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Messages - Poison Ivy

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Les terres sauvages / Re : Paradis perdu [Isamu]
« le: mardi 13 mars 2012, 23:08:38 »
Tout était bien qui finit bien… Mais Ivy se sentait quand même légèrement déçue. Isamu assura aux villageois qu’ils seraient protégés, avant de la voir.

« Pour être sûr qu'ils ne partent pas à votre recherche, je pense qu'il faudrait que j'affirme vous avoir vaincu. vous pourriez me donner un trophée quelconque, pour être plus crédible ? »

Ivy esquissa un léger sourire amusé… Voilà qui lui assurerait aussi une certaine forme de gloire personnelle… Oh, elle ne doutait pas du bien-fondé des intentions d’Isamu, mais elle ne croyait pas que ce dernier soit totalement désintéressé par des ambitions personnelles. Hésitant sur ce qu’il convenait de lui donner, elle arracha une longue mèche de cheveux, les déposant dans la paume de sa main.

« Vous n’aurez qu’à leur dire que vous m’avez brûlé. Les religieux aiment les feux. »

Ayant dit cela, Poison Ivy s’isola un peu. Elle sentit la forêt recouvrant Greenthornway disparaître, ce qui l’attristait un peu. Elle s’isola, refusant de communiquer avec tout le monde, s’enfermant, afin de pouvoir verser quelques larmes. Les heures défilèrent rapidement, et, quand elle sortit de son isolation, ce fut pour voir que les deux camps étaient formés. Deux camps…Il n’y avait qu’un seul camp, celui qui attendait sur la place publique, les autres restants dans leurs maisons. Greenthornway était redevenu un village triste et sombre, froid et gris. Ivy s’approcha de ceux qui avaient décidé de la rejoindre, reconnaissant naturellement Lana, son mari, et plusieurs de ses amants. Andréa était également là, ainsi que d’autres.

« Pourrons-nous les revoir un jour ? demanda une femme.
 -  C’est à eux d’en décider… répliqua Ivy. Je me contenterais d’être votre guide, et, si je ne comprends pas leur décision, je l’accepte. »

Ivy les regarda. Certains semblaient tristes, et elle tâcha de les rassurer.

« Vous avez pris la bonne décision. Il n’est pas simple d’abandonner sa maison, je le concède, mais, si vous êtes ici, c’est que vous avez du comprendre que cette civilisation-là n’est pas la bonne, qu’elle est un carcan qui vous étouffe. Je vous offre la possibilité de recommencer une nouvelle vie. Il est normal que cela vous perturbe, mais vous irez mieux ensuite. »

Les villageois n’étaient guère convaincus, et Ivy commença à se mettre en marche, lorsqu’Isamu vint l’interrompre.

« Nous séparons-nous en bon termes? je m'en voudrait de n'avoir été qu'une gêne pour vous, après tout ce qui s'est passé... enfin... »

Là encore, Poison Ivy se contenta d’un léger sourire, et lui répondit en l’embrassant tendrement, sans se donner la peine de lui saluer la main. Elle n’agissait pas ainsi.

« Sachez que Terra est un monde plus petit qu’il n’y paraît, et que, malgré vos manières froides et chevaleresques, vous fûtes un bon amant. »

Une réponse relativement énigmatique, mais qui confirmait plutôt bien ce qu’elle pensait. Poison Ivy se retourna ensuite, et marcha vers la forêt, sans jamais se retourner. Elle resterait encore probablement quelques semaines ici, avant de devoir les quitter, le temps de s’assurer qu’ils pourraient vivre sans elle.

FIN

[Merci pour le RP !]

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Les terres sauvages / Re : Paradis perdu [Isamu]
« le: mardi 13 mars 2012, 00:14:50 »
La cérémonie se déroulait à la perfection. C’était un hommage, tout simplement, et c’est bien ainsi qu’Ivy comptait l’appeler. L’Hommage. L’hommage envers ce que la Nature pouvait offrir, comme une suggestion à ne pas rechercher le bonheur dans la trompeuse technologie, mais en revenant aux fondamentaux, à ce que la Nature peut produire. En soi, Poison Ivy ne remettait pas en cause la science et le progrès en tant que tels, mais la contestait quand cette évolution amenait à détruire le monde. Force est d’admettre que la science finissait par amener plus de problèmes qu’elle n’en résolvait. Et, même si c’était, dans le fond, la science qui avait créé Poison Ivy, ça ne l’empêchait pas d’être très critique envers cette dernière. La belle femme observait la scène silencieusement, fascinée par le spectacle de Lana. La main de Jason empoignait l’un de ses lourds seins, la serrant tendrement, et le soleil continuait à l’éclairer. Une nymphe… Lana ressemblait à une nymphe.

C’est à cet instant qu’Isamu l’importuna. Surprise, Ivy le regarda. Il n’était toujours pas parti ? Mais qu’attendait-il donc ? Sa bénédiction ? Elle fut tentée de lui dire de la laisser, mais l’homme parla plus rapidement.

« C'est important, ce qui ce passe, vous savez ! Je crois que vous avez appris de votre chasseur que les armée d'Ashnard et de Nexus approchent. Mais il n'ont pas attendu un ordre officiel de L'Ordre Immaculé pour le faire. il ont été avertit par le prêtre que vous avez chassé d'ici, ils savent quels sont vos moyens et ont probablement deviné vos faiblesses. vous devez faire quelque chose, et vos parades habituelles ne seront pas utiles si ils lancent une charge de golems ou embrasent la forêt. J'ai peut-être un plan, mais ça voudrait dire fuir le village et me faire confiance. »

Ivy lui sourit, et, sans lui laisser le temps de poursuivre, posa un doigt sur ses lèvres, et, prenant son temps, l’embrassa.

« Votre inquiétude est touchante, Chevalier, mais je vous ai dit que vous n’aviez pas à vous en faire. J’ignore quel est votre plan, mais j’en ai déjà un, et je compte l’annoncer à mon peuple. Les armées conjointes seront sûrement là dans la soirée, mais, à cet instant, tout serait réglé. »

Poison Ivy rejoignit à nouveau la place publique, où Lana avait pu jouir. Poison Ivy s’approcha près du lit, et l’embrassa tendrement.

« Êtes-vous fière de moi, Mère ?
 -  Plus que jamais, mon ange… répondit Ivy en l’embrassant à nouveau. (b]Tu es ma fierté personnelle.[/b] »

Lana rougit poliment, et Poison Ivy se retourna vers l’assistance.

« J’espère que cette scène vous a plu ! Il est maintenant temps pour moi de vous dire qu’une nouvelle ère va commencer pour ce village. Là, dehors, des armées entières fondent vers nous, et nous massacreront dès ce soir… Sauf si nous ne sommes plus là. Cette forêt est immense. Voilà donc ce que vous allez faire, mes enfants ! D’ici quelques minutes, les effets de mes aphrodisiaques s’évanouiront, et vous pourrez alors sérieusement réfléchir à votre avenir. D’ici deux ou trois heures, ceux qui voudront partir n’auront qu’à se mettre près du moulin à eau. Les autres resteront ici, et accueilleront comme il se doit leurs libérateurs. Greenheaven disparaîtra rapidement, redevenant ce village triste et fade qu’il était avant mon arrivée.
 -  Où… Où irons-nous, Mère ?
 -  Nous remonterons le cours de la rivière, et vous vivrez en harmonie avec la Nature, dans l’insouciance de cette vie. Je vous élèverais, je vous apprendrais à vivre dans la nature, à vous protéger, et vous serez heureux. La forêt est suffisamment immense pour couper les ponts entre Greenthornway et Greenheaven. Quant aux soldats… Ce qui les intéresse est le village et les gisements de pierre.
 -  Il y a forcément une autre solution !
 -  Malheureusement, non. C’est à vous qu’il incombe de prendre cette décision. »

Et Ivy se tut là. Les dés étaient jetés. Les villageois parlaient entre eux, et les incubateurs implosèrent alors. La civilisation allait reprendre ses droits sur ce village. Ivy en ressentit une légère pointe de nostalgie, mais, en soi, les bâtiments ne l’intéressaient pas. Lorsque les troupes de Nexus arriveraient, elle espérait que le village serait un village fantôme, mais elle n’y croyait pas trop… Néanmoins, elle ne comptait pas influer sur les choix des habitants. C’était à eux de prendre leur décision, et elle savait qu’il n’y aurait pas une réponse unanime. C’était la diversité de la Nature, tout simplement.

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Les terres sauvages / Re : Paradis perdu [Isamu]
« le: dimanche 11 mars 2012, 12:45:06 »
Poison Ivy renifla ses pétales, tandis qu’Isamu sembla se détendre. Il lui parla, arguant qu’il comptait partir. Qu’il fasse donc ! Il était d’un ennuyeux ! Poison Ivy préférait renifler ses fleurs, sentir les odeurs de la nature, tandis qu’Isamu revint sur le sujet qui lui tenait à cœur : faire d’elle un cancer qui provoquerait le chaos et la ruine. Là encore, Poison Ivy le laissa parler, sans répondre, et finit par se retourner quand elle l’entendit ouvrir la porte.

« Si vous avez envie de me parler, je serais encore un court instant à l'auberge, pour récupérer mes dernières affaires. »

Là encore, Ivy ne dit rien, se contentant de le regarder. La porte finit par se refermer, et la jeune femme se retourna, continuant à inspecter ses plantes, puis s’approcha d’une partie du mur, qui s’écarta rapidement. Le lierre, les tentacules, bougèrent, permettant à Poison Ivy de passer par un couloir qui l’amena dehors. Le soleil éclairait la ville par intermittence, à travers d’immense set d’énormes branches. Un énorme feuillage qui se dressait dans le ciel. Poison Ivy descendit le perron de son palais. La place publique était prête, avec un cocon au centre, comprenant une mousse tendre et délicate, au milieu des incubateurs, qui étaient vides.

« Bonjour, Mère ! lança un homme. Avez-vous trouvé des candidats pour… ?
 -  J’avais trouvé un homme, fit Ivy en lui caressant les cheveux, mais je crois qu’il va se désister… Et oui, mon mignon, certains hommes n’aiment pas se faire plaisir… Mais ne vous inquiétez pas, la cérémonie aura bien lieu… »

Tout en marchant, dans une végétation aussi luxuriante, Poison Ivy avait retrouvé sa peau verdâtre. Elle avança, jusqu’à ce que quelqu’un s’approche d’elle rapidement, essoufflé.

« Mère ! Mère ! Mère ! »

Poison Ivy le regarda. Quint, l’un des chasseurs du village, qui avait pour habitude de s’éloigner de Greenheaven afin de trouver des daims et des biches. L’un des meilleurs chasseurs du village, qui utilisait ses nouvelles propriétés pour se fondre encore plus efficacement dans la nature. Il avait doublé ses scores de chasse depuis qu’il avait rencontré Ivy, parvenant bien plus facilement à entendre les bruits de la forêt, et à se mélanger à l’intérieur, afin de ne plus apparaître comme une menace.

« Que veux-tu ? »

D’une voix essoufflée, Quint lui parla des immenses armées dehors, à la lisière de la forêt, qui marchaient vers Greenheaven. L’armée avait la bannière de l’Ordre, mais il avait reconnu des bataillons de Nexus et d’Ashnard. Visiblement, les deux empires avaient répondu, envoyant des contingents, qui avaient formé une armée commune, sous la bannière de l’Ordre. Quint avait repéré des armes de siège, des balistes incendiaires, des hommes en armure, des mages… Ivy l’embrassa pour l’aider à se détendre, lui assurant qu’elle avait les choses en main. Cette histoire, toutefois, l’ennuyait, dans la mesure où elle devrait peut-être remettre à jour ses projets, vis-à-vis de cette cérémonie publique.

La foule ne tarda pas à arriver, se concentrant autour de la place publique. Toute la foule finit par arriver, et Ivy resta au centre, observant l’assistance en souriant. Il  y avait derrière elle sa plante en forme de lit nuptial végétal concentrique. Elle observa son peuple, sentant la protection de la forêt. Il lui suffisait de fermer les yeux pour voir la forêt brûler, les arbres se disloquer, les hurlements du peuple, les hommes en armure en acier enfonçant leurs épées dans les cadavres… Essayant de se concentrer, Ivy rouvrit les yeux, revenant au moment présent, et ne tarda pas à parler. Ce petit incident devrait être évoqué, naturellement, mais pas tout de suite. Pour l’heure, Poison Ivy avait de plus amples prérogatives.

« Habitants de Greenheaven, je suis heureuse de vous voir tous ici ! Quand je suis arrivée il y a quelques semaines, Greenthornway était un village sinistre, lugubre, désolé, où vous n’étiez pas heureux, où vous crouliez sous les impôts et sous le joug d’un seigneur incompétent. Depuis que j’ai repris ce village en main, il y fait bon vivre, et vous êtes plus heureux, plus libres, plus joyeux, et plus productifs. Mais ce n’est pas suffisant ! Je me dois aussi de veiller à votre éducation, et notamment celle des plus jeunes, ce qui explique notamment pourquoi j’ai tenu à ce que vos enfants soient là. »

Parmi la foule, on trouvait effectivement de jeunes filles et de jeunes garçons.

« L’éducation que vous avez reçu est une éducation mauvaise, vicieuse, et il est de mon devoir d’éviter que cde schéma ne se reproduise avec les plus jeunes d’entre vous. L’éducation que vous avez reçu pose comme fondement que le sexe est une chose mauvaise, une chose dont nos plus jeunes devraient être protégés. Là d’où je viens, on appelle ça le puritanisme, et c’est une doctrine mauvaise, inutile, et hypocrite. Hypocrite, car on considère que montrer aux jeunes les plus belles choses que la vie offre est néfaste, plus néfaste que de leur montrer la mort, la violence… Là d’où je viens, le monde est un monde de violence perpétuelle, parce que les hommes sont plus habitués à vivre dans la violence que dans l’amour, et dans tout ce que l’amour implique. Je ne prétends pas changer cet état des choses, mais, pour vous en tout cas, je le ferais. Voilà donc pourquoi, à partir de maintenant, chaque Vendredi, deux individus volontaires feront l’amour en public.
 -  C’est immoral ! » tonna une voix.

Tournant la tête, Poison Ivy remarqua l’aubergiste, qui venait de parler, et s’avança vers elle. Il désigna d’un doigt l’un des enfants.

« Vous n’avez pas le droit de faire ça ! Ils ne sont pas à l’âge nécessaire pour comprendre ! »

Ivy se permit de lui rire au nez.

« Là d’où je viens, et sur ce monde aussi, un enfant de cinq ans peut voir un meurtre de manière très fidèle. Ne croyez-vous pas que quelqu’un qui voit la mort de ses yeux est en âge de voir l’amour ?
 -  Vous n’êtes qu’une sale pédophile, et je… ! »

Un tentacule jaillit brusquement, fouettant l’aubergiste au visage, le renversant sur le sol.

« Ne revenez jamais m’insulter ainsi ! vociféra Poison Ivy. Je me contente de les éduquer sexuellement, de leur montrer ce qu’est l’amour, afin qu’ils ne voient plus cela comme une chose taboue, une chose dont il faudrait se cacher, mais comme la chose la plus naturelle au monde ! Ils n’ont pas l’âge requis pour ressentir de tels désirs, c’est un fait, mais ce n’est pas une raison pour qu’ils ne voient pas par eux-mêmes ce qui les attend. Pour tout vous dire, je rêve d’une société utopique qui serait la reproduction exacte de la Nature, une société où la notion de « famille », avec tout ce qu’elle entraîne de négative, serait supprimée au profit de la communauté, de la société. Comme dans une ruche… »

L’aubergiste entreprit de se relever. Ses yeux fusillaient Ivy du regard, mais elle n’en tint pas compte, préférant reporter son attention. Elle désigna d’un doigt Lana, et, d’un autre, un homme, Jason. Les deux s’avancèrent. L’aubergiste choisit de partir, se massant la joue.

« Ceux qui sont choqués ont le droit de partir. Je ne force personne. Après cette séance, je devrais toutefois m’entretenir avec vous tous. Pour l’heure, il est temps d’honorer les attributs dont la Nature nous a doté ! »

Lana et Jason se déshabillèrent rapidement, sous les regards étonnés des plus petits. Ivy ne se sentait nullement gênée de leur offrir un tel spectacle. Pourquoi l’aurait-elle été ? Elle ne faisait que les éduquer, loin de la schizophrénie de la société, de cette société qui vous disait quand vous aviez dix ans que le sexe était mal, avant de vous dire à vingt ans que ne pas pratiquer le sexe était mal. Lana et Jason s‘assirent sur le cocon, et commencèrent à s’embrasser. Qu’ils étaient beaux… Deux beaux corps jeunes et superbes… Ivy les regarda silencieusement, avant de s’approcher des spectateurs, commençant à faire une tournée de baisers, en embrassant chacun, caressant avec ses mains les cheveux des plus jeunes. On alla parfois lui peloter les fesses, et elle prolongea plusieurs baisers, serrant contre elle les hommes ou les femmes qu’elle embrassait.

« Vous êtes un bénédiction, Mère… lâcha une femme.
 -  Je sais… » lui répondit-elle en lui offrant un autre baiser.

Elle se déplaça ensuite vers un homme, et l’embrassa tendrement, avant de se retourner, se glissant dans ses bras, souriant en voyant Lana empalée sur Jason. Elle ne s’était pas trompée en choisissant Lana. Yeux mi-clos, elle hurlait son bonheur, et semblait particulièrement heureuse. Le soleil effleurait son corps très clair, luisant dessus, lui donnant presque l’allure d’une sainte.

« La Madame, elle souffre ? » demanda une jeune fille à côté d’Ivy, qui avait l’air inquiète.

Poison Ivy sourit, et prit la jeune fille entre ses mains, la soulevant, la tenant dans ses bras.

« Oui et non… Disons qu’elle souffre de bonheur…
 -  Comment ça ? s’étonna-t-elle. Elle est bruyante… »

Ivy se contenta de sourire, délivrant un baiser sur la joue de la jeune fille, puis la reposa. Ses phéromones influaient dans l’air, et elle se demandait si la scène n’allait pas virer en une espèce de grosse orgie. Ce ne serait pas pour la déranger, mais il fallait aussi qu’elle leur parle…

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Les terres sauvages / Re : Paradis perdu [Isamu]
« le: samedi 10 mars 2012, 17:29:20 »
« Je ne songe pas à continuer ma vie avec vous » lâcha-t-il au milieu de sa tirade.

Un léger sourire traversa les lèvres d’Ivy. Que les hommes pouvaient être cruels ! Un vrai crève-cœur ! Elle l’écouta silencieusement parler, croisant les jambes, sa gorge rafraîchie. Boire lui avait fait du bien, et elle pouvait sentir son peuple se réveiller. Les habitants de Greenheaven se réveillaient paisiblement dans une ville luxuriante, une ville où on n’aurait plus besoin de marcher dans la boue, où il faisait bon vivre. La nature était partout, s’insinuant dans les maisons des gens, recouvrant les murs de lierres. La végétation était partout. C’était sans doute la ville la plus agréable de tout Terra. Poison Ivy ferma lentement les yeux, lorsqu’Isamu commença à lui poser une question qui était très intime.

« N’avez-vous jamais aimé quelqu'un plus que vous n'aimez ces villageois, plus que vous ? Avez-vous jamais senti que vous l'aviez trahi, même sans le vouloir, ou peut-être vous a t-il trahi, lui ? »

Ivy le regarda tranquillement, laissant un silence assez déstabilisant s’installer. Elle ne lui répondit pas sur le coup, réfléchissant. Elle se contenta de le fixer, ses souvenirs revenant. Jason Woodrue… Oui, si elle avait vraiment aimé quelqu’un plus qu’elle-même, ce ne pouvait être que Woodrue, Elle se mordilla les lèvres, hésitant à lui répondre, déstabilisée. Woodrue était une histoire ancienne, pourtant… Un vieux cauchemar qui ne devait pas ressurgir, mais qui revenait malgré tout…

« Je ne suis pas sûre que nous soyons assez intimes pour que je réponde à une telle question, Chevalier… Néanmoins, puisque je vous ai ôté votre virginité, je crois que je peux bien vous accorder cela… J’ai aimé quelqu’un, oui. Vraiment aimé. Au point de lui offrir mon corps et mon âme, avec cette passion insouciante et irréfléchie propre à la jeunesse. Et il s’est servi de moi, mais, dans un sens, je ne peux pas lui en vouloir… C’est à cause de lui que je suis devenue… Ce que je suis… Il a pu admirer par lui-même le succès de ses théories », avoua-t-elle en souriant légèrement, contemplant ses mains.

De petits tentacules jaillirent de ses doigts, grossissant légèrement, avant qu’Ivy ne les rétracte.

« Pourquoi cette question ? lâcha-t-elle soudain, retrouvant son aplomb. Il me semblait vous avoir dire que je suis pressée… Si vous voulez quitter Greenheaven, je ne vous en empêcherais pas.#

Descendant de son trône, Ivy marcha sur le sol, s’approchant d’Isamu. Elle sourit en voyant qu’il était légèrement crispé sur son épée. Était-elle si effrayante ?

« C’est à vous de voir ce qui vous convient le mieux… J’offre aux villageois une vie de rêve, une vie où ils sont beaux, où ils n’ont pas d’autres soucis à se faire que manger et être heureux… Une vie où l’Homme ne peut plus interférer dans le dessein de la Nature, et être réellement l’une de ses créatures… Si vous ne voulez pas faire partie de ce rêve, Isamu, je ne saurais vous y forcer. Maintenant, à vous de me dire ce que vous voulez… »

Tout en parlant, Ivy s’était recouverte avec son habituelle tunique verte, sa peau devenant un peu plus beige, se rapprochant plus de la pigmentation propre à un être humain lambda de couleur claire. Ses mains gantées caressèrent quelques fleurs, et elle huma leurs parfums. Quelques petits oiseaux rentraient dans ce cocon de verdure et de beauté. Elle attendait qu’Isamu en vienne à l’essentiel, ayant bien compris qu’il était toujours dans son raisonnement. Elle espérait juste qu’il n’espérait pas en savoir plus sur Woodrue, car Ivy ne comptait pas satisfaire sa curiosité outre mesure.

515
Les terres sauvages / Re : Paradis perdu [Isamu]
« le: vendredi 09 mars 2012, 22:32:15 »
Isamu se réveilla, en écartant Lana délicatement. Cette dernière le regarda en fronçant les sourcils, et Ivy se contentait d’un léger sourire. Il était bien un homme… Sans un mot, sans un regard, comme s’il se sentait gêné, le Chevalier de l’Ordre s’éloigna du cocon, récupérant ses habits, et Ivy ne chercha pas à l’en empêcher. De toute manière, l’Empoisonneuse se réveillait. Elle sentit Lana venir contre elle, et Ivy lui caressa le dos.

« Ne sois pas vexée, ma belle… C’est un homme, et, qui plus est, un chevalier de l’Ordre… Leur fierté leur interdit de montrer à une femme qu’ils sont heureux d’avoir fait l’amour…
 -  Mouais… répliqua Lana, déçue.
 -  Voilà pourquoi je préfère rester célibataire… »

Isamu avait entre-temps remis son armure, et s’était retourné vers Ivy, attrapant la manche de son épée, pour se mettre directement à menacer Poison Ivy.

« Où est la maitresse de maison ? Ah, là ! Bien, j'aimerais vous dire deux mots, mais cette fois je voudrais ni témoin se satisfaisant sous mes yeux, ni plantes m’agrippant les jambes, ni substances chimiques affectant mon mental. vous pensez pouvoir y parvenir, ou dois-je m'en aller sans vous avoir vraiment parlé ?
 -  Cette ingratitude me vexe… Vous ne sembliez pourtant pas vous plaindre de mes délicieux tentacules cette nuit, et encore moins de ces deux belles femmes… Et on dit que ce sont les femmes qui ne savent pas ce qu’elles veulent… Quoiqu’il en soit, je vais au moins accepter votre requête. Il est temps pour Andréa et Lana de retourner chez elles…
 -  Mais ! protesta Lana.
 -  Il n’y a pas de ‘‘mais’’, petite peste ! Retournez dans vos familles. Nous nous reverrons dans une heure ou deux, sur la place publique… »

De mauvaise grâce, Lana et Andréa s’exécutèrent, surtout pour Lana, qui appréciait follement le contact de Poison Ivy. Elles descendirent du cocon, laissant une Poison Ivy allongée, des tentacules se promenant sur ses jambes et sur ses bras. Lana passa à côté d’Isamu, et ne put s’empêcher de l’injurier en sortant.

« Sale con… »

Elle était jeune… Ivy se contenta d’un léger sourire, et utilisa ses tentacules pour l’étirer, ces derniers tirant sur les membres de son corps, provoquant de délicieux fourmillements dans le corps de la femme. Elle en gémit légèrement, poussant un soupir, puis se redressa, avant de regarder Isamu.

« Que comptez-vous faire avec votre épée, Chevalier ? Auriez-vous peur de votre ‘‘Maîtresse’’ ? Je vous ai injecté des produits, c’est vrai, mais il ne s’agissait que d’aphrodisiaques naturels. Le désir réside en vous, Isamu. Vous le dissimulez derrière votre armure. Les moines aiment à dire que la foi est leur bouclier, mais j’aurais plutôt tendance à considérer qu’elle est un carcan, et que vous ne comprenez pas très bien cette notion. Quoiqu’il en soit, je suis prête à vous écouter, mais vous devriez vous dépêcher… Permettez… »

Un tentacule s’approcha d’Ivy, et Ivy écarta les lèvres. Un jus se mit à en couler, un liquide qui lui rafraîchit la gorge. Poison Ivy eut ensuite un léger sourire épanoui sur les lèvres. Elle promena sa langue sur ses lèvres, afin de mieux boire, puis regarda ensuite Isamu.

« Alors, où en étions-nous ? J’ai une cérémonie à organiser, alors je suis assez pressée… Si vous en veniez directement à l’essentiel ? »

516
Les terres sauvages / Re : Paradis perdu [Isamu]
« le: jeudi 08 mars 2012, 22:44:37 »
Isamu sombra, tombant dans les pommes. Ivy haussa les sourcils, son sexe resté en elle, et lui caressa lentement le corps, frottant son dos avec ses ongles.

« Quel homme énergique…
 -  Vous l’avez épuisé, Mère…
 -  Je vois ça… sourit lentement Ivy. Mais vous, vous n’avez pas l’air épuisé…
 -  Nous sommes des femmes endurcies, Mère… répliqua Lana en l’embrassant tendrement, et à plusieurs reprises. Très endurcies… Très, très, Mère… poursuivit-elle.
 -  Mmmm… fit-elle en répondant en son baiser. Tu as de gros manques affectifs, toi…
 -  Vous ne pouvez pas savoir à quel point, Mère… Vos caresses me manquent…
 -  C’est à cause de vous que nous sommes ainsi, Mère… Tout est de votre faute ; c’est à vous d’assumer… poursuivit Andréa.
 -  Je vois… »

Poison Ivy utilisa ses tentacules pour délicatement écarter Isamu, l’isolant dans un coin, et les trois femmes s’amusèrent mutuellement. Des feuilles recouvrirent une partie du corps d’Isamu, comme pour en faire une couverture, tandis qu’Ivy succomba aux assauts de ses deux beautés, leurs halètements et leurs cris rugissant pour une bonne partie de la nuit.

Le sommeil de Poison Ivy fut donc plutôt court. La plante se referma progressivement sur elles, les enfermant dans un cocon de chaleur, de soupirs, de gémissements, et de douceur. Les tentacules finirent par les recouvrir, et Lana et Andréa durent s’avouer vaincues, dormant dans le creux des bras d’Ivy, chaque main posée sur l’un des seins d’Ivy. Elles dormirent toutes paisiblement, Ivy caressant leurs épaules dénudées. Le sommeil vint la guetter, ses jambes étant recouvertes de mouille et de sueur.

Le lendemain matin, le soleil jaillit à travers des trous recouverts par la végétation luxuriante de la chambre. Des rayons de soleil jaillirent, et la plante dans laquelle elles dormaient s’ouvrit en grand, laissant des éclairs passer. Ivy dormait toutefois,et fut lentement réveillée, par les caresses et les baisers de ses deux sujets.

« Réveillez-vous, Mère… Vous devez présider la séance publique…
 -  Hummm… »

Ivy comprit alors qu’il n’y avait qu’une seule des sœurs. Elle tourna la tête, et sourit en voyant Lana, collée contre Isamu, l’embrassant furieusement.

« Je crois que ma sœur a craqué sur lui… Elle a toujours aimé les contes sur les chevaliers de l’Ordre…
 -  Je vois ça… songea-t-elle. Il ne faudrait toutefois pas qu’elle ne me l’épuise trop ; j’en ai besoin pour la cérémonie publique…
 -  Elle est insatiable
 -  Je sais… »

Chez elle, Lana avait senti ses pulsions sexuelles se réveiller avec Ivy. Elle avait après tout suivi une éducation assez stricte, réfrénant ses fantasmes, qui s’étaient réveillés grâce à l’Empoisonneuse. De ce qu’elle en savait, Lana dormait généralement avec au moins deux hommes chez elle, dont son mari. Toute une partie du village lui était passé dessus. Elle était donc une merveille, du point de vue d’Ivy !

« Oh beau chevalier ! Comme vous êtes fort ! »

517
Les terres sauvages / Re : Paradis perdu [Isamu]
« le: jeudi 08 mars 2012, 17:26:17 »
Le brave Isamu semblait très excité et très heureux de ce qu’il vivait. Difficile de croire qu’il était encore vierge, et que c’était sa première pénétration. Il faisait preuve d’une solide résistance, et d’un talent certain, allant, non seulement pénétrer Ivy, mais aussi l’embrasser, la caresser, posant ses mains sur les fesses de cette dernière, embrassant ses seins, l’excitant follement. Elle mouillait sans retenue, lâchant son jus intime.

« Fouettez-moi aussi, s'il vous plait. » lâcha-t-il.

Un léger sourire naquit sur les lèvres d’Ivy. Lana et Andréa avaient l’air aux anges, mettant les tentacules leur heurter le dos en cadence. Les tentacules ne frappaient pas fort, mais suffisamment pour répandre de la douleur. Elles gémissaient et hurlaient, mouillant également, leurs cris devaient inspirer Isamu. Soupirant longuement, Ivy le regarda, et sourit.

« Si… Si tel est votre plaisir, Chevalier… Mais remuez-vous… Continuez à danser en moi ! »

Qu’il l’appelle « Maîtresse » était très gratifiant, et elle se mit à satisfaire sa requête. Des tentacules jaillirent du plafond, frottant la peau d’Isamu au niveau du dos. Trois tentacules verts, qui commencèrent par frotter, avant de les abattre violemment et douloureusement sur son corps. Les tentacules s’abattirent sur son corps en cadence, allant de plus en plus vite, régalant Isamu. Les fouets s’arrêtaient parfois, laissant à ce dernier le temps de respirer, avant de continuer.

« Vous avez un dos solide, Chevalier… Là, laissez-vous aller, que le plaisir explose… Haaaannnn… Encore, encore ! »

Exaltée, Ivy se sentait terriblement heureuse, s’humidifiant. Elle embrassa langoureusement Isamu, répandant en lui ses aphrodisiaques. Elle l’embrassa longuement, lui griffant le dos, avant de libérer ses lèvres, afin de se délecter des soupirs et des cris de ce dernier. Elle sentit les deux filles se presser encontre contre eux, allant suçoter les mains et les doigts de Poison Ivy, qui ferma les yeux, en sentant l’orgasme approcher. Dans une explosion de cris et d’odeurs délicieuses, Poison Ivy atteignit un merveilleux orgasme, et eut ensuite un sourire ravi.

« Comme c’est bon… »

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Les terres sauvages / Re : Paradis perdu [Isamu]
« le: mercredi 07 mars 2012, 02:19:02 »
Poison Ivy s’était tranquillement allongée sur le dos. La fellation… Isamu l’avait-il apprécié ou non ? Son sexe ayant été tendu du début à la fin, il était difficile de dire s’il l’avait ou non apprécié. Ivy aurait aimé que ce soit le cas, mais les hommes pouvaient parfois se montrer très réticents à subir ce qu’ils adoraient faire. La sodomie en était un parfait exemple. Un mâle fantasmait à se glisser dans le derrière d’une femme, mais, à l’idée qu’on se glisse dans son derrière, l’envie d’un homme partait très rapidement. Il ne fallait pas chercher à comprendre… C’était sans doute l’expression de l’esprit de domination propre aux hommes, tout simplement. Poison Ivy ne s’en formalisait pas ; Isamu n’avait jamais découvert le sexe, il était naturel qu’elle vérifie ce qu’elle pouvait faire, et ne pas faire.

Visiblement, l’idée de la pénétrer était très tentante pour Isamu, et elle le laissa donc faire, Lana et Andréa restant à proximité. Ce dernier avait l’air de bien plus apprécier cette pénétration que la fellation tentaculaire. Poison Ivy se mit à sourire et à haleter, sentant le plaisir venir. Il était dommage qu’Isamu soit resté vierge si longtemps ; son sexe était tout à fait honorable. Le Chevalier de l’Ordre vint à lui dire de ne pas hésiter à le fouetter s’il lui faisait mal, ce qui, naturellement, fit s’esclaffer Ivy :

« Ah, Isamu ! Mais c’est justement ça qui est intéressant dans le sexe ! Ne le comprenez-vous pas ? Le plaisir sexuel, c’est l’union des deux choses fondamentales qui nous disent que nous sommes vivants : la souffrance et le plaisir ! Laissez-vous porter par le courant, Isamu ! Laissez le désir vous transporter, et remuez ! »

Le plaisir de Poison Ivy monta en flèche, faisant trembler cette micro-forêt. Les tentacules se mirent à gargouiller, glissant sur Ivy pour s’enrouler autour de ses bras et de ses jambes, l’emprisonnant en serrant fort, lui procurant un plaisir immense. Lana et Andréa ne firent pas en reste, s’approchant d’Ivy pour l’embrasser, ou embrasser Isamu, plaquant chacune une main sur ses fesses pour l’inciter à accélérer le mouvement, et à viser de plus en plus profond. Ivy souleva ses mains pour les enrouler autour du cou du Chevalier, afin de le plaquer contre elle, le régalant de ses cris et de ses gémissements. Pour une première expérience, on pouvait dire que le Chevalier était plutôt servi. Poison Ivy se lâchait sans la moindre once de retenue, sa mouille se répandant sur ses jambes, alors que les tentacules tiraient sur ses membres.

Ce que ça pouvait être bon ! C’était sans doute encore mieux pour Isamu, puisque c’était sa première fois. On pouvait dire qu’une première fois avec Poison Ivy, c’était un coup à devenir accroc. Littéralement. Des tentacules se mirent à fouetter les dos de Lana et d’Andréa. Elle ne voulait pas fouetter Isamu pour qu’il ait de mauvaises interprétations, mais, pour les deux autres filles, elle pouvait y aller.

« Oh, Isamu, haaaa… N’est… N’est-ce pas délicieux ? »

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Satsumy était fort heureusement suffisamment intelligente pour comprendre qu’elle ne pourrait pas s’en sortir, et qu’elle était seule avec Poison Ivy. Ce fut donc à reculons qu’elle alla s’occuper de l’intimité de sa prof, devenue son bourreau. Poison Ivy glissa une main pour caresser les cheveux de Stasumy. Dans cet endroit, au cœur de son pouvoir, ses spores naturelles, renforcées par ses plantes, formaient une espèce de cocon qui, sans parvenir à lutter contre l’influence maléfique des Dieux, parvenaient à l’atténuer pendant un laps de temps suffisant pour que Poison Ivy fasse preuve d’un peu de douceur envers Satsumy. Elle savait que ça ne durerait pas, que l’influence néfaste reprendrait le dessus, mais elle comptait prolonger ce moment autant que possible, et décida de rapidement rassurer Satsumy.

« Je suis désolée, Satsumy… Tu es une élève brillante qui ne mérite pas ça… Ou, du moins, pas de cette manière… Ne t’arrête pas, continue à me lécher… Je tiens à te rassurer, ma belle ; je ne te tuerai pas. Je sais que je t’ai fait souffrir, mais il faut que tu saches que je ne pourrais pas me retenir… »

Dit comme ça, Ivy ressemblait à une espèce de schizophrène. Le parallèle pouvait cependant être tracé, dans la mesure où les ondes divines faisaient d’elle un être empreint de colère à l’égard de Satsumy. Avec ses mains, elle se mit à caresser les cheveux de Satsumy, tout en lui énumérant le programme qui allait suivre.

« Je vais continuer à te faire l’amour, Satsumy. Mais je ferais en sorte, ou, du moins, j’essaierai, que ceci ne t’apparaisse plus comme une punition injuste, mais comme une jouissive récompense. Alors, continue à lécher, ma chérie, imprègne-toi de ma mouille, et ne rejette pas les désirs qu’elles feront naître en toi. Je sais que je t’ai fait souffrir, mais je vais devoir continuer dans cette voie, je ne peux pas m’en empêcher… Alors, ne repousse pas le plaisir que tu ressens, car je sais que tu as aimé ce que je t’ai fait subir là-haut… »

Tout en parlant, Ivy caressait tendrement les cheveux de l’élève, comme pour la rassurer. Elle commençait à mouiller, et sa cyprine aphrodisiaque se répandait dans la bouche de Satsumy, tandis que, glissant le long des jambes d’Ivy, de fins tentacules se faufilaient dans l’intimité de Satsumy, afin de la caresser, de l’exciter. Ivy pouvait ressentir l’envie de la baiser violemment, de la faire sexuellement souffrir, et elle gémit, tant de plaisir que d’impuissance, face à son incapacité à repousser ce qu’elle ressentait. Elle parvint à se contrôler pendant plusieurs poignées de secondes, avant de tirer les cheveux de Satsumy. La tête de cette dernière s’écarta de son intimité, et Ivy fit revenir son pénis végétal.

« Occupe-t-en ! Fais-moi une fellation dans les règles de l’art, et dépêche-toi ! »

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Les terres sauvages / Re : Paradis perdu [Isamu]
« le: lundi 05 mars 2012, 23:02:33 »
Les tentacules d’Ivy avaient cette faculté qu’ils permettaient de lutter contre les gorges profondes, ou, plutôt, contre la sensation de nausée qui s’emparait du corps humain en répandant dans  la gorge un liquide qui permettait de traiter ce problème. Le tentacule se glissa donc de plus en plus profondément dans la bouche d’Isamu, remuant avec un plaisir évident. Visiblement, la perspective de perdre sa virginité avait semblé lui faire très plaisir, et Ivy n’était pas, dans ce domaine-là, particulièrement cruelle. S’il tenait tant que ça à la perdre ce soir, elle le lui ôterait sans aucune protestation, bien au contraire. Dans un sens, ça l’encourageait. Il serait ainsi plus féroce demain, quand il ferait l’amour en public. Elle se régala de sa verge tendue, de son corps heureux. Après une érection, le sexe d’un homme faiblissait toujours un peu, mais, avec Ivy, n’importe quel homme retrouvait sans difficulté sa virginité.

« Allez, Chevalier, goûtez donc… Je vois que vous en avez envie. Sucez, mordez, promenez votre langue sur ce tentacule… »

Elle pouvait sentir tout le bonheur du Chevalier. Difficile de croire qu’il avait succombé aussi rapidement… Il ne devait sûrement pas être l’un des fanatiques classiques de l’Ordre, comme ce prêtre qui avait fui, et qui l’aurait volontiers incendié sur un bûcher. Lana, de son côté, finit par se séparer de la jambe de Poison Ivy pour aller embrasser le tentacule qui pénétrait Isamu par la bouche, glissant ses lèvres dessus pour l’embrasser sur les joues. Isamu était dans un état difficile, et elle le sentait à travers sa verge qui enflait, chaude et impatiente. Ivy laissa encore plusieurs minutes, essayant de s’assurer que l’homme ne jouisse pas, tandis que le tentacule continuait à jouer dans sa bouche.

Le tentacule en forme de verge finit par jouir, remuant de plus en plus rapidement, continuant à rester assez profondément, faisant une fellation prolongée. Lorsque le tentacule se reculait, c’était pour stagner au milieu de la bouche d’Isamu, avant de s’enfoncer à nouveau. C’était une belle bouche, fine, délicate, jeune. Lana embrassait les lèvres d’Isamu, tournant autour de sa tête, tandis qu’Andréa glissait ses lèvres sur ses jambes, qui se retrouvèrent enroulés dans des tentacules. Elle ignorait si Isamu était un fan du bandage, mais elle allait le découvrir. Des tentacules se serrèrent sur ses jambes, les remuant lentement, et Andréa baisa les tentacules en descendant, promenant sa langue sur la peau du Chevalier, avant de remonter s’occuper de ses testicules, les caressant et les embrassant, posant ses lèvres sur les poils pubiens de l’homme.

Au bout de plusieurs minutes, Ivy fit disparaître sa tenue végétale, finissant entièrement nue, et libéra le membre d’isamu, après que le tentacule dans sa bouche eut pris soin de jouir. Il cracha un sperme verdâtre et chaud dans les lèvres d’Isamu, le forçant à boire.

« Bois tout, mon beau… Ensuite, je t’offrirais ce que ton corps réclame… »

Elle attendit un certain temps, et le tentacule finit par repartir. Ivy s’allongea alors à côté de l’homme, son sexe tendu frottant contre ses cuisses. Poison Ivy s’allongea sur le dos.

« Viens… Viens, Isamu, et donne-toi à moi, mon chéri. Mon corps n’attend plus que toi. »

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Les terres sauvages / Re : Paradis perdu [Isamu]
« le: lundi 05 mars 2012, 01:18:54 »
Poison Ivy ne tarda pas à offrir aux oreilles d’Isamu et de ses deux chéries le spectacle de ses gémissements de plaisir. Ses mains caressèrent et serrèrent les cheveux du jeune chevalier, tandis qu’lele plaquait sa tête contre son intimité. Le brave chevalier avait l’air particulièrement heureux et épanoui, goûtant aux joies du sexe. Poison Ivy ne le déflorerait pas ce soir, mais l’alternative ne serait pas pour lui déplaire. Elle était mine de rien en train de faire l’amour avec un chevalier de l’Ordre ! Cette perspective était particulièrement jouissive. Poison Ivy n’avait pas le sentiment de corrompre cet homme, plutôt de le guider. Elle éprouvait cette joie naturelle qu’on ressentait en rendant quelqu’un heureux, en lui montrant quel était le droit chemin. Et puis, elle était également très excitée. Isamu était un novice, mais se débrouillait bien.

« Han Isamu... C’est très bon... Mais pose donc tes mains sur mes fesses, c’est là qu’elles y seront le mieux... »

Poison Ivy utilisa ses tentacules pour amener les mains du jeune chevalier à se poser sur son fessier. Elle continua à soupirer et à gémir, serrant parfois les cheveux de l’homme, se laissant progressivement aller à ce plaisir suprême qu’était la jouissance. Elle ne comptait pas encore jouir tout de suite, préférant pour l’heure caresser les cheveux d’Isamu. Elle se sentait terriblement bien, pour être honnête, et devait régaler les oreilles de ses partenaires de ses cris et de ses soupirs, sentant sa mouille filer sous les assauts du jeune homme.

« Tu te débrouilles très bien, Isamu... Tu en avais besoin, je le sens... Alors, profite-en, nous allons nous amuser ensemble toute la nuit... »

Elle parlait à voix basse, tandis que, de son côté, Lana se régalait. Isamu avait une superbe érection, une queue bien dure et bien grosse. Elle sentit l’une des mains de sa soeur caresser sa tête. C’était une relation incestueuse, mais Ivy considérait que l’inceste n’était pas une mauvaise chose. Elle était terriblement libérale,et Lana était, à vrai dire, particulièrement heureuse de faire l’amour en présence de sa soeur. Elle suçait avec plaisir le membre d’Isamu, gémissant entre des bruits de succion, tirant sur ce morceau de chair, promenant sa langue. Elle n’était malheureusement pas une grande experte en fellations. Elle n’en avait fait qu’une, et elle n’avait pas vraiment apprécié, ayant été plus ou moins forcée par le fils du forgeron, mais c’était ici bien différent. Elle sentit toutefois le sexe se tendre de plus en plus, le corps d’Isamu semblant se bander comme un corde de violon.

« Lana, attention! hurla-t-il alors.
 -  Hum ?
 -  Qu’est-ce qu’il y a ? » demanda Lana en se redressant.

Elle avait toujours la main posée sur son membre, et sentit alors quelque chose éclabousser contre elle. Le sperme éclaboussa sur la poitrine de Lana, qui en sursauta, heurtant légèrement les jambes de sa maîtresse. Le pénis d’Isamu lança plusieurs giclées, et Poison Ivy eut un sourire, continuant à caresser les cheveux d’Isamu.

« Ta première érection, mon beau ? lui demanda-t-elle. Tu n’as pas à avoir honte de ton sperme ; je doute qu’il soit aussi bon que ma mouille intime, mais ce n’est pas mauvais pour autant... N’est-ce pas, Lana ? dit-elle à l’intention de la jeune fille, qui promenait ses doigts sur ses seins pour lécher le sperme.
 -  N-Non, Maîtresse... » confirma Lana.

Elle trouvait néanmoins que la cyprine de sa Maîtresse avait bien meilleur goût. Ivy reporta son attention sur Isamu, continuant à le laisser lécher. Visiblement, il adorait se servir de sa langue. Après tout, il aimait bien parler... Ivy continua à le laisser faire cependant un certain temps, puis, lentement, tira sur ses cheveux, libérant son intimité. Sa cyprine se mit à couler sur ses jambes, et elle le poussa, l’envoyant s’allonger au milieu du cocon, pendant que les deux soeurs se pressaient contre Ivy, embrassant et léchant ses jambes. Ivy tendit deux doigts vers le chevalier. Les doigts se transformèrent en de fins tentacules qui allèrent s’enrouler autour de la virilité de l’homme, se mettant à l’exciter.

« Hum... En définitive, peut-être vais-je vous offrir le plaisir de perdre votre virginité cette nuit dit-elle, revenant sur son jugement. C’est quelque chose d’assez tentant... Je vais vous laisser y réfléchir, mais, avant ça, j’ai cru comprendre que vous aimiez bien mes tentacules... »

Jaillissant du cocon, un tentacule en forme de verge s’approcha des lèvres d’Isamu, et se glissa dedans. Ce n’était pas parce que c’était un homme qu’il n’avait pas droit à sa fellation.

« Andréa, va donc t’occuper de ce sexe, je sais que tu en meures d’envie. »

N’attendant pas plus, Andréa s’approcha, se contentant de délivrer des baisers sur cette verge, sans chercher à la prendre en bouche, les tentacules la gênant. Le tentacule dans la bouche d’Isamu se mit à remuer, s’enfonçant lentement dans sa bouche, jusqu’à lui faire quelques gorges profondes.

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Les terres sauvages / Re : Paradis perdu [Isamu]
« le: dimanche 04 mars 2012, 15:31:17 »
« Je veux vous rendre ce que vous me donnez. De la même façon. »

Ivy sourit. Il lui serait en fait difficile de vraiment faire ce qu’il disait, car ce qu’il ressentirait serait extrêmement intense. Les premières expériences sexuelles étaient inoubliables, et Ivy était loin d’être chaste. Elle avait perdu sa virginité et tout le reste il y a bien des années. Elle continua à le masturber, avant de finir par relâcher son sexe, promenant ses mains sur son corps.

« Ne vous inquiétez pas, Chevalier, pensez à vous… Mon bonheur, je le trouve en voyant mes protégés heureux. Laissez-vous plonger dedans, et ne pensez à rien d’autre. Je ne vais pas vous retirer votre virginité, mais les plaisirs sexuels ne résument, fort heureusement, pas qu’à une simple pénétration. »

Poison Ivy retourna alors Isamu, et l’embrassa à nouveau, l’embrassant longuement. Elle l’avait senti utiliser sa langue. C’était en soi un bel exploit ; lors de son premier baiser, elle avait eu les lèvres closes, tant elle avait été nerveuse. Elle s’en souvenait encore parfaitement bien… A cette époque, elle était encore une étudiante consciencieuse, mais affreusement timide, et qui avait été manipulée… A vrai dire, elle ne regrettait pas vraiment en soi sa manipulation, vu la perfection qu’elle était devenue. Elle aventura sa langue dans la bouche d’Isamu, comme pour le rassurer, se pressant contre lui, enfonçant ses seins contre son corps, et l’embrassa assez fougueusement et assez longuement, sentant son membre durci frotter contre ses cuisses. Il était tentant de le laisser s’enfoncer en elle, mais Ivy n’y tenait pas particulièrement, ayant un programme à respecter. Ce serait bien mieux qu’il perde sa virginité devant sa foule, et, s’il voulait le faire avec elle, elle ne le refuserait pas.

Elle prolongea le baiser pendant de longues secondes, avant de promener ses mains sur le torse glabre d’Isamu. Il n’avait rien de viril sans son armure. Il se rasait proprement, avait une peau douce et fine, un visage assez innocent, mais c’était ce qui lui donnait son charme. Ivy n’aimait pas vraiment les hommes poilus. Sans prévenir, elle poussa alors Isamu, l’envoyant s’étaler sur la plante où Lana et Andréa étaient allongées, apaisées après avoir joui. Isamu tomba entre elles, et elles caressèrent son corps, glissant vers son sexe, le serrant, avant de l’embrasser tour à tour.

« N’est-il pas agréable, les filles ?
 -  Oui, Mère ! Il est délicieux !
 -  Vous vouliez me rendre service, Chevalier Isamu ? Alors, je vais vous faire plaisir.

Ivy se dressa, se mettant debout sur sa plante, et une partie de sa tunique disparut, comme avalée par son corps, montrant son intimité humide. Deux tentacules jaillirent alors, soulevant Isamu par les poignets, afin de le mettre face à ce trou béant. L’une des mains d’Ivy l’attrapa autoritairement, le tirant par les cheveux pour l’approcher de sa grotte.

« Goûtez, Chevalier Isamu, imprégnez-vous de cette merveilleuse sensation ! »

La cyprine d’Ivy n’était pas une cyprine normale. Elle tenait de celle des nymphes, et il se dégageait d’elle, outre un goût sucré particulièrement enivrant, des exhalaisons superbes. Une délicieuse odeur qui faisait penser à la plus merveilleuse des fleurs. Inutile de préciser qu’elle était également aphrodisiaque, mais, dans la mesure où, quand on en arrivait là, le sujet était déjà passablement excité, on ne ressentait pas vraiment cette sensation. On la ressentait plutôt en pénétrant Ivy. La cyprine renforçait l’érection. Pendant ce temps, Lana s’était mise de manière à pouvoir pratiquer une fellation sur Isamu. Ce dernier se retrouva assis sur les fesses, avec son sexe qui pointait, et Lana s’était allongée devant, entre les jambes de sa Mère, et suçait le membre du Chevalier. Andréa, de son côté, était dans son dos, le caressant et l’embrassant, enfermant le Chevalier dans un délicieux cocon de chaleur et de douceur.

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Les terres sauvages / Re : Paradis perdu [Isamu]
« le: samedi 03 mars 2012, 18:05:43 »
« Je ne sais rien de ça...Prenez-moi... apprenez-moi. »

Voilà qui confirmait ce qu’elle pensait. Un vierge… Au moins, il n’était pas un eunuque. Le doute, après tout, était permis avec l’Ordre Immaculé. C’était un homme qui était face au désir, et qui ne pouvait y résister. Poison Ivy doutait néanmoins qu’elle puisse parvenir à le faire totalement changer. Une fois qu’il se serait adonné, il éprouverait probablement du regret, par regard à son passé et à son éducation. Les tentacules libérèrent lentement Isamu, lui redonnant l’usage de son corps. Promenant ses mains sur sa lourde armure, Ivy lui ôta son épée, la laissant tomber sur le sol, et entreprit de l’embrasser, se serrant contre lui, goûtant à la senteur de ses lèvres. Accessoirement, elle lui livrait, à travers sa salive, un puissant aphrodisiaque, qui achèverait de le soumettre à son autorité. Poison Ivy n’avait toutefois pas menti ; elle ne faisait qu’exciter le désir, pas le créer. Elle pressa ses lèvres contre les siennes pendant plusieurs secondes.

« Il n’y a rien à apprendre, Chevalier. Tout ce dont vous avez besoin, c’est de laisser le courant vous emporter. »

Poison Ivy s’écarta un peu de lui, l’attrapant par la main, et le conduisit près des deux sœurs.

« Celle-ci s’appelle Lana, et celle-ci Andréa. »

Lana était la plus jeune des sœurs, une adolescente avec une courte chevelure argentée, tandis qu’Andréa était un peu plus vieille, avec de longs cheveux châtains.

« Regarde-les, mon brave, lui murmura-t-elle en se glissant dans son dos, caressant son armure, jouant avec les jointures. Observe ce bonheur auquel tu n’as jamais droit… Jusqu’à maintenant… Imprègne-toi de la beauté de leurs corps… »

Insatiables, les tentacules remuaient dans les corps des deux sœurs, tandis que Poison Ivy embrassait le cou de l’homme, soufflait dans son oreille, promenait sa langue sur sa peau, et commençait à le déshabiller. Il avait incontestablement une belle et lourde armure, saillante et propre, et elle le laissait regarder les deux femmes jouir, sachant que ce n’était pas un spectacle qui le laisserait indifférent. Poison Ivy, de son côté, finit par lui ôter le haut de son armure ainsi que ses gants, et ils tombèrent sur le sol végétal. Elle continua à le déshabiller, libérant son sexe, embrassant son corps, et continua à promener ses mains, jusqu’à ce qu’il soit ainsi entièrement nu, pendant qu’Andréa et Lana gémissaient de plaisir. D’autres tentacules s’approchaient d’elles, s’enfonçant dans leurs bouches, glissant dans leurs mains.

« Imagine ton sexe à la place d’un de mes tentacules… Je peux sentir son impatience, à quel point tu en as envie… »

En effet, avec une main, Ivy caressait le membre d’Isamu, le caressait lentement, avec deux ou trois doigts, remontant derrière lui. Elle embrassa son cou, l’amenant à tourner le regard pour l’embrasser. Elle continuait entre-temps à le masturber, accélérant lentement le rythme. Ivy connaissait suffisamment les hommes pour savoir qu’un homme excité était incapable de réfléchir longtemps, a fortiori quand il n’avait, comme Isamu, aucune expérience sexuelle.

« J’accomplirai vos rêves, Isamu… »

Une idée commençait entre-temps à éclore dans l’esprit d’Ivy. Demain, il y aurait une séance publique, une séance d’amour. Elle venait de trouver l’un des candidats… Du moins, elle l’espérait.

« Vous ne perdrez pas votre virginité ce soir, Isamu… Du moins, normalement. Je vais vous réserver un sort spécial. Néanmoins, ne doutez pas d’une chose ; cette nuit sera une ode au plaisir pour vous. »

Lana et Andréa venaient de jouir sous ses yeux, pendant qu’Ivy continuait à le masturber, attendant de le sentir éjaculer.

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Les terres sauvages / Re : Paradis perdu [Isamu]
« le: samedi 03 mars 2012, 13:34:19 »
Après ses tirades, Isamu partit sur une longue tirade. Il était gêné, Ivy pouvait le sentir, gêné dans le sens où il était excité, ce qui n’était probablement pas quelque chose en accord avec le credo de l’Ordre Immaculé. Il se mit donc à parler, lui expliquant que sa stratégie ne fonctionnerait pas sur le long terme, et qu’elle prenait le risque de voir sa forêt finir détruite. Ivy, à cette idée, se détourna de lui, le laissant parler. Il lui parla des magiciens de Nexus, avant de lui demander en quoi le sort de ces villageois pouvaient lui soucier. Elle le laissa parler, regardant distraitement les deux sœurs qui se faisaient l’amour. La plus jeune venait de jouir suite à l’effet des doigts de sa sœur aînée, et un sourire ravi et épanoui éclairait ses lèvres. Elle avait l’air très heureuse, et Ivy, à cette idée, sourit également. En quoi leur sort lui importait ?

« Pour l'instant, aucun ordre n'a été envoyé, et si les choses s'arrangent maintenant, aucun ordre ne sera jamais donné. »

A cette dernière phrase, Ivy se retourna.

« Si aucun ordre n’a été envoyé, pourquoi aurais-je à craindre la venue de deux puissantes armées ? Je ne vois pas en vous un diplomate, plutôt un espion. Et les laquais d’une religion fanatique ne seront jamais mes amis. Je n’offre aux villageois que du bonheur. Je les éduque, je les améliore, je les instruis. Je n’ai pas à craindre la menace de rois ou de nobles. Contrairement aux religieux, ils ne sont pas obnubilés par une foi fanatique qui leur fait perdre la raison. J’accepterai leurs diplomates, j’accepterai leurs conditions, ils verront par eux-mêmes que je n’ai rien à cacher, et rien de dangereux pour eux. »

Sur ce point, Ivy était honnête. Elle savait que la noblesse avait généralement des préoccupations plus individuelles qu’autre chose. Tout ce qu’elle voulait, c’était toucher sa part dans cette histoire, et Poison Ivy était prête à leur offrir bien des choses. Avec ses incubateurs, elle pourrait accomplir leurs fantasmes. Néanmoins, elle restait encore inquiète. L’Ordre avait un poids très influent. Sur Terre, la religion avait toujours permis d’asseoir l’autorité de la noblesse, et il n’y avait pas de raisons que ce soit différent sur Terra. La plante comprenant les deux sœurs s’approcha lentement d’Ivy, qui put alors caresser les corps de ces deux beautés.

« En les transformant, j’ai mis en eux une part de moi, je leur ai permis de s’améliorer. Elles sont mes filles, et ils sont mes fils. Quelle mère leur voudrait du mal ? Je ne souhaite que leur bonheur, contrairement aux nobles, qui ne pensent qu’à asseoir leur pouvoir, et à vos prêtres, qui ne cherchent qu’à répandre autoritairement leur foi et leurs dogmes idiots. Moi, je leur impose une autre forme de tyrannie, celle du bonheur et de la joie. Qui serait contre ça ? N’êtes-vous pas point heureuse, mes chéries ?
 -  Oui, oui, Mère…
 -  Tout ce que l’homme recherche, c’est être heureux. Les délires métapsychiques sur le devenir de l’âme, sur la nécessité de souffrir, ne sont que des excuses religieuses pour justifier le néant de votre existence. La vie est quelque chose de bien plus simple et de bien plus complexe à la fois qu’une lutte entre la tentation et la droiture. La Nature nous a doté d’un corps, nous a doté d’hormones, de sexes, elle a voulu que faire l’amour soit l’une des plus belles choses qui soit au monde. Aller contre son gré, considérer que l’acte sexuel est quelque chose de mauvais, quelque chose de dégradant, d’immoral, c’est aller contre la Nature ! »

Réalisant qu’elle divaguait et qu’elle s’emportait, Ivy secoua la tête.

« Je ne souhaite pas la mort de l’humanité. Si la Nature a créé l’humanité, c’est parce qu’elle est l’aboutissement de la Création. Mais c’est un aboutissement jeune, un aboutissement qui a besoin de formation, et c’est ce que, dans la mesure de mes moyens, je m’efforce de faire. L’abattage de bois, cher Isamu, s’inscrit dans un cycle naturel. La Nature est ainsi ; elle lie destruction et construction, le second naissant du premier. Je ne fais que réguler ce cycle. Là d’où je viens, la destruction est telle que la Nature peine à se reconstruire. Je ne saurais tolérer ça sur Terra ! »

Poison Ivy caressait toujours ses deux chères filles, et deux gros tentacules jaillirent alors du plafond. La petite sœur était sur le corps de la grande, l’embrassant, tandis que les tentacules se rapprochaient, et, lentement, les pénétraient.

« Succombez au plaisir, mes chères filles… » les incita Ivy.

Elle se retourna vers Isamu, et s’approcha de ce dernier, retournant se coller contre lui, glissant l’une de ses mains dans ses cheveux.

« Contrairement à ce que vous pourriez penser, cher Isamu, mes spores ne créent pas le désir en vous. Elles ne font que réveiller ce que vous désirez, elles ne font que balayer les barrières que la société dresse contre la recherche naturelle du plaisir. »

Son autre main s’approchait de l’une des jointures de l’armure d’Isamu, et ses ongles se transformèrent en délicats et fins tentacules, qui filèrent sous l’armure, s’approchant ainsi du sexe du chevalier. Ivy sourit en sentant sa virilité. Ce n’était guère surprenant. Personne n’avait jamais pu résister à ce traitement, qu’elle avait même essayé sur des homosexuels convaincus. On ne pouvait pas lutter contre le désir, et la beauté suscitait toujours le désir.

« Alors, dites-moi, Isamu… Que désirez-vous ? »

525
Les terres sauvages / Re : Paradis perdu [Isamu]
« le: vendredi 02 mars 2012, 21:51:49 »
Le chevalier avait l’air assez perturbé. Son regard semblait exprimer, au mieux le désir, la convoitise, au pire, une simple curiosité. Dans tous les cas, il semblait assez tenté par ce qu’il voyait, mais on pouvait le comprendre. Avec ses incubateurs, Ivy avait, et de manière perpétuelle, amélioré la beauté physique des habitants, leur offrant de précieux cadeaux. Et puis, ce n’est pas vraiment comme si on pouvait la considérer comme étant laide. Elle comprenait donc la gêne d’Isamu, qui se présenta comme un chevalier de l’Ordre Immaculé, et Ivy ne put s’empêcher de se demander s’il était encore vierge. Elle ignorait vraiment quelle était la ligne de conduite de l’Ordre vis-à-vis de la sexualité,e et ne voulait pas pronostiquer. Sur Terre, si le christianisme encourageait l’abstinence des prêtres, d’autres religions étaient plus réalistes. De ce qu’elle savait de l’Ordre, cette religion semblait toutefois s’apparenter plus au christianisme, ce qui laissait augurer peu d’espoir sur les aventures sexuelles de ses membres.

*Sans doute est-ce pour ça qu’ils sont si agaçants...* songea-t-elle.

Isamu ne tarda pas à préciser les raisons de sa visite, semblant retrouver un certain aplomb en annonçant que deux puissantes armées n’allaient pas tarder à venir pour la déloger, et qu’elle devait abandonner Greenheaven. A cette idée, Ivy sentit un rictus de colère la traverser, rictus qui se manifesta par un tremblement des multiples tentacules présents dans la pièce. De quel droit ce gringalet osait-il venir ici,d ans son antre, pour la menacer ? Elle en eut l’envie immédiate de le démembrer sur place, mais sut toutefois se retenir. D’une part, ça ne servirait pas ses intérêts, et, d’autre part, elle ne tenait pas à s’énerver en présence de ses sujets. Les deux femmes étaient d’ailleurs également surprises, et avaient arrêté de s’occuper du corps de Poison Ivy, attendant de plus amples instructions de sa part.

« Continuez sans moi, les filles.
 -  Oui, Maîtresse.
 -  Je veux que tu la fasses jouir, fit-elle en parlant à la grande soeur. (b]Je vais aller m’entretenir avec notre preux chevalier.[/b] »

Poison Ivy embrassa chacune des deux filles, puis se laissa descendre sur le sol, alors que des tentacules jaillissaient pour s’enrouler autour des bras et des jambes d’Isamu, paralysant ce dernier. Ivy avança vers lui, d’une démarche lente et sensuelle, tandis que ses deux sujets s’embrassaient et se caressaient, émettant en arrière-plan de délectables gémissements.

« Si je devais agir de la manière dont toi et tes semblables me perçoivent, je devrais te massacrer pour m’avoir transmis une aussi désagréable nouvelle. »

Effectivement, la perspective d’une puissante attaque, menée par deux armées, probablement sous impulsion de l’Ordre, n’était pas très bonne à entendre. L’Ordre Immaculé était présent partout sur Terra, de Tekhos à Nexus, et même à Ashnard. Malgré ses particularités, Terra restait encore une civilisation ressemblant plus au Moyen-Âge terrien qu’autre chose, un monde où la religion était encore le contrepouvoir le plus efficace.

« Néanmoins, rajouta rapidement IOvy, tu n’es que le messager, et ceci ne justifie pas une peine de mort. »

Elle s’était alors rapprochée suffisamment d’Isamu pour pouvoir tendre une main derrière sa tête, et caresser ses cheveux, le corps de Poison Ivy se plaquant contre le sien, sa poitrine s’enfonçant contre sa solide armure rouge.

« J’ai toujours aimé les hommes en armure... Maintenant que vous me voyez de près, Isamu, dites-moi donc si je ressemble au monstre qu’on vous a décrits. Je suis, tout comme vous, une humaine... Ou, du moins, je l’étais. Je suis devenue... Autre chose, quelque chose entre la nymphe et l’humaine. Je suis venue dans ce village païen, ce village qui détruisait la Nature pour l’améliorer. Je ne fais que rendre service à ces gens. Je leur montre ce qu’est le bonheur, je les éduque sur l’intérêt qu’il y a à permettre aux ressources naturelles de se restaurer naturellement, je les informe sur ce cycle naturel, cet équilibre qui est bafoué là d’où je viens. Si vos armées débarquent, comme vous le dites, que croyez-vous qu’il se passera ? Tous ces gens seront tués, massacrés, piétinés, la ville sera brûlée, et moi... »

Elle souffla au visage d’Isamu en souriant.

« Moi, je pourrais aisément m’enfuir. Néanmoins, ce scénario ne s’accomplira pas, Isamu, poursuivit-elle en promenant son doigt sur ses lèvres. Vous devez le sentir dans vos tripes, non ? Ce désir qui monte ? On m’appelle Poison Ivy, on me surnomme l’‘’Empoisonneuse’’, car mon corps répand naturellement des phéromones. Et mes lèvres, elles, mon cher, sont des aphrodisiaques puissants. Si vos armées n’arrivent, je n’aurais qu’à... Solliciter une entrevue avec leurs chefs, et leur faire entendre mes arguments. Croyez-vous vraiment qu’ils seront capables de me repousser ? »

C’est comme ça qu’Ivy s’en était toujours tirée. Quand elle était arrêtée, quand elle affrontait la police, elle séduisait les policiers pour qu’ils la libèrent, le Procureur pour qu’il ne soit pas trop sévère, les jurés pour la condamner à des mesures si légères qu’il lui était très aisé de s’évader. Sur Terra, le fonctionnement était exactement le même. Ivy resta collée à Isamu, tandis qu’on entendait la petite soeur trépigner, sa soeur plaquant une main sur sa bouche pour qu’elle ne fasse pas trop de bruit.

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