Salles de cours et bibliothèque / Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]
« le: lundi 28 janvier 2013, 21:18:30 »Ce baiser fut bref, et les mains avaient à peine eut le temps de venir caresser les joues d’Asami que leurs langues se séparaient, permettant par ailleurs à la jeune fille d’avaler sa part de la semence. Ne pouvant que tomber d’accord avec la vampire, elle répondit simplement à sa question :
Cette remarque lui fit réaliser tout le plaisir que lui avait apporté sa Maîtresse, et peut-être pour la première fois depuis sa rencontre, elle lui sourit, agrémentant son visage d’une joie qu’elle n’avait pas encore pu exposer et qui la sublimait bien plus que toute autre chose. Dans ce que la lycéenne interprétait comme un geste d’affection, la jeune femme frotta, pleine de tendresse, leurs deux nez, ce qui rassurait Asami en plus de la lui faire prendre en affection, bien que cet effet soit sans doute assez pervers et calculé par la vampire. D’ailleurs, au même moment, son sexe, déjà encore, ou plutôt toujours en érection, car même quelques instants après avoir joui, il était encore dure dans la bouche de la lycéenne, effleurait délicatement la culotte de la jeune fille, sa Maîtresse ayant sans doute remarqué l’intérêt qu’elle y réclamait.
Inversant alors les rôles, la vampire s’abaissa, sa tête arrivant, comme si la taille des deux femmes était parfaite pour leurs unions charnels, pile au niveau de son sexe qu’elle entreprit vite de lécher à travers le sous-vêtement déjà largement mouillé. Pour mieux apprécier tout cela, Asami appuya son dos sur le mur, y collant par ailleurs ses mains, dont l’une était d’ailleurs encore légèrement humide pour la même raison que sa culotte, et ferma les yeux pour apprécier les divines caresses de sa Maîtresse. Après quelques instants ainsi dûment savourés dans un silence à peine rompu par quelques très faibles gémissements de la jeune fille, la vampire décida de découvrir le sexe de son esclave. Cela la fit légèrement rougir, mais la vampire semblait ne pas être affectée le moins du monde, l’habitude l’ayant sans doute lassée, et elle commença aussitôt à s’en approcher, n’interrompant jamais ses délicieux coups de langues qui arrachaient maintenant clairement à la lycéenne des gémissements de plaisir qu’elle tentait en vain d’étouffer. Même amusée par l’excitation de celle-ci, elle se permit de lâcher une remarque quant à cela, mais elle ravissait en fait la jeune fille puisque lui promettant de mettre fin à cette attente.
Se relavant à son niveau, la vampire ne lui accorda cependant aucun baiser, tout au plus un regard, et plaça une main sur sa nuque, clairement un appui puisqu’en réalité quasiment pas appréciable, alors que l’autre caressait lentement son sexe. Tout cela, en plus de l’affirmation de sa Maîtresse, qui justement lui refusait pour l’instant toute explication, les repoussant à plus tard, semblait confirmer l’imminence de l’acte. Elle initia alors un mouvement dans son bassin qui fit adroitement se coller son membre au sexe d’Asami, résolument prêt à le pénétrer, la légère pression suffisant d’ailleurs à faire gémir la jeune fille, le sexe de sa Maîtresse épousant parfaitement le sien. Mais cela n’alla pas plus loin, étrangement, frustrant absolument la servante qui, faisant déjà ruisseler de la cyprine sur le sexe de sa Maîtresse, pouvait sentir le moindre des soubresauts de son membre qui semblait se répercuter dans tout son corps, lui arrachant de petits gémissements.
Cherchant l’explication sur le visage de la vampire, Asami la trouva vite, enfin, sous la forme d’une interrogation mêlée de surprise : Peut-être ne voulait-elle pas la déflorer ainsi, l’occasion étant peut-être légèrement précaire et peu adaptée à ce moment qu’on voulait souvent délicieux. La jeune fille ne put que répondre.
La mention de Theorem l’avait ramenée à tout ce qu’il lui avait fait, dont s’occuper presque à outrance de ses fesses qui semblaient d’ailleurs grandement intéresser la vampire, aussi Asami eut-elle l’idée de proposer cette idée de manière un peu maladroite mais en aucun cas dénuée d’envie et, car il était vrai que le lieu et l’ambiance n’étaient peut-être pas idéaux, lui évitait de perdre sa virginité, au moins tant qu’elle serait ici.