Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Dextra-Senestra

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Dextra-Senestra

Pages: 1 2 3 [4] 5 6 ... 12
46
Apparemment, et ce sans grandes surprises, la nouvelle professeur fut un peu surprise d'entendre l'élève parler en termes si peu élogieux envers l'un des plus vieux tutélaire du lycée, haussant un sourcil un peu surpris en entendant parler des petits problèmes éthiques du dit enseignant. Après si elle était surprise pour une telle chose, elle allait en avoir pour son grade niveau étonnement, car peu de personnes en ce lycée ne savait pas que non seulement les adultes, mais aussi les élèves, avaient presque un grain sexuellement parlant, et c'était sans parler des quelques légendes qui traînaient comme quoi passer certaines heures, les douches se faisaient assaillirent par une étrange gelée vivante, ou encore que l'on aurait vu un être démoniaque sur les toit du bâtiment principal. Ce lieu était à l'image de la ville, dépravé, et la jeune lycéenne qui voyait tout cela d'un mauvais oeil était surement la première à croire à toutes ces histoires, qu'elles soient fausses ou non !

 -  Non en effet, je n'ai rien à dire sur vos résultats mademoiselle Dextra. Vos notes sont pour le moins impressionnantes. Très bon japonais, excellent résultats en mathématiques, géographie excellente, histoire première du lycée, et je constate qu'en plus l'anglais ne semble guère vous poser de problèmes. Seriez-vous parfaite par le plus grand des hasards ?
 -  J'en doutes Tessia-senseï, j'en doutes fortement.

Tout cela puait la mauvaise mise en scène à plein nez, le fait que la femme se soit procurée un relevée entier de ses notes en était presque une preuve irréfutable, sans parler de cette petite phrase qui était surement faites pour flatter un tant sois peu son orgueil afin qu'elle baisse momentanément sa garde. Elle n'était pas dupe, on ne retient pas une élève pour la féliciter, au mieux on lui laisse un petit mot encourageant sur son relevé de note pour lui dire que l'on apprécie les efforts qu'elle fournit, et on lui conseille une bonne faculté en fin d'année, mais ce n'était clairement pas ce que comptait faire la nouvelle tutélaire. Et ce n'était pas pour rien que Dextra avait du coup sauter sur l'occasion pour faire preuve d'humilité, elle savait qu'elle n'était pas parfaite et que sa professeur voulait parler d'autre chose, alors autant allez tout de suite dans le vif du sujet, non ? Et d'ailleurs elle sembla le comprendre vu qu'elle reprit après sa courte pause, finissant enfin à lui dire ce qu'elle attendait d'entendre :

 -  Ha oui, certes ça aurait été trop beau... "problème de comportement", "agression verbale", "agression" tout court... Vos résultats scolaires frisent l'incroyable, mais vous collectionnez aussi les rapports disciplinaire il semble...
 -  Je ne dirais pas le contraire...

Elle continue d'effacer le tableau tranquillement, ne présentant pas le moindre trouble quand la femme vint parler de son dossier "social" en milieu scolaire, jugeant depuis longtemps qu'elle n'avait rien à se faire pardonner. Elle agissait ainsi, et point, rien ne saurait la faire changer de comportement, encore plus quand elle était naturellement entourée d'une bande d'abrutis à peine entré de l'adolescence et incapable de comprendre qu'il n'y avait pas que leur petite vie en jeu. Paradoxalement, elle était la première à agir avec autant d'égoïsme pour palier à ce genre de sottises, n'hésitant pas à se mettre en avant pour des raisons déjà expliquée plus d'une fois : Face à ce genre d'idiot, le meilleur moyen de se retrouver au calme était d'être pire qu'eux, et sur ce point, la jeune femme était intraitable !

 -  Ce sans compter ce que j'ai pu observer en cours ces derniers temps. Dites-moi, est-ce que l'expression "petite reine" vous parle mademoiselle Dextra ?
 -  Hum...

Elle posa lentement la brosse sur le cadran de faire en dessous du tableau, puis se retourna doucement pour parler avec la femme, afin de ne pas paraître lâche à lui parler de dos, puis laisse un fin sourire éclairer ses lèvres avant qu'elle ne se mette à répondre sur un ton qui laissait clairement comprendre son manque total de compréhension envers les avertissements qu'elle avait reçu, et par là l'absence d'empathie qu'elle aimait à souligner envers ses camarades :

 -  Petite reine hein ? Très honnêtement ça ne me parles pas, et même si cela me parlait, ça ne changerais pas grand chose. Tessia-senseï, si vous souhaitez me faire réagir face à mon comportement envers les autres élèves de l'établissement, je n'aurais que quelques mots à vous répondre : Je vis au milieu d'une bande d'abrutis, qui jugent malin de parler en classe, d'embêter les lycéennes, de minauder face aux lycéens, de se plaindre quand on leur fait une remarque et qui se pensent toujours meilleurs que leur prochain. Très bien, ils sont détestables, alors je n'ai aucune raison d'être "appréciable" en retour.

Elle s'approche un peu de Tessia, ravivée dans son comportement par le simple fait qu'elle ai parlé de l'incroyablement fatiguant comportement qu'ont les lycéens et lycéennes de Mishima envers eux-mêmes et leurs partenaires de vie étudiantes, puis dans un mouvement des plus gracieux, s'installe sur la table de l'enseignante, juste sur le coin, pour la regarder et pointer du doigt le dossier qu'elle tenait entre ses mains telle une sacro-sainte preuve de sa culpabilité.

 -  Sans rire, vous n'êtes pas la premières personnes du camp enseignant qui tente de m'en faire la remarque, ni la première du camp administratif, et si il faut que je me répètes afin que vous compreniez que je ne changerais pas du tout ma vision des choses, et ce avec toute l'éloquence du monde. La vie de lycéenne me fais comprendre comment ceux autour de moi sont pourris jusqu'à la moelle, tellement sûr de leur petit confort, de leurs petits avantages, tellement risible dans le fond que non, je n'hésiterais pas le moins du monde à leur envoyer leur quatre vérités dans la face, et avec une bonne dose de fiel en plus pour qu'il y réfléchissent.

Elle marque une pause, puis se redresse et retourne prendre la brosse pour finir de nettoyer le dernier quart du tableau, se hissant sur la pointe des pieds pour atteindre les recoins les plus gênants où ont été inscrit les quelques lignes explicatives d'une formulation purement inutile aux yeux de la demoiselle. Non elle ne comptait surement pas modifier la plus petite once de son comportement, étant donner qu'il s'agissait de la seule manière qu'elle avait trouvée pour extérioriser un peu ses souffrances intérieurs, son besoin irrémédiable de libérer un peu de vapeur pour ne pas finir par exploser et anéantir tout ce qu'elle trouverait sur son chemin à grand renfort de haine et de colère. Et puis, il fallait l'avouer, mais son garde-fou n'étant que de moins en moins présent, elle n'allait surement pas pouvoir se libérer sur lui, alors tant pis pour les professeurs, tant pis pour la direction, tant pis pour les élèves, mais elle ne compte surement pas modifier son caractère d'un iota.

 -  Sur ce, vous voulez me dire autre chose Tessia-senseï ? Ou je pourrais m'en aller une fois le tableau effacé ?

47
Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: jeudi 26 février 2015, 22:27:37 »
« Un peu serré, hein ? Et tu ne sais plus comment déboutonner ton pantalon ? »

Ce n'était pas faux, dans le fond il pourrait le faire lui même mais comme le soulignait la pointe d'ironie qu'elle avait utilisée, elle avait très bien comprit le but de cette demande, et n'en semblait clairement pas réfractaire, ce qui fit sourire de joie le jeune homme qui se voyait pour une fois réussir une légère provocation sexuelle sans pour autant avoir l'impression de déraper complètement. Quand il sent les mains inquisitrice de la belle Amélie parcourir l'ouverture de son pantalon il n'hésites pas à laisser les siennes glisser doucement sous le vêtement inférieur de la jeune demoiselle, ses doigts venant palper avec envie le fessier de la jeune fille au travers du tissu fin de son sous-vêtement aux couleurs de l'Angleterre. Elle le rendait complètement fou, et quand elle finit par libérer son sexe de l'étau en jean qu'il portait, il ne put s'empêcher de rosir un peu, d'autant plus que la demoiselle semblait observer avec une certaine envie cette bosse encore emmitouflée de tissu blanc et doux.

« Hum... Je comprends pourquoi tu te sens si serré, mon mignon...
 -  Je ne t'aurais pas demander quelque chose sans raisons, non ? »

Il cachait sa gêne derrière quelques mots un peu ironique, toujours prononcé avec un mélange de fascination et de douceur envers la jeune fille en face de lui, et si il n'était pas ceinturé par sa gêne naturelle, il aurait surement déjà prit les devants pour venir dominer cette belle française qu'il désirait plus que tout. Cela le surprenait dans le fond de se rendre compte que si il n'était pas aussi calme, aussi délicat, elle se serait peut-être déjà enfuie, et ainsi il se demandait si elle l'appréciait simplement où si ça allait plus loin que cela, si elle avait vraiment un faible pour lui, faible qui s'était exprimée par sa capacité à lui pardonner ses erreurs. Encore une fois, elle fut celle qui court-circuita ses pensées de la manière la plus subite possible, sentant les douces lèvres de la demoiselle se poser contre son entre-jambe pour y apposer un délicat baiser, tandis que ses mains caressant tantôt ses hanches, tantôt le tissu recouvrant sa virilité.

En somme, elle le rendait fou de désir, et le pire c'est qu'elle semblait vouloir continuer à le faire, car non seulement elle l'empêchait de réfléchir en agissant avec quelques gestes normalement plutôt simple dans une relation sexuelle, mais en plus elle n'allait même pas plus loin, le faisant osciller entre satisfaction et frustration. Il gémissait, tout bas, mais sa manière de triturer son vêtement sans pour autant l'ôter, sa manière de venir se frotter à celui-ci sans pour autant le libérer, ses lèvres qu'il sentait au travers du vêtement tout en sachant que ce n'était qu'en partie, tout ça lui donnait autant envie de se jeter sur elle que de ne pas le faire pour toujours en profiter un peu plus. Au moins comprenait-il ce que voulait dire la frustration, et vu son état d'excitation actuel, il allait être difficile pour le jeune homme de redescendre de son petit nuage avant un moment, et c'étant sans parler de ce qui allait suivre, qu'il imaginait clairement "délicieux".

En tout cas sa belle demoiselle semble elle non plus ne pas pouvoir tenir plus longtemps sans agir plus directement, et il sent ses doigt sortir son sexe chaud et durci à l'extrême, observant les yeux d'Amélie venir rencontrer son regard alors qu'elle lui parle, le troublant encore un peu plus dans le fond.

« On dit que c’est douloureux... Tu confirmes ? Qu’est-ce que tu veux que je fasse pour soulager ta souffrance ?
 -  Je dois avouer que ça l'est un peu... mais je devrais pouvoir tenir un peu encore. Le temps de faire quelque chose que je veux absolument. »

Il lui sourit, et tendant ses bras, vient la chercher pour l'attirer à lui, l'intimant doucement de s'approcher pour qu'ils puissent être de nouveau bien proche l'un de l'autre, prêt à s'enlacer. Mais là ce que le jeune homme à prévu, ce n'était pas de la serrer une enième fois entre ses bras, et l'amenant à s'asseoir doucement sur son bassin, juste un peu plus en avant pour ne pas qu'elle sente la forme de son sexe palpiter sous elle, il redresse son torse et l'embrasse tendrement avant de commencer à lui retirer son haut, délicatement, libérant à sa vue le corps attirant de l'étrangère. Il rompt le baiser et fais passer le haut de la belle par dessus sa tête et ses épaules, puis commence à embrasser son cou, puis le haut de son corps, descendant un petit peu à chaque baiser pour atteindre sa poitrine qu'il ne dévoile pas encore, par pure caprice plus que par peur de ne pas pouvoir dégrafer un simple soutien-gorge.

« Là, je crois que j'aurais bien besoin de quelques caresses pour adoucir ma douleur, ma belle. Et en attendant... »

Il se met à mordiller délicatement la poitrine de la jeune femme, et usant d'une main pour maintenir son corps assez surélevé pour continuer ses désireuses attentions, l'autre vient masser au travers du tissu délicat la poitrine ronde et agréable d'Amélie. Pour lui, actuellement, il se moquait bien de savoir que Dextra pouvait rentrer dans sa chambre à tout moment, il se moquait même qu'ils puissent faire un peu trop de bruit et se faire remarquer par les quelques voisins du palier... Là tout ce qui comptait était le plaisir de sa belle demoiselle, et il espérait bien que tout ce qu'il lui prodiguerait saura lui offrir tout ce qu'elle pouvait désirer dans une telle relation. Il voulait être irréprochable pour elle, être son loyal compagnon le temps de cette proximité enivrante. Il aimait la sentir haletante, la sentir excitée, la sentir désireuse et heureuse. Il aimait savoir qu'elle était dans le même état que lui, et qu'elle pouvait en profiter autant que lui même en profitait actuellement.

48
Dextra était quelqu'un d'intraitable en toute situation, et si elle faisait souvent preuve de méchanceté c'était souvent pour défendre ses plus profonds secrets, à tel point que son irascibilité venait souvent touché ceux qui possédait le même genre de soucis qu'elle, de manière bien cruelle. Un camarade qui n'osait pas avouer quelques fantasmes pourtant clairement reconnue ? Elle lui tombait dessus avec tout ce qu'elle avait de hargne pour apparaître comme une personne bien pensante, une personne saine, une personne bien sous tout rapport et que l'on ne pouvait, en aucun cas, prendre en faute sur quelques plans que ce soit. Cela lui valait autant d'inimitié de la part de ses proches et de ceux qu'elle côtoyait tout les jours, comme les autres élèves de sa classes, que d'admiration dans le fond, les gens ayant une certaine crainte de sa langue aiguisée et de ses manières bien souvent fatale pour le moral d'autrui. Dans le fond, certain pouvait la comparer à une hyène comme d'autre à un dragon, et l'idée générale passait : il ne faisait pas bon d'être dans son collimateur.

Enfin bon, cela faisait quelques jours qu'elle était encore plus en forme que d'habitude, et non sans raisons, étant donné que son frère s'était entiché d'une petite sans-abri étrangère et qu'il avait tendance à aller la voir de temps à autres pour discuter, sortant bien plus souvent de la maison en conséquence, et ainsi la laissant bien plus souvent seule, sans avoir de quoi libérer sa permanente frustration. Alors elle tombait sur ses camarades, garçon ou fille, des classes inférieures ou pas, leur faisant bien comprendre l'inutilité de leur existence à grand renfort de paroles particulièrement bien maîtrisée, et d'une capacité analytique proche du plus grand des mentalistes pour permettre de frapper exactement à l'endroit où ça faisait le plus mal. Bon bien sur, là en classe, elle ne le pouvait pas, et elle comptait rentrer dés que la cloche aura sonnée, mais il en restait que la demoiselle n'était clairement pas de la meilleure des humeurs en ce moment, et ça n'allait pas en s'arrangeant.

 -  Pour la semaine prochaine, n'oubliez pas de faire vos exercices numéro dix-sept à dix-neuf de votre WorkBook. Miss Dextra, je vous prie de rester j'ai quelque chose à voir avec vous.

Bah tiens v'là encore quelque chose, la cloche sonnait enfin pour la libérer mais voilà que la professeur se décidait de l'obliger à rester pour quelques minutes supplémentaires de torture, il fallait vraiment qu'elle ai un karma de merde en ce moment, ce n'était pas possible autrement d'avoir autant de gêneurs qui viennent lui casser les ovaires ! Se redressant lentement en rangeant son sac elle sent les regards de nombre des élèves masculin glisser sur elle, et elle se mordille la lèvre un instant pour se retenir de leur répondre en quelques termes salés que les porcs dans leur genre auraient tout intérêt à cesser cette jalousie insupportable, où elle aurait tôt fait de leur faire comprendre qu'en regardant moins souvent le cul de leur professeur et en travaillant, ils ne se traîneraient pas une moyenne misérable. En tout cas tout le monde quitte la pièce, plus ou moins mécontent, et elle se rapproche du bureau de Tessia pour venir se mettre au courant de ce que lui vaut ce temps de cours supplémentaires déjà bien fatiguant rien que par sa perspective de longueur !

 -  Nous avons à parler, mais rendez-vous donc utile pendant ce temps...

La brosse, sans déconner ?

 -  Très bien Tessia-senseï.

Elle prends l'outil, pose son sac sur une des table avec une nonchalance qui fait comprendre qu'elle n'est pas vraiment là pour faire les choses de bon coeur, et elle monte sur la petite estrade en bois qui mène au tableau pour commencer à effacer les grandes boucles et les lettres ébauchées de l'écriture de la professeur, parsemées de ci de là par les écrits malpropres d'autres élèves ayant dut répondre au tableau. Elle voyait mal de quoi voudrait parler sa professeur, mais dans le fond ce n'était pas quelques questions qui allaient la tuer, loin de là ! Non, elle avait surtout du mal à ce qu'on la prive de son repos moral bien mérité chez elle, après avoir du supporter les quelques regards salaces de jeunes puceaux et d'affirmés pervers, ou encore les dire tout aussi insupportables de ces pimbêches idiotes capable de tout pour tenter de se faire remarquer par les garçons, ou la caïd de cette établissement, au coeur de pierre. Non vraiment, elle ne comprenait pas ce que cette prof arriviste voulait savoir !

 -  Donc senseï, de quoi vouliez vous me parler ? Ce doit être important pour qu'une nouvelle tutélaire vienne me voir aussi directement, après à peine une semaine et demi de cours, n'est-ce pas ?

Elle continue d’effacer le tableau vivement, tandis que la professeur peut remarquer que malgré sa hâte, la jeune fille n'oublie pas la moindre trace de craie tout en produisant un joli effet d'harmonie sur la surface d'ardoise, témoignant un peu de son aspect perfectionniste sur les bords : faire les choses rapidement, tout en le faisant bien. Ses coups de brosses d'ailleurs s'accélérant, la nervosité de la lycéenne pouvait surement se faire sentir chez Tessia, mais pour autant Dextra ne le faisait pas du tout exprès, elle était juste fatiguée par ce qu'elle se trouvait obligée de faire, et en somme refusait d'y mettre de la bonne volonté, voulant juste au finir le plus vite possible en espérant que la femme n'allait pas lui demander une quelconque action particulièrement éprouvante à faire, comme une demande d'aide pour ses petits camarades en retard. La brosse glissant le long de l'ardoise, elle se retourne un moment pour observer sa professeur et commence à la regarder rapidement de haut en bas, assimilant silencieusement sa tenue à celle de ces cosplays de prostituées prêtes à tout pour un peu plus d'oseille.

 -  Je supposes que ça n'a rien à voir avec mes notes, alors qu'est-ce que cela pourrait être ? J'espères que ce n'est pas ce porc d'Hariku-senseï qui vous a demandé de me parler, je n'aimerais pas que vous vouliez l'aider alors même que je ne supporte déjà plus son regard torve sur mon corps...

Hariku Terito, prof de physique et l'un des doyens de l'établissement... en somme, respect 0 dans ce qu'elle venait de dire envers un "supérieur".

49
Le coin du chalant / Re : Un rp, avec deux nouveaux bien fagotés ?
« le: lundi 23 février 2015, 23:50:12 »
Bonjour ^^

En effet il est toujours disponible, personne ne s'est encore manifesté ^^

Tu veux en parler plus en profondeur via mp ?

50
Le coin du chalant / Re : Un rp, avec deux nouveaux bien fagotés ?
« le: dimanche 22 février 2015, 22:12:08 »
Up pour une demande particulière :

J'aurais besoin de quelqu'un pour une trame qui me donne plutôt envie :

 Dextra est une personne peu appréciée au lycée de Mishima, et bien du monde ne la supporte pas, mais alors là pas du TOUT ! Alors qu'est-ce qui pourrais être sympa à faire ? L'humilier oh oui ça c'est bien, lui faire comprendre qu'elle n'est pas une reine, qu'elle n'est pas supérieur à autrui !

Au programme, humiliations (soyez inventifs), gangbang et autres joyeusetés, et si vous pouvez en plus lui faire connaître la peur de rencontrer des choses qui ne sont pas humaines (je comptes sur vous membres de Terra venus au lycée mishima ^^)

Des intéressés du coup ?

51
Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: dimanche 22 février 2015, 17:53:26 »
Ces lèvres, comme il les appréciaient, comme il les désiraient, les avoir encore et encore au bout des siennes, les avoir jusqu'à perdre son souffle et ne plus pouvoir faire autre chose que s'en séparer pour reprendre un souffle court avant de revenir, il n'arrivait plus à les quitter, ayant toujours besoin de ressentir leurs douceurs. Le fait qu'il soit aussi délicat avec ses mains n'étaient dans le fond que le fait de son inexpérience, l'homme n'ayant jamais vraiment fait quoi que ce soit de sérieux avec une femme, la seule autre personne avec laquelle il avait eut ce genre de contact étant sa propre soeur, et encore, il était sous l'influence de ce qu'il découvrit être, plus tard, une succube invoquée par sa propre soeur dans le but de nourrir sa curiosité sans limite. Comment dire, il était mal assurée par rapport à cela, il n'avait ni connaissance, ni maîtrise et ne savait comment éveillé vraiment le plaisir d'une compagne, et bien évidemment, cela se retrouvait dans ses gestes.

Dans le fond quand il y repensait, son innocence était quand même particulièrement ancrée en lui, et il suffisait de connaître l'histoire de son réveil une fois la nuit passée avec Dextra pour savoir qu'il était surement aussi gêné par l'idée de le faire à nouveau qu'Amélie un peu plus tôt à cette idée, avec sa difficulté à laisser un homme l'approcher. Se lever avec sa propre soeur dans ses bras, son sexe encore en elle, il s'en rappelait encore à quel point il s'était sentit mal sur le coup, et c'est surement l'un des événements les plus troublants qu'il avait connu dans sa vie de lycéen lambda. Et pourtant, malgré cet étrange blocage toutefois bien compréhensible en un sens, il ne ressentait pas d'appréhension particulière avec Amélie, il ne se faisait pas de mauvaises idées, il ne cherchait pas à savoir si il avait raison ou tort de manière excessive. Il la désirait tout simplement, elle l'avait en grande partie conquis, lui le jeune idiot capable de tout pour un étrangère, et rien que pour cela il la voulait plus que tout au monde.

Perdue dans son désir illimité, il ne s'attends pas à se faire renverser par la jeune femme à son tour, se retrouvant bien vite le dos sur le matelas, et la belle française sur son corps, ses courbes généreuses et sa poitrine encore couverte se pressant contre son torse. Le jeune homme se sentait bien rien qu'avec ce doux contact, même si il avait clairement perdu sa position de jeune homme prenant les devants, et quand elle vint l'embrasser il laissa les belles lèvres de la demoiselle prendre possession des siennes sans lutter, appréciant autant que possible les avances d'Amélie, son coeur battant toujours de plus en plus vite à mesure que lui comme elle oubliait ce qu'il se passait autour d'eux. Il n'y avait plus vraiment de chambre, plus vraiment de soeur démoniaquement possessive, plus d'appartement et plus de crise, juste l'envie de l'autre, qui les enveloppait et les invitait à continuer, dans le plus grand des délices, selon Senestra.

Puis il sentit sa main sur son entre-jambe :

« Je sens qu’il y a une pièce de ton corps qui se réveille...
 -  Hum, eh bien je crois que ce n'est pas étonnant, non ? »

Malgré sa gêne, il parvint à le dire sur le ton de l'amusement, même si tout cela le rendait un poil nerveux dans le fond, aucune femme n'ayant déjà chercher à l'approcher de cette manière après tout. Pourtant est-ce que cela ne l'aide pas un peu dans le fond qu'elle puisse prendre les devants ? Après tout si lui n'était pas vraiment capable d'oser, il était tout à leur avantage à tout les deux qu'elle soit un peu moins timide que lui, qu'elle possède un peu moins de retenue vis-à-vis de ce genre de relation, parce que si elle n'allait pas vers lui il aurait surement tendance à être bien trop "simple" pour vraiment lui plaire. Dans le fond il n'était pas l'homme qui pouvait jouer de sa position, ce n'était pas lui qui allait offrir une blague sale de temps en temps, ni ne pourrait lui demander de faire quelque chose uniquement pour son plaisir à lui... Alors qu'elle soit la pour en avoir envie, pour faire ce dont elle avait envie, eh bien c'était bon pour tout les deux. Et étrangement, il avait toute confiance en cette lueur qui était né dans le regard de la jeune femme.

« J'espère que tu ne m'en veux pas d'être aussi hésitant Amélie, osa-t'il prononcer, tout bas, puis plus haut. Tu ... Tu m'aides, je crois que je me sens un peu serré dans mes vêtements. »

52
Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: jeudi 19 février 2015, 16:12:21 »
Son rangement finit, il s'était tourné vers Amélie pour la regarder, s'informer d'un simple regard sur l'état de la jeune fille, qui honnêtement semblait être bien moins gênée que lui, surement le fait que l'un avait l'habitude de vivre loin des autres alors que la jeune fille devait surement être bien plus habituée à l'intérêt qu'on pouvait lui porter. Quand il la vit passer à coté de lui pour s’asseoir sur le coin du bureau, il ne comprit pas tout de suite les raisons de la jeune fille, mais quand il eut l'occasion de la voir s'installer de manière un tout petit peu provocatrice, le rose de ses joues s'affirma, le jeune homme pouvant dés lors contempler une partie du charme de la demoiselle alors qu'elle prenait soin de le mettre en avant, sa poitrine désormais bombée captant son regard sur le coup. Et encore une fois, ce n'est qu'après un court instant qu'il réagit, déglutissant et détournant légèrement le regard pour ne pas donner l'impression à Amélie qu'il se focalisait sur ses beaux atours. Bon sang qu'il était facile de le perturber.

« Passe-moi ton eau...
 -  Oh euh ... tout de suite. »

Il prend la bouteille de la main gauche et la lui tend tranquillement, tandis que la jeune fille la récupère pour en boire quelques goulées de manière bien théâtrale selon l'avis du lycéen, de nouveau focalisé sur la gorge tendue de la demoiselle, et la chute de son décolleté mis en avant. Bon sang si ça continuait elle allait le rendre fou, plus il passait du temps avec et plus son désir de l'avoir pour lui se faisant fort, impérieux, et seul la peur de ce risque omniprésent de la blesser à nouveau l'empêchait de faire quoi que ce soit de plus pour la conquérir. Pour le coup, il se rappelait de ce baiser qu'il lui avait prit un peu plus tôt, et se demandait bien comment il avait réussi à avoir assez de courage pour aller le lui prendre sans même douter plus d'une dizaine de minute sur la justification d'un tel acte. En tout cas perdu dans ses pensées, il n'avait pas remarquer l'approche de la jeune fille, et se retournant juste avant qu'elle ne le pousse, il ne put s'empêcher de perdre l'équilibre et de chuter droit sur son matelas, devant une demoiselle toute aussi belle que joyeuse :

« Qu’est-ce qu’un garçon et une fille peuvent bien faire ensemble dans une chambre ? Surtout après s’être embrassés ensemble dans le hall...
 -  Eh bien, comment dire ... »

Ce qu'il allait dire n'était même pas sur, en grande partie maladroit dans le fond, et autant par chance que malchance, sa contemplation du petit jeu de la demoiselle sans-abri le coupa dans sa volonté de répondre immédiatement à la question qu'elle venait de poser, ayant comprit qu'elle était actuellement en train de jouer, plutôt qu'autre chose. Sa question n'avait pas vraiment valeur d'être répondue, vu qu'elle était essentiellement rhétorique et ne servant en fait qu'à le provoquer un peu plus dans sa gêne et sa timidité aussi idiote que compréhensible. Quand elle s'installa près de lui, le rose de ses joues vira à un rouge un peu plus franc, permettant rapidement de comprendre l'état dans lequel il se trouvait actuellement, et il eut bien malgré lui une petite pensée pour Dextra, juste à coté, qui devait surement imaginer ce qu'il se passait dans la chambre de son frère... et de rager à cause de cela, mais malheureusement pour elle, il n'avait pas vraiment envie de laisser les choses au point mort, même si sa gêne le freinait énormément.

« Ne me dis pas que tu m’as fait venir ici juste pour m’offrir de l’eau...
 -  ... Non c'est vrai. »

Allez du courage Senestra, tu n'es pas le meilleur des jeunes hommes pour ce genre de choses, mais là elle n'attend qu'à ce que tu prennes les devants, c'est normal, alors bouges-toi le cul et va vers elle, arrête d'hésiter autant ou sinon tu vas décevoir ses attentes. Se mettant lui même sur le flanc, observant la belle Amélie en face de lui, il vient décaler une de ces mèches de cheveux qui avait oser tomber devant le doux visage de la jeune femme, et s'approche doucement pour venir l'embrasser, longuement, tendrement, cherchant à ouvrir ses lèvres pour que leurs langues viennent partager une délicate danse. Sa main, d'abord venue caresser sa joue, glissa dans son cou pour ensuite venir longer son dos, et il l'amena sans trop forcer contre lui, afin de pouvoir ressentir à nouveau le contact de cette femme le long de son propre corps, enivrante proximité qui, même si elle offrait enfin aux joues du jeune homme une couleur de fraise notable, lui offrait aussi un peu plus de ce "courage" dont il avait tant besoin pour ne pas décevoir celle qu'il convoitait.

« C'est juste que je suis toujours aussi maladroit pour ce genre de choses, je n'y suis pas habitué, et je n'ai vraiment pas envie de te blesser par maladresse. J'en ai assez fait pour aujourd'hui. »

Peut-être qu'il réfléchissait trop aussi, mais revenant à l'assaut de ces si goûteuses lèvres, sa main vient quand à elle se balader sur le corps d'Amélie, caressant longuement  la courbure de son corps dans cette position, avant de se glisser légèrement sous le haut de la belle pour enfin venir au contact chaud de sa peau. Se redressant un peu pour le coup, il l'entraîne délicatement dans son mouvement pour l'allonger sous lui, sans rompre les désireux baisers qu'il partageait avec elle, et tandis qu'il se tient d'une main pour ne pas écraser la ravissante demoiselle sous lui, il laisse son autre main caresser sa hanche, son ventre, relevant graduellement son haut sans vraiment y réfléchir, juste guidé par le désir qu'il ressentait pour elle. Encore une fois, preuve qu'il est passionné, il ne réfléchit plus une fois lancé, ses seuls sentiments lui servant pour prendre soin de la jeune femme, mais il fallait être honnête, il avait toujours un certain nombre de blocages, et n'osait pas aller plus loin que de simples caresses. Finalement peut-être allait-il avoir besoin d'un petit peu d'aide pour se lâcher.

53
Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: lundi 16 février 2015, 10:21:17 »
De nouveau chez lui, avec Amélie, une certaine angoisse reprit le jeune homme, qui se demandait si ce n'était pas la différence de vie entre la belle française et lui qui amenait la jeune femme à s'énerver progressivement, jusqu'à avoir ces sautes d'humeur qui l'avait amenée à quitter les lieux pour retrouver une façon de vivre qui lui était propre. Si c'était bien cela qui la dérangeait, il se faisait la promesse de faire extrêmement attention à elle, de rester vigilant au moindre signe de trouble chez elle pour chercher à la rassurer, à veiller autant qu'il le peut pour lui offrir un confort qui ne pourrait que lui faire du bien, selon le propre avis du lycéen. Reposant les clés de la maison sur le porte-clé du mur de droite, et jetant un regard rapide vers la porte close de sa grande soeur, imaginant déjà la jeune femme se venger sur une de ses peluches, ou lire un de ses bouquins sur l'occulte qu'il avait tendance à lui confisquer par pur bon sens, il revint finalement à Amélie, avec son habituel doux sourire et écouta sa réponse :

« Je crois que ce sera ta chambre, Sen’... J’ai assez vu le salon comme ça.
 - D'accord... hum, c'est par là. »

Il lui fait signe de le suivre, et il se dirige tranquillement vers la porte la plus proche de celle du salon, avant de l'ouvrir sur une salle encore complètement plongée dans les ténèbres, le jeune homme ayant peu tendance à faire rentrer la lumière de soleil dans son lieu de vie personnel. Rentrant en premier, il zig-zag entre les quelques affaires éparpillées sur le sol, qu'il devra ranger en toute hâte une fois le store électrique activé, sans nuls doutes, et atteint sa fenêtre en recherche de la petite télécommande qui permet, très rarement, d'ouvrir la chambre à une lumière plus agréable, et un peu nécessaire quand une personne est invitée dans sa chambre. La trouvant à tâton, il l'attrape rapidement et active d'une rapide pression la remontée lente des volets, la pièce s'éclairant peu à peu, avec une très lente progression, et le jeune homme se pressant dés lors pour rattraper son sac et ses quelques vêtements traînant sur la moquette pour les ranger de manière un peu hâtive dans son armoire coulissante, élevant doucement la voix pour qu'Amélie l'entende.

« Rentres donc Amélie et installes toi. Désolé que la chambre ne soit pas bien nettoyée, je dois avouer que je n'y reçois pas souvent du monde. »

La pièce en elle-même est plutôt petite et épurée dans le style, les murs n'ayant quasiment rien pour les couvrir, et les meubles paraissant quand à eux relativement sobre, de simple équipements à l'occidental, fais dans un bois d'un marron clair des plus communs pour de telles fournitures, même le lit à deux places y ayant droit. Seul un bureau quasiment bordélique se fait présent au milieu de cette simplicité, celui ci se trouvant couvert de diverses notes manuscrites, de manuels scolaires plus ou moins en état, classés selon une technique que seul le jeune homme pourrait comprendre, sans parler d'un ordinateur qui doit, à lui seul, être plus coûteux que la quasi-totalité de ce qui se trouve dans la chambre. L'écran, allumé depuis longtemps apparemment, étant donné qu'il n'était pas passer par sa chambre depuis qu'il était sortit faire ses courses et avait croisé Amélie, renvoyait sur un moteur de recherche et quelques onglets de favoris qui ne permettaient pas à Senestra de s'alarmer sur une quelconque découverte de la jeune femme.

« Eh bien euh ... bienvenue dans mon chez moi. C'est un peu impersonnel, mais au moins c'est assez simple pour moi. »

Ayant finit son rangement éclair et posé un rapide regard à l'écran pour être sur qu'il n'y ai rien qu'Amélie puisse découvrir de gênant, tel un site pornographique encore ouvert, ou encore ses obscures sites d'amateurs d'idol japonaise, il s'arrêta un peu et alla prendre une bouteille d'eau sur son bureau, avant d'en boire un peu, s'humectant une gorge de plus en plus sèche. Il ne le montrait pas mais ... d'inviter quelqu'un dans sa chambre était presque un tabou qu'il était en train de briser, lentement, qui plus est en compagnie d'une jeune femme qu'il venait à peine de rencontrer mais qu'il appréciait énormément. Dans le fond, il tremblait un petit peu, sa gorge était sèche, et la gêne teignait ses joues d'un légers rose qui serait perceptible par quelqu'un cherchant à découvrir l'état du jeune homme. En tout cas, sa fébrilité ne devait surement avoir d'égal que l'impression de malaise d'Amélie de se faire inviter dans la chambre d'un lycéen qu'elle ne connaissait que depuis quelques heures, alors autant faire bonne figure et la rassurer plutôt que de rester sur ses propres soucis.

« Est-ce que tu veux boire quelque chose ? Ou est-ce que tu as des questions ? Enfin bon, je veux dire... j'espère qu'être ici ne te déranges pas trop. »

Aaaah la franchise ...

54
Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: jeudi 12 février 2015, 11:56:10 »
Pour être tout à fait honnête, le jeune homme avait eut un peu peur rien qu'à l'idée de lui proposer de remonter dans l'appartement qu'elle avait quittée en furie quelques minutes plus tôt, espérant que ce genre de proposition ne vienne par ré-activer le "coté obscure" de la demoiselle pour l'amener à lui hurler dessus à nouveau afin de s'esquiver pour ne plus revenir. Pour l'instant, elle ne semblait pas vouloir l'atomiser, ni n'avait apparemment une remontée d'instincts meurtriers à son encontre, mais c'était bien malgré lui que Senestra se sentait tendu, et il espérait, priait même les kamis pour que ceux-ci exauce son souhait de voir la belle Amélie accepter son offre et le suivre pour remonter les escaliers qui menaient au lieu de vie du samaritain et de l'hystérique. Son coeur s'arrêta d'ailleurs de battre quand elle quitta la douce étreinte de ses bras, et il s'imaginait déjà la regarder partir sans pouvoir dire quoi que ce soit en retour, mais bien heureusement la voix délicate d'Amélie vint étouffer son angoisse :

« Sûrement, oui... »

Il retint un soupir exprimant son contentement de ne pas la voir partir, et observa encore une fois le comportement un peu gêné de la demoiselle, celle-ci étant à la fois si mignonne et attendrissante dés qu'elle cessait de chercher des raisons à tout pour agir naturellement. S'il ne tenait qu'à lui d'en faire le choix, il serait déjà revenu la prendre dans ses bras mais pour le coup, il préfère la laisser un tant soit peu libre, étant donné qu'elle n'avait pas du se séparer de son contact sans raisons, et qu'il n'était pas vraiment dans la nature du jeune homme de se faire plus insistant qu'il ne le faut. Il préfère attendre patiemment les quelques secondes où la belle demoiselle réfléchit, n'attendant toutefois qu'une chose, de l'avoir à nouveau à ses cotés pour pouvoir profiter d'une tendre et délicate étreinte.

« Mais tu as raison... Nous serons mieux chez toi...
 -  Allons-y du coup
 -  Tu... Euh... Si tu es sûr que ta sœur ne va pas vouloir me dévorer toute crue... Je te suis... Moi et mes baisers magiques. »

Il se retourne un instant pour la regarder, puis retient un petit rire en imaginant en effet la réaction de Dextra face au retour d'une Amélie collée à son frère adoré, la voyant bien retourner l'intégralité de l'appartement sous la colère pour finalement bouder dans un coin de la maison. En somme, rien de bien grave aux yeux du jeune homme, qui préfère encore subir une autre des monstrueuses colères de sa soeur plutôt que de laisser sa belle demoiselle ici, au beau milieu du hall, seule avec sa timidité dévoilée et son manque d'aisance pour échanger avec autrui sans perdre le contrôle de ses sentiments. Choisissant même de faire plus que cela, il se dirige vers elle doucement, le rouge revenant faire une jolie apparition sur ses joues alors qu'il se convainc intérieurement que cela devrais faire plaisir à Amélie, et il prends délicatement sa main dans la sienne, appréciant la chaleur de celle-ci et la douceur de sa peau.

« Très honnêtement ... Elle voudra te faire griller à la broche je crois, mais vu qu'elle est partie boudée dans sa chambre, nous avons bien deux bonnes heures rien qu'à nous deux sans risque que tu ne te fasses atomisée... Après je te protégerais... Toi et tes baisers magiques. »

Et il l'attire doucement à lui pour entamer, la marche, montant peu à peu les escalier en tenant doucement dans sa main celle d'Amélie, toujours un doux et franc sourire sur le visage. Pour lui, dans le fond, rien ne saurait désormais détruire sa joie, à part peut-être la disparition pure et simple de la sdf dans l'instant qui suit, mais à moins de vivre dans un film d'horreur, ou dans un anime tire-larme, il voyait mal comment une telle situation pouvait se déroulée. Une fois au palier de son étage, il se tourne vers son appartement, porte toujours grande ouverte vu qu'il est partit sans fermer quoi que ce soit, à cause du caractère un peu urgent de sa descente de repêchage de jeune demoiselle émotive, et fait une moue ironique en se disant qu'il devrait peut-être faire un peu plus gaffe la prochaine fois, même si Dextra se trouvait à l'intérieur. Il rentre et ferme derrière lui tranquillement une fois qu'Amélie est passée, avant de s'adresser à elle avec tendresse :

« Bon, si tu ne veux pas mourir, tu n'entres pas dans la pièce à ma droite, Dextra s'y est recluse juste avant que je ne dévale les escaliers pour te rejoindre. Sinon ... eh bien il y a le salon ou ma chambre, comme tu veux. »

55
Les alentours de la ville / Re : Hotomiiiii-chaaaaan <3 (Pv Akua Hotomi)
« le: mercredi 11 février 2015, 20:19:56 »
Il venait tout juste de s'asseoir que les membres du groupe de la rose noir s'approchait déjà, apparemment sa venue signalant le début de la rencontre entre fans et artistes, pour le plus grand bonheur de chacun, il n'en doutait pas. Un poil en retrait pour l'instant, il observait l'incroyable beauté d'Akua, n'osant pas vraiment croire qu'il se trouvait dans la même pièce qu'elle, et c'est avec un doux sourire un peu niais qu'il se perdit à la contempler, avant de rougir face à son action et de détourner son regard, observant dés lors le sourire malin et amusé de son comparses de forum, Malo, ayant bien vu le comportement de son collègue et rival. Ronchonnant un peu, Dextra détourna le regard une nouvelle fois dans l'autre sens, tombant ce coup-ci sur la jeune fille un peu à cran, qui elle, semblait tout autant exalté que son homologue masculin, rêvant surement déjà de sa rencontre personnelle avec Sue, plutôt que de son temps en compagnie du groupe entier où elle se devait surement de contenir ses envies d'aller sauter sur le corps de sa ravissante idole.

 -  On n’a pas besoin de se présenté, mais la politesse le veux quand même. Nous sommes les Roses Noires et somme ravie de vous recevoir tous les trois. Comme prévue on commence par une rencontre tous ensemble et ensuite chacune de nous recevra son fan en privé. C’est donc le moment de profité du groupe pour poser vos questions aux autres membres.
 -  Oh Sue soit pas si sérieuse, ça ne te vas pas. On est là pour s’amuser et faire connaissance, pas pour se prendre la tête avec des règles, pas vrai June ?
 -  Bien sûr, mais faut pas non plus faire n’importe quoi. Vous vous voulez bien vous présentez tous les trois ? Puis posez vos questions sans gènes, on se fera un plaisir d’y répondre.

Il se serait bien mis à parler, comme Malo dans le fond, mais ils furent tout deux prit de vitesse par l'élégante demoiselle à leur cotés, la jeune femme semblant clairement ne pas vouloir se laisser prendre la vedette par les deux autres fans choisis par le groupe. si l'un de fit pas de mine à ce moment là, ne trouvant rien de gênant à ce que ce soit la fameuse Frida qui commence les présentation, Malo lui fit un peu plus la tête, ne trouvant pas vraiment la façon de faire de la jeune femme acceptable. Qu'elle attende au moins qu'on lui laisse la parole plutôt que de sauter sur l'occasion sitôt la demande faites par June, au moins ça aurait eut l'air un peu plus poli de sa part ! Rah il aimait pas ça.

 -  Je m’appel Frida et je suis Fan à mort de Sue, tu as une voix qui en égale aucune autre. Je suis moi-même chanteuse, mais je n’ai même pas un dixième de ton talent. Ma première question c’est, est-ce que c’est vrai que tu es attirée par les filles ?
 -  C’est tout à fait vrai, mais sache que je m’intéresse au homme aussi. Les deux sans distinctions. Belle entrée en matière aller à toi présente toi.

Oui la bonne humeur venait d'arriver d'un coup dans le groupe, mais malgré tout il y en avait un qui ne pouvait se permettre de regarder Akua dans les yeux après une telle demande, les joues rougies par ce qui lui avait traversé l'esprit quand la jeune fille avait parlé de l'intérêt sexuel de son idole. Les suites de pensées ont le don de mettre quelqu'un mal à l'aise, le pauvre Senestra ayant commencé par imaginer Frida et Sue ensemble, puis lentement remplacer cette image par celle d'Akua accompagnée de la sienne, la réaction immédiate étant un clair et franc sourire sur son visage, puis une gêne monstrueuse alors qu'il avait baissé la tête pour regarder entre ses mains. Il se demandait sur le coup si elle avait remarquée sa réaction, espérant qu'elle ne le traduirait pas mal, et en tendant l'oreille il entend du coup son camarade masculin inspirer doucement avant de prendre lui même la parole, suivant l'invitation de Sue :

 -  Je me présentes, Akira Darito, connu sous le pseudo Mal-aux-Tofs, et je suis un fan inconsidéré de June. Je ne sais comment l'expliquer contrairement à Frida, surement est-ce que j'adore la voir sur scène, avec son énergie et son rythme propre à elle. Niveau question je me demandais quelque chose depuis longtemps, mais... June, tu ne serais pas Escroc-Girl ?

Il ne fait presque pas attention à la réponse qu'on leur offre, alors qu'il aurait pourtant surement apprécié de connaitre que sa chère demoiselle du forum était aussi la charmante June, mais perdu dans des pensées, ce n'est que lorsque qu'il entend à nouveau son nom qu'on le tire de sa gêne. Dans le fond il ne savait même pas ce qu'il allait dire pour le coup, mais dans le fond un simple regard sur la terriblement attirante Akua le remit d'aplomb, l'obligeant à se redresser pour le coup pour finalement faire mine de réfléchir à sa réponse, et aussi à sa question pour le coup. Finalement il trouve quelque chose qui semble lui plaire, et c'est avec un doux sourire qu'il se met finalement à parler, passant peu à peu sur chaque membre de ce petit groupe de rencontre fans-idoles.

 -  Eh bien, je m’appelles Senestra, et sous mon pseudo, Hégion. Ce n'est pas une surprise pour certain, je suis incroyablement fan d'Akua, plus je passe du temps à l'observer et plus je suis sous son charme, au point que certains me taquinent sur cela. Ma question, eh bien, j'aimerais savoir, avez-vous prévu quoi que ce soit pour nous une fois que vous serez seules avec votre fan propre ? Si oui on peut savoir quoi ?

La jolie question de curieux impatient...

56
Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: lundi 09 février 2015, 17:31:17 »
Le jeune homme ne savait plus vraiment quoi penser d'Amélie, quoi penser tout court en faite... Plus le temps passait, et plus le fonctionnement surprenant de la jeune fille ne cessait de venir l'attaquer par revers, dans ses angles morts, pour le rendre à la fois plus fébrile et plus tendre envers elle. Si un peu plus tôt il avait d'ailleurs sentit que sa tendresse l'avait durement vexée, lui donnant ainsi envie de partir pour ne plus jamais revenir, il ne comprenait pas comment cette même gentillesse avait sut la toucher pour le coup et la ramener à lui, encore plus proche que plus tôt, dépassant le stade d'amitié que le jeune homme avait cherché à instaurer entre eux pour qu'elle se sentes bien. Puis il y avait eut ces lèvres, et le lycéen ne savait même plus si il avait vraiment voulue s'en faire une amie, et pas plus que cela, dés la première vision, mais il doutait n'avoir put la moindre fois penser à une telle chose, elle contre lui, et un doux baiser partagé, non il n'en avait dans le fond pas la moindre idée.

« Oh... Des cerises... Je le prends comme un compliment...
 -  Ce ... c'en est un ! J'espères pas maladroit... »

Elle l'attire à elle et le pousse contre les boîtes aux lettres, le bloquant de telle manière qu'il ne peut définitivement plus lui échapper, de quelques manières que ce soit, si encore il en avait le désir, car il doutait ne vouloir jamais quitter cette douce et étrange étreinte qu'ils partageaient. Il fut d'ailleurs un peu ébranler en sentant la douce et agréable poitrine de la femme venir se presser contre son torse, chaud contact qui naturellement ne peut laisser un jeune homme indifférent, mais qui ici marchait si bien sur Senestra qu'il déglutit un peu instinctivement, sans se douter de la visibilité flagrante d'une telle réaction face à ce comportement. Bon il faut dire que la jeune fille avait aussi percée l'intégralité des défenses du garçon, et qu'ainsi il se retrouvait presque nue émotionnellement parlant face à elle, si troublante et attirante qu'elle est. Et encore, il fallait parler de sa manière à serrer ses vêtements entre ses doigts, les martyrisant un peu de sa petite poigne exprimant son désir qu'il n'aille pas plus loin, qu'il reste auprès d'elle. Son coeur se serrait rien qu'à cette idée.

« Tu aimes mes lèvres, hein ? J’ai remarqué combien tu les fixais... À chaque fois que je les pinçais avec mes dents...
 -  Je... Je te l'ai dis non, quand nous nous sommes rencontrés... Tu... es si mignonne quand tu fais ça. Honnêtement ça ... ça me fais craquer oui. »

Avec la gêne, ses bégaiements ne s'amélioraient clairement pas, mais il faisais avec, il fallait bien qu'elle ai au moins le droit à sa réponse non ? Et puis apparemment cela ne la gênait pas trop, elle ne semblait pas s'en offusquer donc il pouvait se permettre de se manquer sur un mot ou une phrase, ça n'allait pas pour autant être la mort. Il la sentit tirer sur son haut mais ne comprit pas bien un tel message, alors il ne fit que l'enlacer, tendrement, passant ses bras autour de la taille d'Amélie, ayant complètement oublié qu'ils étaient tout les deux dans une cage d'escalier et que le moindre résidents de l'immeuble y passant aurait le droit de contempler ce doux rapprochement entre les deux adolescents, et de le juger d'une manière plus ou moins adéquate. Dans le fond tout ce qui comptait pour le moment c'est qu'Amélie soit contre lui, et qu'il arrive à la rendre heureuse pour le coup.

« Je pourrais encore te rouler des pelles pendant des heures, mais j’ai peur que Dextra voit rouge... Je crois qu’elle adorerait t’embrasser, elle aussi...
 -  Eh bien... Tu sais, elle voit toujours un peu rouge et... Et nous sommes frère et soeur donc... »

La façon dont il en parlait prouvait qu'il en savait un peu plus, rien que la justification de frère et soeur étant en soit une réponse pour Amélie, qui pouvait comprendre que le jeune homme savait très bien, et ce depuis un moment, que sa soeur avait un faible particulier pour lui. Dans le fond, il savait même jusqu'où ce faible allait grâce à Inuko, une succube qui s'était fait plus qu'invitante avec le couple, et qui depuis avait eut le fâcheuse tendance de revenir les voir pour les provoquer de manières plus ou moins détournée. Et si ce qui avait été déclenché par la démone avait rendu les désirs et la volonté de Dextra d'autant plus forte, elle avait aussi officié sur le frère comme une sorte de claque joliment placée derrière la tête, lui faisant comprendre que non, sa soeur restait sa soeur, et que même si celle-ci était amoureuse de lui, il ne comptait pas répondre à ses attentes. Une même nuit mais deux choix parfaitement différent, et ce qu'il se passait actuellement en était un résultat flagrant.

« Moi et Dex ne voyons pas les choses de la même manières... C'est aussi simple que ça... Et ... si il te faut une réponse concrète... »

Il vient relever le menton de la belle doucement et l'embrasse alors tendrement. La différence par rapport au premier ? Ce coup-ci il ne veut pas que la gêne empiète sur ce qu'il veut répondre à Amélie, décidant de l'embrasser vraiment, pas de manière insistante, pas de manière forcée, mais de l'embrasser autant de temps qu'il sent la demoiselle vouloir l'embrasser. Il prolonge, goûte à ses lèvres avec délices alors qu'il la sert d'autant plus contre lui, dans un élan de passion et de tendresse toute propre à cet homme aussi emporté qu'innocent, et finit par se séparer d'elle un peu à contre-coeur, même si espérant revoir dans ses mots et son regards la douce envie qu'elle a d'être avec lui.

« Em...Embrasses moi... autant que tu veux... Je... J'en serais très heureux... personnellement... »

Détournant le regard, gênée de ce qu'il vient de dire avec honnêteté, il tombe sur les escaliers et fais la moue avant de regarder Amélie et d'oser une demande qui pourrait peut-être changer les choses, mais qu'il se devra bien de demander à un moment ou un autre :

« Mais avant... veux-tu... veux-tu remonter ? Ce ... Ce serait surement plus confortable... et moins voyant... que dans le hall d'entrée... »

57
Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: mercredi 04 février 2015, 15:19:49 »
Senestra... est un jeune homme de passion. Pour lui, contrairement à beaucoup d'autres personnes, ce qu'il pensait juste ou injuste était profondément ancré en lui, et ainsi il agissait toujours de manière un peu "extrême", selon qu'il se sentait coupable de son comportement, ou obligé d'agir pour diverses raisons, quelles qu'elle soit. Le connaître un tout petit peu voulait presque dire le connaître parfaitement, parce qu'il devenait très facile de comprendre ce qu'il allait faire dés lors que l'on remarquait chez lui ce besoin d'être quelqu'un d'irréprochable, de juste, de "bon". Couplé à son innocence, cela rendait le jeune homme quasiment surréel sur certain point, et ce qu'Amélie devait être en train de remarquer n'était qu'un exemple concret de ce que le lycéen était : un jeune homme dont la vie même était tournée vers le bonheur de ceux qu'il rencontrait, même si ceux ci pouvaient être vu  comme mauvais, où à défaut, blessant face à cette bonté.

Il était un bon samaritain, même si il l'avait renié quand la jeune fille lui en avait parlé dans la rue, plus tôt dans la journée, et là, dans cette cage d'escalier, avec la jeune fille entre ses bras et lui qui était tout à fait incapable d'accepter qu'il ait put lui faire du mal, c'était tellement flagrant que ça en devenait quasiment ridicule. Mais lui ne s'en rendait pas compte, il voulait juste qu'Amélie soit bien, qu'elle soit heureuse, qu'elle ne partes pas dans l'instant avec cette envie d'en vouloir à ceux qui n'étaient pas comme elle. Cette demoiselle, avec sa main placée sur son torse, qu'il avait imaginé le repousser instantanément sitôt ses bras passés autour de son corps, était actuellement celle vers qui toutes les douces et chaleureuses pensées du jeune homme étaient tournées, et nombreux aurait été ceux déduisant que l'adolescent essayait de charmer la jeune fille par quelques douces manières... Sauf qu'il fallait se rendre à l'évidence, avec de telles pensées, cela ferait longtemps qu'Amélie l'aurait rejeté.

Quand il l'observa, il vit un sourire, délicat, charmant, et il ne put se préparer à ce qui allait suivre, cette simple expression sur le visage d'Amélie lui faisant chaud au coeur :

« Senestra... Tu parles trop.
 -  Comment ça...? »

Il sent la poigne de la jeune fille se raffermir sur son haut, le tirer à elle, l'empêchait de bouger tandis que ce simple petit geste vint faire battre son coeur un peu plus rapidement, comme s'il présentait quelque chose d'anormal dans le comportement d'Amélie. Il ne savait pas du tout ce qu'elle comptait faire, n'avait absolument aucune idée de ce que cette demoiselle pouvait penser sur l'instant, et quand il la vit se rapprocher, la possibilité qu'elle soit en train de le taquiner était bien plus forte dans l'esprit de Senestra que quoi que ce soit d'autre. Mais rien de tout cela, il sentit soudainement l'emprise des lèvres de la jeune femme sur les siennes, la tendresse charnue de sa bouche venant rencontrer son visage aussi subitement que de manière inattendue, prenant le lycéen de court. Il ne comprenait pas, ne comprenait plus rien alors que son coeur partit à cent à l'heure, son visage virant au cramoisi le plus total.

Il perdit la notion du temps, ses pensées étaient vides, et avant même de se rendre compte de ce qu'il s'était déroulé, ils s'étaient séparés l'un de l'autre, le jeune homme finissant contre une des rangées de boîtes aux lettres qui tapissaient l'entrée de l'immeuble, le goût délicieux et sucré des lèvres d'Amélie sur es siennes. Hébété, perdu, il voit la belle demoiselle devant lui, apparemment heureuse, joyeuse, dans une position que l'on pourrait qualifier de mignonne, l'observer en se délectant surement de son tour, les joues de l'homme ne perdant pas de leur couleurs de cerises bien mûres.

« Tes lèvres me font penser à une pêche... Et les miennes ? Je me suis toujours dit qu’elle savaient le goût de fraise...
 -  Je... elles ... tu ..., il respire un bon coup avant de reprendre, n'arrivant pas à faire sortir les mots de sa bouche. Elles sont ... délicieuses, mais... j'étais tellement surpris que je ... je n'ai pas put les apprécier autant que je l'aurais désiré... »

Incapable de mentir, incapable de faire semblant, il faudrait être le dernier des abrutis pour ne pas voir l'état dans lequel elle venait de mettre le jeune homme, clairement pas habitué à ce genre d'attention de la part d'autrui, et d'autant plus troublé qu'il s'agit de la personne qu'il souhaitait rendre heureuse aujourd'hui. Il ne pouvait pas s'y faire, ce goût sur ses lèvres qui l'appelait encore et encore à oublier son comportement de jeune homme droit et honnête, pour retourner directement auprès d'Amélie afin d'en reprendre un autre, qu'il dirigerait ce coup-ci comme une réponse au doux jeu de la jeune fille. Mais il était ... fébrile, paralysé, son coeur battant à cent à l'heure comme pour lui faire comprendre que si il commence sur cette voie il ne parviendra plus à s'arrêter, sans parler de sa peur de froisser la jeune fille, alors même qu'elle est la première à avoir fait ce pas. Mais encore une fois, il ne sait pas mentir, même dans son comportement.

« Amélie... Peut-être que tu m'en voudra... mais... je ne peux que vouloir y goûter... à nouveau. »

Il s'approche, espérant qu'elle ne le rejette pas sur ce coup-ci, qu'il ne l'offusque pas, et se penche un peu tout en venant prendre sa joue dans le creux de sa main, délicatement. Il la regarde un court instant, puis approche son visage du sien sans mot dire, même si l'on pourrait presque croire que ses joues continuent encore de se teinter de rouge, malgré l'aspect presque impossible de cette possibilité tant le visage du jeune homme c'est paré d'un bordeaux bien révélateur. Et pourtant il parvient à maîtriser cette gêne, maîtriser ce malaise, à défaut de son coeur et de son visage, pour aller rejoindre le visage de la jeune fille, lèvres contre lèvres. Cette douceur, cette exquise sensation, ce goût léger qu'il ressent désormais qu'il n'est plus foudroyé par la surprise, c'est un tel bonheur. Ne voulant être trop insistant, il ne reste que quelques secondes, et rouvrant les yeux, il ne peux empêcher de plonger son doux regard dans celui d'Amélie, parlant tout bas sans savoir pourquoi.

« Je dirais plutôt des cerises, douces, agréables, et exquises. »

58
Les alentours de la ville / Re : Hotomiiiii-chaaaaan <3 (Pv Akua Hotomi)
« le: vendredi 30 janvier 2015, 16:26:31 »
RETAAAAAAAAAAAAAAAAAARD...

La catastrophe, l'apocalypse, le déluge, la fin du monde, les trompettes du jugement dernier en guise de réveil, et les être humains condensés du métro japonais en guise de démons infernaux ! Il était en retard bon sang, complètement en retard, à la bourre totale, en mode levé du pied gauche, même pas coiffé, le col désengagé, l'air encore à moitié endormi malgré l'odeur rance d'un vieux poivrot assit à quatre sièges de lui, et en train de se demander pourquoi le monde avait voulu qu'il se retrouve en retard le beau jour où il avait l'insigne occasion de rencontrer la magnifique Akua. Bon sang, un peu plus et il pourrait s'imaginer que sa soeur avait elle même éteint son réveil durant la nuit pour qu'il n'aille pas à ce charmant rendez-vous, mais bien sur ça, ça ne devait apparaître dans sa tête que parce qu'il était de mauvaise humeur ce matin... cet après-midi...

L'arrêt, enfin, il déboule du wagon pour courir vers la sortie, et se prend les portes directement, ayant oublié de faire passer son ticket pour régler le coût du trajet. Se relevant en se massant le nez, le voilà qui sort le dit bout de papier rigide de sa poche, et le fait passer par la machine afin de déverrouiller la sorti, et de reprendre sa course effrénée dans les rues de la ville, espérant arriver le moins en retard possible malgré le premier quart d'heure passé depuis l'horaire de la rencontre. S'arrêtant de justesse tandis que le feu d'un carrefour passe au vert, il en profite pour se regarder rapidement dans la vitrine d'un magasin et remarque son état déplorable. Il prends du coups quelques secondes pour remettre le col de sa chemise dans le bon sens et se claque les joues pour se réveiller, avant de repartir à toute vitesse, les cheveux toujours en bataille.

Le voilà enfin qui arrive, manquant un dérapage incontrôlé quand il remarque les deux armoires à glace qui occupe l'entrée du bâtiment et qui semblent l'observer avec une mine antipathique. La discussion d'ailleurs se déroule avec de simple politesse et la demande de son invitation, qu'il ne manque pas de chercher dans son sac pendant un court instant avant de la sortir, tout fier, un radieux sourire sur le visage. Une courte vérification permettra d'ailleurs de confirmer la validité de l'invitation et c'est tout fier de n'avoir que vingt minutes de retard qu'il se prépare à rentrer, à l'instant même où il se fait interrompre par une jeune fille à l'allure singulière, style gothic lolita parfaitement reproduit hormis une paire d'oreille féline sur le sommet de la tête :

 -  C’est donc toi qui à été choisi pour rencontrer Mademoiselle Akua ? Je suis Magumi, je la suit depuis ses débuts sur scène, bien avant qu’elle ait rejoins Rose Noire. J’ai la chance de la connaitre personnellement depuis le temps, je suis sa première fan. Je tiens à te féliciter, Mademoiselle Akua mérite d’être reconnue pour ses talents. Mais avant que tu ne rentres, je tiens à t’avertir. Son comportement sur scène est extravagant, son comportement en dehors l’est tout autant. Alors évite d’être trop surpris et de passer pour un abruti. Si tu es du genre trop sérieux et trop habitué aux manières traditionnelles japonaises, fait demi-tour tout de suite. Sur ce, je dois y aller, passe lui le bonjour de ma part…
 -  Euh je .... Je le ferais, bonne journée.

Elle ne s'est même pas retournée en partant alors qu'il lui donnait confirmation quand à sa demande, et c'est un peu surprit qu'il entra sans un mot dans le bâtiment, qu'il ne connaissait d'ailleurs pas le moins du monde, et qu'il observa tranquillement l'élégance du lieu ainsi que son petit coté salle de représentations qu'il pouvait juger comme parfait de ce qu'il connaissait des concerts et autres soirées à thèmes. Il fit quelques pas, sortant de l'ombre des rideaux et remarqua immédiatement la séparation entres les trois idoles qu'il voyait autour d'une table un peu plus loin, et la table des invités, placée près du bar, bien en vue, et possédant déjà deux fans qui devait surement être un poil sur les nerfs d'avoir à attendre à cause du retard d'un troisième fan surement "trop peu dévoué" à leurs goûts. D'ailleurs ça ne manqua pas :

 -  Ah enfin te voilà ? C’est toi au moins qu’on attend ? J’en ai marre moi, elles sont là devant, mais on doit attendre tout le monde pour enfin leur parler !
 -  Pardon, pardon, c'est bien moi, toutes mes excuses. J'ai eut quelques soucis sur la ligne, et vu que c'est plutôt loin de chez moi, j'ai malheureusement été retardé.

Le voilà qui s'approche et prends la dernière chaise pour s'y asseoir en pouffant de soulagement, ravi de voir que finalement, malgré son retard, ils n'avaient pas commencer sans lui et donc annihilé toutes ses chances de se retrouver en face de la merveilleuse Akua. Incapable de se retenir d'ailleurs, il jeta un petit coup d'oeil derrière son épaule pour les remarquer, les trois membres du groupes en train de rire de bon coeur ensemble pour il ne savait quels raisons. Comme Akua était belle, les autres n'étaient pas en manque non plus, mais Akua c'était juste inégalable, il était sous le charme. Finalement pour éviter de se faire remarquer, il se retourna de nouveau vers la table et se redressa lentement, oubliant qu'il avait une coupe de cheveux chaotique et qu'il aurait peut-être été avisé de penser à se recoiffer un minimum. Tant pis, il aura l'excuse d'avoir couru dans tout les sens, si on lui pose la question un peu plus tard.

 -  Bon, je connais Malo, mais qui es-tu ? Moi c'est Senestra, enchanté.

59
Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: vendredi 30 janvier 2015, 10:58:01 »
Il était là, pantelant, immobile, incapable de dire quoi que ce soit hormis ses quelques excuses, qui une fois finit le mirent dans un état de confusion, de gêne croissant, encore plus maintenant qu'Amélie les avait entendues et n'avait pour l'instant pas prononcer le moindre mot pour lui répondre. Il s'imaginait bien la voir partir sous le coup de la colère, sortir du hall et partir sans un mot pour ne plus jamais le revoir, drapée dans sa juste colère et son envie de le réduire en charpie tant il l'avait agacée. Non seulement il comprendrait un tel comportement mais en plus il ne pourrait pas l'en tenir coupable, après tout c'était bien lui qui avait fait des erreurs un peu plus tôt, aussi ne méritait-il pas vraiment de bonté pour cela, et un comportement dédaigneux serait tout à fait à même d'être la juste réaction face à ce qu'il avait fait, que ceci fut involontaire ou non.

Pourtant elle se retourna vers lui, lentement certes, mais elle finit par se dresser face à lui, un peu plus bas, et c'est par une grande politesse que le jeune homme descendit les dernières marches pour qu'elle n'ai pas à se tordre le cou pour pouvoir s'adresser à lui, ou pour lui en mettre une violente en pleine joue pour lui rappeler un peu ses sottises. Il supposait cela comme probable étant donner la tension dont ses mains étaient animées, les deux réduites à des poings aux jointures blanchies tant elle les serrait, et le jeune homme hésita presque à ne pas se laisser atteindre par le coup dans le cas où la colère serait trop insupportable pour la jeune fille et qu'elle ait besoin de se défouler sur lui. Encore une fois, ce qui se produisit fut bien différent de ce à quoi le jeune homme s'était préparé, Amélie répondant enfin après un énième soupir.

« Ce n’est pas toi, Senestra... Tu n’as rien fait de mal, sombre nigaud... C’est... C’est moi...
 -  Toi ... Amélie, non... voyons. »

Ses pensées se mélangeaient et il ne savait vraiment pas quoi répondre, quoi qu'il fasse pour imaginer une manière de lui faire comprendre qu'elle n'avait pas à se rejeter la faute de quelques manières que ce soit. Dans toute cette histoire elle était surement celle qui se trouvait la plus mal, et Senestra était de ceux qui savait que c'est toujours le parti le plus blessé qui méritait des excuses. Il ne pouvait pas penser qu'elle soit coupable, plus encore, il ne pouvait même pas le concevoir, et en ce sens le terme de sombre nigaud lui convenait parfaitement : Il était un idiot qui, par sa bêtise, avait provoqué bien plus de douleur chez Amélie que ce qu'il voulait originellement lui apporter, à savoir du bonheur. Pourtant, malgré tout cela, elle se rejetait la faute, considérait que des deux membres en présences dans ce hall silencieux, elle était la fautive... Que pouvait-il faire contre tant de gentillesse ?

« Je... J’aurais pas dû m’emporter comme ça. Alors... C’est à moi d’être désolée, Senestra... Pas à toi.
 -  Tu ... es bien trop douce avec moi... Je t'ai fais du mal, c'est évident... et pourtant... »

Ses mots moururent dans sa gorge alors qu'il la regardait, toute proche de lui, revoyant à nouveau cette habitude si touchante qu'elle avait de se mordiller la lèvre quand elle était gênée, faisant rebondir son coeur dans sa poitrine avec la vitesse d'une bille de flipper. Pourquoi était-elle aussi tendre avec lui, ça n'avait absolument aucun sens ! Il fallait qu'elle soit en colère, il se devait qu'elle soit en colère, et pourtant loin de tout cela, elle était surement plus douce actuellement qu'elle ne l'avait jamais été de toute leur rencontre, au moment même où le jeune homme aurait préféré qu'elle vide son sac sur lui pour qu'elle se sentes mieux. Quand il sentit ses mains sur ses épaules, ses lèvres sur sa joues, les joues du jeune homme s'embrasèrent d'un rouge profond, et c'est en tremblotant qu'il l'observa, interdit, écoutant ses mots avec un air complètement... perdu.

« Tu es un garçon adorable, Senestra... Je t’en prie, ne change jamais.
 - Adorable ou pas... Je n'ai pas réussi à te rendre heureuse tandis que tu était chez moi... et je m'en veux profondément pour ça. »

Juste à coté de lui, la chaude présence d'Amélie le rendait de plus en plus timide, encore plus maintenant qu'elle venait de lui offrir cette simple bise. Comme il l'avait dit plus tôt, les occasions de rencontrer autrui était restée rare pour le jeune homme, et ainsi il n'avait quasiment jamais eut le droit à ce genre de petites attentions, certes innocentes, mais qui suffisait du coup amplement à toucher le jeune homme. Observant la demoiselle avec une gêne toute simple, il mit un peu de temps avant de réussir à diminuer un peu la vitesse des battements de son coeur, et par la même les jolies rougeurs qui teintaient ses joues, cela avant de chercher quelque choses à dire pour ne pas laisser la jeune fille dans un dérangeant silence. Les idées ne furent pas nombreuses, et toutes laissèrent au jeune homme l'impression de risquer de froisser à nouveau Amélie, à son plus grand déplaisir.

« Tu sais, je... J'aimerais vraiment faire quelque chose pour que tu ne partes pas sur un coup de tête parce que j'ai été le plus maladroit des abrutis. Tu n'es pas fautive et tu ne méritait pas non plus de subir ma bêtise... »

Il reste interdit un moment, puis sans un autre mot attrape légèrement Amélie et vient la serrer contre lui sans l'y obliger, ne forçant pas un seule instant pour qu'elle vienne contre son tors. C'est, en plus, avec une délicatesse marquante qu'il vient doucement lui embrasser le front, dans un symbolisme qui n'atteindra peut-être pas la jeune femme, mais qui au moins aura valeur d'exprimer les bonnes intentions de Senestra à son encontre, puis qu'il se prononce enfin une dernière fois, ayant tout le mal du monde à s'exprimer désormais qu'il s'est permit autant de proximité envers la belle étrangère :

« J'aimerais que tu puisses rester mais... je n'ai aucun droit de t'y obliger... Surtout si tu ne te sens pas bien ici. Mais je veux te dire que... si tu en as besoin... ou peut-être envie... n'hésites jamais à repasser. »

Puis, beaucoup plus bas, d'une voix mal assurée.

« Et que... si tu veux rester encore un peu... je serais ravi. »

60
Prélude / Re : Kota • GENRE VENEZ VOIR MA FABULOUS FICHE ♥ [ValiSUPERgay]
« le: mercredi 28 janvier 2015, 10:04:24 »
Bienvenue charmant jeune homme ^^
Comme tu es mignon !

 -  Euh, je me sens pas près pour le faire avec un homme... Dextra ?
 -  C'pas parce que j'ai plus de couille que toi que je suis un homme petit frère !
 -  Tant pis ...

Pages: 1 2 3 [4] 5 6 ... 12