Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Arpenteur

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"Ne sous-estimez point nos mages et nos archers... Cela pourrait être fatal."
-Bien parlé Yuki!

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... Les esclaves y'en a partout pas qu'à Ashnard crois moi ^^

Et je viens de voir le s qui s'est glissé après le de ... c'est donc l'emblème "de Nobunaga" que j'avais marqué, ce qui justifie pourquoi je n'ai pas usé le nom de famille ^^

Et rien à FOUTRE ! Acte de barbarisme, mineur avec grosse épée ou non mais moi je dis : AU BÛCHER ! Et je ne vois pas comment des nobles peuvent acce^pter un tel geste avec un réel code de l'honneur ! A moins qu'ils aient tous peur de l'anti-héros, et dans ce cas là c'est un règne par la terreur !

AAaaaah un mauvais règne pour un mauvais règne ! Bouh tuez le !
Aaaaah

N'assassinat ! Meurs pourriture communiste !

C'est pas un règne par la terreur.
Si Fargus s'est énervé c'est parce qu'on a menacé ses amis.

Les nobles ont un code de l'honneur, mais si Fargus leur a tous appris une chose, c'est la limite entre le légal et le légitime. Fargus est un homme simple. Tu menace mes amis, tu fais face aux conséquences. Il est honnête par rapport à tout ses sentiments, et lorsque les nobles commencent à tenter de lui expliquer, il passe par un chemin de pensée qui leur est totalement étranger. Donc ils baissent les bras, soupirent d'un air presque attendri et se contentent de se dire que "C'est Fargus".
Non, aucune larme pour le messager ou sa famille.

Sur le thème des esclaves ailleurs, ça, ils verront quand ils auront le temps. Déjà y a Ashnard à repousser.

Quelques bouseux en armure ne font pas un empire. Et la Vapeur ayant quelques intérêts en Sylvandell, je me sentirai obligé d'intervenir. Tenez votre rang, paysans, Et laissez les puissants gérer ce monde.
Fargus fait craquer ses muscles. "On se verra sur le champ de bataille!"
-Bien dit Fargus! Yukimaru et moi ne les laisserons pas passer!
Yukimaru se contente de sourire.
-Nin-nin! Ne m'oubliez pas! J'irais visiter leur commandeurs...
-...Et moi je les arroserais de shuriken! Rien ne passera! Ninja style!
Fumiko et Ryouma serrent leur poings, toutes les deux d'un air de défi.
Lana et Rizna tentent de calmer le jeu...
-Les amis... Calmons nous...
-Oui! Regardez, j'ai fait du gâteau!
Et Yuuko sirote tranquilement son thé, un sourire paisible sur le visage.
Peut-être seront-ils écrasé sous le poids des assaillants, mais rien que pour ces instants, l'aventure valait la peine.

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Bon dieu, et c'est un type avec l'emblème des Nobunaga qui envoies un tel message !
BLASPHEME, OUTRAGE, LAISSEZ MOI LUI CREVER LES YEUX !

- Du calme Balth'

"hum hum" Alors nous allons avoir un cours rapide d'histoire : Couper la tête d'un messager n'est pas une injure politique, c'est tout simplement un comportement tout à fait ignoble, considéré en temps de guerre comme la dernière des barbaries.
Un seigneur qui tuait un messager était considéré comme profondément immonde et malhonnête, perdant généralement plusieurs de ses vassaux dans l'actions qui choisissaient d'abandonner leur loyauté envers un tel monstre.

Emprisonner un messager, d'accord. Le tuer c'est ... AAaaaaah

DONNEZ MOI UNE TRONÇONNEUSE !

Ahem.
Je sais tout ça, mais ce n'est pas aussi simple que ça.
Fargus n'est PAS un noble. Il s'est énervé et a planté son épée dans le bide du messager.

Les nobles de l'assemblée, d'abord choqués ont ensuite, après réflexion, approuvé le geste (Yuuko la première, étrangement) parce qu'ils considèrent que ce genre d'écart est bien plus doux que ce qui est réservé aux esclaves du régime d'Ashnard. C'est là que se trouve l'injure.

Ensuite, on est pas réellement au Japon mais à Terra. Les mentalités sont différentes, surtout dans une province qui a été unifié par un mineur qui a une grosse épée.

Enfin, ici, je prends l’emblème de la famille Oda (et non Nobunaga, je me permet de te rappeler que Nobunaga est le prénom du célèbre conquérant et non son nom de famille) pour deux raisons. La première est que je le trouve cool, la seconde c'est que c'est sous cette bannière que se bat Rance dans Sengoku Rance, ce qui rejoint la première raison.

Bah, si ça l'amuse de décapiter des pigeons voyageurs, c'est son problème :) On essaie d'impressionner comme on peut quand on a de faibles moyens.
Nous verrons ^^

Si l'un ou l'autre des deux royaumes qui sont en train de se déclarer la guerre a besoin d'engager des mercenaires, je serai ravie de leur proposer mes services.
Avec plaisir.
Je te vois bien dans une unité de guerriers avec Attaque Frontale (250% de dégâts mais plus forts dégâts de contre-attaque subis).

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Je m'disais bien aussi, que je reconnaissais les images de jeu vidéo ! C'est comme si tu signais, on sait tout de suite que c'est toi.

Rebienvenue à ...euh...toute la cité ? Enfin bref bienvenue !

C'pas vrai!

Armand il a des images d'Anime, d'abord!

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Petite note: je n'ai pas pris les noms originaux des persos parce que j'ai changé plusieurs choses quant à leur personnalités et leur histoire.

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Les contrées du Chaos / Re : Une trop grosse plante [Arpenteur]
« le: dimanche 27 avril 2014, 07:16:16 »
"Ivy..."

L'Arpenteur répéta le nom, comme pour le goûter. Ce n'était pas un nom commun... Il venait de loin, de très loin, et cela ajouta au charme de la femme qui se tenait face à lui. Maintenant elle avait une histoire à lui raconter, et l'Arpenteur aimait les histoires.
Il se tenait droit face à elle. Il avait étudié sa pose pour que le lever du soleil éclate juste derrière lui, éblouissant Ivy et l'entourant d'une sorte d'aura éclatante.
L'Arpenteur aimait aussi se donner en spectacle.

"Que me veux-tu, Arpenteur ?"dit elle, ses lèvres pulpeuses s'animant avec une sensualité qui avait quelque chose de terriblement toxique. "Les hommes armés ne sont pas les bienvenus dans mon sanctuaire."

-Un combat" répondit-il, d'un ton très simple. "J'ai entendu parler de ce que tu avais fait à ses esclavagistes, et crois moi, c’aurait été moi, ils n'auraient pas eus un sort plus doux. Mais cela m’emmène à l'idée que pour te débarrasser seule de toute une bande de mercenaires... Tu dois être redoutable."

Il fit une pose, souriant. Il s'approcha d'elle, sans aucune mauvaise intention, ignorant complètement les ronces qui se rapprochaient de lui.

"Je suis donc venu avec la très humble requête d'un duel. Dansons, Ivy, je vis pour rencontrer des adversaires toujours plus puissants." Il s'arrêta de nouveau. "Si tu gagnes, tu pourra faire ce que tu veux avec moi. Me tuer, m'asservir, tu aura gagné tout droit sur moi. Si je gagne..." Il eut un autre sourire, plus large, plus éloquent, alors que ses yeux suivaient les courbes vertigineuses du corps de la jeune fille, puis un sourire paisible revint sur ses lèvres. Il se retourna vers le magnifique paysage derrière lui.
"Oui... C'est un paysage qui mériterait que j'y reste. Le voyage valait le coup rien qu'avec ça."

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Les contrées du Chaos / Re : Une trop grosse plante [Arpenteur]
« le: samedi 26 avril 2014, 11:03:18 »
L'Arpenteur n’écoutait plus les gémissement de l'homme nu, dont il lâcha la corde pour le laisser s'enfuir. Il était perdu dans la contemplation du décor onirique qui lui faisait face. Les étoiles brillaient encore de leur éclat timide alors que la clarté du soleil s’étirait avec langueur de derrière les montagnes, illuminant la rosée sur les feuilles des arbres qui semblaient vouloir éblouir les étoiles a leur tour, comme des amis artistes se montrent leurs plus belles oeuvres.

Le vent se leva et fit vibrer doucement les feuilles, laissant glisser la rosée étincelante qu'il s'envola et ajoutât à l'éclat des millions d'étoiles des cieux.

Pour quelques secondes, le monde de la nuit et du jour se répondaient, comme deux amants nés sous des drapeaux ennemis, s'embrassant une dernière fois sous un pommier fleuri avant de se quitter pour rejoindre leur clan.

Puis la rosée retomba.

Il s'était assis et attendait tranquillement, aiguisant ses lames, un sourire apaisé sur ses lèvres, puis l'aube éclata de derrière les montagnes, illuminant le lac. Il se leva avec un soupir de contentement, faisant craquer ses articulations avant de rengainer ses lames, pour se retourner et saluer la dryade qui l'avait rejoint.

"Salut, fille des feuilles. Je suis l'Arpenteur."

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Les contrées du Chaos / Re : Une trop grosse plante [Arpenteur]
« le: vendredi 25 avril 2014, 07:52:03 »
L'esclavagiste en était peut être à sa troisième cuvée du soir lorsque l'Arpenteur entra dans l'auberge.
L'avantage quand on est comme lui un type qui a baigné sa vie dans l'alcool de mauvaise qualité, c'est qu'il en faut bien plus pour altérer vos sens, il se dit donc qu'il allait bien pouvoir lui refiler une donzelle ou deux, ne serais-ce que pour la nuit.

Il jaugea l'arrivant.

Svelte, mais musclé, son corps portait les marques d'un entraînement intensif, son plastron de bonne qualité avait connu de meilleur jours, et sa façon de garder ses mains fines mais agiles d'une apparente nonchalance près de ses lames en disait long sur ses compétences de guerrier.

Il avançait d'un pas rapide, assuré, et c'est avec un sourire carnassier à sa figure parcourue d'un bandeau sur l'oeil gauche qu'il commanda à manger, s'asseyant au bar juste à coté de l'esclavagiste avant d'attaquer son plat, une des immenses côtes de boeuf qui grésillait dans le barbecue.

"Eh, étranger..." commença le marchand avant d'être arrêté par la main du ronin levée juste devant son nez pendant qu'il engloutissait sa viande. Il ne l'abaissa qu'une fois le plat terminé, pour se retourner vers son interlocuteur.
"Maintenant, je suis tout à vous!" fit-il, sans se défaire de son expression de prédateur, comme s'il était venu ici pour un but bien précis et qu'il trépignait de hâte, comme un enfant.
L'esclavagiste, quelque-peu décontenancé, ne se démonta pas pour autant. Il allait vendre ce soir! Coûte que coûte! C'est donc avec une obséquiosité calculée qu'il s'adressa au potentiel client.
- Monsieur. Seriez vous intéressé par la location ou l'acquisition d'une demoiselle de compagnie? Un aventurier comme vous...

L'esclavagiste s'interrompit.
L'expression de l'autre n'avait pas changée, il souriait toujours, mais quelque-chose l’interpella.
Une lueur étrange s'était allumée dans les yeux du samouraï sans maître.
Celui-ci lui fit signe de se rapprocher, comme pour lui murmurer quelque-chose à l'oreille.
Sa seule erreur fut de faire confiance à un vagabond.
L'Arpenteur lui flanqua un coup de coude violent au creux du bide. Personne ne pu le voir (personne ne faisait attention) mais on remarqua tout de même un ivrogne roulant au bas de son tabouret puis qu'un type, peut être un ami à lui le ramassait et l'entraînait dans les chambres.

Lorsqu'il se réveilla, il était suspendu à quelque centimètres du sol par une des cordes avec lesquelles il aimait à s'amuser, parfois, pour tester la marchandise. L'Arpenteur était en face de lui, souriant toujours, mais cette fois d'un air bien plus menaçant.
"Le voilà qui se réveille. Oh, au cas où tu n'aurais pas remarqué, tu es bailloné, et tu as les jambes écartées. On va donc jouer à un petit jeu. Vois-tu, d'habitude, les esclavagistes, je les saigne, je leur coupe la bite et je leur enfonce mes petites chéries dans le ventre. Mais tu as de la chance! Aujourd'hui, je suis d'humeur généreuse, surtout que j'ai besoin de toi. J'ai entendu dire qu'il y avait une dryade dans le coin...

A la mention de la créature, le visage du marchand s'affola, ce qui fit rire l'Arpenteur, qui s'amusait déjà beaucoup.

-Vous êtes familiers à ce que je vois! C'est parfait. C'est parfait! Vois-tu, la baise, tout ça, c'est génial. Avec une dryade en plus... Hein? On est d'accord. Mais moi, ma vraie came, le truc pour lequel je vis, c'est le combat. Et cette dryade a massacré tout une bande d'esclavagistes à elle toute seule, elle peut m'offrir un vrai défi. Je veux la rencontrer... Et tu va m'aider. Oh? Tu veux? Parle plus fort! Ah oui, c'est vrai. T'es bailloné. Je suppose que tu va me demander ce que tu aura en échange? C'est bien simple...
Il s'approcha de sa victime, lui plantant son regard froid au fond duquel brillait une lueur surnaturelle droit dans les yeux.
-Tu auras une mort rapide et sans douleur. Je n'aime pas les esclavagistes. Maintenant je vais t’assommer, te traîner dans la nuit jusqu'à la lisière de la forêt, et à partir de là, tu me guides jusqu'à son coin.
Le marchand aurait pu protester, il aurait voulu dire quelque chose, émettre un "Mh!" de mécontentement, n'importe quoi! Mais une douleur retentissante dans les tempes l'envoya directement au pays des rêves.

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Prélude / Re : Seigneur Cinis, à votre service
« le: mercredi 23 avril 2014, 22:44:38 »
Bienvenue! J’espère que tu te plairas ici ^^

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Le coin du chalant / Re : Liste de mission
« le: mercredi 23 avril 2014, 22:06:51 »
La trame 1 me branche bien... l'action a l'air au rendez-vous!
On peut en causer par Mp si il faut, voire se retrouver sur la CB pour voir avec Alice.

A priori, je verrais bien l'Arpenteur qui a repéré des formiens et se propose d'assister l'équipe en échange d'une chance de combattre des adversaires puissants, dont les membres de l'équipe. Il pourrait aussi se laisser aller à tenter de séduire un peu par ci par là... :3

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Ville-Etat de Nexus / Re : Le brasier et la tempête
« le: mercredi 23 avril 2014, 11:57:07 »
Oh, je donnerais n'importe quoi pour trouver plus douce musique que celle de l'acier déchirant le cuir d'une bête immonde. Le troll m'a suivi dehors, et lors que ses bras balourds désespérément de me faucher, je sautille, tournoie et esquive avec souplesse chacun de ses coups maladroits, me contorsionnant comme une flamme dans le vent tout en lui infligeant des centaines de petites coupures.
Je pourrais finir ce combat en un coup, mais je prendrais un risque inutile, et puis... C'est tellement plus drôle comme ça!

Le troll finit par s'effondrer menton au sol. Derrière lui, dans l'embrasure de la porte, se tient la guerrière aux cheveux de feu, à la fois sublime et terrible dans son armure dorée qui ne cache absolument rien de ses formes généreuses.

"Tu te bats bien. Et comme tu m’as privée de trois adversaires, tu vas les remplacer. On va régler ça dehors pour éviter la casse."me dit-elle en me prenant le bras pour m'entraîner plus loin dans les bois au bord de la route. Elle a de la poigne, mais sa peau est douce. Vraiment charmante. Alors que nous arrivons à une clairière, je finis par lui dire:

-Tu sais, tu va peut être vouloir me lâcher à un moment, sinon je ne pourrais pas me battre.

Elle me lâche sans un mot, déjà prête au combat, je m'écarte d'elle et me mets en garde, souriant.
Je souris, parce que sa force rayonne autour d'elle comme un soleil, et que je sais en la défiant qu'elle va peut être me donner ma dernière danse. Je souris pour elle, parce qu'elle me plait et que je n'ai pas envie de lui déplaire. Enfin, je souris pour moi, parce que je sens que quelque soit l'issue de ce combat, il sera mémorable. Mes deux lames prêtes à l'action, je lui dis:

-Avant de commencer, permet moi de me présenter. On me nomme l'Arpenteur. Et toi, guerrière, quel est ton nom?

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Ville-Etat de Nexus / Re : Le brasier et la tempête
« le: mardi 22 avril 2014, 19:24:32 »
Cette taverne était décidément une bonne taverne.
La je me dégage tranquillement de la rousse qui tente de me bousculer. Je ne lui en veut pas, remarquez, si elle ne l'avait pas fait, la situation serait devenue plutôt inconfortable.
Elle toise l'espèce de fouine au pif brisé avant de lui déclarer:

-Pousse-toi de là, ce crétin est à moi. Dis donc demi-portion, t’as du cran pour te pointer après la scène d’hier ! T’en veux encore, c’est ça ? Parce que si c’est le cas mon épée se fera un plaisir de te découper en lamelles.

Et c'est sur ces bonne paroles qu'elle brandit son énorme lame en reculant, avant de la lui pointer droit au coeur.

-Si tu tiens à la vie, dit elle, fais demi-tour de suite. Rien ne t’empêche d’ordonner à tes larbins de me tuer, mais dans ce cas je referai la peinture avec leurs entrailles, puis avec les tiennes.

Décidément, cette fille me plait. Elle a du style. Le sens de l'à propos. Je sens que je vais bien m'amuser. Cependant, pas question de lui laisser la vedette.

- Occupe toi donc de ce nabot... je lui souffle en dégainant mon sabre court et mon sabre long, Je te le laisse...

Puis, joignant le geste à la parole, je bondis au dessus de nez défoncé sans laisser à la guerrière le temps de répliquer pour atterrir au niveau des quatre clampins terrifiés et du troll qui essaye visiblement de comprendre quelque chose à la situation.

- Chers amis, dansons un peu voulez vous?

Je finis ma phrase, plantant mon regard tranchant dans les yeux de ma première victime, qui s'effondre empalé sur mon Katana, rapidement suivi par son compagnon dont je tranche la gorge alors qu'il tente de m'attaquer par derrière. Le troll finit par réagir et tente de me faucher avec son énorme paluche, mais je roule entre ses jambes pour me relever en tournoyant, tailladant son dos robuste de coupures cruelles.
Lorsqu'il sort de l'auberge son gros tas de graisse grise, je suis de nouveau debout, frais et paré à l'action, le toisant d'un air moqueur. Il ne reste plus que deux imbéciles et la fouine à l’intérieur, ça ne devrait pas être un problème pour cette fille.

Un défi fort intéressant m'attends à présent...

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Ville-Etat de Nexus / Le brasier et la tempête [Sandra]
« le: mardi 22 avril 2014, 17:22:43 »
J'aime bien les tavernes.
C'est plein d'ivrognes, d'imbéciles, de pitres et de fiers à bras, mais c'est justement pour ça que je les aime. C'est toujours pareil et pourtant si différent... Surtout les serveuses. Les filles de Nexus étaient magnifique, mais les terranides avaient un petit quelque chose d'exotique de par leur apparence qui me fascinait toujours. Je me plait donc à reluquer tranquillement la fille-loup qui tient le bar en grignotant les excellents dangos qu'elle m'a servi plus tôt. Elle remarque mon regard, rosit délicatement et tente de m'éviter mais ne peut résister à l'envie de me rendre mes sourires.
La soirée promet d'être intéressante.

D'autant plus que l'ambiance est chaude. Il y a pas mal d'aventuriers ce soir, notamment cette jolie rousse que je sens plus que je ne remarque derrière moi. Son épée, ses colifichets, son armure, tout en elle transpire d'une puissance surnaturelle.

J'hésite.

Non pas qu'elle me fasse peur, au contraire, je crève d'envie de rencontrer quelqu'un de plus fort que moi, non, vraiment je n'ai pas peur. Je ne sais juste pas très bien comment l'aborder. On dit que le physique d'une personne renseigne facilement sur son caractère, et cette fille... Entre ses cheveux rouges comme le feu, ses muscle et ses armes, tout m'indique qu'elle est tout sauf joueuse.

Là étant tout le problème.

Mon but n'est absolument pas de l'emmerder, simplement de la défier amicalement, de voir si elle est vraiment à la hauteur de son épée runique, qui me fait les yeux doux depuis tout à l'heure, brillante comme la lune sur la campagne.
Comment l'aborder? Je me sens comme un gamin qui veut aborder une demoiselle une fille dont il s'est bêtement amouraché.
Tant de questions qui me traversent alors que je continue tranquillement à reluquer la serveuse d'un air absent.

Puis arrivent les emmerdements.

Je n'ai même pas besoin de les voir pour deviner qu'ils ne sont pas là pour rire. Ou du moins si, mais pas de façon sympathique. J'entends leur pas avant de les voir entrer. Cinq types. Non, six. Il y en a un chétif, quatre de taille moyenne et un qui va surement devoir se baisser pour rentrer. Le rythme nonchalant et le raisonnement de leurs pas sur le plancher de l'exterieur de l'auberge de route traduit leur impression que la taverne leur appartient.

J'aime pas ce genre de types.
Pour une raison que j'ignore, le mot "touristes" effleure mon esprit.

Je soupire et me lève pour aller payer. Je dédie à la tenancière un nouveau sourire chaleureux, avant de me le rediriger vers ma place.
Et, enfin, après un long moment, ils débarquent, et ce d'une façon que je qualifierais... D'étrange.

Les deux battants s'ouvrent pour laisser débarquer une espèce d'humain poilu et râblé qui brandissait deux dagues, suivi de quatre bandits maniant des cimeterres, leur bandeaux jaunes serrés au dessus de leurs visage affichant une expression de cruauté travaillée. Puis, derrière eux, un troll tente de se faufiler dans la porte avec sa masse.
Le nabot à visage de fouine entré en premier prends la pose. Il va sans doute tenter de dire un truc classe. Je souris, et, alors qu'il prend son inspiration pour gueuler je ne sais quelle ineptie, mon poing s'écrase au beau milieu de son nez pointu. Je souris à nouveau, puis je remarque que mon poing n'est pas seul dans la face du bandit: contre mon bras se trouve celui, ganté, de la guerrière rousse.

59
Le coin du chalant / Re : Venez communier à nos côtés.
« le: mardi 22 avril 2014, 07:42:54 »
La trame 1 me brancherait bien ^^

L'Arpenteur Voyage beaucoup, et si il a moyen d'économiser son peu de fric en dormant dans une église, il n'hésitera pas...

60
Le coin du chalant / Re : Kendra Parks, jamais deux sans trois.
« le: lundi 21 avril 2014, 23:27:27 »
Salut! Je te propose le RP suivant: Kendra pourrait se retrouver à Terra par hasard, et Yuzuru, le ronin, se proposerait de l'escorter jusqu'à ce qu'elle puisse rentrer... Mais son charme ne le laissera sans doute pas indifférent.
à l'occase :)

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