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Messages - Poison Ivy

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« Hum.. j'ai une certaine passion pour les animaux.. les aider, soulager leurs douleurs, je trouve que c'est un beau métier.. »

Pamela se contenta de répondre par un léger sourire évasif. Les aider... Ivy voyait clairement de quel genre d’aide il s’agissait. Contre le bureau, elle était suffisamment proche de la jeune femme pour percevoir son trouble. Yumena avait du mal à rester assise, à se concentrer. En tant que scientifique, Pamela se devait de faire attention aux détails. Elle voyait les mains de la jeune femme se crisper un peu trop lourdement sur sa minijupe, et sentait le trouble dans son regard, le percevait. Et ce trouble n’était pas lié à la nervosité qu’elle ressentait. Il avait d’autres origines, une origine bien plus attirante. Le parfum de Pamela se faisait ressentir sur le corps de la jeune femme, attisant ses envies, ce feu intérieur qui brûlait dans le cœur de chacun. Pamela hésitait sur ce qu’il fallait faire, maintenant. Yumena était excitée, elle pouvait le sentir.

*Autant se rapprocher d’elle...*

Ce serait la meilleure chose à faire. La prof’ se décolla du bureau, silencieuse, et se glissa dans le dos de Yumena, avant de poser ses deux mains sur chacune des chaudes joues de la lycéenne. Elle se mit alors à lui caresser les joues, ses doigts glissant dans ses longues mèches de cheveux noires.

« Allons, je te sens toute tendue, toute nerveuse... Détends-toi, ma chère. »

Les doux doigts de Pamela vinrent caresser avec une tendresse infinie les joues de la lycéenne. Ils glissaient le long de sa belle peau, le bout de ses doigts s’approchant de ses lèvres, les caressant lentement, les effleurant. Elle enfonça même un bout de son doigt entre les lèvres de la femme, avant de ramener prudemment ses mains en arrière, s’amusant à attraper les mèches de cheveux de Yumena pour les glisser derrière ses oreilles, retournant ensuite la caresser. Elle fourra l’une de ses mains sous le menton de la jeune lycéenne, la forçant ainsi à relever la tête.

« Il est vrai que je suis une femme sévère et exigeante, Yumena... Mais tu mérites autre chose que ma rigueur, en ce moment. Laisse-toi aller... Je connais les pulsions que tu éprouves, le désir d’amour que tu ressens pour tes animaux. »

Pamela lui parlait sur un ton bas, sensuel, presque envoûtant. Elle relâcha la tête de la jeune femme, et lui caressa une dernière fois ses longs cheveux, avant de revenir vers son bureau. Sa main droite en caressa lentement la surface, et elle alla près de la fenêtre, attrapant un vase comprenant une rose particulière. Elle l’huma, et un sourire de plaisir naquit sur ses lèvres. Cette rose était le fruit de ses expériences. Elle dégageait un parfum magnifique, qui exhalait les sens. Elle retourna vers la jeune femme.

« Cette adulation que tu ressens pour les animaux... Elle est la même que la mienne, mais ma passion s’exprime pour les plantes. »

Ivy caressait tendrement la rose, et la sortit délicatement du vase, léchant lentement, avec une sorte de passion, la racine de cette dernière. Elle approcha ensuite les pétales du nez de Yumena, afin qu’elle les renifle, puis Pamela fléchit les genoux, se mettant devant elle. Son visage était devant le sien, leurs yeux se faisant face.

« Je t’ai vu dans le parc, avec ce chien... J’ai trouvé ça... D’une fascinante beauté. »

C’était dit. Et Pamela lui fit un sourire rassurant, afin que Yumena comprenne qu’elle ne cherchait pas à la juger. Cette idée ne lui aurait d’ailleurs jamais traversé l’esprit.

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Au sein de Mishima, Pamela Isley, la séduisante professeur de biologie, avait la réputation d’être une prof avec laquelle il valait mieux filer droit. Exigeante et pointilleuse, elle tranchait un peu avec une bonne partie du corps professoral de ce lycée, qui était plutôt relaxé et détendu. Pamela était une professeur très stricte, qui proposait des contrôles particulièrement ardus, et des devoirs à la maison dont on ne ressortait pas forcément indemne. On la disait « sadique », ce qui n’était pas foncièrement faux, mais elle savait aussi que la science était avant tout une discipline rigoureuse, qui nécessitait un engagement total. Ivy avait été jusqu’à sacrifier son corps et son âme pour la science, devenant une magnifique femme-plante. Assise dans son bureau, elle portait son habituelle blouse blanche de scientifique, seul vêtement organique, ou presque, qu’elle s’autorisait à porter. Elle attendait une élève :  Aduccio-san. Une élève brillante et timide. Elle avait réussi le mince exploit de décrocher un 15/20 à son dernier contrôle, ce qui équivalait presque à une accréditation. Ivy l’avait félicité. Sa convocation devait donc paraître surprenante, et n’avait, en réalité, rien à voir avec les cours. C’était une rencontre inattendue et complètement fortuite qui avait conduit Ivy à convoquer la petite Yumena.

Ivy était alors au parc, dans la matinée, invisible. Elle était partie vérifier l’état des plantes qu’elle avait génétiquement modifié dans le parc, et les tentacules l’avaient complètement enveloppé, la cachant dans les feuillages touffus d’un arbre. Depuis cette position, elle avait fusionné avec l’arbre avec qui elle avait fait passionnément et longuement l’amour, lui offrant son corps pendant de longues et de longues heures... Et c’était au petit matin que les plantes avaient perçu une présence féminine. Une femme. Qu’elle soit belle ou pas ne rentrait pas vraiment en ligne de compte pour les tentacules. Moche ou belle, une femme avait un vagin, et, tant qu’elle sécrétait de la cyprine, les tentacules n’en demandaient pas mieux. Pamela, en revanche, avait reconnu cette femme. Une lycéenne qui promenait son chien dans un coin isolé du parc, à une heure où il n’y avait personne. Elle avait vu cette jeune lycéenne s’approcher de son arbre, puis se livrait ensuite à des choses peu avouables avec son chien. Elle avait vu la langue de ce dernier se glisser sous le sailor fuku de la femme pour titiller son intimité, et avait vu ces derniers s’embrasser dans l’herbe. Une telle scène avait violemment excité Pamela.

*Je ne pouvais décemment pas faire comme si je n’avais rien vu...*

En retournant au lycée, elle avait donc demandé à un surveillant de faire parvenir à Yumena un mot, disant qu’Isley-senseï la convoquait à la fin des cours. Dans son bureau, Pamela l’attendait donc, et la jeune femme ne tarda pas à arriver. Timide et nerveuse, rien dans son comportement ne laissait présager une petite perverse zoophile.

« Bonjour, fit-elle timidement en n’avançant que sa belle petite tête à travers la porte, je peux rentrer ? »

Avec un sourire, Pamela s’empressa de lui répondre :

« Mais bien sûr, répondit rapidement Pamela avec un léger sourire. Entre, et referme la porte derrière toi. »

Pamela avait déboutonné plusieurs boutons de sa blouse, afin d’avoir un beau décolleté sur ses seins attirants et tendres. La Nature avait arrangé ses formes, arrondissant et agrandissant un peu plus sa belle poitrine, la rendant très belle à regarder. Elle attendit patiemment que la jeune femme entre, et l’invita à s’asseoir en face d’elle. Sentant la nervosité de cette jeune femme, Pamela s’empressa de la rassurer :

« Si je t’ai convoqué, ce n’est pas du tout pour te parler de tes notes, qui sont excellentes. A dire vrai, cet entretien n’a pas grand-chose à voir avec ce qui se passe en cours. »

Voilà qui devait être bien mystérieux. Pamela entreprit de se relever. Elle ne pouvait pas d’emblée dire à Yumena qu’elle l’avait vu faire l’amour avec son chien dans le parc. Ce serait une entrée un peu trop brutale. Elle choisit donc d’autres approches. Pamela sortit un flacon de son bureau. C’était un parfum vert, qui était fait à partir de ses recherches, et était donc, outre très bon, assez aphrodisiaque. Elle s’en aspergea nonchalamment sur la nuque, les senteurs du parfum se répandant dans la pièce. Les mains de Pamela étaient recouvertes par une espèce de gant vert raffiné qui épousait la forme tendre de ses doigts. Elle se releva donc, et fit le tour de son bureau, permettant à Yumena de voir qu’elle avait aussi de belles bottes vertes. Ces vêtements étaient en réalité des excroissances végétales de son propre corps, des tissus organiques qu’elle pouvait donc retirer à loisir.

« J’ai désiré m’entretenir avec toi d’un sujet bien plus confidentiel, reprit-elle. Tu es une femme très talentueuse, Yumena. Tu peux aller loin dans ce qui concerne la biologie, et je vois une grande carrière qui se profile devant toi. »

Pamela tournait lentement autour du pot, et vint désormais s’asseoir sur le rebord de son bureau. Sa longue blouse se releva légèrement, permettant de deviner qu’elle avait de longues bottes.

« J’aimerais en savoir plus sur tes motivations... Qu’est-ce qui te fascine tant dans la biologie ? Dans l’étude des animaux ? »

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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: jeudi 20 décembre 2012, 16:04:10 »
Ma foi, je serais bien folle de ne pas refuser une si belle chatte. Viens donc entre mes plantes :3

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L’homme, nu, était entièrement soumis à Ivy... La scientifique n’avait jamais vraiment été une dominatrice, plutôt une séductrice, qui séduisait les hommes pour obtenir ce qu’elle voulait, avant de les oublier. Avec Squall, elle avait un mode de pensée assez différent. Même de la part d’un humain, soit un être moins intéressant que des plantes, se faire appeler « Maîtresse » était toujours délicieux à entendre. Nu, l’homme se rapprocha de Seika, et vint la pénétrer. Il glissa son sexe en elle, et les yeux de Seika s’écarquillèrent brièvement, de plaisir. C’était bon, et elle poussa un gémissement étouffé, tandis que les tentacules de l’arbre, formant comme des espèces de bras, se refermèrent sur le corps de l’homme.

Ils étaient froids et tendres, un peu gluants, et le serrèrent forts, le maintenant contre le corps de Seika. Les gémissements de cette femme s’accentuèrent, les tentacules se pressant un peu plus contre le corps de Squall. Pamela avait les bras croisés, ne disant rien, un sourire sur les lèvres. Seika était reliée avec l’arbre, et pouvait donc contrôler partiellement les tentacules. Pamela, en ultime recours, pouvait également les contrôler, mais elle préférait laisser Seika agir. Les tentacules s’enroulaient autour du corps nu de Squall, se glissant sur ses jambes, s’enroulant sur eux, les pressant solidement.

« Quel beau spectacle... » commenta Ivy.

Elle avait un léger sourire sur les lèvres, et se rapprocha. Les tentacules piégeaient Squall, l’enfermant dans un cocon de chaleur. La chaleur corporelle des deux amants se mélangeait, emprisonnée dans les longs et solides tentacules verdâtres. Ils glissaient sur leurs corps, et, à voir le visage rougi de Seika, Pamela comprit qu’elle était sortie de sa transe sexuelle, cette queue tendue la réveillant. Ses longs cheveux glissaient entre son corps et l’arbre. Elle n’était pas à proprement parler collée contre l’écorce, mais contre une espèce de bave gluante fine qui la maintenait contre l’écorce de l’arbre. Les tentacules se glissaient sur eux, et Seika continuait à gémir, tandis que la tête de Squall se retrouvait près des seins de Seika. Un tentacule se faufila le long de ses lèvres, et l’un des tentacules pompant les seins de Seika s’écarta alors, comme pour inviter l’homme à y déposer ses lèvres.

Plusieurs tentacules s’enroulaient autour des fesses de l’homme, afin de plaquer son bassin contre celui de la femme. Il était maintenant fermement contre elle. Seika gémissait, mordillant les tentacules, et se mit à remuer ses bras, caressant les joues de Squall. Ses mains étaient douces, chaudes, et moites. Elle caressa le corps de Squall, pinçant ses joues, retrouvant la douceur de la peau d’un homme. Après avoir caressé pendant des heures des tentacules, ce contact était des plus délicieux.

« Hum-hummm... » gémissait-elle lentement.

Elle mouillait abondamment, et ne tarda pas à avoir un orgasme, tandis que Squall se retrouvait plaqué contre elle, les tentacules servant à faire remuer leurs corps l’un contre l’autre. On pouvait entendre les bruits de mastication et de claquement des deux chairs.

« Comme vous êtes beaux à voir... Jouis, mon petit Squall, jouis, et fais honneur à Seika... Ma petite chienne adore sentir la queue de mon esclave en elle. »

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« Oui...Oui Pamela elle est vraiment très jolie »

Indéniablement, l’homme était conquis, et Ivy eut un léger sourire amusé. Son érection était toujours là, et il avait visiblement du mal à se concentrer devant ce fascinant spectacle. On entendait Seika gémir faiblement. Les tentacules remuaient lentement dans son corps, à une espèce de rythme de croisière, afin de ne pas trop la faire souffrir. Les tentacules de l’arbre se rapprochèrent, non pas de Pamela, mais de Squall, qui eut un léger sourire.

« Ton érection ne passe pas inaperçue à ses yeux... »

L’arbre était animé par la volonté de Seika, qui était reliée à ce dernier. Elle pouvait orienter les tentacules, et ceux-ci se rapprochaient des jambes de Squall. Pamela se glissa dans le dos de Squall, et défit sa ceinture, posant ses mains sur la boucle de cette dernière. Son pantalon glissa de ses jambes, tombant sur le sol, et elle alla caresser son sexe, lentement, avec deux doigts, avant de le prendre en main, tandis que plusieurs tentacules étaient désormais à quelques centimètres de lui, caressant sa verge.

Plusieurs des tentacules pénétrant Seika se retirèrent, notamment ceux autour de son vagin. Ils étaient plus longs que ce qu’on aurait pu penser, et laissèrent libre d’accès la fleur humide et légèrement parfumée de la lycéenne. Cette dernière avait ouvert les yeux, continuant à gémir.

« Tu vois ? Elle te désire, elle te souhaite... »

Amusée, Pamela parlait dans le creux de l’oreille de Squall, et libéra son sexe, lui faisant signe d’avancer.

« Fais-lui l’amour, soulage ton lourd sexe en elle... »

Il n’avait pas vraiment le choix, à vrai dire, certains tentacules s’enroulant autour de son bassin, comme pour l’emprisonner, l’empêcher de fuir. Le corps de Seika se mit à faiblement remuer, comme pour inviter l’homme à venir la soulager. Ivy, de son côté, acheva de totalement le déshabiller, lui ôtant également le haut de ses vêtements.

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Retrouver Seika, et voir comment elle se comportait... Sa petite assistante était de plus en plus audacieuse, de plus en plus désireuse de goûter elle-même au plaisir des plantes, et d’essayer sur son corps les différents produits que Pamela confectionnait dans son laboratoire. Cet engouement plaisait naturellement à Pamela, même s’il conduisait parfois Seika à négliger quelque peu la nécessaire rigueur scientifique. Difficile, après tout, d’être rigoureuse, quand on utilisait ses sujets d’expérience pour accomplir des fantasmes personnels. La première fois que Seika avait manipulé des bocaux et des liquides, son corps tremblait tellement d’excitation qu’elle s’était trompée dans les dosages. Maintenant, elle arrivait à être un peu plus calme, et à réussir les dosages. Pamela lui avait donc offert une récompense qu’elle quémandait depuis des semaines, et était soucieuse de voir dans quel état elle se trouvait.

Elle se dirigeait donc vers cette zone, ses tissus végétaux se reformant naturellement sur son corps... Lorsqu’elle entendit une branche craquer. Pamela s’arrêta alors sur place, se retournant rapidement en fronçant les sourcils, comprenant que quelqu’un l’espionnait. Quel était l’impudent qui osait ? Elle faillit envoyer l’un de ses tentacules quand elle vit l’homme sortir lui-même de l’ombre... Et se détendit légèrement en voyant qu’il s’agissait de Squall. Le surveillant à qui elle avait pris la virginité il y a plusieurs semaines de ça, maintenant... Pamela se détendit, et l’homme se mit rapidement à parler.

« C'est moi Squall... Pamela...Je suis désolé...Quand je suis arrivé je n'ai pu m'empêcher de regarder, je ne voulais pas t'interrompre.. »

Elle sourit lentement, voyant que l’homme avait clairement une érection. Son visage cramoisi ne l’était que par la honte, et elle hocha la tête, lui faisant signe de venir. Ce faisant, elle enroula ses bras autour de son cou, et l’embrasse, frottant son corps contre son sexe excité.

« Hum... Mon petit Squall... Tu as la bouche toute pâteuse... »

C’était le signe qu’il était excité, en manque. Pamela eut un léger sourire, l’embrassant à nouveau. Son sourire révéla ensuite une partie de ses dents, et son doigt vingt caresser le pourtour des lèvres de l’homme, qui, comme elle le savait, lui était soumis.

« Dommage que tu aies été aussi timide, mes plantes auraient été ravies de goûter à ton corps. Au lieu de ça, tu vas devoir attendre un peu. »

Elle s’écarta de lui, et se mit à marcher, d’un pas calme et souple. Elle n’était nullement impressionnée, ni surprise. Ce n’était pas la première fois que ses propres rondes nocturnes étaient perturbées, mais elle trouvait toujours un moyen de détendre les élèves un peu trop curieux, en les invitant à un câlin long et particulièrement intense. Personne n’arrivait à y résister. Elle avança d’un pas ample et féminin, remuant ses petites fesses, jusqu’à se rapprocher d’un bosquet. Elle fit signe à Squall de la suivre, et continua à s’avancer, jusqu’à entendre des gémissements étouffés... Et par avoir droit à un spectacle surprenant.

Seika était là, nue, plaquée contre un arbre, ligotée à ce dernier par de nombreux tentacules végétaux qui la retenaient, et lui faisaient tendrement l’amour. Ses jambes ruisselaient de sa mouille, le long de ses jambes, et elle avait un tentacule enfoncé dans le vagin, remuant en elle. Un autre était probablement dans ses fesses. Deux autres tentacules en forme de verge remuaient alternativement dans sa bouche, et deux autres tentacules jouaient avec ses seins. Seika ouvrit lentement les yeux, gémissant de plaisir, et Pamela s’avança lentement vers elle, tendant ses doigts pour caresser ses jambes.

« Je te présente Seika, mon petit Squall... Elle te plaît ? »

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Se laissant prendre par ses tentacules, Pamela poussait de longs soupirs de plaisir, des râles qui s’échappaient de sa gorge. Les tentacules étaient particulièrement voraces, assoiffés, la prenant avec passion. Ils s’enfonçaient dans toutes les parties de son corps, sans vraiment faire attention. Ils savaient que leur génitrice était habituée à cela, et cette dernière se laissait faire. Elle ne vit pas Squall approcher, s’en moquant totalement. Son esprit était concentré par les dizaines et les dizaines de silencieux tentacules qui sortaient du buisson pour s’enrouler autour de ses bras, de ses jambes, et de sa taille, la maintenant contre le buisson. On ‘entendait que le glissement des tentacules sur sa belle peau verdâtre. C’était délicieux, exquis. Pamela en gémissait de plaisir, se laissant faire, tandis que les tentacules continuaient à la pénétrer.

« Haaa... Humm... »

Cette séance dura de nombreuses et longues minutes, pendant lesquelles les tentacules continuaient à la pénétrer lentement. Elle mouillait de plaisir, donnant à ses plantes la nourriture sexuelle dont elle avait besoin. Sa nuit commençait bien. Il lui restait ensuite à aller voir ce que Seika faisait. Cette dernière était une lycéenne appartenant à Mishima. Elle faisait également partie d’une espèce d’organisation secrète, le Cercle, une sorte de groupe sexuel secret existant dans le lycée depuis de nombreuses années. Ivy avait déjà fait leur connaissance, et Seika était depuis lors son assistante. C’était une belle lycéenne avec une longue chevelure rose, qui était à son service. Seika adorait travailler pour Ivy, surtout pour nourrir ses plantes, mais elle faisait aussi preuve d’un certain engouement en biologie. Depuis qu’elle avait compris que, avec Pamela, la connaissance des plantes et du monde de la nature pouvaient amener à épanouir ses expériences sexuelles, elle était devenue une élève très consciencieuse.

Après ce buisson, Pamela comptait aller la voir, histoire de vérifier dans quel état elle se trouvait. Pour l’heure, elle se contentait de soupirer lentement, gémissant de plaisir, mouillant de plus en plus. Elle ne tarda pas à contracter un orgasme, poussant un râle de plaisir. Les tentacules se retirèrent alors lentement, libérant le corps de Pamela, qui poussa un long soupir. Elle resta nue, caressant lentement son corps.

« Ce que c’est bon... »

Ivy gémit de plaisir, se mordillant l’un des doigts. Les tentacules avaient joui en elle, et elle s’avança, sentant la sève des plantes glisser le long de ses cuisses. C’était délicieux, et elle s’amusa à frotter ses jambes, n’ayant pas du tout ressenti la présence de Squall. Elle se dirigeait vers une autre partie du jardin, près d’un arbre, où, normalement, elle devrait y trouver la belle Seika.

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« Là, mes bébés... Hum... »

Agenouillée au milieu des plantes dans l’une des cours du lycée, Pamela caressait certains des plantes dont elle avait l’occupation. Il s’agissait de simples fleurs, généralement. Elle amenait avec elle une petite potion verdâtre qui, en touchant les plantes, faisait pousser de délicats tentacules qui venaient caresser les joues de leur génitrice. Pamela les observait avec un léger sourire. Généralement, elle profitait de l’obscurité ambiante qui régnait la nuit pour voir ses petites chéries. Quand les petits réverbères s’éteignaient, et que le lycée ne ressemblait plus qu’à une série d’immeubles plongés dans la pénombre, elle pouvait enfin vérifier l’évolution des plantes qu’elle avait génétiquement modifié avec ses sérums. Elle les observait donc, agenouillée sur le sol.

La nuit était plutôt belle, et elle sentit plusieurs tentacules caresser ses joues, glissant le long de sa nuque, l’emprisonnant à moitié, se dirigeant vers ses parties intimes. Elle souriait. Le sérum qu’elle utilisait fonctionnait toujours à partir de la sève qu’elle avait récolté sur Terra, dans cette forêt animée où vivait une espèce de dryade. Elle avait utilisé la sève récoltée là-bas pour créer ses produits, et, si ces derniers étaient efficaces, ils présentaient l’avantage, ou l’inconvénient, de donner aux plantes une sorte d’appétit sexuel assez inattendu, et relativement surprenant. Pamela se laissait faire, se laissait guider par les tentacules, et entreprit de s’écarter un petit peu. Elle caressa l’un des tentacules, et fit disparaître les tissus végétaux qui lui servaient de vêtements, se rapprochant du buisson, excitée malgré elle.

*Je vous sens, mes bébés, et vous m’attirez... Je ne peux pas résister à votre appel, je n’en ai pas la force...*

Fermant les yeux, elle se rapprocha des nombreux tentacules jaillissant du buisson, et se laissa bercer. Plusieurs vinrent s’enrouler autour de ses jambes, et d’autres s’enfoncèrent dans son intimité, la faisant soupirer. Une mère devait savoir se sacrifier pour le bonheur de sa progéniture. Pamela considérait en effet ses plantes comme ses bébés.

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Les alentours de la ville / Re : Sortie en montagne [Sarah Liam]
« le: lundi 26 novembre 2012, 23:34:29 »
Le tentacule s’enfonçait dans la bouche de Sarah avec plaisir et envie. Il remuait en elle, filant dans sa gorge, avant de s’écarter un petit peu, se mettant à bouger, à la baiser. Le corps de cette femme attirait les plantes d’Ivy autant qu’elle-même était attirée par cette femme tentaculaire à la poitrine colossale. Elle sentit le corps de la femme se presser contre le sien, tandis que le tentacule continuait à se faire plaisir en elle, s’enfonçant longuement dans sa gorge. La pénétration dura de longues minutes, tandis que les lèvres de Pamela s’amusaient à remuer sur son corps. Elle lui suçotait la nuque, mais s’occupait surtout des deux gros mamelons de la belle. Elle avait l’impression de faire une fixation dessus, mais il fallait dire que sa poitrine était vraiment énorme. Pamela, qui n’avait pourtant pas à rougir de sa poitrine, en aurait presque rougi !

*Il y a de quoi nourrir toute une crèche sur ce corps...*

Elle continuait à s’occuper d’elle, jusqu’à ce que le tentacule dans sa gorge finisse par jouir. Il jouit assez longuement, répandant de nombreuses giclées de sperme. La Nature, contrairement à un simple amant, ne connaissait pas la fatigue, ce qui faisait que faire l’amour avec Ivy et ses plantes était un exercice particulièrement long et fatigant, car on faisait l’amour jusqu’à être complètement épuisé. La femme ne put d’ailleurs pas avaler tout le jus intime du tentacule, et, quand le tentacule se retira, la femme ne prit même pas le temps de parler, et préféra se ruer sur sa récente partenaire pour l’embrasser.

Un baiser intense, sale, humide, mélange de sperme et de salive, qui excitait beaucoup Pamela. Leurs corps se serraient l’un contre l’autre, les gros seins de sa partenaire s’enfonçant contre son ventre. Elle se laissait aller, à moitié comprimée par ce corps massif, mais bien trop excitée pour s’en plaindre. Elle caressait, griffant à moitié, les hanches de Sarah, se laissant faire par cette dernière. Elle sentit sa salive couler le long de sa gorge, roulant le long de ses seins, et le baiser, ensuite, se rompit.

« C'était si bon.... Tu sais je hais faire les fellations ? Tu m'as surprise tellement surprise que je ne t'en veux pas ... Je te demanderais juste une petite faveur... »

Le moins que Pamela puisse dire, c’est que Sarah n’était pas du genre timide. Elles ne se connaissaient pas vraiment, et étaient, en moins de cinq minutes, en train de faire l’amour... Une impression surréaliste s’emparait du corps de Pamela, une sensation de vertige. Elle sentit l’un des tentacules de Sarah remuer le long de son corps, tel un serpent dur et tentant, qui remontait sur elle. Ses yeux oscillèrent entre son ventre, les énormes seins de Sarah, et la bouche de cette dernière, qui lui offrit ensuite un délicat baiser, tendre et doux, faisant claquer leurs lèvres.

Elle jouait avec Ivy, et elle se débrouillait plutôt bien, mais chacun des baisers de Sarah aurait un goût fortement prononcé de reviens-y. En effet, les lèvres de Pamela étaient aphrodisiaques, et il était donc très facile de se laisser piéger par ces dernières. Un sourire naquit sur les belles lèvres de l’intéressée durant cet échange buccal. Ivy se laissait volontiers faire, sa partenaire se débrouillant plutôt bien. Elle avait de plus en plus le sentiment de faire une espèce de rêve éveillé, et avait encore besoin de se persuader qu’elle n’avait pas une quelconque hallucination.

Lorsque le baiser se rompit, le tentacule noirâtre s’enfonça dans sa bouche grande ouverte, la surprenant.

« Ceci est la petite faveur dont je te parlais, Huum ... J'aimerai que tu avales tout ce qui sortira de moi ma douce .. Pendant ce temps je nettoierai tes deux mamelles ...
 -  Hnnn... » réussit à gémir Ivy.

Elle ne pouvait pas dire grand-chose d’autre, et vit la femme pencher sa tête vers ses seins, les écartant l’un de l’autre pour avaler le jus qui avait coulé entre eux. Sa bouche s’occupa ensuite d’un de ses seins, et l’une de ses deux mains vint pétrir l’autre, pinçant le téton, remuant ce morceau de son corps, la faisant soupirer. Pamela se laissait entièrement faire, gémissant lentement, et s’occupa du tentacule qui s’occupait d’elle. Elle le mordilla, le lécha, le sentant remuer dans sa gorge, et utilisait ses mains pour caresser les joues de Sarah, ses cheveux, plaquant sa tête contre elle.

Contrairement à cette dernière, faire une fellation n’était pas pour la déranger, et, plus elle était intense, et plus elle adorait ça.  Elle était fin prête à avaler tout ce que Sarah lui donnerait, sans opposer la moindre objection. Elle suçait ce tentacule en gémissant de plaisir, mouillant abondamment. Le tentacule s’enfonçait dans sa gorge chaude, faisant basculer sa tête en arrière, tandis qu’elle devait fermer les yeux pour supporter cette explosion de plaisir en elle.

*C’est... Intense ! Ce que je peux aimer ça...*

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Bureau de la direction et infirmerie / Re : Ménage à trois [Asuka Ayame]
« le: vendredi 23 novembre 2012, 12:11:20 »
Asuka semblait atteindre ses limites d’endurance. C’est du moins l’impression qu’Ivy avait. Il faut dire qu’elle avait un talent presque inné pour épuiser ses partenaires. Elle-même avait une endurance sexuelle bien plus développée que la moyenne, en raison des particularités très spécifiques de son corps. Elle sentit le sexe d’Asuka se durcir encore plus en elle, la faisant silencieusement gémir. Les tentacules s’enfonçaient en elles, les traversant, mais elle vit les yeux d’Asuka s’alourdir, presque sur le point de se révulser. Pamela se mit à craindre, chose désagréable qui avait déjà pu lui arriver, qu’elle ne lui vomisse dessus, mais elle sentit alors une semence chaude remplir à nouveau son ventre, et se tortilla sur la table, le sperme d’Asuka jaillissant dans son corps, s’enfonçant délicieusement en elle. Elle en mordilla son tentacule, mais ce fut le coup d’éclat d’Asuka, qui s’affala ensuite sur elle.

Pamela resta ainsi pendant plusieurs secondes, sentant le long tentacule se rétracter, jusqu’à sortir de leurs corps, fouettant l’air. Il dégoulinait de curieuses substances, et retourna dans la plante, tandis que la femme écarta le corps d’Asuka. C’était sa première fois, après tout... Elle n’avait pas à avoir honte, car elle avait été très talentueuse. L’allongeant à côté d’elle, Ivy l’embrassa tendrement.

« Tu t’en es bien sortie, la complimenta-t-elle. Repose-toi, maintenant... »

Elle ponctua son baiser en posant un tendre doigt sur les lèvres d’Asuka, puis se redressa, ;et s’approcha de sa plante. Elle agit sur elle, et ne tarda pas à libérer Félicia de l’emprise de cette dernière. La Chatte tomba à même le sol, recouverte d’une espèce de liquide blanchâtre secrétée par sa plante.

« Te voilà toute sale, maintenant... lança Pamela.
 -  J’en ai bien l’impression... Aaah, c’est usant, d’être dans cette plante !
 -  Tu t’en sors bien, pourtant... Regarde dans quel état tu as mis notre invitée...
 -  Bah, je crois qu’on en passe tous par là avec toi... »

Un sourire traversa les lèvres d’Ivy, qui se pencha ensuite vers Félicia, posant ses mains sur ses épaules. Elle s’allongea de biais sur elle, et entreprit de la nettoyer avec sa langue. Le liquide qui lui collait au corps n’était nullement mauvais, et elle s’amusait donc à le boire, ponctuant cela de petits baisers sur son corps. L’exercice allait être relativement long, mais, avec un peu de chance, il serait suffisant pour permettre à Asuka d’émerger. Pamela l’espérait, car elle n’avait tout simplement pas encore fini de s’occuper de l’hermaphrodite.

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Les alentours de la ville / Re : Sortie en montagne [Sarah Liam]
« le: vendredi 23 novembre 2012, 11:58:40 »
Cette femme était bien énigmatique, et relativement attirante. Le tentacule remuait entre ses seins, et le reste du spectacle excita beaucoup Pamela, chassant les rares sphères de timidité qu’elle aurait pu éprouver à se trouver ainsi devant une femme qui était une parfaite inconnue, ou presque. Pamela, en réalité, savait peu de choses sur Sarah, mais venait d’en apprendre beaucoup. Elle ôta sa chemise, et s’amusa avec Ivy, excitant son tentacule en le pressant entre ses lourds seins. Pamela gémit de plaisir. Ce tentacule étant une excroissance naturelle de son propre corps, le plaisir ressenti était donc, logiquement, plus fort que si elle pressait l’un des tentacules des arbres. Ces derniers étaient d’ailleurs de plus en plus excités. Reliés au plaisir de leur génitrice, ils réagissaient en harmonie avec elle.

*J’ignore d’où vient cette femme, qui elle est, mais elle me plaît déjà...*

Pamela eut un soupir quand elle mordilla son tentacule, le fourrant dans sa bouche, puis se rapprocha d’elle. Le cœur de Pamela bondit dans sa poitrine, des bouffées d’excitation la traversant. La femme se rapprocha d’elle, caressant ses cheveux et ses hanches, la faisant soupirer. Pamela, à sa grande surprise, réalisa qu’elle était déjà en train de mouiller.

« Pourrais je connaitre ton nom ma beauté? Ou préférerais tu garder ton anonymat.... »

Ivy n’eut pas vraiment le temps de répondre, car les deux femmes s’embrassèrent, Sarah se ruant sur elle. Gémissant, Ivy répondit à son baiser, sa salive aphrodisiaque se mélangeant à celle de sa partenaire. Ce fut l’occasion de nouveaux soupirs, car le baiser de cette femme fut loin d’être romantique. Il fut plutôt mordant et acéré, dans la mesure où Sarah n’hésita pas à lui mordre la lèvre, tout en promenant l’une de ses mains sur l’un de ses seins. Pamela n’en restait pas inactive, et caressait d’une main la nuque de la femme, empoignant partiellement ses cheveux, tandis que l’autre remontait le long du creux de son épaule. Elle sentit alors quelque chose titiller son sexe, et rougit faiblement en réalisant qu’il s’agissait d’un des tentacules de la femme à la poitrine colossale.

Cet ardent baiser, qui ôta pour de bon tout doute à Ivy, se rompit, et leurs nez se caressèrent brièvement, avant que la femme ne prenne à nouveau la parole. Pour l’heure, Ivy n’avait rien eu le temps de dire, et, visiblement, Sarah n’arrivait pas à voir en elle la prof’ de biologie, une collègue qu’elle voyait normalement tous les jours, ou presque. Il fallait aussi dire que, en public, Pamela était difficile à reconnaître, puisqu’elle portait une blouse, et ne se mettait pas vraiment en valeur. Elle vit alors l’une des mains de sa partenaire caresser tendrement le tentacule émanant de l’arbre, faisant tressauter ce dernier.

« Éjecte t'il une certaine substance un peu comme les hommes? Si oui ai ce bon?.... »

Pamela eut un sourire. La réponse était naturellement positive, et le jus qui en ressortait était un curieux mélange entre du sperme et de la sève. C’était loin d’être mauvais. Elle lui sourit donc, et l’embrassa sur la nuque, tout en pressant avec une main l’un de ses gros seins.

« Tu n’as qu’à voir par toi-même... »

Joignant le geste à la parole, le tentacule de l’arbre, qui avait la forme effilée d’une verge, s’enfonça de force dans la bouche de Sarah, se mettant à remuer en elle.

« Caresse-le, lèche-le, embrasse-le... Tu peux même le mordre, il aime ça... Si tu l’excites suffisamment, il t’offrira ta récompense... »

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Les contrées du Chaos / Re : Communion avec la nature [The Thing]
« le: jeudi 22 novembre 2012, 12:34:32 »
Ivy était dans une situation relativement indescriptible pour elle, et difficile à concevoir. Les tentacules continuaient à la maintenir, à grouiller contre elle, et elle avait toujours affreusement mal. On la perforait depuis l’intérieur, lui écartelant presque les jambes. C’était une sensation aussi horrible qu’agréable, jouissive et terrible. Poison Ivy était très excitée par ce qui se passait, et mouillait. Elle avait déjà eu un orgasme, et un deuxième était de plus en plus imminent, alors que les gros tentacules noirâtres grouillaient contre elle. Elle était encore plus excitée de voir à quel point la Chose semblait être heureuse et satisfaite. Ce mâle dominateur était satisfait, elle pouvait le sentir à travers la manière dont il la prenait, et se mit à jouir en elle, particulièrement sur ses cheveux.

Les trois tentacules qui glissaient sur elle jouirent en effet, répandant dans ses cheveux un sperme chaud, mélangé à l’espèce de bave ambiante qui enroulait les tentacules. Elle gémit lentement, se tortillant entre les tentacules, en sentant ses cheveux bouger. Ils ne devaient plus ressembler à grand-chose, car il s’amusa à remuer ses tentacules, à les salir, à les enlaidir. Ivy les sentait s’alourdir considérablement, tandis que son corps se retrouvait sous l’une des gueules du monstre, qui répandit sur elle sa bave... Et pour le coup, il bavait plutôt beaucoup.

*Il me marque, comme une bête... Comme sa chose... C’est une créature...*

C’était choquant, et Ivy se regretta d’être choquée... Car il n’y avait, fondamentalement, rien de choquant. La Chose agissait comme une créature naturelle. Ce qu’elle faisait n’était rien de plus qu’une forme assez particulière de zoophilie, et elle sentait peu à peu les codes sociaux la liant disparaître, son éducation avec ses conceptions égalitaires qui n’avaient pas leur place dans le règne animal. La Nature n’était pas fondée sur l’équilibre des espèces ou des sexes, et elle réalisait dans la manière dont la Chose la prenait, et allait jusqu’à enfoncer un tentacule dans sa bouche, bien profondément, la faisant encore gémir. C’était une expérience douloureuse, mais qui restait malgré tout étrangement excitante. Pamela se laissait aller, et mordilla ce tentacule, sentant la bave descendre le long de son corps. Elle avait une vue plongeante sur cette gueule infernale, d’où s’échappait une puanteur à laquelle elle avait encore bien du mal à totalement s’habituer.

Elle se laissait trimballer ainsi, sentant le liquide étrange de la Chose glisser sur son corps. Avec ses doigts, elle tentait de caresser la peau gluante de la créature, mais avait de plus en plus de mal à rester consciente. Elle était prise de partout, et sentit un second orgasme venir. Elle jouit de plaisir encore, poussant un gémissement très largement étouffé par le tentacule envahissant du monstre dans sa bouche.

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Les alentours de la ville / Re : Sortie en montagne [Sarah Liam]
« le: mercredi 21 novembre 2012, 09:42:57 »
La forêt était une chose relaxante et apaisante, précisément ce dont Pamela avait besoin. Ce n’est pas qu’elle était agoraphobe, mais, honnêtement, quand on côtoyait pendant des heures des élèves qui en savaient si peu sur la Nature, c’était une grande source de frustration... Et Pamela, si elle n’était plus la super-vilaine qui concoctait des plans farfelus à Gotham City, restait toujours Poison Ivy, soit une créature très préoccupée parles enjeux écologiques. Elle avait donc tout simplement besoin de se ressourcer un peu, et se baigner était pour cela une très bonne chose. Elle savourait le contact de l’eau sur sa peau blanche, allant parfois dans des tons verdâtres. Le long d’un de ses doigts, un discret tentacule s’é&tait enroulé, avant de caresser affectueusement sa joue. Entre elle et ses plantes, il y avait une sorte de relation symbiotique, qui amenait les plantes à la voir comme leur créatrice, presque comme une sorte de divinité, si tant est que les plantes puissent incorporer en elles le concept de « divinité ».

Quoiqu’il en soit, Pamela se détendait, yeux clos, un tentacule glissant sur sa joue, quand elle entendit du bruit. Un élève ?! Par la malepeste ! Elle rouvrit les yeux, un pli soucieux barrant son front... Et vit une belle femme s’approcher. Elle avait gémi, attirant volontairement l’attention d’Ivy, qui la reconnut assez rapidement. Liam. L’une de ses collègues à Mishima. Elle était aisément repérable avec ses deux obus. De toutes les femmes que Pamela avait croisé au cours de son existence, elle devait être celle qui avait la plus grosse poitrine. Un spectacle aussi dérangeant qu’attirant. Elle vit la femme se rapprocher, ne disant rien. La lueur qui brillait dans les yeux de Sarah semblait indiquer qu’elle n’était pas spécialement effrayée à l’idée de voir des tentacules sortir d’un arbre.

« Huuum ... Tu émettais un si jolie son ma beauté .... Une être magique ... Ça faisait si longtemps que j'en avais pas croiser une ... Encore moins une beauté comme toi ... Je m'appelle Sarah je suis professeur dans un lycée et comme tu vois je suis comme toi .. »

Joignant le geste à la parole, Sarah fit alors apparaître, depuis... Depuis sa queue, un long tentacule qui vint s’enrouler autour de celui qui caressait la joue de Pamela. Subitement intéressée, le regard de Pamela se fixa vers la femme, qui lui posa une nouvelle question, sans qu’Ivy n’eut encore répondu à quoi que ce soit :

« Ces arbres sont ils spéciaux ou est ce toi qui les a rendu ainsi pour satisfaire à tes envies ? »

Pamela eut un léger sourire, et leva un doigt. Ce dernier se mit à pousser démesurément, jusqu’à former un fin tentacule verdâtre qui fendit l’air en deux, se glissant dans la nuque de Sarah, avant de se loger entre les seins de la femme, filant sous ses éventuels vêtements pour sentir sa peau chaude et désirable.

« Je savais bien que les femmes avec une telle poitrine n’étaient pas normales... glissa-t-elle avec un léger sourire. Ces arbres ont été modifiés par mes soins il y a plusieurs mois afin de me soulager... Et, comme tu peux le sentir, mon corps recèle également quelques ajouts... »

Elle eut un sourire. L’eau ruisselait partiellement sur son corps, exhibant plusieurs parties de son être de manière assez alternative. On voyait ainsi l’une de ses jambes relevées, et la forme de ses seins. Le tentacule entre les seins de Sarah était de plus en plus insistant.

« Si tu ne te déshabilles pas vite, ma jolie, je vais devoir t’arracher tes propres vêtements... »

404
Les alentours de la ville / Sortie en montagne [Sarah Liam]
« le: mardi 20 novembre 2012, 18:04:20 »
C’était un petit chalet en montagne, à une ou deux heures de route de Seikusu. Le chalet était planté au milieu de la montagne, près de nombreux arbres, et d’un petit lac. Pamela, comme beaucoup de professeurs, avaient été choisis pour superviser un voyage scolaire dans un chalet d’une durée d’une semaine. C’était un voyage annuel, auquel Pamela avait participé sans hésiter, car ça lui permettait de se promener dans la forêt, loin de la ville. Si, le jour, elle devait animer le séjour, le soir, soit après ses activités, elle pouvait vaquer à ses occupations, ce qu’elle faisait en ce moment, en s’éloignant du chalet. Elle avançait ainsi en suivant quelques sentiers, jusqu’à ne plus rien voir du chalet. Elle put enfin se débarrasser de ses vêtements humains, ces tissus organiques qui la fatiguaient, et se rapprocha du lac.

Elle ne portait rien, mais n’était pas pour autant nue, car son corps avait sécrété des tissus verdâtres pour couvrir une partie de son corps. Elle observa la surface du petit lac, et caressa l’un des arbres, qui sembla frémir. Il y a quelques mois, quand elle avait appris l’existence de ce trekking, elle avait fait une visite dans le coin, et utilisé ses petites potions sur certains arbres, comme celui-ci. Elle en caressa l’écorce du bout de ses doigts, et vit des tentacules remuer lentement le long de l’arbre, lui arrachant un léger sourire. C’était parfait ! Le tentacule se rapprocha lentement d’elle, caressant sa joue, s’enroulant tendrement autour de sa nuque. Elle soupira, et s’écarta lentement. Le tentacule se replia dans l’écorce de l’arbre, et elle s’écarta. Ses vêtements organiques disparurent, retournant dans sa peau, et elle avança dans le lac, avant de fermer les yeux, se baignant.

*L’eau est bonne ici...*

Un peu de repos ne pouvait pas faire de mal… Elle allait se mouiller un peu, avant de s’amuser avec ses arbres. Elle avait passé la journée à faire une randonnée avec les élèves. Une expérience longue et fatigante, et, dans la mesure où elle devait dormir dans les dortoirs, elle avait bien besoin de repos. Pamela, généralement, dormait dans une énorme plante, dont la bouche se refermait sur elle, l’enfermait dans un cocon de sensualité et de douceur. C’était infiniment mieux qu’un lit collant et étouffant. Elle avait besoin de ses plantes, et s’allongea dans l’eau en soupirant, tendant les mains pour sentir un tentacule s’approcher d’un autre arbre, s’enroulant lentement autour de sa main, la faisant gémir.

« Hum... »

Elle ferma les yeux, et se laissa bercer, pensant, à tort, être seule dans le coin.

405
« Vu le lycée, je ne crois pas que beaucoup soient fermé aux relations sexuelles »

Pas faux. Il était vrai que, de ce point de vue, Mishima était un lieu assez atypique. Pamela ne pouvait que el reconnaître, car c’est ainsi qu’elle avait été embauchée. Quel lycée aurait accepté d’embaucher une ancienne prisonnière ? Les expertises psychiatriques attestaient certes qu’Ivy était mentalement saine, mais elles étaient toutes « trafiquées », Ivy ayant usé de ses charmes pour séduire les docteurs. Cependant, personne n’était supposé le savoir... Elle avait été recrutée parce qu’elle avait offert aux responsables un show très intense, mais elle avait cru comprendre que c’était le lot commun de la majorité des professeurs ici. Pamela ignorait qui était la directrice, mais elle devait être sacrément perverse pour s’entourer de belles profs’ ! Ceci, toutefois, n’était nullement pour déranger Ivy, qui appréciait après tout la beauté physique.

Squall observa le laboratoire. Les plantes s’étaient calmées, récupérant leurs tentacules, permettant de mieux le voir. C’était une petite pièce. Par rapport aux anciens laboratoires de Pamela, celui-ci était ridicule, mais il était suffisamment grand pour lui permettre de se livrer à quelques expériences. De plus, elle bénéficiait aussi des jardins du lycée, ou encore de la serre, pour réaliser quelques autres expériences. Et, dans la mesure où elle n’avait plus spécialement envie de détruire la civilisation, ou de faire sauter des usines pétrochimiques, ce laboratoire convenait tout à fait à ses ambitions modestes d’améliorer les plantes pour leur permettre de survivre plus efficacement à la pollution, ou à ces engrais meurtriers que les grosses entreprises agricoles utilisaient.

« J'espère que tu accepteras à l'avenir de donner d'autre leçon de ce type à un ex-délinquant » rajouta Squall.

Pamela sourit lentement, et envoya l’un de ses tentacules caresser la joue de l’homme, tendrement.

« Certains hommes aiment dire qu’il y a deux genres de femmes : celles qui sortent de notre vie dès qu’on sort d’elles, et celles dans lesquelles on se perd, et où retrouver le chemin de sortie est difficile. Je crois que, selon tes critères, j’appartiens à la seconde catégorie. »

Elle lui fit un léger clin d’œil, et rétracta son tentacule. Elle se retourna ensuite, contemplant son laboratoire.

« Tu es un bon amant, Squall. »

Pamela l’embrassa sur la joue, tendrement.

« Tu seras toujours le bienvenu ici... Mais sache que je ne suis pas la seule femme d’intérêt ici... Mais ça, tu auras le temps de le remarquer par toi-même. »

Elle ressortit de son laboratoire, revenant dans sa salle de cours, et des tissus végétaux se reformèrent immédiatement sur son corps, la couvrant, tandis qu’elle ouvrait quelques fenêtres pour aérer un peu la pièce. Elle allait encore rester ici, le temps de corriger quelques copies supplémentaires. Libre à Squall de faire ce qu’il voulait par la suite.

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