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Messages - Poison Ivy

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Prélude / Re : L'amour des plantes ♥ [Valiplantée! ^^]
« le: jeudi 23 février 2012, 02:50:01 »
Petite et discrète MAJ de mon avatar pour signaler que j'y ai ajouté une nouvelle image, que je viens de trouver, la Poison Ivy faite par Shunya Yamashita : http://img833.imageshack.us/img833/2538/dcpoisonivy.jpg. Ça fait donc 18 images, pour un album qui a été visionné en tout plus de 2000 fois x)

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Ce fut indiscutablement une rencontre intéressante. Serrant contre elle Sakura, Poison Ivy s’abandonna également au plaisir du sommeil, sombrant rapidement. Cette petite femme avait été très épuisante, et elles dormirent ainsi, l’une dans les bras de l’autre, dans une tendre et délicate étreinte, leurs corps verts se confondant avec l’herbe. La nuit les enveloppa d’un halo d’obscurité, les vents refroidirent leurs corps essoufflés, et ce fut la Nature qui, après les avoir endormis, les réveilla. Paresseusement, le soleil s’étira dans le ciel, dardant de ses rayons de feu la région. Les oiseaux émirent leurs gazouillis habituels, les animaux se réveillaient, les prédateurs, à l’affût, chassaient à nouveau. Lentement et silencieusement, la Nature poursuivait son perpétuel cycle de destruction et de création, infligeant la mort pour répandre la vie. Ivy fut la première à se réveiller, sentant le corps chaud et tendre de la petite dryade contre elle. Cette dernière était à moins enracinée dans le sol, ses pieds s’enfonçant légèrement dans les brins d’herbe. Lors des nuits d’hiver, les légendes affirmaient que les dryades sommeillaient avec la nature, se perdant dans les racines des arbres, n’en ressortant que quand les arbres fleurissaient à nouveau. Il fallait croire que c’était le cas. Dans un sens, Ivy était jalouse de Sakura. Cette dernière était une dryade parfaite, détenant un lien de communion avec la nature fort, un lien qu’Ivy ne pourrait jamais avoir. Si elle était fière de son résultat, Poison Ivy en éprouvait tout naturellement de l’envie.

*Bah, songea-t-elle, inutile de faire l’enfant ! J’ai réussi à créer une veritable dryade… Certes, ce n’est pas vraiment une construction « ex nihilo », loin de là, et le fait que cette petite soit terramorphe m’a plutôt bien aidé, mais bon… C’est au moins une dryade parfaite…*

Elle avait après tout réussi à soigner les arbres. Ivy caressait silencieusement le corps de la nymphe endormie, se repaissant des bruits de la Nature. Elle pouvait sentir le vent faire remuer les fleurs, humer le pollen de ces dernières, sentir les oiseaux s’extirper de leurs nids pour prendre leur envol. Les abeilles butinaient, les araignées, silencieuses et muettes, tapies dans l’ombre, tissaient leurs toiles. Elle sentait également les ours, les loups, les chiens errants, se promenant dans cette grande forêt, et prolongea son regard, sentant encore d’autres créatures fantastiques remuer et avancer.

Lentement, Sakura se redressa, s’extirpant sans problème des bras d’Ivy, retournant dans son bulbe. Elle reprit alors une forme normale. Toujours allongée dans l’herbe, Ivy la regarda, entreprenant de se redresser. Un dernier baiser eut lieu, et Ivy savoura le goût tendre des lèvres de la jeune femme. Oui, c’était particulièrement agréable.

« Je ne vous remercierais jamais assez pour tout ce que vous m'avez apportée et appris... J'espère sincèrement que nous nous révérons un jours. Peut être qu'à cette occasion, vous pourrez rencontrer ma petite sœur et mon amour... Au revoir... Mère...
 -  Rassure-toi, je compte bien revenir voir comment se porte ma fille… répliqua Ivy en lui caressant une joue. Là où il y a des arbres, attends-toi à me trouver… Je viendrais te voir dans ton royaume un jour, petite Princesse. Maintenant, va. Ton cœur a d’autres sujets de préoccupation. »

Ivy embrassa alors Sakura, et cette dernière se transforma en un ange, s’envolant dans le ciel. Des rayons de soleil l’éblouirent, et la jeune femme disparut alors, s’envolant vers sa destination. Un sourire aux lèvres, Ivy entreprit de se redresser. L’arbre tentaculaire n’était plus. Lentement, les tentacules s’écroulaient sur le sol, et Ivy décida de retourner dans le lac, achevant son bain qui avait été interrompu la veille.

*Quel étrange monde… songea-t-elle silencieusement. Je sens que mon voyage est encore loin d’être terminé…*

FIN

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Après les cours (PV Poison Ivy)
« le: mardi 21 février 2012, 13:55:13 »
*Mais qu’est-ce qui m’arrive ?*

Ivy n’arrivait plus à comprendre ce qu’elle ressentait, tant cela semblait irrationnel. Martyriser des individus innocents, ce n’était pas dans son genre, surtout quand il s’agissait de ses élèves les plus intelligentes. La femme peinait à comprendre ce qui l’avait finalement amené à déployer tant d’agressivité envers Satsumy. C’était une élève douce, gentille, polie, et intelligente. Elle ne méritait en rien un tel traitement, mais, si Ivy en avait fugacement conscience, elle était incapable de s’empêcher de le faire. Elle n’agissait pas par jalousie, mais par simple sadisme gratuit, ce qui était à mille lieues de ce qu’elle était. Elle sentait bien qu’elle faisait du mal à Satsumy, qu’elle la faisait horriblement souffrir en perforant ainsi son postérieur, mais elle était incapable de s’arrêter, incapable de stopper, et, au contraire, ses actions étaient multipliées. Sa pénétration était plus forte, plus longue, plus appuyée, plus douloureuse, les cris de douleur de la lycéenne l’inspirant à continuer. Elle posa ses mains sur le fessier de la jeune fille, ses tentacules se raréfiant, se contentant du simple plaisir que la sodomie pouvait procurer… Et Dieu sait qu’elle se sentait bien, Ivy, à se mouvoir dans ce petit cul fermé. Elle l’avait préparé avec plusieurs tentacules, mais avait maintenant sorti son tentacule le plus gros, sa verge. Elle entendit vaguement Satsumy implorer sa pitié, et en éprouva une légère once de remords, si légère qu’elle disparut dès qu’Ivy l’eut éprouvé.

Soupirant, poussant des râles de plaisir, Ivy continua sa sodomie brutale, utilisant deux ou trois tentacules pour titiller le vagin de Satsumy, s’enfonçant dedans, la pénétrant de concert, excitant son clitoris. Tout était bon pour essayer d’atténuer sa douleur. Ivy agissait de manière paradoxale, presque schizophrénique. Elle aurait sans problème pu se contenter de cette longue et forte sodomie, mais, dans un recoin de son esprit, elle ne pouvait effectivement s’empêcher d’éprouver de la « pitié » pour Satsumy, l’exprimant à travers les tentacules qui s’occupaient de son vagin. Dans le fond, c’était toujours mieux que rien.

« Tu… Tu ferais mieux d’apprécier ça, ma chérie, car… Nous… Nous ne faisons que commencer ! lâcha Ivy. Et… Et… Oh, ton cul, ma belle, il est… Aaaaah… »

Difficile de s’exprimer, face à cette vague de plaisir qui la submergeait. Poison Ivy ressentait un plaisir violent et inexplicable, un plaisir bestial et sauvage, ardent et vif, loin de vouloir partir. C’était même le contraire. Elle jouit une nouvelle fois, inondant le cul de Satsumy, et la perfora encore, encore et encore, sans s’arrêter, les minutes défilant comme des secondes. Au bout d’un moment, Poison Ivy finit toutefois par se retirer, et son pénis végétal se rétracta, ainsi que ses autres tentacules, libérant enfin Satsumy. Brisée, la lycéenne resta étalée sur le sol, sur une flaque de sperme et de cyprine. Ivy, de son côté, reprenait lentement ses esprits, observant ce corps délicieux. Satsumy était belle, mais ce n’était pas de cette manière qu’Ivy entendait explorer sa beauté.

Du sperme s’écoulait lentement du derrière de Satsumy, un délicat filet. Ivy reprenait ses esprits, ou, du moins, espérait les reprendre, car les Dieux malsains qui avaient décidé de « maudire » Satsumy sentaient bien que la femme n’avait pas tout donné, et les pulsions divines continuaient à produire leurs effets. Faiblement, Ivy tenta de lutter contre ces derniers, secouant la tête, fermant les yeux, sentant ses hormones la démanger, lui faisant mal, Satsumy obnubilant son esprit, émergeant de ses fantasmes, les monopolisant, la dominant. Ivy fut vaincue, impuissante. Sa conscience lui faisait l’effet d’un deux défiant le flush royal qu’incarnait la perversion. Elle était un mur fragile soufflé par une tempête.

« Relève-toi, Satsumy, ou je te traînerai sur le sol… Nous allons poursuivre cet entretien ailleurs, et ne me fais pas attendre ! Dans le fond, tu adores ça… »

Le corps de Satsumy ne pouvait pas mentir. Ses frémissements, ses gémissements, les vibrations de ses muscles… Elle adorait être un pantin manipulable, un jouet servile. Les Dieux ont toujours eu une ironie spéciale. Peut-être que Satsumy finirait un jour par voir en cette malédiction une bénédiction ? Dans tous les cas de figure, Ivy, si elle ne savait pas que Satsumy faisait l’objet d’un charme divin, savait en revanche que cette dernière n’était pas une humaine normale. On ne pouvait pas non plus empoisonner une Empoisonneuse sans qu’elle le réalise, mais elle admettait que le sort qu’elle subissait était largement supérieur à ses capacités de résistance.

S’approchant de la porte de sortie, Ivy avait fait pousser ses tissus végétaux, afin d’être un peu habillée, se dotant ainsi d’une espèce de tunique verte avec des bottes et des gants.

« Rhabille-toi, et dépêche-toi. »

Ivy traîna ensuite Satsumy à travers les locaux déserts du lycée, rejoignant son antre, située sous ce dernier. Un tentacule s’était enroulé autour d’un des poignets de Satsumy, ainsi qu’autour de son cou, la forçant à la suivre. Ivy n’avançait pas trop vite, sachant que la pauvre lycéenne devait déjà souffrir. Elles passèrent par un escalier menant dans le sous-sol du lycée. Ivy traversa plusieurs couloirs, évitant la chaufferie, et ouvrit une porte de maintenance, descendant un escalier en fer rouillé. Un grand escalier concentrique dans un puits. Une lueur verte brillait en contrebas, comme une espèce de flaque marécageuse. Il s’agissait d’un enchevêtrement de feuilles, de lianes, et de mousse. L’escalier plongeait dedans, et Ivy s’arrêta, contemplant l’ensemble.

« Voici mon antre, Satsumy… Après toi… »

D’un coup avec ses tentacules, Ivy fit tomber Satsumy. Elle bascula par-dessus la rambarde grinçante de l’escalier, et tomba sur cette espèce de sol, passant alors au travers, comme si elle était engloutie. Elle se retrouva dans un maelström de tentacules qui se chargèrent de la faire atterrir en douceur, nue, sur le sol. Un sol végétal, où elle était entourée de curieux arbres verdâtres. Ivy ne tarda alors pas à apparaître également, portée par une espèce de fleur, qui l’amena devant Satsumy.

« Bienvenue chez moi, ma belle. Il est temps pour toi de vraiment découvrir ce qu’est le plaisir. »

Un sourire de plaisir traversa les lèvres de Poison Ivy à cette idée, et elle se laissa descendre sur le sol, devant Satsumy.

« Viens, ma belle, je veux que tes lèvres goûtent à ma fleur… » fit-elle en écartant légèrement ses jambes, montrant son intimité assoiffée.

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La brave Sakura était progressivement en train de réaliser à quel point la Nature était un jouet à double tranchant. Faire l’amour avec cet arbre tentaculaire, c’était bon, mais parfois trop bon. Ivy ne saurait exactement comment décrire ce sentiment, cette espèce d’overdose de jouissances. Sakura était en train de l’éprouver, tout comme Ivy, tant l’arbre était intense, tant il la prenait avec envie. C’était quelque chose d’unique et d’indescriptible, et Sakura le découvrait en ce moment, tout comme Ivy. La notion de temps disparut, Sakura baignant dans sa cyprine, ne pouvant plus se retenir, tandis que son corps se modifiait à nouveau, s’améliorer. Quand Ivy reprit son souffle, soit quand les tentacules se retirèrent d’elle, la femme baignait sur une flaque de sève et de cyprine. La nuit battait son plein depuis plusieurs heures, et Poison Ivy entreprit de se relever, mais ses jambes se dérobèrent, et elle tomba sur les fesses, pouvant toutefois voir le produit de sa réalisation.

« Une Dryade... Je me suis changée en fille de mère Nature... Je ressent toute la vie de la forêt, comme si elle palpitait en moi... »

Et une belle dryade ! Elle avait un corps vert clair, des formes alléchantes, et un visage poupon, similaire à celui de la traditionnelle Sakura. Un sourire éclaira les lèvres d’Ivy, qui resta assise sur le sol, et tendit un tentacule vers Sakura. Ce dernier s’enroula délicatement autour de son poignet, et l’amena vers elle. Dans ce corps, Sakura semblait avoir rajeuni, mais c’était une fausse impression. Le tentacule la fit tomber contre le corps d’Ivy, qui se mit à caresser son dos et son postérieur. La femme-plante souleva un peu Sakura, la tenant tendrement contre elle, comme une mère l’aurait fait avec son enfant, et elle lui embrassa le nez, avant de caresser avec un doigt ses seins, posant ensuite ses lèvres sur sa bouche.

« Oui, ma belle… Une belle et superbe dryade… Comme tu es belle, ma chérie… Je suis fière de moi… Ressens maintenant la Nature comme si elle faisait partie de toi… Maintenant, que ressens-tu à l’idée d’avoir détruit deux arbres ? Je suis sûre que plus jamais tu ne considéras ça comme quelque chose de négligeable, n’est-ce pas ? »

Elle retourna l’embrasser, poursuivant son câlin, la serrant contre elle. Sa peau était douce, et elle ressentait à son égard des bouffées d’affection. Ivy se laissa ensuite tomber, s’allongeant sur le dos, laissant Sakura sur elle, amenant la dryade à s’allonger également sur le corps d’Ivy, lui offrant de tendres et délicieuses caresses, parcourant tout son corps, glissant sur ses fesses, les pressant, avant de frotter son dos avec ses ongles.

« Là, repose-toi maintenant, ma belle… Passe la nuit ici, au milieu de cette nature, avant de reprendre ta route… »

Fatiguée comme elle était, Sakura n’était de toute façon probablement pas en état de se transformer en dragonne, et de retourner chercher sa sœur. La nuit était bien avancée, et elles étaient seules, seules au milieu de nulle part, avec pour seule compagnie tout ce dont une dryade avait besoin : des arbres.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Après les cours (PV Poison Ivy)
« le: lundi 20 février 2012, 20:27:44 »
« Monstre ? rigola Ivy. Alors, je te montrerai ma tanière, et je te ferais hurler, ma belle… Tu n’as encore rien vu, mon ange. »

Satsumy continuait à se débattre, au moins oralement. Physiquement, son corps avait abandonné la bataille sous les traitements de la professeur, et elle se laissait aller, les tentacules faisant remuer son corps, de manière à ce que son pénis végétal se glisse en elle, la pénétrant rapidement et profondément, la faisant hurler et gémir. Les tentacules emprisonnant les membres de Satsumy serraient solidement son corps, et Ivy finit par l’embrasser à nouveau, utilisant une main libre pour gratter et caresser le dos trempé de sueur de Satsumy. Elle l’embrassait longuement, retirant ses lèvres en souriant.

« Tes pointes durcies, ta cyprine… Qui crois-tu tromper à te faire passer pour une vierge effarouchée ? Tu aimes ça au moins autant que moi, petite salope ! jubilait Ivy. Quel effet ça fait, de réaliser qu’on est qu’une sale dépravée, hein ?! Haaa… »

Ce pénis était comme une excroissance de son propre corps. Cette verge tendue se faufilait avec appétit dans l’intimité de Satsumy, tandis qu’un autre tentacule allait lui labourer les fesses, la faisant hurler, tandis que les lèvres d’Ivy continuaient leur office, embrassant, tantôt la belle bouche de Satsumy, tantôt son cou, ses joues. Plus le temps passait, plus Ivy prenait conscience qu’elle devait mener Satsumy dans son antre, et qu’elle y serait conduite, qu’elle le veuille ou non. En ce moment, ce que voulait Satsumy importait pue à Ivy, qui avait envie de la baiser comme jamais on avait pu baiser cette petite lycéenne. Elle ne savait pas ce qui dominait le plus dans ses envies : la faire souffrir, ou l’exciter. Les deux semblaient se mélanger, et elle n’y allait pas de manière tendre en la pénétrant, labourant son corps, certains tentacules continuant à la fouetter, pendant de longues minutes. Même quand Poison Ivy embrassait Satsumy, elle mordait fortement cette dernière sur les lèvres, jouissant à plusieurs reprises, ses tentacules continuant à remplir la brave lycéenne.

Ivy remarqua alors que les joues de Satsumy, rouges, ruisselaient aussi de larmes. Cette dernière pleurait silencieusement, et si ce spectacle aurait normalement du l’attendrir, elle se sentait incapable de la moindre empathie. C’était même tout le contraire ! Voir ces larmes était un spectacle bien plus gratifiant que sentir sur sa verge végétale la mouille de Satsumy. Ivy en sourit, et pencha sa tête, se mettant à lécher et à embrasser les joues de Satsumy, remontant vers l’origine de ces deux petits ruisseaux, à savoir les yeux clos de la jeune femme, embrassant ses paupières, promenant sa langue pour absorber ses larmes. En soi, ça n’ajoutait aucun plaisir physique particulier, mais c’était une véritable satisfaction morale.

« Oh oui, ma beauté… Hurle, vas-y, pleure, chiale, ma salope… Je vais te donner des raisons de chialer, ne t’en fais pas… »

Ivy relâcha alors Satsumy, qui tomba sur le sol. Elle ne lui laissa pas vraiment le temps de souffler, des tentacules se ruant sur elle. Un tentacule s’enroula à nouveau autour du cou de Satsumy, la forçant à se redresser, tandis que d’autres se glissèrent sur son ventre et ses jambes, finissant par la mettre à quatre pattes, la verge d’Ivy se glissant entre ses fesses. D’autres tentacules écartèrent les fesses de Satsumy, et Poison Ivy alla alors se faufiler dans son derrière, avant de tirer sur le tentacule enroulé sur le cou de la lycéenne, la faisant se redresser. Elle se mit à fouetter son dos, avant que d’autres fouets ne viennent éclater sur ses seins, les martelant douloureusement. Les tentacules enroulés autour des jambes et du ventre de Satsumy faisaient remuer cette dernière de concert avec la verge plantée dans son cul, et un autre tentacule alla alors se glisser dans l’intimité de la jeune femme, qui retourna à quatre pattes, étant sauvagement prise.

Poison Ivy se régalait des hurlements de souffrance que la pauvre Satsumy poussait.

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Ivy se mit à quatre pattes, offrant sa fleur, son corps, et sa beauté à sa « fille ». Cette dernière ne tarda pas à accepter, devant probablement sentir un élan d’amour difficile à expliquer envers Poison Ivy, une bouffée de chaleur et d’affection.

« Je viens... M... Mère... » finit par dire cette dernière.

Poison Ivy sentit alors cette dernière poser ses mains sur son corps, et elle en frémit. Ivy serra le sol entre ses doigts, avant de sentir les lèvres de la mandragore se poser sur son derrière. Les mains de Sakura caressèrent le très attirant cul de la femme, avant qu’elle n’écarte ses fesses pour lécher les profondeurs de son fondement, faisant soupirer Ivy. Il n’y avait pas à dire, ces caresses buccales étaient particulièrement vivifiantes, et elle remuait légèrement son postérieur pour accompagner les mouvements de Sakura, sachant très bien que sa fille ne faisait que la titiller, que l’émoustiller. Elle y passa un certain temps, semblant admirer le cul bien formé de Poison Ivy, et cette dernière se mordait les lèvres pour ne pas lui hurler de passer aux choses sérieuses, d’accélérer le mouvement. Elle laissait à Sakura le temps nécessaire pour agir, cette dernière ayant après tout subi d’importantes modifications génétiques.

Au bout d’un moment assez long, Sakura retira sa langue, et s’étala sur le corps d’Ivy, se penchant en faisant remonter ses tendres mains le long du corps d’Ivy. Elle sentit le corps de Sakura frôler le sien, tandis qu’elle s’appuyait sur les seins tendus et impatients d’Ivy. Les pointes durcies de ses deux mamelons indiquaient à quel point elle était impatiente, et la doucereuse et enivrante odeur jaillissant de son intimité allait dans ce sens. Sa cyprine parfumée s’échappait de son intimité.

« Et si on passait au choses sérieuses, Mère ? lui demanda alors Sakura.
 -  Mon corps est tout à toi, Sakura… » répliqua simplement Ivy.

La mandragore utilisa ensuite ses tentacules, passant, comme elle l’avait annoncé, « aux choses sérieuses ». Ivy espérait que sa fille n’aurait aucune difficulté à s’en servir. Pour elle, les tentacules fonctionnaient naturellement, mais elle ne se rappelait plus si elle avait eu du mal ou pas à s’y adapter. C’était comme essayer de se rappeler si on avait eu du mal à utiliser ses jambes. Les tentacules étaient pour elle des organes normaux, des membres, au même titre que ses bras ou ses jambes. Sakura déploya ses tentacules, et Ivy en sentit quatre s’enrouler autour de ses jambes et de ses pieds, l’emprisonnant avec délice. Elle en soupira, et caressa avec ses doigts le bout des tentacules enroulés autour de ses bras, les emprisonnant dans la paume de chacune de ses mains, les grattant. Les tentacules étaient des zones érogènes chez cette mandragore, et elle les grattait tendrement, se demandant si ces tentacules permettraient de cracher, comme le corps d’Ivy pouvait le faire à travers ses tentacules, un genre de sperme.

D’autres tentacules ne tardèrent pas à venir, trois s’occupant du bassin d’Ivy. Deux autres roulèrent sur ses seins, les emprisonnant, les tirant à droite et à gauche, devant, les soulevant, la faisant gémir lentement. Toutefois, Ivy ne put bientôt plus gémir. Elle sentit un tentacule se glisser dans son cul, en même temps qu’un autre dans son vagin, et un troisième dans un autre trou, et elle en poussa un cri… Le cri ne dura toutefois qu’une ou deux secondes, car un énième tentacule s’enfonça dans sa bouche, glissant dans sa gorge, et tous les tentacules se mirent à remuer sur elle, et ses cris et gémissements furent étouffés. Comme c’était bon ! Elle ne tarda pas à avoir un orgasme, sa cyprine explosant pour glisser le long d’un tentacule, répandant une magnifique odeur, et elle ferma les yeux, se laissant faire, devenant une petite poupée entre les tentacules de Sakura, de sa perverse fille, qui y éprouvait un grand plaisir. Sous sa forme de mandragore, l’esprit de Sakura était en effet relié au sien, et elle pouvait sentir son bulbe, son petit cocon, se remplir de sa mouille. Ivy, elle, était aux anges, ressentant ce que ses partenaires, nombreux, avaient ressenti quand elle les prenait ainsi. Dix tentacules grouillaient sans relâche sur et dans elle, serrant son corps, tirant ses membres, la martyrisant avec délice. Elle était une prisonnière entre ses tentacules qui gargouillaient autour d’elle, la maintenant en l’air, serrant, la serrant… Oh, comme c’était bon ! Elle se sentait complètement écrasée sous une telle vague de plaisir, et contracta un second orgasme, sa cyprine continuant à se répandre, au fur et à mesure que les tentacules s’agitaient de plus en plus intensément.

« Viens... Viens me prendre... Ta petite sœur te veux en elle... » lança alors Sakura à l’attention de l’arbre tentaculaire.

Ce dernier agit sans hésitation, et de nombreux tentacules convergèrent vers Sakura, l’enveloppant délicatement et solidement. Un tentacule se contenta ainsi tout simplement de l’enlacer autour de son estomac, mais d’autres ne tardèrent pas à la pénétrer, s’enroulant autour d’elle, la mettant dans le même état qu’Ivy, ou presque. L’arbre agit selon sa volonté propre, et ne tarda pas à répandre un liquide verdâtre sur le corps et dans le corps de Sakura, remplissant progressivement le bulbe. Ce n’était plus du sperme végétal, mais une sève un peu différente. Sous l’excitation, Ivy était en effet décidée à poursuivre son expérience, et à continuer à modifier les gènes de cette dernière. Bien sûr, elle n’agissait pas consciemment, car Ivy n’était pas spécialement en état de le faire, mais de manière inconsciente. Les tentacules de l’arbre enveloppaient Sakura, cherchant à amener cette dernière à se désolidariser du bulbe dans lequel elle vivait, à donner dans son code génétique le support nécessaire pour en faire une dryade, ce qui amenait les tentacules de l’arbre à être assez offensifs. L’arbre tentaculaire ne cherchait pas vraiment un plaisir sexuel, mais c’est ce que Sakura devait ressentir, car c’est en l’anesthésiant sexuellement que l’arbre comptait la transformer. Ainsi, deux tentacules gobaient ses seins, les absorbant dans des bouches voraces pour lécher par de multiples dents visqueuses et molles, semblables à  des langues, ses tétons. D’autres tentacules étaient enfoncés dans ses parties intimes, d’autres caressaient son cul, et des micro-tentacules filaient par sa bouche dans son corps, tournant autour d’un tentacule bien plus gros qui pénétrait sa bouche, les micro-tentacules se mélangeant avec les veines de Sakura pour y inclure de la sève verdâtre, modifiant ainsi son sang, atteignant son cœur pour le faire, recouvrant progressivement tout le corps de Sakura de tentacules.

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Les terres sauvages / Re : La fleur du mal ( PV Poison Ivy )
« le: dimanche 19 février 2012, 00:12:59 »
Une telle transformation avait été éprouvante pour Poison Ivy. Fatiguée, elle se remettait lentement de cet exercice. Sa dryade était parfaite. Elle ne semblait pas étonnée d’être là, alors qu’elle était, techniquement parlant, un nouveau-né. Qui oserait dire qu’Ivy avait créé un monstre, tant elle était belle ? La jeune dryade restait près de sa mère, tout en regardant Iruka, qui hésitait sur son sexe. Elle en sourit légèrement, sentant sa sueur couler de son front. Voilà quelque chose qui était encore plus épuisant qu’une folle nuit d’amour. Ivy n’avait pas créé la vie, mais l’avait modifié, amélioré, embelli.

« Cette dryade est une femme, Iruka… Inutile de l’appeler ‘‘il’’. »

D’un point de vue technique, une dryade était asexuée, car il n’y avait que des femmes. Mais on les concevait bien sous une forme féminine, et cette dryade n’avait rien à voir avec un homme. L’ancien bûcheron était mort. Son corps, sa structure osseuse, ses molécules, avaient servi de base à modifier, non seulement son sexe, mais aussi son espèce, par le pouvoir transcendant des gènes.

« Je suis née pour servir ma Déesse, et je mourrais en la servant, expliqua la dryade.
 -  Ta Déesse ? demanda Ivy.
 -  Vous êtes ma génitrice, mais celle que je sers est la Nature… »

Ivy entreprit de se redresser, s’approchant de la belle dryade, et l’embrassa tendrement.

« Malheureusement, je n’ai pour l’heure jamais réussi à maintenir efficacement mes transformations… Mais je n’ai jamais réussi à aller aussi loin que jusqu’à présent. »

Ivy recommença à l’embrasser, caressant le corps de sa dryade, éprouvant ses zones érogènes. Elle caressa les belles fesses de la dryade, qui en gémit. Elle avait une belle bouche, des lèvres tendres et généreuses, et les doigts d’Ivy se transformèrent en tentacules qui commencèrent à caresser son corps. Poison Ivy finit par retirer ses lèvres de sa fille, et lui adressa& un sourire, comprenant ce que cette dernière pensait.

« Eurydice… Eurydice est ton nom. »

Dans la mythologie grecque, Eurydice était la femme d’Orphée, mais aussi considérée comme une dryade. Et Ivy ne connaissait pas suffisamment Terra pour savoir les noms usuels des dryades. Elle embrassa langoureusement Eurydice, transformant sa langue en un long tentacule verdâtre qui se faufila en elle, faisant gémir la dryade, alors que la langue se glissait dans son cou, s’enfonçant dans les profondeurs de sa gorge. Ivy arrêta son baiser, récupérant sa langue en souriant, puis un tentacule s’enroula autour du cou d’Iruka, l’amenant vers Eurydice.

« Ne sois pas si timide, Iruka, profite… Eurydice est une jeune fleur, et je ne l’ai pas conçu pour être une dryade guerrière. J’ignore dans combien de temps elle finira par se faner… Plusieurs jours, ou plusieurs semaines… Mais cela n’a pas d’importance… »

Poison Ivy fit jaillir ses tentacules, les glissant autour des bassins de ses deux enfants, afin qu’ils se collent l’un à l’autre, et s’embrassent tendrement.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Après les cours (PV Poison Ivy)
« le: jeudi 16 février 2012, 19:45:26 »
C’était un spectacle décidément bien fascinant que celui de voir cette élève se tortiller entre les multiples tentacules d’Ivy. Cette dernière éprouvait indéniablement un plaisir particulièrement sadique à l’idée de la faire souffrir ainsi, de la torturer entre ses longs doigts tentaculaires. Satsumy pleurait à chaudes larmes, et ce la ne faisait qu’accroître l’envie d’Ivy de la faire souffrir, alors qu’elle sentait aussi le corps de Satsumy se tendre de plaisir. Dans une certaine mesure, savoir que la jeune lycéenne aimait profondément ce traitement rassurait un peu la conscience vexée d’Ivy. D’un autre côté, elle ne voyait pas comment on pouvait ne pas apprécier ce que Poison Ivy faisait, compte tenu des spores qu’elle dégageait, et de l’aphrodisiaque qui constituait sa salive ? Elle continua à remuer le tentacule enfoncé dans la bouche et la gorge de la jeune lycéenne, tirant sur ses membres, les serrant fortement. Un tentacule se glissa également sur son ventre, serrant son estomac, continuant à l’emprisonner. Elle faisait lentement bouger les jambes de Satsumy, se délectant de ça.

Le tentacule dans sa bouche la perforait violemment et douloureusement, tandis que les deux autres, à hauteur de ses seins, excitaient ses tétons. Un nouveau coup de fouet frappa violemment le cul de Satsumy, et Ivy prolongea cette séance pendant plusieurs minutes, le tentacule vorace dans sa bouche continuant à la prendre, grossissant, la faisant souffrir. Ivy contrôlait très facilement ses tentacules, sentant sa cyprine couler sur ses chevilles, comprenant vite qu’elle ne pouvait plus uniquement se contenter de ses propres tentacules pour s’occuper d’elle. Le tentacule dans la bouche de Satsumy finit par cracher un sperme blanchâtre, la sève naturelle d’Ivy transformée en sperme. Le tentacule se replia ensuite, s’extirpant des lèvres de Satsumy pour glisser sur son corps, entre ses seins, laissant une légère traînée blanchâtre.

Elles étaient seules. Le lycée était, au moins pour la partie des salles de cours, désert. Qui s’amuserait à rester en cours un Samedi midi ? A part une prof’ sadique et une élève qu’on avait irrésistiblement envie de faire souffrir ? Ivy détendit un peu les jambes et les bras de Satsumy, tandis que plusieurs autres fouets tentaculaires se formèrent. Ses seins, eux, continuaient à être délicieusement caressés et léchés, de quoi répandre dans tout le corps de Satsumy des ondes de plaisir. Les fouets s’abattirent alors par alternance sur le dos de Satsumy, martelant, non seulement son brave petit cul, mais aussi son dos et ses jambes. Ivy voulait l’entendre hurler, voulait l’entendre pleurer à chaudes larmes, car elle savait que ça ne ferait que l’exciter. Elle la tortura donc en règle, tirant sur ses membres, pliant ses bras, les détendant, écartant ses jambes, les fouets continuant à danser sur son dos, claquant sèchement, laissant de longues marques rouges sur le corps parfait de la lycéenne. Les fouets finirent par s’arrêter au bout d’un moment, et cette dernière fut lentement tirée vers Ivy, avant de se tourner, lui faisant face. Les tentacules jouant sur ses seins se retirèrent, et Ivy glissa une main sur le menton de Satsumy, relevant sa tête meurtrie, humide, et rouge.

« Je veux que tu pleures, ma belle, fit Ivy en léchant ses larmes. Je veux t’entendre sangloter et gémir, pendant que je vais me soulager… Si tu savais à quel point tu m’excites… Tu as du comprendre que je n’étais pas tout à fait normale, un peu comme toi… »

Les tissus végétaux d’Ivy s’écartèrent au niveau de son bassin, et elle se concentra, avant de faire jaillir un pénis végétal, en forme de tentacule, du fond de son vagin, frottant contre la culotte trempée de Satsumy. Pour mieux l’encourager à pleurer, Ivy lui parla à nouveau.

« Ce n’est qu’un début, Satsumy… J’ignore ce que tu es exactement, mais tu excites ma libido à un point que tu ne peux imaginer… Je vais te baiser, Satsumy, te baiser toute la journée, au moins… Ceci n’est qu’un avant-goût. Après un tel traitement, après ce que tu vas subir, peut-être mettras-tu un certain temps avant de pouvoir marcher normalement, ou pouvoir toucher ton si beau cul… Tu as le droit de me supplier, si tu veux. Mais je veux que tu CHIALES, ou je te fouetterai jusqu’au sang ! »

Elle lui retira ensuite sa culotte d’un coup de tentacule, écartant les jambes de la femme avec ses tentacules, et enfonça d’un coup son pénis végétal en elle, poussant un cri de plaisir. Avec sa main libre, elle alla la poser sur le cul de Satsumy, et un tentacule en jaillit, se glissant dans son anus. Il n’était pas bien gros, et remua légèrement, rejoint par un autre, tandis qu’Ivy remuait également son corps.

« Hummm… Qu’est-ce que tu es bonne ! Oh, je ne peux pas m’en empêcher ! »

De la main posée sur ses fesses, un nouveau fouet se forma, se tendant, et frappa le milieu du dos de Satsumy. Elle se délectait des hurlements de douleur et des pleurs de la lycéenne. Sa langue verte jaillit à nouveau, léchant tendrement et profondément la joue de Satsumy, faisant penser à la langue d’un serpent. Ivy recommença ensuite de plus belle à la pénétrer, une lueur de démence sadique dans le regard.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Après les cours (PV Poison Ivy)
« le: jeudi 16 février 2012, 14:20:19 »
Plus tenace que ce qu’Ivy avait initialement pensé, Satsumy continuait à se débattre, alors que le tentacule autour de son cou continuait à la maintenir au sol. L’étudiante mutine continuait à refuser une évidence que son corps avait admis. Ivy tira un cou sur le tentacule reliant Satsumy au cou, soulevant cette dernière pour la coucher sur le sol. D’autres tentacules ne tardèrent pas à filer des mains verdâtres de Poison Ivy, dont un qui caressa sa culotte. Un sourire narquois traversa les lèvres en sentant l’humidité ambiante de la culotte à travers ce tentacule, excroissance de son propre corps.

« Ça, ma belle, ce n’est pas de l’urine… Je croyais que toutes ces rumeurs sur toi étaient infondées, mais je pense que j’étais en réalité en-deçà de la vérité. Ne te mens pas à toi-même… »

Un autre tentacule se promenait sous la chemise de la jeune étudiante, s’approchant de son soutien-gorge, s’enroulant dessus, pour le lui ôter, tirant dessus, le faisant glisser sous sa chemise pour l’exhiber. Le sous-vêtement pendouilla en l’air, avant qu’Ivy ne le jette au loin. Elle tira alors un coup sur le tentacule reliant Satsumy au niveau du cou, la soulevant du sol, la plaquant rudement le long du bureau d’Ivy, où elle s’allongea. L’une des mains d’Ivy se posa alors sur la chemise de Satsumy, commençant à la déboutonner avec ses doigts. Elle agissait rapidement, ses mains tremblant nerveusement, sous l’effet des bouffées d’excitation qu’elle ressentait. Elle l’embrassa à nouveau, se penchant vers elle, lui offrant un long et vorace baiser, mordant ses lèvres, allongeant sa langue, qui devint verdâtre, formant une espèce de tentacule supplémentaire qui se glissa dans la bouche de Satsumy, se faufilant dans sa bouche, se glissant dans sa gorge. Elle lui offrait un baiser assez torride, et finit par retirer ses lèvres, puis, sans vraiment laisser le temps à Satsumy de reprendre ses esprits, Ivy la tira, l’envoyant tomber sur le sol.

Un nouveau coup de fouet meurtrit le cul de Satsumy, tandis qu’Ivy envoya un autre tentacule qui s’enroula autour de la minijupe de Satsumy, avant de la déchirer d’un coup sec, exhibant son beau postérieur.

« Quel merveilleux cul… Tu aimes que je le fouette, hein, petite cochonne ? Rassure-toi, je n’en vais pas m’en priver ! »

Joignant le geste à la parole, Ivy abattit alors son fouet tentaculaire à plusieurs reprises, tandis que d’autres tentacules jaillirent de ses de ses doigts. Ils s’enroulèrent autour des bras et des épaules de Satsumy afin de la soulever. Debout, elle offrait une silhouette parfaite, et Ivy décida d’utiliser ses tentacules pour ajouter un peu de bondage à cette situation. Elle attrapa la chemise, et la retira en tirant en arrière. De Satsumy et de ses vêtements, il ne restait plus qu’un corps bouillant de plaisir, ainsi qu’une culotte et de longues chaussettes blanches. Les tentacules se déplacèrent à nouveau, tirant les membres de Satsumy à l’arrière. Un tentacule s’enroula autour de son cou, glissant ensuite pour s’enrouler autour de ses deux poignets et les tirer en arrière, les serrant, tandis que d’autres s’enroulèrent autour de ses jambes, les serrant et les tirant, amenant Satsumy à se contorsionner en arrière, les tentacules la serrant, l’emprisonnant, tandis que, de temps en temps, un fouet retournait s’abattre sur son petit cul. Quatre des doigts d’Ivys ‘occupaient ainsi de maintenir les membres de Satsumy, qui était suspendue en l’air, maintenue ainsi par le bais des tentacules d’Ivy, des lianes solides et tendues, et elle fit jaillir de son pouce un cinquième tentacule, qui devint assez rapidement relativement gros, son extrémité ayant la forme recourbée et ondulée d’une verge. Avec son autre main, elle avait envoyé deux autres tentacules spéciaux, dont les bouts étaient des espèces de bouches voraces aux lèvres roses, dont les dents étaient très tendres et moelleuses, et qui allèrent s’enfoncer sur les seins de Satsumy, aspirant dans leurs gueules ses tétons et une partie de ses seins, les léchant et les suçotant avec un désir prononcé.

Le tentacule en forme de verge, de son côté, après quelques hésitations, finit par s’enfoncer violemment dans la bouche de Satsumy, sans la ménager, allant directement taper au fond de sa gorge, avant de se mettre à bouger. Les tentacules qui tenaient les membres de Satsumy s’amusaient quant à eux à tirer ses membres dans tous les sens, à exercer sur eux une forte pression. Ivy avait vu que Satsumy avait pleuré, mais, aussi incroyable que cela paraisse, elle était incapable de la moindre empathie à son égard. Dans sa tête, une voix, sa conscience, lui hurlait d’arrêter ça à cette pauvre fille, mais elle en était incapable. La voir pleurer avait été un véritable délice, et elle lui perforait sa belle bouche, le tentacule raclant contre ses dents, s’enfonçant dans sa gorge, afin de continuer à la faire souffrir. C’était terriblement jouissif, et Ivy sentait également sa propre grotte de plaisir commencer à se remplir.

« Toi et moi, petite salope, on va passer un Samedi formidable… » murmura-t-elle, sur un ton suffisamment fort pour que Satsumy parvienne à l’entendre.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Après les cours (PV Poison Ivy)
« le: mercredi 15 février 2012, 22:12:02 »
La panique commença à monter dans le corps de Satsumy, qui tenta de se débattre, tandis que, inversement, Ivy ressentait sa libido continuer à exploser. Plus cette jeune et belle lycéenne se débattait, résistait, et plus Ivy avait envie de la faire souffrir. La jeune fille tirait sur le tentacule assez vainement, ce dernier l’enserrant bien, et un sourire traversa les lèvres de Poison Ivy. Elle n’avait jamais ressenti un besoin aussi viscéral de baiser quelqu’un. La baiser, dans le sens où il fallait tant la faire plaisir que la faire souffrir, où il fallait la dominer, l’écraser, la dominer entièrement… C’était presque un désir surnaturel, comme si une force supérieure était en train de l’hypnotiser, de la posséder, de l’envoûter. Comment expliquer cela ? Ivy avait voyagé sur Terra. Mais rien dans le dossier scolaire de Satsumy ne témoignait qu’elle était originaire de Terra. Ses parents étaient des Terriens tout ce qu’il y avait de plus normal…

*Ce que je ressens n’est pas normal… Je peux presque entendre les rires du marionnettiste qui tire les ficelles, et je n’aime pas ça… Mais je ne peux pas lutter… Ça me démange, putain ! Je suis presque aussi victime qu’elle !*

Son corps trahissait Ivy, ses plus bas instincts se réveillant pour la rendre folle. Elle se mit d’un coup à serrer son tentacule sur la gorge de Satsumy, et glissa du bureau, atterrissant devant elle, serrant fort, l’étranglant, afin qu’elle se calme. Elle se mit à gigoter faiblement sur la chaise, et Ivy se glissa dans son dos, puis desserra, plaçant ses mains sur les joues de Satsumy, sentant tout son corps trembler d’impatience. Mais qu’est-ce qui se passait ? Poison Ivy ne comprenait absolument rien à ce qu’elle ressentait, et décida de se défouler. Elle ne pourrait pas résister longtemps, et elle était persuadée que Satsumy devait, inconsciemment, être à l’origine de cela. Peut-être une espèce de puissant pouvoir télépathique inconscient destiné à la faire sortir de ce cocon dans lequel elle vivait ?

« J’ignore ce qui m’arrive, ma belle… Mais je sens une envie phénoménale de te baiser, de te baiser dans tous les sens possibles du terme… Et de ne pas y aller de manière tendre. J’ignore ce qui provoque en moi un tel désir, mais je n’arrive pas à lutter contre une telle pulsion… Alors, je te conseille de te soumettre, car je vais te montrer ce dont je suis capable… »

Ivy glissa alors chacun de ses pouces dans la bouche de Satsumy, se souciant bien que cette dernière les morde. Un tentacule jaillit de chacun de ses pouces, se faufilant dans sa gorge, glissant dans son corps, se mouvant à l’intérieur, la pénétrant dans les plus intimes profondeurs de son corps, glissant dans les profondeurs de son corps.

« Je t’encourage vivement à pleurer, si tu en as envie, mais je vais me débrouiller pour te soulager, mon ange. »

Se penchant, elle embrassa Satsumy sur le front, délivrant de tendres et délicats baisers, avant d’embrasser le bout de son nez, tandis qu’un tentacule se faufilait autour des muscles de tout le bras gauche de Satsumy, en prenant progressivement le contrôle. Ivy se redressa légèrement, et commença à faire dépalcer, par le biais de son tentacule, le bras de Satsumy.

« Je pourrais t’étrangler avec ta propre main, et tu auras beau forcé, tu ne peux rien y faire… Tu as vu ça en cours, alors… Laisse-toi faire… »

Contrôlant le bras gauche de Satsumy, Poison Ivy le fit avancer vers sa minijupe, pilotant également ses doigts, et le glissa dessous, avant de l’amener à se caresser, les doigts de Satsumy frottant tendrement son intimité. Elle sentit, le long de ses tentacules glissés dans son corps, des frissons la parcourir, parcourir les profondeurs de son être, et continua silencieusement à caresser Satsumy, par le biais des propres doigts de cette dernière.

« Oui, ma belle esclave, sens comme c’est agréable, sens comme il est agréable d’être un jouet entre mes doigts… Je ne suis pas une prof’ comme les autres, ça, tu le sais depuis longtemps, mais je crois que tu n’as aucune idée du point auquel je suis différente… Jusqu’à maintenant. »

Les tentacules finirent par repartir, et Ivy récupéra ses pouces, avant d’embrasser les lèvres de la jeune fille, répandant en elle un nouvel aphrodisiaque. Elle retira ensuite ses lèvres, et écarta d’un coup la chaise de Satsumy, renversant cette dernière sur le sol, et tira sur le tentacule la reliant autour du cou pour qu’elle se relève, tandis que son petit doigt prit la longue forme d’un fouet verdâtre. Elle leva son arme improvisée, et l’abattit en plein sur le cul de Satsumy. Il y eut un petit claquement sonore, et le fouet s’abattit une seconde fois, tandis qu’Ivy, en tirant d’un coup sec sur la corde, envoya la tête de la jeune dame heurter son pied.

« Lèche, maintenant, petite salope ! Et, si tu ne veux pas que je continue à te fouetter le cul trop longtemps, je veux que tu dises que tu n’es rien de plus qu’une petite pute. Allez, je veux t’entendre me le dire tandis que tu lècheras ma botte ! ‘‘Je ne suis qu’une grosse pute en manque de sexe !’’ Dis-le ! Dis-le ! »

Elle ponctua cette dernière assertion d’un nouveau coup de fouet.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Après les cours (PV Poison Ivy)
« le: mercredi 15 février 2012, 18:46:05 »
Mince… Satsumy commençait à remarquer le trouble d’Ivy. La professeur avait en effet du mal à se contrôler, sentant des ondes traverser son corps. Elle se mordilla les lèvres, continuant à dévisager Satsumy et ses formes, sentant un désir de plus en plus brutal la traverser. Des voix dansaient dans son esprit, perturbant son raisonnement logique, scientifique, cartésien.

*Regarde-là, regarde cette petite salope se dandiner sur chaise, ses belles jambes, sa poitrine… Elle ne demande que ça, à ce que tu la baises, à ce que tu la baises sauvagement, Ivy ! Pourquoi te retenir ? Pourquoi hésiter ? Défonce-là, allez, allez ! Elle ne demande que ça, et tu ne désires que ça !*

Poison Ivy secoua légèrement la tête, ne répondant pas à Satsumy, et se leva d’un coup, cessant de la regarder, sentant des ondes la traverser. Scientifique, elle savait qu’elle était victime d’une espèce d’empoisonnement surnaturelle, et que le seul moyen de ne pas céder à ses pulsions était de sortir. Oui, sortir, sortir vite. Elle se dirigea rapidement vers la porte, vit le couloir, appuya sur la poignée d’une porte déjà bien ouverte… Et la referma d’un coup sec, tandis que ses mains se recouvrirent d’une texture verdâtre formant des gants.

Il était trop tard. Elle ferma la porte à clef, et se retourna subitement. Ses pupilles avaient laissé place à une couleur verte, et elle s’avança lentement vers son bureau. Elle écarta sa chaise rapidement, et alla s’asseoir sur son bureau, devant la jeune femme, lui offrant un sourire ravageur.

« Quelque chose ne va pas, effectivement… Je ne sais pas ce que tu dégages dans l’air, mais, maintenant, je sais clairement ce que je veux pour toi… Tu dois le ressentir, toi aussi, n’est-ce pas ? Les spores qui s’échappent de mon corps, les phéromones… »

Ivy commença à déboutonner sa blouse, et la retira, révélant une espèce de tunique verdâtre. La blouse atterrit au loin, et elle glissa sa jambe gauche à la droite du corps de Satsumy, et à la jambe droite à sa gauche, remontant le bout de ses bottes vers ses lèvres, les caressant, frottant ses joues, sentant le désir exploser. Elle tendit un doigt vers Satsumy, et un tentacule en jaillit lentement, s’enroulant délicatement autour du coud e Satsumy.

« Lèche mes bottes, petite traînée. Allez, dépêche-toi ! » ordonna-t-elle subitement.

A l’idée de torturer et de soumettre Satsumy, Poison Ivy sentait des élancements de plaisir sadique traverser son corps.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Après les cours (PV Poison Ivy)
« le: mercredi 15 février 2012, 15:35:28 »
Satsumy était nerveuse. Ivy pouvait naturellement le sentir dans la manière dont elle se tenait, droite et raide, sur sa chaise. Guère détendue, elle s’attendait probablement à subir une punition, ou à être accusée de tricher. Une femme très nerveuse, estima rapidement Ivy, qui se permit un léger sourire. Terrorisait-elle à ce point les élèves ? Il est vrai qu’elle avait une réputation de vieille peau dans le lycée, pour rester polie. Satsumy lui répondit en tout cas sur ses ambitions, désireuse d’être chirurgienne. Un métier difficile, et Ivy enchaîna rapidement.

« Une belle ambition… Elle nécessite un travail intensif, et un contrôle excellent de soi-même. Pas question de trembler comme une feuille quand on se trouvera au-dessus d’un patient. Tu y as déjà songé ? »

Si le simple fait de parler avec une prof suffisait à la mettre dans un tel état de nervosité, alors opérer de la chirurgie ne serait qu’encore pire. Si ses mains tremblaient nerveusement quand elle devrait découper un corps, elle risquait d’avoir une carrière professionnelle particulièrement courte. Étrangement, de curieuses pulsions commençaient à battre dans le cerveau d’Ivy. D’un point de vue sexuel, elle s’était avidement soulagée hier soir, mais, pourtant, elle sentait des pulsions naître à l’égard de cette élève, détaillant ses formes sur un regard un peu plus… Intéressé.

*Qu’est-ce qui m’arrive ? Ce n’est qu’une humaine normale, pourtant…*

Poison Ivy ressentait un désir de plus en plus prononcé à l’égard de Satsumy, une envie d’être… D’être violente envers elle, de la faire souffrir, mais sans pouvoir convenablement se l’expliquer. Était-elle fatiguée à ce point ? La jeune prof’ commençait à s’agiter sur sa chaise, sentant ses spores naturelles s’accroître, au fur et à mesure que l’excitation naissait. Le plus logique aurait probablement du être de congédier Satsumy, mais, dans sa tête, elle s’y refusait, ayant envie de passer plus de temps avec elle, comme si quelque chose l’envoûtait. Quelque chose en elle. Ivy secoua la tête, se plongeant dans ses notes, et reprit rapidement.

« Et… Est-ce que je pourrais te savoir ta motivation à devenir chirurgienne ? » ajouta-elle rapidement.

Il fallait qu’elle arrive à se concentrer, à se calmer sur ce qu’elle ressentait, à comprendre pourquoi ses hormones se mettaient à s’exciter subitement. Peut-être un dérèglement lié à son ADN si particulier ? Mais c’était difficile à concevoir ; Ivy n’avait jamais rencontré ça jusqu’à présent. Ses dérèglements génétiques entraînaient surtout une hausse de sa libido, mais elle n’avait pas un appétit sexuel particulièrement vorace ce matin…

…Du moins, c’est ce qu’elle croyait.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Après les cours (PV Poison Ivy)
« le: mercredi 15 février 2012, 14:13:23 »
Un cours avec Ivy, c’était quelque chose de dur, de difficile, d’insurmontable. Ceci ne tenait pas seulement à la nature difficile de ce cours, et à l’intransigeance particulière qu’Ivy manifestait envers ses élèves, mais aussi (et surtout) parce que la prof’ était une beauté terrifiante. Au sens physique du terme, il était difficile de ne pas s’attarder sur ses belles jambes fuselées, sur son visage parfait, sans faille, et, au sens chimique, les spores naturelles que son corps dégageait influait sur les hormones de bien des élèves. Le cours d’Ivy était probablement le cours où les étudiants avaient le plus besoin d’aller se soulager, dans tous les sens du terme, aux toilettes. Et, contrairement à ce qu’on pouvait en dire, les femmes n’étaient pas en reste, ne se privant pas de devoir filer aux toilettes. En ce Samedi matin, Ivy avait rendu des copies guère attendues par les élèves sur un contrôle sur table particulièrement difficile sur la chlorophylle. Passionnée, Ivy était aussi d’une sévérité extrême, et avait fait son cours sans problème, souriant en voyant les mâles devenir rubiconds, les femmes se tortiller, remuant légèrement sur leurs chaises, se débrouillant pour frotter leurs intimités contre la chaise, gémissant silencieusement. Même dans sa blouse, Ivy était torride, et elle le savait, naturellement. Elle s’était plusieurs fois amusée à utiliser ses tentacules sur toute une classe.

Avec Ivy, on notait beaucoup. Elle avait autorisé l’emploi de l’ordinateur portable, mais était particulièrement vigilante. Quand elle avait vu que quelqu’un semblait plus occupé à traîner sur MySpace ou Facebook, elle avait décrété un interrogatoire surprise général, en insistant bien pour expliquer que c’était une punition collective à cause d’un seul agent. C’était la meilleure méthode pour que ses élèves restent concentrés et sages. Sentant la fin du cours approcher, sentant les poignets des élèves trembler, les suppliques silencieuses des regards, et comme on était après tout le Samedi matin, Ivy décida d’arrêter la prise de notes.

« Sortez vos agendas, jeunes gens. Comme les vacances approchent, vous me ferez le plaisir, pour le Samedi suivant la reprise des cours, de lire les pages 510 à 540 de votre manuel, et, à partir des différents documents, schémas, images, réaliser une note de synthèse sur la question. »

En observant une main se lever, Ivy laissa la jeune femme parler, qui se leva, conformément à ce qu’Ivy avait mis en place.

« Senseï, une note de synthèse, ce n’est normalement vu qu’à l’a fac’, non ?
 -  Les étudiants de fac’ sont aussi imbéciles que ceux du lycée, Mme Tomishori. Veuillez donc vous rasseoir, et noter les exercices. Cette note de synthèse aura une part importante dans votre moyenne. Si vous ne savez pas en faire une, je vous invite, soit à aller voir des bouquins dans la bibliothèque, soit à utiliser vos machines pour en trouver des explications. Voilà pour vos vacances. Comme vous avez encore une semaine de cours, vous lirez pour Lundi les pages 430 et 431 de votre manuel, et vous ferez les questions correspondantes. »

Il y eut des regards de reproches, mais aucune protestation. La dernière fois que les élèves avaient protesté, Ivy avait transformé une dissertation maison en dissertation sur table. Car, oui, avec Ivy, on faisait de tout. Aussi bien des exercices de restitution de connaissance que de dissertations. Les élèves détestaient profondément Ivy, mais ne pouvaient s’empêcher d’adorer ses cours. Comment résister aux spores de la femme ? Sans ces derniers, il est sûr que les élèves auraient depuis longtemps décidé de boycotter ses cours, des cours si élevés que les manuels d’Ivy étaient des manuels de facultés.

Conformément à ses souhaits, Mlle Kawashima resta assise, les élèves sortant rapidement. Une curiosité, que cette Satsumy. Elle était belle, une beauté, mais restait relativement seule et isolée, et était la meilleure élève de la classe. Elle avait obtenu une note défiant toute concurrence lors du précédent contrôle, un joli 15/20. Ivy avait donc demandé à s’entretenir avec elle. Les élèves partant, Ivy resta assise, jambes croisées, tandis que Satsumy s’approchait, parlant d’une voix calme et délicate.

« Oui, acquiesça-t-elle. Je t’en prie, assieds-toi, Satsumy. »

Cette dernière obtempéra sagement, prenant une chaise, et Ivy se pencha un peu, sortant un relevé de notes de la classe.

« En corrigeant les copies de ta classe hier soir, Satsumy, j’ai réalisé que tu avais des notes bien au-dessus des autres. Relativement inférieures par rapport à tes autres moyennes, mais, contrairement à mes collègues, je ne fais pas dans la facilité. Là où la classe a obtenu une moyenne de 7.5/20 à une dissertation sur la reproduction animale, tu as obtenu un 13/20. Et ta note actuelle est une très bonne chose. Je tenais à te féliciter, Satsumy, avoua Ivy en la regardant. Tu es une élève talentueuse… »

Dans une certaine mesure, Satsumy lui faisait penser à elle. Belle, intelligente, mais aussi renfermée, repliée sur elle-même.

« Est-ce que tu as déjà réfléchi à ton avenir, Satsumy ? De ce que je peux voir de ton dossier, les matières scientifiques semblent te plaire plus que les matières littéraires. Sache que ce n’est pas une conversation destinée à te noter ; n’hésite pas à te détendre, et à voir en moi autre chose qu’une senseï. Disons plutôt que tu m’intéresses… » fit-elle en souriant.

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Les terres sauvages / Re : La fleur du mal ( PV Poison Ivy )
« le: samedi 11 février 2012, 22:54:43 »
S’appuyant sur son fessier, Iruka s’enfonça rapidement en elle. L’intimité d’Ivy était déjà bien trempée, et elle se mit à hurler son plaisir, sentant l’infatigable membre du vampire se déverser en elle. Son corps brûlait d’une forte chaleur, et elle se laissa faire, le laissant la prendre. Elle jouit à plusieurs reprises, le sentant utiliser toute son expérience pour lui offrir le plus grand plaisir qui soit. Elle se laissa faire, laissant son fils la prendre comme il le voulait. Il plaqua sur le sol, se glissant par derrière, continuant à la prendre, la faisant hurler et gémir. Ils s’assirent ensuite l’un sur l’autre, et continuèrent ainsi. Pendant ce temps, le bûcheron continuait à se faire labourer le dos, poussant des cris et des soupirs. Les fouets s’abattaient en fonction du plaisir qu’Ivy ressentait, sa forêt étant inextricablement liée à elle, et à ce qu’elle ressentait. Iruka tint particulièrement bien, jusqu’à finir par avoir son orgasme. Il éjacula en elle, soupirant, et la complimenta à nouveau. Elle sourit, l’embrassant tendrement sur les lèvres, se collant contre lui, promenant son doigt sur les lèvres du vampire.

« Je ne suis pas ta mère pour rien… »

Iruka se détacha de Poison Ivy, qui s’allongea sur la fleur, regardant le bûcheron. Les fouets s’arrêtèrent, et Iruka lui demanda s’il n’était pas temps d’en finir avec lui. Elle le regarda silencieusement, et les tentacules amenèrent l’homme devant ses pieds. Son dos saignait, et il resta à quatre pattes, souffrant. Levant une jambe, Ivy caressa avec son pied la tête de l’homme.

« Veux-tu toujours vivre ? demanda-t-elle simplement.
 -  O-Oui… confirma ce dernier.
 -  Alors, viens me prendre… Allez, allez ! »

Silencieusement, le bûcheron se redressa, et s’avança le long des jambes de Poison Ivy, jusqu’à atteindre sa bouche. Son membre était tendu, dur et impuissant. Visiblement, les coups de fouet avaient été loin de réfréner ses ardeurs, et, quant à Ivy, elle était toujours aussi assoiffée. L’homme alla se faufiler en elle, enfonçant son membre dans son intimité, et Poison Ivy poussa un hurlement de plaisir. Elle enroula ses jambes autour de son bassin, et l’homme commença à remuer son sexe en elle, la pénétrant.

« Oh oui, hum… Continue, petit humain, et tu auras ta récompense… »

L’homme remua en elle de plus en plus rapidement, pleurant et gémissant à la fois, tant son dos le faisait souffrir. Les fouets s’étaient abattus avec rage quand Ivy jouissait, et il ne savait plus vraiment s’il voulait vivre ou mourir. Tout semblait tellement surréaliste, alors il se contenta de remuer rapidement et frénétiquement son sexe en elle, tandis qu’elle le serrait contre lui. L’homme grogna en elle, s’enfonçant, soupirant,  La douleur le faisait remuer, et il finit par se laisser aller, s’effondrant sur elle. Plusieurs longues secondes s’écoulèrent entre leurs corps enchevêtrés, jusqu’à ce qu’Ivy ne le repousse par le biais des tentacules.

« Il est temps de te récompenser comme il se doit… Et de récompenser mon cher fils, si désireux de faire plaisir à sa mère », ajouta-elle en regardant Iruka.

Ivy remarqua alors que le vampire s’était finalement déconnecté du lien psychique l’unissant aux arbres. Sans doute avait-il eu sa dose, ce que Poison Ivy pouvait comprendre. La nature était insatiable, et elle vit le bûcheron disparaître sous les racines d’un arbre, anesthésié. Poison Ivy se releva alors, soupirant, et regarda son fils, avant de s’approcher de lui, caressant avec ses doigts son menton.

« Je vais essayer d’enfanter… C’est une expérience difficile, Iruka, alors je vais devoir m’isoler… En attendant, ma forêt s’occupera de toi comme il convient… »

Des tentacules soulevèrent Ivy, tandis que d’autres allèrent s’occuper d’Iruka, dont un qui retourna s’enrouler sur son membre. Ivy se colla contre un arbre, celui où se trouvait le bûcheron, et se mit à travailler activement, se mélangeant aussi profondément que possible à l’arbre, ce dernier enfonçant un tentacule dans son intimité, dans sa bouche, se faufilant dans son corps pour prélever la sève d’Ivy, tout en modifiant le corps du bûcheron. Pour lui, la douleur devait être inimaginable, mais, dans l’arbre, ses cris ne pouvaient pas s’entendre, et l’arbre s’enfonçait douloureusement dans son corps, plantant des racines sans spécialement viser ses parties génitales, veillant toutefois à ne pas le tuer, le transformant intégralement. Ivy utilisa ses maigres connaissances récupérées sur Terra, en compagnie de Weldenela, auprès de la forêt vivante, pour regrouper ses forces, et modifier en profondeur la structure génétique de l’homme. Elle savait que ce serait temporaire, mais pas dans la mesure où l’homme allait retrouver sa vraie forme, mais dans le sens où le corps pourrirait, vu les modifications génétiques que Poison Ivy faisait. Elle l’écorchait, remodelant tout son corps, son poids, sa taille, ses formes, la pigmentation de son épiderme, ses cheveux, et même son sexe. Une intense chirurgie esthétique naturelle, où même le liquide anesthésiant dans lequel l’homme baignait ne fut pas suffisant pour réfréner sa douleur.

Une bonne heure dut au moins s’écouler, quand l’arbre relâcha Ivy. Cette dernière s’écrasa mollement sur le sol, subitement épuisée, la sueur coulant de tout son corps.

« C’était… C’était épuisant… Mais elle est prête. »

S’appuyant sur l’arbre, Poison Ivy tenta de se relever, tandis qu’une forme gracieuse sortait entre les buissons. C’était jadis un petit bûcheron sans intérêt. C’était une belle dryade, qui s’approchait de sa génitrice. Ivy regarda alors Iruka en lui souriant.

« Je suppose qu’on peut la considérer comme ta sœur », glissa-t-elle.

ivy s’approcha d’elle, et lui caressa le visage. Les yeux de la dryade la fixèrent, et elle caressa les belles lèvres verdâtres de la femme verte.

« Me reconnais-tu ? demanda Ivy.
 -  Vous… Vous êtes ma mère… parvint à faiblement articuler cette dernière.
 -  Le résultat est excellent… »

Poison Ivy l’embrassa tendrement, et la poussa vers Iruka, avant de s’appuyer contre l’arbre. Ce que ça avait été usant ! Elle soupira légèrement, reprenant ses forces, avant de regarder à nouveau le jeune vampire.

« Je suppose que tu dois la trouver bien plus intéressante sous cette forme, non ? »

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Les terres sauvages / Re : La fleur du mal ( PV Poison Ivy )
« le: mercredi 08 février 2012, 22:18:55 »
Le bûcheron avait l’air heureux sous elle, la prenant avec un plaisir certain. Sous ce spectacle, Iruka, son enfant, ne put plus rester calme, et alla les rejoindre. Il était encore relié à l’arbre par quelques tentacules discrets plantés à hauteur de sa colonne vertébrale. Sans ces derniers, le lien psychique avec l’arbre, et se briserait si rapidement et si brutalement que ce pouvait en être dangereux pour la santé d’Iruka. Il s’approcha du beau petit cul de sa mère, et alla le lécher avec sa langue. Elle en frémit, caressant le torse du bûcheron, poussant de longs soupirs.

« Hum… Oh, mes braves hommes, comme j’aime vous sentir contre moi ! »

Elle sentit alors le membre de son enfant retourner dans ses fesses, et elle en poussa un cri de plaisir, frémissant. Sous ce membre solide, des tentacules jaillirent de ses doigts, sans qu’elle ne puisse les retenir, et elle les rappela mentalement, frémissant, son corps remuant sous l’impulsion des sexes des deux hommes. Même pour elle, sentir deux grosses queues dans son corps lui procurait un bonheur intense. Des ondes de plaisir explosaient dans tout son corps, et elle se mit à hurler, à rugir son plaisir, à le clamer follement.Que c’était bon ! Oh, que c’était bon, bordel !  Elle ne s’en lassait pas. Yeux mi-clos, elle posa ses mains sur les joues de l’homme, les caressant tendrement, se sentant bercée entre ces deux êtres, et elle ne tarda pas à avoir un autre orgasme, inondant de sa mouille parfumée le corps du bûcheron, qui, en réponse, éjacula à son tour.

N’étant qu’un simple homme, l’effort l’avait épuisé. Elle se retira du corps du bûcheron, caressée par son enfant, tandis que l’homme, se rappelant le sort arrivé à son collègue, se racheta misérablement à sa vie. Elle sentait son enfant embrasser son oreille, caresser son intimité, et elle le laissa faire, sa mouille glissant le long de ses jambes.

« Sans vouloir influencer votre choix... Je vous conseille de lui montrer à quelle point une rose est belle mais aussi à quel point... Elle peut piquer quand on la prend mal... »

Elle tourna sa tête, caressant la joue de son fils, et l’embrassa.

« Une mère doit toujours tenir compte de l’avis de son enfant. Et je suis sûre que ce brave homme a compris que la nature, aussi belle soit-elle, peut aussi se montrer particulièrement cruelle.
 -  Oh oui, oui, oui, oui. Épargnez-moi, pitié, pitié, pitié ! »

Il la supplia, se mettant à genoux, pleurant, et, dans un sursaut, lécha ses pieds.

« Je serais votre esclave, je lècherai vos pieds, je ferais tout ce qu’il faut, mais ne me tuez pas, pitié ! »

Joignant le geste à la parole, il prit l’un des pieds d’Ivy, le léchant vigoureusement, s’appliquant, agissant de manière frénétique, tandis qu’Ivy continuait à embrasser son fils. Un doigt se transforma en tentacule, et s’enroula autour du coude l’homme, qui frémit. Ivy le releva, le soulevant lentement, et d’autres tentacules jaillirent pour s’enrouler autour de ses membres, le redressant.

« Tu m’as fait jouir, petit humain… Je vais donc te laisser vivre pour le moment… »

Elle lui caressa une joue délicatement, et l’embrassa lentement. Le jeune homme se détendit, baissant les yeux, et elle prolongea son baiser, glissant une main pour caresser son dos… Et les tentacules le soulevèrent.

« Mais ce n’est pas suffisant… Il est temps pour toi de goûter à l’autre face de la nature, sa face sombre et cruelle… Cette face qui a enfanté l’humanité… Je t’ai embrassé, répandant suffisamment d’aphrodisiaque en toi pour que tu éprouves à nouveau le plaisir… Mais ce plaisir-là devra résulter de la douleur, si tu veux survivre… »

Les tentacules qui l’empoignaient se serrèrent sur les membres, les tirant, tandis que d’autres tentacules jaillirent dans son dos, et se mirent à le fouetter en cadence. Elle se retourna vers son fils, et alla l’embrasser, tendant une main pour caresser son membre, et le faufiler dans son intimité.

« Ah… Voilà, hum… Te sens-tu bien, mon enfant ? Moi, c’est… Parfait ! »

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