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Messages - Poison Ivy

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« C'est vrai que j'y avait déjà pensé mais je n'ai jamais osé te le demander Pamela... »

L’intéressée sourit à nouveau, plongeant son regard envoûtant dans les yeux de Squall, avant de lâcher, espiègle et mutine :

« Mon petit voyou serait-il un grand timide ? Crois-tu donc que j’ignore ce qu’est la sodomie ? On ne t’aurait pas envoyé auprès de moi, si j’avais une expérience sexuelle à la hauteur de ma réputation... »

Elle lui fit un léger clin d’œil, et retourna goûter à ses lèvres. Squall, de son côté, tentait de s’occuper un peu des tentacules, de leur montrer de l’affection, caressant avec ses doigts l’un d’entre eux. Le tentacule verdâtre sautilla sur place, lentement, se tortillant délicatement, heureux et excité. La sodomie commençait, et Ivy sentait bien que l’homme souffrait... Sa première sodomie aussi avait été douloureuse, mais elle avait été moins tendre que celle que Squall subissait. Son partenaire sexuel, ses plantes affamées, l’avaient perforé sans ménagement. Ça avait été terriblement douloureux, et elle n’avait pas pu s’asseoir pendant une bonne semaine, avant de finalement réussir à contrôler mieux les plantes, et à, progressivement, apprécier la sodomie. Elle était partie du principe que, si la nature permettait à un objet de s’enfoncer dans cet orifice, alors c’est qu’il fallait l’accepter. Or, un homme, comme une femme, avait un anus. Il n’était donc pas question, pour elle, que Squall se défile.

Il semblait se faire aller, et glissa sa bouche contre le cou de Pamela, l’embrassant tendrement, tout en continuant à la pénétrer. Son érection était toujours là, et Pamela continuait à gémir. Une femme savait que le sexe était un mélange de douleur et de plaisir, car une pénétration, même vaginale, ne se faisait pas sans douleur. Les deux se mélangeaient pour former un plaisir exquis et inouï, et c’était pareil pour les hommes. Il fallait juste que Squall l’apprenne et le réalise, et c’est ce à quoi Ivy s’évertuait. Elle continuait à se blottir contre lui, enroulant ses jambes autour de son bassin, en serrant fort, l’étranglant à moitié. Elle aimait tellement ça, sentir un homme prisonnier entre ses jambes, et sentir des tentacules s’enrouler autour de son corps.

« Pamela...On peut dire que tu me fais voir de nouveaux horizons... » souffla-t-il.

C’était, effectivement, le moins qu’on puisse dire. Elle sourit, et l’embrassa sur le nez, puis remua également son corps, l’ondulant, avant de tendre son corps en arrière, basculant à moitié dans le vide. Les tentacules l’aidaient, la tirant vers le bas, et elle se retrouva ainsi à la perpendiculaire, par rapport à Squall, ses jambes se tendant de part et d’autre. Elle était en suspension dans le vide, et poussa des soupirs de plaisir.

« Vas-y, baise-moi ! » s’exclama-t-elle alors.

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Bureau de la direction et infirmerie / Re : Ménage à trois [Asuka Ayame]
« le: vendredi 19 octobre 2012, 15:11:43 »
Dans la plante, Félicia n’était pas qu’une simple spectatrice se faisant baiser par des tentacules ; elle était aussi une actrice. Dans la mesure où elle était une femme au caractère trempé, et où elle avait déjà l’expérience de cette sensation très particulière, elle pouvait mieux dicter sa volonté et ses fantasmes sur la plante. C’était quelque chose de difficile à comprendre, comme tenter d’expliquer à un aveugle ce qu’était la vue. Il fallait le vivre pour le comprendre, mais, de manière schématique, on pouvait dire que la conscience de Félicia se mélangeait avec celle de la plante, influant sur cette dernière. Son corps était relié à celui de la plante, lui permettant de la contrôler, tout en étant également contrôlée par elle. C’était une symbiose commune, et les tentacules de la plante agirent en conséquence.

Le tentacule dans le corps d’Asuka fit une intense et profonde exploration, remontrant progressivement dans les entrailles du corps de cette dernière. Intelligent, le tentacule ne détruisit rien, s’avançant dans un océan de veines, d’os, de muscles, et d’organes, jouissant intensivement. La Nature était bien faite, et le tentacule savait comment faire. Il agissait presque instinctivement, et Ivy pouvait sentir sa plante très excitée... Tandis que d’autres tentacules s’enroulaient autour d’elles, elle put voir le ventre d’Asuka gonfler, grossir. Du lait se mit également à couler de ses tétons, un spectacle assez fascinant, hors normes. Elle se serait presque crue dans l’un de ces mangas ridicules qu’elle avait une fois confisqué à un étudiant de sa classe, où une prof’ se faisait prendre en série par ses élèves, si bien que son ventre grossissait. Et le tentacule, lui, continuait à remonter le long du corps de la femme, jusqu’à filer par sa gorge, veillant à ne pas l’étouffer.

Asuka endurait cela avec plaisir, et Pamela, avec un sourire, l’embrassa, le lait de la femme se mettant à glisser sur son corps. C’était relativement bon, excellent même, et elle savoura le contact de la bouche d’Asuka, avant de sentir le tentacule se plonger également dans sa gorge. Pamela frémit, et ferma les yeux, les tentacules de sa plante se mettant à unir les deux amantes. Difficile de décrire cette scène sans la voir : c’était un mélange de sensualisme, de perversion, et de perversion. Le tentacule filait entre les cuisses d’Ivy pour s’enfoncer dans l'anus d’Asuka, et il remontait ensuite tout le long de son corps, passait par la bouche de la femme, pour rentrer dans le corps de sa propriétaire et génitrice. Pamela tremblait silencieusement, en sentant ce morceau verdâtre se faufiler dans sa gorge. Le tentacule était très lubrifié, et se glissa sans difficulté.

L’une des mains d’Ivy, pendant ce temps, caressait l’estomac arrondi d’Asuka. Le tentacule avait du bien jouir pour traverser son corps. Pamela était ravie de voir que cette femme était aussi coquine qu’elle... La simple vue d’un tentacule suffisait souvent à faire pâlir n’importe quel amant, mais rares étaient ses partenaires à avoir pu apprécier une pénétration profonde. Tout le corps de la femme était traversé par ce tentacule vorace qui se plaisait en elle, et le faisait savoir. Pamela choisit de se coller un peu plus contre le corps de son amante, l’embrassant tendrement, le tentacule les reliant de la plus solide des manières.

*C’est divin...*

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« Hum... »

Ce que Pamela ressentait était indescriptible de passion et de douceur. Elle adorait ça, tout simplement. Sentir un sexe masculin en elle, s’enfoncer dans son corps, mais aussi sentir les tentacules grouiller autour d’elle, la serrer, la caresser, tels des enfants désireux et avides de plaire à leur Maîtresse. C’était fabuleux, tout simplement, et Poison Ivy se relaxait, tout simplement. Squall partageait avec elle un grand moment d’intimité, bien plus fort encore que dans la salle. Ici, ils n’étaient pas dans une vulgaire salle de cours, mais au cœur de l’intimité de Pamela, dans son antre. Tout y était délicieux et calme, sensuel et chaud, comme un cocon, un délicieux cocon dont on n’arrivait tout simplement pas à se défaire. Pamela, indéniablement, se plaisait ici, et elle espérait que ce soit réciproque pour son brave partenaire.

En songeant à nouveau à ce dernier, Ivy retourna dans le monde présent, et baissa sa tête vers l’homme, cet homme qu’elle avait à nouveau emprisonné, et qu’elle emmenait encore un peu plus loin dans le monde de la perversion, en lui offrant désormais la perspective de pouvoir accomplir des choses dont il n’aurait jamais pu rêver... Comme le sodomiser. Les hommes, sur ce point, étaient étonnamment pudiques. Autant ils adoraient prendre une femme par l’arrière, et en fantasmaient, autant subir le même traitement les angoissait et les effrayait. Croyaient-ils donc que toutes les femmes avaient un talent naturel pour la sodomie ? A dire vrai, on rencontrait plus de femmes repoussées par cet acte sexuel, qu’attirées. La sodomie était quelque chose de très douloureux, d’instable et de nerveux.

« Heu..Je..Pamela... »

Pamela eut un léger sourire, et tendit son doigt, le posant sur les lèvres de Squall, caressant délicatement sa bouche, avant d’enfoncer son doigt entre ses lèvres. Elle eut un léger sourire, alors qu’un tentacule venait se glisser dans la bouche d’Ivy. Elle le suça brièvement, et le tentacule se retira ensuite, glissant sur la joue de Poison Ivy, qui se mit à parler, sur un ton sensuel et langoureux, toujours sur le même ton calme :

« Allons, ne fais pas ton timide, mon beau... Ainsi, tu sauras ce que nous, les femmes, nous ressentons, quand vous vous glissez en nous... Car je suis sûre que tu auras envie de le faire entre mes fesses... A moins que tu y aies déjà songé ? »

Allez savoir ce qu’un homme peut avoir à l’esprit... Pamela était bien placée pour savoir que ces derniers étaient du genre à être facilement excités, et elle eut donc un léger sourire, alors que l’un des tentacules, fin et léger, vint s’enfoncer dans son derrière. Celui qui était dans le postérieur de Pamela était un peu plus gros, mais elle était, après tout, plus talentueuse que lui dans ce domaine. Elle lui caressa les cheveux, et un tentacule ayant la taille d’une verge vint s’enfoncer dans sa bouche, remuant en elle, la faisant soupirer. Elle gémit langoureusement, ses jambes se serrant un peu plus fortement autour du corps de l’homme, et elle eut un long soupir, sentant le tentacule s’enfoncer en elle, lui offrant une délicieuse gorge profonde. Ses seins se retrouvaient encore à portée des lèvres de l’homme, mais des tentacules continuaient à s’approcher de lui, notamment un tentacule en forme de verge de chaque côté de ses mains.

Voir Squall s’occuper des tentacules de Pamela était une très bonne chose, confirmant l’envie de ce dernier de lui faire plaisir. Elle ne pouvait qu’apprécier cela. Un tel dévouement chez un homme, c’était une chose rare, et Pamela ne pouvait qu’apprécier ça.

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Les deux amants étaient collés l’un à l’autre, délicatement enlacés par les tentacules des plantes de Pamela, des tentacules qui se remuaient autour d’eux, et les pressaient lentement. D’agréables, de délectables sensations, parcouraient le corps ravissant et superbe de Poison Ivy, qui serrait contre elle le brave Squall, l’écoutant parler de son enfance. Un orphelin... Elle ne dit rien, continuant à se frotter contre lui, à sentir les mains baladeuses de l’homme se glisser sur ses fesses ou sur son dos. Elle appréciait ce traitement, cette sensible attention de la part de l’homme, et lui rendait lentement la pareille, caressant sa nuque, enroulant une nouvelle fois ses jambes autour de ses hanches, s’appuyant dessus pour se maintenir ainsi, aidée en ce sens par ses tentacules. Squall s’était engagé sur la mauvaise voie, volant, braquant, et faisant probablement encore d’autres choses... Jusqu’à ce qu’il soit conduit face au point de non-retour. Il n’avait pas franchi la ligne, et avait choisi de revenir en arrière... Et de se retrouver ainsi, finalement, vigile à Mishima. Plutôt un on choix de carrière, vu ce qui lui tombait dessus.

Squall termina son discours par un passionnel baiser, qui témoignait de toute la passion que l’homme ressentait. Il avait joui, mais ce n’était pas pour autant que le désir en lui s’était éteint. Il s’était juste reposé, brièvement arrêté, avant de reprendre sous les impulsions de Pamela. Comment dire « non » à une telle femme ? Comment refuser ses avances quand elle vous proposait son corps ? Ce n’était sûrement pas le charmant Squall qui trouverait comment répondre à cette question, lui qui était maintenant soumis à la femme, dans son antre. Il était entouré par les plantes d’Ivy, et la proximité avec ces plantes excitait follement leur génitrice.

« Si tu es une vilaine fille, je crois que nous sommes fait pour nous entendre...Très très longtemps... »

Elle eut un léger sourire amusé, avant de le sentir mordiller l’un de ses seins. Pamela frémit à ce contact, et lui caressa les cheveux, raffermissant un peu ses jambes autour de ses hanches, se remettant à mouiller. Elle lui caressa à nouveau les cheveux, et poussa lentement l’homme, les tentacules se défaisant légèrement pour l’aider. Ces derniers continuaient à remuer, caressant les fesses d’Ivy et de Squall. Elle lui fit un léger sourire, et l’un de ses propres tentacules sortit de son corps pour s’enrouler autour du sexe de Squall, et le tirer en l’air, se presser sur lui, le masturbant.

« Peut-être... lâcha Ivy. Si tu apprécies mes plantes autant que moi, il n’est pas impossible que je refasse appel à tes services... »

Le ton de la senseï était bas, sensuel, et mystérieux. Et les tentacules, eux étaient de plus en plus excités. Celui qui tirait sur le membre de Squall rapprochait ce dernier de l’intimité d’Ivy, mais il n’était pas le seul à agir. De gros tentacules commençaient à jaillir des plantes, prenant vaguement la forme effilée de verges, se mettant à glisser sur les corps des deux amants. Ivy sentit alors un tentacule se glisser dans son fondement, remuant lentement à l’intérieur, tel une espèce de serpent verdâtre. Elle frémit, et gémit lentement, avant de s’empaler sur le membre de Squall, et de sentir d’autres tentacules remuer près de sa bouche. Ses plantes avaient soif, et un tentacule remuait également près du fondement du vigile. Homme ou femme, ça ne faisait, foncièrement, aucune véritable différence pour les plantes asexuées de Poison Ivy.

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Squall commençait à s’acclimater, et à apprécier l’ambiance chargée de cette pièce, ce parfum sensuel, et cette douceur qui se dégageait devant les murs froids et aseptisés. Il s’avançait vers Ivy, à nouveau fasciné, parlant à voix basse, lente, balançant toutes les niaiseries qui lui traversaient l’esprit. Pamela se contentait de sourire doucement, sans rien dire. Réduire la flore à une simple fonction respiratoire, c’était en négliger les aspects les plus intéressants : la puissance sylvestre, l’harmonie de la forêt, cette impression d’éternel, de paix et dé félicité... La flore, c’était tout ça à la fois. Quelque chose qui existait avant que l’humanité n’existe, et qui, peut-être, lui survivrait. Ivy, en tout cas, le souhaitait.

« Tu as créer toi même ces plantes? Je suppose qu'elles ne sont pas d'ici. Je n'en ai jamais vu de pareil auparavant. »

Elle sourit, et les tentacules se rapprochèrent à nouveau. Pamela se redressa, et posa l’une de ses mains sur le torse de l’homme, près de l’un de ses tétons, glissant lentement son pouce dessus, tout en l’embrassant dans le cou. Les tentacules s’enroulaient autour de leurs jambes respectives, quelques-uns remontant sur leurs dos pour les retenir l’un contre l’autre. Elle l’embrassa ensuite sur la joue, glissant sa langue sur sa peau. Insatiable... Les tentacules formaient progressivement comme un cocon autour d’eux, collant les deux amants.

« Je n’ai pas le pouvoir de créer la Nature, mon brave Squall... Mais je peux la modifier... »

Elle l’embrassa à nouveau, cette fois-ci sur les lèvres, caressant encore ses cheveux, se serrant tendrement contre son corps. C’était très agréable, et elle adorait ça. Jouer avec l’homme, le titiller, sentir la bosse gonfler entre ses propres cuisses. Elle prit son temps pour soigneusement l’embrasser, caressant et griffant son corps. Sa langue joua avec celle de Squall, le baiser durant un certain nombre de secondes, avant qu’Ivy ne replie la tête. L’un de ses doigts caressa délicatement les lèvres de l’homme, et elle se rmeit à parler, poursuivant ses explications :

« C’est mon génie et mes explorations de forêts exotiques qui ont permis de modifier de simples plantes... Il en s’agissait que de graines que j’ai récupéré, et dans lesquels j’ai inoculé des substances de ma création. Je me suis aidée de mon propre ADN, mais aussi d’autres plantes... Autant te dire, mon beau, que ce ne fut pas simple... »

Elle n’allait pas encore lui dire que ces plantes venaient d’un autre monde. Ce serait peut-être trop violent pour le brave Squall. Elle retourna l’embrasser, là encore assez longuement, profitant de ce moment, lui renvoyant dans la bouche sa salive aphrodisiaque... Se reposer serait difficile pour lui, avec une telle femme qui se tenait près de lui.

« Et toi, alors ? Tu as grandi dans la rue ? Alors... Dis-moi tes petits secrets, hum... »

Ivy continuait à tendrement l’embrasser, remontant près de son oreille, avant de continuer ses mots doux, chuchotant dans son lobe :

« Serais-tu mon petit délinquant ? Tu as du remarquer que j’étais une bien vilaine fille... »

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« Affamé ? »

Était-ce un soupçon de crainte qu’elle percevait dans ce ton ? Pamela ne put s’empêcher de sourire légèrement. Le brave devait voir trop de films, et elle choisit de ne rien dire, préférant le laisser mijoter et réfléchir ce qui l’attendait. Si elle voulait le dévorer, il était probable qu’elle aurait choisi une toute autre méthode, et qu’il serait déjà enroulé par les tentacules. L’idée sembla lui traverser l’esprit, et, après la peur naturelle qu’il ressentit, il décida de faire confiance à la jeune femme. Un tentacule vint délicatement s’enrouler autour de son poignet, et il posa alors une question qui fit sourire Pamela :

« Tu es bien plus qu'une professeur de biologie, je me trompe ? »

Bien plus, c’était le cas de le dire. Elle était tout, sauf une vulgaire professeur de biologie. Ancienne super-vilaine de Gotham City, éco-terroriste, ancienne détenue, Pamela avait changé de vie, mais pas de passion. La nature, les plantes, les fleurs... Elle avait eu droit à une nouvelle vie pour profiter d’elles, et le faisait sans la moindre gêne. Elle était clean, maintenant... Ou presque. Avec son curriculum vitae, obtenir un poste dans l’administration publique était virtuellement impossible, et il n’y avait qu’à Mishima qu’elle avait pu trouver un poste. On ne s’intéressait pas trop, lors des entretiens d’embauche, au passé des jeunes professeurs. Leur plastique et leur expérience sexuelle étaient des données bien plus intéressantes, et on avait choisi de faire confiance à Pamela.

Elle ne les avait pas déçues. Résumer toute sa vie devant Squall risquait toutefois d’être un peu complexe, mais elle sentait bien qu’elle lui devait quelques explications, afin qu’il ne la prenne pas pour une veuve noire, une femme qui dévorerait ses proies. Ce scénario faisait fureur dans les films d’horreur, mais il était ici très loin de la réalité... Même à Gotham, Ivy ne dévorait pas les humains, elle préférait en faire ses esclaves, des hommes-plantes dont l’esprit était embrumé par les phéromones d’Ivy, et qui obéiraient facilement à cette dernière. Bien sûr, elle ne comptait pas faire cela avec le brave vigile... Elle n’en avait pas besoin, et, même si elle aimait se dire que ces techniques appartenaient à l’ancienne Ivy... Et bien, les mauvaises habitudes ont la vie dure, après tout.

Pamela se posa sur le rebord d’une table, et embrassa l’un des tentacules de ses plantes, avant de doucement lui répondre :

« Si j’avais voulu te donner en pâture à mes plantes, je m’y serais prise bien autrement... Non, rassure-toi, tout ce que mes plantes exigent de ton corps, c’est ta semence. Tu n’as pas à avoir peur. Elles ne te feront aucun mal... Elles sont aussi tendres que moi... »

Les tentacules remuaient lentement dans la pièce, et les plantes libéraient parfois un délicieux parfum, crachant des gaz délicieux et sensuels. Cette pièce exhalait de senteurs, d’effluves magnifiques, d’un charme merveilleux qui enchantait Ivy. Ce n’était pas comparable aux forêts terranes, mais c’était un peu son petit coin de paradis. Il y avait des plantes partout, tout simplement, et elle croisa à nouveau les jambes, les sentant se réveiller à la présence de leur créatrice.

« Mon passé serait bien trop long à résumer... Mais le simple fait que j’ai la peau verte témoigne, je crois, que je suis tout, sauf une simple prof’ de biologie... Je suis une mutante, et, suite à une expérience qui a eu lieu il y a quelques années, mon code génétique a été mélangé avec celui d’une plante, ce qui a donné la femme que je suis... Une désirable et sensuelle créature, mais également très concernée par la santé de la nature, des arbres, et de tout ce qui est végétal... »

Autant dire que, si Squall comptait se familiariser avec Ivy, il allait devoir faire preuve de grand respect envers les arbres et les plantes, dans la mesure où ils étaient sacrés pour la femme-plante. Elle se tut ensuite, le laissant se familiariser avec le petit secret de Poison Ivy.

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Pamela resta encore un peu nue sur le bureau, allongée devant l’homme. Elle reprenait lentement son souffle. Il lui aurait été possible de se rhabiller instantanément, mais... Quitte à faire plaisir à ce brave Squall, autant lui offrir une vue inoubliable, non ? Le corps d’Ivy était, après tout, un corps très beau, très convenable, selon les normes élevées du lycée Mishima.  Elle avait largement de quoi faire fantasmer n’importe qui, et Squall ne cessait de la complimenter. Elle entreprit finalement par se redresser, suite à sa dernière tirade :

« Je voudrais te demander une autre chose...On peut dire que tu as été mon professeur de sexe mais tu es si enivrante pour moi que...J'aimerais suivre d'autre cours avec toi durant...Le temps où je travaillerais ici... Je voudrais continuer à combler tes désirs Pamela. »

Ivy tendit une main pour caresser l’une des joues de l’homme, et l’embrassa tendrement sur les lèvres. Son baiser claqua, avant qu’elle ne se redresse. Ses bottes et ses gants réapparurent le long de son corps, et elle sentit son corps craquer délicieusement en se redressant ainsi. Ça faisait du bien, et elle se retourna vers l’homme.

« Si tu as envie de combler mes désirs, il y a une chose que je dois te montrer. Suis-moi... »

Joignant le geste à la parole, Pamela longea ensuite, de sa démarche sensuelle, les tables, se rendant vers le fond de la classe, et ouvrit la porte menant à l’arrière-salle, son laboratoire. Il était assez petit, du moins par rapport à d’autres laboratoires qu’elle avait eu la chance d’avoir jadis, mais restait malgré tout suffisamment confortable pour elle. Elle laissa Squall entrer, et observer la pièce. Dans les coins, il y avait d’énormes plantes, de grosses fleurs avec d’énormes pétales, et d’autres produits végétaux qui avaient des tentacules. Ivy s’avança lentement le long des plantes, les tentacules se redressant pour s’enlacer autour de ses doigts et de ses jambes.

« Ce sont mes bébés, expliqua-t-elle. Je suis reliée à elles, et nos ébats les ont affamé... »

Elle avait réussi à créer ses plantes grâce à ses voyages sur Terra, où elle avait jadis trouvé une espèce de curieuse nymphe dans une forêt vivante. Elle avait fait des prélèvements, et ces prélèvements lui avaient permis de faire pousser de simples plantes à ce statut-là.

« Elles se nourrissent surtout de fluides sexuels... T’effraient-elles ? Elles sont inoffensives, et les lycéens qui ont la chance de profiter de leurs tentacules ne s’en sont jamais plaints... »

Elle n’avait ici rien de plus intime. Ces plantes étaient dangereuses, car elles pouvaient échapper à tout contrôle. Poison Ivy en avait les frais quand elle avait proposé leur utilisation avec cette organisation secrète, cette secte sexuelle qu’on appelait le Cercle, et qui, officiellement, n’existait pas. Une espèce de mafia lycéenne du sexe. Il n’y avait qu’à Seikusu qu’on pouvait trouver ici. L’appétit sexuel vorace du Cercle avait fait de sa plante un énorme monstre tentaculaire qui avait englouti tout le lycée sous un océan de tentacules et de fluides végétaux. Ivy avait réussi à résorber la croissance exponentielle de sa plante, et perfectionnait depuis ses formules pour éviter ce genre de choses à l’avenir.

Plusieurs tentacules s’approchaient lentement de Squall, sentant sur son corps des traces de leur génitrice et Reine. Ils étaient naturellement attirés par lui, d’autant plus que leur génitrice avait l’air de bien l’apprécier. Ivy, de son côté, étudiait le corps de Squall, guettant ses réactions. Serait-il effrayé par tout ça ? Ou au contraire attiré ? Peut-être que Pamela plaçait la barre trop haut en lui présentant ses plantes, mais elle voulait justement voir jusqu’où l’homme était capable.

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Pour un puceau, il se débrouillait merveilleusement bien. Si on décernait une médaille pour ce genre de prestations, il l’aurait eu depuis longtemps. Ivy était comblée, et s’extasiait encore plus à l’idée de voir la performance que l’homme offrirait avec ses plantes. Ivy ne faisait quasiment rien dans sa vie sans avoir en tête ses précieuses plantes, qu’elle chérissait et nourrissait de tout son corps et de toute son âme. Elle se dévouait entièrement à elles, et le plaisir sexuel qu’elle ressentait se répertoriait sur ses plantes, qui s’agitaient, de plus en plus affamées. Le lien fusionnel existant entre elle et ses plantes s’illustrait à nouveau, donnant à Poison Ivy l’envie furieuse de se ruer dans le laboratoire pour satisfaire ses bébés... Mais pas avant d’avoir satisfait son propre corps. Elle haletait et hurlait, semblable à une espèce de chienne, de prostituée qui n’attendait qu’à se faire sauvagement baiser par son client.

Il était de plus en plus hargneux, de plus en plus excité, de plus en plus impatient, et s’enfonçait de plus en plus profondément dans les tréfonds du corps de la femme-plante. Elle tremblait et hurlait de plus en plus frénétiquement, les sons qu’elle émettait devenant de plus en plus aiguës. Squall la baisait comme jamais elle n’avait pu imaginer être baisée jadis. Là, à quatre pattes devant un mâle, alors qu’elle se voyait plutôt en dominante, à s’empaler fièrement sur lui, telle une espèce d’Amazone sauvage et végétale. Était-ce là la preuve que l’ambiance érotique de Seikusu influait sur elle ? Elle le craignait, sans savoir si c’était une bonne chose ou une mauvaise... Mais elle devait bien ça à ce petit puceau, qui lui avait si gentiment offert son corps... Lui qui voulait améliorer son expérience sexuelle allait être prochainement très satisfait. Oh oui, il serait satisfait de ce point de vue, et un sourire carnassier perla sur ses lèvres à cette idée.

« Pam...Je sent que...Hmm je ne vais pas tarder à venir... » glissa l’homme.

Elle aussi mouillait de plus en plus, et se contenta de gémir en soupirant.

« A-A-A-alors... Viiiiiieeennnss !! »

Ivy se lâcha bientôt, atteignant son orgasme. Sa mouille partit rapidement, se déchargeant de son corps, et elle se sentit, comme à chaque fois, partir. Une sensation enivrante qui la faisait décoller, un sentiment merveilleux que rien n’arrivait à imiter à la perfection. Comment douter des bienfaits de la Nature quand on atteignait le plaisir sexuel intense ? Quand tout le corps semblait s’animer sur une seule onde, et se lâcher ? C’était la petite mort, mais aussi un ode à la vie, un ode à la Nature, un ode à l’Homme dans sa conception animale, une affirmation éternelle et sempiternelle de la domination de l’animal sur l’humain. Pamela jouit avec plaisir, sans la moindre forme de retenue. Quelle honte y avait-il à voir ? Elle se faisait plaisir, un plaisir offert et prodigué par la nature. La honte, justement, consistait pour elle à refuser ce plaisir simple, simple et ô combien merveilleux. Alors, elle jouit, et sa mouille magnifique, délicatement parfumée, glissa de ses merveilleuses jambes fuselées, formant de minuscules rivières blanchâtres qui mouillèrent légèrement le bureau.

Elle sentit également le sperme de l’homme en elle, et hoqueta, se sentant remplie. Une autre sensation merveilleuse, qui n’aboutirait qu’à cela. Pamela était capable d’enfanter, mais, vu sa nature spéciale, il fallait réunir certaines conditions spécifiques que son organisme n’élimine pas toutes les traces de spermatozoïdes dans son corps... Et elle n’avait pas rempli ces conditions. Elle laissa le membre en elle pendant encore quelques secondes, avant de lentement s’affaler sur le bureau, et de se retourner, glissant tendrement et sensuellement ses jambes de part et d’autre du corps de l’homme, lui offrant un léger sourire séducteur et enivrant. Tendant l’un de ses doigts, elle envoya un tentacule, qui caressa délicatement la joue de l’homme.

« C’était fascinant, mon petit Squall. J’ai beaucoup apprécié ton corps.. Toi aussi ? »

Une question très rhétorique, mais ce serait l’occasion de lui permettre de se remettre. L’autre main de Pamela caressait rêveusement son estomac, comme si elle s’imaginait sentir ce sperme grouiller en elle. L’atmosphère était chargée d’un parfum doux et sensuel, enivrant et léger, guère agressif, mais ô combien délicieux. Il fallait l’humer pour l’apprécier, et, dans un tel cocon, les désirs sensuels ne tardaient pas à émerger à nouveau. Il en serait de même pour ce brave Squall.

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Pamela le sentait s’enfoncer en elle, sensation délectable et merveilleuse. Elle couchait généralement plutôt avec des femmes, dans la mesure où ses plantes préféraient un vagin qu’un pénis, mais, de temps en temps, sentir une queue bien masculine s’enfoncer en elle et la déchirer était des plus agréables. Elle se cramponnait à cet homme, ce brave timide, ce puceau qui s’enhardissait de plus en plus, et devenait de plus en plus violent, de plous en plus agressif et dominant. Un véritable mâle, qui rappelait la domination primaire de l’homme sur la femme, le sexe violent sur le sexe calme. Pamela sentait son esprit dériver, ses idées s’emballer, délirer fiévreusement, alors qu’il soupirait et gémissait. Sentir son dos claquer contre le mur, ses fesses rebondir, était un véritable délice, rythmant les balanciers de son désir.

Squall choisit alors de la porter à nouveau. Avec ses tentacules, Ivy l’aidait inconsciemment à pouvoir la porter, et elle se retrouva à nouveau sur le bureau, laissant les mains baladeuses de l’homme glisser sur son corps. Une véritable maîtresse, une femme dominante, n’aurait probablement jamais apprécié ça, mais Pamela le laissa suivre ses inspirations. Elle se mit à quatre pattes, et l’homme grimpa derrière elle, allant la pénétrer, son sexe glissant entre ses fesses pour se perdre à nouveau dans son intimité. Il était en train de la baiser comme une vulgaire chienne, satisfaisant probablement tous ses désirs, et le solide bureau se mit à tanguer à nouveau, craquant lourdement.

« HAAAANNNN !!! soupira lourdement Pamela. Défonce-moi, vas-y !!! »

Elle le sentait glisser ses mains sur son cul, les caressant, et Ivy sentit le désir continuer à croître en elle. Ses mains s’accrochaient au rebord du bureau, de manière à éviter qu’elle ne tombe au sol, et elle continuait à le sentir s’enfoncer en elle. Ils devaient probablement faire un duo assez surprenant, là, sur ce bureau qui craquait. Squall se pencha vers elle, et des tentacules jaillirent à nouveau du corps d’Ivy, pour s’enrouler autour du bassin du vigile, de manière à ce qu’il reste bien là où il devait être, soit avec sa queue enfoncée dans le vagin de la femme. Ce que cette dernière ressentait était formidable, et les soupirs qu’elle poussait le prouvaient. De son corps, des spores de plaisir, mélangés à sa sueur, s’échappaient, formant des odeurs merveilleuses et enivrantes. Elle s’imaginait dans la peau de Jean-Baptise Grenouille ouvrant, à la fin du livre, un parfum si parfait qu’il créait une orgie populaire. Son propre parfum sexuel devait embrumer encore plus l’esprit de Squall, et c’était quelque chose contre laquelle la femme-plante ne pouvait pas faire grand-chose. C’était naturel et instinctif, inné et inconscient... Mais personne ne viendrait à s’en plaindre.

Ivy soupira à nouveau, et sentit l’une des mains de Squall agripper l’un de ses seins, serrant dessus, tandis que les tentacules qui roulaient le long des jambes de la femme, et qui étaient enroulés autour du bassin de l’homme, se serrèrent un peu plus, prodiguant à l’homme une forte pression, pour l’inciter à ne pas oublier ses mouvements. Elle voulait sentir sa queue glisser en elle, remuer et s’enfoncer aussi loin que possible dans son corps. C’était magnifique, et elle mouillait encore, sentant un orgasme approcher rapidement.

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« C'est si bon.....Je n'ai jamais connu un plaisir pareil. »

Les aveux de Squall lui allèrent droit au cœur... Si c’était sa première fois, il était évident qu’il n’avait jamais rencontré une pareille sensation. Entre se masturber dans sa chambre en regardant une image sexy et le faire réellement, la différence était substantielle. Ça n’avait rien à voir, et, pour un puceau, elle le trouvait très prometteur. Il se débrouillait bien, sans être trop maladroit, et procurait à Pamela beaucoup de plaisir. Elle s’estimait chanceuse et heureuse, et raffolait de présenter à son petit puceau ses petites plantes qui attendaient patiemment dans son laboratoire qu’on vienne les nourrir. Elle pouvait déjà imaginer les tentacules glissant lentement le long de son corps, semblables à de langoureux serpents qui lui procuraient un bien fou. De quoi en frémir... !

Squall agit alors, utilisant sa force physique, et, avant que Pamela n’arrive à le comprendre, elle se retrouva plaquée contre le mur, près du tableau, et poussa des soupirs et des cris de plaisir de plus en plus prononcés. Bestial et sauvage... Tout ce qu’elle aimait ! Squall se laissait pleinement aller, sans retenue, laissant ses pulsions sexuelles s’exprimer totalement ! Ivy appréciait énormément cela. Elle adorait ça, quand la Nature s’exprimait sans entraves, sans restrictions. Il s’enfonça en elle, retirant le bout de son sexe, l’enfonça à nouveau, et continua, encore, à la pénétrer de plus en plus sauvagement. La main de Pamela attrapa les cheveux de Squall, et elle cria à nouveau, se cambrant le long du mur, et se redressa un peu, enroulant ses jambes autour du bassin de l’homme, serrant fort, à la limite de l’étouffer. Ce contact était tellement délicieux !

« Haaaannn !! Oh oui, ouiii, OUIIIIIII !! Vas-y-, Squall, VAS-YYYY ! »

Elle se laissait aller, pleinement faire, sentant le plaisir exploser dans son corps. Pamela adorait tout simplement ça, et elle continua à caresser les cheveux de l’homme, le plaquant contre son corps. Elle adorait ça, sentir l’homme en elle, s’enfoncer dans son corps, et les tentacules se mirent à glisser le long du dos de Squall, des prolongements naturels de ses doigts, et ce au fur et à mesure qu’elle était excitée. Ivy continuait à mouiller, et était en sueur, sentant l’orgasme, lentement mais sûrement, approcher.

« Aaah...Je ne sais pas comment s'appelle cette position mais je veux les essayer toute avec toi Pamela....Je suis accro à ton corps. »

Elle sourit devant cet aveu, et pencha sa tête, l’embrassant sur les cheveux, les tentacules glissant sur sa peau.

« Mon corps est à tout à toi, Squaaaall... Profite-en bien, hummm... »

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Elle aurait bien voulu attendre encore un peu plus longtemps, prolonger le plaisir, faire durer ce moment, mais elle approchait, elle aussi, du point de rupture. Elle avait de plus en plus envie de jouir, de se laisser aller, de s’abandonner corps et âme, et de simples doigts ne pouvaient pas la contenter, quand elle avait la possibilité d’avoir plus gros, bien plus gros. Son tentacule lui avait montré à quel point le membre de Squall était prêt, et il était donc normal qu’elle désire passer à autre chose. L’homme, avec une lenteur exaspérante, se redressa, se releva, et prit tout son temps. Chaque seconde devenait un supplice, alors que la mouille de Poison Ivy  continuait à filer.

Se tenant au-dessus d’elle, Squall plongea son regard dans le sien, et elle écarta les jambes, avant qu’il ne s’enfonce en elle. En sentant ce sexe se plonger dans son corps, Pamela poussa un long soupir de plaisir, et un frémissement parcourut tout son corps. Elle ferma les yeux, et soupira, ses joues se gonflant de plaisir. Elle attrapa les cheveux de l’homme, et le laissa s’allonger sur elle, soupirant lentement. L’homme se faisait plaisir, et elle pouvait voir, dans ses yeux, tout le plaisir qu’il ressentait... Mais ce n’était pas grand-chose comparé à elle. Elle sentait ce membre durci s’enfoncer entre ses cuisses, l’écarteler, la réveiller d’un coup... C’était intense, violent, et elle soupira à nouveau, étouffant ses cris en se mordillant les lèvres, avant de le sentir commencer à remuer, à utiliser ses reins pour danser sur elle, le bureau craquant lentement sous leurs poids respectifs.

« Haaaan !! »

Le soupir traversa ses lèvres, et elle posa une main sur sa nuque. La douleur la réveilla, mais s’effaça rapidement, très rapidement, se plongeant dans une vague de plaisir et de merveilleuses sensations. Elle se pressa contre l’homme, soupirant et soufflant, le sentant jouer sur l’un de ses seins... Un plaisir insignifiant par rapport à celui qu’elle ressentait entre les cuisses. Elle lui griffa le dos, et veilla à le plaquer à nouveau contre son corps, avant de gémir à nouveau.

« Oh ouiiii ! soupira-t-elle alors. Vas-y, vas-y, mon petit puceau, continue ! »

Yeux clos, Pamela se laissait bercer par le plaisir. Squall était en train de perdre sa virginité, et ce qu’elle ressentait était merveilleux ! Le plaisir sexuel était, pour Pamela, quelque chose d’important, car c’était un plaisir éminemment naturel.

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La tête commençait à lui tourner. Pamela se sentait ivre, ivre de plaisir et d’envie. Des bouffées de chaleur remontaient le long de son corps au fur et à mesure que son amant jouait avec ses doigts. Il était passionné, elle pouvait le sentir, et cette passion, cette excitation fébrile, influaient naturellement sur elle, et sur la manière dont elle ressentait du plaisir. Pamela en voulait plus, et mouillait toujours, sa cyprine s’échappant de son trou. Son délicieux nectar glissait le long des doigts inquisiteurs de Squall. L’homme apprenait vite... Peut-être était-il naturellement doué pour cela... Ou alors, il fallait croire qu’elle était tellement séductrice et tellement attirante que ses partenaires ne pouvaient s’empêcher de se surpasser... Cette autre hypothèse était particulièrement intéressante pour l’ego de la jeune femme. L’une de ses mains pressait l’un de ses seins. Ivy était en chaleur, et, ce faisant, ses spores naturelles étaient renforcées. Elle avait déjà rencontré des nymphes et des dryades, et avait pu remarquer que certaines, en étant sexuellement excitées, dégageaient des spores de ce type. De même, le goût de leur cyprine était bien différent de la mouille d’une humaine normale ; il était plus... Plus juteux, bien plus savoureux... Sans être réellement une nymphe des forêts ou une fée des bois, Ivy tenait un peu de ce pain-là. Elle n’avait jamais poussé le vice jusqu’à goûter à sa propre mouille, mais elle était sûre que sa cyprine devait être plus savoureuse que de la mouille classique... Dommage que Squall n’ait aucun élément de comparaison, mais, de toute manière, elle ne doutait pas qu’il appréciait cela.

Il poursuivait son cunnilingus avec une dévotion qui était belle à voir. Un homme admirable. Pamela tendit l’un de ses tentacules, et l’envoya caresser son cou, ondulant sur sa peau, une délicate caresse, et une preuve d’attention et de tendresse. Elle ne savait pas s’il apprécierait, mais, pour être honnête, elle s’en moquait pas mal. Le tentacule serra délicatement son cou, avant de glisser à nouveau le long de son corps, comme une espèce de serpent affamé. Il s’aventura près de son bassin, et s’enroula tendrement autour de sa verge, la serrant, avant de la tirer en haut, puis en bas. Le tentacule glissa dessus, ondulant lentement, afin d‘exciter Squall, de renforcer son érection, de faire en sorte qu’il soit bien prêt pour pénétrer Pamela... Car c’était clairement ce que cette dernière voulait. Pourquoi se contenter de simples doigts, quand on avait la possibilité de sentir une verge en soi ?

« Hmmm....Pamela....Maîtresse...Veux-tu que je continue avec mes doigts, que j'en ajoute un autre ? »

Maîtresse... Il ne savait plus comment l’appeler. Le désir s’emparait de lui, l’obsédait, et elle eut un léger sourire, avant de resserrer un peu sa verge, et de retirer son tentacule, qui, rapidement, se rétracta, pour disparaître.

« Ton sexe, Squall... C’est ton sexe que je veux sentir en moi... Viens, viens perdre ta virginité, petit puceau ! »

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La scène qui se déroulait ne manquait pas d’une certaine dose d’excitation. Suivant la demande de la jeune femme, Sqall obtempéra, et approcha sa tête de la merveilleuse poitrine de la femme, commençant à la sucer et à l’embrasser, tout en glissant sa langue pour lécher son sperme. Elle le laissait faire, glissant ses mains sur le dos de la tête de l’homme, sans trop serrer, veillant tout simplement à ce qu’il ne se défile pas, et ne se recule pas. Elle le laissa goûter pendant un certain nombre de minutes, Ivy frissonnant et mouillant de manière de plus en plus prononcée. L’homme se mit alors à agir, suivant son idée, et porta Ivy. Légèrement surprise, cette dernière se laissa faire.

*Autant le laisser appliquer ses idées...*

Pamela se retrouva ainsi allongée sur la table, et Squall continua à l’embrasser. Elle répondit à son baiser, se pressant contre lui, de plus en plus excitée. Le petit puceau était en train de voler de ses propres ailes, et de laisser ses désirs parler. Tout cela était très excitant pour la brave femme-plante, qi ne voulait pas le restreindre dans ses propres initiatives. Un soumis (car, indéniablement, Squall lui était soumis) imaginatif, c’était un cocktail qui était souvent très prometteur.

Des lèvres d’Ivy, Squall se mit à glisser, et longea son corps. Chacun des baisers de l’homme la faisait frissonner, et elle remua lentement les jambes de plaisir, sentant l’homme, lentement, lentement mais sûrement, se rapprocher de son bassin, de son sexe. Elle comprit où il voulait en venir quand il passait sous ses seins, tandis que sa peau avalait toute seule les dernières traces de sperme qui, ici et là, décoraient encore sa merveilleuse peau. Squall lécha le nombril de Pamela, qui se mit à soupirer. Elle avait une main derrière la tête, tirant sur ses propres cheveux, et une autre qui continuait à griffer et à caresser les cheveux de Squall.

« Han ! » gémit-elle.

Dans cette position, elle se fit la remarque qu’elle devait être l’incarnation du désir. Son long bureau craquait délicieusement sous ses ondulations et sous le poids respectif des deux amants. Dehors, le soleil commençait lentement à se coucher, mais leur soirée à eux ne faisait que commencer. Du nombril, l’homme finit par atteindre l’endroit qu’il recherchait, et Ivy écarta lentement ses jambes, le laissant s’attaquer à son intimité, à cette délicate fente verdâtre qui, de temps en temps, crachait son intime jus. Il embrassa religieusement cette femme qu’il semblait vénérer, et Ivy trembla encore, fermant les yeux, le sentant se perdre en elle. C’était bon... Bon, mis pas assez, et, au fur et à mesure qu’il lui faisait du bien, Pamela se sentait de plus insatisfaite, de plus en plus désireuse d’en vouloir plus.

« Encore, soupira-t-elle donc. Vas-y, encore... Tes doigts, mon beau, utilise-les, encore... »

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Squall avait succombé aux charmes de l’envoûtante femme. On ne l’avait pas surnommé l’Empoisonneuse pour rien. Les spores naturelles qui se dégageaient de son corps se couplaient avec sa beauté surhumaine, avec ses formes sveltes, sa douceur végétale, et sa perversion. Ivy était l’incarnation d’un fantasme masculin, et, de toute sa vie, elle n’avait rencontré que de rares personnes capables de réussir à la repousser... Non sans mal, toutefois. Squall, lui, succombait, et elle sentait son sexe grossir et se tendre, sur le point d’éjaculer. Pamela se concentrait sur sa tâche, utilisant ses genoux pour glisser d’avant en arrière, frottant le sexe de l’homme entre ses seins. Elle se débrouillait pour être efficace, et finit par sentir sa récompense, quand la verge de l’homme tressauta. L’intéressé se mit à soupirer de plaisir, et jouit sur les seins de Pamela, lâchant à plusieurs reprises quelques giclées. Elle sentit le sperme se déposer entre ses seins, glissant dessus, et eut un sourire amusé. Il aurait été tentant de les absorber dans son corps, mais elle préféra, pour le moment, les laisser là, et commença à se relever, après que l’homme eut fini de jouir.

« Tu es...une déesse Pamela....J'ai si envie de toi... »

Une déesse ? Et elle ne l’avait même pas drogué ! Quel homme fascinant ! Un sourire sur les lèvres, Ivy se releva, le sperme de l’homme commençant à glisser entre ses seins. Son sexe avait rétréci, l’érection partant, mais le désir, lui, était toujours là. Pamela connaissait suffisamment les hommes pour savoir qu’il n’avait besoin que d’un petit coup de pouce pour repartir. Elle tendit une main, et caressa ainsi la joue de l’homme, son pouce glissant sur ses lèvres, le sperme formant de petites lignes blanches glissant vers son ventre. Elle vint en ramasser un peu avec son ongle, et, de manière coquine, le suça entre ses lèvres, avant de lui sourire malicieusement, une lueur de désir brûlant dans ses yeux.

De son côté, Squall retourna caresser l’un des seins de la femme, et elle arrêta rapidement son geste, soulevant sa main, et préféra la guider entre ses seins. Un autre des tentacules d’Ivy se mit à glisser sur le corps de Squall, et s’enroula autour de son bassin, au-dessus de son sexe.

« Pourquoi ne viendrais-tu pas goûter toi-même à ta semence, mon beau, hum ? Tout ce sperme qui coule entre mes seins... J’ai envie de sentir ta langue se promener dessus, glisser sur mon corps... Viens... »

La proposition qu’elle lui faisait devrait sûrement réveiller l’excitation de Squall. Goûter à son propre sperme, sur le corps d’une femme terriblement belle... N’était-ce pas excitant ?

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« Pamela, je suis heureux que ma première fois soit avec toi. »

Un léger sourire naquit sur les heureuses lèvres de Pamela, qui ne dit rien. Le corps de Squall parlait de lui-même. Le brave gardien était indéniablement excité. Il se déshabilla sans aucune difficulté, et Pamela put ainsi se rincer l’œil en voyant un homme qui était décidément bien bâti. Squall était beau, encore plus beau maintenant qu’il n’avait plus de vêtements pour le gêner. Elle frissonna, et contempla son sexe tendu, avant que l’homme ne retourne l’embrasser. Excité, il était bien plus actif, bien plus pervers, et l’embrassa avec passion. Ivy se laissa fondre contre la bouche de l’homme, enroulant ses bras à nouveau autour de lui, glissant sur son dos nu et sur ses cheveux. Oh, sentir cette peau nue... ! C’était bien mieux, mille fois mieux, que tous ces tissus synthétiques collants ! Elle répondit à ses baisers, glissant sa langue dans sa bouche, la fourrant, tout en plaquant confortablement ses seins tendus contre son torse. Il avait une peau imberbe, et se frotter contre les pectoraux solides de cet homme était un pur régal. Il était costaud, massif, prometteur, et elle se dit, encore une fois, qu’ils allaient passer une longue soirée.

Ce fut un baiser assez long, entrecoupé de moments de respiration, puis de nouveaux baisers. Si l’homme aimait bien toucher les fesses d’Ivy, cette dernière le lui rendait bien, et glissa l’une de ses mains pour caresser le cul de Squall. Elle pressa l’une de ses fesses, et donna une petite tape, trouvant qu’il avait un beau petit derrière, lui aussi... Décidément, il semblait avoir tout de l’homme parfait ! Pamela était pour le coup très contente, et sentait bien qu’elle allait se régaler avec cet individu. Ils continuaient à s’embrasser longuement, Ivy gémissant, se mettant à mouiller sous le doigt de l’homme.

L’une des mains de la femme-plante finit par caresser la longue verge de l’homme, qui semblait battre d’impatience entre leurs deux corps. Elle était excitée, excitée et heureuse, et finit par arrêter le baiser, rompant des lèvres de Squall, et le poussa contre le bureau, avant de fléchir les genoux, et de contempler son sexe en érection, sa belle verge. Elle sourit, et la prit dans sa main, commençant à le masturber.

« Inutile de m’exciter, Squall, c’est toi qui découvre vraiment de nouvelles expériences... Ton sexe a l’air... Impatient... »

C’était un euphémisme. Il avait une belle érection, et voir ce membre tendu était pour Ivy un soulagement. Elle se mit à tendrement l’embrasser, puis frotta ses joues contre sa verge, avant de lécher ses testicules, et de s’amuser. Elle prenait son temps, excitant encore plus Squall, livrant ici et là quelques attouchements discrets, mais non moins efficaces. Le pauvre devait être aux abois, et Ivy eut un nouveau sourire satisfait, avant de se relever un peu, et de rapprocher ses seins. Elle allait offrir à Squall sa première jouissance, n’ayant pas encore prévu de lui enlever tout de suite sa virginité. Autant faire durer le plaisir, après tout, et elle avait pour cela d’excellentes idées... Un sourire sur les lèvres, elle le regarda brièvement, puis retourna à sa tâche.

Elle glissa le sexe de l’homme entre ses seins, et entreprit de le masturber avec ses seins. Elle lui faisait une cravate de notaire, ou, plus communément, une branlette espagnole, et tentait de s’appliquer, remuant ses seins tout en faisant remuer son corps, de manière à faire glisser le sexe de l’homme le long de ses seins, l’emprisonnant entre deux étaux de chair délicieux et bien chauds. Son sexe devait être bien au chaud ainsi, et, vu qu’il était vierge, elle s’attendait à le sentir venir sous peu... Ce qui ne serait que le point de départ de cette longue soirée.

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