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Messages - Marcus Baritello

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Ville-Etat de Nexus / Re : Une noble cause [Pv Marcus Baritello]
« le: samedi 09 août 2014, 21:21:10 »
* Pendant qu'ils attendent leurs verres. Une odeur de pipe... ou plutôt de l’herbe à fumer vient titiller les narines des trois attablés. Cette herbe dite “de joie” a pour effets réputés d'offrir au consommateur une légère euphorie, accompagnée d'un sentiment d'apaisement, d'une envie spontanée de rire et d'une légère somnolence.
Marcus connaît bien cette odeur. Du temps où il n'avait pas encore embrassé la cause, Marcus avait plusieurs fois essayé cette drogue. Heureusement pour lui, les effets escomptés ne furent pas au rendez vous. Ce qui lui dissuada de retenter l'expérience.
L'attention de Marcus revient vers son invité. Celui-ci réagit à ses propos et leur parle enfin de lui. Le jeune héritier est surpris de constater que son nom n'est pas inconnu de l´étranger et que l'emprise des affaires de son père prend de plus en plus d'ampleur au sein de la société Nexusienne. Il est plus que temps qu'il intervienne.

Au fond de la salle une courte altercation musclée entre deux joueurs de Rempono vient interrompre intempestivement leur conversation. L'éclatement d'un tabouret sur la tête du désigné "tricheur" met immédiatement fin au désordre.
Peu perturbé, c’est à ce moment là que le platine lui avoue avoir déjà été esclave. Marcus fronce à son tour les sourcils de doute. Avait il bien entendu ?

- Quoi ? Vous ? Vendu par mon père ? ... Et comme objet de plaisir en plus ?
Êtes vous sérieux ?


* Marcus éclate de rire, attirant à son tour l'attention de l'assemblée. Il se reprend rapidement conscient de ce qu'il vient de faire. L’influence de l’herbe n’y est pas étranger. Il continue à voix basse.

- En effet, mon père est bien spécialisé dans l'objet de luxure comme les terranides de plaisir. Rachel en est un magnifique exemple. Mais VOUS ? Excusez moi mais j'ai du mal à le croire. Non seulement parce que vous êtes un homme mais aussi parce je ne vous vois pas vous laisser facilement capturer.

* Rachel l'interrompt et le contredit.

- Moi pas, il est plutôt joli garçon avec cette longue chevelure blanche.

* Elle regarde le grand homme gênée d'avoir si directement avoué un sentiment. C'est notamment pour cela que Marcus avait immédiatement apprécié la compagnie de cette femme. De sa jolie bouche n’en sort que la franchise.

- Cependant … J’ai toujours ressenti ce besoin de faire justice concernant la vie d’esclave dont j’ai été forcé d’accepter par la faute de votre père sans doute … Alors … j’accepte de vous aider en lui faisant perdre sa précieuse cargaison d’hommes et de créatures esclaves qu’il possède… Je présume que c’est de cela qu’il s’agit ?

* Marcus est satisfait. Finalement, il ne s'était pas trompé sur le personnage qui malgré des dehors froids avait un bon fond. Tout dépend est de savoir maintenant à quelle profondeur il se situe. Il lui confirme sa supposition.

- C'est presque cela ! Parmi mes agissements révolutionnaires, ce sera l'un des plus gros coups.

* Concernant son identité, le platine ne voit pas l'utilité de la leurs dévoiler mais après avoir vidé son verre fini quand même par la décliner.

- Je suis Sephiroth … Je suis soldat de première classe … Je ne suis, effectivement, pas de Nexus … ni même de Terra en réalité … Je viens d’un monde que tu ne peux comprendre. Un monde où la terre même vit, où les monstres sont omniprésents. Un monde où la magie perdure. Un monde où la guerre fait rage … Un monde que j’ai faillit détruire de mes propres mains …

* Un long silence vient ponctuer la fin de sa présentation. Marcus regarde Rachel qui ne lui est évidement d'aucune aide et qui affiche le même visage abasourdi que lui. “Il aurait failli détruire un monde, rien que cela !”
Une nouvelle fois l'incrédulité l'envahis. A chaque fois que Sephiroth ouvrait la bouche, c'est pour les coller à leurs sièges.

- heuuuu...

* Est à peu de chose prêt la seule chose qu'il trouve à dire. C'est à dire rien. Finalement il décide de la prendre à la légère pour détendre l'atmosphère.

- ... Ah ben, cela va être du gâteau alors. Je ne vous demanderai pas de détruire un monde mais seulement de vaincre de puissants mercenaires. Une broutille quoi ! Votre prix sera le mien !

* Alors que Marcus s'apprête à dévoiler la teneur de son plan. Rachel lâche un cri d'étonnement.

- HEYYY!?

* Celui-ci est directement suivi d'une remarque provenant d'une tierce personne.

- ah ouaaaiii, si ça, ce n'est pas de bonnes grosses outres de lait ! Je veux bien être pendu.

* un groupe de voyageur ricanant est debout à côté de leur table. L'un de ceux ci est à l'origine de cette remarque et est planté juste derrière la chaise de Rachel. Il a passé ses bras par dessus les épaules de la terranide et ses deux mains sont vulgairement plantées dans la chair de sa forte poitrine. Ayant capté l'attention de tous ses camarades il rajoute.

- Putin, j'en avait déjà vu des vaches sur jambes mais jamais touché. Seul les gros bourges peuvent se payer de pareilles mamelles.

Tout en détaillant ses pulsions, le sans gène referme ses doigts avec nervosité et malaxe la poitrine de Rachel. Évidement celle-ci qui n'apprécie pas l'attention. Le malandrin manifestement ivre s'adresse à Sephiroth qui devait être, selon son jugement, le propriétaire ou conjoint.

- Combien pour la défourailler une nuit ?

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Étourdis par ce qui vient de lui arriver, Marcus doit se mettre à genou pour ne pas perdre l'équilibre. Une puissante lumière qui provient d'un plafond bas aseptise complètement sa vision et l'oblige à se protéger d'une main.  Ses yeux sont grands ouverts mais il ne peut rien voir. Il peut seulement deviner de légères formes. Un moment d'adaptation lui sera probablement nécessaire. Ses autres sens opérationnels l'informent. Il entend des bruits d'eau qui chute. Il sent une forte odeur de sueur qui lui rappel les geôles des arènes de Nexus. L'ambiance est chaude et moite. Le sol est plat, humide et glissant.
Il lui faut absolument savoir où il est. Soudain les bruits d'eau s'arrêtent. Un bras tendu devant lui, Marcus rencontre un premier obstacle horizontal, c'est du bois (un banc). A tâtons, il y découvre des pièces de tissus qu'il bouscule maladroitement et les fait tomber. Il en sauve un, petit et léger, une sorte de mouchoir à dentelle blanc ? (Une petite culotte). Il le porte à son nez pour en déterminer la facture. De la soie ou une matière s'en rapprochant, il y plonge son nez. Il y décèle une flagrance qu'il sait connaître mais sans arriver à la déterminer avec précision. Persuader de trouver là un indice sur le lieu où il se trouve, il inspire plus profondément.

« Qu’est-ce que vous faite là ? Les hommes n’ont pas le droit d’être ici ! »

Surpris de la voix féminine, il en laisse tomber sa découverte. L'accents lui est inconnu, le ton de la question est inquiet tandis que celui de l'invective est agacé. Par contre la douce voix féminine le rassure. En effet, il aurait pu tomber sur un brutal gladiateur. Il cligne des yeux pour forcer sa vue. Il perçoit une silhouette recroquevillée sur elle même. L'attitude est protectrice, voire effrayée.
C'est en effet une femme, il n'y a pas de doute la dessus. Les formes de la demoiselles sont remarquablement parfaites. Il ne discerne pas les détails. Mais il la sait sacrément sexy. Ses formes sont rondes là où il faut. Une bonne génitrice comme on dirait par chez lui. Marcus souhaite la rassurer. Mais quoi dire ? Comment expliquer sa présence ici. Lui a maintenant bien compris que ce foutu miroir était une sorte de passage magique. Mais où à t'il atterri nom d'un cyclope? Dans un autre pièce du manoir de l'archimage ? Ou peut-être beaucoup plus loin encore ? Dans un mystérieux donjon ?
Des mouvements vifs, la jeune femme vient de saisir une pièce de tissus devant lui. Elle l'enfile tout aussi rapidement. Sa vue revient lentement, mais pas assez vite que pour profiter du spectacle. Il comprend qu'elle noue ensuite une sorte de serviette autour de sa taille.

Je... N'ayez pas peur... Je... Ne vous veux aucun mal, gente dame.

Cela lui suffit semble t il pour changer d'attitude. Elle se précipite maintenant vers lui. Préoccupée par son état. Elle est proche de lui.

« Vous voulez peut-être de l’aide Monsieur ? Vous êtes aveugle et vous vous êtes perdu ? »

De la gentillesse ? Que cela fait du bien à ses oreilles ! Cet accent est manifestement très charmant.
Il peut voir maintenant certains autres détails. Dont tout particulièrement, deux grosses boules, séparées d'une petite fente sombre à leurs sommets, attirent son attention. Sa vue se précise encore. Il reconnaît la couleur de la chair derrière un tissus transparent. Il y a aussi deux tâches plus sombres symétriques soulignées de leurs propres ombres.  Marcus saisi enfin la teneur du tableau, il cligne des yeux et rougit. Il voit net maintenant. Ce sont deux gros seins bien ronds dont les tout aussi impressionnants tétons frigorifiés pointes vaillamment vers lui.
Il redresse vivement la tête. Les joues rosies d'excitation par les images salaces que la vue de ces volumineuses mamelles lui inspire. Il se voit les lui dévorer fougueusement. Il en salive instinctivement. S'il ne se contrôlait pas, ce serait à son tour de pointer.
Son interlocutrice est une jolie blonde toute mouillée et agenouillée devant lui. Elle lui prend la main pour l'aider à se lever. Avec gratitude, il profite de l'offre. Maintenant debout, Marcus la domine d'une tête. Soudain, son regard est capturé par les grands yeux bleus de la jeune femme. Il en balbutie d'émotion.

Merci... Heu... Suis je... au paradis ?

Après avoir échappé à une demi démone lubrique, le voici dans dans les mains d'un bel ange amical. Quel contraste. Il en frissonne encore. Il revoit la saisissante scène où Areala lui avait dévoilé ses attributs disproportionnés. Même lui qui se sait plutôt extrêmement bien membré, ne pouvait supporter la comparaison. Quel soulagement d'avoir pu lui échapper. D'un tour d'horizon du regard, méfiant, Il vérifie qu'il n'en voit pas les queues.

Son regard de nouveau opérationnel en profite pour aller récolter d'autres informations. Ils sont dans une sorte de pièce où toutes les parois sont maçonnées de sortes de pierres carrées, très lisse, brillantes et d'un blanc éclatant. Des bancs en bois clair en garnissent la périphérie. Au plafond, brillent des sortes de doubles candélabres horizontaux et puissants. Les parois sont couvertes de coffres en métal, blancs eux aussi. Deux issues à la pièce. L'une est une baie ouverte sur sorte de cave mouillée, toute blanche encore. L'autre se rapproche de ce qu'il pourrait déterminer comme une porte lisse et rouge.
Marcus saisit les bras de son bel ange. Ses jolis yeux bruns replongent dans les siens. Il l'interroge avec son très exotique accents Nexusien.

Qui êtes vous ?

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Ville-Etat de Nexus / Re : Une noble cause [Pv Marcus Baritello]
« le: jeudi 31 juillet 2014, 09:38:30 »
* Ben voyons, Marcus ne l'aurait pas parié. L'étranger se calme et accepte enfin sa proposition. Tout à l'heure paranoïaque, maintenant serein on croirait avoir une autre personne en face d'eux?
Et ce même après avoir été agressé par Rachel. D'ailleurs celle ci l'avait une fois encore impressionné. Ils s'aimaient beaucoup. Mais d'un amour plus parental que sentimental. Quoi que, des fois... Telle une maman qui défend son petit, la terranide avait bravé le danger sans y réfléchir. Marcus regarde sa gouvernante avec admiration et bienveillance. Celle ci, calmée par le revirement de situation, lui tire la langue comme réponse. Ils se connaissent si bien que tout était dit.

Sur ce, Marcus les précède pour entrer au tonneau percé. Il s'agit d'un petit escalier de pierre qui s'enfonce à demi niveau sous une grande maison au coin de la rue du même nom.

L'établissement est renommé pour l'exotisme de sa clientèle. En tant que nexusien, Marcus le connaît pour l'avoir un peu fréquente. C'est un endroit rêve pour y rencontrer des mercenaires. Ainsi leurs discussion avec le platine devrait passer inaperçu.

A l'intérieur de la taverne , l'ambiance est tamisée à la lueur des bougies qui n'éclairent que les tables. Quelques filles de joie profitent de la présence d'aventurier de passage pour tenter d'alléger le fardeau de leurs bourses trop remplies. De quelles bourses parle-ton ? Autant l'une que l'autre.
Ils choisissent une table de 4 chaises libres.

Le petit groupe est à peine assis que Magya , la jeune serveuse Neko, qui travail depuis peu dans cet établissement vient prendre leur commande. C'est une très jolie fille qui doit beaucoup faire tourner les têtes. Heureusement sa dextérité raciale lui a permis jusqu'ici d'échapper aux attentions trop câlines des clients avines. Avec simplicité, elle demande...

- Bonjour, que puis je vous servir ?

* Marcus prend son temps avant de répondre. Cette demoiselle lui rappel beaucoup quelqu'un d'autre. Une esclave pour laquelle il ne pût rien faire directement. Un triste souvenir, en fait. Il revient à lui et répond avec un grand sourire charmeur.

- Trois verres de votre meilleure hydromel, s'il vous plait mademoiselle.

* Habituée à la séduction, la Neko au yeux d'émeraude ne réagit pas et part immédiatement. Le regard de Marcus traine une seconde sur la belle silhouette féline qui se faufile avec grâce entre les tables. Il revient ensuite au sujet qui les préoccupe. Il regarde le platine et se présente.

- Je m'appel Marcus Baritello. Et voici Rachel, ma gouvernante... Et amie.

* la terranide sourie flattée de la dénomination finale de son jeune maître. Marcus commence par expliquer...

- Je ne vous crois pas Nexusien. Vous ne devez peut-être pas connaître cette famille. Nous sommes marchand d'esclave de père en fils depuis cinq générations. Mon père possède le plus grand réseau de distribution de la ville. On peut dire que nous somme plus des grossistes que des marchands.

* Il se sent obligé de préciser.

- Ce n'est pas avec fierté que je vous dis cela car, au grand damne de mon père, je ne partage pas les valeurs familiales. J'agit dans l'ombre de ses activités pour sauver ce qui peut l'être avec les moyens qui sont à ma disposition. C'est pourquoi aujourd'hui, j'ai besoin de vous... de votre force... et plus encore de votre sens de la justice.

* Marcus est interrompu par le retour de la jeune Neko avec son plateau charge de trois grand verre de vois plein à raz bord de la boisson rafraîchissante promise. Elle sert individuellement chacun. Timidement elle se retranche derrière le plateau comme un bouclier et cette fois avec un grand sourire, elle annonce.

- Cela fera trois dragmes de cuivre, monsieur.

Le jeune héritier, regarde sa gouvernante. Celle ci qui manifestement s'y attendait plongé sa main droit dans son profond décolleté et en sort la somme demandée. Marcus fait une petite grimace. Rachel fait la moue et va rechercher un pourboire d'un dragme supplémentaire que Magya accepte avec les yeux brillants de reconnaissance.

- Oh Merci mes seigneurs ! Je vous souhaite une bonne soirée et... N'hésitez pas a m'appeler pour quoi que ce soit.

* Ajoute elle malicieusement. Une fois encore Marcus ne peut s'empêcher de la mirer lorsqu'elle s'en va. Rachel est obligée de lui donner un petit cou de coude pour le sortir de sa rêverie. Il soupire. Puis revient dans le fil de sa discussion avec son invité.

- Excusez moi. A la vôtre !

* Il lève son verre, Rachel le suit et boivent de concert.

- Avant d'entrer dans les détails de la proposition que j'ai à vous faire, s'il vous plait, dites moi, qui êtes vous et d'où venez vous ?

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Prélude / Re : Génitrice de l'enfer formien
« le: lundi 28 juillet 2014, 23:15:54 »
Gulps !
On avait déjà "Sarah Kerrigan". Comme si nous n'avions pas assez de tentacules dans le c...
Bien venue quand même. En espérant que jamais nos chemins ne se croisent.
*courre se réfugier dans les bras de sa nounou...

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Sympa de jouer en couple.
Jaloux*
Bien venu au mari donc. Qui est madame ? Non, ne répond pas ^^
Enfin pour l'anecdote, moi j'aime beaucoup l'avatar étant fan de la série télé :P

51
Prélude / Re : Clara Caster
« le: lundi 28 juillet 2014, 12:03:59 »
Bienvenue à toi belle Futa.
Au plaisir donc de se rencontrer à l'occasion d'un rodéo.  :P

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Ville-Etat de Nexus / Re : Une noble cause [Pv Marcus Baritello]
« le: dimanche 27 juillet 2014, 23:35:36 »
Contre toute attente, Marcus reçoit un coup à l'épaule droite qui le déséquilibre au point qu'il faillit tomber. La douleur le fit grimacer. Ce type à une force surhumaine.
Rachel inquiète se précipite pour soutenir son jeune maître.

- Marcus ? Tu vas bien ?

Il se frotte l'épaule et la rassure...

- On va dire qu'un peu plus fort et il me déboîtait l'épaule. Mais ne t'inquiète pas, je m'en sortirai avec un gros bleu.

La moutarde monte au nez de sa gouvernante. De rage, elle se retourne et d'un geste d'une rapidité dont seule les femmes impulsives ont le secret,  elle gifle le platine. Rouge de colère elle hurle et débite ce qu'elle a sur le cœur.

- Pour qui vous prenez vous pour agresser ainsi les gens ? Où avez vous été éduqué ? Servez vous de votre langue et non de vos muscles !... Espèce de grosse brute !

Elle crie les poings serrés.

- Et non Marcus n'est justement pas comme tous les autres!

Surpris, Marcus oublie sa douleur et se précipite pour temporiser sa belle "nounou".

- Calme toi, Rachel, je suis sûr que comme moi monsieur n'a pas voulu faire à mal.

Marcus se repositionne entre Rachel et le platine pour la protéger d'une éventuelle violente réaction du giflé.

- Je... Heuuu... Restons calme. Nous ne sommes pas parti du bon pied.

Il tente de s'expliquer.

- Si je ne me suis pas présenté d'entrée et que je ne vous ai pas dévoilé mes véritables intentions, c'est que ces informations vous serons uniquement destinées.

Inquiet, il regarde autour de lui.

- Une voie publique, n'est pas le lieu rêve pour cela. Tout ce que je peux vous dire...

Marcus se frotte à nouveau l'épaule.

- Ce sont bien de vos muscles que nous avons besoin.

Il prend le temps de juger son interlocuteur et lui laisse le temps de digérer les événement. Puis il conclus.

- Alors, soit on en reste là et nous repartons chacun de notre côté. Soit vous ne prenez pas trop de risque à nous suivre boire un verre, autour duquel je compte bien vous expliquer en détail qui je suis et ce que j'attend de vous.

Vu le caractère disons "explosif" de leur nouvelle rencontre, Marcus se dit que ce n'est déjà plus que du "quitte ou double" maintenant...

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Ville-Etat de Nexus / Re : Une noble cause [Pv Marcus Baritello]
« le: samedi 26 juillet 2014, 20:03:46 »
Marcus et Rachel sont bloqué dans la petite ruelle du tonneau percé. Cette ruelle doit son nom au célèbre petit troquet de boisson qui a élut domicile dans une cave à l'entrée de la rue. Une foule barre le passage.  Accompagné de sa gouvernante, Marcus à passé toute la journée à prospecter dans les bas fonds mais hélas sans succès. Déprimé, il se dit que son projet est maintenant bien compromis.

Il n'est pourtant pas conseillé de traîner dans un quartier si mal famé. Encore moins pour un bourgeois des quartiers aisés suivis de son esclave de luxe. En effet, Rachel, une belle terranide, femme vache, ne passe pas inaperçu. Elle appartient à l'espèce d'esclave sexuelle la plus courue de Nexus. Beaucoup ont dû s'étonner de la voir se promener librement sans entrave ni protection au côté de son propriétaire. Mais le caractère secret de sa mission et l'urgence de la situation, ont obligé Marcus à prendre des risques.

Les voilà donc immobilisé au beau milieu de la populace. Mais pourquoi les autochtones se sont ils subitement rassembles dans la rue ? Après s'être faufilé de force, ils arrives tous les deux à portée de vue et de voix de l'événement qui est à l'origine de ce capharnaüm. Deux hommes se battent au beau milieu de la rue. Il fallait s'en douter, ce genre d'altercation est plutôt courante en ces lieux. Bien évidement, la maréchaussée ne montrera pas le bout de son nez. Le combat semble déjà toucher à sa fin, un grand baraqué est en train de donner une leçon à un pauvre gars. Certainement un règlement de compte. Entendant les commentaires autour d'eux, ils finissent par comprendre qu'il s'agit d'un racket qui à mal tourné. Le géant, s'appel Gorgo. Il est connu dans le quartier pour être une petite frappe qui travail à la "Guilde". Il est en charge des recouvrements de dette. A juste titre, ce violent personnage est craint.

Le spectacle est insoutenable. Le débiteur en prend littéralement plein la gueule. Son visage déformé de tumeurs pisse le sang. Marcus ne peut rester sans rien faire, même s'il sait pertinemment bien ne pas posséder les capacités physique de s'imposer. Heureusement après Rachel la ruse est sa meilleure amie. Lorsqu'il allait crier "Au keuf !", ce qui aurai très probablement immédiatement affolé l'exécuteur et tous les spectateurs, un troisième personnage intervient juste avant lui.

Personne ne vu venir le coup de poing, encore moins sa cible, Gorgo. Celui ci fut projeté à terre tel un fétu de paille. Il y eu une clameur d'étonnement et les gens se reculèrent pour faire place au nouveau venu. Le mouvement de foule repousse Marcus et Rachel, les empêchant de bien voir. Tout se passe très vite, l'homme est grand et svelte. Il possède une incroyablement longue chevelure blanche ou plutôt argentée qui le caractérise. L'inconnu semble prendre la défense du misérable ensanglanté. La foule encourage également les nouveaux protagonistes à se battre. Elle ne sera pas déçue. La nouvelle affaire est vite tranchée. Une petite minute plus tard à peine, c'est a Gorgo, le nez rouge de sang, de mendier la pitié du nouveau venu. Celui ci en profite pour lui faire la morale.

-Maintenant tu fuis ? Alors que tu n’as même pas laissé cette chance pour ce jeune homme ?

Sur ce, le visage de Marcus exprime un sourire de satisfaction. Tout n'est pas perdu, il tient son homme.
Finalement le platine laisse fuir la brute. L'endetté ne demande pas non plus son reste et en fait de même. La foule se disperse alors aussi vite qu'elle s'était rassemblée. Il n'y a plus rien à voir, si ce n'est, ci et là, des pavés colorés de rouge. L'étranger se retrouve seul.
C'est à ce moment que le jeune bourgeois saisi sa chance.

- hey l'ami ! Ne vous en allez pas !

Suivi de près par Rachel, Marcus le rattrape et arrive à sa hauteur. Le platine se retourne le visage exprimant une sévérité peu engageante. Il ne se démonte pas et le gratifie d'une tape amicale.

- Je... Nous voudrions vous remercier de ce que vous venez de faire. Laisser nous au moins vous offrir un verre.

Engageant et admiratif, il tient amicalement le bras du platine. D'un geste de sa main libre il invite l'inconnu à le suivre au "Tonneau percé".

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Dictature d'Ashnard / Re : Est ce grave docteur ? [Prima Cadenza]
« le: jeudi 24 juillet 2014, 19:41:45 »
Toujours armée d'un si beau sourire, Perle obéit sans tarder.
Une fois encore l'héritier se dit que cette petite porte bien son nom. Marcus est à la fois détendu et attentif aux soins que le jeune maid lui prodigue. Il la sent très « motivée ». A un tel point qu'il s'en étonne même. Lui qui a pourtant l'habitude d'être servi par une armée de dociles serviteurs. excepté Rachel qu'il ne considère d'ailleurs plus comme une esclave, jamais il n'avait pu constater un tel zèle parmi ses gens. En effet, son père possède probablement le plus grand cheptel d'esclaves de Nexus. Situation contre laquelle il avait juré un jour de se révolter. Mais ce combat n'est que partie remise.
Pour l'heure, il compte bien profiter de l'hospitalité et de l'envie qui lui sont offertes. Le satyre épuisé ne s'est toujours pas manifesté, la soirée s'annonce alors de bonne augure.

Tous les sens de Marcus sont en éveil. Les mains de Perle sont douces. Ses gestes, non, plutôt ses caresses sont expertes et agrémentées d'un brin de curiosité. Il la sent  parcourir son dos, ses épaules, ses bras,... telle une exploratrice. Elle ne doit pas le savoir mais son corps est en pleine mutation. Du jeune citadin dandy gâté, les dangereuses aventures qu'il commence seulement à vivre ont contribué progressivement à l'endurcir. Ses muscles se raffermissent. Déjà plutôt longiligne, il avait encore perdu du poids. C'est justement lors de l'une de ses expéditions dans les landes sauvages à la recherche d'un hypothétique trésor magique au plus profond d'un obscure donjon qu'il fut damné et obligé de partager son existence avec un monstre. Et que, depuis lors, il doit traîner avec lui ce bien néfaste fardeau.

Petite à petit, le soin nettoyant se mute en sensuel massage. Chassant par la même ses idées noires.
Ohhh ouiii là ! Ouf, je sens que c'est tendu !
Marcus se cambre sous la savante pression du pouce de la servante sur une série de vertèbres dorsales en particulier. Informée de son succès, Perle y insiste avec le plus grand plaisir.
Ses mains remontent du dos, passant sur les épaules, traverse lentement la nuque et finisse dans sa chevelure mi-longue. Les doigts plantés dans ses mèches, elle lui masse le crane. Marcus ne peut refréner un petit soupir d'aise.
- Mmmmh. Vous avez des doigts de fée ma chère.
Il ne la voit pas mais ressent son sourire de réponse.
Dehors la nature est en colère. Masqué par une lourde tenture de velours rouge et derrière de délicats vitraux eux même protégé par de solide volets, on devine facilement que la tempête fait rage. A l'intérieur, quel contraste! Il fait si calme que Marcus peut même entendre respirer Perle. Pour l'ambiance, l'huile de bain dégage une agréable et subtil odeur de fleur. Les lentes volutes de vapeur qui se dégage de l'eau calme inspire une certaine sérénité. Cela fait longtemps qu'il n'avait pas savouré un tel moment de plénitude.

Il ressent un nouveau contact dans son dos, peau contre peau. Il ne peut y avoir de doute. Le touché est plus intime, doux, moelleux mais ferme à la fois. Ce sont les deux petits seins biens ronds de sa masseuse. Marcus se concentre un instant sur ce ressenti. Prenant plaisir à l'analyser, à déceler l'intentionnel de la maladresse. Il sourit de constater que le contact est franc et sans gêne mais avec un léger contrôle qui lui permet de conclure qu'elle en a bien conscience et qu'elle joue avec. Il va pousser le plaisir jusqu'à répondre en reculant subtilement le dos pour insister et profiter d'avantage de ce délicieux contact. Qui l'eu cru qu'une si simple attention lui procurerai un jour tant de satisfaction. Caressé par cette fraiche poitrine, des images salaces le submergent. Il en salive légèrement et doit déglutir.

Sa chevelure propre et son crane exploré, Perle contourne maintenant la baignoire et vient se camper devant lui. Elle demande en se tortillant les pieds comme une jeune fille qui mendie un caprice.
- Cela vous ennuie si je me joins à vous ? Ça n'en sera que plus facile... pour vous nettoyer.
Mais son regard séducteur contraste avec sa posture enfantine. Elle sait ce qu'elle veut et l'exprime avec finesse. Marcus est conquis. N'hésitant pas une seule seconde...
- Quelle question ? Je vous en prie !
Marcus lui tend la main pour l'accompagner poliment lorsqu'elle doit enjamber le rebord du bassin de cuivre massif. Une attention chevaleresque dont elle ne doit pas souvent avoir le bénéfice.
A ce moment, un infime détail attire l'attention du jeune homme. Obligé de partager sa conscience en permanence avec un immonde pervers, lui a appris malgré lui quelques petites choses. Dont celle ci; « il faut toujours s'assurer de l'état de réceptivité sexuelle d'une potentielle partenaire » ou plus justement dans le cas du démon, d'une potentielle victime. Durant un nombre incalculable de fois, le satyre lui avait fait l'inventaire des nombreux indices physiques qu'il est selon lui aisé de déceler chez l'humain.
La pincée de secondes qu'il fallut à Perle pour le rejoindre, suffit donc à Marcus pour le convaincre alors définitivement de son état. En effet, au moment précis où la belle écarte ses cuisses pour lever la jambe et le rejoindre, l'apprenti satyre y perçoit malgré lui un léger reflet mouillé à l'aine.
Conclusion: Mademoiselle est en chaleur et le désir. Cette information déclenche en lui une vague d'excitation contagieuse. Il ressent une naissante envie entre ses propres cuisses.
La jeune fille s'agenouille pour s'immerger lentement devant lui. Si proche, il a tout le temps d'admirer la fraicheur parfaite de sa plastique. Sa silhouette est douce, ses jambes longues, ses hanches jeunes et délicatement taillée, une taille incroyablement fine – dieu qu'il aime ça – une jolie poitrine ronde et ferme, un cou élancé, une vivante chevelure châtain clair et.... au niveau du visage, Marcus est capté par ses grands yeux. Il ne peut détacher son regard du sien. Une inattendue énergie le submerge alors et fait battre son cœur plus vite. Il a l'impression de se nourrir de son envie et de sa jeunesse. Maintenant face à face, les deux baigneurs se sourient et se dévorent du regard.
Marcus s'agenouille aussi. Il la prend par les hanches pour s'aider à garder l'équilibre. En position, il ne la libère pas. Bien au contraire, à son tour sous l'eau et pendant qu'elle reprend innocemment sa tâche, il va tendrement l'explorer de ses mains curieuses.

55
Vu mon expérience (qui a dit le vieux ?) je peux aussi aider comme aide-penseur...
De plus j'adore ce genre d'univers.

56
Je suis impatient de voir le jugement à l'action.
L'interdiction de rapport sexuel pour les membres du groupe est sévère mais très intéressante. Des trames de scénarios sont à développer sur ce thème.
A suivre...

57
Dictature d'Ashnard / Re : Est ce grave docteur ? [Prima Cadenza]
« le: mercredi 16 juillet 2014, 19:25:23 »
Obnubilé par son inattendu handicap, le jeune héritier ne peut que subir l'ensemble des événements qui surviennent avec rapidité mais sérénité. Sans perdre son sans froid, comme si sa belle hôtesse avait déjà tout compris, avec grâce, Cadenza lui désigne une de ses servantes. Certainement un choix moins innocent qu'il n'y paraît. Elle la charge de lui faire visiter l'immense demeure. Marcus répond au joli sourire de contentement que la jeune soumissionnée lui fait en guise d'acquiescement.
Sur ce, la comtesse prend déjà congé de son invité. Au vu de la situation et toujours sans ne rien pouvoir dire, Marcus doit se résigner. Il se lève en marque de grand respect non seulement pour son haut rang social mais aussi pour sa grande sagesse. A regret, il doit donc se contenter de répondre à sa révérence d'un simple salut. Il la regarde s'éloigner, ne la quittant pas des yeux tant qu'elle se trouve dans son champ de vision.

Maintenant seul, Marcus se dirige vers la jeune servante qui l'attend déjà au pied des escaliers, manifestement ravie de la nouvelle tâche qui lui a été confiée.
Je vous suis ma chère.
Le possédé est lui même surpris des sons qu'il vient d'émettre. Le satyre lui aurait rendu la parole! Mieux encore, depuis le départ de la comtesse, celui-ci, à son tour, est devenu muet ?
Ce qui confirmerait l'hypothèse que Marcus s'est forgée à force de réflexion depuis sa malédiction. Cet être maléfique aurait besoin de « récupérer » après l'avoir contraint un long moment à agir sans son consentement. Une conclusion de laquelle il faudra certainement tirer parti. Pour l'heure, il compte bien profiter pleinement de ce répit.

Un uniforme charmant et un sourire qui l'est plus encore, la jeune guide de Marcus réussit à lui faire oublier sa malheureuse situation et -presque- l'absence de sa belle maitresse. Il la suit et l'écoute sagement. Le jeune homme admire l'énergie qu'elle dégage pour effectuer consciencieusement son travail et par la même attirer son attention. Perle porte bien son nom. Il serait fier de la compter parmi ses propres servantes.
Le dialogue s'amorce enfin à l'occasion de la visite de la galerie des portraits où sont visibles de nombreux tableaux représentant la noble généalogie de la famille Crucius.
Certains, plus récent, représentent Cadenza le buste gonflé de fierté. « Mmm et quel buste! » pense t'il encore. Un détail retient son attention. Ce n'est pas le profond décolleté de la robe qu'elle arbore avec une élégance inégalée, quoi que,... mais plutôt des étranges symboles qui décorent les riches tapisseries derrière elle...? Soit !
Une grande partie des portraits représentent le bonheur du comte et de la comtesse. Interpelé par ce couple rayonnant, Marcus se permets d'interrompre Perle...
Pardonnez moi ma curiosité, ma demoiselle, mais où est le comte ? Excepté la comtesse et ses nombreuses servantes, je n'ai pas rencontré d'homme dans cette demeure.
Prenant le temps d'admirer un chef d'œuvre de plus près. Marcus précise...
Ils ont l'air très heureux !
Interrompue dans son élan mais sans perdre contenance, Perle en profite pour se retourner et le dévorer du regard.
Vous l'avez dit messire...  Les hommes... Elle insiste sur ce dernier mot… sont rares dans ce château... mais pas absent. Ma maîtresse vous en dira d'avantage.
Elle l'invite ensuite une nouvelle fois à la suivre.
Si je puis me permettre: la suite de la visite est par ici.
Une invitation à nouveau soulignée d'un sourire ravageur...
Si bien accompagné, le temps passe vite. Les voici déjà dans l'aile des invités où Perle lui ouvre la porte d'une magnifique chambre. Il y trône un impressionnant lit à baldaquin. Elle l'y précède.
Tout en lui énumérant les équipements de la pièce et dans un souci de perfection qui l'honore,  la jeune soubrette, s'empresse inutilement d'y donner la dernière touche de propreté. La grande chambre est, entre autre, également équipée d'une garde-robe massive en chêne, d'un gigantesque âtre réconfortant et d'une baignoire en cuivre pleine d'eau.
C'est alors qu'elle se penche pour s'acharner à parfaire la planéité de la literie. Marcus ne peut résister au plaisir d'admirer sa fraiche descente de rein... et lutte contre une pernicieuse envie de lui soulever les jupons pour en mirer d'avantage.
C'est... très joli tout cela.
Se sentant à l'aise en la présence de cette accueillante jeune fille,... Marcus décide finalement d'abuser de son hospitalité... Il argumente.
Je compte bien de prime à bord me décrasser quelque peu. Cette interminable chevauchée à travers les landes désolées a fait de moi... un animal.
Je souhaite recouvrer mon humanité sans délais et prendre un bain.

Il en vient au fait...
Pouvez vous ma chère me faire bouillir de l'eau.
Au plus grand plaisir de Perle, il réussit ainsi à prolonger leur entrevue.
Pendant que celle-ci rempli une marmite d'eau et la porte au feu, sans aucune pudeur, Marcus se défait déjà de ses vêtements les uns après les autres. Tout en continuant d'inspecter les riches aménagements de sa chambre, les uns après les autres, il se défait d abord de ses chausses, ensuite il jette sur le lit sa tunique brodée, puis ses braies de cuir et  enfin sa chemise de soie. Maintenant nu, il dévoile à Perle, qui n'en rate pas une miette, son grand corps svelte et sec. Les joues délicieusement rosies, l'attention de la servante est souvent distraite par le bel homme qui va et viens autour d'elle.
Un instant plus tard, ne l'ayant pas entendu arrivé, elle sursaute lorsqu'il lui susurre soudain à l'oreille... La main négligemment posée sur sa hanche...
Permettez moi d'abuser,...
Si proche qu'elle en frissonne de sentir le souffle de sa voix à travers ses fins cheveux.
...mes vêtements ont tellement souffert du voyage,... de vous mander de les faire nettoyer.
Elle se retourne et va verser l'eau bouillante de la marmite dans l'eau froide de la baignoire. Elle acquiesce... avec une pointe d'émotivité dans la voix.
Je suis toute à votre service, messire !
Le regard appuyé qui accompagne cette réponse est sans équivoque...
Marcus n'hésite pas... D'une voix douce, il ajoute...
Cela tombe bien... car j'ai une dernière volonté.
Joignant le geste à la parole, l'invité détache le nœud de soubrette qui retient savamment toutes les pièces de tissus de la robe de la jeune maid.
Accompagnez moi, ma jolie Perle !
Il libère enfin les lacets de son col pour faire choir la robe entière au pied de la servante maintenant  aussi nue que lui. Marcus offre un charmant sourire de contentement en échange de la ravissante silhouette qu'il vient de se dévoiler.
Face à elle, le jeune homme se hisse alors dans la baignoire et glisse lentement dans l'eau tiède.
Elle, non plus,  ne rate rien de son anatomie, des viriles proportions de sa sobre musculature et surtout de la taille remarquable de sa verge. Les jolies joues de Perle prennent alors une charmante teinte plus empourprée encore.
Leurs regards respectifs s'accrochent dans une première étreinte visuelle. Marcus insiste.
Frottez moi, je vous prie !
« Après tant d'épreuves, qu'il est bon de retrouver un moment de paix et de douceur... »Pense t-il.

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Les alentours de la ville / Un long dimanche de fiançailles [Madison Broow]
« le: mercredi 25 juin 2014, 06:32:33 »
Chapitre un: La fille du sorcier...

La Délégation commerciale de la famille Baritello arrive au manoir du prince sorcier de la marche d'argent. Reçu avec raffinement, le père et le fils continue la visite de la somptueuse propriété en tête à tête avec l'archimage Graganiat. Le vieux prince vêtu d'une robe d'or rougeoyante les invite dans son salon privé. Une odeur âpre d'encens divers vient leurs titiller les narines. Les nombreux objets exotiques qui décorent cette grande salle obnubile l'attention de Marcus.
Soudain c'est au beau milieu d'une conversation entre son père et son hôte que, dans une brève explosion nuageuse, apparaît une inattendue « créature ».
Une fois les volutes de fumées complètement évaporées, les invités peuvent voir une sublime femme à la peau grise, aux cheveux blancs de glace et long, à l'opulente poitrine et presque entièrepment nue. Uniquement vêtue d'un string en chaînettes d'or et de diamant, la jeune beauté cornue se présente avec grâce aux visiteurs. Elle est plutôt sportive et très grande. En effet, malgré le gabarit élancé de Marcus même pour un homme, cette créature lui tient facilement tête. Ses gênes démoniaques sont à peine voilé; deux belles cornes lui jaillissent du crâne, deux ailes noires sont modestement repliées derrière ses épaules et enfin une longue queue ondule gracieusement derrière elle.

Bonjour messeigneurs, je suis Aréala.

Ah ! Je ne vous avais pas encore présenté ma fille. Ma grande et belle fierté. Elle héritera de tous mes biens après ma mort.

Explique le prince en caressant fièrement la joue de sa progéniture. Ce n'est pas difficile d'imaginer avec qui ce vieux pervers à pu procréer une telle créature. Il est de notoriété que pour se divertir quelque peu les magiciens et autres sorciers invoquent couramment des succubes. Son père, répond non sans un grand intérêt.

C'est avec ravissement que nous faisons enfin votre connaissance, demoiselle Areala.

Marcus flaire l'entourloupe convenue entre ces deux vieux magouilleurs - lui faire rencontrer une riche et belle héritière -. Seulement elle n'est pas assez "naturelle" pour lui. En toute réponse, il fait un simple signe de tête.

Va ma fille, fais visiter le reste de la propriété à notre jeune invite.

Le regard avide et le sourire presque carnassier que jeta la demi-démone sur le jeune héritier lui fit frissonner l'échine. Joignant le geste à la parole, elle le prend délicatement par la main...

Viens !

"Elle me tutoie déjà. Mauvais signe ça". Pense t- il. A peine ont-ils quitte la pièce sous le regard bienveillant des paternels que Areala lui dévoile ses véritables intentions.

Évitons la barbante énumérations des nombreuses pièces de ce manoir, je vais d'abord te faire visiter ma chambre. Viens c'est par là !

Elle l'emporte. Excitée de découvrir un nouveau jouet, la sublime beauté le tire par le poignet. Il n'arrive pas a s'y opposer. Quelque chose l'hypnotise en elle. Sa voix ? Son incroyable silhouette musclée ? Ou encore sa poitrine au volume surnaturelle ?

MMm t'es vraiment mignon. J'ai crains que tu ne sois un vil petit bourgeois grassouillet. Tu es à mon goût. Il ne me reste plus qu'à le vérifier dans mon lit avant notre mariage.

Ce mot le sorti immédiatement de sa contemplation. Mariage = Au secours. Sans prévenir et avec énergie, il se défait de son emprise. Dans la foulée il s'enfoui dans un des obscures couloirs de l'énorme bâtiment. Il courre. Elle le suit et l'appelle.

Marcussounet, n'ai pas peur, je veux seulement te baiser à mort.

Sa voix changea lorsqu'elle prononça les quatre derniers mots. Une voix lourde et grave. Comme sortie des profondeurs de l'enfer. Marcus jette un regard effrayé derrière lui et se met à courir plus vite,... le plus vite qu'il puisse. Il a vu, ou cru voir, une ombre entre ses cuisses. Comme un énorme pénis [contenu explicite] poindre d'envie... Il l'entend rire. Une course poursuite s'engage à travers chambres, couloirs, et... Arrivé dans le grenier du manoir, il trouve enfin une cachette salutaire. C'est une sorte de grand panneau de bois précieux richement décoré, aussi grand qu'une porte.

Mon petit lapiiiiin...

Sa poursuivante passe son chemin. Marcus n'ose plus bouger. Il se tait. Attend d'être sûr d'être seul. Après un long moment, il se redresse. Autour de lui, le grenier est une sorte de fourbi merveilleux ou s'entasse d'innombrables objet plus mystérieux les uns que les autres. C'est alors qu'il s'intéresse à l'objet responsable de son salut. C'est un grand miroir. Celui-ci est partiellement masqué par un voile sombre. Comme si l'on avait cherché à dissimuler son existence précipitamment. Curieux, il le dépose sous un nuage de poussière. Contre toute attente, son reflet, et uniquement son reflet, est absent de la surface métallique. Interloqué, le jeune homme touche la surface froide du métal. A ce moment, un tourbillon de lumière l'aveugle dans un assourdissant sifflement magique. L'instant d'après, aveuglé, il tente de retrouver ses repères les bras tendus...

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Blabla / Re : Re : La plus grosse poitrine d'LGJ
« le: lundi 09 juin 2014, 19:58:05 »
Discrètement, c'est vite dit. ^^

Au fait, Sentinel, où ranges tu la liste des demoiselles qui ont reçu le tant désiré label de valinichonnage ? Enfin si cette liste existe...

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Dictature d'Ashnard / Re : Est ce grave docteur ? [Prima Cadenza]
« le: dimanche 08 juin 2014, 15:23:13 »
Un grand silence suit l'odieuse invective... même à l'intérieur ! "Putain, que cela fait du bien !" Tout le monde se regarde. Une légère tension s'installe. Les soubrettes se regroupent près de leurs maitresses. Allaient elles le châtier pour ses propos mal venus ? Manifestement, Elles semblent, si pas l'aimer, beaucoup la respecter. Marcus apprécie. Ces femmes de conditions modestes donneraient leurs vie pour la servir. Ce genre de fidélité s'acquière par les actes du bénéficiaire et non par le sang.

Il se laisse redresser comme un jouet ! Quel force. Décidément cette femme a de quoi surprendre. La comtesse se permets même de l'épousseté comme un enfant. Sur ce Marcus ne peut s'empêcher de refréner un petit rire d'amusement. Il proteste plus par politesse que par gêne.
Ne prenez point cette peine ma dame... Je...
Trop tard le bien est fait. Sans pouvoir avouer que ce comportement lui est plutôt agréable, il se contente de lui offrir en retour un grand sourire charmé.
Heu... Merci.

Sans attendre, il est invité et escorté au grand salon. Quel contraste. Cette immense pièce brille de milles feux. Des candélabres dorés, des tapis brodé d'or, du mobilier rembourré de cuir, de la boiserie solide. Et... le clou du spectacle, un âtre monumental qui inspire l'humilité. L'ensemble est assez chaleureux. Le jeune bourgeois se laisse « porter ». La belle rousse lui désigne une place sur un confortable divan. Elle s'y assoit à coté de lui. Des soubrettes s'affairent déjà tout autour d'eux. Elles aussi sont très jolies, la comtesse à très bon goût. Il se sent un peu épier. Comportement qui selon lui est bien naturel. L'une d'elles vient déposer un plateau de thé. Avec cérémonie la jeune fille vêtue d'un parfait uniforme à jupe trop courte se penche pour déposer sans bruit la délicate vaisselles. En homme, Marcus ne peut s'empêcher d'admirer discrètement le spectacle.
La maîtresse des lieux en personne lui sert une tasse avec élégance, dextérité et sérénité comme s'il était un invité de marque. Marcus se tient droit et recoit avec gratitude la tasse de thé chaud.
On peut dire que vous savez recevoir.

Laissant son breuvage refroidir un peu, la comtesse prend alors la parole...
Je connais les deux femmes qui vous ont pourchassées jusqu'ici... elles avaient l'air assez mécontentes. J'aimerais bien savoir ce que vous avez pu bien faire pour les sortir de leur gonds, continua-elle d'un air songeur. Même les animaux ne se risquent pas à se geler les pattes jusqu'à chez moi, en temps normal...
Mais j'apprécie que vous vous soyez présenté à moi avec un minimum de formalité. Oserais-je vous demander plus d'explications sur ce qui s'est passé plus bas ?


Dans sa voix, il y a quelque chose de christallin et profond comme éternel. Marcus prend le temps de bien observer son interlocutrice. Elle est un régal pour ses yeux.
"Tiens, l'autre con s'est mît en mode off. De quoi as tu peur vieux vicelar ?"
Avant de répondre à la question, le jeune homme porte la tasse à ses lèvres. Mais le geste est momentanément suspendu. Un doute l'assaille. Tout ceci est trop beau pour être vrai. Le liquide savoureusement odorant vient lui titiller l'odorat. Serait ce un poison ? Le regard du suspicieux surveille la tasse de son hôtesse. Par sécurité, il se ravise, attendant qu'elle donne l'exemple.

Tout d'abord noble dame Crucius, je vous prie de recevoir mes plus plates excuses de m'être si honteusement imposé à vous.
Ensuite, pour répondre à votre question, il s'agit d'une longue histoire que je vous suis reconnaissant de bien vouloir écouter. Les deux demoiselles en question n'en sont qu'un des malheureux épisodes dont je suis totalement innocent, et ce malgré les apparences.
En effet, il y a de cela maintenant trois mois,...


Soudain plus aucun son ne sort de sa bouche. La belle noble est suspendue à ses lèvres mais rien n'y est plus audible.
- Aaah parce que tu crois que j'allais te laisser faire tranquillou mon gros cochon. Il n'est pas question que tu te débarrasse de moi. Je sens que cette bonasse est trop dangereuse pour moi. A partir de maintenant tu ne pourra rien dire qui trait à mon existence. Est ce bien compris ?
Marcus porte sa main à sa gorge. Ses yeux expriment le désarroi. Il force mais rien n'y fait,...
Sa voix reste muette...

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