Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Iki Ota

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Au cours de sa longue carrière il avait pu constater que la vraie nature des gens se dévoilait une fois qu’il se laissait aller au sexe, des femmes en tout point irréprochable qui devenaient de véritable chienne en chaleur il en avait connu des tas et ça qu’il aimait. Mais il devait bien admettre que les jeunes de cette époque étaient différents de la sienne, ils étaient beaucoup plus libérer et c’était très jeune que se manifestaient leurs perversions. Il en avait des connu qui lors de leur première rencontre ne le voulait pas et il s’était montrer extrêmement violent et au final elles étaient revenu car elles avaient aimé ça car en vérité toutes les femmes étaient des salopes, ce n’était pas le monopole des hommes et Iki était là pour leur leur montrer.

Il y avait tant de possibilité pour une jeune fille de 17 ans de gagner de l’argent que de choisir d’offrir son corps était forcément une preuve que sa partenaire du moment était une bonne grosse perverse et il ne pouvait pas ne pas l’honorer comme il se devait. Chacun des mouvements, le faisait gémir de plaisir, il prenait un pied fou à sentir le rythme s’accélérer et il faisait de son mieux pour accompagner le mouvement en ne rompant pas le baiser qu’ils s’échangeaient.

Pour accompagner encore mieux le mouvement, il repris pleine possession de sa poitrine et commença à la peloter avec force, lui palpant les seins à pleines mains tout en accompagnant les mouvement de montés et descente que la jeune fille faisait. Ses pouces se pressaient contre ses tétons pour les faire tourner en les écrasant. Il prenait son pied il faisait de son mieux pour qu’elle aussi.

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Les perversions et les rapports sexuels quasi quotidien depuis le plus jeune âge avait développé une certaine endurance chez le vieux proviseur qui lui permettait malgré son entrée dans le club des septuagénaire de se révéler être un amant des plus appréciables. Si une partie de ses vices pouvaient paraître clair à la jeune femme avec qui il partageait ce moment, certains autres pourraient l’effrayer  et lui donner envie de fuir mais si c’était le cas, il était déjà trop tard même si en vérité, elle avait l’air de s’en ficher complètement.

 Iki semblait être sur la même longueur d’onde que la jeune fille et ce n’était pas pour lui déplaire, ce fut donc avec grand plaisir qu’il sentit son sexe entrer dans les fondements les plus resserrés de la lycéenne. Cette petite coquine, était venu s’enfiler toute la longueur de l’imposant membre dans son anus encore refermé et la sensation était des plus plaisante :

« Hm, oh oui je suis prêt. Vas y, montre moi comment tu chevauche les étalons. »

Il repassa ses mains sur les flancs de la demoiselle et les caressa de haut en bas, effleurant le profil de ses seins avant de redescendre jusqu’au courbe de son fessier avant de refaire le chemin en sens inverse. Enfin les choses sérieuses allaient commencé et il pourrait savoir à quel point la jeune fille est effectivement de qualité ou si son ami l’avait sur-vendu. Dans tous les cas, ils allaient bien s’amuser car si pour le moment, il lui laissait le contrôle, cela ne durerait pas jusqu’à la fin, il aimait se faire chevaucher c’était vrai mais au bout d’un moment il reprenait toujours la main.

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Il est vrai que certaines filles passaient plus souvent dans le bureau du proviseur pour s’adonner au plaisir pervers et malsain que pouvait offrir ce genre de relation, il avait ses préférées et c’était pour la plupart des jeunes fille que l’on soupçonnerai pas d’être ce genre de coquines. Il était possible que si Mathilde lui plaisait, il s’arrangerait pour qu’elle aussi soit convoquée régulièrement dans son bureau, c’était le privilège du maître de pouvoir profiter de ses jeunes amantes quand il en avait envie. Comme il l’avait deviner sa partenaire du moment était belle et bien une vilaine fille alors il n’allait pas se priver d’y aller franchement comme il aimait le faire.

Il la laissa se positionner face à lui même s’il ne l’avait pas fait s’asseoir dos à lui pour rien, il aurait préféré continuer dans cette position mais puisqu’elle semblait préféré le face à face pourquoi pas. Il passa ses mains dans le dos de la jeune fille lorsqu’elle se colla à lui pour l’embrasser pour parcourir son corps en même temps qu’il répondait au baiser en allant chercher sa langue avec la sienne. Lorsque son sexe fut libérer, elle pu se rendre à quel point il était encore tout en vigueur malgré son âge et que son mât était toujours bien haut, il se frotta un peu à elle en même temps qu’elle faisait de même.

Ses mains quant à elles étaient descendu jusqu’à ses fesses et il les avaient agripper avec poigne pour les palper fermement :

« Et si on faisait directement connaissance par ici ? N’est-ce pas une bonne idée ? »

Il lui sourit en la regardant dans les yeux entre deux baisers pleins de malices. Il avait ce don pour pousser le vice toujours plus loin et c’est ce qu’il faisait en ce moment même.

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Iki était du genre dominant et c’était peu de le dire, il était de ces gens de pouvoir qui faisait bien comprendre qu’il pouvait avoir ce qu’il voulait, quand il le voulait et ça entrait également en compte dans la sphère sexuelle. Il prenait ce qu’il voulait et il adorait celles qui se laissaient faire soit par résignation soit par plaisir commun, il ne fallait pas penser qu’il n’y avait que des réticente à se faire choisir par le proviseur, d’un certains point de vue cette Mathilde en était la preuve. Il fut ravi de l’entendre dire qu’il n’avait qu’à ordonner pour se faire obéir, peut être que c’était sa personnalité ou juste une envie de jeu du à la relation proviseur-élève mais c’était ce genre de chose qui lui faisait plaisir et il n’allait pas se priver :

« Je pourrais ordonner beaucoup de chose qui te ferai horreur, ma belle, fais attention à ce que tu dis. A moins que tu sois ce genre de vilaine fille qui aime les vilaines choses. »

Il mis plus de force à ses caresses sur on sein et son entrejambe, lui montrant qu’il pouvait vraiment se montrer très physique malgré son âge. Il lui donna un grand coup de langue en partant du cou pour remonter sur sa joue et il se mit à la sentir, ça faisait très pervers de film mais ça l’amusait :

« Et si on arrêtait de perdre notre temps et qu’on passait directement à l’action, hm ? »

Il lui arracha la culotte avant d’aller lui ouvrir son uniforme pour pouvoir prendre ses deux sein entre les mains et se met à les palper avec force, lui plaquant le dos contre son torse dans l’action :

« Et si tu commençait par t’empaler toi même sur mon sexe ? »

Il n’y avait pas la place pour les préliminaires quand on se trouvait avec le vieil homme, cela ne plaisait pas à tout le monde mais il ne cherchait pas à plaire au autres, juste à lui même et à ce moment, ce qui lui plairait c’est de la sentir monter et descendre elle même sur lui.

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Le proviseur n’était pas vraiment du genre à passer par quatre chemins et ce qu’il voulait était très clair, il ne passait pas un temps fou à tourner autour du pot, préférant passer à l’action tout de suite. C’était donc tout naturellement qu’il l’avait fait venir sur ses genoux et il sourit en sentant ses fesses se poser contre lui, un bon fessier bien rebondit qui annonçait un bon début. Même s’il aimait les jeune filles, l’uniforme d’écolière ne lui faisait pas beaucoup d’effet de fétiche, il fallait dire que depuis cinquante ans qu’il pouvait assouvir ce genre d’envie avec des filles dans ce genre d’uniforme, cela ne lui faisait plus grand-chose même s’il appréciait quand les formes étaient mise en valeur :

« Vile flatteuse, je ne vous aurais pas imaginer ainsi. Vous cachez bien votre jeu. »

Il ne perd pas plus de temps et une de ses mains passe sous le haut de la lycéenne pour agripper un de ses seins et le palper avec fermeté, son autre main se glisse sous sa jupe pour lui caresser la cuisse et remonter vers l’entrejambe :

« Qu’est-ce que tu aime ma jolie ? Je n’en ai peut être pas l’air mais je peux te faire plaisir de nombreuse manière. »

Il penche la tête pour aller lui lécher le cou avant de le mordiller avec insistance, il pouvait goûter sa douce peau au goût de jeunesse qu’il aimait tant et il se montrait particulièrement entreprenant et plein de vigueur dans ses gestes.

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Le vieil homme aimait les jeune fille dans la fleur de l’âge mais s’il adorait prendre ce qu’il voulait e manière brutale, il arrivait parfois que ce soit d’un commun accord. Il avait toujours été étonné du nombre de jeune fille à fantasmer sur les hommes d’âge avancé ou près à se trouver un sugar daddy pour se faire entretenir contre des services en nature. Cette Mathilde semblait être une élève plutôt brillante et très impliquée, c’était un profil assez inhabituel pour quelqu’un qui se livrait à se genre d’activité extra-scolaire mais ce n’était pas pour déplaire au vieux proviseur pervers qui la regardait.

Il ne la quittait pas des yeux pour bien la détailler, elle était très grande pour une fille et était doté d’un certains charme, le genre de beauté qui ne devait pas avoir grand mal à séduire les garçons mais qui à première vue préférait les hommes mûrs au plus grand bonheur d’Iki. Il lui rendit son sourire pour lui répondre :

« Pour le moment, appelle moi Monsieur, ça devrait suffire. »

Pour une première fois, il ne voulait pas se montrer trop proche, il lui fallait voir si elle était aussi exceptionnelle que ce qu’on lui avait dit. Si c’était le cas, il pourrait bien devenir un consommateur régulier mais pour cela il fallait commencer à découvrir ce qu’il avait comme produit en face de lui :

« Viens donc sur mes genoux ma belle, le vieil homme que je suis a besoin de proximité pour ressentir la chaleur de la jeunesse. »

Évidemment, il ne leurrait personne en se faisant passer pour un vieillard de la sorte, il était bien trop en forme pour faire illusion mais cela pouvait amuser ou faire rire les demoiselles et instaurer un climat de bonne entente entre eux.

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Le vieil homme était quelqu’un de raffiné et d’élégant, ses élèves le voyaient souvent dans les couloirs et il semblait porter de l’intérêt pour chacun d’eux. Ses compétences n’avaient d’égales que ses perversions et c’est ce qu’il le rendait si bon dans son travail, les élèves en avaient naturellement peur tout en l’admirant. Ses pratiques étaient discutables mais il avait des moyens qui l’étaient tout autant pour que rien ne lui soit refuser, il n’y avait pas que les élèves qui pouvait se faire recadrer. Évidemment, il y avait des rumeurs le concernant, des plaintes n’ayant menée à rien et classées sans suite et jugées comme pur affabulations des prétendues victimes, c’était plutôt utile d’avoir de l’influence et d’avoir des amis hauts placés ayant les même vices. Il se demandait si cette Mathilde croyait en les rumeurs à son sujet ou même si elle y donnait de l’importance, il se demandait également comment il allait s’en occuper. Elle semblait plutôt du genre à aimer se faire plaisir avec des vieux pervers mais que ce soit son proviseur pouvait peut être le rebuté, sa réaction scellerait la manière donc il déciderait de s’amuser avec.

Il l’aperçu en train de quitter le lycée lorsqu’il en faisait de même, s’il avait su qu’elle était toujours dans l’enceinte à cette heure ci, il l’aurait fait resté pour consommer sur place. Il ne s’arrêta cependant pas en préférant l’attendre sur le parking tranquillement. Passant sa main dans sa veste, il en sortit une liasse de billet plutôt épaisse, de ce qu’il avait compris en relisant les messages de son ami la concernant, c’était un genre de prostitué pour vieux, il adorait ce type de jeune dévoué à leur aîné, peut être qu’il pourrait la ramener au club plus tard.

Lorsqu’il l’aperçu pointé le bout de son nez, il ouvrit la porte de l’intérieur pour lui faire comprendre quelle voiture l’attendait, lui restait à l’intérieur en étant confortablement assis, attendant qu’elle arrive et monte pour l’accueillir :

« Bonsoir, Mathilde. Ravi de te rencontrer dans des circonstances moins formelles que ce dont nous avons l’habitude. »

Le vieil homme se plaisait à jouer le rôle du gentil papy, c’était plus facile pour mettre en confiance mais une fois que la portière s’était refermé, la suite ne dépendait plus que de comment se comporterait la jeune fille.

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Il parait que la vieillesse n’a que de mauvais côté pour les hommes et qu’aucun ne peut aller à l’encontre du temps qui passe mais en vérité ce ne sont que des balivernes. Certains hommes décident se portent de mieux en mieux au fil que les années défilent et entre dans la soixante-dixième année avec autant de vigueur qu’ils étaient entré dans la vingtième. Iki Ota était de ceux là et pour cela il avait un secret : faire tout ce qu’il voulait avec qui il voulait sans se préoccuper des conséquences. A son âge, il aimait encore la chair fraîche et sa position de proviseur de lycée lui donnait libre accès à de jeune et délicieuse demoiselle qu’il s’autorisait à prendre quand il voulait.

Tranquillement assis dans son bureau à siroter un whisky, il feuilletait les dossiers des élèves fille à la recherche de la prochaine. Plutôt dans la journée, il s’était occupé d’une petite de première année, il l’avait surpris entrain d’embrasser sa copine et de discuter de leur première fois ensemble et lorsqu’elle se débattait en pleurant il avait pu constater que ça aurait été sa première fois tout court. Il prenait toujours cela avec autant de plaisir, souiller une jeune lesbienne en lui volant sa première fois c’était extrêmement gratifiant pour lui. C’était d’ailleurs son dossier qu’il refermait pour prendre le suivant, celui d’une jeune fille répondant au nom de Mathilde Heilig. La photo lui disait étrangement quelque chose, évidemment il l’avait déjà croisé mais il l’avait également vu ailleurs et il retrouva où en faisant défiler ses conversations sms avec un de ses vieux amis bien placés. Son vieux camarade qui partageait son amour des jeunes filles lui avait envoyer une photo d’une des minettes qui lui avait beaucoup plu avec comme message : « Pas chère et très bonne qualité » et à la vue de ce corps nu il ne pouvait pas contredire son ami. Il ne lui fallu que quelque seconde pour trouver son numéro de portable dans ses fiches et il lui envoya la photo avec pour message : « Moi aussi j’aimerai bien goûter à ça. Retrouve moi au parking à coté du lycée dans cinq minutes. »/

Il espérait qu’elle se rende au rendez-vous envoyé par un numéro inconnu mais c’était bien le genre de fille à faire ça alors il n’avait pas trop à s’en faire. Il rangea donc ses dossiers avant de descendre et rejoindre sa voiture où son chauffeur l’attendait déjà, il s’installa à l’arrière derrière une vitre teintée qui empêchait le conducteur de le voir. C’était ce genre de grande voiture noire avec presque assez de place à l’arrière pour y mettre un salon, une sorte de limousine mais tout de même plus courte, il était proviseur pas mafieux. Il indiqua donc au chauffeur où il devait se rendre.

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Le coin du chalant / Re : Vieil homme en quête de RP
« le: vendredi 28 septembre 2018, 13:49:47 »
toujours en recherche

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Le coin du chalant / Re : Vieil homme en quête de RP
« le: dimanche 23 septembre 2018, 23:02:03 »
Petit up pour annoncer que je cherche un petit RP avec ce personnage.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Brisons les tensions... IKI OTA
« le: lundi 20 novembre 2017, 01:55:47 »
Le vieillard n’était pas très patient quand il s’agissait de se retrouver entrain d’enfoncer son pieu de chair dans de jolies demoiselles qu’elles le veuillent ou non. Il était plutôt du genre direct et se retrouver avec quelqu’un partageant cette vision des choses l’excitait au plus haut point. Il suivait donc Kumori vers une salle où ils seraient tranquilles pour partager un chaleureux moment de jambes en l’air. Il regardait cette délicieuse créature très entreprenante, elle s’était permis de le pousser dans le canapé et l’avait rejoint comme une affamée juste après avoir retirer sa veste et son foulard. Il répondait au baiser en l’embrassant à pleine bouche, il sentant bien son envie de baiser, elle était là pour se faire empaler et Iki était l’homme de la situation.

Le proviseur fit preuve d’une extrême douceur pour entamer les hostilité à son tour, il attrapa la chemise de sa partenaire et l’ouvrit en l’arrachant, faisant sauter tout les boutons pour libérer ses seins. Ils posa ses mains sur ses obus de chair et commença à les masser avec force et énergie, des gros seins bien fermes comme il aimait pour les claquer ou se branler entre.

Il rompit le baiser et sourit en la regardant avant de lâcher un de ses seins pour lui attraper le visage au niveau de la mâchoire et la serre avec une certaine force :

« T’as une jolie bouche. J’ai bien envie de te la saccagé avec ma bite, qu’est-ce que t’en dis ? Mets toi à genoux devant moi et ouvre bien grand la gueule que je puisse rentrer dedans. »

Il lui donna une petite gifle après l’avoir lâcher, dans d’autre circonstances, il aurait profité de l’avoir maintenu la bouche légèrement ouverte pour lui cracher dedans mais il se voulait respectueux envers sa partenaire de ce soir, il l’appréciait beaucoup et voulait bien la traiter bien qu’il avait une définition bien  lui de cette notion.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Brisons les tensions... IKI OTA
« le: lundi 18 septembre 2017, 13:33:49 »
Si l’adage voulait que la sagesse s’acquière avec l’âge, Iki devait être l’exception car s’il y avait une once de sagesse en lui c’était celle du vieillard pervers. Le nombre de ses déviances étaient incalculable, tout comme le nombre des victimes y ayant goûter, si certains savaient combien de femmes c’était retrouver au bout de leur queue, ce n’était pas le cas du vieux proviseur qui avait arrêter de compter il y a bien longtemps. Mais Kumori, elle, il s’en souviendrait, c’était rare qu’une demoiselle lui plaise autant.

Il eut un petit rire lorsqu’il fût questions des jeunes qui pouvaient être de vraies têtes de mule, il n’avait pas vraiment ce genre de problème grâce à ses techniques de redressement, le genre de chose qui marque à vie et laisse des séquelles. Il sourit ensuite à Kumori lorsqu’elle ne déclara pas avoir trouver d’homme digne d’elle en émettant certains sous entendus. Il se rapprocha d’elle et passa une mains derrière elle pour la poser sur sa taille :

« Hé bien, si je vous disais de ne plus chercher car vous trouveriez un homme digne de vous en ma personne ? »

Il rit de nouveau sans la lâcher, il finit son verre et le reposa sur le bar pour se consacrer à la belle demoiselle et jouer carte sur table en allant droit au but :

« Et si nous usions de l’arrière salle pour vérifier mes dires ? »

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Il était content d’être sur la même longueur d’onde que la belle demoiselle qui lui faisait face, bien qu’il ne compte plus le nombre de ses victimes lorsqu’il était question d’arracher des moment intimes il était tout de même très exciter quand c’était dans un total consentement. Le prédateur n’en était pas moins un homme qui aimait préférait quand même la facilité aux choses compliquer et parfois c’était très fatiguant de devoir maîtriser une jeune fille pleine d’énergie afin de s’offrir sa fleur. Il sourit donc à la jolie infirmière :

« Eh bien, vous me voyez ravi de vous savoir dans le même état d’esprit que moi. Je ne comptait pas sortir de cette pièce sans vous avoir goûter avant que vous l’auriez voulu ou non. »

Il s’approche donc du bureau où est assis l’infirmière et l’attrape par les hanches avant de l’embrasser avec ardeur, ne perdant pas de temps pour enfoncer sa langue dans sa bouche pour la faire danser avec la sienne. Forçant légèrement en se penchant pour la faire également aller en arrière pour l’allonger sur le bureau. Ses mains commencèrent à déboutonner sa tenue :

« L’endurance n’est guère un problème, même totalement inconsciente une punition peut être administrer. Et ne pensez pas non plus que mon âge altère ma propre faculté à endurer les moments les plus chaud. »

Après avoir retirer le dernier bouton, il lui ouvre son uniforme pour s’offrir sa poitrine, la palpant et l’embrassant avant de la lécher à grand coup de langue :

« Dîtes moi, jeune amie. Comment aimez-vous que l’on vous prenne ? »


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Son âge lui permettait de faire passer des comportements qu’on aurait pas accepté de quelqu’un de plus jeune et il se servait bien de cette fausse excuse pour se montrer direct pour tout ce qu’il faisait et disait. Il n’aimait pas perdre son temps, il venait, prenait ce qu’il voulait et repartait comme si de rien était, il fonctionnait ainsi depuis des décennies et ça lui allait plutôt bien. C’était donc avec un ton des plus autoritaire qu’il avait exiger un médicament, sans même un bonjour ou un s’il vous plaît.

Il en profitait aussi pour laisser ses yeux arpenter le corps de la charmante demoiselle en tenue d’infirmière sûrement peu conforme pour l’exercice de cette fonction en milieu scolaire mais il n’allait pas la blâmer pour non respect des règles, il serait mal placé pour faire cela. Lorsqu’il reçu le cachet des main de l’infirmière, il eu un petit sourire avant de rire :

« Une pilule bleue ? Je suis peut être vieux mais je n’ai encore jamais eu besoin de viagra, jeune demoiselle.  Mais je vous remercie de vous inquiétez de cela. »

Une petite blague de bon ou de mauvais goût, c’était à l’appréciation de chacun mais lui ça le faisait rigoler. Il avala le cachet mais resta à l’infirmerie pour se rapprocher de l’infirmière au joli déhanché des plus aguicheurs. Il posa ses mains sur les accoudoirs du siège et la regarda en souriant :

« Vous êtes sur que c’était vraiment un médicament pour le mal de crâne ? Parce que j’ai une folle envie de vous faire faire des heures supplémentaires pour que vous vous occupiez de moi de manière bien moins conventionnelle. Ou que je m’occupe de vous, c’est selon le point de vue. »

On ne pouvait pas faire plus rapide comme transition, ou alors c’était sans demander le consentement de la demoiselle avant mais l’infirmière avait l’air d’être plutôt ouverte alors autant tenter sa chance de manière conventionnelle avant d’y aller par la force en cas de refus.

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Mauvaises élèves après mauvaises élèves le vieux proviseurs faisait défiler les délinquantes du lycée dans son bureau pour leur apprendre la discipline. Le septuagénaire avait des méthodes bien à lui pour mâter les élèves récalcitrants, le genre de punition qui marquait profondément l’esprit et qui dissuadait de recommencer sauf pour les plus perverses qui ne se plaignait pas du traitement que le vieillard leur réservait.  Mais tout cela commençait à lui peser, il devenait vieux et l’âge a des méfaits que même l’entretiens du corps ne permets pas d’éviter et au bout de trois punition dans la même journée il avait mal au crâne, symptôme un peu étrange car ce n’était pas sa tête qu’il utilisait pour punir les élèves mais le fait était réel. Il en avait donc conclu qu’il devait avoir envie de changer de crémerie et d’aller explorer autre chose qu’une lycéenne.

Étant adepte de la devise « faire d’une pierre deux coups », il avait décidé d’aller à l’infirmerie afin d’avoir un cachet pour passer le mal de crâne et se changer les esprit en culbutant l’infirmière qu’elle soit d’accord ou pas, il se fichait bien de se genre de détail. Vers la fin des cours, il n’y aurait certainement plus d’élèves venant demander des soins de l’infirmière et il serait sans doute seul, ce qui était préférable pour ce qu’il avait envie de faire.

C’est donc en étant toujours bien apprêter dans son costume qu’il frappa à la porte de l’infirmerie. Il entra sans attendre qu’on l’y invite et en exigeant ce qu’il était venu dès le franchissement de la porte. :

« Madame l’infirmière, j’aurai besoin d’un cachet. Un doliprane ou se genre de connerie pour passer le mal de tête. »

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