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Messages - Orta Walkyrien

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Le quartier de la Toussaint / Re : Une aide généreuse, mais étrange [Magdalena]
« le: vendredi 30 septembre 2016, 22:37:55 »
La démarche de la demoiselle que je suivais était elle aussi étrange, mais tout était étrange en elle et je ne m'inquiéta pas du pourquoi elle le faisais, pensant simplement que c'était naturel chez elle. D'ailleurs, j'étais surtout concentré à ne pas trop la regarder, cette fille donnait quelque coup de chaleur, que ce soit à la vue de son sous-vêtement, ou alors, et même surtout à cause des petits sourires qu'elle me lançait parfois. Tant d'années à se battre et à vivre en enfer, et cette étrange fille commençait déjà à me briser toutes mes défenses et à agir sur mon corps. Cette idée m'effraya presque et me perdis dans mes pensées, me coupant de ce qu'il se passait autour de moi. Était-ce une bonne chose ? Cela pourrait être une erreur qui me coûtera cher un jour, mais je ne peux pas rester à vivre comme ça dans la méfiance de tout ce qui existe et cette fille semble digne de confiance.

J'ignore si elle a vue sur mon visage mon renfermement, mais la main qu'elle me prit me fit sortir immédiatement de tous ses doutes. J'ai quitté l'enfer, il est temps pour moi de vivre un peu, et de profiter à fond de ce qui m'arrivait. Entendre son petit rire me fit presque du bien et je la laissa me porter là ou elle le voudrait, certainement vers un endroit ou je pourrais enfin vivre.

Alors, la maison m'apparut enfin, et bien que pour n'importe qui, ce serait juste une habitation des plus banales, pour moi, il s'agissait presque des portes du paradis, et l'une des plus belle chose qui soit. Certes ce n'était pas la mienne, mais c'était un endroit qui pendant une nuit allait m'accueillir et ou je serais en paix, et cela, pour quelqu'un comme moi qui n'avais jamais connus ça, c'était un profond bonheur que je sentais naître en moi. Je ne connaissais certainement pas les coutumes humaines pour quand on rentrait chez quelqu'un, je ne me gêna donc pas pour regarder tout ce qui m'entourait. C'était vraiment irréaliste pour moi, mais ça dégageait une certaine chaleur qui donna à mon aura une impression de bien-être.

Je dépose ma cape sur le canapé, restant torse nu afin d'être à l'aise, je continuais ma petite exploration pendant qu'elle s'occupait de la nourriture qui très vite, dégagea une bonne odeur qui piqua ma curiosité. Je m'installe alors à table, la ou elle posa mon assiette (j'ai déjà souvent vu des gens manger alors que je cherchais moi même à me nourrir), et sans plus attendre, je commence à dévorer mon assiette avec les mains, ne sachant pas utiliser de couvert, et cela ne m'interesse vraiment pas sur le coup. Il faut dire qu'avec la faim que j'avais, je n'allais pas me faire prier pour manger. Même si une assiette de patte est un plat commun pour beaucoup, au vu de la vitesse à laquelle je mangeais, de mes yeux qui trahisse mon plaisir et de mon aura presque heureuse, je semblais vraiment adorer ce qui se trouvait dans mon assiette. Quand elle me posa la question, j’avale rapidement pour lui répondre:

"Wal...euh, tu peux m'appeler Orta, Magdalena."

Je continuais littéralement à dévorer et en repris à plusieurs reprises jusqu'à avoir le ventre plein, et pour un bon moment.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Une aide généreuse, mais étrange [Magdalena]
« le: vendredi 30 septembre 2016, 21:01:09 »
Bien que cette étrange fille qui, j'avais cru comprendre se nommait Magdalena, semblait vraiment étrange, ne pas réagir de la même manière que les autres, et vraiment inconsciente, totalement mon inverse. Mais cette douceur qui se dégageait d'elle et dont elle faisait preuve à mon égard était aussi déconcertante qu'apaisante. C'était la première chose vraiment bien qui soit arrivé pour moi dans ce monde, finalement les choses allaient pouvoir s'arranger.

Elle se mit à partir sans même attendre ma réponse, mais bon, ce n'est pas comme si un logis et un repas pouvait être refusé. Je me lève alors en récupérant ma cape et m’apprête à la suivre alors que mon regard se pose sur ses belles hanches dansant au rythme de sa démarche féline et... troublante au vu du coup de chaleur qui parcourra alors mes veines. Ça aussi, c'était la première fois que je le ressentais. Je chasse alors cette sensation de mon corps et la suis vers sa maison sans lui adresser la parole, ne sachant surtout pas vraiment quoi dire.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Une aide généreuse, mais étrange [Magdalena]
« le: vendredi 30 septembre 2016, 19:06:45 »
En voilà une situation qui ne m'était jamais arriver, et qui était même contraire à tout ce que j'ai vue dans ce monde. J'avais sentit sa présence, mais elle est arrivé sur moi avant même que je ne puisse réagir, allant même bien plus vite que ses démons sans cervelle qui te saute dessus pour lacérer ta chair avant même que tu te rendes compte de ce qu'il t'arrive, et ça c'était un exploit, fallait le dire. Mais cette étrange "personne" n'était pas là pour m'attaquer, mais plutôt semble être la réponse à toute mes approches pour trouver de l'aide.

Je la jaugeais de haut en bas, un peu surpris par son approche qui doublait déjà la vitesse de mon cœur, il fallait vraiment que je réduise mon stress. Elle semble être la joie et la paix incarné, me demandant d'abord s'il s'agissait d'un ange, voir pire d'un dieu, mais je repousse rapidement cette idée, elle doit juste en avoir quelques gènes. Après son visage des plus aveuglant, mon regard se pose une seconde sur sa forte poitrine qu'elle colle à mon bras, calmant subitement les tremblements qui me parcouraient quelques secondes plus tôt, et dégageant à la place une chaleur, qui à ma surprise se révéla des plus agréables, mais vraiment troublante. Ce genre de contact doit faire partie de leur manière dans ce quartier, je calme alors ma respiration et semble la regarder dans les yeux le plus calmement possible, mais avec une intensité qui ferait faillir bon nombre de personnes malgré moi, et lui répond d'une voix posé mais quand même forte:

"Je suis perdu oui, mais je n'ai nul part ou aller. J'ai pas manger depuis plusieurs jours. Donc je veux bien ton aide oui."

Pas de formalité, très simple, voilà le maximum que je pouvais donner dans la gentillesse. D'ailleurs, l'aura autour de moi avait au moins un peu changer, montrant toujours comme une forme de puissance autour de moi, mais au moins elle n'était pas effrayante pour elle, plutôt neutre mais assez captivante. Cet aura se liait bien à mon odeur forte, avec une légère teinte de transpiration mélangé à une forte senteur enivrante qui se dégageait de moi. Je ne chercha pas à la repousser, déjà pour ne pas l'énerver et aller contre ses "méthodes sociales", mais en partie un peu inavouable aussi qu'il ne le voulait pas, appréciant se contact nouveau pour moi.

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Le quartier de la Toussaint / Une aide généreuse, mais étrange [Magdalena]
« le: vendredi 30 septembre 2016, 18:02:21 »
La ville était plongé dans une légère teinte orangé des plus agréables pour moi. Le soleil couchant donnait une teinte très chaude à cet endroit d'une froideur qui me donnait des frissons. C'était bien là mon moment préféré de la journée, on aurait presque dis que tout est en feu. Mais ce n'est pas le cas, et après cet bouffé de chaleur arrivait la fraîcheur de la nuit, les lumières qui s'allument un peu partout dans la ville ne manqua pas de me le rappeler. Je suis vraiment né dans un monde comme celui-là ? J'avais plus tôt dans la journée décider de baisser un peu mes barrières pour aller discuter avec les habitants de ce lieu maudit et n'avait eu le droit qu'à des bredouillement pour me dire qu'ils devaient partir ou alors simplement à l'esquive de ces gens qui ne cherchèrent même pas à me répondre.

Me voilà donc à nouveau le ventre vide à me diriger dans une ruelle calme et sombre afin de pouvoir m'y reposer un moment. M'assurant qu'il n'y ai personne, je m'installe en enlevant ma cape afin de l'enrouler et de m'en servir de repose tête. Mon corps tremble encore. Ce n'est pas la première fois que ça arrive, j'ignore si c'est le stress que j'accumule de plus en plus à chercher à survivre dans ce monde ou je ne peux même pas me défouler et que tout me parait être une menace, si c'est la douleur dans mon dos qui c'était accentué depuis que j'étais sortis de l'enfer, ou alors tout simplement si c'était le froid qui courait le long de mon corps et dont je n'était vraiment pas habitué, bien que je ne le sentais pas. Je sais très bien que la vérité est un mélange des trois, mais il vaut mieux ne pas y penser. Je ferme les yeux en restant conscient de mon environnement, encore une fois je ne vais pas pouvoir vraiment dormir. Je laisse juste là mon corps se reposer, torse nu baigner dans les quelques rayons de lumière qui arrive encore à filtrer entre les maisons. J'ai quitter la ville il y a un moment, le bruit est vraiment trop pour moi, j'en pouvais plus d'avoir la tête constamment comme un ballon. Maintenant, je dois trouver un moyen pour demain, la situation doit changer...

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Prélude / Re : Un anneau pour qu'il vous serve
« le: vendredi 30 septembre 2016, 10:49:09 »
Un dragon...ma foi, ça doit être un type de démon en un peu moins fort, salut quand même (très sympa ton perso ^^)

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Le coin du chalant / Re : On rp le monstre ?
« le: vendredi 30 septembre 2016, 10:42:43 »
Petit up si il y a des intéressés ^^

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Prélude / Re : Voyageuse à la recherche de sensation ~ [Ahri]
« le: vendredi 30 septembre 2016, 10:37:24 »
Bienvenue :)

53
Prélude / Re : Magdalena Takao [validémonisée]
« le: vendredi 30 septembre 2016, 10:35:55 »
Bienvenue à toi ^^

54
Prélude / Re : Akemi Chou, présent. [validemonisé]
« le: samedi 24 septembre 2016, 09:15:55 »
Bienvenue  :)

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Centre-ville de Seikusu / Le monstre et la sirène [Ariel]
« le: vendredi 23 septembre 2016, 01:29:16 »
Parfois l'enfer peut manquer. Le soir était tombé il y a déjà une heure, ne laissant plus que les lampadaires et les dix milles lumières en tout genre venant des machines à roues et des énormes fenêtres dévoilant milles et unes étrangeté éclairé la ville. Celle-ci était d'ailleurs un véritable labyrinthe avec ses bâtiments étouffants, ses milliers de personnes qui déambulaient sans but précis dans ses allés bien droite, son bruit incessant et insupportable venant en majorité de ces infernales "voitures", et sans parler que chaque jour des centaines de bizarreries nouvelles qui venaient le perdre un peu plus. Le pire pour Orta était sûrement l'argent, qui lui avait déjà joué de sale tour comme l’empêcher de se prendre à manger alors qu'il avait faim.
Et oui cela faisait déjà 15 jours qu'il était sortis des enfers et qu'il avait atterrit dans cet endroit dont il ne reconnaissait absolument rien. Pour lui, chaque chose était nouveau, et il devait donc tout apprendre s'il voulait pouvoir vivre dans ce monde. Mais malgré ses nombreuses marches qu'il faisait pour écouter et observé tout ce qu'il pouvait de ce monde, il n'en comprenais toujours pas tout. Le danger inexistant de ce monde le rendait presque paranoïaque, à tel point qu'au vu de son comportements et de la tête qu'il faisait, tous les passant cherchaient à l'esquiver au mieux. Dans ce monde, les humains n'étaient pas des monstres vicieux assoiffés de sang, cruel et sadique, ils étaient des innocents avec une vie et qui vivaient en paix. Tuer était donc quelque chose qu'il devait éviter à tout prix, et il se rendit compte assez vite que voler était quelque chose qu'il ne pouvait pas faire non plus. Mais c'était quand même un comble qu'il soit plus simple de se nourrir dans un lieu hostile comme l'enfer plutôt que dans ce monde censé être un havre de paix.

Aujourd'hui, la situation n'était vraiment pas réjouissante. Il dors dehors là ou il peut, ne sais pas comment obtenir ces morceaux de papiers qu'il peut apparemment échanger contre plein de choses, comme de la nourriture, son ventre est vide et bien qu'il puisse encore tenir un peu sans manger grâce à son organisme bien plus résistants que celui des humains, cela allait vite devenir une priorité. Au détour d'une petite rue sombre ou Orta pourrait se reposer un peu la tête, assaillit sans cesse par cette torture sonore, des humains vinrent l’interpellé. Au nombre de huit, ils portaient des vêtements bien plus décontracté que les différents passants qu'Orta avait put croisé jusque là, dans des manteaux sales et usés par le temps pour se protéger du froid qui mordait facilement la chair en cette période, une position nonchalante, même un peu molle, une forte odeur se dégageait de leurs haleines ce qui le força presque à reculer, leurs joues plutôt rouges. Ce n'était pas la première fois qu'il voyait des personnes bourrés par contre, mais eux semblaient avoir une idée derrière la tête, une très mauvaise idée. Ils cherchèrent à l'encercler pour bloquer leurs "cible" dans la ruelle pour que personne ne puisse les voir ou les entendre et bloquer toute possibilités de fuite. L'un d'eux s'avança d'un pas assez peu assuré tellement il eut des difficultés à tenir debout et lança d'une voix un poil trop fort, ce qui rendait ses paroles plus ridicules qu'intimidantes:

"Bah alors ma mignonne, on s'est perdue !? T'en fais pas, nous on est des gentils gars et on va te laisser partir, mais d'abord, pour nous remercier d'être aussi sympa, on veut tout ce que t'as !"

Ce n'était juste vraiment pas le moment. Déjà d'assez mauvaises humeurs dût aux derniers jours, l'envie de les massacrer comme il avait l'habitude de le faire au bon vieux temps monta en lui comme sa rage, mais l'alcool semblait les imperméabiliser contre son aura qui aurait normalement déjà dût les faire détaler en vitesse. Orta chercha à calmer au mieux ses envies de meurtres, mais quelques soit la manière dont on regardais la situation, ça allait déraper. Quand l'homme vint s'approcher pour lui attraper ses cheveux et les tirés pour le menacer encore, Orta prit sa décision et lui donna simplement un coup de poing au visage. Il sentit ses dents s'éclater dans sa mâchoire et ses os craquer par la violence du coup sous sa main, et l'homme s'écroula au sol, inerte. Les humains étaient vraiment trop frêles, à ce niveau il allait en tuer certains sans même le vouloir. Les autres, choqués par la scène, fondirent tous en même temps sur lui, mais Orta a l'habitude de ce genre de situation et enfin il se sentait de nouveau vivant. Il put se battre en se retenant au maximum, la faim aidait au moins à ça, et les mettre tous KO. Mais il avait mal jugé ses assaillants, sous-estimant beaucoup trop les humains, et ne sentit que trop tard la lame d'un couteau lui rentrer dans le flanc. Cela ne lui fit pas vraiment mal, mais la lame était froide dans ses entrailles et laissa beaucoup de sang s'échapper de la plaie quand elle se retira. Un coup de coude dans le nez et on ne parla plus de ce gêneur.

Orta repris son souffle lentement, la faim l'affaiblissait vraiment beaucoup trop. Il examina la blessure qui, bien qu'impressionnante à première vue, n'a pour quelqu'un comme lui rien de dangereux normalement. Les armes des humains pénètre vraiment facilement la chair et sont assez vifs, mais leurs portée est ridicule et ne cause que très peu de dégâts. Mais au vu de la situation, il ne pouvait pas rester comme ça, il ignore tout de ses armes et peuvent s’avérer bien plus dangereuse par la suite. Et cette faim...elle ralentira la guérison à n'en pas douter et va l'affaiblir encore plus avec une blessure. A ce qu'il avait comprit en entendant parler les humains, il faut aller voir un médecin dans ce genre de situation, manquait plus qu'à savoir ou il pourrait en trouver un, et s'il pouvait obtenir des infos sur ce monde au passage, c'était pas plus mal. Mais ce coup-ci, il se ferait pas avoir. Il chercha sur les hommes leurs affaires et vida leurs portefeuilles de ces si précieux morceaux de papiers. Oui, c'est du vol, mais il n'y a plus de scrupule à avoir pour des gens qui ont cherché à s'en prendre à lui, ils étaient pas innocents, et surtout il en avait vraiment besoin la.

Orta retourna dans les rues un peu plus peuplé de la ville en cachant son sang qui continuait de ruisseler sous sa cape qu'il garde encore à ses épaules. Une nouvelle chose horrible allait commencer pour lui: parler. Les relations sociales étaient un calvaire pour lui mais il n'a pas vraiment le choix il faut dire. Il arrêta un couple au hasard dans la rue pour leur demander ou il pouvait trouver un médecin assez rapidement, et le couple, serrer l'un contre l'autre, tremblant devant cet homme imposant, au visage peu amical et qui dégageait quelque chose de vraiment effrayant. Il lui répondirent en bégayant la direction d'un cabinet assez proche d'ici, afin de ne pas énerver cette personne qui pourrait très bien les étriper avec un simple mouvement sûrement. Orta partit dans cette direction fière de lui, c'était la première fois que ceux à qui il adressait la parole ne prenait pas la fuite directement, il y avait du progrès.

Il ne mit pas longtemps avant de trouver la clinique encore un peu éclairé dans une pièce, et y entra simplement. Il ne trouva personne à l’accueil et se dirigea simplement vers la pièce éclairé ou il entendit du mouvement. Orta ouvrit la porte assez bruyamment, optant pour une approche direct. Il était devenu assez pâle, la faim, le froid et la perte de sang commençait à l'engourdir, il posa ses yeux sur la femme d'un air froid sans qu'il ne le veuille, et son aura la toucha, une aura vraiment intimidante sur le coup et laissant presque percevoir sa puissance. Il fit deux pas, prit une partie des billets dans sa poche et le lança sur le bureau proche de lui et écarta sa cape pour dévoiler sa blessure:

"Voila l'argent. On m'a dit de venir ici, lui lançais-je d'une voix assez forte, bien que trahissant un peu ma fatigue"

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Le coin du chalant / On rp le monstre ?
« le: jeudi 22 septembre 2016, 12:25:26 »
Salut à tous.

Voilà je demande qui serait intéressé pour faire du rp. Je n'ai pas d'idée précise sur le scénario et reste ouvert a toutes les propositions. Je peux par contre donner quelques bases si cela intéresse:

-Arrive dans le monde qu'il ne connaît pas, une femme alors profite de cela pour lui faire découvrir la ville... et peut-être d'autres choses.
-Manque de bol, à peine il arrive qu'il tombe sur un dieu, s'en suit alors une petite confrontation qui peut se désamorcer et finalement, au fur et à mesure du temps, créer des liens.
-Un peu la même chose qu'au dessus, mais dans une église avec une croyante, une nonne par exemple.
-Tombe sur une démone qui cherche à le manipuler du fait de son inexpérience dans se monde (peut entraîner des scène sympa).
-Dans son inexpérience, provoque une catastrophe, genre blesse quelqu'un, détruit quelque chose de valeur pour elle, ou encore cause de gros dégâts à sa maison et me force à la rembourser en nature vu que j'ai pas un rond.

Voilà, mais je reste disponible aux autres idées comme je disais, hésitez pas à me mp si ça vous intéresse et à bientôt sur terre/terra ;)

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Prélude / Re : Orta, le monstre de l'enfer [Violidé ~~♥]
« le: jeudi 22 septembre 2016, 12:02:33 »
Merci et pressé de voir ce que ça va donner ^^

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Prélude / Re : Orta, le monstre de l'enfer
« le: mercredi 21 septembre 2016, 07:57:36 »
Petit up pour avoir des avis sur mon perso (c'est la première fois que je fais ça je suis pas sur de devoir changer certains trucs ou pas) et pour me faire valider si possible ^^

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Prélude / Orta, le monstre de l'enfer [Violidé ~~♥]
« le: lundi 19 septembre 2016, 23:02:30 »
Identité : Orta "Walkyrien"
Âge : Physiquement dans la vingtaine, en réalité il l'ignore
Sexe : Masculin
Race : Avatar
Sexualité : Hétéro, aucune expérience

Physique :

Orta Walkyrien est un homme qui généralement fais assez forte impression. Mesurant dans les 1m80, il possède un très beau corps athlétique, ni trop large, ni trop maigre, aux proportions parfaite. Il n'a étrangement aucune cicatrice sur le corps malgré ce qu'il a subit, à part une marque gigantesque dans le dos, un symbole démoniaque gravé comme dans le feu directement dans la chair. Cette marque représente les changements qu'il a subit, mais aussi une immense douleur. La marque en elle-même est assez chaude et est un point très sensible de son corps. Orta possède de longs cheveux noirs avec quelques reflets rouges lui descendant jusqu'en bas du dos, cachant en partie sa marque, mais aussi un visage assez dur aux traits froids, le tout accentué par ses deux yeux aux pupilles rouges vif, le reste des yeux pouvant devenir totalement noir dans les moments intenses de rage et de haine. De la d’où il vient, sa façon de s'habiller est assez simple: pantalon noir, des bottes renforcés noir également, et une longue cape de toile noir pour conclure, le recouvrant des épaules jusqu'aux chevilles, laissant son torse finement ciselé visible, avec une capuche qu'il met de tant à autres. Au cou, il porte un médaillon dont il ignore la provenance mais qui représente tout de même beaucoup pour lui: La forme d'une épée totalement noir entouré d'une flamme rouge sang, le tout enveloppé dans deux ailes blanches.

Caractère :

Orta est quelqu'un qui a morflé durant toute son existence. Il a trucider du démon et autres créatures démoniaques pendant une éternité, survivant comme il pouvait, ne dormant presque jamais, courant et se battant à longueur de journée (si tant est qu'il y ai une journée en enfer). Tout cela ne l'aida pas à créer des liens, et le résultat en fut son caractère. Généralement très froid, il ne parle que très peu et a très facilement la haine. Le fait de revenir au monde réel ne l'aida pas, ne sachant plus vraiment comment se comporter. Chaque chose autour de lui pouvait représenter une menace et tout était nouveau, ce n'était plus des démons qui cherchaient à le tuer voir pire qu'il avait autour de lui, mais des êtres possédants un cœur et de bons côtés. Il ne devait donc plus tuer, mais avais parfois beaucoup de mal pour se contenir. Il savait garder son sang-froid, mais parfois on le poussait vraiment à bout. Il l'esquive donc la plupart du temps, et les autres ont l'habitude de faire de même en sentant l'aura autour de lui. Mais son principal problème restait de savoir maintenant qui il était. En enfer, il était celui qui était devenu l'un des pires démons qui soit pour les démons eux-mêmes. Mais maintenant que les démons n'étaient plus là, il pouvait devenir (ou rester) un monstre qui cherchais a accomplir son objectif sans se préoccuper du reste, ou alors se laisser aller à se sentiment étrange qui était apparu en lui quand il avait découvert la situation de certains, devenir un monstre qui protégeras et aidera les autres. Car sachant très bien que cela était stupide et risqué, cette pulsion aussi était à certains moments trop difficile a réprimer. En conclusion, Orta est un homme froid et très intimidant pour ceux qui ne cherche pas à voir plus loin, pouvant aller parfois dans la violence. Mais au fond, il est perdu, dans ce monde comme en lui-même, subissant le contre-coup de son passé et de sa solitude, alors que sa compassion et sa bonté sont enfin eux aussi libérer. 

Histoire :

Douleur, crie, pleures, souffrances, sang, carnage, haine, rage, horreur, flammes, destruction et morts. Voila qui est un bon résumé du passé d'Orta, mais malheureusement il y a une histoire qui va avec. Commençons pas le début: il n'y en a pas. Orta était quelqu'un à l'époque, mais il ne garde absolument aucun souvenir de cela, il ne sais même pas s'il était humain ou autre chose. Ses souvenirs les plus lointains remontent à quand il était déjà en enfer. De ce qu'il s'est passé avant, se ne sont que quelques images et savoir qu'ils conservent, presque comme des songes. La première chose est son nom dont il est presque certains: Orta, bien qu'il soit possible que ce soit celui de quelqu'un qui était important pour lui. L'autre chose c'est qu'il n'est pas mort, et ce n'est pas ses mauvaises actions qui l'ont envoyé là. Non et il savait d'ailleurs qui l'avait fais, c'était un Dieu. Son nom, le comment et le pourquoi, ça il l'ignorait, mais il l'avais fais.
Quand il s'est réveillé, il était en enfer, avec des démons autour de lui qui cherchaient à faire quelque chose de lui. Il chercha à se relever pour comprendre ce qu'il se passait et une atroce douleur, le genre qui te cloue au sol, apparut alors dans son dos. Difficilement, il chercha de sa main ce que c'était et sentit alors sa marque sous ses doigts. Les démons autour de lui réalisait leurs rituels sur lui, ce qui raviva encore sa douleur. Ne pouvant plus bouger, Orta chercha désespéramment à résister et commença à avoir la rage et la haine, une de celle qui vous donnerais envie d'annihiler tout ce qui passe à votre portée.
Et alors tout redevint flou et il se passa quelque chose d'inattendu pour les démons. La douleur était passé dans tout le corps et augmentait sans cesse.Puis finalement, elle s'apaisa un peu et il se sentait plus vivant que jamais. Il se releva et put commencer a se battre contre les démons. Et bien que cela ait été difficile, il parvint à tous les occire. A chaque mort de démon qu'il réalisait, il sentait comme détruire leurs existence même et absorber les éclats de leurs âmes brisés. Il était là au milieu de ses cadavres, et commença alors à chercher un moyen de se sortir de là. Il se rendit compte qu'il était nu mais que son corps avait changé, enfin il pense. Il n'avais pas cette force avant, ni ses muscles, seule un médaillon était autour de son cou, dont il avait tout oublié, mais qui était important, il en était sur.
Orta partit vite de la ou il était, se prit des vêtements dans la mesure du possible, et commença alors sa vie en enfer. Les débuts étaient difficiles, mais il prit ses marques et commença à se faire connaître des démons. A chaque fois qu'il tombait sur certains d'entre eux, Orta les tuait tous. Il appris alors les spécificité de son être, ses pouvoirs étranges incroyablement puissant mais qui le faisait souffrir, au point même une fois d'avoir failli le tuer, sa force incroyable qu'il allia bientôt à une maîtrise du combat qu'il obtenu à force de se battre, cette douleur qu'il finit par supporter (tant qu'il n'avait pas de crise), et son existence même qui devenait chaque jour de plus en plus baigné dans le sang et la mort.
Par la suite, Orta explora l'enfer, cherchant quelque chose d'intéressant, peut-être une sortie. Il trouva plusieurs démons assez puissants, des créatures dont il ignorait tout, et même des âmes enfermé en enfer comme lui, subissant des horreurs qu'aucun mots ne pouvaient décrire. Ce fut l'une des causes majeurs de son état actuelle, bien qu'il chercha à les sauver, jamais il ne put les aider, déjà totalement détruit et brisé, fou par la douleur, et plus du tout humain. Malgré tout ce qu'il avait fais, jamais il n'aurait un jour penser qu'il tuerait des âmes innocentes comme ça, mais il le devais, au moins pour les libérer. Sa haine envers les démons grandit encore ce jour-là. Orta ne vieillissait pas, il changeait peut-être, mais il garda toujours son corps, les blessures qu'il subissait disparaissais d'elle-même au bout d'un certain temps. Jamais il ne sut combien de temps il resta en enfer, pour lui cela faisait une éternité. Au fil du temps, Orta se faisait de plus en plus connaître, et craindre. De simple gêne pour les démons, il était devenu pour tous une menace réelle, ce n'était pas un démon non, mais c'était un véritable monstre qui sillonnait l'enfer et que chacun cherchait au mieux à éviter, celui que l'on nommait aussi Walkyrien. Il était malgré lui devenu un seigneur des enfers, le monstre solitaire, Orta Walkyrien.
Mais l'enfer fut gorgé de surprise, et un jour, Orta tomba sur un démon gigantesque, on aurait presque dit un titan, qui était afféré à quelque chose. Orta en avait entendu parler: Kaërn, le créateur des enfers, forgeront des plus puissants artefacts démoniaques. Orta s’apprêta à tuer un démon de plus, mais lui ne voulais pas se battre. Il se fichait totalement de lui, une seule chose l’intéressait : continuer à créer et ne pas avoir à détruire. Orta ne compris pas, les démons était des créatures horribles, mais lui ne souhaitait pas faire ce que les siens faisait. Il chercha à forcer le titan à dévoiler sa vrai nature, mais la seule chose auquel il eut droit fut ceci: "Tu penses pouvoir tous nous massacrer car pour toi nous sommes tous les mêmes, mais toi, leur bourreau et monstre de l'enfer, leurs ressemble bien plus que je ne leur ai jamais ressemblé. Tu penses faire bien, mais tes efforts sont vains et jamais tu ne sortira de l'enfer, si cela arrivait, alors les autres mondes auxquels tu pensent appartenir ne recevront qu'un monstre destructeur de plus." Jamais Orta ne fut aussi choqué qu'à ce moment là, mais quelque chose bouillonnait en lui, et sa rage comme sa haine explosèrent et il chargea le titan. Sa vue était rouge et il se sentit comme enfermé en lui même, sans savoir ce qu'il se passait. Il réfléchit au parole de Kaërn, et ne pouvais simplement pas les accepter, mais il ne pouvais s'empêcher de se demander qui il était. Quand il repris ses esprits, Orta put voir le titan devant lui, au bord de la mort. Il l'avais fait, il ne pouvais plus se cacher maintenant, il était vraiment un démon, pire même que tous ceux qu'il avait détruit. La rage augmenta encore et il voulu tout détruire, mais se retint car cela ne fera qu'empirer les choses et à la place il chercha à dominer son pouvoir pour sauver le titan et rattraper ce qu'il avais fais, mais en vain, son pouvoir était celui d'un monstre. A un moment l'idée même du suicide lui vint à l'esprit, mais le titan l’arrêta dans ses pensés. "Tu l'as arrêté finalement... Oui tu es un monstre... Et cela ne changera pas... comme moi aussi je suis un démon... Sors de là... Cela fais trop longtemps que tu t'acharnes pour rien... alors que beaucoup de choses se passent là-bas... Trouve Henarem... Grâce à lui tu pourras sortir..." Le titan fit une dernière chose pour lui avant de mourir. Orta ayant réussit à dompter son pouvoir, il pris ce qu'il avait crée et le transforma en une épée à lame noir qu'il lia à sa marque pour qu'à jamais elle lui appartienne, elle serais une partie de son pouvoir qu'il pouvais utiliser sans crainte.
Après la mort du titan, Orta décida de foncer chercher ce démon Henarem. Un démon l'avait aidé, et sans cesse ses mots tournaient dans son esprit, ce pouvoir était très puissant, mais il pouvais aussi le rendre fou. Il le maîtriserait coûte que coûte et avec un pouvoir de démon... non, un pouvoir de monstre, il allait faire ce qu'il devait faire. Henarem est l'un des plus puissants démons qui soient, emprisonné par les siens dans un lieu protégé, mais qui n'allait pas le rester longtemps. Il fonça en usant de sa nouvelle arme qu'il pouvait faire apparaître à volonté. Bien que n'ayant aucun pouvoir particulier, rien ne résistais à cette lame qui tuais sans problème chaque démon. Les combats furent tout de même long, il mit beaucoup de temps à trouver la prison et à passer ses défenses. Il arriva finalement devant la porte vérouillé et utilisa son pouvoir et son épée pour l'ouvrir. Henarem ne mit pas longtemps à chercher à sortir en me tuant au passage, mais cela n'allait pas être aussi simple. Seul problème à cette histoire, ce démon étant très vieux, et incroyablement puissant, c'était un démon primale, une bête assoiffé de destruction, une calamité à lui seul. Le combat dura une éternité, la mort attendais le premier faux pas de sa part pour le prendre, mais il n'allait pas le laisser faire, et donna tous ce qu'il avait pour finalement réussir, après un âpre combat mythique, par tuer le démon primal. Le pouvoir obtenue était énorme mais il en garda le contrôle et obtenu aussi la faculté de sortir de l'enfer et de pouvoir y retourner à loisir, mais la destination exacte était inconnu. Qu'importe tant qu'il pouvait enfin sortir de là après tout ce temps. Et il avait un objectif en tête, il était un monstre aux pouvoirs immenses, et donc il allait changer d'adversaire. Il était de déclarer la guerre aux dieux et de les traquer afin qu'il puisse les juger, eux qui se prenaient supérieur, eux qui laissait le monde pourir et une chose comme l'enfer exister, et surtout lui, qui l'avait envoyé ici...

Autre :

Orta possède plusieurs capacités, comme celle de faire apparaître et disparaître son épée à loisir, ou encore cette marque qui le rendait très fort et laissait son corps sans marques, avec un bon pouvoir d'auto-guérison. Il y avait son aura aussi qui était très forte et qu'il ne contrôlait pas, intimidant facilement et montrant sa puissance, mais représentant surtout ses émotions, s'il a la rage contre vous, fuyez car cette aura vous donnera l'impression qu'un dieu veut vous tuer. Mais à l'inverse s'il veut vous protéger, cette aura vous donnera un profond sentiment de sécurité. Son plus gros pouvoir et principal est une sorte d'énergie noir et rouge qu'il peut balancer en rayon ou boule d'énergie très puissante. Cela peut aussi prendre la forme d'un éclair, d'une barrière, un moyen de se téléporter sur une courte distance avec un "saut" ou alors à très longue distance en s'en servant d'émetteur-récepteur. L'une des formes les plus puissante est une flamme noir à cœur rouge, tout aussi puissant en terme de destruction, mais pouvant aussi se propager et brûler absolument tout, ne laissant rien derrière elle. Mais ces pouvoirs ont un prix qu'il est parfois dangereux de payer.

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