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Messages - Poison Ivy

Pages: 1 ... 28 29 [30] 31 32 ... 40
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Suivant l’invitation implicite de la belle Pamela, Squall approcha ses lèvres de ses seins. Il était comme une espèce de drogué, hypnotisé par ce qu’il voyait. Fascinant spectacle, à vrai dire : une paire de seins. Il en fallait peu pour séduire les hommes, mais Pamela mentirait si elle n’était pas flattée de voir l’effet qu’elle produisait sur ce brave gardien. Certes, il était vierge, mais, outre cela, elle était une très belle femme. Ivy le savait, et en profitait pleinement, se serrant sur l’homme, une espèce de veuve noire dominante qui le domptait par sa beauté et par son expérience. Il prenait conscience qu’il était bien tombé, et que son guide, cet Archie, l’avait rudement bien conseillé en lui conseillant de venir la voir. Sentir les mains baladeuses de l’homme sur son postérieur était un véritable régal pour Ivy, qui caressait lentement les cheveux de l’homme, plaquant sa tête contre l’un de ses seins. Il se mit à le téter, et elle soupira de plaisir, des frissons remontant le long de son corps. Brave petit... Comme il était beau, et affectueux ! Pamela allait bien s’amuser avec lui, ce serait long et délicieux.

Elle gémit à nouveau, basculant sa tête en arrière, en resserrant ses jambes sur sa taille, l’étouffant à moitié. Sa prise était assurée, et elle se redressa un peu, cambrant son dos en sentant les doigts de Squall explorer son postérieur. Sensuelle, Ivy aimait bien qu’un homme soit un peu pervers avec elle, et n’hésite pas à explorer ses parties intimes. Après tout, si la Nature avait doter les humains de zones érogènes, c’était bien pour qu’ils s’en servent. Quitte à choisir, Pamela aurait préféré vivre dans une société naturiste, une société qui serait bien plus respectueuse de la Nature que ne l’était l’actuelle civilisation.

L’érection du vigile se renforçait et s’accentuait, et il suça pendant un certain temps le sein d’Ivy, ressemblant presque à l’image de l’enfant venant téter le sein de sa maman pour venir goûter à son lait. Peut-être était-ce là l’origine de ce plaisir inné que chacun ressentait en embrassant les seins ? Un rappel lointain, insidieux, et sexuel du geste de téter le sein maternel ? A creuser... En tout cas, c’était bon, tant pour Pamela que pour Squall, qui sentait ses seins se durcir. Ses mains gantées continuaient à caresser les beaux cheveux de Squall, jusqu’à ce que l’homme finisse par laisser le sein trempé de la senseï, et ne lui parle :

« Pamela...jamais une femme avant toi ne m'a fait autant d'effet...je suis prêt à faire tout ce que tu voudras...tout ce qui te donnera du plaisir... »

Un léger sourire amusé éclaira les lèvres d’Ivy devant un tel aveu. Squall était excité, mais dire à Ivy qu’on était prêt à faire tout ce qu’elle voulait, c’était s’exposer à de gros risques, connaissant les tendances sexuelles de la plante. Néanmoins, ce qui est dit était dit, et Squall ne pourrait plus revenir sur sa parole. Elle le laissa s’attaquer à son autre sein, caressant ses cheveux, continuant à l’emprisonner dans un étau de douceur, de plaisir, et de sensualité. Le petit puceau allait perdre sa virginité ce soir, et même plus que ça... Elle allait veiller à ce que, en sortant de cette pièce, plus personne ne puisse le qualifier de vierge.

« C’est bien, mon beau..., souffla-t-elle. Là, continue... Je vais m’occuper de toi, rassure-toi... »

Il se comportait comme un véritable soumis, ne se préoccupant que du plaisir de Pamela... Ce qui était une très bonne chose. Pamela était une femme très fière, ce qui pouvait, après tout, se comprendre. Elle continua à laisser Squall sucer son sein, puis finit par tirer lentement sur sa tête, et lui sourit lentement. Il se tenait entre les deux seins bien chauds d’Ivy, et elle tendit sa main gauche, celle qui ne tenait pas ses cheveux, et caressa à nouveau avec le pouce les lèvres de l’homme. Son sourire s’élargit lentement.

« Mon petit puceau... ajouta-t-elle. Je vais prendre soin de toi... »

Pamela retira alors ses jambes, et se laissa glisser, reposant ses pieds sur le sol. Son corset végétal disparut alors, exhibant ses parties intimes. Elle rapprocha sa bouche de l’oreille de Squall, et l’embrassa, le lécha, avant de prononcer ses prochaines instructions :

« Tes vêtements ne te collent-ils pas un peu, mon brave Squall ? Pourquoi vouloir les conserver ? Montre-moi les attributs que la Nature t’a offerts... »

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Cours très particuliers! (Pv Poison Ivy)
« le: dimanche 30 septembre 2012, 14:59:55 »
Les tentacules, la peau verdâtre... Il y avait largement de quoi fuir en courant, mais Squall s’avéra un peu plus courageux que cela. La surprise fut inévitable, mais elle ne le fit pas fuir... Il fallait donc croire que Pamela était plus excitante que ce qu’elle pensait, et que le désir du jeune vigile prédominait sur sa peur de finir dévoré... Il se laissa faire, marchant vers Ivy, qui se sentait bien mieux sans cette blouse encombrante. Le contact de tissus sur son corps la dérangeait ; elle préférait rester nue. Quand bien même ses parties intimes étaient pour le moment dissimulées, elle était nue. Il alla contre elle, alors qu’elle observait son corps. Squall avait l’air bien bâti, et elle sentait que ce serait un régal. L’homme l’embrassa, et Ivy se cambra lentement en sentant les mains de l’homme dans son dos. Elle répondit à son baiser, en sentant le désir monter en elle également. Faire l’amour avec un vierge... Mine de rien, cette information supplémentaire avait toujours un petit quelque chose d’excitant !

Squall approcha son autre main de ses seins, et commença à explorer le magnifique corps d’Ivy. Elle savait qu’elle était belle, une beauté fatale qu’on aurait cru sculptée par une quelconque divinité grecque. Elle attrapa à nouveau le cou de l’homme, prolongeant le baiser, respirant par le nez. Yeux clos, elle aventurait désormais sa langue dans la bouche du puceau, prenant tout son temps, ses jambes se resserrant autour de sa taille. Une véritable veuve noire, qui l’emprisonnait entre ses puissants muscles. Elle enroula ainsi ses jambes autour de sa taille, sentant son sexe tendu taper contre son bassin, frotter sur sa belle peau verte et douce. Le baiser, quant à lui, se poursuivait délicieusement. Quand Ivy retirait ses lèvres, c’était pour mieux y revenir. Elle en profitait pour soupirer et gémir un peu, sachant combien les hommes, de manière générale, aimaient entendre leurs partenaires féminines soupirer. Ne jamais douter de l’ego d’un homme. Et puis, Squall avait de belles lèvres.

Elle se collait contre lui, fourrant sa langue dans sa bouche, s’y aventurant avec un appétit vorace. Elle pouvait même, grâce à ses facultés, étendre un peu la taille de sa langue, en former un autre tentacule, ce qu’elle fit après quelques hésitations. Sa langue grossit, enfla, s’enfonçant un peu plus dans la bouche de l’homme, caressant ses parois internes, glissant sur ses dents, avant de se replier. Ivy se décolla alors du bureau. Elle était souple, et, de cette manière, elle put se coller encore un peu plus contre l’homme. Elle rompit le baiser, serrant sa taille assez fortement pour se maintenir sur lui, sa tête se retrouvant ainsi au-dessus de celle de Squall, lui offrant une vue sur sa poitrine.

Le long de ses jambes, plusieurs tentacules ondulaient sur son corps, semblables à des espèces de grosses veines verdâtres extérieures. Ils lui permettaient de se maintenir sur lui, sans l’étouffer, et elle promena ses mains sur ses joues, un sourire connivent sur les lèvres. L’un de ses doigts caressa ensuite le nez de Squall, descendant pour glisser sur ses lèvres, et s’enfoncer dans sa bouche.

« Tu es à moi, petit puceau... Et je suis sûre que tu n’as jamais eu l’occasion d’embrasser et de toucher une si belle poitrine... »

Sauf peut-être celle de sa mère. Squall avait une vue plongeante sur le décolleté de Pamela, et elle décida de lui faire plaisir. Elle n’eut aucune difficulté à rétracter un peu son corset. Squall dut voir le tissu végétal recouvrant ses seins disparaître, comme s’il était avalé par la femme, révélant ainsi ses deux seins verts, nus, avec des tétons verts foncés. La poitrine de Poison Ivy était un peu durcie, signe qu’elle était excitée.

« Viens, mon petit, viens goûter à mes délicieux seins... »

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Cours très particuliers! (Pv Poison Ivy)
« le: vendredi 28 septembre 2012, 15:50:53 »
Il était encore plus vierge que ce que Pamela pensait, et cette dernière eut un léger sourire. Elle aussi, avant de recevoir l’opération génétique qui avait fait d’elle la superbe créature qu’elle était actuellement, elle était un peu comme lui... Une étudiante coincée qui était tombée amoureuse de son prof’, Woodrue. Ce dernier avait abusé d’elle, et elle l’avait dignement récompensé... Tout cela remontait à loin, maintenant, car Pamela avait, sexuellement parlant, amplement rattrapé son retard... Néanmoins, être vierge et vigile au lycée Michima était incompatible. Les filles le provoqueraient, se moqueraient de lui, et les garçons se foutraient comme d’une guigne de son opinion. Non, il lui serait impossible de s’imposer, c’était une évidence... Le dépuceler n’était donc pas, en somme, qu’une question de plaisir, mais tenait aussi de la nécessité... Pamela aimait bien cette idée. Après tout, si elle existait, c’était pour se dévouer aux autres, ses fameuses plantes qu’elle soignait et entretenait. Toutefois, si elle avait l’occasion d’aider un compatriote humanoïde, elle n’allait pas passer à côté de cette chance.

Elle l’embrassa à nouveau, car il était plutôt craquant, et elle prolongea un peu le baiser, suffisamment pour songer à aventurer sa curieuse langue, et par caresser les lèvres de » Squall. Elle goba sa lèvre inférieure entre ses lèvres, tira dessus, puis releva sa lèvre supérieure, la glissant au centre de sa bouche, afin de dessiner un creux dans lequel elle fourra rapidement sa langue. Une simple invitation, une délicate promesse des moments à venir... Elle sentait son érection grossir, son sexe taper entre ses jambes. S’il était si vierge que ça, il jouirait rapidement... Auquel cas, les plantes d’Ivy seraient bien utiles pour qu’il retrouve rapidement ses érections. Elle ignorait qui était cet Archie, mais, indéniablement, il avait fait un bon choix en l’envoyant ici.

Ivy rompit ce second baiser, et s’écarta un petit peu, de manière à pouvoir glisser sa main gauche sur la protubérance qui sortait des jambes de Squall, cette bosse qui ne demandait qu’à sortir. Elle le caressa à travers le pantalon, un sourire espiègle sur les lèvres, puis défit légèrement les boutons du pantalon de l’homme, de manière à pouvoir glisser sa main à l’intérieur. Elle tira sur son sous-vêtement, et réussit à emprisonner son sexe dans sa main, caressant la hauteur de sa verge chaude et excitée avec son pouce ganté.

« Si tu veux prospérer à Mishima, Squall, il va effectivement falloir te former un peu... »

Pamela parlait d’une voix basse, sur un ton sensuel, et libéra le sexe de l’homme, puis se retourna. Elle marcha vers son bureau, sur un pas lent, et en profita pour défaire les boutons de sa blouse. Elle y alla tranquillement, et fit apparaître sous son corps son espèce de corset verdâtre, afin de ne pas être totalement nue, tandis que la pixellisation de sa peau changeait rapidement.

« Tu dois bien comprendre que ce lycée n’a rien à voir avec tout ce qui existe sur Terre... Tout comme cette ville... Tu as probablement du entendre parler des rumeurs sur Seikusu... Ou alors, tu en entendras parler rapidement... Ce lycée... Je crois qu’il agit comme une espèce de catalyseur au sein de cette ville... »

Elle retira sa blouse, lui montrant toujours son dos, et se retourna alors. Son visage, comme le reste de son corps, étaient désormais verts, un vert clair et tendre. Elle s’assit sur son bureau, faisant sortir ses jambes, et tendit une main vers l’homme, un sourire aguicheur se plaquant sur ses délicieuses lèvres. L’un de ses doigts sembla alors s’allonger, grandir de manière démesurée, et devint un peu plus lisse, jusqu’à former un fin tentacule verdâtre qui fendit l’air pour venir s’enrouler délicatement autour du cou de Squall. Elle aurait alors pu l’étrangler sur place, mais le tentacule ne le serrait pas fort...

« Viens, Squall, car tu es à moi pour cette soirée... Viens, mon petit puceau, et laisse-toi bercer, car je vais t’offrir des miracles qui te feront rêver... »

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Cours très particuliers! (Pv Poison Ivy)
« le: vendredi 28 septembre 2012, 12:42:10 »
Elle délaissait progressivement ses copies pour se préoccuper du nouveau vigile, qui la tutoya sans problème... Mais qui semblait toujours aussi nerveux. Rien de bien surprenant, après tout ; Pamela n’était pas une prof’, a fortiori une scientifique, pour rien. Elle avait noté les regards du jeune homme, des regards qui détaillaient son anatomie. Aucune raison de s’en sentir offusquée ; ce n’était pas Pam’ qui jouerait à la petite vierge effarouchée. L’homme lui expliqua ne pas encore tout savoir sur les usages en vigueur dans ce lycée. La coutume, effectivement, y était assez particulière. Pamela le savait très bien, c’était pour ça qu’elle était venue dans ce lycée, et non pas dans une université, comme elle l’envisageait initialement. Mishima était un complexe scolaire aussi grand qu’une université, disposant d’un budget qui, là encore, pouvait se comparer à certaines universités. Rien à voir avec les petits lycées délabrés de quartiers de Gotham City... Et, vu que le lycée était toujours ouvert, alors qu’il était presque de notoriété publique qu’il y avait dans le lycée une débauche sexuelle chronique, il fallait que ce dernier soit puissant et ait des influences pour que ce qui se passe à Mishima reste à Mishima. Ce n’était pas l’arbre qui cachait la forêt, mais plutôt la forêt qui, merveilleusement, dissimulait les petites recherches génétiques d’Ivy sur l’environnement. En somme, elle se plaisait très bien dans ce lycée.

Curieuse, elle comprit un peu mieux la lettre de ce fameux Archie, réalisant que, en fin de compte, il ne s’agissait peut-être pas d’un simple canular, mais bien d’une véritable demande. Squall avait peut-être du commencer par visiter les dortoirs, et avait sans doute déjà noté que les dortoirs étaient séparés pour mieux permettre aux élèves de se rencontrer. En revanche, elle était sincèrement surprise que Squall n’ait pas eu à faire, comme elle, une démonstration pratique lors de son entretien d’embauche.

*En même temps, lui ne dégage pas des spores aphrodisiaques de manière permanente...*

Squall rougissait de plus en plus, gêné, mal à l’aise. Pamela sourit légèrement, comprenant ce qui lui traversait l’esprit. Était-ce l’effet insidieux de ses spores ? Un effet mélangé à des heures et des heures de sueur et de frustration sexuelle pour les élèves dans cette pièce ? Ou l’aura de ses plantes, qui étaient, comme toujours, assez affamées après avoir passé tout un après-midi à sentir dans la pièce d’à côté des repas sexuels attirants. Les plantes d’Ivy se nourrissaient de fluides sexuels, une chose pratiquement normale dans un lycée atypique comme celui-là. Finalement, peut-être allait-elel pouvoir trouver un moyen de concilier l’utile et l’agréable ? Former Squall tout en nourrissant ses plantes ? Ivy se dévouait généralement à cette tâche, mais, avec un invité, c’était encore mieux.

« J'ai besoin que les élèves me respectent pour faire mon boulot mais je n'ai aucune....enfin je veux dire, on m'a prévenu que cette école acceptait certaine déviation du règlement notamment sur le plan....sexuel... »

Au moins, il était direct. Elle sourit légèrement, et entreprit de se relever, s’écartant un peu de son bureau.

« Certaines ‘‘déviations’’..., répéta-t-elle pensivement. Bien, il y a une chose que tu dois savoir sur Mishima avant d’aller plus loin… »

S’écartant du bureau, Pamela s’était rapprochée de l’homme, et le prit dans ses bras, se collant à ce dernier. Voilà, au moins, qui devrait balayer tous ses doutes sur les « déviations » sexuelles en vigueur au sein du lycée. Le souffle d’Ivy venait sur les lèvres de Squall. C’est vrai qu’il était craquant... Et il avait l’air... Sportif... Du moins, il n’était pas gros, et elle pensait sentir quelques muscles. Un repas de choix, réellement. Sa main fila dans les cheveux de Squall, et elle se mit à nouveau à parler :

« Quand tu consulteras les organigrammes, tu constateras que, à quelques exceptions près, le personnel enseignant de ce lycée se compose de beautés des deux sexes. Crois-tu que ce soit un hasard ? J’ai du coucher avec la directrice lors de mon entretien d’embauche... »

Pamela le laissa méditer sur cette tirade pleine de bon sens, et rapprocha sa bouche de la sienne pour l’embrasser. Un baiser assez simple, un simple frottement des lèvres, qui lui permit de goûter un peu à la bouche magnifique de la prof’ de biologie, puis elle écarta légèrement sa bouche, avec un nouveau sourire sur les lèvres. Elle resta collée à lui, le bout de ses seins frottant contre son torse.

« Un élève peut se permettre d’être vierge ici, c’est très bien vu... Mais pas un prof’, et encore moins un vigile... Tu es vierge ? »

Une question purement rhétorique. L’expérience sexuelle hors du lycée importait peu. Mishima était presque un monde à part, avec un système de fonctionnement très particulier. Tout se savait ici, il y avait des oreilles partout. Tout le monde savait que la prof’ de biologie du coin avait un élevage de plantes « sexovores », mais elle n’avait encore jamais reçu la visite d’associations de parents d’élèves furieuses. Msihima, à l’exception peut-être des bordels et des maisons de joie, était le seul établissement où l’expérience sexuelle d’un individu avait de solides influences professionnelles.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Cours très particuliers! (Pv Poison Ivy)
« le: vendredi 28 septembre 2012, 01:40:25 »
Encore une journée qui se terminait, encore de jeunes élèves qui sortaient épuisés des cours d’Ivy. Elle avait donné à sa classe un devoir à la maison qui, comme tous les devoirs à la maison, était particulièrement ardu, sans tenir compte de leur protestation. Ils étaient tous sortis, et, après quelques hésitations, elle avait décidé de rester dans la salle, afin de corriger les copies d’une interrogation écrite surprise qu’elle avait faite il y a quelques heures. Ivy était une prof’ aussi belle que dure, aussi rigide que séduisante. Il émanait de manière permanente de son corps des spores aphrodisiaques, des spores qui, face à des élèves en pleine puberté, pouvaient rendre ces derniers particulièrement impatients, en leur offrant de grosses difficultés à se concentrer. Pamela le savait, et elle jouait naturellement là-dessus pour perturber ses élèves... Il arrivait même qu’elle offre à certains l’occasion d’aller dans son petit laboratoire, juste derrière, afin de leur offrir une récompense intensive... Généralement, il s’agissait des élèves qui avaient bien reçu leurs devoirs.

Néanmoins, Ivy déprimait un peu... Tous les devoirs qu’elle corrigeait étaient médiocres, et elle enchaînait, avec son encre verte, les mauvaises notes. La jeune femme portait toujours sa blouse, avec ses longues bottes vertes et ses gants verdâtres, qui étaient tous sécrétés par son corps. Des espèces de tissus végétaux et humanoïdes qui formaient une seconde peau donnant l’apparence de vêtements. Elle y était encore quand elle entendit quelqu’un toquer à la porte.

« Entrez ! »

Un élève retardataire ? Une collègue ? Elle fronça les sourcils en voyant quelqu’un qu’elle n’avait encore jamais vu, un joli garçon... Trop vieux pour être un élève, trop jeune pour être un prof’... Le grand-frère d’un élève, peut-être ? Il arrivait parfois que certains viennent se plaindre auprès d’elle des exercices éprouvants qu’elle délivrait aux élèves. L’homme semblait nerveux, et Ivy se retourna sur son fauteuil, jambes croisées, et il se présenta :

« Bonjour, je suis désolé de vous dérangée en plein travail mais je viens me présenter à mes nouveaux collègues, je suis le nouveau gardien du dortoir des garçons. Squall Leonhart. »

Pamela fronça les sourcils, puis ses yeux s’écarquillèrent, avant qu’elle ne se rappelle la lettre dans son casier. Elle secoua la tête, et son visage se fendit d’un léger sourire révélant ses belles dents blanches. Squall Leonhart... Bien sûr ! Elle avait reçu une lettre sur son sujet dans son casier, émanant d’un élève, qui lui avait dit qu’il l’avait « recommandé » pour offrir à Squall une « formation des valeurs réelles du lycée Mishima ». Pamela n’avait pas trop compris, et avait jeté la lettre, pensant à un grossier canular. Il était constant que des élèves fassent sur elles des gages, comme des dessins pornographiques, ou des lettres d’amour. Pamela était une femme belle et sensuelle, et dont les mystères sur sa vie privée semblaient faire fantasmer les élèves. Elle était d’ailleurs presque sûre que, s’il y avait au sein des élèves un concours sur les profs’ les plus sexys du lycée, elle devait figurer dans les premières places du classement.

« Oh, je vois... J’ai vu votre nom dans le memo que j’ai reçu… Enchantée ! »

Se relevant, Pamela tendit sa main, saluant Squall de manière très professionnelle, lui faisant un sourire éblouissant. Il était plutôt beau... Voire même très craquant, à vrai dire. Elle s’écarta légèrement de lui, et croisa les bras sur sa poitrine.

« Je suis Pamela. Pamela Isley, mais... Tu peux m’appeler Pamela... Et me tutoyer, aussi. Je laisse le soin à mes élèves de me vouvoyer. »

Pamela se retourna, et alla s’asseoir sur on fauteuil.

« Entre donc, Squall... Et referme la porte, je n’aime pas qu’on me dérange… »

Voilà qui lui ramenait le contenu de cette lettre à l’esprit... Elle avait été signée par un certain « Archie ». Mais il y avait plusieurs Archie au lycée, alors, difficile de savoir... Elle termina une copie, puis se redressa, et parla :

« Alors, comment trouves-tu le lycée, pour le moment ? Tu es là depuis quand ? »

Pamela se faisait chaleureuse et accueillante. Elle ignorait encore si elle allait montrer à cet homme son laboratoire... Et ses charmantes plantes sexuelles affamées. Peut-être ? Ça restait encore à se préciser...

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Le coin du chalant / Re : Gardien cherchant une prof pour cours particulier
« le: jeudi 27 septembre 2012, 23:17:18 »
Comme tu le sens ^^

442
Le coin du chalant / Re : Gardien cherchant une prof pour cours particulier
« le: jeudi 27 septembre 2012, 22:18:09 »
Si tu as envie de moi, je veux bien t'apprendre les ficelles du métier  8)

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Bureau de la direction et infirmerie / Re : Ménage à trois [Asuka Ayame]
« le: lundi 17 septembre 2012, 10:52:33 »
La roue tournait. Félicia se retrouva avalée dans un méandre de tentacules, et ne s’en vulgarisa pas. Ce n’était pas la première fois qu’Ivy lui faisait ça, et leur relation avait d’ailleurs commencé ainsi... Au milieu des plantes de cette délicieuse psychopathe. Félicia était venue la voir pour discuter d’une élève, et s’était retrouvée dans une plante, un cocon qui s’était refermé sur elle. Le cocon lui avait fait l’amour pendant un temps indéfinissable, jusqu’à ce que Félicia tombe d’épuisement. Ivy lui avait alors dit que le cocon était infatigable, à l’image de la Nature, et que Félicia avait gagné un petit record en tenant plus d’une journée entière à l’intérieur ! Ce fut le début de cette relation intense et intime qui s’exprimait généralement au milieu des plantes de la biologiste. Ses plantes étaient réellement toute sa vie, et elle ne parvenait pas à s’en passer. Dans la plante, Félicia sentit les tentacules l’envahir, et poussa un petit gémissement. Des connexions nerveuses s’établissaient le long de son corps. La Chatte Noire ne comprenait absolument rien au fonctionnement de cette plante, mais elle savait qu’elle pourrait ressentir le plaisir de la plante, cette dernière ayant toujours un tentacule enfoncé dans les fesses d’Asuka.

Ivy, quant à elle, s’était volontiers empalée sur Asuka, car, s’il est vrai qu’elle adorait coucher avec ses tentacules, les sentir remuer sur elle, tirer sur ses membres, et la perforer pendant des heures, un contact humain avait quelque chose d’irremplaçable, une douceur et une chaleur qu’elle n’avait pas encore réussi à recréer avec ses plantes. Poison Ivy enfonça cette queue dans son vagin, et poussa un long sifflement, qui se transforma en un cri de plaisir. Asuka avait vraiment une superbe queue ! La sentir en elle était un véritable régal ! Ivy soupira longuement, des gouttes de sueur coulant sur son visage.

« Humm... »

Elle se mit à remuer, à s’empaler, mais elle n’avait pas le talent de Félicia en la matière. Ivy avait en effet surtout l’habitude se faire l’amour avec des plantes. Le sexe « normal » (pour autant qu’on puisse qualifier de normal le fait de s’envoyer en l’air avec une hermaphrodite dans une salle de classe) ne lui était, en ce sens, pas aussi inné. Elle n’émit donc aucune protestation quand Asuka la retourna, et s’enfonça en elle, remuant son corps. Des cris de plaisir s’échappaient du corps délicieusement aplati de Pamela, qui enroula un bras autour du cou de la femme, et l’embrassa avec passion, répondant aux baisers de la femme. Elle se mettait à mouiller abondamment, gémissant et soupirant.

« Haaaannnn ! Encore, encore, ouiiiiiii !! Encoore !! »

Ivy se mettait à remuer son bassin, dans la mesure du possible. Ses fesses se soulevaient parfois quand Asuka retirait son sexe, et la biologiste gémissait longuement de plaisir. Elle tendit son autre main, afin de serrer entre ses doigts l’une des fesses de la solide prof’ de sport, avant de glisser sa main le long de son corps. Fermant les yeux, elle se laissa aller, et jouit, contractant un orgasme. Elle se sentit partir loin, les sensations semblant se filtrer, avant de revenir à la réalité, sereine, apaisée... Mais toujours aussi excitée. Elle eut un sourire, et embrassa à nouveau Asuka, tandis que, dans le corps de la femme, le tentacule s’avançait toujours plus profondément.

« C’est une merveilleuse sensation, Asuka... Ma plante t’aime beaucoup... » réussit à souffler la femme dans le creux de l’oreille de la prof’ de sport.

444
Bureau de la direction et infirmerie / Re : Ménage à trois [Asuka Ayame]
« le: jeudi 13 septembre 2012, 13:56:31 »
Dans la bouche d’Asuka, Poison Ivy remua lentement son doigt, le glissant sur ses lèvres, profitant de cette chaleur, de cette douceur innée qui semblait s’échapper de la bouche de la femme excitée. En lui balançant encore un peu d’aphrodisiaque, Ivy jouait délibérément avec le feu, mais elle ne voulait pas que son amante s’écroule trop vite. Tenir le rythme avec une femme comme Poison Ivy n’était pas particulièrement simple, et était même une véritable prouesse. La femme-plante était très difficile à épuiser de ce point de vue, ce qui rendait les séances sexuelles avec elle particulièrement longues, délicieuses, mais aussi éprouvantes pour ses amants. Et ce le serait d’autant plus pour Asuka qu’elle devait aussi satisfaire une autre femme : Hardy. Or, la Chatte était particulièrement gourmande, elle aussi. Voilà qui avait de quoi promettre pour une première fois au lycée Mishima, une sacrée expérience ! Ivy était aussi surprise que Félicia, mais elles avaient rapidement su se faire à l’idée d’admettre dans leur petit cercle une femme en plus... Choix judicieux, car cette femme avait des arguments, qui, visiblement, ne laissaient pas Félicia de marbre.

Ronronnant furieusement, cette dernière se dressait fièrement sur le corps de sa partenaire, remuant sur son membre en soupirant et en gémissant. Le membre tendu de la récente prof’ de sport s’enfonçait dans son corps, la faisant trembler de désir et de plaisir, ce dernier semblant suinter de tous les pores de sa peau.

« Haaaaaaannnn, hummmm... Elle a une de ces... De ces bites, Pamela ! Tu ne sais pas ce que tu loupes, ma... Hummm... Ma beeeeeelle !! »

Pamela sourit légèrement, continuant à remuer ses doigts dans la bouche de la femme, tout en dardant son regard vers Félicia. Avec sa chevelure argentée et son corps renforcé, elle était bien plus belle, ressemblant bien plus à une femme forte qu’avec son simple corps frêle de petite blondinette. Ivy retourna se pencher sur Asuka, et recommença à l’embrasser, goûtant à la saveur de ses lèvres, penchant son corps sur le sien. Ce fut un assez long baiser, plutôt endiablé, au terme duquel Poison Ivy se redressa, et grimpa à son tour sur la table. Sa peau restait d’une couleur verdâtre, des tentacules glissant le long de ses jambes et de ses bras, et elle s’assit également à califourchon sur le corps d’Asuka, embrassant Félicia sur les lèvres.

« Hnnnn... !
 -  Tu me la prêtes, cette fameuse queue ?
 -  Aaaah... Il... Il me faut une... »

Pamela posa un doigt sur les lèvres de Félicia, car parler lui demandait de l’effort, et elle cligna de l’œil. Dans le dos de Félicia, l’une des plantes d’Ivy commençait à se réveiller, excitée par ce qui se passait. La plante était reliée à l’esprit d’Ivy, après tout, et sentait le plaisir de sa créatrice. De nombreux tentacules jaillissent de la plante, ressemblant à une espèce de grosse bulle verte passablement gluante. Les tentacules s’enroulèrent finement autour de Félicia, et commencèrent à la tracter. Elle s’extirpa en glissant du pénis d’Asuka, mais ce fut pour rapidement être prise par de nombreux tentacules. Ivy, de son côté, se retourna face à la femme, et vint remplacer Félicia, en s’empalant sur elle.

« Haaa ! » soupira-t-elle de bonheur.

A lui aurait presque manqué ! Après tout, c’était assez différent de se faire pénétrer par un tentacule.

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Bureau de la direction et infirmerie / Re : Ménage à trois [Asuka Ayame]
« le: samedi 11 août 2012, 02:51:25 »
« Après avoir gouté à un si beau fruit, j'ai furieusement envie d'attaquer le plat principal! »

C’était si joliment dit qu’Ivy ne put que sourire. Il faut dire que le corps de Félicia était plutôt tentant. La belle savait mettre en valeur ses formes plus que généreuses, on ne pouvait que lui reconnaître ça. Poison Ivy était amusée par cette situation. Visiblement, Asuka voulait sentir de la chair, et non simplement la texture des plantes d’Ivy, quand bien même elles étaient tendres et douces.

*Je ne peux qu’envier la résistance de cette femme...*

Elle était très excitée. Ivy, autant qu’Asuka. La biologiste mouillait, et c’était bien normal. Elle donnait pour l’heure beaucoup, s’occupant du fondement de la nouvelle. C’était sa forme de bizutage, sa manière d’initier les nouvelles recrues à ce qui les attendait vraiment dans ce lycée hors norme. On ne demandait pas vraiment aux profs’, ici, de veiller à l’éducation intellectuelle des élèves, mais surtout à leur éducation sexuelle. Ce lycée n’était rien de plus qu’un vaste baisodrome, dont Ivy ne s’expliquait pas sa survie dans un pays si conservateur, et si à cheval sur les règles.

Asuka vint se perdre dans le corps de Félicia, qui enroula ses jambes autour de ses hanches, soupirant lentement, ronronnant en l’embrassant, s’agrippant à sa nuque.

« Haaa... Han oui, hmm... Là, vas-y... »

La Chatte Noire soupirait, se laissait aller, et Ivy, tranquillement, libéra les fesses d’Asuka après avoir joui, et dirigea l’un des tentacules de ses plantes à l’intérieur, tandis que les deux femmes se faisaient longuement et passionnément l’amour. La salle de classe risquait de ne plus ressembler à grand-chose après ça. Leur bureau craquait, et Félicia ne tarda pas à agir. Elle se retourna, et envoya Asuka sur le dos, se dressant à califourchon sur elle, se mettant à danser sur son corps. A voir ce dos nu, ces gouttes de sueur qui commençaient à couler, et cette longue chevelure glissant sur son dos, elle était tout simplement exquise. Elle s’empalait sur le membre tendu d’Asuka, baissant la tête pour la regarder. Ivy s’approcha lentement, et promena ses doigts sur le dos de Félicia, puis vint suçoter l’un des seins de Félicia.

« Hmmm... Haaaan, mes belles... »

Pamela releva la tête en souriant après avoir mordillé son téton, et se pencha vers Asuka, l’embrassant sur les lèvres. Ce fut un baiser un peu particulier, car la langue d’Ivy s’enfonça dans la bouche d’Asuka, s’étalant sur plusieurs centimètres, devenant une espèce de tentacule qui se perdit dans la gorge de la femme. Le baiser se prolongea assez longtemps, Asuka étant emprisonnée par les deux femmes, la main de la biologiste amoureuse de la Nature allant se perdre sur l’un de ses tétons, le pinçant. Le tentacule finit par se rétracter, et Ivy retira lentement ses lèvres. Elle avait profité de ce baiser pour balancer sa salive aphrodisiaque dans sa bouche, et glissa un doigt dans la bouche d’Asuka.

« La Nature ne connaît pas la fatigue, ma belle. Elle ne s’arrête que quand elle est pleinement rassasiée... »

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Les terres sauvages / Re : A table ! [Mithra]
« le: samedi 11 août 2012, 02:48:23 »
Si Ivy avait été moins sonnée, et un peu moins encline à croire aux apparences, elle aurait vu le regard lourd de sous-entendus de la Terranide, cette lueur... Elle aurait compris qu’elle ne taillait pas une lance par erreur, elle aurait vu ce désir, elle aurait vu ce regard fouiller son corps, non pas à la recherche d’hématomes ou d’ecchymoses, mais avec ce regard intéressé que tous les mâles et les femmes lui avaient lancé quand ses spores commençaient à agir, et qu’ils louchaient sur son décolleté, sur ses jambes croisées qui, négligemment, relevaient de quelques centimètres sa blouse. Ivy avait toujours réussi à arrondir les angles avec ce pouvoir, avec son charme. En temps normal, elle aurait vu tout cela. Cependant, la super-vilaine était sonnée, et en proie à un léger sentiment de panique. Elle n’avait jamais été une guerrière, jamais été une combattante. Elle se réfugiait derrière ses plantes et son charme pour dissimuler la grande fragilité de son corps.

La Terranide bondit sans prévenir, et Ivy n’eut que le temps de soupirer quelque chose qu’elle se retrouva sous son corps. Elle essaya bien de se débattre, mais la panique explosa dans son corps, combinée à la douleur qu’elle ressentait toujours au crâne. Et cette créature était une chasseresse. Rien à voir avec le stéréotype de la Terranide servile. Ivy se retrouva ficelée avec précision, un sac de toile sur la tête l’étouffant presque, et se retrouva, en somme, suspendue la tête en bas.

« Hum hmmmm !! » s’exclama-t-elle.

Elle appelait inutilement au secours, et se fustigea rapidement de réagir comme une stupide humaine. Elles étaient au milieu de nulle part, et le doute n’était plus permis. Une ermite qui vivait recluse dans la forêt. Ivy se balança d’avant en arrière, utilisant son agilité pour essayer de se redresser, de se défaire des liens qui l’entravaient et serraient sa peau. Ça frottait, et ça l’irritait. Elle était un quartier de bœuf que cette femme allait éplucher avec sa lance. Poison Ivy ne pouvait que s’en prendre à elle. Elle avait raisonné comme une humaine qui, en voyant une belle forêt, négligeait d’y voir les prédateurs, les ombres dans les coins et les toiles d’araignées tapies entre les branches. Oui, elle avait vu une belle Terranide, et avait immédiatement cru qu’elle n’était pas le vilain ogre. Mais elle s’était plantée, et se retrouvait maintenant dans une fâcheuse posture. Personne ne pouvait la secourir au milieu de la forêt, et les liens l’étouffaient.

Le temps lui était compté, ce qu’elle réalisa rapidement en continuant à se tortiller et à gémir. Elle commençait déjà à réfléchir, et voulait donner à la Terranide l’impression qu’elle était terrorisée et paniquée. Elle se tortillait ainsi de droite à gauche, une corde remuant le long de ses fesses, les barrant en deux. Elle ne se doutait pas qu’elle devait être un objet sexuel particulièrement excitant, et commençait à faire sortir de sa bouche des tentacules. C’était tout ce qu’elle pouvait faire : faire jaillir hors de son corps des tentacules, mis c’était bien insuffisant. Ces derniers étaient résistants et solides, mais elle ne pouvait pas, dans sa position, attaquer sa geôlière.

L’admettre était dur pour son égo, mais elle était pour le moment faite comme un rat.

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Les terres sauvages / Re : A table ! [Mithra]
« le: mardi 07 août 2012, 02:45:48 »
Ce fut l’odeur qui réveilla Ivy. Une odeur écœurante, qui lui donnait envie de vomir, comme si on l’avait jeté dans un charnier. L’odeur agressa ses narines, particulièrement sensibles. C’était différent de l’odeur de pollution, mais pas forcément plus agréable. L’odeur la fit trembler, et son corps se remua lentement. Poison Ivy n’était pas, physiquement parlant, particulièrement forte. Elle était fine et frêle, et tout son art reposait en sa séduction et ses plantes. Sans ces deux armes, elle était complètement démunie.

« Haa... »

Un léger gémissement. Après l’odeur agressive, la douleur se rappela à elle. Puis la mémoire et les souvenirs. Elle se promenait dans la forêt, en communion avec elle, quand elle avait vu cette maison. Elle avait été tellement surprise qu’elle en avait abaissé ses défenses, et quelqu’un, manifestement, en avait profité pour l’assommer. Le coup avait été assez fort, et elle avait un vilain mal de tête. Ivy avait toujours les yeux clos, et les ouvrit lentement. Elle n’était plus dans la forêt, et remua la tête de droite à gauche, voyant une espèce de... De cabane... Ou de petite hutte... Elle avait l’impression d’être dans une espèce de conte de fées, dans une histoire de Charles Perrault avec la petite vieille qui venait sauver la jeune Princesse perdue des loups, avant d’essayer de l’avaler dans son chaudron. Les enfants, il ne fallait jamais faire confiance aux vieux perdus dans les forêts, aux marginaux et à ceux qui s’isolaient de la société. Pour le coup, elle devait admettre qu’il y avait un peu de jugeote là-dedans.

*Si j’avais été attaquée par un animal, je serais déjà morte... A moins qu’il ne m’ait réservé pour ses petits, mais je ne suis manifestement pas un nid... Et pas attachée non plus... Putain, ma tête ! Si je retrouve le salopard qui m’a fait ça...*

Poison Ivy reprenait peu à peu conscience... Et réalisa ainsi qu’elle n’était pas seule. Elle se redressa alors, les réflexes venant. Nue, elle était toujours de couleur verte, et sursauta légèrement en voyant qu’il y avait dans la pièce... Une espèce de curieuse autochtone. Sûrement une Terranide. Plutôt jolie, en fait. Pour le coup, Ivy était mise en faute par son instinct de terrienne, cet instinct qui voulait que ce qui soit beau ne soit pas dangereux. Elle regarda la Terranide, se tenant le front.

« Sa... Salut, lâcha-t-elle, hasardeuse. Aïe, ma tête... Hum, ça fait mal, putain... »

Elle appuya à nouveau sur l’endroit de sa bosse, se demandant si elle avait saigné. Elle regarda autour d’elle.

« C’est... C’est toi qui m’a secouru ? Soigné, peut-être ? Me-merci... Je... Je m’appelle Ivy... Humm... »

Dans la tête d’Ivy, cette Terranide était probablement une créature qui l’avait vu inanimée, et avait été la sauver. Elle était encore bien loin de s’imaginer que cette femme était celle qui l’avait mis dans cet état. L’odeur, à nouveau, vint agresser les narines de Poison Ivy, qui eut une envie soudaine de vomir. C’était... Et bien, c’était une odeur chair décomposée. Pas très agréable, elle reniflait la putréfaction, et ça semblait vraiment proche. Des grimaces de dégoût venaient éclairer son visage.

« Tu... Tu t’appelles comment ? »

Le coup sur sa tête lui embrumait l’esprit. Si elle était parfaitement réveillée, elle aurait vite compris que cette Terranide était tout, sauf honnête. Elle aurait vu cette lueur dans le regard de Mithra, bien plus éloquente que cette odeur de cimetière qui envahissait l’air.

448
« Hum... Vous poussez vite, mes belles... C’est très satisfaisant. »

Oui, Ivy était heureuse. Heureuse et fière de l’évolution des plantes dans les cours du lycée de Seikusu. C’était un petit espace, mais, comme elle côtoyait jour après jour les cours du lycée, elle s’était mise en tête de s’en occuper, les jardiniers du lycée étant, à son goût, des amateurs. Elle ne comptait plus le nombre de saloperies qu’elle avait trouvé dans ces parterres : emballages de bonbons, crottes de nez, sans compter les traces d’urine, voire même des emballages de préservatifs... Sa colère avait été forte, si forte qu’elle avait même failli envisager de mener une vendetta contre ces sauvages, afin de leur infliger une bonne leçon. Elle en avait finalement trouvé un, d’ailleurs. Il avait jeté au milieu des fleurs un mouchoir, et Ivy l’avait pisté, avait retrouvé son adresse. Une belle petite maison avec un jardin et des fleurs. Il n’avait pas été bien difficile d’utiliser ses potions. Les plantes avaient poussé, devenant d’énormes lianes qui s’étaient infiltrés dans la maison, passant par les portes et les fenêtres en pleine nuit, à 4h du matin. La famille avait du passer une nuit d’enfer, et la police n’avait aucune explication scientifique à donner. Quand elle avait lu ce fait divers dans le journal, Poison Ivy avait bien rigolé.

La prof’ se releva. Elle n’avait pas son cours de biologie de 14h à 16h aujourd’hui. La classe était en voyage à Okinawa, comme une bonne partie du lycée. L’ambiance était plutôt sereine et détendue. Pamela Isley était dans sa blouse blanche, portant des bottes et des gants verts. Ces vêtements verdâtres étaient une excroissance naturelle de sa peau, Pamela ne supportant que difficilement de porter des vêtements. La blouse était la seule tenue qu’elle pouvait s’accorder. Elle observa les parterres de fleurs, ce ciel bleu avec quelques tâches de nuages dans le ciel, ce grand soleil jaune. La journée s’annonçait plutôt bien. Ivy retourna vers le bâtiment principal de ce grand lycée. Il ressemblait plus à un campus universitaire qu’à un lycée, de son propre point de vue, tant il était grand.

C’est en retournant vers le bâtiment principal qu’elle entendit quelques crics, et vit des lycéennes apeurées sortir en hurlant. Fronçant les sourcils, Poison Ivy se demanda ce qui leur traversait l’esprit. Ils semblaient réellement paniquées, et elle arrêta une lycéenne.

« Hey ! Hey ! Qu’est-ce qui se passe ?
 -  Une... Un tigre ! »

Un tigre ? Ivy pensa à un animal échappé du zoo, et se rapprocha du bâtiment. Elle passa par les portes à double battant, et avança le long d’un couloir menant au hall, entendant un fort brouhaha.

« Cette vidéo fera le tour de YouTube ! Le délire ! »

Ivy s’avança, et atteignit le hall, où elle vit alors une curieuse scène. Une femme s’avançait, avec une panthère qui la suivait. Elle était l’attraction du moment, et Ivy mit plusieurs secondes à se rappeler de quoi il s’agissait. Elle avait lu le mémo à ce sujet... Une nouvelle professeur de langues, qui avait été recrutée suite à la volonté affirmée du lycée Mishima de s’ouvrir au monde en développant les matières de langues. Les surveillants, avertis, essayaient de rassurer les lycéens.

« Ne vous inquiétez pas, c’est une nouvelle senseï, et son animal est inoffensif.
 -  Circulez, retournez en cours, allez ! »

On la filmait, on la photographiait. Il n’y avait pas beaucoup de professeurs cette semaine, en raison du voyage à Okinawa. La senseï s’approcha de Nahalhi, et lui fit un agréable sourire en tendant sa main

« Je vous souhaite la bienvenue, Mme Ikuyo. Je suis Mme Isley. »

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Les terres sauvages / A table ! [Mithra]
« le: lundi 30 juillet 2012, 02:42:14 »

La forêt

En faisant abstraction des monstres, des bandes de bandits, des guerres incessantes entre des royaumes chaotiques, des esclavagistes, de la superstition locale, Terra était un monde fascinant pour Poison Ivy. Professeur dans un lycée de Seikusu, celle qui avait (presque) renoncé à ses activités d’éco-terrorisme sur Terre se révélait une grande admiratrice des impressionnantes forêts terranes. Sur Terre, il était de plus en plus difficile de trouver de véritables forêts vierges, des forêts où on ne risquait pas de trouver un sac plastique, un mégot de cigarette, des traces de semelles... En gros, une forêt où on ne sentait pas la trace de l’Homme, où les narines n’étaient pas agressées pas la pollution, où les oreilles n’étaient pas attaquées par les vrombissements d’insupportables voitures. Pour une femme comme Ivy, de telles nuisances étaient insupportables, et, partant de là, elle s’accordait des semaines entières d’immersion dans ce genre de forêts, ces forêts terranes où la superstition des villageois les amenaient à rester à la lisière des arbres, et à refuser de s’avancer trop avant. Et, comme les forêts étaient immenses, Ivy n’avait eu aucun mal à s’éloigner des petits villages et des camps de bûcherons. Elle avait affronté l’habituelle ignorance paysanne, qui croyait que des dragons, des sorcières, et des démons cannibales vivaient dans les profondeurs de la forêt. Des animaux, il y en avait, mais Ivy n’avait rien à craindre.

Elle se promenait au milieu d’arbres géants, et était en immersion depuis deux jours. Sa peau était verte, et elle avançait nue, n’ayant pas besoin de couvrir ses parties intimes. Elle ne s’amusait nullement à transformer la forêt, elle se contentait de prendre des vacances, de vivre comme une nymphe des bois le ferait. C’était tellement relaxant, tellement délicieux... Ivy adorait ça, tout simplement. Il en fallait peu pour être heureuse... Et à la fois beaucoup.

Elle avançait le long de la forêt, voyant ces arbres gigantesques, observant parfois des fleurs, les caressant, les sentant frémir. Son corps était si particulier qu’elle était liée à la Nature, et pouvait percevoir cette dernière. Elle embrassait volontiers des pétales, et ce fut durant ses pérégrinations qu’elle tomba au hasard sur une solitaire maison perdue dans la forêt.

Sur le coup, elle fut un peu surprise. Une forêt en pleine nature, c’était... Plutôt inhabituel ! Elle avait l’impression d’être dans une espèce de conte pour enfants, un Hansel & Gretel curieux. Elle s’avança vers cette petite maison, se demandant qui pouvait vivre à l’intérieur. Une affreuse sorcière qui dévorerait les enfants égarés ? L’idée la fit lentement sourire, tellement elle semblait grotesque.

*Plutôt un ermite, ou un vieux fou. Peu m’importe...*

Ivy entendit alors du mouvement derrière elle. Surprise, elle se retourna, et eut juste le temps de voir une forme sombre fondre sur elle.

« Que... ?! »

Elle se reçut un puissant coup sur la tempe, et s’effondra sur l’herbe.

Parfois, la superstition locale dissimule un morceau de vérité.

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Le coin du chalant / Re : Miam-miam ~
« le: mardi 24 juillet 2012, 16:50:41 »
Comme ma petite Poison Ivy, je me serais bien proposée pour la trame #1 : "Vous vous aventurez dans la forêt avant de vous y perdre et d'apercevoir une habitation. Un coup derrière la tête vous fait perdre conscience et vous vous réveillez sous le statut de dîner."

Si mon personnage te tente... ^^

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