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« le: mardi 24 avril 2018, 12:04:19 »
Marc se relève et s'approche de moi. Je vois bien que ses pupilles sont dilatées ce qui m'indique clairement qu'il doit être dans un état similaire au mien.
Pauvre de nous, nus et coincés avec une envie phénoménale de faire l'amour tous les deux pendant qu'on s'excite mutuellement pour du publique...
J'ai un mal de chien à organiser mes pensées tellement je n'ai plus qu'une envie. Le fait qu'il vienne m'embrasser ne me calme pas vraiment et je me retrouve à lui rendre franchement son baiser, presque férocement.
Pense au show Alaïs ! Pense au Show et pas à ton envie de te faire baiser !
Je le sens saisir ma cuisse pour la relever, offrant la vue de ma vulve dégoulinante à la caméra. Et pour ajouter à ma détresse il commence à venir frotter son sexe contre mes lèvres intimes. Je me crispe et couine en continuant de l'embrasser.
Il ne fait rien du tout pour m'aider ! Je vais finir par le violer sur place !
Et les Kamis savent à quel point j'en ai envie !
Quand il relâche ma bouche je gémit plus fort en sentant son énorme virilité frotter contre mon intimité, j'ai l'impression de perdre la tête et me serre contre lui. Mais malgré tout sa question parvient à percer les brumes de mon esprit pour atteindre ma conscience.
- Au rythme où on est partis, on y arrivera pas... halète-je. J'ai fait une énorme erreur... Hannnnnn !!! De calculs...
Je n'aurais jamais cru que ça soit si dur de se retenir, mais maintenant que c'est lancé je ne vois pas vraiment comment nous en empêcher...
Mon regard se pose sur ma petite "décoration" et j'ai bien une petite idée qui me vient en tête pour ma part.
- On a dit qu'on ne ferait pas de pénétration mutuelle... Mais rien ne nous empêche de prendre nos jouets pour nous finir mutuellement... Suggère-je la mort dans l'âme alors que je sens bien que mon corps réclame la chose, la vraie. Tu en penses quoi ? Demande-je d'une petite voix entre-deux gémissements et halètements.
La part logique de mon cerveau voudrait qu'il dise oui, la part animale de mon cerveau voudrait qu'il dise non, dans tous les cas mon corps hurle pour qu'on le satisfasse.
Puis je me souviens qu'en fait on a pas vraiment à prendre cette décision. Je me pince un peu la joue en me tenant à Marc et je me force à avoir un sourire pervers mais contrôlé sur la figure.
- Laissons le publique décider... Souffle-je avant de relâcher Marc et de lui retirer ma cuisse pour pouvoir me tenir sur mes deux jambes.
Je me tourne et saisi son chibre à une main pour continuer à le masturber en regardant les caméras.
- On vous a prévenu qu'il n'y aurait pas de pénétration le premier soir, mais on parlait uniquement de l’interaction de nos sexes respectifs... Il reste toute notre gamme de jouets que vous voyez au fond pour jouer avec nous ! Dis-je en essayant de faire le show.
Mine de rien le fait de m'être détachée de Marc m'aide un peu. Et surtout le fait de m'adresser à la caméra m'a permis de me couper dans ma montée en envie. Je meurs toujours d'envie de le sentir en moi mais j'arrive à réfléchir plus clairement.
- Je vois bien que vous voulez qu'on me détruise l'intérieur, bande de vilains pervers que vous êtes ! Mais ce ne sera pas l'outil de mon collègue qui s'en chargera ce soir. Pour voir ça, il faudra être à la soirée caritative ! Et ce sera notre première fois à tous les deux de le faire ensemble pour de vrai !
Une averse de commentaire soit de déception soit de questions tombent alors sur le channel et je suis obligée de lire en diagonale pour en saisir le sens.
- Non, rassurez-vous il n'y aura pas de protections le grand soir, ceux qui se plaignent que les préservatifs leurs coupent l'envie peuvent se rassurer ! Ris-je nerveusement.
Je crois même pas que sa taille existe en préservatifs...
Les déçus sont quand même un bon petit tiers de ceux qui commentent, mais bizarrement les pseudo féminins ont l'air d'approuver lourdement ma déclaration.
- Alors, comment vais-je être mangée ? Demande-je à la caméra en agitant le bassin vers elle avec un clin d'oeil coquin.
Les suggestions ne mettent pas longtemps à venir, un vrai débat se lance pendant deux bonnes minutes où je me contente de doucement masser le mât de Marc. Puis une décision est prise à mon sujet. L'un de mes plus gros sextoy est sélectionné, même s'il reste inférieur à la taille du sexe de Marc, mais il s'agit d'un gode en forme de sexe de dragon fantaisie. Il a une option vibro, mais pour s'en servir il faut la télécommande qui ne peut pas être synchronisée en ligne. À la demande générale,je vais chercher le gode que je pose sur le sol afin de pouvoir m'asseoir dessus après et tends la commande à Marc. Le gode a un socle bien lourd pour être utilisé ainsi ce qui empêchera que je parte avec si je me resserre trop autour.
- Vous devriez avoir honte de faire des choses pareilles à une pauvre fille comme moi ! Ris-je en regardant les commentaires, ce qui ne manque pas de déchaîner les commentaires comme quoi je ne mérite que ça. Et pour Marc ? Demande-je presque innocemment.
Les commentaires vont bon train, mais vu comment j'ai commencé à agencer mon histoire, les gens se laissent facilement influencer et le commentaire générale c'est que je serais à la bonne hauteur pour le sucer.
- Quooiiii ?!? Fais-je semblant de m'indigner. Maaiiieeeeuuuuuh ! On avait dit pas le premier soir !
Mon plan fonctionne, j'obtiens ce que je pensais demander. Les viewers finissent par s'exclamer que je n'ai qu'à le branler et le finir entre mes seins. Certains y ajoutent même une demande spéciale qui me fait sourire : Que j'accroche une chaînette à mes tétons pour bien compresser mes seins l'un contre l'autre lorsque je lui ferais la paizuri dont j'avais évoqué l'idée en début de show.
Je repousse Marc à nouveau assis sur le lit et vais vite prendre la chaînette pour l'accrocher ensuite à mes seins en gémissant comme toute fille qui "souffre" qui se respecte. Mais le temps que je revienne pour prendre place, les gens ont demandé que Marc me rende la tache encore plus difficile ! Déjà que je vais être bien remplie, que ça risque de bien vibrer et que j'aurais la poitrine occupée ils en veulent toujours plus !
Me voilà servie... Songe-je avec amusement.