potelées. Là encore je les découvre avec mes mains sur toute leur surface. Les empoignant de temps à autre pour voir ses réactions. Chaque fois un peu plus fort, puis moins. J'aime voir les différentes expressions sur son visage ou les réactions de ses mains et sa bouche en fonction de mes gestes.

- Sois pas timide avec moi. Lâche-toi !

Je relève alors le visage pour l'embrasser à pleine bouche une nouvelle fois. A pleine bouche, laissant ma langue chercher la sienne de façon plus vulgaire que les précédentes. La température monte inéluctablement à l'intérieur du véhicule.

Quand je libère ses lèvres, la salive qui s'est accumulée durant notre baiser coule sous nos menton et termine en partie sur mon torse.

- Dis-moi ce qui te ferais envie. Là, maintenant.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Un mois pour tout arranger (PV |-| Chloé)
« le: mardi 22 décembre 2020, 17:06:15 »
Entraver ses mouvements n'avait pas pour but de la soumettre mais de calmer ses ardeurs. Ne serait-ce qu'un peu. Une manœuvre inutile et inefficace au possible. Il ne reste pas 36 solutions pour réussir à atteindre mon objectif. La faire jouir me semble être le seul remède. Sauf que cela risque de prendre plus de temps que prévu étant donné qu'elle préfère les échanges.

Une chose est sûre, elle ne déconnait pas sur le fait d'être plus expérimentée que moi pour se servir de sa bouche. Parce que pour venir me travailler les couilles comme elle vient de me le faire il faut s'être entraînée des heures entières sur un paquet de mecs. Déjà que c'était excellent quand je lui ai collée la tête sur mes boules, la sensation est presque indescriptible quand elle se tord en deux pour venir y coller son visage.

- Ouais, t'es une sacrée suceuse ! Mais on doit te le dire souvent.

J'ai du mal à rester debout. Pas parce qu'elle est très douée. Enfin, si, en grande partie parce que ses lèvres me font remuer dans tous les sens quand elle tourne la tête tout en aspirant une couille pour la recracher de façon vulgaire. Quand on vous tire et vous aspire de manière désordonnée avec autant d'envie et d'acharnement, dur de garder l'équilibre. En particulier sur un lit. Parce qu'on peut vraiment parler d'acharnement dans le cas présent.

En plus d'aimer les grosses queues, elle a une évidente habitude de s'en occuper. Je la vois s'approcher tout doucement de moi pour me montrer un véritable tour de magie. Ma bite disparaît rapidement jusqu'au trois quarts dans un premier temps. Mon gland se plante contre sa glotte. Même après m'avoir pompé férocement et à plusieurs reprises jusque là, il lui faut un temps d'adaptation car cette fois elle se retrouve contre une bite entièrement dure et gonflée. La gober ne sera pas aussi facile qu'au départ.

Les défis ça lui fait carrément pas peur. Au contraire, ça semble la stimuler. Ses petits bras frêles viennent m'enserrer telles les pinces d'un crabe pour me faire comprendre que je n'irais nulle part. Ou alors pour se faciliter les choses de ce côté. Mon dos lui offre un point d'appui parfait pour me tirer vers elle tout en poussant avec sa tête.

- C'est ça, continue ! T'y es presque.

Les spasmes de sa gorge se réverbèrent tout le long de ma tige pour me procurer une sensation humide incroyable. Outre la gorge profonde qui me fait un bien fou, j'aime surtout la voir, la sentir et l'entendre s'étouffer sur ma queue. La salive s'accumule inévitablement dans sa bouche. Me procurant une sorte de cocon aqueux. C'est étrange à décrire. Chaque fois que sa salive se met à former des bulles lorsqu'elle quitte de force ses lèvres je sens une sorte de picotement. Comme des chatouilles. Le tout associé à son haleine chaude qui vient s'abattre sur ma peau veineuse par la même occasion.

- Mffffffff !

Le coup du doigt, par contre, je le vois pas venir alors qu'il est déjà trop tard. Elle est pas la première à me le faire. Pas mal de temps en arrière j'ai rencontré une femme qui était à fond dans ce délire en plus des anulingus. Après y avoir goûté, bah... j'ai pas du tout accroché.
En tout cas ça risque de se payer plus tard vu que son acte semble nous faire aller sur un thème récurrent.

- Tu vois jouer à ça ? Vraiment ?

Mes deux mains viennent chercher sa chevelure rose bonbon et se mettent à appuyer de toutes leurs forces sur son crâne pour le faire avancer. Difficilement mais sûrement. Quitte à lui arracher de nouveaux sons humides et dignes des pornos les plus sales du marché. Putain, ma queue à du mal à accéder au fond de sa gorge mais je ne vais pas me démonter pour autant. Ca non, elle m'a trop fait chier.

Qu'elle finisse par s'étouffer dessus s'il le faut. Dans mon état actuel je ne pense plus vraiment au reste. Le portable, la mission de ce soir... Ca a plus aucune importance. L'objectif c'est de faire bouffer ma bite à cette petite pute. Et je finis par y arriver au bout de quelques secondes.

Son nez fini par buter sur mon pubis tandis que je sens son menton fin mais collant à cause de toute la salive qui a dégouliné dessus en plus de celle qui est restée accrochée sur mes couilles quand il s'y accroche.

- Putain, c'est un trou noir, pas une gorge !

Je continue de lui bloquer la tête contre moi. Peu importe les contractions de sa gorge qui m'écrasent et me font mal à la bite. C'est un faible prix à payer pour la voir finir par me demander de lâcher prise quand elle finira à court d'oxygène.

Le moment venu je relâche mon emprise le temps qu'elle reprenne son souffle et glisse une dernière fois ma main dans ses cheveux pour la faire me sucer. Ma queue est tendue au maximum, prête à faire feu au bout de deux minutes. Je tire légèrement sur ses cheveux pour la faire reculer et je me mets à lui asperger le visage sans aucune considération ou retenue.

Mon sperme lui éclabousse littéralement le visage et les seins. Le nez, les joues, la bouche, le menton... tout y passe sans exception.

- A mon tour de m'occuper de toi. Montre ton petit cul !

Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir ou de réagir que j'attrape une de ses chevilles pour la retourner une nouvelle fois sur le lit. Elle a aimé jouer avec mon cul tout à l'heure. Sans doute pour se venger car j'ai remarqué que mes caresses à l'aide de mon pouce lui faisaient de l'effet.
Avec mon gland encore enduit et dégoulinant de sperme chaud et gluant en guise de lubrifiant je m'enfonce doucement mais bien profondément dans son oeillet.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Un mois pour tout arranger (PV |-| Chloé)
« le: lundi 21 décembre 2020, 17:50:11 »
La situation devient folle et chaotique une nouvelle fois. A croire que c'est une tendance chez elle. Le chaos pourrait même devenir une sorte de normalité. A vérifier sur la durée.

- Nan, j'suis nickel de ce côté.

La question est gonflée venant d'une nana qui doit sûrement s'envoyer un paquet de mecs différents par semaine. Si on devait comparer nos notes je pourrais limite passer pour un puceau à côté d'elle. Par contre, pour le truc des filles qui savent mieux utiliser leur bouche que les mecs j'émets un gros doute. Ou alors elle parle de sa bande de copines.
Les nanas un peu dévergondées et totalement lâchées prennent une pipe pour un simple baiser prolongé. Alors que celles qui pratiquent moi la chose ne savent pas du tout y faire ou très peu. Au point de parfois casser l'ambiance.

Quand elle englouti ma queue qui est encore en semi molle pour la caler dans sa gorge il se produit un truc bizarre. Sa façon d'utiliser ses lèvres pour me caresser avec l'aide de sa langue est parfaite. Mais ma bite se met à durcir seulement. Sans gonfler complètement. Pourtant c'est pas la première à aimer prendre les devants et le dessus au pieu.

En tout cas, en terme de salopitude je lui décerne un oscar. La voir recracher ma bite de cette façon pour se retrouver avec de la salive au visage après juste ça. C'est probablement un record de rapidité. Et en plus la voilà qui me demande de lui virer son haut. D'une manière bien précise.

Si elle aime qu'on joue sur le côté animal et sauvage, alors on va jouer. Toujours sur le dos je lui attrape la gorge de la main droite pour la faire se redresser un peu et la lâche pour attraper son t-shirt avec les deux mains que j'arrache au milieu. Sauf que je ne me contente pas de ça. Ho non, elle va avoir droit à une petite surprise dans la foulée.

En faisant semblant de l'aider à lui enlever ses manches je fais remonter le tissu vers le haut en emmenant ses bras avec. Là, je fais un noeud rapide pour l'empêcher de les bouger comme elle le souhaite. Son soutif s'est même retrouvé emmêlé dans le processus pour la laisser sans défense avec les seins à l'air.

- On va voir si t'es si douée que ça.

Je lui attrape la tête avec mon autre main et lui fait avaler ma bite sans lui demander son avis. Je peux alors sentir ma queue gagner en volume doucement entre ses lèvres qui restent collés à mon membre veineux et chaud. Une dizaine, voir une vingtaine de seconde. Puis je relâche mon emprise.

Tout en gardant encore un peu ses poignets bloqués, je me redresse pour me mettre debout sur le lit tout en la tirant pour qu'elle se retrouve à genoux. Ma main droite se saisit de mon sexe à sa base et se colle sur son visage d'ange pour y étaler une bonne partie de la salive qu'elle vient de rependre elle-même dessus.

- Tu l'ouvres beaucoup. Mais en attendant t'es pas capable me faire bander complètement. Alors pour la peine...

Ma main libre vient cette fois insérer mes doigts dans ses cheveux pour l'étape suivante. Mon gland humide dont dégouline un mélange de salive et pré-sperme est le premier à presser sur sa jour. Puis c'est au tour de ma tige pulsante et couverte de veine. Ma queue est quasiment collée contre son visage brûlant par l'excitation.
La voilà désormais la bouche écrasée contre mes testicules. Si elle si douée que ça avec sa bouche, alors c'est l'occasion de le prouver.

- T'auras sûrement besoin de tes deux mains pour y arriver.

Tout en lâchant ma phrase je dénoue le bout de tissu et libère ses poignets pour voir ce qu'elle a en réserve. Parce que si elle a faim de grosse bite, elle va être servie.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Un mois pour tout arranger (PV |-| Chloé)
« le: lundi 21 décembre 2020, 14:42:15 »
Je suis pas con. Pas totalement en tout cas, voir pas dans ce sens là du terme. Je m'attendais forcément à une réaction de ce genre en lui lançant la chose de bute en banc. Debout au pied du lit je me gratte la tête pour réfléchir à comment désamorcer la situation. Et j'ai beau me creuser les méninges, je ne vois aucune issue logique ou calme à tout ce chaos qui règne.

- Okay !

Un mot, un seul. Après le torrent de remarques et autres insultes qu'elle vient de lâcher en allant lire un magazine à la con dans son coin. A quoi bon chercher à argument en même temps ? Par le passé il m'est déjà arrivé de croiser des nanas un poil sadique qui aimaient jouer à des espèces de jeu passifs-agressifs. Pour le moment on n'est pas vraiment dans une situation similaire. J'ai surtout l'impression d'avoir face à moi une nana qui pense que tout lui est dû et que les conséquences... Elle doit probablement ignorer ce mot.
Se faire priver de sortie, de bagnole ou d'argent de poche quand on fait une connerie monumentale c'est pas une vraie punition. Tout juste une tape sur la main. Je parie que même si les flics étaient intervenus hier elle aurait jamais été réellement inquiétée par la justice.

Rien qui n'aurait pu la pousser à changer sa façon d'être et de penser. Alors comme on dit : aux grands maux, les grands remèdes.

- La seule personne qui a besoin de se calmer ici, c'est toi. Et je vais pas te laisser me foutre dans la merde une seconde fois avec tes caprices.

Le fait de se trouver sur le ventre l'empêchera de se mouvoir et de réagir assez vite. Je bondis alors sur le lit et attrape son jean que je lui enlève d'un seul geste. Rapide et compact. Sans même avoir besoin de le déboutonner avant. Une technique que j'ai développé par moi-même et pour moi-même quand je dois me désaper rapidos le soir. Au point de pouvoir m'en servir dans le noir ou carrément les yeux fermés.

J'attrape ensuite ses cuisses pour l'attirer vers moi et m'attaque sans attendre à sa petite fente à travers sa culotte à l'aide de la main droite tandis que la gauche part à l'assaut de son épaule pour l'empêcher de trop bouger.
Mon pouce se glisse ensuite rapidement entre ses deux fesses rondes et potelées pendant que mes doigts continuent leurs recherches par-dessus sa culotte. Frottant de manière régulière et délicate dans un premier temps pour qu'elle comprenne que je suis pas là pour la violer comme une brute. L'objectif de l'opération est de la pousser à se détendre et finir de jouir. Pas de l'écraser contre le lit à coup de bites. Si c'est son délire, j'aviserai le moment venu. Mais on n'y est pas encore.

En petite partie pour me venger de ce qu'elle a dit plus tôt, je n'hésite pas à appuyer de temps en temps sur son œillet une fois que je l'ai repéré. Durant au moins deux ou trois minutes je continue de la chauffer un peu pour ensuite passer aux choses sérieuses.
Je lui libère l'épaule pour attraper une de ses cuisses et la retourner sur le lit comme une vulgaire crêpe qu'on enverrait en l'air pour la rattraper dans l'autre sens. Dans le mouvement, je profite de l'effet de surprise pour lui retirer sa culotte que je balance par-dessus mon épaule et approche rapidement mon visage entre ses cuisses pour commencer à lécher ses lèvres intimes et son clitoris. Avec le temps j'ai fini par prendre le coup de langue de ce côté. Même si au départ il faut tester différentes choses avec chaque fille. Toutes ne réagissent pas de la même manière aux léchouilles, aux aspirations et aux caresses et doigtages.

Lorsque je me décide à aspirer un peu son clito pour jauger sa réaction, je le fais en effectuant volontairement un maximum de bruit.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Un mois pour tout arranger (PV |-| Chloé)
« le: lundi 21 décembre 2020, 09:43:15 »
Alors là... J'ai rien compris à ce qui s'est passé. Tout ce qui est certain c'est que je vais pas y remettre les pieds quelques temps pour laisser les choses se tasser. Des bagarres et autres embrouilles il y en a permanence et partout dans le quartier de la Toussaint. Faut pas espérer y passer sa vie sans se retrouver dans des histoires louches un jour.

Toute cette histoire m'arrange pas car j'ai pas pu faire un quart de ce que je voulais tester. Espérons que la soirée se passe bien parce que sinon il faudra se reposer sur une grosse part d'incertitude de mon côté en terme de protection. Si on tombe sur un gars ou deux, je pense que je peux gérer. Mais plus et en même temps ? Ce sera une boucherie. Et dans le mauvais sens.

Une fois dehors je la prends à part pour l'emmener à quelques mètres en la tirant par le bras sans y mettre de force pour pas lui faire mal. J'ai juste besoin de lui faire comprendre de me suivre.

- A partir de maintenant, quand on est sera quelque part ensemble, tu m'appelles si il t'arrive un truc. Les abrutis ça manque pas dans le coin. Mais même avec les deux jambes et les deux bras dans le plâtre je peux m'en occuper.

Je marque alors une pause de quelques secondes et commence à sourire en repensant à la scène qui a précédé notre départ. C'est même limite si je ne me mets pas à rire.

- En tout cas t'as de l'énergie à revendre. Avec un peu d'entraînement tu pourras te défendre toi-même contre ce genre de types.

Le sourire sur mon visage dissipe alors progressivement pour adopter une expression plus neutre et un ton sérieux.

- Le but en venant ici était en partie pour t'apprendre une base ou deux sur le self-défense. Parce que même avec toute ton énergie, tu pourras pas grand chose contre certaines menaces. Et faut au moins que t'apprennes à te défendre en cas de besoin. Surtout que ça te servira pour le reste de ta vie.

Mode sérieux balayé, repassons à la normale et retournons à l'appart. Parce qu'étant donné que la session d'entraînement et de tests à été écourté, il va falloir s'occuper quelques heures avant de passer en revue une dernière fois le plan et se rendre à la soirée.

Le trajet sera bien cours et ponctué de quelques conseils sur ce dont je lui ai parlé plus tôt. Enfin, je lui explique et détaille surtout le genre de situation qu'elle peut croiser en venant ici dans ce quartier pourri. Entre les camés et les dealeurs qui aiment abuser des nanas sur un coup de tête en se barrant une fois leur affaire terminée, on a aussi les trafiquants. Eux, ce sont de vraies menaces. Et une fois entre leurs mains, une nana est foutue car ils la presseront jusqu'à ne plus pouvoir en tirer quoi que ce soit.
Je saute quelques détails pour pas la faire trop flipper et paniquer de toute manière. Il faut juste qu'elle comprenne qu'ici il faut jamais baisser sa garde.

Une fois de retour à l'appart je balance mes clés sur le buffet et enlève mon t-shirt pour partir prendre un nouveau sac plastique et le scotch. Je suis bon pour une autre douche vu que je ne compte pas sentir la transpiration sous le costume que je vais porter ce soir. Ca ferait tâche.

Je me retourne alors vers Chloé.

- Bon... On a encore quelques heures à tuer et un peu de détente nous ferait pas de mal pour évacuer tout ça. Une douche nous fera pas de mal, alors viens.

Le sexe a toujours été un moyen sûr et efficace de se changer les idées et de se détendre. Avec l'expérience j'ai réalisé que c'était un excellent moyen de faire connaissance et renforcer la cohésion dans un groupe. Et Chloé ne pas l'air d'être une sainte nitouche. Ou une grande romantique.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)
« le: lundi 21 décembre 2020, 00:07:28 »
Ah, la voilà qui revient vêtue de sa robe noire fruitée quand la vendeuse récupère celle qui va devoir être retouchée en plus de la première qu'elle aimait aussi beaucoup. Le regard plongé dans le sien je lui réponds naturellement par l'affirmative étant donné que c'est le cas.

- Ouais, je pense qu'on a fait le tour.

La question qui suit est plus étrange par contre. Autant par sa nature que par la transition... Non, en fait elle n'a aucun rapport proche ou éloigné avec notre situation. Et je suis censé répondre quoi ? Je veux dire qu'on vient de manger au restau il y a pas si longtemps. De plus, faire une allusion un peu trop évidente sur une femme et son rapport à la bouffe c'est s'attendre à recevoir une déclaration de guerre. On parle même pas de probabilité mais de fait avéré dans 100% des cas.
Après quelques de réflexion une idée me vient en tête.

- C'est vrai qu'on a sauté le dessert tout à l'heure. Par contre j'ai un truc à régler avant. Enfin, deux.

Ouep, il restait encore à payer et faire livrer les vêtements. C'est pourquoi je lui demande de m'accompagner jusqu'à la caisse où les deux femmes nous attendent. La vendeuse, elle, est toujours aussi rouge et gênée. Mais elle prend sur elle pour demander à Kara de la suivre un instant.

- Excusez-moi mademoiselle mais je vais avoir besoin de vos mensurations pour les retouches. Alors si vous voulez bien venir avec moi.

De mon côté je dois encore payer pour les fringues et demander à les faire livrer aussi rapidement que possible à l'intermédiaire. Quitte à payer un bonus au passage. Ce qui n'est pas une trop lourde contrepartie vu que tout arrivera chez moi en temps et en heure.
La patronne accepte une fois la facture payée et me demande si la robe a retoucher doit également livrée à la même adresse. Je leur dis que nom et leur donne mon numéro de portable pour me contacter afin d'être récupérée directement ici dans quelques jours.
J'ai de gros doutes là-dessus, mais certains mecs pourraient tenter de la vendre car leur cerveau leur fait imaginer des trucs délirants à force de foutre leur nez dans la poudre.

En attendant que Kara termine avec la vendeuse je demande à la patronne si elle peut lui dire que je l'attends à l'entrée du magasin. Il faut encore que je passe un coup de fl après tout.

- C'est moi. Vous avez reçu quoi pour le moment ?
- On a les meubles là. Putain, tu t'es pas fait chier.
- Ah bon ? J'ai pris ce que j'ai trouvé.
- Heureusement qu'on est discret. Sinon je te dis pas la merde que ça pourrait devenir dans les rues.
- J'te fais confiance. Par contre tu peux attendre encore une heure ou deux ? J'ai deux autres livraisons qui devraient pas tarder. Je te filerai un supplément.
- Ooouuh, si tu me prends par les sentiments.
- Et t'aurais une caisse à me dépanner pour l'après-midi ?
- Te la faut quand ?
- Maintenant ?
- T'es chiant. Bon, j'vais voir ce que je peux te trouver. Envoie l'adresse par sms.
- Ca marche.


La zone commerciale est toujours aussi grande. Et j'attends un petit moment avant que Kara ne vienne me rejoindre. Des deux trucs à régler, il ne m'en reste finalement plus aucun. Sauf si j'ajoute le fait de devoir tuer quelques heures de plus à mon agenda comme un objectif à court terme.

- Finalement c'est bon, on peut aller ailleurs si tu veux.

Sans plus d'explication que ça je lui demande de me suivre alors que l'on se dirige vers le parking où j'ai demandé à mon contact de me laisser une voiture. J'ai devant moi une voiture de sport rouge foncé, limite bordeaux. Je m'approche de la rouge avant gauche et glisse ma main dans le petit espace au-dessus afin d'y récupérer les clés.

- Avant que t’ailles te faire des idées, on me l'a prêtée pour la journée. Allez, monte.

L'intérieur est plus spacieux qu'on pourrait le croire en regardant le véhicule depuis l'extérieur. En plus de ça la bagnole sent le neuf. Une chose peu surprenante vu à quel point mon contact prend soin de ses bagnoles. Parfois même plus que de lui ou de sa famille.
Tous les deux dans la bagnole, je me retourne vers Kara pour lui demander si elle n'a pas changé d'idée.

- Tu veux toujours prendre ce dessert ?

La seconde d'après je me tourne vers elle, tend la main droite pour la glisser dans ses cheveux pour faire venir son visage contre le mien et reprendre là où on s'était arrêté plus tôt. Les mouvements sont plus limités dans une voiture que dans une cabine d'essayage. S'appuyer sur un siège, dont le cuir peut être aussi parfait qu'on le souhaite, bloque tout un côté du corps. Le gauche dans ma situation.

Ma main droite finit rapidement par quitter sa chevelure en laissant trainer les doigts jusqu'au dernier instant pour se poser sur son épaule. Elle continue sa folle descente le long de son bras pour terminer sur sa hanche.
Nos lèvres dansent les unes avec les autres quand nos langues ne cherchent pas à reproduire les même gestes. Puis ma main décide de changer de cap. Celle-ci remonte doucement pour se caler un bref instant sous sa poitrine généreuse. Qu'elle soulève d'abord doucement avec le petit espace qui se trouve encore mon pouce et mon index. Puis le massage commence. Mes doigts retrouvent cette douce et élastique étreinte.

Je la garde ainsi prisonnière pendant quelques minutes avant de lui reposer la question autrement.

- Tu préfères qu'on prenne le dessert ici ou ailleurs ?

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