Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Asami Yamada

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Asami se laissait aller à la routine que la vampire laissait s’installer, qui devait satisfaire les deux femmes, l’une léchant affectueusement le membre de l’autre tout en se masturbant. Mais cela du vite lasser l’« hermaphrodite » puisqu’elle relâcha la tête de la lycéenne alors qu’elle en extrayait son sexe encore couvert salive. Elle lui intima dans le même mouvement de se relever, lui faisant abandonner sa masturbation, et, une fois à sa hauteur, fit mine de l’embrasser, mais les gouttes de sperme qui coulaient de ses lèvres la firent s’arrêter lui donnèrent une bien meilleure idée, celle de les lécher avant de les partager avec sa servante. Via un baiser langoureux, la langue couverte de semence put étaler le liquide sur l’autre alors qu’elles s’entremêlaient, le lui faisant à nouveau goûter dans un délice accentué par la façon dont la Maîtresse nourrissait son esclave.

Ce baiser fut bref, et les mains avaient à peine eut le temps de venir caresser les joues d’Asami que leurs langues se séparaient, permettant par ailleurs à la jeune fille d’avaler sa part de la semence. Ne pouvant que tomber d’accord avec la vampire, elle répondit simplement à sa question :

« Oui, c’est très bon... »

Cette remarque lui fit réaliser tout le plaisir que lui avait apporté sa Maîtresse, et peut-être pour la première fois depuis sa rencontre, elle lui sourit, agrémentant son visage d’une joie qu’elle n’avait pas encore pu exposer et qui la sublimait bien plus que toute autre chose. Dans ce que la lycéenne interprétait comme un geste d’affection, la jeune femme frotta, pleine de tendresse, leurs deux nez, ce qui rassurait Asami en plus de la lui faire prendre en affection, bien que cet effet soit sans doute assez pervers et calculé par la vampire. D’ailleurs, au même moment, son sexe, déjà encore, ou plutôt toujours en érection, car même quelques instants après avoir joui, il était encore dure dans la bouche de la lycéenne, effleurait délicatement la culotte de la jeune fille, sa Maîtresse ayant sans doute remarqué l’intérêt qu’elle y réclamait.

Inversant alors les rôles, la vampire s’abaissa, sa tête arrivant, comme si la taille des deux femmes était parfaite pour leurs unions charnels, pile au niveau de son sexe qu’elle entreprit vite de lécher à travers le sous-vêtement déjà largement mouillé. Pour mieux apprécier tout cela, Asami appuya son dos sur le mur, y collant par ailleurs ses mains, dont l’une était d’ailleurs encore légèrement humide pour la même raison que sa culotte, et ferma les yeux pour apprécier les divines caresses de sa Maîtresse. Après quelques instants ainsi dûment savourés dans un silence à peine rompu par quelques très faibles gémissements de la jeune fille, la vampire décida de découvrir le sexe de son esclave. Cela la fit légèrement rougir, mais la vampire semblait ne pas être affectée le moins du monde, l’habitude l’ayant sans doute lassée, et elle commença aussitôt à s’en approcher, n’interrompant jamais ses délicieux coups de langues qui arrachaient maintenant clairement à la lycéenne des gémissements de plaisir qu’elle tentait en vain d’étouffer. Même amusée par l’excitation de celle-ci, elle se permit de lâcher une remarque quant à cela, mais elle ravissait en fait la jeune fille puisque lui promettant de mettre fin à cette attente.

Se relavant à son niveau, la vampire ne lui accorda cependant aucun baiser, tout au plus un regard, et plaça une main sur sa nuque, clairement un appui puisqu’en réalité quasiment pas appréciable, alors que l’autre caressait lentement son sexe. Tout cela, en plus de l’affirmation de sa Maîtresse, qui justement lui refusait pour l’instant toute explication, les repoussant à plus tard, semblait confirmer l’imminence de l’acte. Elle initia alors un mouvement dans son bassin qui fit adroitement se coller son membre au sexe d’Asami, résolument prêt à le pénétrer, la légère pression suffisant d’ailleurs à faire gémir la jeune fille, le sexe de sa Maîtresse épousant parfaitement le sien. Mais cela n’alla pas plus loin, étrangement, frustrant absolument la servante qui, faisant déjà ruisseler de la cyprine sur le sexe de sa Maîtresse, pouvait sentir le moindre des soubresauts de son membre qui semblait se répercuter dans tout son corps, lui arrachant de petits gémissements.
Cherchant l’explication sur le visage de la vampire, Asami la trouva vite, enfin, sous la forme d’une interrogation mêlée de surprise : Peut-être ne voulait-elle pas la déflorer ainsi, l’occasion étant peut-être légèrement précaire et peu adaptée à ce moment qu’on voulait souvent délicieux. La jeune fille ne put que répondre.

« Non...Il ne m’a pas pénétrée là...Mais...Mes fesses sont à vous si vous voulez, Maîtresse... »

La mention de Theorem l’avait ramenée à tout ce qu’il lui avait fait, dont s’occuper presque à outrance de ses fesses qui semblaient d’ailleurs grandement intéresser la vampire, aussi Asami eut-elle l’idée de proposer cette idée de manière un peu maladroite mais en aucun cas dénuée d’envie et, car il était vrai que le lieu et l’ambiance n’étaient peut-être pas idéaux, lui évitait de perdre sa virginité, au moins tant qu’elle serait ici.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]
« le: dimanche 27 janvier 2013, 22:52:35 »
Asami prenait presque du plaisir dans ce que lui faisait faire sa Maîtresse, et en tout cas, cela lui donnait largement envie d’en prendre, ce qu’elle osait à peine s’avouer bien que son corps le lui criait haut et fort, lui envoyant une douce sensation de chaleur, de désir et, ce qu’elle tentait de cacher à la vampire, sa culotte mouillant de plus en plus. De ce fait, elle faisait tout cela d’elle-même, et à son rythme, relativement lent. Mais cela ne dut pas plaire à sa Maîtresse, aussi celle-ci lui caressa doucement les joues, et la lycéenne, levant le regard sur son sourire, interpréta tout cela comme une sorte de récompense, de preuve de contentement.

Mais très vite, ses mains glissèrent derrière sa tête et l’empalèrent sur le membre déjà dans sa bouche, avant que son bassin n’imprime des mouvements de vas-et-viens dans Asami. Désormais plus en contrôle de quoi que ce soit, la lycéenne laissa lentement retomber ses bras le long des jambes de sa Maîtresse, qui lui confirmait oralement, alors que son sexe le faisait, pulsant en elle, tout le plaisir qu’elle prenait dans sa bouche, en même temps de lui énoncer les sensations qui l’habitaient, qui, malgré qu’elles embarrassaient la jeune fille, n’étaient que vérité. Elle lui promit aussi, sans doute pour assouvir les envies et désirs qu’elle venait de citer, de la pénétrer plus tard. Cette déclaration faite, la vampire amplifia ses mouvements, poussant son sexe jusqu’au fond de la gorge d’Asami, ce qu’elle eut peine à croire, bien que cela ne faisait que renforcer son désir, lui faisant constater plus que jamais tout ce qui se dégageait de ce membre, sa chaleur, sa puissance...Aussi ne put-elle résister à l’envie de faire remonter à une de ses mains sa propre cuisse avant de commencer à lentement se toucher à travers sa culotte déjà mouillée, caressant son sexe dans des mouvements de haut en bas.

Pour ajouter à cela, la vampire accéléra vite la cadence, mettant son esclave à l’épreuve, celle-ci finissant presque par mal supporter tout cela, tout cela lui coupant régulièrement le souffle et, à la longue, l’essoufflant alors qu’elle gaspillait déjà son énergie à gémir incontrôlablement. Mais alors que cet effet atteignait son paroxysme en même temps que la vitesse que lui imposait sa Maîtresse, la lycéenne sentit un liquide chaud et légèrement épais gicler dans sa gorge en quelques salves. Cela étant arrivé alors que les lèvres d’Asami n’arrivaient qu’à une «petite » moitié du membre, la bouche entière de la jeune fille se retrouvait couverte de sperme, une partie s’étant d’ailleurs écoulée hors de ses lèvres, lui donnant une impression délicieuse de chaleur dans toute celle-ci et lui permettant, de sa langue qui la parcourait avidement, de constater que ce liquide avait une texture et un goût presque agréable et en tout cas, délicieusement excitante.

Reprenant lentement son souffle alors qu’elle profitait de ce moment, Asami put entendre sa Maîtresse lui ordonner d’avaler, d’absolument tout avaler. Malgré qu’elle hésita à le faire quelques instants, la jeune fille entreprit finalement d’obéir, avalant d’abord une grosse partie très simplement, puis rassemblant lentement de sa langue, qui caressa du coup le gland de la vampire, le reste du délicieux liquide pour avidement finir de s’exécuter. Ayant goûté tout le sperme de sa Maîtresse, la lycéenne poussa un léger gémissement après tout cela, sentant la douce chaleur de celui-ci descendre sa gorge après avoir habité sa bouche, et regarda ensuite la vampire, espérant pouvoir être libérée de cette posture, la fixant d’un regard qui réclamait une récompense et l’approbation alors qu'un long filet de sperme descendait toujours de ses lèvres. Elle se touchait d’ailleurs toujours, son clitoris maintenant dressé et qu’elle effleurait pleine de désir lors de chaque caresse, continuant cette action comme si cela ne pouvait que ravir sa Maîtresse.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]
« le: dimanche 27 janvier 2013, 17:47:25 »
Asami gardait la tête relevée depuis le début, se concentrant sur les sensations qui l’envahissaient, que ce soit les lèvres de la vampire lui arrachant son sang ou ses propres mains massant les fesses de celles-ci pour le plaisir des deux jeune filles. De ce fait, lorsqu’elle sentit quelque chose se presser contre sa cuisse et y bouger, elle assuma simplement que c’était une main de la jeune femme - Cette possibilité aurait sans doute pu être éliminée avec un peu de cogitation, car les mains de sa Maîtresse s’affairaient déjà à autre chose, mais la lycéenne avait d’autres priorité que cet effort de réflexion.

Après quelques instants passés ainsi, dans un silence seulement interrompu pas les bruits des uniformes et autres tissu se frottant ou même se claquant ainsi que de faibles gémissements, la vampire interrompit sa ponction de sang, libérant Asami d’une douleur qu’elle ressentait à peine et faisant perler son sang rouge à la lumière du jour. La lycéenne n’arrêtant cependant pas son massage, sa Maîtresse la taquina, faisant quelques mouvements pour mieux presser ses mains sur son postérieure, avant de lui parler d’une manière littéralement érotique de son sang, quelque chose de sans doute lié à sa nature de buveuse de sang.

Elle déposa ensuite un court baiser sur les lèvres de la jeune fille, s’accordant toute son attention, celle-ci déposant ses yeux émeraude dans les siens, ce qui fut vite suivi d’un indice quant au fait que ce qui se frottait contre sa cuisse n’était pas une main. Baissant son regard pour découvrir la surprise de la vampire, Asami, en plus de sentir le toucher agréable d’une main sur sa joue, put constater que quelque chose déformais largement la jupe de celle-ci, et, alors que sa curiosité lui demandait de questionner sa Maîtresse quant à ceci, celle-ci fit lentement parcourir ses lèvres à un de ses doigts, lui intimant un silence qu’elle trouvait sans doute amusant.

Sa curiosité piquée mais insatisfaite, la lycéenne fut frustrée que la vampire ne fasse que relever sa jupe alors que ses mains frôlaient pourtant cette bosse, avant de la coincer dans cette position, dévoilant les longues et fines jambes d’Asami, le bas de son corps maintenant couvert uniquement d’une culotte déjà mal en place, malmenée par les mains de la jeune femme, et de ses bas bleus foncés. Mais, enfin se dit-elle, sa Maîtresse se débarrassa de - Ou du moins, écarta de ce qui l’intéressait - sa jupe et sa culotte, dévoilant un membre masculin en complète érection et, accessoirement, de taille plus que satisfaisante. Réprimant un cri de surprise, la jeune fille eut le réflexe de chercher sur le visage de la vampire une forme de réponse quant à cela, mais sa seule réaction fut un ordre, celui de s’occuper de ce membre, ajoutant d’ailleurs que celui-ci se retrouverait sous peu en elle.

Légèrement troublée, Asami ne se fit cependant pas prier et tomba vite à genoux, sa tête en face du sexe de sa Maîtresse. Elle se demanda un instant quoi faire, plus car cette situation était pour le moins étrange qu’autre chose, mais elle fit vite remonter ses mains aux cuisses de la jeune femme, achevant de lui ôter ses habits maintenant inutiles par la même occasion, et exécuta finalement l’ordre qu’on lui avait donné. Ses deux mains posées sur les hanches de l’interessée, elle en fit lentement glisser une le long de son sexe, puis, arrivant presque au gland, saisit le membre et commença à le caresser. Après quelques instants à ne pas faire grand-chose hormis cela, elle décida de joindre sa bouche au plaisir de sa Maîtresse, d’abord effleurant seulement le gland de sa langue, puis y collant ses douces lèvres et le harcelant toujours de son muscle rose.

Levant parfois le regard pour croiser celui de sa Maîtresse, y cherchant à la fois une sorte d’approbation, de contentement, Asami s’affairait ainsi, heureuse que celle-ci ne puisse voir sa culotte qui commençait à porter les signes, en plus du désordre témoin de l’excitation de la vampire, de la sienne, lâchant parfois quelques faibles gémissements alors que ses joues s'empourpraient à nouveau de sang.

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Les alentours de la ville / Re : Cours particulier [ PV Iinuki ]
« le: samedi 26 janvier 2013, 23:31:17 »
Asami ne sentait plus, de tout ce qui l’entourait, que le doux contact qu’elle entretenait avec sa professeure : Sa main délicatement pressée sur sa poitrine, sa joue rougissante au creux de la sienne, et évidement, car c’était bien le plus agréable, leurs lèvres se joignant passionnément. En réalité, à ce moment là, il est vraie que la lycéenne n’était pas sûre du consentement d’Iinuki, bien que s’en doutant et le souhaitant plus ardemment que tout, et elle espérait terriblement qu’elle lui donnerait un signe, un geste d’affection qui lui intimerait de continuer.

La faisant fondre de plaisir, la jeune femme lui accorda cette preuve de désir, passant délicatement la main sans ses cheveux bleus, et se montrant aussi dédiée qu’Asami à la douce embrassade à laquelle elles se livraient ensemble. Mais elle le rompit quelques temps après, leurs visages restant cependant très près, leurs souffles s’entremêlant, et leurs fronts se touchant même alors qu’une de ses mains montait à la joue de son élève, maintenant un contact duquel la lycéenne ne se croyait plus capable de se passer.

Elle lui demanda si elle voulait réellement dire ce que de toute évidence Asami souhaitait ardemment, et, ce qu’elle prit presque comme une insulte, elle douta qu’elle veuille continuer ce qu’elle avait entrepris. Mais sa professeure semblait réellement troublée, fuyant quelques instants son regard avant de simplement priver son élève de la vision de ses yeux ravissants. Attendrie, Asami vola un rapide baiser aux lèvres d’Iinuki, avant d’en déposer de tout aussi brefs sur sa joue, puis le haut de son cou, et ainsi de suite jusqu’au creux de celui-ci.

Maintenant toujours d’une main celle de sa professeure sur sa poitrine, la jeune fille vint caresser le cou de sa professeure avec l’autre, et, après quelques effleurements, elle pressa ses doigts et ses lèvres de part et d’autre du cou d’Iinuki, profitant du contact divin avec la peau de celle-ci. Après ce baiser passionné dont elle profita quelques instants, les yeux fermés et se délectant des douces pulsations qu’elle sentait du bout de ses lèvres, sous la peau de sa professeure, elle leva la tête vers celle-ci et lui déclara d’une voix douce et taquine.

« Tu crois que je pourrais te résister, après t’avoir embrassée comme ça ? »

Pour appuyer sa volonté de continuer, Asami entreprit à nouveau une chaîne de baiser le long de la douce peau d’Iinuki, cette fois vers le début de sa poitrine qu’elle put atteindre du léger décolleté qu’entretenait sa chemise. Après quelques baisers sur cette surface voluptueuse, elle s’en détacha avec regret, et se mit à lentement déboutonner quelques boutons de sa chemise, ramenant, ne pouvant tout de même pas priver ses lèvres du doux contact de sa professeure, sa bouche à celle d’Iinuki, les joignant dans un baiser passionné.

50
Blabla / Re : Re : Horloge parlante
« le: vendredi 25 janvier 2013, 21:00:01 »
20 h 31

Je ne parlerais ni des futa ni des gens qui en jouent. Parce que là, je vais devenir trèèèèèèèèèèès vulgaire. S'il y a bien un truc qui me donne des envies de meurtre c'est ça. Sérieux, si je veux un zboub avec une paire de couille je prends un mec point

Bon okay je m'arrête là

Personnellement, j'appelle ça directement de la "futaphobie", c'est explicite comme pas permis, et ça n'a rien à voir avec ce que SP, Law et autres disent ( Ce qui, même si je ne le comprends pas spécialement, est sensé et surtout sain )...
Enfin voilà...

9 : 00

51
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 25 janvier 2013, 20:49:45 »
Il ne me semble pas que ce soit ça Puppeter...
Chercher futanari ( Le mot complet ) sur Google et regarde si tu vois beaucoup de mecs avec une fille sur un écran d'ordinateur...Enfin le fais pas en public parce qu'effectivement c'est pas ce que tu trouveras...

8 : 59

52
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 25 janvier 2013, 20:41:39 »
C'est marrant parce qu'en changeant quelques mots de vos opinions, on arrive très vite à des trucs homophobes et compagnie, sans parler du fait que ce soit déjà de beaux manques de tolérance ( Ouais parce que quelqu'un qui tripe naturellement sur une fille avec un pénis, ce qui est peut-être une "maladie" - Pas que ce soit honteux ou autre, mais sans doute quelque chose à quoi on ne peut rien - c'est inadmissible, vulgaire, mais un SS, là, faut faire preuve d'ouverture d'esprit... )...
Enfin bref, moi aussi je crois que je pourrais devenir vulgaire...

8 : 41

53
Salles de cours et bibliothèque / Re : L'innocence n'existe pas [Yamada Asami]
« le: vendredi 25 janvier 2013, 17:40:44 »
Asami eut au départ presque peur que son baiser ne fut rejeté ou même puni, et elle avait embrassée la jeune femme avec hésitation, n’osant d’ailleurs que l’inviter à mêler leurs langues. Mais finalement, la vampire reçut cela avec plaisir, accordant ce cadeau avec plaisir : Elle répondit d’abord faiblement aux caresses du muscle rose de la lycéenne, faisant à peine de même, mais vite elle lui ouvrit sa bouche, permettant à celle-ci de s’engouffrer timidement dans sa bouche, inversant les rôles pris lors de leur précédent et à vrai dire premier baiser. Asami ne brusquait aucunement sa Maîtresse, ou plutôt ne se brusquait pas elle-même, étant de toute évidence la moins à l’aise, et sa langue se mouvait lentement dans la bouche de la jeune femme, allant doucement chercher la sienne pour les faire tendrement se caresser.

Durant tout cela, la jeune fille avait gardé les yeux fermés et légèrement penché la tête, profitant de l’instant qui s’avérait en fait plus qu’agréable : La vampire continuait de jouer avec elle - sans doute en manipulant et se divertissant d’abord de ses désirs et envies, mais cela, elle ne le ressentait pas - mais surtout lui caressant doucement les fesses, parfois les effleurant simplement de ses doigts fins, d’autres fois en tirant sa culotte puis la relâchant, avec à chaque fois le même effet, de légers gémissements étouffés par leur embrassade et des tressaillements accompagnés d’une rougeur toujours plus vive des joues de la lycéenne. En même temps, sans doute pour entretenir le climat surprenant de désir qui les liait, elle passait sa main dans ses cheveux, les faisant cycliquement retomber lentement sur ses épaules et semblant par la même d’autant plus s’occuper d’elle.

Ces instants où Asami était prise dans son désir pour sa Maîtresse semblèrent durer longtemps, bien entendu pour son plus grand plaisir, tant même qu’elle finit par ne plus se préoccuper de personnes pouvant arriver ou quoi que ce soit d’autre : La seule personne qui saurait la priver de ce délice serait la vampire. Lorsqu’elle le fit finalement, la jeune fille fut évidemment déçue, mais elle n’en dit mot, respectant sa promesse, et, plongeant ses yeux dans ceux de sa Maîtresse, elle attendit de savoir ce qui l’avait faite interrompre ce si beau moment. Elle la complimenta puis lui parlant, comme si celui-ci lui semblait délicieux, de son sang. Asami eut légèrement peur, tressaillant faiblement alors que les lèvres de la jeune femme descendaient divinement le long de son visage et de son cou. Elle savait qu’elle était une vampire, mais pas réellement ce que cela signifiait exactement , et, bien que sa dernière rencontre avec un être fantastique - Theorem - fut magnifique, elle angoissait légèrement. Voir son sang bu ne la transformerait pas en vampire, ne la tuerait pas ?

Durant ces interrogations, la vampire n’avait pas perdu de temps et libéré la poitrine de la lycéenne de quelques boutons tout en la graciant de baisers doux et agréables. Cependant, elle n’alla pas plus loin, comme si elle avait besoin de faire quelque chose avant, et remonta vivement, couronnant sa joue d’un dernier baiser avant de lui glisser des paroles à l’oreille.

« Tu as fait connaissance avec ma goule, alors je suppose que tu dois savoir ce que je suis. Tu rougis tellement fort que tu m’excites terriblement... Alors, je vais te délester un peu de ton généreux sang, ma chérie. Tu as le droit de caresser mon corps. »

Elle savait, mais maintenant mieux : Si elle pouvait lui ponctionner un peu de son sang aussi facilement, sans doute cela n’était-il pas mortel, bien que cela lui faisant un peu peur, en vérité tout autant qu’une piqure. Reprenant ses embrassades le long de sa peau, elle atteint finalement sa nuque, Asami n’ayant osé bougé depuis son annonce, et y planta « délicatement » - Autant que l’on pouvait l’être avec une paire de crocs - ses canines avant de sucer le liquide d’un rouge profond qui en sortait. La perforation fut douloureuse, et la lycéenne laissa échapper un léger cri de douleur, mais, sans doute était-ce l’action de sa salive ou de ses lèvres, comme pour la piqure de certains insectes, la douleur se résorba vite, laissant place à un doux sentiment, presque agréable, d’une aspiration tout le long de son cou, d’autant qu’après tout, c’était un baiser unique en son genre que lui donnait sa Maîtresse. Se laissant quelques instants absorber par cette sensation, Asami reprit vite ses esprits, ou plutôt se souvint de l’autorisation généreuse de la vampire. Ses mains s’étant tétanisées le long de son corps, légèrement dans les airs, à cause de sa peur et de la légère douleur de la morsure, la lycéenne en reprit vite le contrôle. Elle décida premièrement de placer une de ses mains sur une hanche de la jeune femme, la faisant doucement glisser vers sa jupe, effleurant sa peau à chaque instant, quant à l’autre, elle prit la liberté, inspirée par l’exemple de sa Maîtresse, de la placer sur ses fesses. La lycéenne eut vite les deux mains sous la jupe de la vampire, celle ayant agréablement remonté sa jambe élancée la contourna pour elle aussi se retrouver sur son postérieur, et, des deux mains, elle le massa.

Elle effleurait d’abord simplement sa peau, peu couverte par sa culotte, ce qui était de toute évidence une volonté de la jeune femme que d’ainsi se dévoiler, mais vite elle arrivant aux bords de celle-ci, et infiltra ses doigts fins en dessous. Saisissant par intermittence chaque fesse à pleine main, interrompant des caresses circulaires, Asami profitait des formes généreuses de sa Maîtresse, et, son action une nouvelle fois dictée par son expérience avec celle-ci, elle entreprit parfois de soulever la culotte, ne laissant qu’un doigt sous celle-ci puis levant simplement la main, attirant à elle la pièce de lingerie et par la même exerçant une pression sur les fesses de la vampire. La tête de la lycéenne ne pouvait cependant rien faire, à son plus grand regret, un quelconque mouvement gênant sans doute la jeune femme qui lui suçait le sang, aussi celle-ci semblait simplement dédiée à profiter de cet instant : Penchée en arrière, ses cheveux coulaient dans son dos, son beau visage exprimait tout le plaisir qu’elle ressentait, ses yeux fermés, se concentrant pleinement sur les sensations qui la harcelaient, et sa bouche mi-ouverte laissant de faibles gémissements de plaisir s’échapper de ses lèvres nacrées.

54
Asami avait, cet après-midi, épreuve de natation : Elle aimait la nage, et cela la rendait particulièrement joviale, car de plus, le « contrôle » n’était pas organisé sur les horaires normaux du cours, ce qui lui permettait une fois de plus de s’adonner à cette formidable discipline.
Or, c’était bientôt l’heure : Elle se rendit, son maillot de bain scolaire dans son sac, à la piscine, cela ne nécessitant qu’une marche de quelques minutes. Arrivée, elle ne prêta pas réellement attention aux gens présents : En réalité, l’épreuve était organisée en groupes pour rendre le passage plus efficace au niveau temps, et sans doute aussi plus confortable, et cette fois, Asami n’avait réellement pas eu de chance à la répartition, car elle ne connaissait quasiment personne, en tout cas, pas plus que de nom pour certains.

Enfin arrivée, elle se rendit directement dans les vestiaires, enfilant rapidement son maillot, de toute évidence typique de ceux du lycée : Bleu foncé et d’une pièce, ne laissant par ailleurs aucun décolleté. Elle avait calculé sa préparation pour arriver à l’exact début de l’épreuve, car elle savait qu’elle n’aimerait pas se retrouver avec ces gens qu’elle ne connaissait pas. Ainsi, lorsqu’elle posa le pied dans la salle du bassin, le professeur se préparait seulement à faire l’appel, et elle put répondre à son nom pile dans les temps.

Cependant, inspectant les autres élèves présents, elle put en remarquer un qui restait constamment adossé au mur, semblant honteux, légèrement rouge, et présentant un bleu bien en évidence à son ventre. Elle n’en fit pas grand cas, et à vrai dire sa première pensée fut qu’il avait du se battre et perdre, ce qui lui donna une piètre estime de lui. Mais lorsqu’il dut passer - Il fut appelé en premier, soit peu après qu’Asami l’ait remarqué - après une longue protestation vaine envers le professeur, son bleu fut complété par bien d’autres hématomes sur son corps, les mots « chiffe molle » marqués dans le haut de son dos et des larmes.

Le prenant en pitié, d’autant que presque tout le monde, le professeur y compris - Quel scandale se dit-elle - se moqua de lui, alors qu’il était de toute évidence à plaindre. Asami n’osa faire quoi que ce soit devant tous les autres élèves, ce qui par ailleurs, les voyant rire aux éclats et se doutant que les tortionnaires du jeune homme étaient parmi eux, n’aurait sans doute fait qu’aggraver la situation. Par malheur, elle fut la deuxième à passer, l’esprit occupé par tout cela, mais elle parvint tout de même à bien s’en tirer.

Aussitôt l’épreuve terminée, elle se précipita vers les vestiaires, non pas pour se changer, mais pour chercher ce jeune homme qu’elle avait vu, et tenter de le réconforter, ce dont il semblait avoir besoin. Elle finit, au détour d’un coin, à le remarquer : Il était là, des larmes coulant encore de ses joues. Elle hésita quelques instants quant à quoi faire, mais il semblait si affligé qu’elle ne put que marcher vers lui pour l’aider.
Elle faisait des pas hésitant et courts de ses jambes fines et élancées, ses pieds étaient nus et ruisselaient encore d’eau comme le reste de son corps, en réalité, et ses bras droits près de son corps, ses mains légèrement crispés, Asami se demandant comment l’aborder. Elle le regardait d’un air qu’elle voulait aussi compatissant que possible, ne voulant sous aucun prétexte passer pour quelqu’un qui viendrait se moquer de lui : Elle tenta de sourire du mieux qu’elle put, pas exagérément, mais elle arquait délicieusement ses lèvres nacrées. Finalement proche de lui, elle se pencha en avant, comme pour voir à travers les larmes du jeune homme, plaçant ses bras derrière elle, et, d’une voix aussi douce qu’elle put, elle tenta de le réconforter.

« Est-ce que...Tu vas bien ? »

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Dortoirs et douches / Re : Changement d'air [Yamada Asami]
« le: jeudi 24 janvier 2013, 20:40:42 »
Asami était rouge de honte d’avoir uriné sur Theorem et en fermait même les yeux, n’osant le regarder : Les seules choses qu’elle ressentait désormais étaient le bruit de l’eau ruisselant sur elle, lavant d’ailleurs actuellement le ventre de la goule, les vas-et-viens en elle du membre du travesti qu’elle provoquait des mouvements rapides de ses hanches et le bruit que faisaient ses seins et ses fesses à l’occasion de ceux-ci.

Après avoir perpétré son acte éhonté, elle avait appuyé ses mains sur le sol, et, ayant pris un peu de temps pour se reposer - Du moins, elle ne bougeait plus que ses hanches pour satisfaire Theorem et reposait le reste de son corps, le souffle lourd. Ses jambes commençaient à fatiguer, malgré qu’elle ne pouvait pas s’arrêter, trouvant tout cela bien trop agréable pour rassembler la volonté nécessaire à y mettre fin. Par chance, la goule la récompensa de sa débauche en se retirant d’elle, lui arrachant un gémissement de satisfaction et de soulagement alors que son anus continuait de se contracter dans le vide, Asami jubilant totalement de la sensation que cela provoquait pendant quelques instants.

Elle laissa évidement le travesti lui écarter les cuisses, épuisée, respirant lourdement les yeux fermées alors que sa tête, hors des jets d’eau chaude, semblait enfin se reposer de toutes ces émotions. Ses cheveux s’étaient répandus autour de sa tête, formant une sorte d’auréole bleue, celle-ci sans doute de perversité, autour de sa tête, ses mèches étalées sur le sol humide et leurs bouts vacillant au gré des « courants » créés par l’eau. Sa poitrine, à nue, suivait ses longues inspirations et expirations et, si elle en croyait le bruit sourd des battements de son cœur, Asami aurait pu juré que ses seins tremblaient sous ses palpitations. Son anus commençait lui à se refermer, mais son sexe montrait toujours les signes évidents de son excitations, entretenant un flot de cyprine et voyant son clitoris dressé comme jamais alors que Theorem caressait doucement les deux orifices de la lycéenne, lui laissant ce qui passait pour un répit au regard de ce qu’elle avait subi jusqu’ici.

Mais ce repos ne dura pas, et alors que la goule finit un discours sur son histoire, dont en réalité Asami n’avait pas grand chose à faire, elle put cependant capter une information qui la titilla : Il allait préparer « son petit cul » à quelque chose d’à priori bien mieux que ce qu’elle avait connu jusqu’ici. Immédiatement, il entreprit de se placer au dessus d’elle, ce qu’elle sentit mais qui ne lui fit même pas ouvrir les yeux, d’ailleurs elle put remercier l’absence de son membre.

Il entreprit très vite de ré-élargir son anus, y insérant d’abord deux doigts tout en stimulant son sexe, sans doute pour faciliter la pénétration. Elle gémit fortement à la première pénétration, puis poussa quelques petits cris de plaisirs de temps en temps au rythme des mouvements habiles des doigts de Theorem alors que son sexe se contractait sur sa langue, lui permettant de goûter à un flot abondant de cyprine. Elle émit cependant un bien plus grand gémissements au troisième doigts, ré-enchéri pour le quatrième et s’époumona pour le pouce, ré-ouvrant dans un grand choc ses yeux à la vue du bas de maillot de latex noir de la goule. Alors qu’elle couinait presque en permanence de ce sentiment « unique » de la pénétration de Theorem, sa queue la poussa vers son entre-jambe alors qu’il lui ordonna, plein d’autorité, de le lécher. Elle s’exécuta, levant légèrement la tête à cet effet, le bout de sa langue léchant pleinement le petit bout de latex noir.

Cependant, elle ne trouva vite plus cela intéressant, peut-être parce que cela lui semblait dérisoire au regard de ce qu’elle-même subissait, alors elle prit très vite l’initiative de se « venger ». Elle décala très légèrement son maillot - Celui-ci ne cachant de toute façon que très peu de l’anatomie du travesti - pour révéler son anus, qu’elle atteint de sa langue, le léchant passionnément. Mais très vite elle réquisitionna ses deux mains, les passant toutes deux par dessus les jambes de Theorem, pour glisser chaque index dans l’orifice de la goule : Elle le fit lentement et après avoir abondamment léché ses doigts comme l’anus - Qu’elle avait d’ailleurs légèrement pénétré de sa langue. Après quelques instants à seulement lécher l’orifice du travesti, elle se mit à écarter doucement et légèrement ses doigts, plongeant avidement sa langue dans l’espace créé. Lorsque celui-ci fut assez grand, elle put enfin ajouter un doigts à sa pénétration, mais, encore peu encline à cela, elle retira du coup l’unique doigt de l’autre main, ne laissant que le majeur et l’index de l’autre. Léchant avec envie l’anus, elle commençait maintenant des vas-et-viens avec ses doigts.

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Asami était fébrile après son serment : Celui-ci avait demandé une certaine forme de courage et, il faut l’avouer, était l’aveu, des propres lèvres de la lycéenne, de sa soumission totale et, elle le pensait, son plus grand malheur. Elle eut peur que cela n’ait résonné dans la tête de cette femme que comme une invitation aux pires actes dépravés, mais, à sa grande surprise, ce ne fut pas le cas.

Ses mains, dont la jeune fille éloigna légèrement le visage, presque par réflexe, dès que celles-ci se mirent à bouger, ne vinrent finalement que doucement caresser ses joues. C’était un toucher froid et assez déplaisant, bien que cela était sans doute due au cœur d’Asami qui pulsait son sang bouillant à un rythme effréné et à sa perception plus que négative des évènements, mais ce contact était pourtant doux et, en bien des manières, dénué de toute brutalité.

Les mains de la femme révélaient réellement de l’intérêt pour la lycéenne, caressant ses joues, ses oreilles et passant délicatement dans ses cheveux, comme si elles appréciaient le visage de la jeune fille. Très vite, cela dissipa quelques de ses craintes, et Asami se laissa aller à simplement apprécier cela, car sa « Maîtresse » lui en laissait étrangement l’occasion, ne soufflant mot ni ne faisant quoi que ce soit d’autre : Ce contact était paisible, et, peut-être uniquement parce qu’elle était dans une situation plus que délicate, rassurant et agréable. Cependant, après un bon moment qui passa pour une tentative de trêve, une excuse pour l’esclavagisme vitesse grand-V que venait de subir la lycéenne, la femme rassembla ses mains autour du menton d’Asami, la serrant légèrement et ramenant à sa réalité, présentement, d’esclave.
Elle la félicita, peut-être de son serment qui, jugé selon ses critères, aurait été intéressant, mais la jeune fille se demandait si tout cela ne visait pas plutôt à l’amadouer, car cette théorie était plutôt étrange, surtout que cette allégeance avait maintenant plus d’une minute. Mais surtout, sa « Maîtresse » lui ordonna de se relever, cependant pas d’une manière autoritaire, presque au contraire, d’ailleurs, à la vue de l’ordre qui ramenait Asami debout : cela ressemblait plus à une gracieuse délivrance.

Après tout cela, la pression de la lycéenne avait grandement chuté, elle se disait que peut-être, si elle se contentait de faire ce qu’elle demandait, elle s’en sortirait en fait passablement bien. Mais ces pensées réconfortantes furent interrompues par la femme qui la poussait - Bien que pas brutalement mais au contraire très doucement - contre le mur, l’y faisant légèrement se heurter, bien qu’Asami eut surtout la frayeur que ce doux traitement qu’elle avait reçu ne soit en fait qu’un piège. Elle y fut vite rejointe par le corps même de la femme, leurs jambes s’entremêlant et leurs poitrines se pressant légèrement l’une contre l’autre.

La lycéenne se sentait assez oppressée, retournant à un sentiment écrasant de domination, ou plutôt en ce qui la concernait, de soumission. Malgré que l’empoignement de ses cheveux lui fit craindre le pire, ce fut finalement un geste de tendresse qui mit fin à ses doutes : La femme l’embrassait, d’abord assez simplement, leurs lèvres pressées ensemble dans la plus grande douceur, et une main se posa paisiblement sur sa hanche, la faisant légèrement sursauter. Asami avait fermé ses yeux, profitant de tout cela et s’abandonnant - Après tout, c’était maintenant sa « Maîtresse » - à elle. Elle sentait ses joues se gorger de sang alors qu’elle prenait un plaisir qu’elle aurait bien elle même put juger malsain à se faire ainsi embrasser.

Mais ce baiser n’en resta pas là : La femme lui fit ouvrir la bouche, d’un ordre plus qu’agréable puisque prenant la forme d’une embrassade, et y glissa sa langue. Au départ, celle de la lycéenne était restée au fond de sa gorge, mais au fur et à mesure des effleurements qu’elle subissait, elle finit par se laisser apprivoisée par l’organe de la « Maîtresse », et se plaça docilement sous celui-ci, esquissant parfois quelques soubresauts, ne parvenant pas à simplement rester en place. Asami finit par apprécier chaque seconde de ce contact doux et chaud se livrant totalement à cette valse de leurs langues, rougissant honteusement, et lorsque tout se finit, elle fut presque déçue et laissa maladroitement échapper un bien léger gémissement à la séparation de leurs lèvres, priant que celui-ci passerait pour une quelconque expiration maladroite, ce baiser ayant après tout duré assez longtemps.

Ceci fait, la femme déclara solennellement qu’elle n’attendait d’Asami que de l’obéissance, ce qui la rassura presque, car cela lui offrait au moins l’assurance qu’elle pouvait, si elle respectait sa parole, au moins, s’en sortir. S’attendant à d’autres paroles, même un ordre, la lycéenne fut finalement surprise de sentir la main de sa Maîtresse, l’autre étant déjà légèrement au dessus de sa poitrine, lentement glisser du bas de son dos, ce qui l’avait déjà faite légèrement tressaillir, jusqu’à ses fesses, allant même jusqu’à s’introduire sous sa jupe, pressant sa culotte contre sa peau dans un toucher qui la fit rougir presque autant de honte que d’un certain plaisir. Quant à la langue de la dame, elle put vite à nouveau sentir son agréable toucher, celle-ci lui léchant brièvement la joue, mobilisant, par réflexe, une main, qui vint se porter à l’endroit encore mouillé.

Presque comme une incarnation de ce que venait de ressentir Asami, qui était finalement fait d’une dose honteuse de plaisir, sa Maîtresse lui promit beaucoup de bonheur avec elle, au moins charnel, et exigeait en retour qu’elle ne se plaigne jamais. Ne sachant trop si elle devait répondre ou non, ni ce que tolérait réellement cette femme en terme d’autonomie, la lycéenne se laissa  aller à lui fournir une réponse, cependant pas uniquement formulée avec des mots.

« Oui, je ne me plaindrai pas, Maîtresse... »

Sur ce, elle déplaça une de ses mains de sa joue vers celle de sa Maîtresse, l’autre, restée collée au mur depuis le début, ne sachant quoi faire, alla se placer sur sa hanche, et les lèvres nécrées d’Asami vinrent cueillir un baiser sur celles de sa Maîtresse, la lycéenne osant même caresser les lèvres de la jeune femme de sa langue, comme une invitation à une nouvelle valse.

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Dortoirs et douches / Re : Démarchage [ PV Cassidy ]
« le: jeudi 24 janvier 2013, 17:16:51 »
Asami s’afférait du mieux qu’elle pouvait à combler sa camarade : Elle prenait en bouche son membre désormais en quasi-permanence et souvent une relativement grande partie, cependant jamais trop pour toujours lui permettre d’utiliser sa langue qu’elle faisait tourner autour du gland. Ses mains, elles, la faisant toujours profiter sur corps de sa partenaire en l’y plaquant, passant sous ses cuisses, s’occupaient de la partie féminine : Bien que cela était un peu dure, la jeune fille tentait d’y faire de son mieux, aillant entre-temps mis à l’usage son autre main pour effleurer du bout des doigts le clitoris dressé.

Elle-même était par ailleurs agréablement servie par Cassidy, car celle-ci s’était vite affairée : Elle l’avait d’abord caressée de toutes parts, de ses fesses à son intimité, avant de la pénétrer de sa langue. C’était extrêmement agréable : Asami pouvait sentir son organe mouillé se tortiller en elle, et les mains de l’hermaphrodite n’avaient aucunement cessé leur activité, en redoublant même, effleurant et titillant son clitoris d’une manière exquise.

Tout cela était jusque là relativement inconnue à la jeune fille, et à chaque fois que la langue et les fins doigts de Cassidy agissaient trop de concert ou simplement trop adroitement, elle laissait échapper un gémissement exprimant son plaisir. De même, l’hermaphrodite devait certainement sentir à ces moments qu’Asami, d’un mouvement incontrôlable, enfonçait le membre plus profond dans sa bouche, et que ses doigts exécutaient des mouvements plus forts et vifs sur sa féminité, la stimulant bien plus que les caresses douces et légères qu’elle ne cessait de faire quasi-automatiquement depuis tout à l’heure, aillant après tout deux organes desquels s’occuper depuis tout à l’heure.

Asami était à cause de toutes ces petites choses dans tous ses états : Un flot ininterrompu de cyprine ruisselait le long de la langue de Cassidy, lui faisant délicieusement goûter ce doux nectar, et malgré que son muscle  n’était pas bien profondément en elle, elle pouvait sentir le sexe de la lycéenne de contracter de temps en temps autour de celui-ci, quant à son clitoris, il était complètement dressé et l’hermaphrodite pouvait aisément l’effleurer, le chatouiller ou le pincer pour la plus grande plaisir d’Asami.

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Asami devenait nerveuse : La situation dans laquelle elle était ressemblait définitivement bien trop à un piège, quelle que soit la façon de laquelle elle agirait, elle ne pourrait gagner et s'en sortir "indemne", il y aurait forcément un prix, de quelque sorte qu'il soit. En vérité, il pourrait même être aussi élevé que la jeune femme le souhaitait, car peu de choses seraient aussi humiliantes et surtout néfastes pour la lycéenne que de voir son histoire des douches révélées : Elle se voyait déjà incapable de regarder quiconque dans les yeux, au lycée, évidement, mais même ses parents qui, habitant à Seikusu même, en entendraient eux aussi parler...

Elle cessa de penser à tout cela, car, finalement, quoi que demanderai la "maîtresse" de la goule avec laquelle elle s'était honteusement débauchée, elle devrait accepter, elle s'en convainquit : Elle ferait tout ce qu'il faut pour éviter ce véritable scandale. Cependant, aussitôt que son interlocutrice reprit la parole, cette confiance vacilla, non pas qu'Asami se mit à douter ou à révoquer ce qu'elle s'était promis, mais il lui était complètement impossible de rester insensible à la jeune femme lui faisant face : Elle parlait avec une assurance presque malsaine tant elle était sûre d'elle alors même que parlant d'un sujet sérieux, adulte et potentiellement grave, et sa gestuelle comme son corps n'admettait aucune faille.

Elle commença vite ses exigences : Étrangement, et peut-être malheureusement, ne faisant que plus languir Asami qui attendait résolument sa punition, elle évoqua d'abord ce qu'elle ne voulait pas, et finalement, lorsqu'elle en vint à évoquer ce qu'elle désirait, elle restait vague. La lycéenne, à l'évocation d'autre chose que l'argent qu'elle possèderait, sentit vite que ceci était son propre corps, par instinct peut-être, mais sans doute plus car d'un bout à l'autre, des douches à cet instant précis, il semblait que cette histoire ne savait être que déluré.
Cela ne faisait que renforcer l'inconfort d'Asami, et la confirmation de ses pensées ne fit que surenchérir, la jeune femme caressant brièvement sa joue et semblant s'en délecter d'une manière malsaine. Elle expliqua ensuite que Theorem était "sa" goule, qu'elle en était la maîtresse...La jeune fille craignit subir le même sort, devenant une sorte d'être plus tout à fait humain dévoué au plaisir charnel...Mais "heureusement" - Et cela dénotait déjà le changement des notions de bonheur ou de malheur d'Asami - elle sembla simplement vouloir soumettre la jeune fille à sa volonté, sans bien plus...

De même, elle avait dévoilé de véritables crocs et semblait plus proche que jamais de la lycéenne, sans doute une des visiblement multiples facettes de son don pour séduire et dominer tous ceux et celles qui l'entouraient...Mais force était de reconnaître que c'était plus qu'efficace : Asami était déjà, à ce point, convaincue que pour son propre bien, elle devait obéir, et qu'elle devrait le faire sans rechigner, du mieux qu'elle pouvait.

Durant toute l'énonciation de ses volontés, la jeune femme, désormais visiblement "Maîtresse", ne cessa de sourire, d'une façon perçue par Asami comme pire que malsaine, au moins autant que ses paroles : Elle avouait éhontément ses vices, les projetant sur la lycéenne, l'entraînant dans son jeu, en faisant son jouet, comme, à la plus grande horreur de la jeune fille, beaucoup avant elle...

Lorsqu'elle exigea pour la première fois réellement quelque chose d'Asami, celle-ci hésita à peine, alors même que ce choix semblait impossible : C'était tellement dégradant, une promesse délurée qu'elle se soumettrait totalement à sa "Maîtresse", de plus alors que quelqu'un pourrait les surprendre...Mais sa raison lui intimait d'obtempérer, et la domination déjà forte que la jeune femme exerçait sur elle faisait passer le même message, cette fois comme s'il était hurlé.

Aussi opposée à cela qu'elle put être, Asami le fit comme si elle y croyait, et, d'une façon perverse sans doute voulue par la dame aux crocs, en réalité, elle y croyait, car par cela passait la tenue de l'accord passé, et le silence de la jeune femme, et de ce fait la volonté même de la lycéenne.

Alors elle courba lentement les genoux, ses yeux plongés dans ceux de celle à laquelle elle se promettait, ses mains se posant au creux de ses hanches après avoir dans le même mouvement déposé son sac auprès d'elle. Ses genoux touchant le sol, elle continuait de descendre, jusqu'à ce que ses fesses atteignent ses talons : Elle était maintenant clairement en dessous de la jeune femme, devant lever le tête pour ne serait-ce qu'atteindre ses yeux du regard, car elle ne la regardait pas directement, elle maintenant sa tête juste assez levée pour que ses yeux émeraudes puissent se plonger dans le regard plein de jubilation de la femme.

Contemplant une dernière fois ses yeux pleins de désir, d'envie pour elle et sa posture dominatrice, elle ne put même pas soutenir ce regard les quelques instants durant lesquelles elle se jurait son esclave.

« Je serai votre servante...Je ferai ce que vous voudrez, tout ce que vous me demanderez...Tous vos désirs, vos moindres exigences, je les comblerai...Je suis à vous, je vous obéirai, Maîtresse... »

Asami ne savait d'où elle sortait ces paroles...Peut-être avait-elle simplement évoqué ses peurs, cristallisé tout ce qu'elle craignait et qu'il pouvait lui arriver avec cette femme...Enfin, désormais, sa Maîtresse...

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Salles de cours et bibliothèque / Re : L'innocence n'existe pas [Yamada Asami]
« le: mercredi 23 janvier 2013, 21:25:59 »
Asami avait par chance terminé tous ses cours du jour. En fait, celui-ci n'était pas si haïssable que cela, du moins pas plus que tout autre jour où la jeune fille devait s'instruire, mais le cours y mettant un terme - Du moins, à la partie passée au lycée - était tellement ennuyant et paraissait si interminable qu'il semblait à lui seul conformer la journée entière à son image, celle d'une insipidité indescriptible.

La sonnerie avait retenti depuis de nombreuses et longues secondes, mais la classe n'avait en réalité été levée depuis que bien moins de temps, pour encore ajouter à l'éternité que paraissaient durer ces deux heures de cours. Pouvant enfin se relâcher, Asami émit un long souffle poussif, comme si enfin elle pouvait se permettre de ne simplement rien faire, de ne penser à quoi que ce soit. Mais ce sentiment de béatitude avait beau être vrai, il le serait à n'en pas douter encore plus une fois la lycéenne chez elle, aussi, après un rangement exécuté rapidement, d'une manière mille fois répétée, prit-elle le chemin de son foyer.

Marchant calmement - De toute façon, à vrai dire, se presser à la sortie ne permettait que de stagner dans une marée humaine aussi insupportable que désorganisée - vers la sortie, Asami ne pensait quasiment à rien : Elle était d'humeur joviale et, sans même avoir de plans quant à ce qu'elle pourrait faire pour achever dûment cette journée, elle profitait simplement de l'instant présent. Malgré que ce fait ait été éclipsé par la morosité du cours précédent, cette journée était plutôt ensoleillée, et les couloirs étaient tapissés de reflets dorés appréciables en cela qu'ils étaient à la fois paisibles et magnifiques en plus qu'ils rappelaient divinement que la nuit n'était pas encore tombée.

Ainsi, son esprit rêvassant alors qu'il se contentait nonchalamment de faire avancer la jeune fille vers la sortie du lycée, celle-ci laissait son regard se perdre sur les vaguelettes mouvant doucement que semblaient dessiner les réverbérations de l'astre solaire sur le sol imparfait des bâtiments. Évidemment peu concentrée, elle ne remarqua même pas qu'une "élève" la suivait de très près, et en fait elle n'y aurait sans doute pas accordé grande attention quand vient même ç'aurait été le cas.

Là où cela n'aurait pu être qu'une banale jeune fille se trouvant par hasard dans ses pas, et où le pire pouvant arriver aurait au plus été qu'Asami soit bousculée, celle-ci avait plus d'une particularité la sortant de cette banalité, et, malheureusement pour la personne qui la précédait, leurs plans, au moins pour ce soir, étaient étroitement liés.

Sentant un faible souffle sur son cou, la lycéenne n'eut même pas le temps de réellement y porté son attention que ce courant d'air s'était transformé en une phrase directement adressée à elle. Ce murmure à son oreille était pour le moins déroutant, mais alors qu'Asami ne trouvait au départ que le moyen étrange et singulier, ce fut bientôt son contenu qui la troubla.

Qui avait bien pu apprendre cela ? Cet évènement avait été si étrange, même aux yeux de la jeune fille qui l'avait pourtant vécu, qu'elle doutait presque rétrospectivement qu'il se soit jamais réellement déroulé. Et de toute façon, il n'y avait qu'elle et...Cette "goule", qui n'aurait sans doute pas eu d'intérêt à crier cela sur les toits. Ces questions et considérations s'étaient précipitées dans l'esprit d'Asami aussi vite qu'elle en avait perdu toute joie, et, maintenant qu'elle s'était instinctivement retournée vers la jeune femme lui adressant la parole, il devenait nécessaire de lui répondre, même si la lycéenne aurait mille fois préféré fuir cette discussion.

Elle envisagea un moment de simplement nier, mais son visage dont le sang semblait déjà entièrement s'être concentré dans ses joues l'aurait instantanément trahie, et elle décida, acculée par cette situation presque surréaliste, d'affronter ce problème de front, bien que d'une manière finalement assez pitoyable et à n'en pas douter maladroite.

Elle rassembla le peu de volonté qui n'avait pas fui son corps à la simple compréhension de la phrase qu'on lui avait chuchotée et tenta habilement de concilier la fin de cette "crise" et l'évitement de toute éternisation sur ce qu'il s'était effectivement passé dans ces douches.

« Je...Qu'est-ce que tu voudrais pour ne pas...En parler ..? »

Cette phrase laissait clairement entendre qu'Asami ne pourrait sortir gagnante de cette situation, mais au fond c'était sûrement la vérité, et se l'avouer, au moins à elle-même, était sans doute la meilleure solution.

Au premier regard, il avait semblé à la jeune fille qu'elle ne connaissait pas son interlocutrice, et même en en inspectant les traits avec tous les efforts de mémoire possibles, il semblait définitivement que ce soit le cas. Cela lui permit aussi, bien que cette réalisation n'était sans doute qu'un leurre au stress extrême qui l'envahissait, de constater que la jeune femme lui faisant face était exceptionnellement belle, en plus de posséder une allure, peut-être même une aura, qui transpirait aussi bien la domination que la séduction.

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Dortoirs et douches / Re : Changement d'air [Yamada Asami]
« le: lundi 21 janvier 2013, 22:40:30 »
Asami entretenait ce train d'enfer, ou plutôt, de paradis, depuis quelques instants lorsqu'elle put, avec dépit, constater que Theorem avait cessé de masser sa poitrine pour adopter une position à l'allure bien incompatible avec la situation actuelle : Il se reposait, littéralement, se prélassant devant le spectacle indécent que donnait la lycéenne en s'empalant à répétition sur son membre, le tout en se masturbant et ouvrant son sexe à la vue de la goule, et le travesti se permettait même de commenter cette scène, la qualifiant cependant de magnifique.

Cependant, suivant assidument le regard de son maître, Asami put vite deviner qu'il observait intensément son sexe, qui était éhontément exposé à sa vue, de la plus belle façon : Il se contractait au rythme des pénétrations, un flot de cyprine s'en extirpant à chaque instant et son clitoris en érection on-ne-peut-plus totale, alors que la jeune fille se touchait d'un doigt, les autres occupés à écarter les lèvres, donnant une vue aussi agréable que complète. Theorem se mit finalement à réclamer, d'un ordre rappelant à la fois l'acte honteux qu'avait malgré elle accompli Asami tout à l'heure et la domination sans merci qu'il exerçait sur elle via son ton impératif, qu'elle se soulage sur lui, maintenant, alors qu'elle était cette fois sur lui et, évidemment, cette fois elle devait le faire elle-même. Elle hésitait, rougissant à la pensée de cet acte, mais à la simple vue de cette remise en question de son ordre, la goule mit une fessée à son esclave, la faisant fortement gémir alors que depuis quelques instants, hésitante de honte, elle se contenait, et rappelant son ordre sur un ton presque de provocation.

Se sentant presque obligée d'obtempérer, la lycéenne, rassemblant son courage, obéit à son maître, retirant le doigt avec lequel elle se masturbait de son sexe, maintenant cependant fermement les lèvres de celui-ci plus que jamais écartées, et projeta un jet clair, légèrement doré, qui se répandit après un parcours arqué dans les airs, Asami étant penchée en arrière, sur le ventre de Theorem, vite lavé par l'eau ruisselante. La lycéenne avait, rouge de honte, fortement gémi durant cela, et, ayant brièvement arrêté ses mouvements, son maître pouvait cependant ressentir de fortes, rapides et agréables contractions autour de son membre.

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