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Messages - Poison Ivy

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Cours très particuliers! (Pv Poison Ivy)
« le: dimanche 18 novembre 2012, 14:20:38 »
Le sexe était toujours quelque chose de délicieux. Un plaisir naturel, parfait, simple, et ô combien efficace. Il n’était imparfait que quand la nature humaine commençait à le pervertir. Il n’y avait vraiment que les humains, ces êtres prétendument civilisés, pour voir en le sexe quelque chose de dangereux, et se refuser à le faire, tout en ayant envie de le faire. Une espèce de situation schizophrène qui, du point de vue d’Ivy, était à l’origine de bien des maux de ce monde. Quitte à choisir, Pamela était une fervente partisane de la part animale de l’homme. Sans dénuer à l’humanité un quelconque intérêt, elle estimait que l’être humain avait trop tendance à négliger la part animale qui végétait en lui, ce qui entraînait bien des problèmes. Elle pouvait donc s’estimer fière d’elle-même, car elle avait au moins permis de montrer à un homme tout le bien qu’il y avait à satisfaire des besoins primaires. Si elle devait reconnaître à l’humanité un certain talent, c’était d’avoir amené à considérer le sexe, non plus comme un moyen, mais comme une fin en soi. C’était autant une chose attirante qu’à fuir. Pamela, naturellement, n’était pas contre le fait d’enfanter, mais il fallait avouer que le sexe était une bonne chose, et que copuler pour le simple plaisir de copuler était parfois une luxure bienvenue et très attirante.

Elle sentait Squall s’enfoncer en elle, frémissant d’excitation. Elle lui avait montré et offert bien des choses, et savait qu’elle avait à jamais changé la vie de cet homme. Le petit vierge avait goûté aux talents d’Ivy, et était empoisonné. Comment pourrait-il faire l’amour sans penser à elle ? A cette superbe et efficace femme, à ce charme inné qui se dégageait du corps de la belle plante, à son esprit pervers et décomplexé ? Elle reviendrait le hanter, et il reviendrait donc à elle. Pamela le savait, et cette situation ne la gênait pas du tout.

Ivy finit par le sentir s’abandonner en elle, et elle frémit. Prisonnière de tous les tentacules qui la prenaient, elle était dans un état d’excitation assez prononcé, et eut également un nouvel orgasme. Elle sentit son petit cul se faire remplir de foutre, de la semence chaude et visqueuse de son amant, qui jouit plutôt bien en elle.

« Pamela...Tu es vraiment la meilleure maitresse en sexe....C'était si divin... » la complimenta-elle.

Elle savait qu’il ne lui mentait pas, et elle esquissa un sourire en se retournant. Les tentacules, satisfaits, se retiraient lentement, et elle caressait avec ses doigts les lèvres de l’homme.

« C’est ça, le sexe, Squall... Quelque chose de divin... Voilà pourquoi il ne faut pas s’en priver. »

Poison Ivy haussa les épaules.

« Je ne suis pas particulièrement plus douée que d’autres de mes collègues... C’est juste que j’accepte le sexe comme ce qu’il est. Si tous les humains faisaient de même, ce monde se porterait bien mieux. »

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Cours très particuliers! (Pv Poison Ivy)
« le: vendredi 16 novembre 2012, 10:24:22 »
L’initiation sexuelle que Squall avait suivi était une réussite complète. Après ce qu’il avait subi, il ne serait pas surprenant qu’il prenne plaisir au sexe. Il était tombé sur la plus efficace des maîtresses ! Pamela se considérait sans problème comme une femme très belle, et le sexe était, avec elle, quelque chose de magique. En effet, elle ne voyait pas le sexe de manière frustrante, comme quelque chose dont il fallait avoir honte, mais, au contraire, comme quelque chose de beau, d’agréable, et de naturel. Elle laissait l’homme se perdre en elle, et gémissait de plaisir. Oui, son petit cul devait être délicieux... Ça, elle le savait très bien, et Pamela basculait son corps en arrière, tendant ses mains pour agripper la nuque de l’homme, dandinant son corps contre le sien, remuant en harmonie avec lui.

Squall ne la ménageait pas, et elle soupirait, mélangeant soupirs et cris, en se laissant prendre. C’était bon, tellement bon ! Pamela tremblait, fermant lentement les yeux, ses tentacules remuant sur son corps, sentant l’excitation fébrile de leur Maîtresse. Les deux tentacules qui s’excitaient sur ses seins continuaient à tirer sur son corps, l’excitant, et elle sentit un tentacule en forme de verge s’enfoncer dans son intimité, la faisant hurler près des oreilles de l’homme.

« Pamela....Haaa...Je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps...Où voudrais-tu que je jouisse ? »

Elle soupira à son tour, ayant un peu de mal à répondre. Ses tentacules la malmenaient, et elle en sentait d’autres serrer ses jambes lentement, tirant ses jambes, les amenant en arrière, afin qu’elle se blottisse un peu plus contre la queue bien tendue de son partenaire. Ivy était en sueur, continuant à soupirer. Le plaisir de ses plantes était relié au sien,  et, dans la mesure où son orgasme approchait, les tentacules-verges allaient jouir. Squall avait un simple tentacule dans son anus, donc il n’avait pas à craindre ce genre de choses. Et ce tentacule continuait à s’exciter, frétillant de plaisir, remuant lentement dans son corps.

Pamela continuait à se faire prendre de partout, et se serra contre le corps de Squall, aimant sentir les mains de l’homme sur son corps, la caresser. Ses tentacules serraient douloureusement sa peau, la faisant gémir. La douleur était un peu partout, et elle mouillait follement. Elle se serra un peu plus contre son corps.

« En moi... Hummm... Inonde-moi, mon beau Squall, décharge-toi dans mon corps, que je sente ton sperme en moi... Continue... Je veux te sentir !! »

Ses cheveux remuaient contre les joues de l’homme, et elle penchait parfois sa tête pour l’embrasser, étirant sa langue, qui devenait un tentacule long et verdâtre pour caresser sa joue. Bestialité et beauté, sauvagerie et douceur... Ces paradoxes définissaient on ne peut mieux la belle Ivy, une belle et forte femme qui aimait s’entourer de plantes énormes, et pas forcément très attirantes. Elle poussa un autre cri de plaisir, récupérant sa longue langue, posant sa tête dans le creux du cou de l’homme, afin de se laisser baiser dans tous les sens.

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Les contrées du Chaos / Re : Communion avec la nature [The Thing]
« le: mercredi 14 novembre 2012, 12:15:42 »
Le tentacule dans son vagin continuait à la pilonner, à imposer une cadence infernale, difficile à suivre. Le corps de Pamela se couvrait de sueur, et elle sentait, le long de ce dernier, ce mélange de sperme et de bave glisser sur son corps, remonter (ou redescendre, plutôt) vers sa tête. Elle en frissonnait, et vit à peu à peu la lumière revenir. Tournant lentement la tête, elle réalisa que la Chose s’était rapprochée de l’entrée de sa caverne, et qu’elle avait une bien meilleure vue d’ensemble. Pour autant, elle se sentait toujours dans une espèce de cocon de chaleur, de laideur, de puanteur, et de sexe. La manière dont la créature la baisait était légendaire, tout simplement. Elle se contorsionnait, hurlant, et sentait que chacun de ses hurlements, loin de réfréner les ardeurs de la Bête, semblaient l’exciter encore plus, l’encourager dans cette voie. Chacun des yeux globuleux de la Chose l’observait, la détaillant sous toutes les coutures, et elle continuait à se laisser faire, le bout de ses cheveux frôlant de plus en plus en le sol, au fur et à mesure que le tentacule la prenait. Il était clair que la Chose ne la ménageait pas, mais c’était ce qu’elle aimait.

Ivy sentit alors des tentacules remuer dans son dos, la faisant frissonner, avant de caresser ses cheveux, près de son crâne. Elle en frémit, sentant un résidu gluant, froid, et visqueux, le long de son dos. Elle frémissait lentement, et ouvrit à nouveau la bouche, soupirant, ne sachant pas quoi faire de ses mains. Elle voyait la bave de la Chose couler de ses lèvres, et sentait encore son sperme... Pamela aurait pu tout avaler, et se livra à un bref petit test. Sa peau était particulière, lui permettant d’absorber ce qui était dessus. Elle observa donc attentivement les réactions de la Chose, et fit mine d’absorber un peu de sperme. Elle vit immédiatement, avec un sourire, les yeux de la bête se braquer directement sur la portion qu’elle avalait.

*Elle aime me voir ainsi... Sale et négligée... Je la tente, et elle me désire d’autant...*

C’était bon à savoir. Pamela eut un nouveau sourire, et se mit à parler. Son corps s’habituait progressivement, bien que ce soit difficile, à ce gros membre enfoncé en elle. Ivy avait pour elle une bonne expérience sexuelle, qui lui était ici bien pratique. La Chose voulait la voir salie, voulait la voir recouverte de cette substance poisseuse... Ce n’était pas pour la déranger, et elle décida de le lui faire savoir.

« En... Encore, humm ! J’en… J’en veux plus !! »

Elle se tut un peu, devant reprendre son souffle. Elle mouillait abondamment, et sentait le second orgasme approcher rapidement. Son ton était assez hystérique, frénétique.

« Des tentacules ! Encore !! Je sais que tu le veux... Vas-y, viens !! Crache-moi dessus, salis-moi, haaaannn !! »

Tout ça était de plus en plus gore, à bien y penser, mais Ivy n’était rationnellement plus en état de penser à quoi que ce soit de lucide. Elle voulait se faire baiser sauvagement, se faire baiser comme elle ne l’avait jamais été auparavant... Et elle avait le sentiment que cette créature, cette Chose, pourrait tout à fait la satisfaire, et faire d’elle une véritable créature, une espèce d’animal sexuel qui ne demanderait qu’à ce qu’on la saute.

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Les contrées du Chaos / Re : Communion avec la nature [The Thing]
« le: mercredi 14 novembre 2012, 10:57:49 »
Ainsi accrochée à la bête, Pamela ne pouvait que subir. Elle s’y était attendue. Comment aurait-il pu en être autrement ? Ce monstre tentaculaire imposait son rythme, et il fallait suivre. Or, il était bien plus gourmand que le plus vorace des amants humanoïdes. Ses nombreux tentacules puants qui grouillaient autour du corps d’Ivy lui faisaient perdre la raison. Elle avait joui sans aucune difficulté, et cet orgasme ne serait que le premier d’une longue série. Elle ne saurait dire en quoi cette créature fantasmagorique, cauchemardesque, était si excitante à ses yeux, mais le fait est qu’elle y voyait une sorte d’harmonie et de beauté qui l’attirait inexorablement. Elle sentit la créature tressauter, remuer... Son instinct lui disait qu’elle était heureuse, et elle ne tarda pas à avoir satisfaction en la sentant jouir... Oui, elle jouissait ! Et cette substance blanche et gluante qui se déversa sur ses mains lui évoquait clairement du sperme.

Les doigts de Pamela avaient en effet plutôt bien excité les tentacules, caressant frénétiquement le bout de ces tiges gluantes, remuant dessus, jusqu’à ce que la Chose atteigne le point de plaisir suprême. Elle jouit entre ses mains, mais aussi dans sa gorge, et Pamela se mit à gémir, sentant ce sperme fondre rapidement en elle, l’étouffant à moitié. Elle en eut une espèce de hoquet, devant ces giclements violents, et ferma les yeux, sentant, sur le coup, quelques larmes couler. Elle secoua lentement la tête pour se reprendre, sentant les giclées de sperme continuer à venir. La bête était gourmande, et jouissait visiblement de manière assez particulière, puisqu’elle se retira des doigts de Pamela, jouissant sans que personne n’ait à exciter son membre. De grosses quantités de sperme éclatèrent sur le corps de Pamela, qui en frémit de plaisir. La Chose la salissait, mais cette laideur subite était la bienvenue, s’harmonisant à merveille avec son corps parfait. La Chose continua à jouir sur elle pendant un certain temps, crachant de nombreuses giclées de sperme, jusqu’à sembler apaiser.

*Elle ne réagit pas uniquement comme un animal... Une simple bête m’aurait déjà enfanté, mais elle... Elle a voulu se faire plaisir, ce qui, dans un sens, est très humain...*

Ni humain, ni simple animal, la Chose était atypique, tout simplement. Pamela se sentit alors retournée par la créature, qui avait retiré beaucoup de ses tentacules. Il en restait sur ses jambes, les écartant, sur ses seins, et autour de son ventre. Elle se retrouva la tête en bas, ses cheveux au vent, et regarda autour d’elle, un peu surprise par cette position. Elle était pour la moins inhabituelle, mais, à bien y réfléchir, tout était ici relativement inhabituel. Elle sentit alors le membre tendu de l’homme, ce gros tentacule qui l’avait fait jouir, glisser contre ses cuisses, se rapprochant de son vagin. Elle comprit alors qu’il l’avait mis ainsi pour faciliter sa pénétration, et réalisa tout simplement qu’il allait sauvagement la baiser.

Les tentacules sur ses seins avaient cessé de remuer, probablement pour la faire patienter. Elle regardait lentement autour d’elle, tentant de relever la tête, mais, dans cette opaque obscurité, elle ne voyait pas grand-chose. A dire vrai, la seule chose qu’elle voyait distinctement était l’un des gros yeux globuleux du monstre, ainsi que l’une de ses énormes bouches difformes. Un gros œil qui se plissait lentement, avant de s’écarquiller en la regardant, la détaillant. Pamela tendit l’une de ses mains pour tenter de caresser ce corps qui l’attirait tant... Avant de pousser un cri en sentant le membre s’enfoncer en elle, l’écartelant.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!! »

Elle poussait un véritable cri, mélange de souffrance et de plaisir, en sentant ce membre s’enfoncer assez loin dans son vagin, aussi loin qu’il était humainement possible de le concevoir. Elle en ferma les yeux, et ses craintes d’avoir un mal de tête à force d’être dans cette position s’envolèrent rapidement, remplacées par une douleur totale et intense. Elle se tortillait lentement, remuant les jambes, mais sans pouvoir trop s’avancer, et se mit à pousser de nouveaux cris. Le tentacule remuait voracement en elle, la baisant sauvagement. On y était, c’était l’heure ! Elle allait être fécondée par cette créature ! Car, en définitive, c’était bien l’objectif recherché par la Chose. Les animaux faisaient l’amour pour se reproduire, et l’intérêt majeur du sexe, outre la sensation de plaisir qu’il procurait, était surtout de se reproduire. Le plaisir, dans le fond, n’était qu’une forme de bonus offert par Mère nature afin de montrer à ses enfants la marche à suivre.

Pamela se laissait donc faire, sentant ce gros membre la pilonner, se tortillant, ses cheveux frôlant parfois le sol. Elle se forçait à regarder la bouche du monstre, son œil, mais elle devait parfois, sous la douleur, fermer les yeux. Le plaisir était là, oui, mais ce sexe était tellement gros, tellement épais, tellement dur, et tellement enfoncé, que la douleur était indispensable... Et elle l’était d’autant que la Chose la baisait sans la moindre retenue, sans la moindre forme de gentillesse ou sans la moindre touche de romantisme. C’était du sexe brutal, tentaculaire, naturel, le simple plaisir physique, dénué de sentiments humains... Autant dire que Pamela adorait !

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Cours très particuliers! (Pv Poison Ivy)
« le: mercredi 14 novembre 2012, 00:48:18 »
L’homme était convaincu. Il avait succombé aux charmes d’Ivy, une femme qui, encore une fois, avait bien justifié son surnom d’Empoisonneuse. Elle avait même assez facilement réussi à le séduire, mais elle n’avait que peu de mérite. Elle était belle, et il était vierge. Les vierges étaient toujours plus faciles à séduire, que ce soit des hommes ou des femmes. C’était une règle immuable qui, chaque fois, s’appliquait toujours de plus belle. Lui offrant son derrière, Pamela s’offrait à Squall, sans la moindre hésitation. Elle savait qu’il ne ferait rien de plus que ce qu’elle souhaiterait, car, dans le cas contraire, les tentacules qui les entouraient agiraient immédiatement... Et Ivy savait très bien qu’ils pouvaient être très dangereux, vu le nombre de fois qu’elle s’en était servie pour se défendre. Il aurait fallu de quelques secondes, à peine, pour que les tentacules broient le corps de ce jeune homme. Il avait donc intérêt à continuer à agir ainsi, et à traiter Ivy avec respect.

*Ce n’est pas que je sois particulièrement féministe, mais je n’aime pas trop qu’on me toise de haut quand on en a pas les capacités...*

Elle lui offrait ses fesses, un grand geste, selon elle. Elle espérait que Squall saurait s’en montrer digne, mais il fallait aussi dire qu’elle l’avait plutôt bien aidé. Ses propres tentacules avaient déjà bien dilaté son anus, facilitant ainsi l’accès à ce dernier. Ce serait en partie dommage pour Squall, car, de ce que Pamela savait des hommes, dans la sodomie, ils aimaient bien sentir la chair s’écarter sur le passage de leur membre. C’était une sorte de plaisir primaire et bestial qui les rendait fous, mais que Squall ne ressentirait pas vraiment. Néanmoins, elle ne doutait pas que le plaisir serait au rendez-vous, dans la mesure où c’était sa première sodomie.

Il s’enfonça donc en elle, et elle serra les dents en le sentant s’enfoncer. C’était nettement plus gros que son propre tentacule, mais elle s’y était préparée, et sentit donc rapidement un plaisir pervers l’envahir, mélangé à la douleur. Il fallait aimer la douleur pour apprécier la sodomie, tout simplement. Peu importe la manière dont on approchait la scène, une sodomie était toujours douloureuse, à un degré plus ou moins important. Elle serra ses doigts, et poussa un soupir guttural et profond, avant qu’un tentacule ne retourne s’enfoncer dans le postérieur de Squall, et que d’autres ne se rapprochent de leur génitrice. Deux tentacules vinrent ici tirer sur ses seins, les titillant douloureusement, la faisant gémir.

« Hummm... Continue, vas-y ! Défonce-moi, Squall, allez ! »

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A l’arrière de la salle de cours d’Ivy, dans son petit laboratoire étriqué, cette dernière laissait libre cours à ses pulsions. Son plaisir explosait, et elle sentait le sexe du vigile, de ce cher Squall, s’enfoncer avec plaisir en elle, la faisant gémir de plaisir. Pamela mouillait à nouveau, longuement, sentant les coups de butoir de son partenaire. Entourés de tentacules, les deux amants se faisaient mutuellement plaisir, et elle pouvait sentir l’excitation fébrile de l’homme, sa rage et sa frustration, le tentacule dans ses fesses contribuant à le mettre dans un état de plaisir intensifié par la souffrance qu’il devait ressentir. Tout avait été savamment calculé, et, en fermant les yeux, Pamela se laissait aller, se laissant pleinement guider par cet homme qui lui bourrait le corps.

Elle le sentit poser ses mains sur ses seins, la faisant gémir. Elle rouvrit lentement les yeux, lui faisant un léger sourire. Ses jambes continuaient à encercler le bassin de l’homme, mais elle était surtout retenue à ce dernier par ses longs tentacules. C’était une position particulièrement plaisante, même si elle surprenait un peu. Quoiqu’il en soit, Pamela se faisait plaisir, et c’était, ma foi, l’essentiel. Elle entendit alors ce dernier lui faire une demande qui la fit sourire :

« Aaaah...Pam....J'aimerais m'occuper de tes fesses aussi...hmmm »

Le fantasme des hommes... Mais elle le comprenait. Poison Ivy était une très belle créature, une femme aux formes magnifiques, et son derrière n’était pas en reste. Elle avait un superbe cul, petit et bien rebondi, comme les hommes, de manière générale, l’appréciaient. Elle commença donc à agir, se retirant de lui. La sodomie était apparemment quelque chose qui tentait cet homme, ce qu’elle comprenait. Les mâles avaient un rapport ambivalent avec ce domaine, préférant s’enfoncer, plutôt que se faire enfoncer. Elle s’écarta ainsi de lui, se remettant sur pied, et tendit une main pour caresser son torse, souriant lentement. Elle releva sa main pour caresser son menton, puis ses lèvres.

« Pourquoi pas... »

Au milieu des tentacules, elle se retourna, et se pencha en avant, bombant du coup ses fesses en arrière.

« Mon cul est à toi, brave homme... Tâche de t’en montrer digne ! »

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Les contrées du Chaos / Re : Communion avec la nature [The Thing]
« le: lundi 12 novembre 2012, 12:50:38 »
Depuis sa position, Pamela se sentait tout simplement bien. Elle ne ressentait aucune peur, simplement une violente et perverse excitation. Très perverse, même. La puanteur qu’elle ressentait avait l’effet inverse que ce qu’elle devrait normalement susciter : l’attirance, au lieu du rejet. Elle formait une espèce de cocon chaud et dégueulasse qui attirait Pamela, sans qu’elle ne puisse vraiment se l’expliquer. Sa fascination pour ce monstre dépassait la simple logique humaine, mais, ce qui était sûr, c’est qu’elle ne regrettait aucunement d’être là. Cette scène lui rappelait une sorte de remix glauque et sexuel de ces contes pour enfants sur les belles Princesses et les monstres. Elle continuait à caresser ce long tentacule, à l’exciter, entendant les râles de la bête.

*Elle comprend, et elle est heureuse... Les monstres sont parfois bien plus intelligents que ce qu’on pense...*

Elle sentit alors le tentacule s’enfoncer en elle. Pamela poussa un gémissement étouffé, sentant ce long tentacule s’enfoncer dans sa bouche, glissant dans sa gorge. Sa tête partit légèrement en arrière, et elle conserva ses mains crispées sur le tentacule, le griffant lentement, avant de progressivement se mettre à le caresser, gémissant en sentant le tentacule remuer en elle. Il s’était enfoncé bien loin, répandant sa bave visqueuse dans sa bouche. Elle pouvait la sentir, et remuait lentement son corps, continuant à mouiller abondamment. C’était tellement bon. Il n’y avait pas d’autres mots pour décrire ça, et elle plissa les yeux, avant de sentir le tentacule se retirer lentement, pour se placer dans sa bouche. Elle avança sa langue, la sentant s’enfoncer dans ce tentacule mou et dur, visqueux et gluant.

Parallèlement, elle sentit des tentacules s’enrouler autour de ses bras, remonter le long de ses derniers, les écartant l’une de l’autre. Elle était encore plus emprisonnée, et sentit les extrémités de ces petits tentacules sur ses paumes, entre ses doigts. Comprenant l’invitation, Pamela commença à remuer ses doigts, à les faire glisser sur cette texture visqueuse. Ses doigts remuaient plutôt bien dessus, glissant volontiers. Elle savait qu’elle donnait à la créature du plaisir, et c’était là une source de fierté et de réjouissance pour elle. Entre-temps, les tentacules autour de ses seins continuaient à les malmener. Il y avait tout un ensemble de choses qui la rendait aussi excitée qu’une pucelle effarouchée lors de sa première nuitée.

La langue se retira de son vagin, laissant une substance gluante, comme une espèce de seconde couche, sur son corps. Elle sentait la bave du monstre dans son intimité, et gémissait, ayant très chaud. Terriblement chaud, même. Son corps se déplaça alors, et elle comprit que la créature voulait l’observer. En remuant un peu la tête, et en baissant les yeux, au milieu des tentacules, elle vit l’un des énormes yeux globuleux de la Chose observer son corps, semblant se fixer sur son intimité.

*Il ne veut pas que me baiser... songeait-elle. Contrairement aux humains, il ne voit pas le sexe comme une finalité en soi, mais comme un moyen. Il veut me féconder...*

Voilà à quoi rimait toute cette préparation ! Il voulait exciter sa partenaire pour pouvoir plus facilement la mettre en cloque ! Cette perspective excita Pamela, qui n’avait absolument aucune objection contre le fait d’être enceinte par cette bestiole. Elle espérait juste que l’enfant ne chercherait pas à la dévorer... Quand bien même elle trouverait cela naturel, mourir serait regrettable. Il était néanmoins trop tard pour faire marche arrière, et Pamela était bien trop excitée pour être réfrénée par ça. Elle sentit le tentacule du monstre retourner dans sa gorge, malmenant sa bouche. Il était brutal, violent, comme un mâle affamé qui se jetait sur sa partenaire pour la baiser sauvagement, en se repaissant de ses hurlements. Elle avait de toute manière déjà noté ce trait de sa personnalité quand il avait massacré le bûcheron. Il ne supportait pas la compétition.

Ivy sentit alors un énorme tentacule glisser entre ses cuisses, titillant ses lèvres intimes, et elle eut un frisson. C’en fut trop pour elle, et, en fermant les yeux, elle eut un orgasme. Elle cracha sa mouille sur ce tentacule, poussant de silencieux gémissements étouffés. Son corps était bien trop malmené et excité pour qu’elle parvienne à se retenir plus longtemps, et elle mordit férocement le tentacule de la Chose en jouissant. La bestiole le serrait douloureusement, malmenant son corps, mais tout était si bon... Ses doigts remuaient frénétiquement sur les tentacules de la bête, et elle eut un superbe orgasme. La bave qui était sur ses cuisses n’avait été qu’un autre élément contribuant à la faire jouir.

« Hum !! » soupira-t-elle.

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Les contrées du Chaos / Re : Communion avec la nature [The Thing]
« le: dimanche 11 novembre 2012, 21:06:34 »
Ce baiser dura assez longtemps, pour le plus grand plaisir de Poison Ivy, qui se sentait lentement basculer dans un univers de perversion absolu. C’était la seule et unique manière valable de décrire ce qu’elle ressentait. Ivy était une folle, c’était indéniable, et ça se confirmait maintenant. Il fallait être fou, de toute manière, pour se livrer volontairement à ce monstre. Dans sa folie, elle ne voyait aucune raison d’être repoussée par ce monstre, et elle avait même tendance à le privilégier à la compagnie de simples humains. Au moins, lui ne mentait pas, n’était pas hypocrite, et faisait preuve d’une infaillible honnêteté. Leur baiser fut assez long, la langue de la bestiole remuant dans sa bouche, avant de finalement se retirer. Pamela avait une bouche assez pâteuse, et sentait bien que la scène ne faisait que commencer. La Chose s’occupait d’elle comme il s’occuperait d’une amante, en veillant à ce qu’elle soit bien excitée avant de lui faire l’amour. Dans cette grotte sombre, Ivy était toute seule, piégée, mais désespérément heureuse. Son cœur bondissait follement dans sa poitrine sous l’effet d’une excitation fébrile rarement ressentie auparavant. Elle allait coucher avec une créature fantastique, bien plus parfaite et bien plus accomplie que les plus belles de ses créations. Cette créature était formidable. Lui offrir des repas à dévorer était bien la moindre des choses qu’elle pouvait lui offrir afin de lui prouver son amour. Dans un sens, Ivy trouvait cette bestiole plus attachante qu’un humain classique. Il fallait être dans la tête de Poison Ivy pour comprendre ce raisonnement biaisé.

De nouveaux tentacules s’approchèrent. Deux gros tentacules qu’elle discerna dans la noirceur de la grotte. Ses yeux s’habituaient à cette obscurité ambiante. La Chose devait probablement venir d’une planète éloignée de son étoile, ou avait passé des millénaires dans l’espace. Elle préférait les endroits sombres, reposants, aux zones lumineuses. La vision d’Ivy s’adaptait progressivement, et elle pouvait mieux voir dans la nuit. Les deux gros tentacules se rapprochaient d’elle, et elle continuait à mouiller, prisonnière du monstre, dont les langues pendaient. Pamela ferma lentement les yeux, puis les rouvrit, afin de ne rien rater de ce spectacle. Elle vit chacun des tentacules s’ouvrir, laissant quatre petits tentacules pointer dans les airs, tels de petits serpents. Lentement, ces derniers se rapprochaient de ses seins, et elle vit que l’intérieur poisseux des tentacules se composait de multiples langues triangulaires le long du pourtour.

*Seigneur...*

Les tentacules se posèrent sur ses seins, et elle gémit, continuant à mouiller, remuant lentement son corps d’avant en arrière, glissant sur la langue gélatineuse du monstre. Les quatre tentacules allèrent se refermer sur chacun de ses seins, maintenant solidement ces derniers dans les tentacules de la Chose, et elle poussa un long gémissement, presque un cri de plaisir, en sentant ces langues visqueuses glisser sur ses seins. Sa peau absorbait presque automatiquement la bave verdâtre qui s’échappait des tentacules, mais il en restait encore beaucoup qui glissait le long de son corps. Elle ferma les yeux, renversant sa nuque en arrière, profitant de ce moment. Ses mains serraient toujours la peau de la Chose, ses doigts s’enfonçant aussi loin que possible, dessinant des cercles, des tracés le long de ses ongles. Elle adorait ça, sentir ses seins se faire comprimer...

La Chose ne la ménageait pas, remuant également son bassin grâce à sa langue, faisant taper ses jambes et son corps contre celui du monstre. Elle pouvait parfois sentir cette langue insister, frotter rapidement sur son corps, la faisant vibrer. Ses joues se teintaient d’une rougeur prononcée au fur et à mesure qu’ils continuaient leurs ébats, et elle vit alors un nouveau tentacule se rapprocher de son visage. Il était moins gros que les deux autres, mais assez long. L’extrémité représentait clairement une verge, et elle le vit se rapprocher de ses lèvres. Elle comprit ce que le monstre avait à l’esprit, mais, fort curieusement, il ne s’enfonça pas dans ses lèvres, ce tentacule restant à quelques centimètres de son visage. Une espèce de substance baveuse dégoulinait de son tentacule, et elle regarda ce membre lentement, passant sa langue sur ses lèvres.

*Il veut voir comment je vais agir... Il est excité, peut-être même heureux, à sa manière, que je m’offre volontairement à lui... Il est bien plus humain qu’il aime le faire croire...*

Elle comprit ce que la Chose souhaitait assez rapidement, et tendit ses mains vers le tentacule. Ses bras n’étant pas entravés, elle put lentement promener ses doigts sur ce tentacule gluant, sentant la bave s’imprégner sur ses mains, glisser le long de ses bras, alors qu’elle se mit tout simplement à le caresser, approchant ensuite ses lèvres pour embrasser les rebords du tentacule. Elle frottait son nez dessus, puis continuait à poser ses lèvres, à embrasser cette peau gluante et visqueuse. Elle absorba un peu de ce truc gluant, et frotta ses lèvres, posant sa langue, mordillant sa peau.

Supposant que la créature le comprenait, Ivy se mit à lui parler, en approchant sa bouche du bout de son tentacule, léchant l’extrémité, le suçant très légèrement, tout en continuant à le caresser avec ses doigts.

« Je suis venue à toi pour te montrer le respect et l’amour que je ressens pour toi... Je t’offre mon corps, tout mon corps, pour communier avec toi... Car le sexe est le meilleur moyen qui nous est offert pour célébrer la vie, la perpétuer, et l’honorer... Prends-moi sans hésitation, je suis une femme forte, à même de satisfaire tous tes envies, tous tes désirs... Je veux te montrer le bonheur qu’il y a, quand la femme est consentante... Prends-moi. »

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Les contrées du Chaos / Re : Communion avec la nature [The Thing]
« le: dimanche 11 novembre 2012, 18:20:53 »
Embrasser cette chose était une expérience hors-normes, en tout point de vue. Pamela était aussi horrifiée qu’excitée, aussi attirée que repoussée. Cette puanteur malsaine qui se dégageait du corps de la Chose, ce corps gluant et visqueux... Oui, Pamela était aussi excitée que craintive. Elle savait que cette chose ne lui ferait aucun mal, elle le sentait. Partant de là, elle pouvait laisser libre cours à son plaisir, mais elle restait malgré tout fondamentalement une humaine. Une Terrienne qui était en partie formatée par le moule dans lequel elle vivait. Cette expérience était enrichissante, dans la mesure où elle éprouvait du désir pour une chose que des normes sociétales réprouvaient. Pamela embrassait la lèvre de la créature sans se sentir forcée. Elle était plaquée contre le corps de ce monstre, mais ce n’était pas pour autant qu’elle était ici contre son gré.

Les frissons qui traversaient son délicieux corps n’étaient pas des frissons de peur. C’était une excitation perverse à l’idée de coucher avec cette chose, cette puissante créature. Elle voyait au-delà de cette laideur apparente. Elle voyait une créature puissante et dominatrice, qui méritait tout son respect. Ivy continuait à l’embrasser, lorsqu’elle sentit la gueule du monstre s’ouvrir. Elle avait déjà pu noter le plaisir que la Chose ressentait, dans la manière dont ses bouches semblaient gémir. Elle vit une longue langue noirâtre sortir de sa gueule, de ce trou noirâtre, et sentit un nouveau frisson traverser son corps. La grosse langue lécha sa tête, ses joues, remuant sur sa peau, déposant sa bave, la faisant soupirer de plaisir. Ses seins pointaient fièrement, et elle mouillait. C’était tout simplement plus fort qu’elle. Ce qu’elle ressentait était magnifique. Il n’y avait pas d’autres mots pour décrire cette scène.

Elle réalisa accessoirement qu’ils étaient désormais dans son antre. La luminosité était bien moins marquée, et l’endroit était très sombre. Elle sentit d’autres interactions de la créature. Ses tentacules écartèrent à nouveau ses jambes, la faisant soupirer, et l’autre gueule se trouvant à hauteur de son entre-jambes s’ouvrit également, livrant passage à une langue qui vint jouer avec ses parties intimes. Ceci confirmait l’intelligence de la Chose, car elle savait où se trouver les endroits de plaisir d’une femme. Pamela se mit à gémir faiblement sous les caresses buccales très particulières de cette langue, allant jusque dans son cul, remuant au milieu de ses fesses. Ses doigts s’enfonçaient un peu plus fermement dans la peau gluante et visqueuse de la Chose. Elle s’offrait à lui sans la moindre retenue : tout son corps, toute son âme. Le désir explosait encore en elle, et elle ouvrit la bouche, lorsque le bout de la langue de la créature s’enfonça en elle.

*Hun, c’est si bon...*, songeait-elle.

La langue écartait ses lèvres encore plus efficacement que si on lui avait fourré un sexe à l’intérieur. Ivy remuait lentement les jambes, fermant les yeux, et aventura sa petite langue sur cette surface gluante, ce muscle baveux qui crachait en elle sa salive verdâtre. Elle sentait la langue remuer, s’enfoncer dans sa gorge, dans les tréfonds de sa bouche, la faisant gémir. Le corps si particulier d’Ivy lui permettait de supporter ça sans avoir de sensations de haut-le-cœur, ce qui était, en l’occurrence, bien pratique. Elle laissait le monstre se faire plaisir en elle, continuant à l’exciter, à la titiller, ses énormes tentacules continuant à la pétrir et à la serrer. Pamela adorait tout simplement ça ! C’était exquis et magnifique.

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Les contrées du Chaos / Re : Communion avec la nature [The Thing]
« le: dimanche 11 novembre 2012, 11:08:16 »
La créature semblait hésiter sur la procédure à suivre. Ivy pouvait le sentir, et restait pour le moment agenouillée, en position de respect. Sa vie, littéralement, ne tenait qu’à un fil, car cette bestiole aurait très simplement pu la broyer. Ce corps lui rappelait les Formiens, mais elle savait que ce n’en était pas un... Ou, du moins, pas un Formien appartenant à la Fourmilière. La Nature le lui aurait dit. De plus, les Formiens n’avaient pas, à sa connaissance, le pouvoir d’altérer ainsi la forêt. C’était comme ça que Pamela avait découvert cette créature, à travers les modifications que la bestiole apportait à l’écosystème de cette forêt. La Nature ne mentait pas, et, si elle aimait tant ce monstre, si cette chose l’excitait tant, c’était avant tout pour ça. Sa laideur cauchemardesque la rendait paradoxalement aussi repoussante qu’attirante, et elle se doutait bien que la créature devait le ressentir.

D’autres tentacules s’approchèrent lentement d’elle, et elle frissonna. Ils s’enroulèrent autour de ses seins, tels des espèces de serpents affamés. Elle poussa un soupir, et sentit d’autres tentacules se rapprocher. La chose ne savait pas parler, mais elle comprenait. Elle modifiait la Nature, et ne pouvait donc être un vulgaire monstre laid et difforme. Non, c’était impossible. C’était une créature intelligente et vicieuse. Elle sentit ce troisième tentacule filer entre ses jambes, glisser sur son intimité.

« Humm... » soupirait-elle en fermant les yeux, ses longs cheveux retombant près de son épaule.

L’odeur, toujours, était insupportable, particulièrement repoussante. Elle en tremblait, et, même si elle était volontaire et consentante, elle n’était pas habituée à une telle odeur. Elle n’arrivait pas à trouver d’équivalent pour caractériser cette puanteur. C’était un mélange troublant entre de la chair pourrie et de la merde. Elle vit alors un autre tentacule se rapprocher, et cracher contre elle un gaz qui la fit tousser. Ce dernier fila dans ses narines et dans sa bouche, et se mélangea à sa chlorophylle. Il s‘agissait probablement d’un mécanisme particulier, car elle sentit la nausée disparaître. L’odeur était toujours là, et ça ne sentait toujours pas la rose, mais bien cette insoutenable odeur... Mais elle s’y accommodait.

*C’est un cadeau qu’il me fait...*

Pamela sentit un élan de fierté la traverser, et laissa les tentacules jouer avec elle. Que pouvait-elle faire d’autre ? Elle était sa prisonnière, une prisonnière consentante et volontaire, qui lui offrait son corps pour communier. Le sexe était un langage de communication universel, naturel, et qui existait partout où il y a la vie. C’était le besoin de reproduction, de création, quelque chose d’inné. Elle sentit alors les tentacules s’écarter de son corps, la laissant excitée, et un autre vint s’enrouler sur son ventre, la soulevant du sol. Elle se laissa faire, poussant un petit gémissement de plaisir. Il l’écrasait, ce qui était assez douloureux, et elle se rappela cet homme que le monstre avait brisé en deux sans difficulté. Pamela n’était pas une femme disposant de capacités physiques exceptionnelles. Elle avait un petit corps frêle, ses pouvoirs étant surtout sa séduction naturelle et son intelligence développée.

Elle vit son corps se rapprocher de l’une des gueules du monstre,  cette créature qui ne pouvait pas être née sur Terra, mais devait forcément venir d’ailleurs. Autre planète, autre dimension, tout était possible. Ivy aurait sans doute pu craindre que la Chose ne cherche à la dévorer, mais il n’en était rien. Le tentacule ne serrait pas trop fort, et la gueule du monstre, loin de s’agrandir, était plutôt en train de se rétracter, sa bave verdâtre coulant lentement de ses lèvres noirâtres. Elle se retrouva pour ainsi dire collée contre ce monstre. Avant d’envoyer ses lèvres, elle posa ses mains nues sur cette peau visqueuse et gélatineuse. Beurk ! aurait-on dit dans un film. L’image n’était pas loin. Sa peau était gluante, boursouflée, laide, loin d’être uniforme. Elle sentit d’autres tentacules s’enrouler autour de ses jambes, et trembla de plaisir. La Chose était impatiente. Pamela se mordilla les lèvres, et caressa du bout des doigts sa lèvre inférieure. Cette bouche était immense. Lorsqu’elle s’ouvrait, Ivy pouvait voir un gouffre noirâtre et puant, avec deux rangées de longues dents pointues. Elle déglutit faiblement, et sentit son corps se faire plaquer contre cette peau, sa tête se rapprochant de cette bouche, dont les lèvres se refermèrent à nouveau pour un baiser.

Pamela ferma les yeux, et alla donc l’embrasser. Ses doigts s’enfonçaient dans la chair gluante et visqueuse de la Chose, se recouvrant d’une espèce de curieux liquide puant que la créature secrétait, et que les pores de sa peau absorbaient. Elle embrassa la lèvre inférieur, caressant cette peau avec sa petite langue, gémissant lentement. Elle retira ensuite ses lèvres, et, dans un excès de perversion, se rapprocha de la bave verdâtre du monstre. Elle passa sa langue dessus, et l’avala, remontant vers sa bouche, avant de baiser à nouveau sa peau. Poison Ivy faisait confiance à son corps particulier pour ne pas tomber malade. Elle mordilla la lèvre du monstre, remuant lentement son propre corps, écrasée contre cet abdomen indescriptible.

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Les contrées du Chaos / Re : Communion avec la nature [The Thing]
« le: dimanche 11 novembre 2012, 01:27:27 »
La créature était indescriptible. Elle était immense. Une espèce de montagne gluante de gueules édentées, de gros yeux globuleux, et de longs tentacules noirâtres. Elle se tenait sur trois immenses pieds, et Pamela était éberluée devant une telle chose. L’odeur était assez agressive, les gueules du monstre crachant une espèce de bave verdâtre infâme. Julian était pétrifié, et un tentacule vint s’enrouler, le décollant du sol comme un fétu de paille. Ivy, elle, était fascinée, presque en transe. La Nature était à l’œuvre. Et la Nature, contrairement à ce que des écologistes idéalistes pouvaient penser, n’était pas belle. Ce n’était pas que l’harmonie, mais aussi le chaos, la mort perpétuelle, un cycle mécanisme de chaos et de destruction. La vie avait besoin de la mort pour exister, survivre, et, au sein de la Nature, il n’y avait pas de place pour les sentiments. Le plus fort dévorait le plus faible, et il en allait ainsi. Pamela assistait tout simplement à une scène de ce genre. Ressentait-elle de la pitié pour ce brave homme ? De la culpabilité à l’idée de l’avoir emmené ainsi ? Pourquoi se serait-elle sentie coupable ? Elle ne le connaissait pas, et il n’y avait là nulle crime, nul maléfice devant lequel pousser des cris de protestation. Une créature plus puissante se nourrissait, tout simplement. C’était un spectacle glauque, morbide, mais indéniablement fascinant et magnifique. Il fascinait Ivy, oui, la transcendait. Elle entendit des craquements sinistres quand les os de l’homme se tordirent, pliant l’homme en deux. Ce devait être assez douloureux, et l’une des gueules du monstre s’ouvrit démesurément, et il avale en un seul morceau le bûcheron, refermant ses longues dents tranchantes.

Il ne restait dès lors plus qu’une muette Ivy, agenouillée, et un monstre massif. Il aurait pu la broyer en quelques secondes, mais elle sentait qu’il ne le ferait pas. L’un de ses longs tentacules visqueux s’avança vers elle. Elle frissonna en sentant ce tentacule noirâtre et glacial onduler le long de son corps, glissant sur sa nuque. Il était énorme et puant. Pour le coup, la créature dégageait vraiment une odeur des plus repoussantes. Pamela, si elle n’était pas aussi excitée, aurait probablement vomi depuis longtemps. C’était une odeur de chair putride qui s‘échappait de son corps, de ses gueules. Elle résultait probablement de la digestion des corps qu’il engloutissait. Pamela frissonnait en le sentant glisser le long de son ventre.

*Il pourrait me broyer instantanément, et il veut me le faire savoir... Je l’interroge, je l’intrigue... Les femmes qu’il attaque sont apeurées...*

Elle pouvait le sentir, car Ivy était généralement reliée à la Nature. Et la Nature communiquait des choses intéressantes. Elle avait ainsi appris que ce monstre avait un sexe qui était plutôt masculin, dans la mesure où il était territorial, ce qui était généralement caractéristique des mâles. Elle savait qu’elle ne risquait rien, et comprenait que le monstre se méfiait. Dire qu’il avait peur était très exagéré, il était juste intrigué, curieux... Pamela n’était pas qu’intriguée, mis aussi très excitée. Elle sentait la puissance de cette créature, sa capacité à façonner la Nature... Ses mains caressaient ce tentacule, et elle tourna la tête, léchant et embrassant cette peau visqueuse et gluante.

« Je suis venue m’offrir à toi, noble créature... Communier avec toi... »

Pamela parlait avec respect, mais avec une voix assez lourde. Elle n’arrivait pas à se l’expliquer, mais la vue de cette créature l’excitait. La beauté avait bien des façades, et, dans une certaine mesure, elle trouvait cette créature belle. Elle était une œuvre génétique et naturelle, un hybride exceptionnel. La scientifique en elle était fascinée par cette créature, attirée par elle. Le cœur de Pamela battait follement la chamade. Elle avait rétracté ses tissus végétaux, se présentant dans sa superbe nudité. Prends-moi, semblait-elle dire. Elle retourna embrasser et lécher le tentacule, tout en glissant ses doigts dessus, les remontant le long de sa peau.

*Je pense bien que je suis folle...*

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Les contrées du Chaos / Communion avec la nature [The Thing]
« le: dimanche 11 novembre 2012, 00:22:17 »
« Y serons-nous bientôt, mon amour ?
 -  Oui, Julian... C’est proche, si proche... »

On aurait pu les prendre pour un couple follement amoureux. Lui, le beau bûcheron, et elle, la belle fille de paysanne. Probablement une boulangère, ou une jeune fille qui vendait du muguet pour le compte de sa famille, afin d‘entretenir les dépenses de la masure du village. Le cadre était idéal : un décor champêtre, rustique, une grande forêt luxuriante avec des rivières, des lacs, des animaux, des montagnes, un beau soleil... Le village était petit, agréable, bien vivant, ne souffrant nullement de la récession économique, de crises quelconque... Il y faisait bon vivre, et ce couple qui s’enfonçait dans la forêt, loin des regards indiscrets, avait tout du conte de fées. Mais, bien sûr, si la vie était un conte de fées, alors les contes de fées n’existeraient pas. Et, si Terra était un monde merveilleux où les belles femmes étaient réellement douces, chastes et innocentes, et où les beaux jeunes hommes seraient des princes charmants, braves et intrépides, alors c’est que l’observateur se situait encore dans cette partie de la vie où on a pas quitté le monde de l’enfance, et où on pense que les choses sont claires et simples.

Jugez plutôt ce couple inattendu. Elle, une belle femme qui semblait issue de la forêt, une sorte de nymphe, de dryade à la chevelure de feu, qui tenait par la main cet homme. Elle l’avait aguiché il y a à peu près deux heures, alors qu’il coupait du bois pour le compte de la scierie. Les bûcherons avaient entendu parler de rumeurs dans les profondeurs de la forêt sur une créature, un monstre abominable, et évitaient de trop s’enfoncer, de rester à la lisière des bois. Julian s’était un peu plus aventuré que les autres, attiré par un enivrant parfum, et était tombé sur cette femme... Cette belle nymphe à moitié nue. Un rêve ? Une hallucination ? Il avait prié pour que ce ne soit pas le cas, ce beau jeune homme musclé et bien bâti. Il en avait eu le sexe tout dur en quelques secondes, surtout quand elle l’avait embrassé. A son insu, elle l’avait drogué avec ses puissants aphrodisiaques, lui disant qu’elle était de ces nymphes des bois dont on tissait les légendes. On les décrivait comme de jeunes femmes timides et belles, qui vivaient dans les profondeurs de la forêt, et séduisaient parfois de jeunes hommes afin de découvrir les vertus du sexe. Julian était un bon petit gars. Il travaillait dur dans la scierie. C’était un peu comme sa récompense.

Bien sûr, la femme qui le séduisait et l’attirait dans les bois en riant n’était pas une nymphe des bois. Elle en avait l’apparence, sous sa peau verdâtre, mais elle était aussi nymphe des bois qu’un Orc était un elfe. C’était une humaine, une Terrienne... Une Terrienne un peu spéciale, car elle avait dans le corps à peu près autant de litres de sang que de chlorophylle. C’était une mutante, et elle avait un curieux sens des priorités et de la morale. Si elle se trouvait là, c’est parce qu’elle avait entendu parler de ces rumeurs sur ce « monstre » de la forêt, mais ne le voyait pas du tout comme un monstre. Elle voyait en cette créature cauchemardesque, qu’elle n’avait pu que brièvement apercevoir, un être sacré. Un individu naturel, propre, qui ne se laissait pas berner par les illusions de la civilisation, de la modernité et du soi-disant progrès technique. Une créature forestière et naturelle, qui méritait en ce sens tout son respect et tout son amour. Ivy, cependant, ignorait comment approcher cette créature, et avait donc décidé de faire ce que tout le monde faisait pour appâter les puissants : un sacrifice, une offrande.

Elle commençait à sentir une odeur nauséabonde.

« Je... Mon amour, es-tu sûre que... ? s’interrogeait Julian.
 -  Mon bosquet est là-bas !
 -  Mais... Cet odeur, je...
 -  Un leurre, un subterfuge ! Nous n’aimons pas que des étranges s’approchent de notre antre, alors nous l’entourons d’odeurs néfastes afin de faire fuir les curieux.
 -  Je... »

Sentant sa proie se poser des questions, Ivy s’arrêta, et l’embrassa solidement sur les lèvres, envoyant dans sa bouche un puissant aphrodisiaque, qui acheva de le convaincre, renforçant son érection. L’odeur, il est vrai, devenait de plus en plus désagréable, signe qu’elle se rapprochait de cette créature dégageant une haleine putride. Elle s’avança un peu plus lentement, l’odeur devenant de plus en plus insupportable. Il y avait une grotte à proximité, et, d’après ce qu’elle avait compris, c’était la tanière du monstre. Pamela était fébrile, et poussa l’homme en avant, surprenant ce dernier.

« Mais... Qu’est-ce qui pue autant ? »

Ivy se recula un peu, un sourire sur les lèvres, voyant une forme sombre se rapprocher dans le dos de l’homme. Sans savoir si la créature, dissimulée par de la brume, comprenait son geste, Pamela fléchit les genoux, en signe de dévote.

« Créature, je t’offre cet homme pour te prouver ma bonne foi !
 -  Mais... ? »

L’homme commença à se retourner, et ses yeux s’écarquillèrent en voyant cette forme noirâtre, désormais bien trop proche de lui.

« Accepte mon cadeau, noble animal. »

Elle ignorait si la créature comprendrait ce qu’elle disait, mais elle espérait que le message serait justement explicite.

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« C'est vrai que j'y avait déjà pensé mais je n'ai jamais osé te le demander Pamela... »

L’intéressée sourit à nouveau, plongeant son regard envoûtant dans les yeux de Squall, avant de lâcher, espiègle et mutine :

« Mon petit voyou serait-il un grand timide ? Crois-tu donc que j’ignore ce qu’est la sodomie ? On ne t’aurait pas envoyé auprès de moi, si j’avais une expérience sexuelle à la hauteur de ma réputation... »

Elle lui fit un léger clin d’œil, et retourna goûter à ses lèvres. Squall, de son côté, tentait de s’occuper un peu des tentacules, de leur montrer de l’affection, caressant avec ses doigts l’un d’entre eux. Le tentacule verdâtre sautilla sur place, lentement, se tortillant délicatement, heureux et excité. La sodomie commençait, et Ivy sentait bien que l’homme souffrait... Sa première sodomie aussi avait été douloureuse, mais elle avait été moins tendre que celle que Squall subissait. Son partenaire sexuel, ses plantes affamées, l’avaient perforé sans ménagement. Ça avait été terriblement douloureux, et elle n’avait pas pu s’asseoir pendant une bonne semaine, avant de finalement réussir à contrôler mieux les plantes, et à, progressivement, apprécier la sodomie. Elle était partie du principe que, si la nature permettait à un objet de s’enfoncer dans cet orifice, alors c’est qu’il fallait l’accepter. Or, un homme, comme une femme, avait un anus. Il n’était donc pas question, pour elle, que Squall se défile.

Il semblait se faire aller, et glissa sa bouche contre le cou de Pamela, l’embrassant tendrement, tout en continuant à la pénétrer. Son érection était toujours là, et Pamela continuait à gémir. Une femme savait que le sexe était un mélange de douleur et de plaisir, car une pénétration, même vaginale, ne se faisait pas sans douleur. Les deux se mélangeaient pour former un plaisir exquis et inouï, et c’était pareil pour les hommes. Il fallait juste que Squall l’apprenne et le réalise, et c’est ce à quoi Ivy s’évertuait. Elle continuait à se blottir contre lui, enroulant ses jambes autour de son bassin, en serrant fort, l’étranglant à moitié. Elle aimait tellement ça, sentir un homme prisonnier entre ses jambes, et sentir des tentacules s’enrouler autour de son corps.

« Pamela...On peut dire que tu me fais voir de nouveaux horizons... » souffla-t-il.

C’était, effectivement, le moins qu’on puisse dire. Elle sourit, et l’embrassa sur le nez, puis remua également son corps, l’ondulant, avant de tendre son corps en arrière, basculant à moitié dans le vide. Les tentacules l’aidaient, la tirant vers le bas, et elle se retrouva ainsi à la perpendiculaire, par rapport à Squall, ses jambes se tendant de part et d’autre. Elle était en suspension dans le vide, et poussa des soupirs de plaisir.

« Vas-y, baise-moi ! » s’exclama-t-elle alors.

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Bureau de la direction et infirmerie / Re : Ménage à trois [Asuka Ayame]
« le: vendredi 19 octobre 2012, 15:11:43 »
Dans la plante, Félicia n’était pas qu’une simple spectatrice se faisant baiser par des tentacules ; elle était aussi une actrice. Dans la mesure où elle était une femme au caractère trempé, et où elle avait déjà l’expérience de cette sensation très particulière, elle pouvait mieux dicter sa volonté et ses fantasmes sur la plante. C’était quelque chose de difficile à comprendre, comme tenter d’expliquer à un aveugle ce qu’était la vue. Il fallait le vivre pour le comprendre, mais, de manière schématique, on pouvait dire que la conscience de Félicia se mélangeait avec celle de la plante, influant sur cette dernière. Son corps était relié à celui de la plante, lui permettant de la contrôler, tout en étant également contrôlée par elle. C’était une symbiose commune, et les tentacules de la plante agirent en conséquence.

Le tentacule dans le corps d’Asuka fit une intense et profonde exploration, remontrant progressivement dans les entrailles du corps de cette dernière. Intelligent, le tentacule ne détruisit rien, s’avançant dans un océan de veines, d’os, de muscles, et d’organes, jouissant intensivement. La Nature était bien faite, et le tentacule savait comment faire. Il agissait presque instinctivement, et Ivy pouvait sentir sa plante très excitée... Tandis que d’autres tentacules s’enroulaient autour d’elles, elle put voir le ventre d’Asuka gonfler, grossir. Du lait se mit également à couler de ses tétons, un spectacle assez fascinant, hors normes. Elle se serait presque crue dans l’un de ces mangas ridicules qu’elle avait une fois confisqué à un étudiant de sa classe, où une prof’ se faisait prendre en série par ses élèves, si bien que son ventre grossissait. Et le tentacule, lui, continuait à remonter le long du corps de la femme, jusqu’à filer par sa gorge, veillant à ne pas l’étouffer.

Asuka endurait cela avec plaisir, et Pamela, avec un sourire, l’embrassa, le lait de la femme se mettant à glisser sur son corps. C’était relativement bon, excellent même, et elle savoura le contact de la bouche d’Asuka, avant de sentir le tentacule se plonger également dans sa gorge. Pamela frémit, et ferma les yeux, les tentacules de sa plante se mettant à unir les deux amantes. Difficile de décrire cette scène sans la voir : c’était un mélange de sensualisme, de perversion, et de perversion. Le tentacule filait entre les cuisses d’Ivy pour s’enfoncer dans l'anus d’Asuka, et il remontait ensuite tout le long de son corps, passait par la bouche de la femme, pour rentrer dans le corps de sa propriétaire et génitrice. Pamela tremblait silencieusement, en sentant ce morceau verdâtre se faufiler dans sa gorge. Le tentacule était très lubrifié, et se glissa sans difficulté.

L’une des mains d’Ivy, pendant ce temps, caressait l’estomac arrondi d’Asuka. Le tentacule avait du bien jouir pour traverser son corps. Pamela était ravie de voir que cette femme était aussi coquine qu’elle... La simple vue d’un tentacule suffisait souvent à faire pâlir n’importe quel amant, mais rares étaient ses partenaires à avoir pu apprécier une pénétration profonde. Tout le corps de la femme était traversé par ce tentacule vorace qui se plaisait en elle, et le faisait savoir. Pamela choisit de se coller un peu plus contre le corps de son amante, l’embrassant tendrement, le tentacule les reliant de la plus solide des manières.

*C’est divin...*

420
« Hum... »

Ce que Pamela ressentait était indescriptible de passion et de douceur. Elle adorait ça, tout simplement. Sentir un sexe masculin en elle, s’enfoncer dans son corps, mais aussi sentir les tentacules grouiller autour d’elle, la serrer, la caresser, tels des enfants désireux et avides de plaire à leur Maîtresse. C’était fabuleux, tout simplement, et Poison Ivy se relaxait, tout simplement. Squall partageait avec elle un grand moment d’intimité, bien plus fort encore que dans la salle. Ici, ils n’étaient pas dans une vulgaire salle de cours, mais au cœur de l’intimité de Pamela, dans son antre. Tout y était délicieux et calme, sensuel et chaud, comme un cocon, un délicieux cocon dont on n’arrivait tout simplement pas à se défaire. Pamela, indéniablement, se plaisait ici, et elle espérait que ce soit réciproque pour son brave partenaire.

En songeant à nouveau à ce dernier, Ivy retourna dans le monde présent, et baissa sa tête vers l’homme, cet homme qu’elle avait à nouveau emprisonné, et qu’elle emmenait encore un peu plus loin dans le monde de la perversion, en lui offrant désormais la perspective de pouvoir accomplir des choses dont il n’aurait jamais pu rêver... Comme le sodomiser. Les hommes, sur ce point, étaient étonnamment pudiques. Autant ils adoraient prendre une femme par l’arrière, et en fantasmaient, autant subir le même traitement les angoissait et les effrayait. Croyaient-ils donc que toutes les femmes avaient un talent naturel pour la sodomie ? A dire vrai, on rencontrait plus de femmes repoussées par cet acte sexuel, qu’attirées. La sodomie était quelque chose de très douloureux, d’instable et de nerveux.

« Heu..Je..Pamela... »

Pamela eut un léger sourire, et tendit son doigt, le posant sur les lèvres de Squall, caressant délicatement sa bouche, avant d’enfoncer son doigt entre ses lèvres. Elle eut un léger sourire, alors qu’un tentacule venait se glisser dans la bouche d’Ivy. Elle le suça brièvement, et le tentacule se retira ensuite, glissant sur la joue de Poison Ivy, qui se mit à parler, sur un ton sensuel et langoureux, toujours sur le même ton calme :

« Allons, ne fais pas ton timide, mon beau... Ainsi, tu sauras ce que nous, les femmes, nous ressentons, quand vous vous glissez en nous... Car je suis sûre que tu auras envie de le faire entre mes fesses... A moins que tu y aies déjà songé ? »

Allez savoir ce qu’un homme peut avoir à l’esprit... Pamela était bien placée pour savoir que ces derniers étaient du genre à être facilement excités, et elle eut donc un léger sourire, alors que l’un des tentacules, fin et léger, vint s’enfoncer dans son derrière. Celui qui était dans le postérieur de Pamela était un peu plus gros, mais elle était, après tout, plus talentueuse que lui dans ce domaine. Elle lui caressa les cheveux, et un tentacule ayant la taille d’une verge vint s’enfoncer dans sa bouche, remuant en elle, la faisant soupirer. Elle gémit langoureusement, ses jambes se serrant un peu plus fortement autour du corps de l’homme, et elle eut un long soupir, sentant le tentacule s’enfoncer en elle, lui offrant une délicieuse gorge profonde. Ses seins se retrouvaient encore à portée des lèvres de l’homme, mais des tentacules continuaient à s’approcher de lui, notamment un tentacule en forme de verge de chaque côté de ses mains.

Voir Squall s’occuper des tentacules de Pamela était une très bonne chose, confirmant l’envie de ce dernier de lui faire plaisir. Elle ne pouvait qu’apprécier cela. Un tel dévouement chez un homme, c’était une chose rare, et Pamela ne pouvait qu’apprécier ça.

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