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Messages - Souta et Janus

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Le quartier de la Toussaint / Re : Un mois pour tout arranger (PV |-| Chloé)
« le: dimanche 03 janvier 2021, 14:26:34 »
Après tout ce qui venait de se passer, souffler tous les deux semblait nécessaire. Couverte de sperme et le cul bien retourné après tout ça, elle ne perd pas son humour et me demande bien comment je peux faire pour en lâcher autant sur elle en sachant que c'était la deuxième éjac' en si peu de temps.

- Ca pose pas de problème quand on se vide régulièrement.

Enfin, sur le papier. Car quand on passe deux semaines sans aucune activité de ce côté ça devient compliqué. Surtout qu'on n'a pas vraiment eu le temps d'en profiter étant donné que le temps joue contre nous. Au moins on peut dire qu'on a fait plus ample connaissance.

- Ouais, j'me rattraperai la prochaine fois.

Je sais pas si il y avait vraiment besoin de laisser une allusion à la prochaine fois après sa phrase. Le courant semble mieux passer pour le moment. Jusqu'à quand ? Pour ce que j'ai pu voir de Chloé, la petite semble légèrement lunatique, voir bipolaire dans certaines situations.

Très rapidement elle se balade dans l'appart pour passer par la cuisine avant de finir dans la salle  de bain. L'eau se met à couler quand je l'entends rapidement me hurler depuis l'autre bout de l'appartement en ce qui concerne la fin de la journée.

On se croirait dans une série télé car, comme par hasard, je reçois un message de mon contact en ce qui concerne la tenue de soirée. En plus d'un pavé qui ne fait que confirmer ce qu'on s'est déjà dit plus tôt se trouvent quatre mots pour définir ce que je voulais absolument savoir : chic, mais pas trop.

Ca veut dire quoi ? J'ai horreur des subtilités car ça a jamais été mon truc. Sans parler du fait que je possède qu'une tenue correcte pour les soirées de ce type. J'espère que ça ira.

Toujours à poil vu que je vais aussi prendre une douche pour virer la transpiration et les odeurs, je file dans la salle de bain et ouvre la porte en verre pour me glisser à l'intérieur afin de rejoindre Chloé.

- J'ai reçu un message d'Alex. On doit être fringué "chic, mais pas trop." Ca te parle ?

Je tends ensuite le bras pour attraper la bouteille de gel douche dont je verse le contenu sur un gant pour commencer à me laver de mon côté. Pas de temps à perdre, même pour s'amuser. Ca peut largement attendre.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Un mois pour tout arranger (PV |-| Chloé)
« le: dimanche 03 janvier 2021, 11:10:00 »
La partie sérieuse commence enfin et je ne me retiens pas. Enfin, si, un peu quand même. Chloé a beau être une sacrée salope au franc parler évident, elle sait faire attention au pieu. Parce que même si elle m'a affirmée avoir une préférence pour les mecs qui en ont grosse entre les jambes, son cul reste sacrément étroit. La preuve qu'elle laisse pas rentrer tout et n'importe quoi dedans.

D'abord désireuse et rester allongée pour me regarder faire, la voilà qui se redresse pour se plaquer contre moi. Ecrasant ses énormes seins sur mon torse pour venir me mordiller dans le cou. J'ignore si c'est le signe qu'elle se lâche complètement ou si il s'agit d'une manière pour elle de faire passer les choses au niveau supérieur. On ne se connait pas encore assez bien de ce côté. Même si j'ai la sensation que ça va se faire assez rapidement.

A la seconde où je l'entends hurler qu'elle en veut plus mes mains viennent se plaquer en même temps sur son gros cul pour le saisir à pleine poigne et le faire remuer plus rapidement sur ma bite qui continue de se frayer un passage dans ce conduit sinueux et étroit qui l'écrase sans ménagement.
Quand mes hanches se relèvent pour creuser en elle, mes mains poussent son cul vers le bas pour faciliter la chose.

- Putain, quel cul !

Ma main droite se détache sans prévenir pour s'élever dans les airs et revenir s'abattre sur cet amas de chair doux et tonique dans un son qui résonne entre les quatre murs de la chambre. Chloé est visiblement pas juste une nana bien foutue. C'est évident qu'elle entretien tout ça régulièrement pour en profiter au maximum le moment voulu.

Me retrouver avec une nana pareille me pousse presque à croire que ce qui est arrivé la veille est un coup de chance. En dépit des risques que je vais devoir prendre durant les semaines à venir.
Sans attendre plus longtemps, je reviens claquer son cul... avec l'autre main. Sans calmer le jeu au niveau des pénétrations qui commencent à se faire plus difficile car le claquer semble le resserrer. Va falloir que je fasse gaffe car je veux pas lâcher la sauce comme ça.

Je me remets alors à la limer comme avant pendant plusieurs minutes pour retrouver un bon rythme et une résistance moins évidente là-dedans. Avec nos visages aussi proches l'un de l'autre on peut sentir nos soupirs et autres gémissements de plaisir de façon plus vives. Tous les sons qui quittent ses lèvres résonnent dans mes oreilles et je pense qu'il est temps d'aller au bout.

En plaçant mes bras sous ses genoux je la soulève pour l'allonger sur le dos et me retrouver au-dessus d'elle tout en gardant ma bite en elle. Je me laisse alors descendre de tout mon poids sur elle quand je m'enfonce davantage en la regardant droit dans les yeux avec un grand sourire sur le visage.

- Je pourrais me faire ton cul durant des heures. Mais pas aujourd'hui...

Mes bras qui maintiennent ses jambes dans cette position se plient pour permettre à mes mains de chopper ses seins qui se mettent à les malaxer alors que mes hanches viennent s'abattre sur elle comme un fou. La vitesse à laquelle je me mets à l'enculer est deux fois plus grande qu'avant. Je sens même ma bite entrer jusqu'aux trois quartes parfois sur un moment de relâchement.
Ses parois annales ne montrent quasiment plus aucune résistance sous mes assauts et je sens que je ne vais plus tarder à jouir tellement celles-ci me compriment à chaque mouvement.

Dans un ultime râle je me retire tout en libérant ses jambes. Je crapahute rapidement pour me retrouver au-dessus d'elle avec la bite à la main et repart pour un second facial aussi sale que le premier. Mon sperme gicle en plusieurs jets sur son visage d'ange qui a déjà été bien arrosé plus tôt. Puis je vise ensuite ses seins. La gelée blanche qui jaillit de mon gland vient se coller à ces deux merveilles auxquelles j'ai hâte de goûter dans un avenir proche.

Après le septième jet la source commence à se tarir et je peux enfin respirer plus ou moins normalement. Vidé après cet enchaînement je me laisse lentement tomber à genoux pour me retrouver avec la queue en demi molle qui trempe dans le liquide collant qui recouvre une partie de sa poitrine.
Il me reste quand même assez de force dans les jambes pour ne pas laisser mon poids reposer sur elle.

- Alors, tu te sens plus détendue, là ?

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Le temps semble presque s'être figé quand je sens Kara forcer sur son propre corps pour engloutir un maximum de centimètres en elle. Sa gorge m'écrase encore plus que sa chatte qui était déjà bien serrée. On n'est clairement plus en train de jouer mais de chercher à aller au bout des choses là. Surtout quand elle pose ses mains brûlantes sur ma peau au niveau de mon bassin, comme pour prendre appui tout en m'empêchant de m'échapper de son emprise.

- Oooouuuf ! Tu déconnais pas quand tu disais avoir faim.

Ma voix est comme ma respiration, plus difficile à contrôler. Et si je suis resté docile jusque là, ce ne sera plus le cas pour la dernière ligne droite. Ma main pars en direction de son visage pour écarter une mèche de cheveux pendant que mon regard reste planté dans le sien. Voir ses yeux se plisser durant cet exercice est extrêmement excitant.
Dans la foulée mes doigts partent se glisser dans sa chevelure pour lui faire reculer la tête de quelques centimètres avant de la tirer de nouveau dans ma direction. Doucement, sans forcer un seul instant. L'objectif est de la guider et non de la forcer dans ses mouvements.

- Continue comme ça, je sens que ça vient.

La belle Kara sera bientôt récompensée de ses efforts car l'orgasme est sur le point de faire son apparition. Mon corps tout entier se crispe et de longs soupirs de plaisir s'échappent de ma bouche à chaque fois que la sienne revient à la charge.
Je lui apprendrais sûrement comment j'aime me faire sucer à une autre occasion. Mais là c'est déjà plus que suffisant pour me faire plaisir. Un vingtaine de secondes passent pendant que je la laisse faire. Puis je pose mes mains sur ses poignets pour lui demander d'apporter la touche finale.

- Branle-moi avec les deux mains ! Comme ça !

Dans un mouvement rapide je lui fais déposer ses mains l'une devant l'autre pour que les deux puissent me branler et sentir ma queue pulser contre ses doigts fins tout en lui faisant  comprendre de reculer la tête et libérer une bonne partie de l'objet logé dans sa gorge.
Des gémissements encore plus longs et rauques s'échappent de mes lèvres quand elle s'acharne sur ma bite comme une furie.

- Ouvre la bouche pour moi !

Ma phrase est à peine terminée que je commence à lui tapisser la visage le visage en retirant mon gland de sa bouche. Mon corps est tellement tendu que j'ai du mal à viser durant les deux premiers jets. Le sperme toujours aussi gélatineux est éjecter de mon gland pour s'abattre sur sa peau douce et trempée par l'eau de la douche.
Ma main se pose sur les siennes qui me branlaient pour continuer de lui étaler ma crème sur le visage et les seins pendant plusieurs secondes. Seule une petite quantité à terminé dans sa bouche.

Vidé un nouvelle fois, je me laisse m'appuyer dos contre le mur en carrelage tout en admirant mon oeuvre. Le souffle lourd, un léger sourire sur les lèvres.

- Faut pas te gâcher l'appétit en te remplissant le ventre avant que la bouffe arrive.

Mais la pause attendra. Je bande toujours aussi dure et en me redressant je lui colle directement l'engin sur son visage. Dure, pulsante, dégoulinante de sperme sur toute la longueur. Qu'elle réalise à quel point elle m'excite et que ce n'est pas terminé.

Je me pense alors pour glisser une main sous un de ses bras et lui faire comprendre de se relever en se retournant pour que je me retrouve sans son dos. Mes mains se mettent alors à caresser son corps tendrement. Les épaules, les bras, ses hanches, son ventre. Ma bite, elle, s'est logée entre ses fesses pour y élire domicile le temps nécessaire.

Je tends ensuite le bras pour attraper une bouteille de gel douche dont j'ôte rapidement le bouchon pour en déverser une jolie quantité sur la poitrine de la belle Kara. La bouteille est alors lâchée pour finir à même le sol afin d'avoir les mains libres et commencer à masser cette superbe paire de nichons.

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Contrairement à de la baise pure et dure, voir assez hard dans certains cas, une pipe est largement plus agréable quand la femme en face prend tout son temps. Attraper sa partenaire par les cheveux et faire balancer sa tête dans tous les sens sur sa bite ne rend pas la chose plus excitante.
On peut appuyer sur son crâne pour la faire avaler ou jouer avec sa respiration si on veut l'embêter au pire. Un truc que je fais parfois en fonction de la situation ou de la fille.

Mais là je la laisse faire sans la déranger. Qu'elle continue de découvrir ma queue et joue avec à l'aide de ses petites mains et de sa bouche délicieusement coquine.

- Hmmmmmmm...

La voilà qui se concentre de longues sur mon gland en l'embrassant et l'avalant. Pas forcément dans cet ordre. Ses doigts qui semblent si petits comparé à ma tige ne se laissent pas influencer par la différence de taille.
Chaque fois qu'elle marque une pause avec sa bouche, ceux-ci prennent la relève et viennent me caresser doucement sur toute la longueur en passant par-dessus mes veines.

- OOOOh ! Putain ! Ouais !

Le rythme a beau être assez lent, je continue de grossir et durcir dans sa bouche alors qu'elle m'avale de plus en plus. Et de mieux en mieux. Quand elle place un main sur mes fesses musclées, je la sens m'engloutir comme une affamée alors qu'il y a encore pas mal de marge.
La façon qu'elle a de ma sucer me donne l'impression de fondre dans sa bouche. Comme un chocolat qu'on aurait laissé au soleil.

Me voilà avec le gland coincé entre ses lèvres et un bain de salive chaude et gluante, une main qui me branle en tirant sur ma peau veinée et sensible de manière si sensuelle tout en imposant sa propre cadence... et une main qui termine sur mes couilles encore bien chargée.

Je suis tellement excité que je tends un bras pour venir se poser sur sa tête avant de retenir mon geste et de coller ma main sur le mur en carrelage à côté de moi. Mon autre main, elle, se serre pour former un poing car je n'ai qu'une parole et je lui ai dit juste avant que je suis tout à elle.

- J'suis vraiment con d'avoir demandé que 30 minutes. Parce que je pourrais rester des heures comme ça tellement tu m'excites.

En même temps que je parle, ma bite se met à pulser entre ses petits doigts fins. Les caresses de sa main sur mes boules me font me demander si elle se contentera d'utiliser cette façon de jouer avec ou si elle ira plus loin. Car pour le moment ça reste hyper agréable mais très soft.

Je ne m'attends pas à ce qu'elle se lâche au point de venir se frotter tout le visage avec ma hampe tendue ou de baver sur chaque centimètre de ma trique qui a quasiment retrouvé toute sa vigueur. Mais j'aime les femmes un peu joueuses.

Après, peut-être que ça viendra avec le temps pour Kara. Parce que quelque chose me dit qu'on sera amené à se revoir régulièrement et dans un tas de situations un peu spéciale vu comment notre histoire à commencée.

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Nos deux regards sont plongés l'un dans l'autre alors qu'elle se penche tout en appuyant son corps sur l'accoudoir du sofa qui doit être légèrement collant à cause de la transpiration pour me demander si j'en ai eu assez.

- Nan, je pourrais continuer encore des heures ce soir.

Il ne lui faut pas longtemps pour venir déposer une léchouille sur ma queue malgré son état. Peut-être que j'ai attendu trop longtemps pour lui proposer de me pomper et nettoyer ma bite avec sa bouche ? Ou, au contraire, lui laisser reprendre ses esprits et décider de s'y mettre par elle-même lui offrira une occasion de se lâcher.

Quand elle me tire de mon fauteuil pour aller en direction de la salle de bain je ne prononce pas un seul mot et me laisse emporter par Kara.

Changement de décor signifie aussi changement d'ambiance dans ce cas précis. Cette fois c'est elle qui mène la danse et je me laisse faire comme un puceau qui suivrait les consignes d'une femme plus âgée qui compte lui montrer toutes les bases des préliminaires.
Ses mains se baladent sur mon corps une nouvelle fois pendant que l'eau se réchauffe pour arriver à la température désirée par ma guide du moment.

Quand elle me pousse des deux mains sous l'eau brûlante, nous nous observons tous les deux sans en perdre une miette. Même si j'avoue que j'ai le meilleur rôle car je peux l'observer retirer ses habits. On a beau être loin d'un strip lascif, cela reste agréable pour les yeux.

Les rôles sont clairement inversés. Kara s'amuse à jouer avec sa bouche sur mes jambes comme je l'avais fait plus tôt avec mes mains sur ses cuisses quand je l'empêchais de jouer correctement. Ma seule envie est de continuer à monter pour venir s'occuper de ma queue. Je ne pense qu'à ça alors qu'elle prend clairement plaisir à me faire attendre. La garce. Et le pire c'est que je le mérite.

Quand elle remonte avec sa langue une première fois pour se prendre l'eau au visage je ne dis rien et lève juste le bras pour tourner légèrement le pommeau afin de dévier le jet de quelques centimètres et lui laisser le champ libre.

Je me contente de la regarder sans agir de la moindre manière pour le moment. En tout cas chaque coup de langue me fait soupirer et je ne retiens aucun son pour lui montrer à quel point j'apprécie et savoure ce qu'elle commence à faire avec brio.

- Depuis notre passage dans la bagnole je crevais d'envie de recommencer.

Je me baisse alors en me penchant légèrement en avant pour remettre ses cheveux en place et retourne dos contre le carrelage de la douche froid vu que l'eau ne tombe pas encore dessus. Le mur glacé et sa langue douce associée à l'eau chaude offre une combinaison dangereuse.

- Je te laisse faire, ma grosse queue est toute à toi.

La seconde qui suit laisse échapper un énorme et long soupir de plaisir d'entre mes lèvres. Putain ce que c'est bon. Certains mecs aiment pas se faire sucer. Tout se qu'ils voient c'est une chatte et un truc à enfoncer dedans comme des brutes. Alors qu'il faut savoir varier les plaisirs dans la vie. Et une fille qui sait vous tailler une pipe ne court pas les rues.

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La suite de notre échange est à l'image de sa fin : douce et calme. La fenêtre ouverte dans la cuisine laisse entrer et circuler une brise fraiche et des plus agréables sur nos peaux brûlantes dans le salon. Collés l'un contre l'autre, je peux sentir son coeur battre à cent à l'heure et se poitrine bouger au rythme de sa respiration.

- Qui a parlé de dormir ?

C'est vrai quoi, je ne me souviens pas avoir soumis cette drôle d'idée à un quelconque moment. Dans le pire des cas elle restait jouer un peu à la console autour d'un repas et serait rentrée chez elle en taxi. Et dans le meilleur, j'allais la tenir éveillée jusqu'au petit matin.

- C'est maintenant que tu t'en rends compte ?

Tout en gardant Kara sur moi, je tente de faire bouger le sofa de quelques centimètres en remuant les hanches comme je peux. Là, ça y est ! Un des pieds de la table basse est à portée. Avec mon pied je parviens à rapprocher celle-ci petit à petit et il ne me reste plus qu'à me penchant en gardant un bras autour de la taille de Kara pour chopper une bière.

Je l'ouvre immédiatement et englouti les trois quart de son contenu avant de lui offrir le reste. Mes lèvres repartent de plus belle sur les siennes qui sont moins lisses qu'à son arrivée. Les efforts et autres dépenses d'énergie sont passées par là. Deux doigts viennent alors se glisser dans son dos pour venir caresser ses fesses douces à la peau légèrement rugueuse avec la sueur. Jusqu'à se loger dans la fissure de ce bel abricot mûr sans chercher à aller plus loin. Juste pour jouer un peu.

On reste alors collés comme ça l'un contre l'autre pendant plusieurs minutes. Mes mains toujours aussi baladeuses viennent se nicher sur ses cuisses par-dessus sa chair de poule causée par le changement de température dû au vent frais, sur sa poitrine de manière délicate, dans son cou, sur sa joue pour faire remonter son visage.

- Maintenant que j'y pense, je commence à avoir la dalle aussi.

Sur un nouveau baiser baveux et langoureux, je pose une main sur l'épaules de Kara afin qu'elle se redresse et se retourne pour finir à son tour affalée le dos sur le canapé. Je me relève non sans difficulté le temps d'un moment. Rester coincé sur le sofa à remuer les hanches comme un possédé va me demander de bouger et marcher un peu pour récupérer ma mobilité.

J'attrape le téléphone fixe vers le mur et commande trois pizzas avec boissons et glaces en demandant à ce que je sois pas livré avant une bonne demie heure minimum. Le tout payé en ligne avec mon numéro de carte pour être tranquille quand le livreur passera nous ramener notre commande.

En me retournant je jette un oeil au sofa sur lequel se trouve Kara. Outre la petite flaque de sperme sur le coussin, on peut presque voir ma silhouette à force d'avoir suer par sa faute. J'enlève mon haut pour m'aérer la peau et profiter de la brise et je m'affale sur un des fauteuils à côté du sien.

- La bouffe arrive.

Je la regarde droit dans les yeux au départ en lui précisant ça. Puis mes yeux se tournent vers moi, au niveau de ma queue toujours couverte de sperme et désormais en demie molle après cette pause nécessaire.

- Mais si t'es trop pressée, tu peux venir t'occuper la bouche.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Un mois pour tout arranger (PV |-| Chloé)
« le: lundi 28 décembre 2020, 16:14:41 »
Si j'ai enchaîné les choses rapidement jusque là c'était pour pas lui laisser le temps de se rétracter en plus de me venger légèrement. Mais Chloé semble être une pure salope qui ne doit plus avoir grand chose à expérimenter au niveau du cul. Dans les deux sens du terme.

J'attrape le tube de vaseline en rigolant légèrement pour lui lâcher dans la foulée tout en faisant couler son contenu sur trois de mes doigts.

- Ouais, j'ai besoin de toi ce soir. Et capable de marcher droit.

Je tâte tranquillement et doucement le terrain. Ma pensée était bien la bonne, cette nana a pas le cul d'une débutante. Un sacré nombre de bites a dû passer par là avant. Et probablement pas l'une après l'autre. Si elle venait à m'annoncer que deux mecs étaient trop pressés au point de venir croiser le sabre dans son fondement, j'en serais pas surpris.

Les nanas sexy et délurées ça manque pas à Seikusu. Mais celles comme Chloé qui se prennent en selfie après un facial massif elles sont beaucoup plus rares.

Les trois doigts reprennent alors leur route pour son gros cul pendant que mon pouce s'amuse à titiller sa chatte qui m'a l'air humide. Vu qu'elle est désormais sur le dos après son changement de position je peux venir jouer avec un de ses énormes seins à l'aide de ma main libre.

La voir avec le visage encore marqué de mon sperme m'excite terriblement et je pars enfiler un quatrième doigt dans son cul. Sans forcer. Je dilate son trou tranquillement pour le préparer à ma bite.

Le traitement préliminaire dure plusieurs minutes car je préfère ne pas me baser uniquement sur la vaseline. Même si ça facilite la sodomie, s'en prendre une grosse sans préparation pourra faire des dégâts.

- Entre mon sperme, ta salive, la vaseline et mes doigts qui t'ont bien écarté ça va le faire.

Je me rapproche de son trou bien ouvert, la bite à la main, pour coller mon gland gluant et couvert de sperme. J'entame la première poussée en la fixant, un grand sourire aux lèvres.

- T'en es pas à ta première grosse bite.

La poussée se poursuit et mon gland finit par entrer sans trop de difficulté. Le doigtage en règle semble montrer des résultats. Un long soupire tout en expirant de la bouche accompagne le reste de la poussée alors que ma queue continue de disparaître dans son rectum qui est en train de m'écraser jusqu'à m'en faire mal.

Arrivé à la moitié je ressors pour reprendre lentement et voir si ça passe plus facilement au second essai. Ce qui est pas forcément le cas. Ca rentre, ouais, mais la résistance est toujours là.
Je me retire alors et je pose ma queue juste devant son visage quand elle tournera la tête sur le côté pour lui demander.

- Crache dessus !

J'attends quelques secondes et je retourne à ma place initiale avec une queue qui pèse une tonne à cause de toute cette salive. Puis, sans attendre, je repars de plus belle. J'ignore si elle a eu le temps de se décontracter entre temps, si c'est le résultat à retardement de mes doigts, sa salive ou alors une somme de tout ça. Mais j'arrive à glisser bien plus facilement dans son cul.

- La vue te plaît ?

Je me mets alors à l'enculer sur un rythme qui augmente rapidement en me contentant de lui foutre ma queue épaisse jusqu'à la moitié. On verra un autre soir pour une vraie enculade.
Faudrait pas gâcher tout le plaisir dès le premier soir.

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Même avec toute l'endurance du monde, il faut parfois faire des pauses durant un marathon sexuel. Ou alors posséder des facultés spéciales comme certains mercenaires. Dans le milieu des activités illégales on rencontre de tout. Les espèces exotiques ne sont d'ailleurs pas toujours d'origines animales. Je me souviens avoir vu un fois lors d'un spectacle, durant lequel j'escortais une cliente, deux femmes se faire plaisir sur une scène. La première était parfaitement humaine. Alors que l'autre... était en mesure de transformer certaines parties de son corps en tentacules et s'en servait pour lui faire perdre la tête devant une foule adoratrice.

Je me demande pourquoi je repense à ça maintenant. Toujours est-il que mon endurance a bien été drainée jusque là et que je vais devoir me soulager en elle une première fois pour marquer le temps d'une pause bien méritée de chaque côté.

Quand je sens sa main se poser sur la mienne il me parait évident qu'elle veut partir à la recherche d'un autre orgasme. Sauf que je prends la chose tout autrement en sentant que ses doigts fins n'avaient finalement pas terminés leur course.

Désormais plus relâché et plus du tout dans la retenue au niveau de mon orgasme je me mets à sourire tout en continuant de frotter la partie inférieure nue de mon corps sur le cuir du sofa tout en lui lâchant une petite remarque cochonne.

- Moi aussi j'ai envie de te remplir. Et ça va... pas tarder.

Je repars de plus belle mais à un rythme moins élevé qu'avant. Mes gestes se concentrent sur ma main qui malmène sans arrête son clitoris et l'autre qui profite de la douceur de sa poitrine. Chaque pénétration se veut alors plus sensuelle, plus profonde, jusqu'à sentir chaque centimètre venir se loger en elle pour que ses parois douces et humides les caressent à la perfection. Epousant chacune de ses formes et protubérances comme ses veines pulsantes qui l'alimente en sang.

La sueur perle en quantité de plus en plus grande sur mon front. Mon haut me colle à la peau et me démange légèrement au niveau du torse. Surtout quand il se replie tout seul à cause de nos mouvements respectifs. Mais la sensation de vouloir exploser en elle compense largement tout le reste. Ma bite commence même à me faire mal à force de retenir ma jouissance.
Chez un homme les choses ne sont pas toujours roses quand on tire sur la corde. Et là je force un peu trop. Au point de sentir une petite douleur aller et venir.

Dans un dernier élan alors que je sens qu'il ne me reste plus que quelques secondes avant de me soulager, je tire Kara vers moi pour l'empêcher d'aller où que ce soit. Je me laisse aller sur le sofa et enfonce mon dos dans le coussin arrière avec le poids de ma torride partenaire. Nos deux corps se retrouvent dans une position qui limite considérablement ses gestes vu que ses pieds ne sont à bonne distance du sol.

- Putain !

La seconde qui suit voit ma tige écarter ses parfois pour laisser la sperme remonter et jaillir de mon gland pour reprendre la belle et perverse Kara de l'intérieur. Mes doigts martyrisant son petit clito gonflé sans lui laisser une seconde de répit. Ecrasant son sein avec la poigne ferme de mon autre main. Le tout en soulevant les hanches pour que ma bite se loge aussi profondément que possible en elle.

Le premier jet dure deux à trois secondes quand un second arrive, accompagné d'un soupire de plaisir qui termine dans son oreille. Du sperme gélatineux vient se coller à ses parois déjà humides et gluantes alors que mes mains se font cette fois plus douces et mes gestes attentionnés. Je frotte son bas ventre doucement et sa poitrine avec tendresse alors que ma queue continue de se déverser de façon généreuse pour les quinze secondes qui suivent.

Le trop plein commence même à ressortir et dégouliner. Une sorte de gélatine blanche coule très lentement le long de ma tige pour finir par s'accumuler autour de mes couilles qui siègent sur le coussin du sofa et sur l'intérieur de mes cuisses.

Ma respiration est si compliquée, ses cheveux collés sur une partie de mon visage et mon épaule, avec son corps qui se fait soulever par ma poitrine à chaque inspiration, que je termine par respirer avec la bouche désormais. Je laisse plusieurs secondes passer en ressentant la chaleur torride de sa peau sur la mienne, nos corps emboités l'un dans l'autre.

- Et cette fois ? T'as eu le temps de jouir ? Car la soirée commence à peine.

Les idées ne manquent pas pour le reste de la nuit. Mais chaque chose en son temps.

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Kara est tellement excitée qu'elle continue d'enchaîner les initiatives avant que je m'en occupe. J'attendais de me trouver dans une bonne position pour passer à l'étape suivante. Mais elle est clairement pressée de son côté.
Du doigt je joue légèrement avec son clito gonflé et sensible pendant plusieurs seconde alors que je la pilonne brutalement avec ma bite qui est désormais chez elle dans sa chatte brûlante. Mais je décide de revoir la partition un court moment. Mon doigt humidifié par sa mouille qui coule partout se colle à mon index pour filer droit dans sa bouche légèrement ouverte.

- Avec... plaisir !

Les deux mots sont entrecoupés d'un coup de rein hyper brutal dans lequel je mets toute mon énergie. Mes doigts viennent alors se coller et se frotter à sa langue tout en récupérant un maximum de salive au passage lorsqu'ils trainent jusqu'à son menton en repartant. Je peux même sentir son souffle brûlant s'écraser dessus.
Puis les voilà rapidement revenir sur son clitoris. Avec un petit changement de position. Mon autre main vient la saisir à la gorge pendant que je reste dans son dos. Mon pubis claque et s'écrase sur son cul à chaque coup de rein pendant que je la force à se redresser un peu.

Ma main libre se glisse dans ses cheveux pour la forcer à pencher la tête sur le côté. Je me mets alors à embrasser son cou au début en calmant le rythme des pénétrations. Puis je colle mes dents sur sa peau douce mais couverte de sueur salée pour les faire descendre en les plantant juste ce qu'il faut dans sa peau. Les allez et venues en elle se font plus lente mais aussi profondes que possible. Le but est de lui procurer des sensations en haut et en bas.
Associer les deux à pleine vitesse est presque impossible car chaque coup de rein la fait partir en avant. Je mélange les rythmes, les cadences, les coups plus ou moins profonds, mais sans jamais lâcher son clitoris. Le tout jusqu'à sentir sa chatte se contracter et m'écraser la bite.

Et pourtant je ne m'arrête pas en si bon chemin.
Au bout de cinq minutes de jeu, je repose ma main sur sa gorge et la tire vers moi pour la mettre debout, dos à moi, ma queue logée au fond de cette prison de chair chaude et visqueuse. D'un coup de pied bien placé je repousse le sofa plus loin et j'emmène Kara à se retrouver à genoux sur le tapis, la tête dans un coussin qui vient de tomber. Une énième claque vient s'abattre sur son cul qui va finir par y voir apparaitre la marque de ma main.

- Relève ton cul !

Une main sur sa tête et l'autre sur sa hanche, je repars de plus belle avec ma bite épaisse et toujours aussi demandeuse de caresses pour la baiser sans aucune retenue. C'est ce qu'elle semble vouloir et aimer ce soir. Alors je vais pas la décevoir.
Les gémissements animales qui s'échappent d'entre mes lèvres se font de plus en plus réguliers au fil des minutes qui passent alors que le son de nos chairs qui claquent l'une contre l'autre deviennent les seules bruits que mes oreilles peuvent encore capter.
Il me faut plusieurs secondes pour y parvenir, mais je parviens à balayer ses cheveux trempées qui se collent à son visage dont une joue reste collée au coussin. Je lui tends alors ma langue pour chercher la sienne et l'embrasser de manière baveuse et complètement désordonnée. Nos salives finissent même par rapidement faire changer la couleur du tissu de ce coussin.

La veille je m'étais laissé aller à jouir sans chercher à me retenir. Ce soir ce sera différent, je vais la faire jouir encore et encore avant. Donc quand je sens son corps se contracter et sa chatte me presser la bite comme un vieux torchon trempé je change une troisième fois de position.
Je la soulève après m'être penché sur elle en la tenant par les jambes avec toujours mon torse collé à son dos. Puis je pose mon cul sur le sofa avec elle sur moi et je me mets à remuer les hanches pour soulever son corps et le faire rebondir sur le mien.

Une main revient harceler son clitoris comme lors de la première position, tandis que l'autre joue avec un de ses seins et le téton qui l'accompagne.

- Je crois que je vais te baiser jusqu'au petit matin.

Et pas besoin de gage pour me pousser à le faire.

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Après m'être pris quelques gifles de sa part je m'étais fait une idée de la force de Kara. Pourtant la vendeuse avait encore de la ressource vu la pression que sa petite main vient exercer sur mon sexe là-dessous. A croire qu'elle y met tout ce qu'elle a.

- Kuuuuuh !

Tout en la laissant faire vu que je ne peux pas l'arrêter dans cette position, je me remets à l'embrasser à pleine bouche tout en la forçant à reculer pour se redresser. Voir se relever. La main de nouveau sous sa culotte pour la doigter avec trois doigts.
La vache, ceux-ci se font littéralement aspirer au moindre mouvement. Moi qui cherche à la maintenir en état, je crois que ce n'est même plus nécessaire là.

Je la fais se retourner et la pousse en direction du sofa afin qu'elle se retrouve face au nouveau morceau de mobilier. Un genou sur un des coussins et les mains au niveau du dossier.

Avec ses fringues à moitié arrachées et son état d'excitation je ne sais même pas par où commencer. Son haut d'où ressortent ses gros seins qui n'ont plus nulle part où se cacher et sa jupe remontée dont la culotte doit la collée avec tout ce qui en coule.
Ma main droite revient foutre une claque sur son cul. Puis une seconde. Le bruit de la paume qui claque sur sa peau résonne dans toute la pièce en allant au-dessus de la musique du jeu vidéo qui tourne toujours à l'écran.

Mais assez joué. Mes doigts partent sur ma ceinture et la débouclent en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Je me rapproche alors d'elle pour glisser la main gauche entre ses cuisses et commence à faire frotter deux doigts sur sa fente par-dessus sa culotte pendant que je lève chaque jambe afin de virer mon jean que j'envoie voler plus loin.
Puis j'en fais de même avec mon boxer qui offre sa liberté à une bite dans tous ses états. Le prépuce déjà rétracté laisse place à un gland violacé et collant avec les quelques gouttes de pré-sperme qui se mettent à fuir de celui-ci. Le tout trônant au bout d'une tige veineuse et pulsante qui se balance de haut en bas comme la queue d'un toutou prêt à s'amuser comme un fou.

Désormais les deux mains libres, j'arrache un nouveau bout de tissu : sa culotte. J'aurais pu la lui enlever en un clin d'oeil. Mais pas le temps. Non, la chaleur qui m'envahit est trop forte. La seule chose qui pourra me calmer c'est...

- Cette chatte bien trempée !

Je me rapproche de nouveau d'elle avec deux doigts qui prennent sa température une dernière fois. Ca me fera un lubrifiant naturel parfait. D'une main ferme je me saisis de ma queue à sa base et commence à frotter sa hampe veineuse et tremblante contre ses lèvres intimes pour la couvrir de mouille.
L'autre main attrape un de ses gros seins pour le malaxer sans aucune forme de douceur ou de tendresse.
Je me penche alors une dernière fois mon visage de son oreille pour lui glisser.

- La levrette c'est parfait pour baiser une petite chienne en manque.

La main qui tenait se sein l'écrase, le presse comme un citron pour le relâcher aussi vite qu'il s'était attaqué à lui pour refoutre une fessée à Kara. C'est le signal d'une autre attaque plus bas. Sur un dernier retrait de mes hanches je positionne mon gland humide à l'entrée de sa chatte et pousse en force pour écarter ses parois serrées.

- Putain !

L'entrée est aussi résistante et étroite que la veille. Mais ma queue épaisse repousse tous les obstacles qui se trouvent sur son passage. Une main sur son cul et l'autre sur sa hanche pour commencer afin de la maintenir en place. Voir la pousser un peu en avant si ça finit par coincer.

Les râles et autres grognements de plaisir s'échappent de ma bouche au fur et à mesure qu'un centimètre supplémentaire s'enfonce dans ses chairs sensibles. Je sens tous les muscles de mon corps se contracter.
Lorsque les derniers centimètres entrent enfin, mes doigts s'enfoncent davantage dans sa peau alors que je soupire de longues secondes.

- Pfooouuuuu !

La manœuvre inverse me prend aussi plusieurs secondes. Mais contrairement à hier, je sens moins de résistance lorsque je m'enfonce en elle pour la seconde fois. Son corps commence à m'accepter et s'adapter à moi.
Il me faut pas plus de trente secondes pour instaurer une cadence régulière et rapide alors que je lime littéralement sa petite chatte en manque.

- T'attendais que ça depuis le début, avoue ! Je parie que t'en as rêvée toute la nuit hier. Sentir ma grosse bite remplir ta petite chatte étroite.

Tout en parlant avec une respiration lourde et compliquée, j'accélère davantage le rythme de cette levrette brutale.

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Je m'attendais à ce que la soirée finisse plus ou moins de cette façon après ce qui est arrivé hier. Parce qu'elle avait beau tenter de me faire croire le contraire, Kara avait prise son pied dans ce parc. Ce n'est pas pour frimer ou mettre en avant ma façon de faire. La chose s'est simplement produite.

En tout cas l'ordre est lancé et je ne compte pas me défiler. Bien au contraire, la nuit s'annonce folle. Un rictus nerveux m'est même arraché quand elle s'attaque à ma lèvre lorsqu'elle prend les devants en se collant à moi pour m'embrasser sans aucune retenue. La passion et l'envie pourraient prendre être visibles dans ses gestes. Qu'elle est loin la petite vendeuse hésitante.
Avec ses bras autour de ma nuque le message est clair : je n'irai nulle part.

- Les désirs de madame sont des ordres.

Mes mains se posent sur ses cuisses un bref instant pour faire remonter sa jupe au maximum et faire du coup ressortir ce cul bien rebondit. Le fait d'avoir été pris par surprise me force à respirer de façon moins sereine. En associant ça a mon état d'excitation qui grimpe assez rapidement et on obtient un mélange bien salace.
De la main droite je viens foutre une claque sur sa fesse gauche tout en empoignant les deux afin de faire remonter et coller son corps aux formes si généreuses sur le mien.

Sa grosse poitrine est la seule barrière naturelle qui éloigne nos corps l'un de l'autre. Pourtant je peux sentir cette dernière s'écraser contre mon torse. Même déjà comprimée sous son haut et sa veste.
Il fait une chaleur pas possible sur ce sofa. Entre son souffle brûlant quand nos lèvres se séparent quelques secondes pour que l'on puisse respirer, le mélange de nos deux salives chaudes qui coule sur moi, sa peau brûlante quand nos corps se touchent ou encore la friction du tissu de nos habits.

Tout en gardant une main enfoncée dans la chair tendre de son cul, je dirige l'autre sous sa culotte pour constater qu'elle commence déjà à mouiller. Pas de perte de temps inutile pour la chauffer ce soir. Ce n'est clairement pas nécessaire vu qu'elle sait ce dont son corps à besoin.

Mes lèvres échangent un dernier baiser avec les siennes pour plonger et jouer avec son cou au goût salé à cause de la transpiration. Cela me permet de vérifier les zones sensibles de son corps que j'aurais pu négliger la première fois tout en m'ouvrant un meilleur angle qui me permet de glisser trois doigts dans sa fente chaude et humide.

En la repoussant légèrement pour que son dos se redresse, j'attrape un de ses poignets avec la main qui jouait jusque là avec ses fesses pour la glisse sous mon boxer sans chercher à ouvrir mon jean.

- Tu la sens durcir entre tes doigts ? Garde la main dessus jusqu'à ce que je bande complètement pendant que tu repenses à toutes ces sensations d'hier.

Je la lâche aussi tôt pour poser les deux mains sur sa veste et son haut que j'arrache d'un coup pour me saisir de ses seins à pleines mains. Ses deux obus à la peau si douces et élastiques se font presser légèrement pressés l'un contre l'autre pour que leur mamelons se retrouvent collés.
Et là je fonce dessus bouche la première pour les sucer. Les deux petites pointent sensibles rencontrent mes dents dans la foulée.

Jouer avec la poitrine d'une femme m'excite beaucoup car cela les fait souvent gémir de manière assez audible. Dans d'autres situations il s'agit aussi d'un excellent moyen de les plonger dans l'ambiance. Sauf que Kara n'en a pas forcément besoin là. Non, je veux juste que ses gémissements et autres couinements qui résonnent dans mes oreilles fassent remuer ma queue sous mes fringues pour qu'elle sente tout ce qui se passe avec sa main.

La pointe de mes cheveux effleure sa poitrine et viennent parfois s'écraser sur mon front quand je joue plus avec un sein que l'autre maintenant que j'ai recraché de façon volontairement vulgaire ses deux tétons couverts de ma salive. Je m'amuse à alterner entre l'un et l'autre. Traiter le premier de façon agressive en le pinçant ou le mordant tout en caressant ou léchant tendrement l'autre offre une sortie de double traitement opposé amusant et excitant.

Ceci dit, les minutes passent et je suis bientôt en état de m'occuper d'elle directement.

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Ouais, j'en faisais des caisses pour plaisanter. Mais c'est rien à côté d'elle quand elle vient remuer le couteau dans la plaie en se posant devant moi. Quand elle parle de mes autres qualités je me mets à rire en relevant la tête. Nos visages sont sacrément proches l'un de l'autre. Au point de pouvoir sentir son haleine et sentir son souffle chaud sur ma peau.

Un immense sourire sur le visage je me dis que ça va... que ça doit se payer.

- Ah ouais, tu veux la jouer comme ça ?

Je l'attrape par le poignet pour la faire se relever à mi-hauteur pour ensuite la faire tourner sur elle même afin qu'elle recule ensuite pour atterrir sur mes genoux. On va pimenter la prochaine partie et on verra si elle s'en sortira aussi bien que ça, madame la gameuse.

- Je vais te filer un handicap pour la prochaine partie. On verra si ce sera aussi facile.

Contrairement aux précédentes elle se retrouve seule face à trois joueurs et devra finir dans les deux premiers. Donc interdit d'être dans les deux premiers joueurs à se faire expédier hors de la plateforme de combat.

De mon côté je ne bouge pas, les bras allongé et posés sur le sofa tout en la gardant sur mes genoux. J'attends le moment propice pour la déranger. La partie démarre, chaque joueur commence tranquillement en s'envoyant des attaques de loin.

Alors qu'elle tente de prendre les devants, mes mains se posent alors sur ses cuisses pour remonter en emportant sa jupe avec elles dans le mouvement.

- Aaaah, on reste concentrée sur la partie !

D'abord sur la surface extérieure de ses jambes, je change rapidement de côté pour venir voir si l'intérieur est tout aussi sensible. Ce qui me semble être le cas vu sa façon de gigoter. Elle a du mal à rester sur place. Mais faut voir si c'est de ma faute ou celle du jeu étant donné que les parties précédentes déjà elle ne se retenait pas de jaillir du sofa pour gueuler sur l'écran.

La partie avance et un premier joueur fini par se faire éliminer. Il n'en reste plus qu'un pour que Kara remporte son défi. Ce qui me pousse, logiquement, à augmenter la difficulté. Sinon c'est pas drôle.

- Tu t'en sors bien. Heureusement que je sais pas me servir de mes dix doigts, sinon t'aurais déjà perdu.

Ma main droite reste en bas et s'approche dangereusement de sa culotte en lui caressant l'intérieur de la cuisse doucement. La gauche, elle, remonte le long de ses hanches par-dessus ses fringues pour venir se poser juste en-dessous de sa grosse poitrine. Sans se poser dessus. Non, je préfère jouer avec l'idée que cela pourrait se produire à tout instant. Que cette possibilité lui trotte dans l'esprit durant sa partie. Du bout des doigts j'effleure sa culotte. Le dos de mon autre main, elle, se frotte à ses imposantes jumelles pendant que je caresse le haut de son ventre.

- Ca y est presque, ouais...

La remarque est clairement à double sens. Et au final... Kara parvient à dégager un second joueur et même à remporter la partie. Eh ben, à croire que ça l'a boosté au lieu de la déstabiliser. J'avoue ma défaite. La seconde d'affilée. Je retire mes mains doucement en lui annonçant doucement à l'oreille.

- T'as encore gagné. A toi de me refiler deux gages. Sauf si tu préfères m'en refiler un plus gros.

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A cette nouvelle demande des plus étrange je ne trouve qu'une seule réponse.

- J'avais dis "dans les limites du raisonnable" pourtant. T'étais prévenue, alors viens pas te plaindre après.
Tu peux mettre de la musique avec ton téléphone, non ?


Après une minute ou deux à chercher comment lancer une chanson rétro avec les paroles à côté je me lève au milieu du salon. Du tibia je repousse légèrement la table basse pour ne pas renverser ce qui est dessus en plus d'un des fauteuils.
Mais les préparatifs ne sont pas terminés, oh non. J'attrape ma bière et la descend d'une traite pour reposer la bouteille vite aussi rapidement que je l'ai récupéré.

La musique démarre enfin et je me lance :
♫ Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer ♫
♫ Et la Terre peut bien s'écrouler ♫
♫ Peu m'importe si tu m'aimes ♫
♫ Je me fous du monde entier ♫


La chanson dure trois longues minutes durant lesquelles je ne me défile pas. Chaque syllabe sort de la mauvaise manière. Je chante horriblement faux et ce n'est pas volontaire une seule seconde.

Au milieu de mon interprétation je pose un pied sur le fauteuil en levant une main en l'air, comme pour implorer le ciel. Elle voulait la totale, non ? Sans fleur à portée de main pour jouer au casanova, j'improvise et ramasse une bouteille de bière pour me tourner ensuite d'un geste fluide et doux vers Kara pour me retrouver sur les deux genoux face à elle.

♫ Nous aurons pour nous l'éternité ♫
♫ Dans le bleu de toute l'immensité ♫
♫ Dans le ciel, plus de problème ♫
♫ Mon amour, crois-tu qu'on s'aime? ♫
♫ Dieu réunit ceux qui s'aiment ♫


Je lui tend la bouteille du bout des bras en prolongeant volontairement la dernière phrase de la chanson avant de lui saisir la main droite et de la baiser comme dans les films.

- Je t'avais prévenue. Alors inutile de m'envoyer la facture si t'as perdu l'audition ce soir.

Sans attendre plus longtemps je me prends une autre bière et la descend d'une traite pour la faire claquer légèrement sur la table basse en annonçant que cette fois je vais gagner. Ce qui... n'arrive pas. J'étais super motivé, remonté, prêt à tout faire péter sur mon passage. Ce que j'avais pas prévu c'est que mon adversaire esquive mon attaque et que je tombe tout seul hors du décor sans avoir faire quoi que ce soit.
La tête baissé, complètement dégoûté par cette partie pourrie je soupire en souriant.

- Bon, j'ai perdu, encore.

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Prélude / Re : Etyhs, Mère Kitsune Bienveillante
« le: jeudi 24 décembre 2020, 18:32:26 »
Tout bienvenu à toi !  ;)

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- Ouep, une bonne grosse gifle.

Je l'encourage à y aller franco. Les fois précédentes elle avait agis par instinct, rage, voir envie. Mettre un coup est généralement plus simple et efficace quand le geste n'est pas traiter trop longtemps par le cerveau. L'anticipation peut nuire à son efficacité.
Ce qui finit par arriver ici...

- Ah ah, t'es pas censée te faire mal.

Assez rapidement elle va pour retenter sa chance sans me demander mon avis. Il y a pas à dire, je suis en train de former une sériale gifleuse. Je vois son geste partir et je l'évite à la dernière seconde pour remplacer ma tête par ma main dans laquelle elle frappe comme un high five.

- Faut pas abuser des bonnes choses. J'avais dis une gifle, pas deux.
T'aurais sûrement d'autres occasions plus tard. Même ce soir. On sait jamais.


J'attrape la manette et la lui lance pour voir si elle va la rattraper par réflexe tout en rigolant. On a une longue soirée devant nous et laissons celle-ci reprendre son court dans la rigolade.

Nouvelle partie, nouveau personnage et... nouvelle défaite. Le combat a par contre duré bien plus longtemps que prévu. Je suis parvenu à mourir en second pour m'offrir la troisième place devant un FortnikeBouleRoyale à qui j'ai même pu placer une attaque ou deux.
Je ne dois mon salut qu'au second inconnu qui s'est chargé de bien l'allumer vu que Kara ne semble pas intéressée le moins du monde à me venir en aide.
La fourbe, elle veut profiter de son avantage et me refiler un tas de gages ce soir. Ce qui n'est pas volé après les deux derniers jours durant lesquels j'ai mené la danse.

Je dépose ma manette sur la table basse et baisse la tête face à Kara après m'être tourné vers elle.

- Je m'incline. Tu peux me demander ce que tu veux. Enfin, dans les limites du raisonnable.
Et pas de seconde gifle, histoire de pas imposer deux fois de suite le même gag, sinon c'est pas drôle.


Reste à voir ce qu'elle aura en tête cette fois.

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