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Prélude / Re : Olympe || Elle se donnait par amour. Une putain amoureuse.
« le: mardi 29 novembre 2022, 20:29:29 »
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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: lundi 28 novembre 2022, 21:17:06 »
N'oublions pas le 7.
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One Shot / Re : Le dîner de tous les dangers [PV]
« le: lundi 28 novembre 2022, 20:43:42 »
C'est le serveur qui vint me sauver en venant se placer entre la jeune Canelle et moi, attendant ma réponse sur ce que je désirais boire pour l'apéritif. Mon hôte choisissant un alcool fort, je fis de même par mimétisme. Cela aurait au moins l'avantage de me détendre, alors que je risquais gros à ce dîner. Non seulement son entreprise me rapportait 80% de mon chiffre d'affaire, mais son influence était telle dans le milieu de la tech que je perdrais à coup sur les 20% restants. Je ne pouvais pas me le permettre et je savais le personnage très à cheval sur les traditions et les valeurs familiales. Je n'osais imaginer sa réaction s'il m'attrapait en train de flirter avec sa fille.
-Un whisky également, je vous en remercie.
Le personnel était extrêmement rapide et en un rien de temps je tenais dans ma main un verre froid rempli d'un liquide ambré tandis que ma voisine de table dégustait un champagne. Le serveur ne tarda pas à apporter également un assortiment d'entrées digne des plus grands festins. Avant de déguster les délicats mets, le maître de maison se leva pour un discours en mon honneur. Flatté par son estime, je m'inclina avec respect avant de tendre mon verre, rapidement accompagné par les autres convives.
Le whisky coula dans ma gorge, la douce brûlure me réchauffant avec un effet de détente quasi immédiat. Canelle se retourna à nouveau vers moi pour m'interroger sur ce que j'apportais à son père. Ce dernier, semble t-il fier de voir sa fille s'intéresser avec politesse à son invité, attendait attentivement ma réponse.
Je replongea à contrecoeur dans les yeux de la jeune femme et m'expliqua:
-Je suis avocat et j'ai accompagné ton père depuis la création de son entreprise jusqu'à aujourd'hui. Nous avons traversé de nombreuses épreuves et du faire face aux attaques féroces de nombreux concurrents....
Alors que je parlais, je ne pu s'empêcher de remarquer la goutte de condensation qui glissa le long du verre de Canelle. Elle resta quelques secondes suspendue sur le pied du verre avant de se décrocher pour tomber sur son cou. Inarrêtable, la goutte poursuivie son chemin sur sa peau blanche avant d'accélérer sa chute en rencontrant la forme rebondie de son décolleté. Je fit preuve d'une extrême concentration pour ne pas que mon regard s'y perde aussi, sous le regard du père de Canelle. J'aperçus toutefois que son corps fut parcouru d'un frisson, couvrant sa peau d'une chair de poule qui me laissa deviner le temps d'un instant la forme de ses seins.
Mon imagination fut moins résistante, et j'imaginais déjà la pointe de ma langue remplacer la goutte, parcourir le cou de la jeune femme avant de se perdre sur ses tétons, laissant derrière elle une fine trainée de salive. Ma course ne se serait pas arrêtée là, j'aurais évidemment terminé entre ses cuisses, la main de Canelle agrippant mes cheveux...
Une nouvelle fois, mon imagination me jouait des tours. Il fallait absolument que j'arrive à sortir cette image de ma tête.
-Nous nous sommes rencontrés alors que je venais juste de prêter serment et je dois reconnaître que sans lui je ne sais pas si j'aurais réussi.
J'avais la sensation que la jeune femme me dévorait des yeux, et je déglutis lorsque j'aperçus sa langue rose venir parcourir la surface charnue de ses lèvres. Le geste était lent et je me rêvais à y joindre ma propre langue, voir même autre chose.... Je baissa rapidement le regard afin d'éviter de faire croître à nouveau mon érection incontrôlable mais compris rapidement que c'était une mauvaise idée en apercevant sa cuisse dévoilée par la fente de sa robe qui s'était soudainement remontée. Ce n'était pas le fruit du hasard. Evidemment, j'étais le seul à pouvoir l'apercevoir. Il suffisait désormais qu'elle écarte les cuisses pour faire remonter inexorablement le tissu.
Je repris une discrète gorgée de whisky avant de terminer ma réponse.
-Je suis fier du chemin que nous avons parcouru ensemble et de pouvoir dire aujourd'hui que je le considère comme un ami.
Je me retourna vers le maître de maison et leva à nouveau mon verre en son honneur avant de boire une nouvelle gorgée de l'exquis brevage. Il fallait quand même que je veille à ne pas en abuser, sous peine de ne pas pouvoir reprendre le volant, mon chauffeur n'ayant finalement pas pu rester.
Nous commençâmes enfin les entrées, tandis que je faisais la conversation avec la maîtresse de maison que je n'avais pas encore vraiment eu le temps de connaître.
Alors que je prenais du caviar, la fine cuillère de nacre m'échappa des mains et le précieux contenu vint s'écraser sur mon entrejambe, tâchant le tissu de mon pantalon. Je pesta intérieurement.
-Un whisky également, je vous en remercie.
Le personnel était extrêmement rapide et en un rien de temps je tenais dans ma main un verre froid rempli d'un liquide ambré tandis que ma voisine de table dégustait un champagne. Le serveur ne tarda pas à apporter également un assortiment d'entrées digne des plus grands festins. Avant de déguster les délicats mets, le maître de maison se leva pour un discours en mon honneur. Flatté par son estime, je m'inclina avec respect avant de tendre mon verre, rapidement accompagné par les autres convives.
Le whisky coula dans ma gorge, la douce brûlure me réchauffant avec un effet de détente quasi immédiat. Canelle se retourna à nouveau vers moi pour m'interroger sur ce que j'apportais à son père. Ce dernier, semble t-il fier de voir sa fille s'intéresser avec politesse à son invité, attendait attentivement ma réponse.
Je replongea à contrecoeur dans les yeux de la jeune femme et m'expliqua:
-Je suis avocat et j'ai accompagné ton père depuis la création de son entreprise jusqu'à aujourd'hui. Nous avons traversé de nombreuses épreuves et du faire face aux attaques féroces de nombreux concurrents....
Alors que je parlais, je ne pu s'empêcher de remarquer la goutte de condensation qui glissa le long du verre de Canelle. Elle resta quelques secondes suspendue sur le pied du verre avant de se décrocher pour tomber sur son cou. Inarrêtable, la goutte poursuivie son chemin sur sa peau blanche avant d'accélérer sa chute en rencontrant la forme rebondie de son décolleté. Je fit preuve d'une extrême concentration pour ne pas que mon regard s'y perde aussi, sous le regard du père de Canelle. J'aperçus toutefois que son corps fut parcouru d'un frisson, couvrant sa peau d'une chair de poule qui me laissa deviner le temps d'un instant la forme de ses seins.
Mon imagination fut moins résistante, et j'imaginais déjà la pointe de ma langue remplacer la goutte, parcourir le cou de la jeune femme avant de se perdre sur ses tétons, laissant derrière elle une fine trainée de salive. Ma course ne se serait pas arrêtée là, j'aurais évidemment terminé entre ses cuisses, la main de Canelle agrippant mes cheveux...
Une nouvelle fois, mon imagination me jouait des tours. Il fallait absolument que j'arrive à sortir cette image de ma tête.
-Nous nous sommes rencontrés alors que je venais juste de prêter serment et je dois reconnaître que sans lui je ne sais pas si j'aurais réussi.
J'avais la sensation que la jeune femme me dévorait des yeux, et je déglutis lorsque j'aperçus sa langue rose venir parcourir la surface charnue de ses lèvres. Le geste était lent et je me rêvais à y joindre ma propre langue, voir même autre chose.... Je baissa rapidement le regard afin d'éviter de faire croître à nouveau mon érection incontrôlable mais compris rapidement que c'était une mauvaise idée en apercevant sa cuisse dévoilée par la fente de sa robe qui s'était soudainement remontée. Ce n'était pas le fruit du hasard. Evidemment, j'étais le seul à pouvoir l'apercevoir. Il suffisait désormais qu'elle écarte les cuisses pour faire remonter inexorablement le tissu.
Je repris une discrète gorgée de whisky avant de terminer ma réponse.
-Je suis fier du chemin que nous avons parcouru ensemble et de pouvoir dire aujourd'hui que je le considère comme un ami.
Je me retourna vers le maître de maison et leva à nouveau mon verre en son honneur avant de boire une nouvelle gorgée de l'exquis brevage. Il fallait quand même que je veille à ne pas en abuser, sous peine de ne pas pouvoir reprendre le volant, mon chauffeur n'ayant finalement pas pu rester.
Nous commençâmes enfin les entrées, tandis que je faisais la conversation avec la maîtresse de maison que je n'avais pas encore vraiment eu le temps de connaître.
Alors que je prenais du caviar, la fine cuillère de nacre m'échappa des mains et le précieux contenu vint s'écraser sur mon entrejambe, tâchant le tissu de mon pantalon. Je pesta intérieurement.
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Le quartier de la Toussaint / Fenêtre sur cour (PV)
« le: lundi 28 novembre 2022, 19:40:42 »Cela faisait bientôt trois jours que Bastien avait été contraint de quitter son penthouse du centre-ville, son jacuzzi s'étant déversé dans le salon. Plusieurs semaines de travaux et de constats d'assurances seraient nécessaires avant qu'il ne puisse rentrer chez lui. C'est donc seulement avec une valise qu'il a emménagé dans un appartement qui appartenait autrefois à ses parents et qui était jusqu'alors inoccupé. Loin d'être dans les gratte-ciels modernes du centre d'affaire, il était niché au dernier étage dans un vieil immeuble du centre historique. Composé d'une chambre, d'un salon, d'une salle de bain et d'une cuisine, cet appartement à l'ancienne était tout en longueur et chaque pièce était dotée d'une grande fenêtre qui donnaient toutes sur une cour intérieure. Sa vue mer d'antan avait disparu au profit d'une mosaïque de fenêtre, chacune témoin d'une scène de vie.
Le soir venu, lorsque la pénombre s'installait et que les appartements s'éclairaient, les fenêtres s'animaient. Il y avait la voisine âgée du troisième étage qui chaque soir à 20h étendait son linge en compagnie de son chat. Il y avait le jeune couple du deuxième qui faisait chambre à part et s'ignorait totalement, probablement bientôt séparés. Il y avait l'ado qui vivait avec sa mère au quatrième étage et qui passait ses nuits à jouer à la playstation pendant qu'elle travaillait.
Arrivé seulement depuis trois jours, il n'avait pas encore repéré tous les appartements et certains ne s'étaient pas encore allumés. Bastien lui-même essayait de ne pas trop allumer ses lumières pour garder un peu d'intimité, ses rideaux extrêmement fins ne cachaient d'ailleurs pas grand-chose. Il avait même pris l'habitude de prendre son bain dans le noir. Il n'allait pas faire installer des volets alors qu'il ne comptai pas rester dans cet appartement. La nuit tombée, il s'installait sur son petit balcon donnant sur la cour et observait les étoiles comme quand il était enfant.
Bastien rentrait tard ce vendredi soir, il était presque 21h. Il poussa la lourde porte en bois et rentra dans le hall un peu décrépi. Face à lui, sa hantise: un minuscule ascenseur en bois qui desservait à une vitesse proche de zéro l'intégralité des appartements de l'immeuble. Il était si petit et paraissait si fragile que rares étaient ceux qui s'y aventuraient à deux. A chaque montée, Bastien pensait son heure arrivée en entendant les craquements du mécanisme qui n'avait probablement pas été changé ou entretenu depuis la construction de l'immeuble. Bastien avait quand même de la chance: pour une fois l'ascenseur était là et il n'aurait pas à attendre une éternité qu'il finisse de desservir les étages avant de daigner revenir dans le hall d'entrée.
Dans un grand craquement, Bastien ouvrit la petite porte en bois et se glissa tant bien que mal à bord du petit ascenseur éclairé par une minuscule veilleuse, froissant son impeccable costume bleu marine.
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Le coin du chalant / Rencontres hasardeuses
« le: dimanche 27 novembre 2022, 23:32:19 »Trame de Bastien
Bastien Hachimato
30 ans
Avocat
Hétérosexuel
Bonjour à tous ! Je vous partage quelques idées de RP que vous pouvez évidemment agrémenter de vos envies.
1) Fenêtre sur cour : Vous êtes la nouvelle voisine de Bastien et comptez bien tout mettre en œuvre pour le mettre dans votre lit. Au programme : exhib à la fenêtre, fête des voisins, et ascenseur en panne !
2) Secrétaire : Puissant et charismatique avocat, Bastien est à la recherche d'une secrétaire qui l'assistera au quotidien. Entretien d'embauche, déjeuner d'affaire, nocturne au bureau,...
3) Mile high club : Rien de mieux qu’un vol long-courrier en première classe pour se détendre. Incarnez une hôtesse de l’air ou une passagère de la classe économie à la recherche de confort ! Bastien saura vous recevoir, à condition que vous y mettiez un peu du votre.
4) Japan Anatomy : Bastien s’est cassé une jambe en moto. Résultat, il est cloué sur un lit d’hôpital. Il espère toutefois y croiser une jolie infirmière ou pourquoi pas, une voisine de chambre.
Je cherche aussi un scénario à développer lors d'une activité en extérieure (randonnée, escalade, kayak,...): si vous avez des idées je satisferai vos moindres désirs
Vous pouvez m'envoyer directement un MP!
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One Shot / Re : Le dîner de tous les dangers [PV]
« le: jeudi 24 novembre 2022, 18:11:41 »
La lourde porte s’ouvrit sur le visage accueillant de la maîtresse de maison. Elle me salua avec une grande déférence avant de s’effacer pour que je puisse serrer la main de mon respectable client. Alors que je remettais mes présents à mes hôtes, qu’ils accueillirent avec moulte politesses, je ne pouvais ignorer la jeune femme qui se tenait en retrait. La clarté de sa peau attira immédiatement mon regard, ainsi que la pureté de ses traits. Je ne pouvais pas non plus ignorer le triangle de peau qui apparaissait sur sa cuisse, dévoilé par sa robe en soie fendue. Sans plus attendre, mon client me présenta la jeune femme comme sa fille, du nom de Canelle.
Dans la pure tradition japonaise, la jeune femme se pencha, offrant à la gravité sa poitrine dissimulée derrière le tissu précieux. Je fis évidemment de même, le dos droit et les mains le long du corps. En me penchant je pu sentir l’enivrant parfum de rose qui se dégageait de la jeune femme.
C’est un honneur de vous rencontrer Mademoiselle.
Sa beauté était troublante. Bien que de petite taille, sa robe laissait deviner un corps athlétique. Mais ce qui m’hypnotisait le plus c’était son air absolument angélique.
Je me ravisa toutefois immédiatement. Ce dîner était bien trop important pour laisser vagabonder mon esprit. Surtout, cette jeune femme était la fille de mon client. Il était donc même hors de question que je ne pose ne serait-ce que mon regard trop longtemps sur elle. Je n’ose imaginer les conséquences si cela était remarqué par mon hôte. Je fus donc soulagé lorsque ce dernier m’emporta pour me montrer ses œuvres d’art, dont la haute valeur ne faisait aucun doute même si les explications qu’il donnait étaient relativement approximatives.
Mon soulagement ne fut cependant que de courte durée lorsqu’il m’invita au salon et que je découvris la magnifique table qui avait été dressée. Le couple me faisait face autour d’une table dont la taille était totalement disproportionnée pour seulement quatre convives. Cela signifiait que la jeune femme serait à mes côtés. Bêtement, j’avais pensé qu’elle aurait déjà mangé ou qu’elle dînait à part.
Je pris place en même temps que les autres convives. Je me figea soudain lorsque la main de la jeune femme vint se poser sur ma cuisse tout en me demandant si je n’étais pas gêné par sa présence. Son père semble t-il appréciait l’apparente politesse de la question de sa fille mais ignorait assurément qu’elle avait joint le geste à la parole.
J’était complètement désarçonné et ne parvint même pas à répondre de manière intelligible :
-Non…euh… pas du tout. Avec plaisir.
Alors que je prononçais ces quelques mots sans grande conviction, je pouvais sentir les doigts de la jeune femme serrer légèrement ma cuisse, la chaleur de sa main irradiant à travers le fin tissu de mon pantalon. Nos regards se croisèrent, son regard angélique était toujours là mais accompagné d’une lueur nouvelle que je n’arrivais pas encore à caractériser. C’est moi le premier qui fuya son regard et j’ai eu la malheur baisser les yeux en direction de sa taille. La position assise avait tiré sa robe en arrière, dévoilant bien plus largement sa jambe droite galbée. Contrastant avec le noir de la soie, sa peau blanche semblait de la porcelaine.
Avec la plus grande politesse, je vins saisir délicatement la main de la jeune femme pour la replacer sur sa propre cuisse. Il était moins une car je sentis presque au même moment l’accélération de mon cœur qui envoyait mon sang en direction de mon entrejambe, faisant gonfler entre mes cuisses mon membre épais qui déforma le tissu.
Mais que m’arrivait-il ?
Rien n’allait dans cette situation. Il fallait vraiment que je reprenne mes esprits. Je n’allais pas risquer ma carrière ce soir. Je remarqua que ma main n’avait pas quitté la sienne, et qu’elle était même appuyée contre sa douce peau sur le haut de ses cuisses. Je la retira immédiatement, tentant de rassembler mes moyens et surtout de penser à autre chose pour que cette érection grandissante disparaisse le plus rapidement possible.
J’ignorais même s’il s’agissait d’une manœuvre volontaire de la jeune femme pour me séduire . je me faisais sans doute des idées, mais de toute façon la question ne se posait même pas.
Ce dîner allait être long.
Dans la pure tradition japonaise, la jeune femme se pencha, offrant à la gravité sa poitrine dissimulée derrière le tissu précieux. Je fis évidemment de même, le dos droit et les mains le long du corps. En me penchant je pu sentir l’enivrant parfum de rose qui se dégageait de la jeune femme.
C’est un honneur de vous rencontrer Mademoiselle.
Sa beauté était troublante. Bien que de petite taille, sa robe laissait deviner un corps athlétique. Mais ce qui m’hypnotisait le plus c’était son air absolument angélique.
Je me ravisa toutefois immédiatement. Ce dîner était bien trop important pour laisser vagabonder mon esprit. Surtout, cette jeune femme était la fille de mon client. Il était donc même hors de question que je ne pose ne serait-ce que mon regard trop longtemps sur elle. Je n’ose imaginer les conséquences si cela était remarqué par mon hôte. Je fus donc soulagé lorsque ce dernier m’emporta pour me montrer ses œuvres d’art, dont la haute valeur ne faisait aucun doute même si les explications qu’il donnait étaient relativement approximatives.
Mon soulagement ne fut cependant que de courte durée lorsqu’il m’invita au salon et que je découvris la magnifique table qui avait été dressée. Le couple me faisait face autour d’une table dont la taille était totalement disproportionnée pour seulement quatre convives. Cela signifiait que la jeune femme serait à mes côtés. Bêtement, j’avais pensé qu’elle aurait déjà mangé ou qu’elle dînait à part.
Je pris place en même temps que les autres convives. Je me figea soudain lorsque la main de la jeune femme vint se poser sur ma cuisse tout en me demandant si je n’étais pas gêné par sa présence. Son père semble t-il appréciait l’apparente politesse de la question de sa fille mais ignorait assurément qu’elle avait joint le geste à la parole.
J’était complètement désarçonné et ne parvint même pas à répondre de manière intelligible :
-Non…euh… pas du tout. Avec plaisir.
Alors que je prononçais ces quelques mots sans grande conviction, je pouvais sentir les doigts de la jeune femme serrer légèrement ma cuisse, la chaleur de sa main irradiant à travers le fin tissu de mon pantalon. Nos regards se croisèrent, son regard angélique était toujours là mais accompagné d’une lueur nouvelle que je n’arrivais pas encore à caractériser. C’est moi le premier qui fuya son regard et j’ai eu la malheur baisser les yeux en direction de sa taille. La position assise avait tiré sa robe en arrière, dévoilant bien plus largement sa jambe droite galbée. Contrastant avec le noir de la soie, sa peau blanche semblait de la porcelaine.
Avec la plus grande politesse, je vins saisir délicatement la main de la jeune femme pour la replacer sur sa propre cuisse. Il était moins une car je sentis presque au même moment l’accélération de mon cœur qui envoyait mon sang en direction de mon entrejambe, faisant gonfler entre mes cuisses mon membre épais qui déforma le tissu.
Mais que m’arrivait-il ?
Rien n’allait dans cette situation. Il fallait vraiment que je reprenne mes esprits. Je n’allais pas risquer ma carrière ce soir. Je remarqua que ma main n’avait pas quitté la sienne, et qu’elle était même appuyée contre sa douce peau sur le haut de ses cuisses. Je la retira immédiatement, tentant de rassembler mes moyens et surtout de penser à autre chose pour que cette érection grandissante disparaisse le plus rapidement possible.
J’ignorais même s’il s’agissait d’une manœuvre volontaire de la jeune femme pour me séduire . je me faisais sans doute des idées, mais de toute façon la question ne se posait même pas.
Ce dîner allait être long.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Un dîner mémorable[Pv]
« le: mercredi 23 novembre 2022, 18:38:18 »
Rassuré par ses deux charmantes invitées sur la suffisance de sa cuisine, Bastien patientait sereinement dans son salon où lui serait servi l’apéritif, la première surprise de la soirée. Il n’eut pas à patienter longtemps avant que la jeune femme aux cheveux courts et étincelants se présente à lui avec un plateau d'argent. Lorsqu’elle le déposa délicatement, il pu apercevoir un magnifique assortiment d’amuses-bouches.
C’est absolument parfait, je vous en remercie.
Il écouta attentivement la présentation de la jeune femme, regardant avec émerveillement cette cuisine raffinée qu’il n’avait pas retrouvée depuis longtemps. Il ne connaissait pas toutes les épices et tous les ingrédients qu’elle venait d’énoncer, ni d‘ailleurs leur propriétés… Mais son plus gros problème c’était pour l’instant de décider par où commencer entre les verrines, cuillères et toasts.
Pour accompagner les arômes fruités de la Clairette de Die qui était en train de lui être servi, il décida de saisir une cuillère de Saint-Jacques. Le goût du précieux coquillage était absolument délicieux et surtout sublimé par une épice qu’il ne connaissait pas mais dont le goût était quasiment addictif… Cette poudre verte ensorcelante était si bonne qu’il reprit immédiatement une seconde cuillère.
Alors qu’il pensait sa charmante cuisinière repartie en cuisine, il sentit soudain ses deux mains se poser sur ses épaules. Sous le coup de la surprise il resta muet, maintenant quelques instants la cuillère en suspens avant finalement de la déguster. Elle ne lui avait donc pas menti en lui disant qu’elle s’occuperait de lui et que cette soirée serait sur le thème de la gourmandise et du plaisir. Bien qu’un peu surpris, il ne pu très rapidement que succomber à son doigté.
Après une longue et difficile journée de travail, ce massage associé à cette cuisine extraordinaire étaient tout ce dont il avait rêvé.
-Merci, C’est inattendu mais… très agréable.
Bien qu’un peu gêné, il continua sa dégustation, sentant toujours la chaleur de ses paumes à travers le tissu de sa chemise. Il saisit délicatement un toast et retrouva un produit qu’il n’avait pas gouté depuis longtemps : le foie gras. Il le laissa fondre sur sa langue avant d’apprécier la douceur de l’oignon mariée au pain d’épices. Il percevait également un autre ingrédient mais sans parvenir à l’identifier.
Il ne pu ensuite résister et plongea une fine cuillère dans l’une des verrines, appréciant avec un plaisir non dissimulé le mariage exquis de l’avocat et du saumon.
C’était presque étrange mais il s’était habitué aux massages presque devenus caresses de sa cuisinière sur ses épaules, à l’image d’une musique venant accompagner un bon verre de vin. Petit à petit, une sensation étonnante vint envahir Bastien. Une chaleur inondait progressivement son corps, se dirigeant inexorablement vers son bas ventre. Lui qui tenait bien l’alcool, cela ne pouvait être la Clairette. En un rien de temps, son cœur s’accéléra et sa respiration devint plus lourde. C’est un véritable désir qui brulait en lui en à peine quelques minutes. Sans qu’il puisse le contrôler, son entrejambe vint se gonfler en un rien de temps. Gêné par cette bosse qui venait clairement déformer son pantalon et qu’il ne savait pas expliquer, il espérait qu’elle n’avait rien aperçu même si d’où elle était la vue devait être directe. Il tenta de croiser les jambes, mais cela ne faisait qu’empirer les choses en dessinant les formes de son sexe sous le tissu. Pourtant, sans qu’il puisse l’expliquer, le massage l’enivrait et il ne pu résister à se resservir, encore et encore, jusqu’à terminer entièrement le plateau d’apéritifs dont les arômes l’attiraient irrésistiblement et à ignorer son état second.
C’est comme si… je n’avais pas pu résister. C’était délicieux.
C’est absolument parfait, je vous en remercie.
Il écouta attentivement la présentation de la jeune femme, regardant avec émerveillement cette cuisine raffinée qu’il n’avait pas retrouvée depuis longtemps. Il ne connaissait pas toutes les épices et tous les ingrédients qu’elle venait d’énoncer, ni d‘ailleurs leur propriétés… Mais son plus gros problème c’était pour l’instant de décider par où commencer entre les verrines, cuillères et toasts.
Pour accompagner les arômes fruités de la Clairette de Die qui était en train de lui être servi, il décida de saisir une cuillère de Saint-Jacques. Le goût du précieux coquillage était absolument délicieux et surtout sublimé par une épice qu’il ne connaissait pas mais dont le goût était quasiment addictif… Cette poudre verte ensorcelante était si bonne qu’il reprit immédiatement une seconde cuillère.
Alors qu’il pensait sa charmante cuisinière repartie en cuisine, il sentit soudain ses deux mains se poser sur ses épaules. Sous le coup de la surprise il resta muet, maintenant quelques instants la cuillère en suspens avant finalement de la déguster. Elle ne lui avait donc pas menti en lui disant qu’elle s’occuperait de lui et que cette soirée serait sur le thème de la gourmandise et du plaisir. Bien qu’un peu surpris, il ne pu très rapidement que succomber à son doigté.
Après une longue et difficile journée de travail, ce massage associé à cette cuisine extraordinaire étaient tout ce dont il avait rêvé.
-Merci, C’est inattendu mais… très agréable.
Bien qu’un peu gêné, il continua sa dégustation, sentant toujours la chaleur de ses paumes à travers le tissu de sa chemise. Il saisit délicatement un toast et retrouva un produit qu’il n’avait pas gouté depuis longtemps : le foie gras. Il le laissa fondre sur sa langue avant d’apprécier la douceur de l’oignon mariée au pain d’épices. Il percevait également un autre ingrédient mais sans parvenir à l’identifier.
Il ne pu ensuite résister et plongea une fine cuillère dans l’une des verrines, appréciant avec un plaisir non dissimulé le mariage exquis de l’avocat et du saumon.
C’était presque étrange mais il s’était habitué aux massages presque devenus caresses de sa cuisinière sur ses épaules, à l’image d’une musique venant accompagner un bon verre de vin. Petit à petit, une sensation étonnante vint envahir Bastien. Une chaleur inondait progressivement son corps, se dirigeant inexorablement vers son bas ventre. Lui qui tenait bien l’alcool, cela ne pouvait être la Clairette. En un rien de temps, son cœur s’accéléra et sa respiration devint plus lourde. C’est un véritable désir qui brulait en lui en à peine quelques minutes. Sans qu’il puisse le contrôler, son entrejambe vint se gonfler en un rien de temps. Gêné par cette bosse qui venait clairement déformer son pantalon et qu’il ne savait pas expliquer, il espérait qu’elle n’avait rien aperçu même si d’où elle était la vue devait être directe. Il tenta de croiser les jambes, mais cela ne faisait qu’empirer les choses en dessinant les formes de son sexe sous le tissu. Pourtant, sans qu’il puisse l’expliquer, le massage l’enivrait et il ne pu résister à se resservir, encore et encore, jusqu’à terminer entièrement le plateau d’apéritifs dont les arômes l’attiraient irrésistiblement et à ignorer son état second.
C’est comme si… je n’avais pas pu résister. C’était délicieux.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Un dîner mémorable[Pv]
« le: mardi 15 novembre 2022, 23:08:52 »
Bastien tira la lourde porte et ce qu’il aperçut ne manqua pas de le surprendre ! Lui qui s’attendait à un vieux chef bedonnant se retrouva face à deux ravissantes jeunes femmes qui semblaient françaises comme lui.
Elles se penchèrent de manière synchronisée pour le saluer à la japonaise, et il fit de même, non sans avoir pu résister à laisser errer son regard sur leurs poitrines agréablement mises en valeur par leurs tabliers et par la gravité.
Il appréciait d’ores et déjà leur bonne humeur communicative et leur énergie malgré l'heure tardive.
« Bonsoir ! Je ne m’attendais pas à… vous. Mais c’est une agréable surprise. Entrez, je vous en prie, je vous remercie de vous déplacer si tard ».
Bastien les invita à rentrer avec un grand sourire et referma la porte derrière elles.
Gentleman, il saisit l’un des chariots pour les aider à amener le matériel jusqu’à la cuisine. Il se demanda alors si elles n’étaient pas sœurs tant elle se ressemblaient, si ce n’était la couleur de leurs cheveux.
Si elles portaient bien un tablier de travail, il pu s’apercevoir qu’elles ne cachaient pas grand-chose grâce à leur mini-jupes qui dévoilant leurs belles jambes élancées.
Elles étaient probablement plus jeunes que lui de quelques années mais tout à fait à son goût, même si ce n'est évidemment pas pour ca qu'il avait sollicité ce service spécial. Enfin, c'est ce qu'il croyait.
« Je vous remercie, même s’il est un peu grand pour un homme seul j’ai fait un sorte de le décorer à mon goût. Voici la cuisine, j’espère qu’elle sera suffisante ».
Ils rentrèrent dans la cuisine et il se sentit un peu ridicule d’avoir sorti ses casseroles et autres accessoires d’amateur quand il aperçut la qualité et le volume du matériel qu’elles avaient amené. Il leur montra malgré tout le fonctionnement du four et des plaques à induction, ainsi que sa cave à vins.
« Je vous en prie, faites comme chez vous. Je suis dans le salon si vous avez besoin de la moindre chose. J’ai hâte de déguster ce que vous allez me préparer. Une seule consigne... surprenez-moi!»
Pour célébrer l'occasion, il avait sorti une généreuse boite de caviar qu'un client lui avait offert et qu'il conservait dans l'attente d'une vraie occasion. Même si ce n'était pas typiquement français, elles en ferait peut-être bon usage.
Il les laissa se préparer, ayant hâte de découvrir ce qu’elles lui réservait. Il s’installa sur le canapé de son salon, ouvrant un livre et guettant la moindre odeur qui sortirait de la cuisine. Il attendait depuis bien trop longtemps le retour des plats de son enfance et en salivait déjà.
Elles se penchèrent de manière synchronisée pour le saluer à la japonaise, et il fit de même, non sans avoir pu résister à laisser errer son regard sur leurs poitrines agréablement mises en valeur par leurs tabliers et par la gravité.
Il appréciait d’ores et déjà leur bonne humeur communicative et leur énergie malgré l'heure tardive.
« Bonsoir ! Je ne m’attendais pas à… vous. Mais c’est une agréable surprise. Entrez, je vous en prie, je vous remercie de vous déplacer si tard ».
Bastien les invita à rentrer avec un grand sourire et referma la porte derrière elles.
Gentleman, il saisit l’un des chariots pour les aider à amener le matériel jusqu’à la cuisine. Il se demanda alors si elles n’étaient pas sœurs tant elle se ressemblaient, si ce n’était la couleur de leurs cheveux.
Si elles portaient bien un tablier de travail, il pu s’apercevoir qu’elles ne cachaient pas grand-chose grâce à leur mini-jupes qui dévoilant leurs belles jambes élancées.
Elles étaient probablement plus jeunes que lui de quelques années mais tout à fait à son goût, même si ce n'est évidemment pas pour ca qu'il avait sollicité ce service spécial. Enfin, c'est ce qu'il croyait.
« Je vous remercie, même s’il est un peu grand pour un homme seul j’ai fait un sorte de le décorer à mon goût. Voici la cuisine, j’espère qu’elle sera suffisante ».
Ils rentrèrent dans la cuisine et il se sentit un peu ridicule d’avoir sorti ses casseroles et autres accessoires d’amateur quand il aperçut la qualité et le volume du matériel qu’elles avaient amené. Il leur montra malgré tout le fonctionnement du four et des plaques à induction, ainsi que sa cave à vins.
« Je vous en prie, faites comme chez vous. Je suis dans le salon si vous avez besoin de la moindre chose. J’ai hâte de déguster ce que vous allez me préparer. Une seule consigne... surprenez-moi!»
Pour célébrer l'occasion, il avait sorti une généreuse boite de caviar qu'un client lui avait offert et qu'il conservait dans l'attente d'une vraie occasion. Même si ce n'était pas typiquement français, elles en ferait peut-être bon usage.
Il les laissa se préparer, ayant hâte de découvrir ce qu’elles lui réservait. Il s’installa sur le canapé de son salon, ouvrant un livre et guettant la moindre odeur qui sortirait de la cuisine. Il attendait depuis bien trop longtemps le retour des plats de son enfance et en salivait déjà.
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One Shot / Le dîner de tous les dangers [PV]
« le: dimanche 13 novembre 2022, 15:00:08 »
Je n'en menais pas large depuis quelques jours. Plus exactement depuis que mon plus gros client chef d’entreprise m’avait convié à dîner chez lui avec sa famille à la fin de la semaine. L’idée ne venait pas de moi évidemment, mais je n’avais pas pu refuser.
Un dîner dans son domicile familial était incomparable avec un rendez-vous d’affaire dans un restaurant. C’était bien plus intime et une vraie marque de respect. Je n’avais définitivement pas le droit de commettre le moindre impair, au risque de le perdre et avec lui une grosse part de mon chiffre d’affaires. Après avoir passé plusieurs jours pour trouver le costume adapté, le plus difficile était de trouver quel cadeau apporter. Je ne cuisinais pas assez bien pour amener un quelconque dessert et le vin était trop commun… J’opta finalement pour un vieux whisky japonais au prix extravagant ainsi qu’un bouquet de fleur à placer en centre de table.
J’ignorais tout de sa famille, à l’exception qu’il était marié et que son épouse travaillait avec lui dans son entreprise évoluant dans le web. Peut-être avait-il des enfants. Je n’avais prévu aucun jouet.
C’est donc très stressé que je franchis à 20h l’important portail de la propriété, emmené par mon fidèle chauffeur.
Il me déposa et j’emprunta l’elegant chemin menant à la porte d’entrée.
J’étais vêtu d’un costume bleu foncé et d’une chemise blanche col mao.
En dernière minute je retira ma cravate que je dissimula dans ma poche, ca faisait trop formel finalement.
Au moment de frapper sur la lourde porte, mon coeur battait à tout va.
Un dîner dans son domicile familial était incomparable avec un rendez-vous d’affaire dans un restaurant. C’était bien plus intime et une vraie marque de respect. Je n’avais définitivement pas le droit de commettre le moindre impair, au risque de le perdre et avec lui une grosse part de mon chiffre d’affaires. Après avoir passé plusieurs jours pour trouver le costume adapté, le plus difficile était de trouver quel cadeau apporter. Je ne cuisinais pas assez bien pour amener un quelconque dessert et le vin était trop commun… J’opta finalement pour un vieux whisky japonais au prix extravagant ainsi qu’un bouquet de fleur à placer en centre de table.
J’ignorais tout de sa famille, à l’exception qu’il était marié et que son épouse travaillait avec lui dans son entreprise évoluant dans le web. Peut-être avait-il des enfants. Je n’avais prévu aucun jouet.
C’est donc très stressé que je franchis à 20h l’important portail de la propriété, emmené par mon fidèle chauffeur.
Il me déposa et j’emprunta l’elegant chemin menant à la porte d’entrée.
J’étais vêtu d’un costume bleu foncé et d’une chemise blanche col mao.
En dernière minute je retira ma cravate que je dissimula dans ma poche, ca faisait trop formel finalement.
Au moment de frapper sur la lourde porte, mon coeur battait à tout va.
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Centre-ville de Seikusu / Un dîner mémorable[Pv]
« le: vendredi 11 novembre 2022, 23:48:17 »
Certaines périodes de l’année rappelaient à Bastien la cuisine française de son père. En ce début d’hiver, l’idée de retrouver ces saveurs occupaient ses pensées. En se réveillant ce jour-là, c’était décidé : il mangerait français le soir-même.
Une rapide recherche sur internet suffit à réduire son choix. Il trouva un restaurant proche du lycée avec lequel il travaillait souvent et ne chercha pas plus loin. Son nom : Bouton d’or.
Malheureusement, son emploi du temps anarchique était incompatible avec les horaires d’ouvertures. Il ne pouvait toutefois pas se résigner et parcouru avec attention les avis.
Quel ne fut pas son soulagement lorsqu’il aperçut qu’une cuisine à domicile était possible le soir. Il composa immédiatement le numéro de téléphone du Bouton d’Or. La conversation fut courte et relativement énigmatique. Il n’eut besoin que de confirmer son adresse, et l’heure : 22h30.
Son éreintante journée de travail passa rapidement, Bastien salivant toute la journée à l’idée des plats de son enfance qu’il allait peut-être retrouver. Il n’avait pas exigé de menus et d’ailleurs cela ne lui avait pas été proposé. C’était sans importance : si loin de la France, il n’allait pas faire le difficile.
Il arriva chez lui à 22h, lui laissant qu’une petite demi-heure pour se préparer. Après quelques pompes et abdos, il glissa sous une douche brulante. Alors qu’il enroulait une serviette autour de sa taille, il s’interrogea soudain : devait-il préparer les casseroles, poêles, et autres ? Il avait assumé que le chef du restaurant apporterait les ingrédients mais il ne savait pas si sa cuisine pas très étoffée suffirait.
Advienne que pourra.
Il enfila une chemise blanche pour faire honneur à la cuisine de sa famille, et un pantalon cintré.
Il avait accepté le coût relativement élevé de cette prestation qualifiée de « spéciale ». Bastien en déduisait qu’étant seul, il était normal qu’il règle plus cher que la moyenne. Après tout, le chef ne se déplaçait que pour lui et il devait d’habitude avoir beaucoup de convives. Il fallait avouer qu’il était également content d’inviter quelqu’un chez lui, l’appartement grand pouvant paraître lui rappeler sa solitude.
Il ne mit pas la table, décidant qu’il s’en chargerait pendant que le chef cuisinerait. Rien ne pressait, et il comptait bien profiter de cette soirée qu’il avait longtemps attendu.
Il était exactement 22h30 lorsque la sonnette retentit. Il se leva avec hâte et ouvrit la porte.
Une rapide recherche sur internet suffit à réduire son choix. Il trouva un restaurant proche du lycée avec lequel il travaillait souvent et ne chercha pas plus loin. Son nom : Bouton d’or.
Malheureusement, son emploi du temps anarchique était incompatible avec les horaires d’ouvertures. Il ne pouvait toutefois pas se résigner et parcouru avec attention les avis.
Quel ne fut pas son soulagement lorsqu’il aperçut qu’une cuisine à domicile était possible le soir. Il composa immédiatement le numéro de téléphone du Bouton d’Or. La conversation fut courte et relativement énigmatique. Il n’eut besoin que de confirmer son adresse, et l’heure : 22h30.
Son éreintante journée de travail passa rapidement, Bastien salivant toute la journée à l’idée des plats de son enfance qu’il allait peut-être retrouver. Il n’avait pas exigé de menus et d’ailleurs cela ne lui avait pas été proposé. C’était sans importance : si loin de la France, il n’allait pas faire le difficile.
Il arriva chez lui à 22h, lui laissant qu’une petite demi-heure pour se préparer. Après quelques pompes et abdos, il glissa sous une douche brulante. Alors qu’il enroulait une serviette autour de sa taille, il s’interrogea soudain : devait-il préparer les casseroles, poêles, et autres ? Il avait assumé que le chef du restaurant apporterait les ingrédients mais il ne savait pas si sa cuisine pas très étoffée suffirait.
Advienne que pourra.
Il enfila une chemise blanche pour faire honneur à la cuisine de sa famille, et un pantalon cintré.
Il avait accepté le coût relativement élevé de cette prestation qualifiée de « spéciale ». Bastien en déduisait qu’étant seul, il était normal qu’il règle plus cher que la moyenne. Après tout, le chef ne se déplaçait que pour lui et il devait d’habitude avoir beaucoup de convives. Il fallait avouer qu’il était également content d’inviter quelqu’un chez lui, l’appartement grand pouvant paraître lui rappeler sa solitude.
Il ne mit pas la table, décidant qu’il s’en chargerait pendant que le chef cuisinerait. Rien ne pressait, et il comptait bien profiter de cette soirée qu’il avait longtemps attendu.
Il était exactement 22h30 lorsque la sonnette retentit. Il se leva avec hâte et ouvrit la porte.
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Prélude / Re : Objection votre honneur! [Anéa]
« le: mercredi 09 novembre 2022, 22:11:46 »
Merci à tous! J'ai hâte de vous rejoindre.
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Prélude / Objection votre honneur! [Vanéalidé !]
« le: mardi 08 novembre 2022, 13:31:16 »Identité : Bastien Hachimato
Âge : 30 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain
Sexualité : Hétérosexuel
Âge : 30 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain
Sexualité : Hétérosexuel
Physique : Grand brun d’1m85 aux cheveux mi-longs et aux yeux verts, ma passion pour le surf m'a permis de sculpter un corps athlétique. Mes mains sont larges mais pas abimées par un travail manuel. Tout est d'ailleurs proportionnel...Mes muscles son apparents et mon corps est dessiné mais pas dans l’excès. Je ne suis pas du tout un adepte de la salle de musculation ou des tenues moulantes et préfère une tenue élégante qui convient mieux à mon environnement professionnel. Je garde quelques séquelles psychologiques du surpoids du temps de mon adolescence, comme une tendance à faire très attention à ma ligne. C'est une des raisons pour laquelle j'ai beaucoup de miroir chez moi.
Concernant la réaction à mon physique, mes yeux verts et mon sourire suffisent souvent à faire succomber la gente féminine. Mais rien est évidemment acquis, et le temps passe. J'ai désormais quitté le groupe prisé des vingtenaires pour celui vieillissant des trentenaires. Avec la concurrence de Terra et mon absence de pouvoir surnaturel, j'ai plutôt intérêt à garder un physique attirant.
Caractère : D’apparence extraverti, charismatique et sociable, je n’en reste pas moins un solitaire sensible. Je n’étais pas très sociable au lycée et n’avais absolument aucune expérience avec les filles. Je ne connaîtrai mon premier bisou langoureux qu’à 18 ans et ma première relation sexuelle à 19 ans. Je compense en ayant une tendance à séduire les femmes que je croise, y compris dans ma vie professionnelle, me permettant de me rassurer sur ma capacité à plaire et à être aimé. Je suis également très anxieux mais le cache avec un talent inégalé. Seuls mes plus proches amis connaissent ma véritable nature.
Je suis également un homme de passions: exploration galactique art, sport,… Je suis prêt à dépenser beaucoup d'argent pour les assouvir. L’avantage d’être encore célibataire à 30 ans est justement de dépenser son argent comme je l’entend. J'ai d’ailleurs toujours eu une forte tendance à l’indépendance et la liberté que je place au dessus de tout.
Naturellement, je rêve de quitter la Terre et d’explorer l’univers. Bien que n’ayant pas de super pouvoir, je rêve de visiter Terra et de rencontrer de nouvelles civilisations et espèces nouvelles. J'attends simplement la bonne opportunité. Je fantasme d’ailleurs à l’idée de passer la nuit avec une non-humaine. Mon célibat et mon succès auprès des femmes m'ont conduit en effet vite à l’ennui sur le plan sexuel. J'ai donc besoin de quelque chose de différent ou tout du moins de créativité de la part de ma partenaire.
Histoire : Fils de parents divorcés, une mère japonaise et un père français , j'ai mené une jeunesse relativement solitaire dans une banlieue résidentielle de Tokyo. Je vais véritablement me transformer en commençant mes études de droit à l’université. Passionné par cette matière et plus particulièrement la criminologie, je vais pour la première fois de ma vie me sentir épanoui. Après une adolescence très sage, je parviens enfin à agrandir mon cercle d’amis. Je connais mes premières cuites, mes premières copines. Je me souviens comme si c'était hier de ma première fois, en compagnie non pas d'une mais de deux jeunes femmes qui se trouvaient être les colocataires. Ma piètre performance (22 secondes) m'avait conduit à trouver un nouvel appartement. Heureusement j'ai eu l'occasion de m'améliorer sur ce point.
Après dix années d’études, je parviens enfin à obtenir officiellement le titre d’avocat. Je m’installe immédiatement seul dans la commune de Seikusu que je choisis en raison de sa criminalité élevée. Je ne reviendrais pour rien au monde à Tokyo, appréciant la nature qui entoure la ville et qui me permet de me vider l’esprit. La proximité immédiate de la mer me permet de poursuivre ma passion pour le surf et la forêt est le lieu idéal pour de longues randonnées avec bivouac en solitaire.
Ma passion pour le droit se ressent immédiatement dans les résultats que j'arrive à obtenir pour mes clients. Mon succès grandissant me permet d’agrandir mes locaux, d’engager une secrétaire et une collaboratrice. C’est alors que j'attire l’attention du lycée Mishima qui m’engage avec comme défi de combattre ou tout du moins cacher leur réputation sulfureuse. La majeure partie de mon temps de travail se partage désormais au lycée pour résoudre les conflits et débordements internes, et au tribunal lorsque les frasques du lycée arrivent malheureusement aux oreilles de la justice.
Aujourd’hui trentenaire, je me considère comme accompli sur le plan professionnel. Je suis propriétaire de mon cabinet et d’un penthouse au sommet d’un gratte-ciel. Je pense toutefois de plus en plus à déménager dans une bâtisse typique du quartier de la Toussaint. Le lycée Mishima m'accorde depuis quelques mois un chauffeur à l’année dont l’imposante musculature lui permet d’être également mon garde du corps.
Sur le plan personnel par contre, je suis encore célibataire et voit mes amis se marier les uns après les autres. Je retrouve finalement la solitude de mon adolescence que je compense par une vie sexuelle de plus en plus extravagante.J'explore mes limites, dans une soif continue de séduire de nouvelles femmes, humaines ou non.
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