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Messages - Poison Ivy

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Le parc et son sous-bois / Re : Au secours ! [Alahazra]
« le: jeudi 10 mai 2012, 01:46:49 »
A la réflexion, « frapper » n’était peut-être pas le meilleur terme possible, surtout face à une militaire. Mais Warda avait bien du réaliser qu’Ivy était du genre à apprécier la douleur dans les relations sexuelles. Les tentacules qui fouettaient tendrement son dos en étaient une bonne illustration. Faire l’amour avec les plantes, c’était un exercice qui demandait une intense activité physique. Partant de là, se faire souffrir un peu était généralement le meilleur moyen de réussir à tenir la route. Mais bon, Warda avait du mal comprendre, et, de toute manière, ce qu’elle décida de faire plut entièrement à Ivy.

L’arbre venait de jouir en elle. Et l’arbre avait même plutôt bon joui, chacun de ses tentacules crachant son sperme végétal sur le corps de Warda. Ce liquide végétal se mit à dégouliner de son corps alors qu’elle bondit sur Ivy, envoyant la professeur tomber sur le sol. Ivy s’écrasa avec plaisir par terre, avant de sentir Warda s’empaler sur elle. Malgré l’orgasme, son pénis végétal était toujours aussi tendu, tout comme l’arbre, qui avait toujours aussi faim du corps de la militaire. Toute excitée, Ivy lâcha donc, pour faire suite à la répartie de la femme :

« Han, laisse-toi aller, ma belle !! Hummm... Crois-moi, tu vas être baisée comme ça toute la nuit ! Jusqu’à ce que tu n’en puisses plus, et que tu t’écroules par terre ! »

Ivy poussa un cri de plaisir, tendant ses mains pour attraper les hanches de Warda, l’aidant à remuer, à danser sur son corps. Tous les tentacules de l’arbre avaient libéré Warda, mais ils revinrent à l’assaut, de manière un peu différente. Un tentacule s’enroula autour du bras gauche de la jeune femme, tournant tout autour, pour glisser une verge dans sa main. Un autre tentacule fit de même sur le bas droit, les deux incitant Warda à ce qu’elle les masturbe. Ses seins étaient désormais libres, du moins pour le moment, car l’arbre se nourrissait de la cyprine de la femme. Partant de là, de très petits tentacules, extrêmement fins, étaient venus s’enfoncer dans son intimité, longeant la verge d’Ivy, afin de pomper la cyprine, l’envoyant nourrir cet arbre sexuel.

Un autre gros tentacule alla alors se plonger dans la bouche d’Ivy, lui offrant une fellation sous les yeux de Warda. Le tentacule s’enfonça bien loin, et Ivy gémit en se tortillant, le sentant se perdre dans sa gorge. La bouche de Warda était pour l’heure libre, car Ivy voulait entendre cette dernière hurler. Un autre tentacule s’acharnait toutefois sur son visage, caressant ses joues, près de ses lèvres, mais sans se glisser à l’intérieur, frottant tout simplement contre la peau de la superbe militaire. Des mains d’Ivy, plusieurs tentacules filèrent de ses doigts pour s’enrouler autour de ses tétons, tirant sur ses seins, les écartant l’un de l’autre, avant de les rapprocher, le tout afin d’exciter la belle femme.

C’était tout simplement délicieux !

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Bureau de la direction et infirmerie / Re : Ménage à trois [Asuka Ayame]
« le: mercredi 09 mai 2012, 20:34:05 »
Ayame n’avait pas l’air très choqué de voir deux collègues s’embrasser entre elles. A dire vrai, c’était même plutôt tout le contraire ! Elle avait les yeux en face des trous. Même si son col empêchait de voir ses lèvres, ses yeux, eux, étaient à découvert, et lorgnaient sans hésitation sur les corps des deux femmes, les détaillant. L’effet des spores d’Ivy ? Ayame y avait après tout également eu droit, mais il n’y avait pas que ça... Les spores de Poison Ivy ne pouvaient pas créer le désir, simplement le réveiller. Félicia l’embrassa à nouveau, tandis qu’Ayame répondit à leur question. Ivy se contenta d’un léger sourire, et Félicia poussa un gloussement avant de s’écarter du tendre corps de Pamela, pour lui répondre :

« L’hospitalité est une chose qu’on retrouve dans d’autres lieux qu’ici.
 -  Mais je crois que c’est une chose que vous devez voir par vous-même. Vous ne nous croiriez pas, autrement... »

Félicia regarda Ivy avec un léger sourire. Les deux femmes retournèrent s’embrasser, et la Chatte Noire parla ensuite à Ivy.

« Je crois que je vais te laisser faire les présentations...
 -  Tu sais où me trouver... J’espère qu’avoir une partenaire ne plus ne te dérange pas.
 -  C’est plutôt à toi que la question devrait se poser. Les chattes ont toujours été très gourmandes. »

Sur un clin d’œil, Félicia se rapprocha de la prof’, et glissa l’une de ses mains sur ses hanches, remontant le long de sa peau nue pour caresser le rebord d’un de ses seins.

« Joli look... Nous nous reverrons bien vite. »

Elle lui sourit alors, avant de s’éloigner. Poison Ivy se mit alors à parler, regardant Asuka :

« Suis-moi... Je vais te montrer... »

En temps normal, Poison Ivy ne s’amusait pas à montrer aux inconnues ce qu’elle était vraiment, mais elle était aussi assez excitée. La Chatte Noire était une partenaire qui lui plaisait en tout point ! Les deux se chauffaient mutuellement, et Asuka, avec son look très tentant, débarquait au milieu de ce jeu de séduction et de plaisirs charnels. Ivy avança vers l’aile scientifique du lycée, et atteignit sa salle de classe. Elle ouvrit néanmoins une salle qui jouxtait sa salle de cours, et rentra dans son laboratoire.

« Voici mon antre, Asuka... Ne vous inquiétez pas, Félicia va nous rejoindre... Elle doit juste... Se changer... »

Ivy laissa Asuka entrer, et la porta sembla se fermer toute seule, les plongeant dans une forte pénombre. La blouse d’Ivy tomba par terre, révélant sa tenue verdâtre habituelle, constituée de végétaux que son propre corps secrétait. Elle se mit à parler, caressant ses plantes, qui réagirent à son contact. Quelques rares ampoules permettaient d’éclairer le laboratoire, de grosses lampes qui devaient éclairer certaines plantes. On pouvait entendre, dans cette énigmatique laboratoire, des mouvements silencieux, des tentacules qui se promenaient le long des murs.

« Alors, dites-moi... Qu’est-ce qui vous a amené à Seikusu ? »

Les plantes ne se trompèrent pas. Asuka n’était pas une femme normale. Elle dégageait un charme, une puissance que les végétaux perçurent.

« Mes plantes confirment ce que j’ai pressenti... Comme moi et Félicia, vous n’êtes pas vraiment une femme normale, n’est-ce pas ? »

Elles étaient seules dans le laboratoire, ou presque. Il y avait bien des plantes, et il valait mieux ne pas s’en approcher. Les plantes d’Ivy avaient faim. Et elles ne se nourrissaient pas que d’eau, mais avaient aussi besoin de ce composant chimique qui avait permis de les rendre si efficaces : des fluides sexuelles.

« Mes plantes vous désirent... » lâcha tout simplement la prof’.

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Bureau de la direction et infirmerie / Re : Ménage à trois [Asuka Ayame]
« le: mercredi 09 mai 2012, 02:52:14 »
[HRP – Petite précision ; au lycée, Poison Ivy se fait appeler « Pamela Isley », pas « Poison Ivy » :P]

Félicia avait de belles et tendres lèvres, douces et agréables, mais elles n’étaient rien par rapport à celles de Poison Ivy. Félicia adorait les embrasser. Elle savait que les lèvres d’Ivy étaient de puissants aphrodisiaques, mais ça n’empêchait pas ces dernières d’être tout simplement irrésistibles. Félicia s’y pressait avec une envie qu’elle ne parvenait pas à dissimuler. Elle était après tout une femme féline... Leurs lèvres se collèrent avec grand plaisir, et Ivy caressa son dos, grattant sa belle peau, la sentant frémir.

« Tu m’as l’air... En chaleur, ma petite chatte…
 -  Comment pourrais-je rester calme face à toi ? Tout ton corps est un appel au luxe et à la perversion...
 -  J’aurais plutôt dit à la sensualité et au désir charnel, mais, dans le fond, ça s’applique aussi... »

Ivy lui fit un léger sourire. Avec elle, difficile d’être dominatrice... Félicia caressait le bas du dos d’Ivy, et finit par heurter ses fesses, les pétrissant tendrement. Elle se croyait seule dans le couloir avec elle, mais Pamela vit rapidement que la nouvelle les regardait. La professeur de biologie tourna la tête vers elle, et lui fit un léger sourire, tout en caressant le dos de Félicia.

« Vous êtes perdue, Mlle Ayame ? » lui lança Ivy en souriant.

Entendant cette phrase, Félicia releva la tête, et la tourna, cette dernière se blottissant entre les seins de Poison Ivy Les spores étaient très efficaces sur le corps de la Chatte Noire. Félicia leva la tête, et embrassa le menton d’Ivy, mordillant sa belle peau, la léchant tendrement.

« Je crois plutôt qu’elle aurait envie de se perdre... Nous devons être bien plus attirantes que Fokûshi, je pense... »

Ivy sourit lentement, et lança une nouvelle explication vers Asuka, parlant sur un ton plus langoureux.

« Il y a une chose que vous devez bien comprendre rapidement dans ce lycée, voire même dans toute cette ville... Vous ne trouverez jamais un lycée qui ressemble à celui de Seikusu... »

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Bureau de la direction et infirmerie / Ménage à trois [Asuka Ayame]
« le: lundi 07 mai 2012, 20:19:25 »
« Et en mathématiques ?
 -  Tori n’est pas mauvais... Pas excellent non plus... Il se laisse à vrai dire trop facilement distraire, et je le soupçonne de ne pas travailler assez chez lui. Partant de là, ses notes pour les devoir sà la maison ne sont pas excellentes. »

La professeure principale hocha pensivement la tête, et tourna sa tête vers Pamela Isley.

« En biologie ?
 -  Élève investi, motivé... Les cours l’intéressent beaucoup. »

Il y eut quelques sourires amusés et étouffés de la part de plusieurs de ses collègues. Généralement ceux qui avaient lorgné sur ses seins, et qui étaient le plus réceptifs aux spores que Pamela Isley émettait. Que voulez-vous, c’était la fin de journée, la fin d’un conseil de classe assez long et ennuyeux, et Ivy sentait la soirée s’annoncer sous les meilleures auspices. Son corps avait été très négligé aujourd’hui, où il ne s’était rien passé. Une journée de cours comme il y en avait tant : longue, morne, et ennuyeuse. Il y avait fort heureusement quelques éléments pour remonter la barre. Notamment la collègue avec qui Ivy avait discuté au réfectoire, et avec qui elle avait volé un baiser et quelques caresses dans des endroits sensibles.

C’était justement à cette collègue de parler. Elle se tenait à côté d’Ivy. Une superbe blonde, une prof’ de sport qui venait des États-Unis, mais qui parlait fort peu de son passé. Un point commun avec Poison Ivy.

« Et en sport ?
 -  Tori n’est pas très doué, admit Félicia. Il s’épuise vite, et je crois qu’il considère le sport comme une activité physique dispensable. Ses derniers résultats ne sont pas très encourageants. Je crois que le sport ne le motive pas. »

Ce qui, en soi, n’était pas surprenant. Quel élève pouvait prétendre avoir été transcendé par les activités sportives au lycée ? A la charge de Tori, on pouvait néanmoins arguer que sa prof’ de sport n’était pas une antiquité qui passait son temps assise sur un banc, à ordonner aux élèves, avec un sifflet et un chronomètre, de courir comme des imbéciles. Félicia était une prof’ qui était plutôt très énergique, et qui n’hésitait pas à participer aux activités avec ses propres élèves. Une partie de football ? On la voyait avec la balle. En gymnastique, Félicia ne cessait de bluffer les garçons, et de jalouser les femmes. Cette énergie était un autre trait qui la rapprochait de Félicia.

Aucune des deux n’avait choisi prof’ par conviction profonde, mais, fort curieusement, les deux étaient bien plus énergiques que la plupart des profs’. Suite à cet énième compte-rendu, la professeur principale hocha la tête, et fit un récapitulatif.

« Je suggère d’accorder, pour ce trimestre, à Tori Zukeida, les encouragements. L’établissement de sa moyenne générale s’élève à... 11.27/20. Avant que nous ne fermions ce conseil, avez-vous des remarques ? Des erreurs que nous aurions pu faire ? »

La prof’ principale, Fokûshi, était une prof’ de français qui n’était pas, à franchement parler, un canon de beauté. Elle était assez vieille, parcourue de rides, mais restait malgré tout une prof’ ayant des résultats plutôt bons. D’origine asiatique, elle détonnait un peu dans un milieu professoral qui était plutôt jeune et sexy. Mais bon, Fokûshi avait des compétences, et les élèves l’appréciaient plutôt bien. Aucun collègue n’avait de remarques à faire, et on déclara le conseil de classe terminé. Poison Ivy se releva alors, et fit un léger sourire vers Félicia, qui le lui rendit.

Elle flirtait depuis plusieurs jours avec Félicia Hardy, et lui avait déjà fait l’amour une fois. La prof’ de sport lui avait alors avoué qu’elle n’était pas très normale, ce qu’Ivy avait confirmé en lui montrant qu’elle aussi était loin d’être normale. Ses petites tentacules n’avaient pas déplu à Félicia, et les deux avaient promis de se découvrir plus amplement. Ce serait donc ce soir, dans la salle de cours d’Ivy, qui avait l’avantage d’être proche de son laboratoire. Félicia lui avait également promis une petite surprise.

Il y avait donc largement de quoi émoustiller Ivy ! Elle vit Félicia se relever en lui offrant une belle vue sur son postérieur, et la femme-plante se mordilla les lèvres. Elles sortirent toutes les deux, et Félicia lui vola rapidement un baiser, la plaquant contre le mur du couloir, goûtant à la saveur de ses lèvres.

« Je crois que je n’arriverai jamais à me lasser de la chaleur de ta bouche, ma chère Pam’... »

Pendant ce temps, Fokûshi s’était rapprochée d’une autre femme à la poitrine très encourageante. Une prof’ de sport qui venait d’arriver, et qui avait été admise à ce conseil de classe pour voir comment un conseil avait lieu. Mlle Ayame. Fokûshi lui fit un sourire encourageant, avant de lâcher :

« Vous voyez ? Il n’y a pas grand-chose de sorcier dans un conseil de classe. J’en fais depuis trente ans, et je peux vous dire que, des choses, j’en ai vu ! Généralement, c’est long et ennuyant, mais il faut bien le faire, après tout. »

Fokûshi referma sa serviette, et pencha lentement la tête vers Mlle Ayame :

« Sur ce, je vous laisse. Mon feuilleton m’attend. Sayonara. »

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Le parc et son sous-bois / Re : Au secours ! [Alahazra]
« le: lundi 07 mai 2012, 20:19:22 »
Subjuguée. Conquise. Voilà comment Ivy pouvait facilement décrire les sentiments de Warda. La militaire avait découvert une nouvelle façon de faire l’amour. La végétophilie, avec Poison Ivy, était un art qui prenait toute son ampleur ! La femme-plante ne la ménageait pas du tout. Elle était une militaire, après tout, une femme endurante, une puissante mage, et l’arbre tentaculaire ressentait cette force. N’en ayant visiblement pas assez, Warda lécha le bout du tentacule qui se glissait entre ses seins, avant d’en gober un autre, ce qui fit que, très rapidement, deux tentacules se mirent à jouer dans sa bouche, alternant les mouvements, ou s’enfonçant tous les deux.

Poison Ivy, quant à elle, n’avait sensiblement que fort peu bougé. Quelques tentacules continuaient à tendrement lui fouetter le dos, et son pénis végétal continuait à s’enfoncer en elle. L’arbre ne tarda pas à cracher quelques nouveaux morceaux de son sperme si particulier. L’espace entre les seins de Warda se recouvrit ainsi d’un jus verdâtre qui se mit à couler vers son nombril, avant de s’égoutter sur le sol. Le tentacule se baigna dans cette espèce de petite flaque, continuant à cracher son sperme, venant heurter le menton de Warda. De ce spectacle, Ivy ne ratait naturellement pas une seule miette.

D’autres tentacules se joignirent à la fête, s’enroulant autour des jambes de la militaire, afin de tendrement serrer ces dernières, et les relevèrent, les écartant, avant de les rabattre, et les écarter encore, amplifiant ainsi les sensations qu’elle devait ressentir. Elle avait droit à un véritable festival, quelque chose d’unique. Commençait-elle seulement à comprendre toute la chance qu’elle avait ? Poison Ivy n’était pas une ingrate, loin de là. Elle lui offrait une récompense digne de ce nom. Elle sentait tout le bonheur de cette jeune femme, décuplant la fierté naturelle de Pamela, qui se mit également à jouir. Son pénis végétal répandit en elle le même sperme spécial que les tentacules de l’arbre sécrétaient, et elle jouit assez longuement.

« Haaa... Haaaa !!! Oh !!! Hmmmmmmmmmmmmmm... »

Elle s’abandonna en elle sans la moindre hésitation, se soulagea pendant un certain nombre de secondes, et, lorsqu’elle arrêta, Ivy se sentit bien mieux, et lui sourit, avant de l’embrasser une nouvelle fois, sur la joue. Deux tentacules jouaient en effet déjà dans sa bouche, l’un étant retourné lui faire une longue gorge profonde, forçant sa tête à basculer en arrière. Warda devenait la cible de nombreux autres tentacules. L’un s’enroula délicatement autour de son cou, et Ivy pencha alors sa tête entre la poitrine de la femme. Le tentacule qui s’y tenait s’écarta légèrement, et elle lécha la peau de cette dernière, la recouvrant de baisers. Ivy releva ensuite la tête près de l’oreille de Warda, et lui souffla :

« N’hésite pas à me frapper, mon ange... Ne te fie pas aux apparences ; tu es la maîtresse ce soir. Tu m’as sauvé la vie, et j’accorde une grande importance à ma vie. Mon arbre et moi n’agissons que parce que nous sentons que parce que nous sentons que tu aimes ça, mais il faut bien que tu comprennes que la Nature a bien des pouvoirs, et que je peux t’offrir l’occasion de réaliser bien des fantasmes... »

Ivy avait beau être une dominatrice, elle avait aussi un petit côté masochiste. Quoi de mieux qu’une militaire pour aider ce côté à se réveiller ? A fortiori quand cette militaire était aussi une mage !

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Le parc et son sous-bois / Re : Au secours ! [Alahazra]
« le: dimanche 06 mai 2012, 16:57:08 »
Parler était un luxe que Warda ne semblait pas pouvoir se permettre. C’était sans doute sa première fois qu’elle faisait l’amour avec un arbre et une femme-plante. Avec Ivy, on voyait rapidement la nature sous un autre œil. Et plutôt un bon œil... Ivy n’aurait probablement plus besoin d’expliquer à Warda les bienfaits de Mère Nature ; la jeune femme était convaincue. Poison Ivy enfonça donc en elle son pénis végétal, continuant à faire rebondir le corps de Warda contre l’arbre. Si le pénis végétal s’était retiré de sa bouche, les deux autres continuaient à jouer avec ses tétons. Il y avait de la matière, après tout, et l’arbre semblait vraiment apprécier le corps de cette femme. Poison Ivy pouvait sentir le bonheur exulter de cet arbre. Il ne gémissait pas, ne hurlait pas, mais frémissait. Elle sentait son plaisir, comme des ondes qui se répandaient dans sa tête.

Warda lui répondit en attrapant le cul d’Ivy, enfonçant ses ongles contre sa peau, et cette dernière poussa un cri de plaisir sous ce contact. Un sourire sur les lèvres, Poison Ivy continua à faire glisser son membre, l’embrassant avec sauvagerie et désir, tirant sur ses lèvres avec ses dents, ses tétons heurtant les tentacules qui s’occupaient de la généreuse poitrine de Warda.

« Haaaa ! »

Bien des sensations de plaisir et de douleur parcouraient le corps de l’Empoisonneuse. Outre la pénétration, elle était aussi fouettée dans le dos, et elle devait avouer que c’était agréable. Ivy était à l’image de la Nature, un subtil mélange entre la douleur et la douceur. La Nature était une chose à double tranchante, aussi attirante que repoussante, aussi généreuse que cruelle. Dans une certaine mesure, le sexe fonctionnait ainsi.

Les tentacules de l’arbre revinrent à l’assaut sur le corps de Warda. L’un d’eux, en forme de pénis, se faufila entre ses lourds seins, afin que ces derniers le branle, tandis qu’un autre alla s’attaquer à ses fesses. Il avait la taille d’une solide verge d’homme. Par conséquent, avant de s’enfoncer en elle, ce tentacule-là commença par envoyer des tentacules plus petits, qui secrétèrent un jus, afin que la pénétration anale soit moins douloureuse. Les mêmes tentacules séparèrent aussi chacune des femmes, facilitant l’accès vers l’anus, et la verge s’enfonça dedans, offrant ainsi à Warda les joies d’une double pénétration.

Si beaucoup avaient parfois hésiter à faire l’amour avec Poison Ivy, personne ne l’avait jamais regretté.

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Le parc et son sous-bois / Re : Au secours ! [Alahazra]
« le: samedi 05 mai 2012, 21:29:16 »
« Communier avec la nature »... Oui, l’expression n’était pas mauvaise, et fit sourire Ivy, alors qu’elle enfonça son membre végétal en elle. Ce pénis était un subtil mélange entre des composantes très humaines, comme des veines, de la peau, et des composantes végétales, comme une texture évoquant celle des feuilles. Ce tentacule sortait de l’intimité d’Ivy, ce qui était assez étonnant, mais pas spécialement douloureux, du moins pour elle, contrairement à ce qu’on pouvait peut-être penser. Attrapant avec ses mains le bassin de Warda, elle se glissa en elle, enfonçant son membre.

Le tentacule se faufila sans problème, dans la mesure où l’intimité de la belle soldate était déjà trempée, facilitant dès lors les glissements. Le pénis végétal étant une excroissance du corps d’Ivy, cette dernière ressentit le désir exploser en elle, et des tentacules vinrent également satisfaire la femme-plante. Un tentacule s’enroula ainsi tendrement autour de son cou, sans chercher à l’étrangler, et descendit le long de son dos, caressant sa sensible peau, pour se glisser entre ses fesses. Le tentacule avait l’épaisseur d’un doigt, et se glissa dans l’anus de Poison Ivy, qui en soupira longuement. Les mains de la femme allèrent, quant à elles, se poser sur le cul de Warda, palpant ses fesses, les écartant en tirant dessus, enfonçant ses doigts.

« Tu le sens, Warda... La Nature ne se fatigue pas, ne s’épuise pas, ne connaît pas la panne... Elle est intransigeante, inépuisable, et elle te comblera jusqu’à ce que tu n’en puisses plus, et elle se nourrira de ton jus intime, de ton plaisir, de ton désir ! Voilà ce qu’est l’osmose entre l’Homme et la Nature, ma belle ! »

Par rapport à des partenaires masculins, Warda allait sentir les différences. La verge dans sa bouche, même quand elle cracherait son sperme, à savoir une espèce de jus qui était tout simplement délicieux, ne dégrossirait pas. Un arbre n’avait pas besoin de dormir, de se reposer ; il était constamment dans un état de semi-veille, et ne dormait que pendant l’hiver. Ivy commença à donner de solides coups de reins contre le corps de Warda. C’était une soldate ; il fallait donc y aller franco. Des tentacules supplémentaires s’enroulaient autour des jambes de la femme, la serrant. Quand on faisait l’amour avec des tentacules, il fallait aimer la pratique du bandage.

Sentant le désir de la Maîtresse des lieux grimper, l’arbre fit pointer d’autres tentacules, plus fins, qui se mirent à tendrement fouetter le dos d’Ivy et ses fesses, faisant hurler cette dernière. Un autre tentacule alla s’enrouler entre les deux bassins des femmes, afin de s’assurer que le pénis végétal d’Ivy s’enfonce aussi loin que possible. Le pénis dans la bouche de Warda jouit alors, crachant son sperme, qui n’avait pas le goût visqueux d’un sperme d’humain. Il jouit assez longuement, pendant de longues secondes, et se retira, pour caresser ensuite le visage de Warda, répandant sur ses joues sa propre salive, qu’Ivy lécha ensuite avec sa langue, avant de l’embrasser ensuite.

« Comment te sens-tu, ma belle ? lui lança alors Ivy. Hum... Aaaaah ! soupira-t-elle en enfonçant son sensible pénis verdâtre. Comment trouves-tu ma récompense ? C’est le pied, non ?! »

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Le parc et son sous-bois / Re : Au secours ! [Alahazra]
« le: samedi 05 mai 2012, 16:33:12 »
Le corps de Warda semblait crépiter de désir... Elle semblait à ce point sous le feu de la passion qu’elle en émettait des flammèches. Rien de bien dangereux pour les plantes d’Ivy. Les flammèches disparaissaient assez rapidement, mais Poison Ivy espérait qu’elle n’allait pas se transformer en torchère. Le feu était l’une des choses qui effrayait le plus Ivy, car la nature présentait généralement de très bons combustibles, notamment le bois. Les feuilles et les fleurs étaient presque instantanément calcinées par les flammes. Et Ivy se rappelait bien comment Warda avait enflammé le Lycan...

*Bah, je m’inquiète trop ! C’est juste l’effet de mes phéromones... Ça lui passera... Autrement, je n’aurais qu’à l’enrouler dans un cocon de tentacules pour étouffer l’incendie...*

Le verge végétal s’était glissé sans difficulté dans la bouche de la jeune femme, et, comme cette dernière l’encourageait en donnant des coups de langue, il s’enfonça un peu plus en elle, caressant sa bouche, frottant contre ses dents, se glissant dans sa gorge, répandant des spores qui permettaient d’empêcher la sensation de dégoût qu’on ressentait quand on enfonçait quelque chose très loin dans sa bouche. En somme, Warda n’eut aucun haut-le-cœur, et donc aucune envie de vomir. La nature ne faisait-elle pas les choses à la perfection ? Les tentacules qui la maintenaient contre l’arbre frottaient contre sa peau, sans jamais faire d’elle une prisonnière. Elle n’était pas une ennemie qu’il fallait punir, mais une femme qu’il fallait honorer pour son aide. Le tentacule remuait donc dans sa bouche.

Ivy, quant à elle, acheva de lui ôter son pantalon, et caressa son corps. Il était très chaud, et elle se colla contre Warda, déposant des baisers sur son cou, léchant ses joues, se plaquant contre elle. Le tissu végétal qui recouvrait le corps d’Ivy se dissipa, son corps devenant ainsi totalement nu. Elle glissa ses mains dans le dos de Warda, et les descendit pour atteindre son postérieur, commençant à lui ôter sa culotte. Warda se retrouva ainsi totalement nue, et les tentacules continuèrent à agir sur son corps.

Deux tentacules assez fins allèrent s’enrouler autour de la base des gros seins de Warda, et deux tentacules un peu plus gros se posèrent sur ses tétons, venant de l’arbre, à gauche et à droite de Warda. Ils n’avaient pas la forme d’une verge, mais plutôt d’une espèce de bouche ronde avec des lèvres roses. Les deux tentacules allèrent chacun s’agripper aux tétons de la femme, et leurs dents se mirent en place, à savoir de nombreuses petites langues qui caressèrent et excitèrent les tétons de la soldate.

Quant à Ivy, elle fit jaillir son pénis végétal, et caressa l’intimité de Warda avec. Elle était chaude comme la braise, et Ivy estima qu’il était temps de vraiment la satisfaire.

« Laisse-toi aller, Warda... Ne pense à rien d’autre qu’à ce plaisir que je t’offre... »

Et, disant cela, Poison Ivy alla la pénétrer, agrippant avec ses mains son postérieur. Un coup sec, qui envoya le corps de Warda rebondir contre l’écorce de l’arbre.

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Le parc et son sous-bois / Re : Au secours ! [Alahazra]
« le: samedi 05 mai 2012, 02:38:57 »
Un sourire aux lèvres, Ivy sentit que Warda était séduite. Elle avait peur, mais elle éprouvait aussi du désir. Un désir fort qui montait rapidement, l’enfermant dans ce sanctuaire. La végétation continuait à pousser, de grosses fleurs qui vinrent les enfermer. Lentement, Poison Ivy sentit son cœur battre dans sa poitrine, et ferma les yeux, se mordillant délicatement les lèvres. Warda s’avança vers elle, et l’embrassa, sans rien dire. Poison Ivy se laissa faire, la serrant contre elle, glissant ses mains dans son dos, caressant la longue chevelure noire de la jeune et belle femme. Ce fut un baiser assez long, mais qui devait être encore plus terrible pour sa sauveuse. En effet, la salive d’Ivy était également aphrodisiaque. Ivy répondit sans hésitation à son baiser, se pressant contre elle, sentant l’épaisseur des seins de Warda.

Plusieurs tentacules apparurent durant cet échange, allant délicatement caresser les jambes de Warda, remontant le long de sa peau, filant sous son pantalon pour caresser au plus près sa peau. Ivy finit par rompre le baiser, et lui fit un sourire rassurant.

« Je vais t’offrir la plus belle des nuits, Warda... » lui promit-elle.

Elle était sincère. Poison Ivy promena ses mains sur le corps de la jeune femme, et lui retira son haut, le jetant au sol, et approcha ses lèvres de son imposante poitrine, commençant à les suçoter et à les titiller. Elle se débarrassa ainsi assez rapidement du soutien-gorge de Warda, et releva la tête, retournant lui offrir un baiser. Les arbres tremblaient et frémissaient, ressentant le plaisir partagé des deux femmes. Ivy était en ébullition. Après avoir failli mourir, quoi de mieux que faire l’amour ? Surtout avec une femme aussi belle ! Elle lui mordilla les lèvres, et la poussa alors contre un arbre, où des tentacules vinrent s’enrouler autour des bras de la femme. Ivy tendit alors ses propres doigts, et des tentacules en jaillirent, caressant son corps.

« Te sens-tu apte, ma belle ? Je suppose que tu dois le ressentir, avec ta magie... Le désir vibrant de la Nature... »

Les tentacules caressèrent ses joues, et un plus gros tentacule, émanant de l’arbre, approchait de ses lèvres, l’extrémité ayant la forme arrondie d’une verge. Les tentacules qui maintenaient Warda n’étaient pas très forts. En somme, la jeune femme n’aurait aucune difficulté à se libérer si elle le voulait. Ivy se rapprocha d’elle, et commença à déboutonner le pantalon de la belle femme, le laissant tomber sur le sol. Elle caressa à son tour les hanches de Warda, qui n’avaient désormais plus que son sous-vêtement. Ivy s’amusa à jouer avec la ficelle, tandis que le tentacule en forme de verge caressait les joues et la bouche de Warda, attendant que cette dernière le laisse rentrer dans sa bouche.

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Le parc et son sous-bois / Re : Au secours ! [Alahazra]
« le: vendredi 04 mai 2012, 16:57:54 »
Warda devait avoir l’impression de débarquer dans une espèce de dimension parallèle. Ivy avait été très honnête envers elle. Généralement, elle ne disait pas qui elle était vraiment à de simples inconnues. Était-ce simplement parce qu’elle lui avait sauvé la vie ? Ou parce qu’elle était une magicienne, soit une femme ouverte d’esprit ? Dans tous les cas, Ivy ne pouvait plus revenir en arrière. Soit Warda fuirait, soit elle resterait avec elle, et... Et les choses évolueront, dans un sens ou dans l’autre. Ivy avait rencontré des femmes qui n’imaginaient sincèrement pas se faire prendre par des tentacules. Ce fantasme nippon n’était pas aussi populaire que ça chez les Occidentaux. Difficile de savoir si Warda apprécierait ou pas. Ivy n’avait vu aucune réaction de dégoût ou de plaisir, seulement de la surprise. Surprise assez légitime, surtout quand elle avait évoqué l’idée d’avoir un pénis végétal, mais était-ce une surprise au sens agréable du terme, ou négatif ?

A défaut d’une réponse explicite, Ivy fut tentée de croire que c’était une surprise agréable, car elle accepta de la suivre vers son « jardin secret ». Poison Ivy, conservant sa main dans celle de Warda, s’éloigna donc de l’auberge, marchant dans les profondeurs du parc, se rapprochant de son sanctuaire.

« Ce n’est pas très loin... »

Elle l’avait bâti dans les profondeurs du parc, à bonne distance d’un sentier, et s’arrêta au milieu de plusieurs arbres, sur de l’herbe. A priori, rien d’exceptionnel dans cette section du parc. Rien de particulier, si ce n’est plusieurs arbres, quelques buissons, des racines, et des feuilles qui tombaient parfois. Ivy se mit toutefois à humer cet air avec un franc sourire :

« C’est l’endroit le plus pur du parc. J’ai fait des recherches pour savoir quel était précisément l’endroit où le taux de pollution était le moins élevé, et c’était ici. Vous ne devez pas le sentir, mais moi, ça irradie... C’est ici que j’ai fait des expérimentations réelles. Je ne me contente pas de faire des recherches dans une salle close, sur un bureau, ma chère Warda. Je fais aussi des expérimentations à grandeur nature. Regardez... »

Les arbres commencèrent à remuer, les branches à trembler, et des tentacules se mirent à glisser des troncs, les enroulant, pour se rapprocher d’Ivy. D’autres plantes apparurent, poussant comme par magie du sol, d’énormes fleurs qui répandaient un doux pollen. Une végétation luxuriante ne tarda pas à se former au contact des spores d’Ivy. La nature était généralement bien plus sensible que les êtres humains aux émanations de Poison Ivy. Plusieurs tentacules allèrent s’enrouler autour du corps d’Ivy et de ses membres, comme si les arbres étaient contents de la revoir, et la peau d’Ivy se mit alors à changer. Elle devint verte, ses cheveux restant roux, un vert clair qui était différent de ses vêtements. Ses lèvres allèrent embrasser l’un des tentacules.

« Voyez, Warda... Les arbres sont des êtres vivants. Ils respirent, ils se nourrissent, ils se reproduisent, et ils ont même des désirs. Chaque créature vivante désire vivre. Et mes arbres ont cette particularité génétique qu’ils ont parfois des désirs assez virulents. »

Elle n’allait pas rentrer dans les détails, mais, depuis son retour sur Terra, Ivy avait récupéré des échantillons d’une forêt géante, par le biais de l’espèce de nymphe vivant dans cette forêt. Ces échantillons avaient permis d’améliorer l’efficacité de ces recherches, mais, dans la mesure où il s’agissait d’une forêt ayant été créée par une Déesse sexuelle, les fluides étaient imbibés de puissants phéromones. Les arbres et les plantes sentaient cette femme dans leur sanctuaire, et cette femme les attirait. Si Ivy n’avait pas été là pour réfréner leurs ardeurs, les tentacules se seraient déjà enfoncés en elle pour goûter son nectar, cette cyprine dont ses créatures raffolaient.

« Ils ont envie de vous, comme moi... J’ai une dette de vie envers vous, Warda, et il m’incombe de l’acquitter... Mais je ne veux pas vous forcer à faire quoi que ce soit. Voyez cela comme une récompense, et non comme quelque chose que je vous force à faire. Vous avez le droit d’avoir peur, vous ne serez pas la première, rassurez-vous. »

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Le parc et son sous-bois / Re : Au secours ! [Alahazra]
« le: vendredi 04 mai 2012, 12:05:58 »
Fallait-il croire que les phéromones commençaient à faire effet ? Ivy était bel et bien tentée de se le dire. Les intonations de la femme indiquaient qu’elle commençait à ressentir du désir... De même que sa remarque sur la subite chaleur. Elle lui expliqua toutefois son histoire. Elle avait donc rencontré par un hasard une espèce de génie dans le désert irakien, qui lui avait sauvé la vie, afin de l’aider à révéler ses pouvoirs magiques. Si on lui avait sorti cette histoire il y a un mois, Poison Ivy n’en aurait pas cru un seul traître mot. Cependant, elle avait, depuis cette époque, voyagé sur Terra. Ceci ouvrait pas mal de perspectives, et elle décida de croire tout ce discours.

Elle prenait du reste tout son temps pour manger sa mousse au chocolat. Une fan du chocolat ? Ce n’était pas impossible à croire, mais, ce qui intéressa bien plus Ivy, et qui confirmait que ses spores commençaient à produire de l’effet, ce fut de voir cette dernière lécher sa cuillère avec... Un certain appétit. Pamela se permit un léger sourire. Warda était inexplicablement très attirante dans cette position, et Ivy s’en mordilla les lèvres, se demandant si elle n’allait pas... Quoique, peut-être que oui, après tout... Warda apprécierait peut-être de voir son jardin secret... Poison Ivy hocha donc la tête.

« Une sacrée histoire... Et bien, je ne pourrais pas te former, magiquement parlant » avoua-t-elle.

Poison Ivy parla alors de sa propre histoire. Une simple étudiante, qui avait toujours eu un certain penchant pour la botanique, et qui avait été abusée par l’un de ses profs’. Elle avait été le prototype d’une expérience dangereuse qui avait fait d’elle ce qu’elle est. Ivy fut relativement honnête. Elle lui expliqua que ses vêtements étaient une propre excroissance de son corps, et que, après la transformation, son esprit s’était retrouvé bien plus lié des plantes, du monde végétal. Elle préféra néanmoins mettre en parenthèse ses activités d’éco-terroristes, préférant dire qu’elle était venue s’implanter à Seikusu pour fuir les Etats-Unis. Elle lui expliqua aussi qu’elle venait au parc, non seulement pour ses plantes, mais aussi pour l’entretenir.

« Parmi mes facultés, je dispose de tentacules, comme tu as pu le voir, et mon corps sécrète aussi des spores, des phéromones naturelles. Je suppose que tu dois en ressentir les effets. Je ne peux pas empêcher mon corps de les sécréter, mais j’estime que je dois au moins être honnête avec toi, vu que tu m’as sauvé la vie. »

Elle rapprocha alors sa bouche de la jeune femme, et murmura dans le creux de son oreille :

« Et puis... Sache que je peux faire sortir des tentacules de toutes les parties de mon corps, notamment d’entre mes cuisses... En grossissant le tentacule et en le durcissant... »

Elle lui avouait tout simplement qu’elle pouvait faire un pénis végétal, mais elle ne tenait nullement à forcer la jeune et belle femme. Warda lui avait sauvé la vie. Ivy avait donc une dette envers elle. Poison Ivy bascula son corps en arrière, laissant à Warda le soin de comprendre ce qu’elle venait de dire.

« Je vais aller payer l’addition... Si tu le souhaites, il y a ensuite un endroit que j’aimerais te montrer dans le parc. »

Se levant, s’extirpant du banc, Poison Ivy avança tranquillement à l’intérieur de l’auberge. Elle atteignit le comptoir, et paya l’addition. Bien des gens observèrent son postérieur, et elle les laissa faire, habituée à ce genre de regards. Elle voulait laisser Warda réfléchir un peu, afin qu’elle sache à quoi s’en tenir. Pamela retourna ensuite la voir, et tendit sa main vers elle, pour l’aider à se relever.

« Es-tu prête à voir l’un de mes jardins secrets ? » lui demanda-t-elle sur un ton énigmatique.

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Ivy avait presque l’impression d’être la protagoniste d’un thriller. Elle sentait la tension monter, inexorablement. Prudemment, Cochrane attendit qu’Ivy boive avant de commencer à goûter. La goutte d’Archange diluée ne produisit aucun effet sur Ivy, mais, allez savoir pourquoi, elle trouva que ce vin avait un goût très particulier. Elle devait pour le coup vraiment se contrôler pour ne pas trembler, et se forçait à regarder son vin, son vin, et rien d’autre, persuadée que, si elle regardait Adramelech, le démon comprendrait avant de boire. Le vin était si proche, et tout un tas d’hypothèses explosaient dans la tête de la femme-plante.

*Et s’il sent la goutte d’Archange ? Et si ce poison ne lui fait rien ? Et si c’est un clone ? Si le vrai débarque ? Et si tout cela n’est qu’un piège grossier ? Et si tu t’es faite remarquer dès ton entrée ici ? Tout ça est un plan merdique, ma pauvre Pamela ! Tu es foutue, FOUTUE !*

Le démon but, et Ivy sentit que son cœur allait lâcher. Il but encore une fois, sans visiblement que la goutte diluée ne lui fasse quoi que ce soit, et Poison Ivy eut envie de se tirer une balle en pleine tête. Est-ce que l’alchimiste s’était joué d’elle ? Pourquoi la goutte ne produisait rien ? Pourquoi le poison était inefficace ? POURQUOI ?! Ne voyant visiblement pas son malaise, Adramelech retourna boire, et le poison se mit alors à agir. Ivy sentit tout son corps être soulagée, et resta bien en retrait. Le démon commençait à en ressentir les effets, confirmant pour le coup bel et bien les arguments de l’alchimiste.

On ne trouvait sans doute pas de plus belle opposition que celle entre les Démons et les Anges. Partant de là, le sang d’un Archange pur était particulièrement nocif pour un démon aussi puissant, et Adramelech commençait à le comprendre. Tout son corps semblait s’affaisser, et Ivy l’observait, sans savoir quoi faire. Les choses sérieuses avaient commencé. Au diable, la nanotechnologie et tout ce cirque ! Elle l’avait fait ! Le démon semblait complètement vaincu, et un sourire de fierté, mais aussi, et surtout, de soulagement, éclaira les lèvres d’Ivy. Tout avait marché ! Elle aurait pu croire qu’il simulait, mais, quand elle le vit cracher du sang en se tordant en deux, elle se persuada que c’était du sérieux. Pas du chiqué. Adramelech était en proie à une douleur terrifiante, et comprit alors qu’il avait été empoisonné par le sang d’un Archange. Ivy ne put s’empêcher de lui lancer :

« Le payer ?! On récolte ce qu’on sème, démon. »

Elle ne le vit pas prendre la petite gélule, car, à ce moment, elle entendit des bruits de pas. Les agents de sécurité se précipitaient vers son bureau. Elle entendit vaguement la vitre se briser, mais, comme Adramelech n’avait pas sauté dans le vide, elle n’y fit pas attention. Adramelech se remit sur ses jambes, derrière le bureau, prêt à attaquer, et Ivy s’apprêta à lancer ses tentacules. Tout son corps semblait intérieurement brûler. Une fumée s’en échappait, manquant déclencher le système d’alarme anti-incendie. Le corps du démon se mit alors à s’enflammer comme une torchère, et une alarme ne tarda pas à résonner. Les dispositifs de sécurité contre les incendies se mirent en place, et de l’eau se mit à tomber du plafond. Insuffisante pour éteindre l’incendie, l’eau allait toutefois servir la seconde partie de la stratégie d’Ivy.

Le corps du démon continua à s’enflammer, jusqu’à ce qu’il s’écroule sur le sol. Le corps du démon était calciné, noirâtre. Mort ? Ce serait trop beau pour être vrai ! Les agents de sécurité s’excitaient nerveusement, et Ivy décida alors de passer à la suite. Elle sortit une petite fiole verte de son sac. L’eau de la sécurité lui serait utile. Elle s’approcha des plantes du démon, avec sa fiole verte, et déposa sa substance dessus.

Le résultat ne tarda pas à se faire entendre. Les plantes se mirent à grossir et à pousser.  Les délicats bonsaïs se transformèrent. Les branches se mirent à croire, des tentacules jaillirent des racines. La fiole d’Ivy améliorait de manière drastique les plantes, et l’eau allait aider. De plus, les bonsaïs d’Adramelech étaient plutôt bien entretenus, ce qui ferait une excellente base. Les plantes se répandirent tout autour d’elle, passant par la vitre brisée pour avancer le long du toit. Le bonsaï se transforma, et Ivy ordonna aux plantes, qu’elle possédait, désormais, de détruire le corps d’Adramelech, afin de s’assurer qu’il ne se régénère pas.

*Détruit par cette nature que vous rêviez de détruire... J’espère que tu apprécieras cette justice élémentaire.*

Les gardes continuaient à s’énerver, et Ivy ordonna aux tentacules d’attaquer. Plusieurs se ruèrent vers la porte du studio, l’ouvrirent en force, la défonçant, et envoyèrent valser les agents, avant de les enrouler dans leurs tentacules, afin de les étouffer et de les endormir, sans pour autant les tuer. Ivy n’avait toutefois pas remarqué l’agent de sécurité qui s’était dissimulé dans l’ombre, toute concentrée et obnubilée qu’elle était par Adramelech.

« Je ne suis pas une terroriste, ni une meurtrière, lâcha-t-elle à son intention. Mais les usines que vous utilisez sur Terre sont des fléaux écologiques. Pour moi, qui suis si intimement liée à la Nature, je ne peux pas accepter cela. C’est un génocide grossier, rien de plus. »

Elle parlait à une espèce de corps noirâtre, car elle était convaincue que le démon était encore en vie. Un tentacule commençait déjà à s’enrouler autour de ses jambes, tandis qu’un autre s’approchait du cou.

« Vous qui méprisez tant les humains, c’est une humaine qui vous aura mis à terre. J’espère que, lorsque vous retournerez dans ce trou puant d’où vous n’aurez jamais du partir, vous réfléchirez à toute l’ironie de la chose. »

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Le parc et son sous-bois / Re : Au secours ! [Alahazra]
« le: jeudi 03 mai 2012, 22:23:11 »
Le résumé de Warda fit lentement sourire Pamela. Son « truc »... Ouais, et pas qu’un peu, même ! Quand on pouvait sortir des tentacules de ses doigts, et avoir une sorte de symbiose avec les plantes, oui, on ne pouvait qu’être très proche de la Nature. Warda lui expliqua ensuite que « verbena » ne faisait pas référence aux plantes, mais à une espèce de secte magique européenne, les Verbena. Une magie druidique, apparemment... Ivy ignorait que les druides avaient eu des pouvoirs magiques, mais elle n’en serait même pas étonnée. Elle sortit ensuite une espèce de gros cigare cubain, digne de ceux de Fidel Castro, et Ivy ne fit aucun commentaire. Elle était à la fois tentée de dire que ce cigare ne lui allait pas, et qu’il lui collait à merveille.

Un serveur arriva ensuite pour demander un éventuel dessert.

*Une chose est sure: cette femme n’est pas attirée par moi. Je l’aurais remarqué, sinon...*

Warda n’avait fait aucun commentaire déplacé qui aurait pu indiquer que les spores d’Ivy la perturbaient. Même le serveur, quand il venait, semblait légèrement perturbé. Ivy haussa les épaules.

« Non, merci, je n’ai... Je n’ai pas très faim. »

Elle avait failli se faire dévorer. Manger n’était pas vraiment son souci. Elle n’avait d’ailleurs qu’à peine entamé son saumon. Manger... Cette seule idée lui donnait des crampes à l’estomac, lui faisant revoir les crocs acérés du Lycan qui avait tenté de la dévorer. Elle reprit donc sa conversation :

« Je... Je ne suis pas une Verbena... J’ignorais même leur existence, pour être honnête. Même si j’ai moi aussi quelques tours qu’on pourrait qualifier de ‘‘magiques’’. »

Poison Ivy lui fit un léger sourire, et se décida à lui montrer qu’elle n’était pas tout à fait normale. Elle leva un doigt, et le bout de ce dernier devint vert. Un petit tentacule vint se former, et alla caresser la joue d’Ivy, avant qu’elle ne le rétracte.

« Si la Nature est ma passion, c’est parce que je suis une créature hybride. Quelque chose à mi-chemin entre une dryade et une humaine, en somme... Mais toi... Tu n’es pas qu’une simple pilote de chasse, n’est-ce pas ? A moins que tous les pilotes de chasse ne soient dotés du pouvoir de créer une combustion instantanée... Et, vu que tu pensais que je faisais partie d’un groupe magique, j’en déduis que c’est probablement toi qui es une magicienne. »

Tout se tenait, dans le fond. Le serveur amena la mousse au chocolat, et s’éloigna. Elle imaginait mal une pilote de chasse connaître l’existence d’un groupe de mages méconnu en Europe, à moins d’être elle-même une magicienne. Ivy lui fit un sourire poli :

« Ne t’en fais pas... Je ne peux pas faire de mal à la femme qui m’a sauvé. »

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Le parc et son sous-bois / Re : Au secours ! [Alahazra]
« le: jeudi 03 mai 2012, 18:18:06 »
Étant une scientifique, Pamela était du genre à observer ce qui se passait. Elle perçut donc le tremblement de la main de Warda quand elle parla de bombardements... Visiblement, elle avait déjà du en faire. Avec un nom et un corps pareil, elle n’avait pu servir que dans l’armée américaine. De toute manière, elle ne pensait pas que le Japon avait une aviation... Ou alors, elle devait comprendre quinze pauvres avions dont les moteurs rouillaient.

*Est-ce qu’elle aurait des choses à se reprocher ?*

Il y eut ensuite d’autres détails assez troublants : une larme qui coulait, les lèvres qui tremblaient... Manifestement, avoir atterri dans cette base ne lui plaisait pas trop, et Ivy se demandait bien ce qui avait pu lui arriver pour qu’elle finisse dans une « voie de garage ». Une expression assez amusante. Néanmoins, lui poser la question serait sans doute un peu trop personnelle... Vasquez lui avait sauvé la vie, et elle ne tenait pas à l’indisposer. La galanterie féminine, en quelque sorte.

*Je me demande comment elle fait pour marcher avec une telle poitrine songea alors pensivement Ivy Même les miens ont l’air petits ! Elle n’est pas une soldate pour rien...*

Poison Ivy ne dit donc rien, et tiqua légèrement quand la femme parla des... Des verbena ? Sur le coup, Paméla ne sut pas quoi dire, ne comprenant pas trop la question. En effet, pour elle, une verbena désignait une fleur, ou, plutôt, un groupe de fleurs qui poussaient en Amérique. Était-ce une forme de compliment pour vanter sa beauté ? Pour lui montrer qu’elle était cultivée ? Ivy ne savait qu’en penser, et les plats arrivèrent ensuite. Soldate entraînée, Warda mangea sans trop attendre, et Ivy, se reprenant, finit par lui répondre :

« Ma chère, la Nature n’est pas une chose, mais une créature vivante, au même titre que les humains. Chaque arbre, chaque brin d’herbe, chaque nénuphar, tout est vivant... La seule différence, c’est qu’un arbre est muet, ne bouge pas, et n’exprime rien, mais il n’en reste pas moins vivant. L’être humain oublie cet état de chose pourtant évident qui veut qu’il ne soit qu’une simple espèce animale parmi d’autres. Chaque espèce animale a besoin des autres pour survivre, ne serait-ce qu’en les dévorant. Mais je crois que la plupart des membres de notre espèce l’ont oublié... »

Silencieusement, Ivy regarda ensuite plusieurs arbres.

« Vous pouvez me définir comme une écologiste. La Nature est ma passion. Je me sens d’ailleurs plus proche des fleurs que des êtres humains, pour être honnête. Mais n’allez pas croire que je ne mange que des feuilles et de la salade, sourit-elle alors. Je ne suis pas de ces énergumènes qui s’émerveillent devant la Nature en croyant qu’elle n’est que beauté et amour. La Nature, c’est la loi de la jungle, le plus fort qui écrase le plus faible. Le loup qui dévore la brebis. L’araignée qui tisse sa toile pour gober la mouche. L’insecte féminin qui déchiquète le mâle avec qui elle s’est accouplée. La Nature est infiniment belle et cruelle, et l’être humain est à son image. »

Réalisant qu’elle s’était lancée dans une longue tirade, Poison Ivy lui fit un sourire assez poli. Au moins, Warda avait du comprendre que Paméla ne mentait pas quand elle lui disait que la Nature était sa passion. C’était même plus que ça. Il y avait entre elle et la Nature une réaction alchimique, génétique, même. Se mordillant les lèvres, elle reprit donc :

« Et... Vous vouliez dire quoi, par ‘‘verbena’’ ? Je sais qu’une verbena est généralement une belle fleur, mais je ne me suis pas encore transformée en fleur... Même si je veux bien admettre que vous puissiez me trouver attirante. »

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Le parc et son sous-bois / Re : Au secours ! [Alahazra]
« le: jeudi 03 mai 2012, 16:46:46 »
Ivy alla s’asseoir sur un banc en bois, près du lac, et contempla silencieusement ce dernier. Dans sa tenue, elle attirait bien des regards. A vrai dire, quand elle sortait en ville, Ivy devait parfois se forcer à porter des vêtements, mais elle n’avait pas prévu de manger avec cette femme. Pour que Warda ne se sente pas toute seule à manger, Ivy commanda quelque chose d’assez léger, du saumon.

« Rassurez-vous, je n’ai pas l’intention de vous sauter » lâcha-t-elle avec un léger sourire, après la remarque de Warda.

Il s’agissait toutefois effectivement d’une espèce d’escale romantique. Loin des bruits de la ville, on pouvait profiter de la nature, du calme apaisant des arbres. Tournant la tête, Ivy observa le lac. Indéniablement, elle trouvait ce spectacle naturel d’une relative beauté, confirmant qu’elle était bien plus à son aise au sein de la nature, que dans des buildings en acier. Ivy ne nota pas qu’un homme louchait sur elles, pour la simple et bonne raison que c’était assez habituel chez elle. Elle regardait la surface calme du lac, lorsque Warda se mit à parler d’un ton sec et agressif. Ivy tourna la tête vers l’individu, qui se mit à rougir, et retourna vers son plat sans demander son reste.

Poison Ivy regarda alors Vasquez, et lui lança :

« Ne lui en veuillez pas, il est normal que le regard soit attiré par les belles choses... Vous devez donc être une militaire, c’est ça ? »

Ivy avait entendu parler d’une base militaire à côté de Seikusu. Un reliquat de la Seconde Guerre Mondiale, à ce qu’elle en savait... L’armée japonaise n’existait pratiquement pas, et toute la défense du territoire reposait essentiellement sur l’aide américaine. De son point de vue, ces bases servaient surtout en cas d’une guerre ouverte contre la Chine.

« Je me demande bien quels missions vous devez bien pouvoir faire à Seikusu lâcha-t-elle soudain, intriguée. A ce que je sache, il n’y a aucun village à bombarder dans le coin. »

Le ton était assez acerbe et sceptique, mais Ivy, à vrai dire, n’appréciait que moyennement les militaires. Ils n’avaient aucun respect pour l’environnement, et n’hésitaient pas à brûler des forêts entières pour attaquer des cibles ennemies. Avant que sa sauveteuse puisse dire quoi que ce soit, Poison Ivy répondit à une autre de ses questions :

« Sinon, rassurez-vous, j’ai aussi un laboratoire et une blouse blanche, mais... Disons que c’est une passion. Je dois vous paraître ringarde et fleur bleue, mais la Nature est quelque chose qui me fascine en tout point. »

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