Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Sorcelienne

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Bon vu qu'elle avait envoyée son message, il ne lui restait plus qu'à se préparer pour leur rencontre n'est-ce-pas ? Parce que oui, pour le coup, elle se voyait bien mal rencontrer la charmante femme alors qu'elle n'avait encore rien sur le dos à part un pyjama bon marché, surtout que celui-ci datant un peu, il y restait encore les imprimés de petits lapins mignons dessus, le genre que l'on offre généralement bien plus à une jeune fille qui se trouve encore en plein enfance, plutôt qu'une jeune femme qui veut se lancer dans la pornographie. Se dirigeant tranquillement vers son armoire donc, elle y chercha activement la tenue qu'elle pouvait se mettre pour ce rendez-vous plus ou moins coquin, et si le fait d'observer ses tenues habituelles ne fut pas vraiment pour lui offrir la moindre idée satisfaisante sur sa tenue, elle eut finalement le droit à une petite révélation qui ne manqua pas de la faire sourire : Elle allait être filmée, et donc, il était tout à fait possible qu'elle ai plus besoin d'un costume qu'autre chose. Quelque chose de pratique, de facile à enlever, quelque chose qui soulignait sa finesse et son charme tout en lui offrant une aisance de mouvement, et la possibilité de pouvoir se dévêtir rapidement au cas où. Et pour ça elle avait justement ce qu'il faut, sortant sans trop attendre sa tenue d'action, à savoir un large et épais sweat imprimé de petits cubes verts de différentes couleurs, ainsi qu'une culotte et des collants rayés, sans oublier les petites bottines qu'elle aimait tant. Eh oui, quitte à bosser pour pouvoir acheter des explosifs, autant conservée son apparence de creeper girl non ?

Parfait, elle se changea rapidement, quittant les atours doux et chauds de son pyjama, pour finalement venir se vêtir de sa tenue favorite, y trouvant un confort tout personnel, et largement suffisant à son goût pour résister au froid et au vent qui règne dehors. Certains considéreraient sûrement qu'elle est complètement folle de sortir ainsi vêtue par un temps pareil, mais ses parents ont cessés depuis un moment de lui faire la morale à ce propos, étant donné qu'elle ne tombe, pour ainsi dire, jamais malade, et quand à l'avais des autres, elle s'en moquait bien, étant donné que plus de 90% de la population s'habillait bien trop tristement à son goût. Un peu d'exotisme que diable ! Enfin, étant désormais parfaitement prête pour engager sa rencontre avec Mag, elle vint à récupérée son téléphone, et le fit sauter dans sa main avant de le récupérer en l'air et l'ouvrir de manière théâtrale, surjouant pas mal, pour observer l'écran avec les yeux emplis d'espoirs. Pas encore de message. Ô rage, ô désespoir, ô tristesses ennemies... Bon tant pis, il fallait bien qu'elle accepte aussi que la femme était occupée, elle n'allait donc pas se précipitée, se contentant pour le coup de se laisser choir mollement sur son matelas, appareil téléphonique en main, et patientant avec difficulté de sentir le petit bijou de technologie vibrer dans sa paume, lui signalant par là l'appel de cette chère camarade qui allait lui enseigner ses secrets. Elle manqua presque de se rendormir d'ailleurs, ses paupières commençant à se faire lourde, quand son petit émissaire noirâtre vint à sonner, la rappelant d'un coup à la réalité, et la faisant bondir sur ses deux pieds tandis qu'elle décrochait immédiatement, attentive :

« Allo ?
 -  Coucou, si tu veux commencer à apprendre quelques trucs, tu n’as qu’à passer me voir aujourd’hui, j’habite dans le quartier de la Toussaint. Je serai prête dans une heure.
 -  Ce.. Oui bien sur, ça marche, je me mets en chemin du coup ! A tout à l'heure. »

Fin de l'appel. Concis, direct, efficace, elle aimait bien la façon de faire de cette femme, et cela lui convenait parfaitement du coup ! Rangeant rapidement le téléphone dans sa poche, puis allant récupérer ses clés sur la table, elle quitta sa chambre rapidement, et dévala les escaliers prestement, sautant en direction de la porte de sa maison, puis la quittant à grands pas, n'ayant pas vraiment de temps à perdre si elle voulait maximiser son temps auprès de Mag, sans pour autant trop la gênée dans ses habitudes de travail. Elle vivait loin du quartier de la Toussaint, et vu qu'elle n'avait définitivement pas l'argent pour se permettre de se payer un trajet en bus, elle se pressait en marchant rapidement, enchaînant les rues avec vivacité, tout en se rapprochant un peu plus du lieu de vie de la femme, ayant profité de tout son temps d'attente pour vérifier son adresse un peu plus tôt. Après il fallait avouer qu'elle avait eut de la chance, car elle ne s'était clairement pas doutée que l'adresse correspondait à une rue du quartier de la Toussaint, et elle se préparait même à avouer à sa possible mentor qu'elle n'avait pas son propre moyen de transport un peu plus tôt, si elles ne s'étaient pas trouvée dans la même ville ! C'était un signe, il fallait absolument qu'elle se lance, le doute n'était plus permis, et encore plus que cela, il aurait été sot de sa part de faire machine-arrière. Non, alors qu'elle avançait dans la ville de Seïkusu sans le moindre doute, filant avec une envie croissante de commencer dés que possible son « enseignement », elle y pensait encore et encore, et était tout simplement certaine : Pour une fois, sa malchance naturelle semblait lui avoir enfin offert un moment de répit !

Elle arriva enfin devant la porte d'entrée de Mag près d'une heure et demi plus tard, un peu essoufflée, mais le moral gonflée à bloc. Se prenant quand même un petit temps pour reprendre son souffle, et tenter de plus ou moins se redonner une contenance, elle se plaça contre un mur quelques instants pour laisser son corps récupérer, puis parvint à faire les quelques menus pas qui la séparait de la sonnette, pour venir y appliquer son doigt lentement, presque hésitante à l'idée de faire de suite remarquer sa présence. Après tout, elle lui avait dit une heure, mais peut-être qu'il aurait été plus polie de sa part de prendre un peu plus son temps, histoire de ne pas trop pressée la femme ? Peut-être même qu'elle lui avait dit une heure, mais que dans le fond, elle ne le pensait pas du tout, et qu'il s'agissait juste là d'un moyen de voir à quel point elle était motivée, ce qui, au vu de son retard de déjà plus d'une demi-heure, ne laissait rien entendre de bon pour leur potentiel temps l'une avec l'autre. Bien malgré elle, maintenant qu'elle était face à cette porte, et à sa future rencontre pour débloquer son problème monétaire, elle ne savait pas trop quoi faire, le stress lui laissant imaginer toute les pires situations possibles dans son petit esprit de jeune femme, finalement fort impressionnable. Mais bon il était trop tard encore une fois pour faire machine arrière, elle n'allait pas reculée alors qu'elle avait atteint son but, et, soupirant longuement pour calmer son cœur qui s'était ré-accéléré, elle vint à appuyer délicatement sur la sonnette, sursautant en entendant le lourd tintement de cloche que cela déclencha chez sa future mentor.

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Le message envoyé, la jeune fille ne savait pas trop quoi faire, et commença à lentement attendre sur sa chaise que les minutes passent, profitant d'ailleurs que celle-ci soit sur pivot pour faire de petit tour afin de faire passer le temps, bien triste occupation qui, en plus de la faire passer pour une idiote en manque, ce qu'elle était, avouons le, ne manqua pas de rapidement lui donner le tournis, et l'obligea à cesser avant de dégobiller. Bon sang que le temps passait lentement quand elle n'avait rien à faire ! Un peu plus, et elle serait déjà en train de se tirer une balle, mais elle ne pouvait se permettre de laisser le monde sans son esprit supérieur, seul capable de reconnaître la beauté explosive, la douceur chaleureuse d'un souffle produit par un pain de C4, ou le merveilleux et grandiose vol des pierres et du béton lors de l'apothéose de son art ! Non il fallait qu'elle tienne le coup, après tout elle avait encore toutes ses chances, et elle espérait sincèrement que la demoiselle qui faisait son show aurait quand même l'occasion de lire son message sans attendre la fin de sa prestation, même si elle se doutait bien que comme tout travail, celui-ci s'accompagnait sûrement d'une dose réglementaire de sérieux, auquel la belle blonde ne pouvait échapper. Tant pis, n'est-ce-pas ? Elle ne pouvait que se ronger les sangs en espérant que la réponse arrive le plus rapidement possible, et ne fit donc rien d'autre qu'attendre, parce que ne voulant pas être insistante, jusqu'à ce qu'elle finisse d'ailleurs par faire les cents pas dans la pièce, quittant le moniteur, et donc le chat du site, sans pouvoir ainsi remarquer que son message commençait déjà à créer quelques émulsions à l'intérieur de celui-ci.

En faite, elle ne savait pas du tout comment marchait ce genre de site, et elle n'avait du coup pas du tout prévue que son message pouvait être lue par la streameuse au beau milieu de son show, ce qui bien sur avait permit à bon nombre des visiteurs du lieux de commencer à spéculer sur cette jeune femme qui semblait, somme toute, être une débutante voulant commencer à faire ses propres offres sur le net. Certains avaient d'ailleurs l'occasion de trouver cette jeune femme un peu sotte, parce que demander cela à une potentielle adversaire sur le marché du sexe n'était sûrement pas une bonne idée, encore moins quand on savait que le domaine du porno au japon avait de plus en plus de mal à être facilement acquis au vu de la démocratisation de celui-ci sur les pages du web, mais d'autres avaient le mince espoir d'y voir là une nouvelle charmante demoiselle à contempler pour pas grand chose, et espérait donc par là que Magdalena lui réponde par la positive. Bien sur, ni les uns, ni les autres n'obtinrent une véritable réponse, étant donné que la femme tapa sa réponse directement, sans l'exprimer à haute voix, et la seule qui put finalement connaître l'avis de cette charmante femme fut Reinhardt, qui était encore là à se morfondre sur le temps qui laissait s'écouler les secondes telles des minutes, quand finalement un petit tintement sortit des écouteurs, lui indiquant l'arrivée tant attendue d'une réponse. Ni une ni deux, la demoiselle sautilla rapidement vers sa chaise, de son rythme vif et cadencé, pour finalement sautée dessus avec un empressement certain, et chercher quelque part sur la page le moindre indicateur lui permettant de remarquer où se trouvait sa réponse tant espérée. Et elle vit, finalement, sous la chatbox, pour y cliquer rapidement :

« Bonjour, je serai ravi de t’aider cependant je ne peux pas vraiment te donner de réponses précises à ce que tu recherche, il me faut en connaître plus sur toi et mes conseils se ferait en visuel pas par mail, c’est plus simple. Cependant, comme je suis en diffusion, tu peux regarder et voir comment je m’y prend, ce sera un bon début. »

Bonheur, joie, ailes de papillon et petit lapin en chocolat, elle était d'accord pour l'aider, et ce fut rapidement d'un air rêveur que la jeune fille imagina la poursuite de son grand projet de ré-urbanisation globale, avec tout ce qu'elle pourrait gagner à l'occasion de cette grande possibilité qui lui était finalement offerte. Mais bon, il fallait qu'elle se calme, qu'elle se caaaaaaalme... Ce n'était pas encore tout cuit, elle avait acceptée de l'aider, mais pour l'instant elle n'avait nullement la possibilité de le faire, car non seulement elle était au beau milieu de son travail, mais, surtout, qu'elle avait expressément expliquée qu'elle ne pouvait pas la conseillée alors qu'elle ne savait même pas à quoi elle ressemblait, ce qui toutefois était bien compréhensible. Trèèèèès bien, elle allait donc rapidement lui répondre, et lui offrir de quoi la contacter pour qu'elles puissent toute deux fixer un rendez-vous ! Certaines personnes se seraient sûrement repris à deux fois avant de prendre pareille décision, mais pour être tout à fait honnête, la jeune demoiselle avait déjà assez réfléchie à son goût, et vu que le temps était en train de lentement la tuer, elle ne pouvait pas se résoudre à cessez dés maintenant son plan alors même qu'elle avait déjà, de son point de vue, mis les deux pieds dedans sans hésitations. Soufflant un bon coup pour faire un peu la part des choses dans son esprit, et en pas paraître comme une folle sur-excitée à l'idée de pouvoir enfin s'offrir ce dont elle avait besoin en contre-partie de la vision de sa chair, elle se mit lentement à taper sur le clavier pour écrire sa réponse, et offrit donc un message relativement succinct, mais suffisant pour exprimer sa vision des choses : elle était prête !

« Un grand, voir très grand merci à toi. »
« Je ne sais trop quoi dire du coup, si tu veux m'aider je ne peux finalement que me répéter en remerciements, mais je pense que ce serais un peu court comme message n'est-ce-pas ? »
« Vu que tu me dis que tu aurais besoin de me rencontrer en direct, je peux te passer mon téléphone, non ? Je te laisses me contacter dés que tu as un peu de temps libre, je me déplacerais immédiatement pour te rejoindre, et discuter avec toi de ce que tu saurais m'inviter à apprendre »
« Il s'agit du 803-437-68-90, j'attends ton appel avec impatience ! »
« Encore merci. Cordialement, Sorcelienne Reinhardt »
« PS : Hum, je crois presque que je ne vais pas regarder ton stream, juste pour me garder la surprise de te rencontrer tout à l'heure, mais surtout découvrir en ta compagnie les joies du showroom. »

Voilà... plus qu'à attendre un coup de fil. Sauf que ce coup-ci, elle savait que celui-ci allait arriver, ce qui ôta un certain poids sur sa poitrine, et lui permit de bien moins attendre, jusqu'à l'heure fatidique.

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Il y a de ces moments où le monde a la malheureuse tendance de la regarder droit dans les yeux, et de lui sourire avec la plus grande des vilenies, avant de se décider, avec un comportement des plus malhonnêtes, de lui caler deux poings dans les cotes avec la violences d'un rhinocéros en pleine charge, puis de lui asséner un violent coup au dessus du crâne, comme la chute fatidique d'une roche déséquilibrée par un éboulement, avant de finalement lui caler l'uppercut de Mike Tyson, à l'époque où il était assez en forme pour faire pisser de trouille la grande majorité de ses adversaires ! Oui, ce matin, le monde la haïssait, voulait la voir morte dans son vomi, remarquer ses larmes de saintes de la grande croix de la divine explosion rouler le long des ses joues d'une blanche pureté, et elle était en train d'enrager, commençant à frapper dans les portes et les meubles, profitant de l'absence de ses parents pour relâcher toute son ire de manière bien moins plaisante que naturellement. Elle s'était levée de bon pied pourtant, et s'était décidée à se délivrer d'un peu de stress au cours de son petit-déjeuner en faisant sauter une vieille boutique de grille-pain, en somme, le genre de petite matinée des plus agréables, qui annonce un week-end rempli, et un festival merveilleux en fin de journée, mais... soudainement la trahison, la peine, l'orage de la terreur sur son être, car alors qu'elle ouvrait tout simplement le cache derrière sa penderie, elle découvrit l'effroyable vérité : Elle qui pensait être large en fournitures explosives, elle était désormais dépossédée d'une grande partie des composants qui pourraient lui permettre de construire une simple bombe, en somme... Elle ne pouvait faire exploser quoi que ce soit dans les jours à venir !

Et quelle horrible nouvelle que celle-ci ! Non ce n'était tout simplement pas concevable, elle ne pouvait pas se trouver en râde de matériels, c'était tout simplement impossible ! Et puis lentement elle se rappela ses derniers achats au black, faute à pas de bol, elle avait dut laissée la moitié du matériel qu'elle avait commandée à cause d'une descente de flic dans l'entrepôt où on lui avait laissé les affaires afin qu'elle les récupère, si bien qu'elle avait sûrement utilisé inconsciemment ce qu'il lui restait. Et comme une mauvaise nouvelle ne venait pas seule, son compte avait été bloqué il y a peu à cause d'une dispute avec ses parents, si bien qu'elle se retrouvait sans fond pour pouvoir racheté les éléments nécessaires pour la construction du petit bijou qu'elle voulait faire sauter chez le vieux marchand salace, ce qui était en train de lui faire s'arracher les cheveux de frustration ! Non elle ne tiendrais pas à cette allure, il lui fallait absolument de quoi remplir son divin devoir, si elle n'avait pas ce qu'il faut, tout partait en fumée : son plan merveilleux, et sa détente tant méritée après une semaine de contrôle passablement horrible à passer ! Non elle fallait qu'elle trouve une solution, absolument, une solution évidente et efficace pour se faire des thunes ! Mais que pouvait-elle faire, elle n'avait jamais bossée, elle se voyait mal rejoindre un gang, parce qu'elle serait dûment surveillées, et elle ne saurait non plus vendre ses organes, vu qu'elle n'avait aucune envie de savoir qu'un être pourrait avoir une partie d'elle en lui, beurk ça lui filait la chair de poule !

Puis voilà l'illumination ! Oui elle pourrait peut-être faire ça, surtout qu'elle aurait une valeur marchande merveilleuse, qui lui permettrait de rapidement faire la main basse sur une jolie petite quantité d'argent, capable, sans nul doute, de lui offrir tout ce dont elle aurait besoin pour faire exploser cent fois cette ville ! Oui, elle se rappelait encore de la discussion qu'elle avait eut avec une de ses camarades du lycée, où elle prétextait que le marché du sexe sur le net était tellement florissant que n'importe quelle jeune femme assumant sa personne pouvait facilement gagner de quoi se payer des études, ainsi qu'un appartement de luxe, sans jamais avoir à craindre pour boucler les fins de mois ! Elle allait faire ça, elle allait jouer de ses courbes et de son charme pour s'offrir enfin ce dont elle avait l'absolue nécessité, et pour cela elle avait déjà tout l'équipement nécessaire, à savoir un ordinateur et un accès au net... Sauf que non en fait là elle s'emportait... Il lui faudrait sûrement de quoi faire une capture son, et une capture vidéo, sans parler d'un véritable sujet à avoir durant les vidéos, vu qu'elle était certaine que les gourgandines, aussi appréciées qu'elle pouvaient l'être, ne saurait convenir à l'oeil d'un public intéressé. Et il fallait qu'elle en provoque, de l'intérêt, et du charisme, pour s'assurer d'avoir toujours des revenues ! Non en effet elle allait trop vite, elle allait d'abords avoir besoin de conseils, de détails, et d'un équipement qu'elle ne pouvait pas se payer dans l'immédiat, et qui donc forcément lui manquerait avant un moment. Mais elle ne pouvait pas attendre, c'était déjà bien trop dur à subir. Alors elle allait devoir aller trouver un peu d'aide auprès de quelqu'un qui s'y connaît, et pour cela …. il était temps qu'elle se mette à chercher.

Sautant sur sa chaise de bureau, elle ne passa par quatre chemin, et vint à ouvrir la page internet pour venir taper frénétiquement sur le clavier, inscrivant dans l'espace de recherche les quelques mots « showroom sexuel professionnelle gratuite », et vint à cliquer d'un coup solennel sur la touche entrée, avant de regarder les différents résultats, avec un air des plus sérieux ! En fait non, elle ne fit même pas ça, car faisant fi des premières propositions, elle vint à placer sa souris sur la troisième page de recherche, et cliqua tranquillement, ouvrant une page que sûrement bien peu d'être intelligents prennent le temps de consulter, observant dés lors des noms divers, et des morceaux d'énoncés tout plus étranges ou mal écrits les uns que les autres ! Puis, le bon site ! Celui qui est bien écrit, et qui donne envie de cliquer dessus : magvideoxxx.com. Elle y accède, et voit tout ce dont elle a besoin, une personne charmante, des vidéos en grande parties bien commentées, une zone d'accès à un showroom global ou privé selon des dons plus ou moins onéreux, mais surtout, un moyen de contacter directement la personne qui dirige le site, qui, par bonheur, semble être une nippone ! Elle ne vas pas hésiter un instant, et profitant du fait que la star du site semble en plus être en ligne, même si elle n'y as pas encore accès, elle envoie un message direct, en espérant que la femme pensera à consulter ses e-mails malgré son show actuel. Respirant un grand coup, et faisant un peu d'ordre dans sa tête pour s'assurer qu'elle ne vienne pas réduire ses chances à néant de par un message trop inconfortable pour la femme de peu de pudeur, elle ouvre la page tranquillement, et commence à écrire le message en priant longuement afin que tout se déroule sans soucis :

« Bonjour à toi. »

« Je n'irais pas par quatre chemin, j'envoie ce message pour une bien simple raison : »
« Je veux me lancer dans les showrooms, et les vidéos pornos, pour plusieurs raisons, mais notamment parce que je veux obtenir un peu d'argent pour pouvoir me simplifier la vie. Le soucis, ce que je ne connais rien à l'editing de vidéo, ni comment faire pour attirer du monde pour me voir ! »

« Du coup j'aurais besoin de conseil, et d'aide, et c'est pour ça que je viens te voir ! Tu me sembles super, attirante, charmante et tu as vraiment l'air de savoir t'en sortir avec tout ça … Alors est-ce que … Est-ce que tu voudrais m'aider ? »

« Bien sur je sais que tu dois être occupée, mais je serais ravi d'avoir au moins une réponse, que je puisse savoir si ça te dirais de m'aider. Ou plus je ne sais pas, hein ? »

« Reinhardt Sorcelienne »

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Il existait des personnes en Ashnard qui ne doutait de rien, ne vivait juste que dans le but ultime de parvenir à monter dans cette société impitoyable, quelqu'en soit le coût, et parmi ces personnes là, se trouvait Sorcelienne Haffrant, active mage de l'Académie de magie de la capitale, et surement l'une des plus proche prétendante actuelle au poste d'archimage. Toutefois, les derniers travaux de la femme l'avait peu à peu pousser à chercher de plus en plus loin dans la nature même de la magie, à tel point qu'elle commençait à mener quelques expériences des plus illégales avec les esclaves abandonnés qu'elle pouvait trouver, ou encore les condamnés à mort de la prison d'Ashnard. Ces expériences, que plus d'un auraient surement considérés comme impies ou sauvage, la menait lentement vers une obnubilation qui l'obligeait à être de plus en plus véhémente, et obligatoirement, bien moins sélective et prudente sur les sujets avec lesquels elle pratiquait ses noirs recherches.

Dernièrement elle avait trouvée une esclave particulièrement intéressante, non pas par son physique, ou encore par son talent à agir communément dans une maison afin d'y faire les quelques tâches ménagères donc Haffrant ne s'occupait guère, non, mais plutôt par l'incroyable quantité de magie que celle-ci recelait en elle, la rendant presque viable en tant que sujet d'observation des réactions envers un noeud de magie presque pur. Bien sur elle n'avait fait part de cette découverte à personne de son entourage proche, et en somme, elle se concentrait uniquement sur son propre travail en niant tout aide extérieur alors en quelle occasion aurait-elle put penser que la découverte d'une telle personne puisse aussi intéresser ses camarades ? Elle garda ainsi jalousement sa nouvelle acquisition, l'ayant avant tout assez bien traitée pour qu'elle puisse tenir le coup lors de ses futures auscultations, mais plus le temps passait et plus l'impatience se mit à la gagner, si bien qu'un beau jour elle ne put même plus retenir sa dévorante envie d'entamer les expériences.

Ce fut des heures, des jours de travail difficiles, mais pourtant elle en obtint une satisfaction particulièrement viscérale, enchaînant à la fois l'observation des résistances du coeur magique de la femme en face d'elle ainsi que son utilisation drastique par le biais d'une amulette de sa confection, drainant les force de la femme jusqu'à son extrême limite avant de voir à quel vitesse elle récupérait de l'épuisement magique. Bien sur la mort approcha plus d'une fois de la pauvre esclave, mais les soins mystiques pratiquer par Haffrant furent bien suffisant pour la maintenir en vie plus d'une fois, la relevant alors qu'elle était surement aux portes de la mort, la rappelant aux vivants alors même que son souffle venait de s'éteindre. Et pourtant, même si par ce procédé elle manqua plusieurs fois de perdre son précieux sujet, elle n'arrêta pas pour autant de pratiquer ses ignobles observations, cherchant toujours à être plus précise, à être plus impitoyable avec ce que pouvait supporter celle qui se trouvait en face d'elle. Jusqu'à un certain jour, où elle finit par découvrir ce qui l'intéressait...

 -  Aujourd'hui sera notre dernier jour de test. Si tout se passes comme prévu, je te rendrais la liberté, même si je doutes que tu survives. Désolé pour toi, mais j'ai besoin de travail bien fait, et de toutes manières ta vie était déjà finit sitôt que tu t'étais faites capturée n'est-ce pas ? Allez manges, je reviens te chercher dans une petite heure, et sois sure d'être prête, je n'attendrais pas la moindre seconde.

Voilà typiquement les derniers mots qu'elle lui avait adressée avant de remonter dans ses appartements et laboratoires afin de retourner sur son bureau couvert de notes, bureau qui d'ailleurs n'en avait jamais autant supporter depuis que la femme avait dut passer son diplôme en tant que mage formée et qualifiée au service de l'Empire. Espaçant les feuilles les plus inintéressantes, les plus approximatives, signe de son manque de connaissance avant qu'elle ne pratique ses expériences sur la personne de Sylvia, quelques étages plus bas, elle vint chercher son large carnet de recherche et l'ouvrit lentement pour y plonger le regard avec un sourire satisfait. Désormais ce qu'elle comptait essayer était de voir si un corps étranger pouvait supporter ce genre de noeud magique, et en ce sens elle avait une idée bien précise de comment elle devait procéder, ayant déjà réussie à faire sortir une partie de son pouvoir pour l'enfermer dans une baguette de débutante qui traînait dans un de ses vieux tiroirs.

En somme, elle avait découvert le moyen bien impie de séparer l'âme par le biais des noeuds magiques, la laissant sous-entendre que cette magie "pure" devait soutenir l'être "humain" et était surement le moyen pour une âme de vivre en ce monde. Ainsi, elle pouvait surement se douter que ce monde lui même n'était en sorte d'un énorme amas de magie plus ou moins bien répartie, et cela lui donnait des frissons rien qu'à l'idée de manipuler cette source qu'elle avait rapidement surnommée Aethyr, selon des sources plus ou moins viable et intéressante. Si elle parvenait à le faire avec cette esclave, elle comptait bien le reproduire sur une autre, puis tenter avec un être plus faible, puis plus fort... Et avec un peu chance, si tout cela marchait, elle aurait largement le pouvoir de devenir une archimage en un claquement de doigt, même plus, elle aurait surement la capacité de devenir une véritable divinité, un coeur de pouvoir inégalable ! Cette simple idée lui filait des frissons, et jubilantes devant son bureau, elle se met à écrire encore quelques mots dans son carnet, avant de sentir une impression mauvaise envahir sa tour.

Quelqu'un était entrée ? Pourtant l'homonculus basique qu'elle avait installée prêt de la porte n'avait pas réagit alors de quoi pouvait-il bien s'agir ? Sifflant, elle appelle la créature alchimique qui lui sert de coffre-fort et lui jette le carnet dans la bouche avant qu'il ne le gobe en une seul bouchée, avant de prendre son bâton et de descendre lentement les escaliers menant aux souterrains, espérant que ce n'était pas un quelconque mage un peu trop malin souhaitant vérifier ce qu'elle faisait comme travaux ! Elle savait qu'elle serait surement sans pitié si quelqu'un osait toucher à son précieux sujet avant qu'elle n'ait l'occasion de vérifier sa capacité à voler ses forces magiques, et encore plus si celui-ci est un intrus plus qu'indésirable. Ça ne se voyait surement pas dans sa façon de faire, mais elle mettait une importance primordiale dans l'être qu'elle logeait et nourrissait royalement afin qu'elle vive, et si quoi que ce soit venait briser ses espoirs de grandeurs dans les quelques minutes qui allaient suivre, elle promettait un véritable massacre...

Mais trêves de réflexions, elle arrivait au sous-sol.

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Les alentours de la ville / Re : Herbe à chat {Pv - Nikolaus}
« le: lundi 02 mars 2015, 11:04:25 »
« Hep hep hep !  Ne va pas par là, tu n'iras nulle part sans que j'ai eue des réponses ! »

Attrapée par l'épaule, elle ne put rien faire quand finalement l'homme l'éloigna de la porte pour la coller contre le mur, la jeune fille considérant même qu'elle avait eut un peu de chance de ne pas complètement perdre l'équilibre et de se rétamer au sol avec fracas étant donné la force avec laquelle il l'avait emportée loin de la sortie. Le choc toutefois la fit couiner et la peur envahit son corps rapidement en voyant l'homme si près d'elle, et en sentant sa dure poigne sur son épaule frêle et fragile, une certaine douleur l'envahissant à mesure que celui-ci pressait ses doigts sur sa peau fine et ses chairs fragiles. Les lèvres entrouvertes dans une tentatives de réponse à cette agression pure et dure, elle ne parvint pas à faire sortir le moindre mot pour le coup, quasiment prise de panique, et c'est quand elle parvint finalement à prendre son courage à deux mains pour réagir que son opposant cale sa main autour de sa gorge, ravivant la frayeur de la jeune lycéenne qui tremblote en imaginant déjà sa dépouille morte d'asphyxie au sol.

« Si tu ne me le dis pas, je devrais employer d'autres moyens, mais je ne suis pas convaincu que tu apprécies beaucoup !
 - V...Vous me ... faites mal... s'il... s'il vous plait.... Lâchez moi... »

Comment dire, elle le sentait très, très, très mal, et il était difficilement possible qu'elle puisse regretter plus d'être entrer dans cette "maison" à l'heure actuelle, la jeune fille redoutant ce que pouvait possiblement faire cet homme qui ne semblait pas avoir toute sa tête pour oser agresser une lycéenne qui était entrée dans un vieux temple en ruine en pensant, non sans raisons, que celui-ci était vide. Mais le pire, c'est que si elle en était encore dôtée, elle sentait comme une sorte de sixième sens s'alarmer en elle, comme si elle était à la limite d'un exceptionnellement intense danger, et qu'elle risquait de finir bien mal si les choses continuaient sur cette lancée. Elle se sentait mal, la main sur son cou était glacée, et en plus l'homme l'observait avec une expression qui aurait surement fait passer n'importe qui pour un psychopathe de film d'horreur. Et c'est à ce moment là que son corps se paralysa, que tout son être cessa de faire le moindre mouvement, car ce qu'il se mit à lui dire par là-suite ... elle l'entendit sans même qu'il ne bouge les lèvres, à l'intérieur même de sa tête.

« Vois-tu, j'ai une affinité avec l'esprit animal… il me plaît parfois de l'infiltrer, de lui parler, de le malmener si je le désire… voire même… de lui imposer mes envies et mes idées… alors réfléchis à ça : je sens que tu as un côté animal… et je veux savoir lequel avant de me décider sur ton sort !
 -  Je... Je... »

Elle était terrorisée, mais malgré tout elle ne savait pas si elle devait le lui dire ou non, son secret si bien garder depuis des années comme le lui avait ordonné sa mère. De toutes manières cet homme, non seulement étrange, mais apparemment tout aussi inhumain qu'elle, avait la capacité d'infiltrer ses pensées, alors elle se doutait qu'il n'y avait proprement pas d'avantages à le lui cacher car il finira bien par le découvrir en fouillant sa petite tête, mais elle n'avait pour ainsi dire jamais avouer sa nature animale à quelqu'un, et ce n'était clairement pas aujourd'hui qu'elle voulait commencer, devinant d'ici l'accumulation de soucis que cela allait lui créer. Mais si elle continuait de lui cacher les choses, cet homme avait toute l'opportunité de grimper en violence et en horreur, et ça elle ne voulait pas le connaître d'une quelconque manière, craignant plus que tout de se retrouver frappée et blessée, et la main sur sa gorge lui faisant déjà bien comprendre la dangerosité de l'occupant des ruines. Alors elle abandonna, et parla à voix basse, les yeux embués de larmes et tremblante de peur.

« Je... Maman dit... que nous sommes des terranides... des terranides binturong... Je... Je vous ai répondu, lâchez moi maintenant, s'il vous plait... »

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Les alentours de la ville / Re : Herbe à chat {Pv - Nikolaus}
« le: lundi 09 février 2015, 18:04:05 »
Elle cherchait dans les ombres, focaliser sur la présence du matou avant de remarquer la boule de poil dans un coin de la pièce, bien caché sous deux planches de l'étage qui avaient du tomber avec le temps. S'approchant sans faire de bruit, elle parvint jusqu'à la cachette et du dos de la main vint lentement ôter une des planches, faisant attention à ne pas se placer une écharde sous la peau en prenant soin d'incliner sa mimine au fur et à mesure qu'elle repoussant le bout de bois en piteux état. Peu après, elle fit de même avec la deuxième planche, très lente et précise dans son action pour être certaine de ne prendre aucun risque, les blessures qu'elle se faisait sur sa peau ayant tendance à énormément marquée à cause de sa faiblesse physique naturelle. Et voilà le matou face à elle ! Bon il ne semblait pas bien amène à l'idée de se faire caresser, mais un chat ne viendrais pas défier une semi-binturong n'est-ce pas ? Au moins selon toute logique il ne le ferait pas.

La bête feule, se recule, fait quelques mouvements de pattes pour intimider mais la jeune fille à bien remarquer qu'il n'as pas sortit ses griffes, il ne veut pas risquer de blesser une bête dominante et de la voir du coup plonger sur lui pour se venger. Bien sur qu'elle n'agirait pas ainsi, mais les chats sont comme tout animaux, il se base avant tout sur leurs instincts, et pas sur une observations méthodique de l'être qui est en face d'eux. Pour lui, Mayu est plus grande, plus volumineuse (ce qui est une sacrée blague d'ailleurs, disons le !) et possède en plus une odeur de chat largement plus forte qu'un autre de son espèce, notamment pas sa nature d'hybride chat-ours. Pourquoi l'attaquerait-il ? ... Est-ce qu'elle venait d'entendre quelqu'un derrière elle ? Se retournant doucement, elle regarde la forme dans le noir et sursaute, se redressant d'un coup, droite comme un i, tandis que le félin en profite pour sauter par dessus les détritus afin de se faire la malle par une chatière, plus loin, tandis que l'homme s'approchait d'elle. Chiotte.

« C'est une propriété privée ici… que faites vous chez moi ?
 -  Je, hum... Je suivais ce chat et... et suis entrée, ne pensant pas que c'était habitée, toutes mes excuses. »

Elle ne le sentait pas, mais alors là pas du tout, du tout ! Ce type était étrange, avec sa tronche d'européen et son style provenant droit d'une époque révolue depuis plusieurs siècles. Non vraiment, être en présence de cette personne la mettait clairement mal à l'aise, mais elle avait aussi tout le mal du monde à s'échapper immédiatement du lieu pour ne pas avoir à prolonger la discussion, chose qu'elle aurait fait normalement dés avoir aperçue l'homme pour ne pas avoir à se justifier, ou risquer sa peau auprès d'un quelconque clodo un peu mal fagoté de Seïkusu. Quand il s'écarta d'elle, elle soupira tout bas de soulagement, mais ne put que se sentir de nouveau oppressée quand elle vit que l'homme était désormais entre elle et la sortie, ce dernier allumant une vieille lumière en mauvais état pour permettre d'offrir un peu de vision naturelle dans la pièce précédemment plongée dans le noir malgré le soleil toujours haut dehors.

« Qui êtes vous ? Non, autant pour moi. Qu'est-ce que vous êtes ?
 -  Je... Je ne comprends pas ce que vous voulez dire. Je... suis lycéenne, à Mishima. M-Mayu, enchantée. »

Elle essayait d'être la plus polie possible pour ne pas froisser l'homme qui lui faisait face, espérant que quelques excuses et un soupçon de politesse honnête saura lui faire pardonner le comportement un peu maladroit de la jeune inconsciente, mais sans savoir pourquoi elle doutait pas mal que l'homme se fasse plus délicat, elle ne savait pas vraiment pourquoi, une sorte d'instinct. Toutes façons les vieux fous qui restaient dans les ruines en disait que c'était chez eux avait généralement tendance à être de sacré personnage qui ne tournait généralement pas rond, aussi elle ferait tout aussi bien de prendre la fuite le plus vite possible, et de rentrer chez elle. Comme pour l'exprimer, elle prit son portable comme si elle avait eut un message, essayant de ruser pour le coup, et fit la comédie de manière assez crédule en observant son téléphone.

« De..Déjà cette heure...? Je devais faire les courses avec maman. Pardon monsieur encore, je ne vais pas vous importuner plus longtemps et vais m'en aller. Passez une bonne soirée. »

Et la voilà qui se dirige vers la porte, espérant que l'homme ne s'interposera pas d'une quelconque manière, elle ne pourrait rien faire contre un homme adulte de cette taille et force...

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Les alentours de la ville / Herbe à chat {Pv - Nikolaus}
« le: jeudi 05 février 2015, 00:00:49 »
Elle venait tout juste de sortir de ses cours. Mayu, connue de tous pour être une asociale de première classe, et dont tout le monde avait choisi de fuir comme la peste, était en train de passer l'entrée de son lycée en soupirant, ravie d'être enfin au dehors de ce lieu qu'elle avait de plus en plus de mal à supporter, surtout à cause du regard de ses camarades. Chacun de ses pas l'éloignant des salles de classe et de l'apparente stupidité des lycéens et lycéennes lui faisait un bien fou ce soir, et elle s'imaginait pourtant déjà rentrer à la maison pour dire à sa mère adorée que non, tout se passait bien à l'école et qu'il n'y avait dans le fond rien qui ne puisse la gênée à y rester toute une journée, coincée entre un autre élève et la fenêtre, à rêvasser. Bon sang qu'est-ce qu'elle ferait pour ne jamais avoir à y retourner, cela devenait vraiment un supplice de devoir supporter ces gamins idiots, alors qu'il existait des lieux terriblement pus dangereux que la Terre, avec sa petite vie confortable.

Terra par exemple. Bon d'accord elle n'y était jamais allée, et ne pouvait donc concevoir tout ce dont sa mère lui avait dit, comme les puissants mages capable de transformer toute une ville en ruines grâce à un seul de leurs sorts destructeurs, ou encore les esclavagistes, prêt à tout pour dominer les pauvres terranides comme elle. Mais cela ne changeait rien au fait qu'elle savait pertinemment que ce lieu et ses âpres conditions l'avait obligée, elle, et sa mère d'ailleurs surtout car elle était encore toute petite à l'époque, de fuir les grandes terres de leurs ancêtres pour venir se réfugier ici, dans ce monde délicat fait d'agréables conditions de vies et d'un confort inespéré pour les êtres de sa nature. En fait c'est ça qui devait la gonfler, ces petits cons toujours capable de pigner alors qu'il n'y avait ici pas une seule personne dotée de pouvoirs capables de réduire une vie à néant en un simple geste. Ils n'avaient pas conscience de leur chance.

Avançant en grommelant sur la route menant chez elle, elle finit par remarquer quelque chose qui allait enfin illuminer sa journée. Au détour d'une rue, la voilà qui tombe sur un ravissant petit chat, une de ces espèces aux couleurs bariolés, avec une jolie tache blanche pile au milieu de la truffe, ce qui le rendait craquant au possible. S'approchant, captivée, elle tend la main pour venir le toucher mais voilà qu'il se dérobe à sa main pour filer à toute vitesse quelques mètres en arrière, ayant rejoint l’extrémité du passage avant de se retourner et de poser ses fesses, comme si il cherchait à la narguer. Elle le regarde, surprise d'un tel comportement, et essaye encore de le rejoindre pour venir le toucher, mais une nouvelle fois le félin se dérobe à sa main pile au moment où elle s'apprêtait à le caresser, fuyant de nouveau quelques mètre plus loin avant de se rasseoir et de miauler négligemment.

 -  Ok tu veux jouer à ça... T'as pas fait le bon choix, tout les félins sont bons au jeu du chat et de la souris, je t'aurais même si pour ça je dois y passer une bonne heure, vil provocateur !

Et voilà, les instincts qui remontent pile au mauvais moment. La poursuite s'enchaîne, rue après rue, la jeune fille se maîtrisant pour ne pas vraiment agir comme la terranide binturong qu'elle est, et ne fait que suivre le matou, essayant par moment de se cache pour le prendre par surprise, ou encore de l'appâter par quelques mouvements dédaigneux, comme si elle cessait de jouer. Pourtant, la bête maline ne se prit pas aux pièges, et c'est ainsi que rue après rue, allée après allée, puis petits chemins par petits chemins, ils s'écartent de plus en plus de la ligne toute tracée de Mayu pour rentrer chez elle afin d'approcher de manière conséquente des abords de la ville, dans les quartiers résidentiels les plus lointains et délabrés, étrange mélange de société et de vieilles cultures tout à fait ésotériques pour la demoiselle inhumaine. Mais elle le veux, elle ne compte pas se faire avoir par un chat, et elle ne veux pas non plus abandonner, ce qui complique la traque tout en la prolongeant toujours plus.

Finalement, après une petite course poursuite le long des marches, la voilà qui atteint un drôle de temple, en bien mauvaise état à première vue, dans lequel elle voit le chat s'engouffrer, à tout vitesse, disparaissant dans les ténèbres de la bâtisse. Bon elle commençait certes à avoir du mal à respirer, son corps fragile l'ayant porté sur une bien grande distance rien que pour capturer ce félin provocateur, mais désormais c'est la fin du chemin, dans une maison elle n'aura aucun mal à le poursuivre, et ce n'est pas le noir qui allait la gênée, ses yeux voyant relativement bien dans l'obscurité. Tournant autour du temple abandonné, elle fait un petit constat pour être sur que ça ne va pas lui tomber sur le coin de la tête, puis rassuré elle s'approche d'une porte coulissante pour l'ouvrir difficilement, de toute ses maigres forces. Quand enfin elle l'ouvre avec fracas, produisant un claquement significatif, elle regarde timidement à l'intérieur, puis rentre à pas feutré, gardant toutefois ses chaussures dans le cas où quelques débris auraient été laissés par des squatteurs peu respectueux.

 -  Bonjour, je rentre ... si esprit il y a, ne vous offusquez pas, je ne fais que passer.

Bon maintenant ... le chat !

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Prélude / Re : Qui du rêveur ou du rêvé est la réalité ?
« le: mardi 30 septembre 2014, 17:03:43 »
bienvenue charmant rêveuse ^^

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Blabla / Re : Trombinoscope
« le: lundi 29 septembre 2014, 23:51:49 »
Siii je vois now !

Oh qu'elle est mimi notre petite Nyuko ^^

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Elle a du mal à émerger dans la pièce où elle se trouve désormais enfermée, et essaye de se redresser faiblement quand elle prends peu à peu connaissance de ce qui l'entoure, ne se rappelant pas avoir atterrit dans pareil endroit avant son sommeil. Puis viens la première surprise quand, au moment de se relever, elle se sens retenue par les mains et ne fait donc que vainement lever son buste, se cambrant ainsi dans une position qui desserviras surement ses futurs propos, étant donné le charme et la courbure quasiment érotique que cela donne à son corps. Ronchonnant, elle jette un regard en arrière et voit que ses deux mains sont menottés au sol, derrière elle, de telle manière qu'elle ne peux ni séparer ses bras, ni les utiliser d'une quelconque manières, et qu'à moins d'être un championne de gymnastique, même en se redressant elle ne pourrait que les conserver dans son dos, mettant à mal toute défense de la part de la jeune fille. Puis un autre truc la chiffonne en voyant son poignet, sans le divin et magnifique costume de sa veste creeper et elle remonte sur son bras avant d'ouvrir les yeux d'effroi, et de retourner son regard pour voir qu'elle est quasiment entièrement nue, seule lui restant ses collants verts et sa culotte, le reste ayant disparu on ne sait où avec son sac et son matériel de terroriste à la bombe. Mais dans quelle situation avait elle finie, elle ne se rappelait pas de ce qu'il s'était passé avant ! Elle ... elle ...

-  Tieeeens mais voilà que notre terroriste se réveille ! Merci minette, on en avait besoin pour commencer les réjouissances !
-  Aaaaah le vigile !

Mince elle s'en rappelait maintenant, elle était venue ici pour tout faire sauter, et cette saloperie de fils de pute avait manqué de la chopper lorsqu'un jeune fille avait soudainement fait son apparition et l'avait mis ko ! Puis après elle était partie prendre son haut pendant qu'elle avait laissé la fille avec l'homme au sol et s'était mise à la recherche de son blouson dans la pénombre du bâtiment, avant de revenir toute guillerette grâce au succès de son rattrapage de sa tenue à l'aide d'un gros bâton à forme bizarre qu'elle avait trouvée dans un coin de la pièce, avant de voir la fille au sol et le vigile disparue. Puis là plus rien, le trou noir, et maintenant elle se retrouve dans une situation des plus troublantes, au milieu de ce qui semblait être une cage avec le fameux vigile qui avait manqué de l'attraper, et qui désormais la regardais avec cet air salace qu'ont les vieux pervers dans le bus alors que tu y entres dans une tenue un peu provocante.Enfin non elle n'était pas seule, car elle finit par sentir ces deux mains sur sa hanche et remarque la jeune fille qui l'avait aider un peu plus tôt, dans une tenue qui égalait à peu de choses la sienne, soutien-gorge en sus étant donné que Sorcelienne n'en portait pas en temps normal quand elle portait sa tenue de terrible psychopathe, préférant sentir le délicat touché du tissus sur son corps svelte plutôt que d'être bloquée par un étouffant sous-vêtement.

-  Que ... Que se passes-t'il ? On es où, c'est quoi ce bin's ? Oh putain !

Elle s'était progressivement assise en redressant son corps de manière un peu pataude, la paralysie électrique agissant encore et toujours sur son corps, et ses poignets maintenus au sol ne l'aidant pas vraiment à se relever. Mais finalement elle avait conquit cette place assise, rapprochant ses jambes de son corps pour le dissimuler le plus possible, quand elle avait soudainement pris conscience de ce qu'il se trouvait en face d'elle et de la cage, à savoir d'autres enclos dans lesquelles elle voyait des lycéennes, des adultes, dont quelques types aux airs sadiques faisaient connaitre les pires outrages. Ses yeux s'emplissent de terreur en comprenant enfin ce qui était en train de se passer, et c'est avec frayeur qu'elle essaya de se reculer avant que la douleur dans ses épaules lui rappelle la position dans laquelle elle se trouvait, et qui l'empêchait de pivoter ou même de reculer, sans parler de se défendre dans le cas où elles allaient elles aussi se trouver dans pareille situation. C'est avec une peur infinie dans le regard qu'elle se tourne vers son amie du jour, sa camarade étrange, qui semble être dans le même état qu'elle, donc complètement dénuée surement de cette force ou de cette assurance qui l'avait fait assommer le gardien quelques minutes plus tôt. Et remarque qu'elle a encore ses oreilles de chattes et deux queues félines à son derrière, ajoutant à la terreur l'incompréhension.

-  Et qu'est-ce ... qu'est-ce que tu es ?
-  C'est une neko petite terroriste, elles existent dans un plan parallèle au notre, du moins c'est ce qu'on a apprit en nous occupant des autres que nous avons put capturer. Enfin bon, vous vous êtes différentes de ces salopes. Vous, vous me devez des excuses, et je ne vais pas hésiter à demander un remboursement pour la casse que vous avez produite !

Il s'approche alors de la neko affaiblie et l'attrape par la gorge sans une once de gentillesse avant de la rejetée un peu plus loin dans la cellule, afin qu'elle soit capable de voir Sorcelienne en entière, et qu'elle sois malgré tout proche de deux autres menottes fixés au sol. Il ne lui laisse d'ailleurs pas l'occasion de se défendre ou de se ressaisir, la plaquant au sol sur le ventre et s'asseyant sur elle pour qu'elle ne puisse pas se redresser avant de prendre chacun des poignets de la jeune fille et de les placés dans les menottes correspondantes, l'obligeant ainsi de rester dans cette dégradante position au sol. Mais si encore il s'en était arrêté là, la jeune neko aurait put bouger un peu, s'asseoir aussi, et cela l'homme l'avait en horreur, il voulait qu'elle comprenne son erreur de l'avoir frapper, son erreur d'avoir fait couler son sang. C'est pour cela qu'en plus de ses mains, il entrava ses chevilles, obligeant la jeune femme à bouger ses jambes pour venir y appliquer les fers, ceux ci assez mobile pour permettre de faire s'écarter les jambes si besoin. Et voilà, la seul position qu'elle peut désormais prendre c'est les fesses en l'air, comme une bonne petite chatte qui aimerait connaitre le passage vigoureux d'un mâle, et le type ravi de cela se recule un peu pour contempler le merveilleux tableau, tandis que Sorcelienne, un peu plus remontée que plus tôt tire un peu sur ses poignets et avoine le vigile d'insultes.

-  Porc, salauds, arrêtes cela de suite ! Putain cesse immédiatement tes conneries fils de pute !
-  Oh du calme petite pute ton tour viendra ne t'en fais pas !

Il siffle dés lors et l'on entends quelques chose s'approcher. Quelque chose de grand et d'imposant quand il déboule dans le cadre de leur vision. Il venait d'appeler un chien !

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Elle a de l'idée la sénatrice o.o

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Top canon en effet !

Bienvenue parmi nous, je te promets de charmantes mésaventures si tu t'allie avec Haffrant !

-  Je t'emmerde le joueur !

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Prélude / Re : Ashaard, le Sangrelame
« le: dimanche 28 septembre 2014, 14:04:55 »
-  Bienvenue épée bourrée !

C'est Sangrelame, pas Sangrialame

-  Même chose

Oh bon dieu

-  Je suis sur qu'il ferait un sujet de test adéquat.

Mais ... mais il est dangereux les filles vous vous rendez compte ?

-  Moi oui "fuit"

... Bref bienvenue

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 28 septembre 2014, 13:31:37 »
Quelques talents médiumnique Lyan-chan ?

Moi ... je suis malade ... et j'ai failli mourir étouffé dans la nuit par un combo angine bronchitique plus asthme.

13:31 Je veux vivre bordel de merde, putain de corps en mousse

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Blabla / Re : Trombinoscope
« le: dimanche 28 septembre 2014, 12:22:48 »
Je ne peux pas voir la tophoooo snuf

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