Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lirielle Hathran

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Le coin du chalant / Le titre - Parce qu'il faut en mettre un
« le: lundi 15 mai 2017, 11:50:00 »
Bonjour,

Bon bah y a pas vraiment de surprise, je suis là pour trouver un airpay. Si si !

J'ai une idée très précise en tête pour cette fois. Ce serait donc dans la section One Shot et même si mon perso peut aller, et être, à peu près partout, pour tout et n'importe quoi, je ne la jouerais pas non plus.

L'idée de base est plutôt simple : Survivre, ou non, à une créature de cauchemar pendant une journée et une nuit.
Rien contre le hentai dans l'absolu mais sur ce coup là à moins d'un feeling prodigieux qui éveil le désir au rang supérieur à l'instinct de survie mis à rude épreuve, peu de chance que ça arrive. Mais ça reste possible.

Situation de départ : Votre personnage à déjà travaillé pour des entreprises privées et l'armée sur des fameux "Secret défense" et est un ou une experte dans tout ce qui touche aux solutions pour contenir des menaces d'envergures. Élaboration de zones de quarantaine, de systèmes de détention pour créatures intelligentes. Bref, le type ou la madame dont personne ne sait rien mais qui à crée ce fameux bouton ou cette fameuse vitre incassable DJ4 qui vous maintiens en vie quand tout part en cacahuète.

Vous êtes contacté par mail par une inconnue (ou un, toi qui a dis oui là, oui toi, tu choisis ce que tu préfères) qui a besoin de faire appel à vos services et compte sur la discrétion qui fait votre réputation. La moralité vous vous en foutez bien faut dire ce qui arrange tout le monde. Intrigué par le fait qu'elle (ou il) en sache autant vous décidez de lui rendre une petite visite.

Bref : J'aurais besoin du petit nom que vous aurez choisi pour le perso de l'aventure histoire de pouvoir ouvrir.
Ce sera, vous l'avez compris, un peu de survival horror.

Je serais juste chiante sur un point, essayez de pas disparaître si vous acceptez, après le délai de réponse m'importe peu. Je suis pas toujours une flèche !

Je suis dispo là et en mp toussa toussa
Merci  ;D

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L’équipage, était modeste, pour ne pas dire inexistant. Le Capitaine faisait cavalier seul, si bien que la présence soudaine d’une blonde sortit de nulle part qui quittait le quartier d’équipage avec un air un peu ahuri n'alerta personne, du moins à sa connaissance. Lirielle n’avouerait jamais que sa première pensée en ouvrant les yeux sur le plafond de la couchette, était qu’elle était dans un sous marin, que quelque chose avait cloché, avant de comprendre, en quelques secondes, que tout allait bien dans le meilleur des mondes.

Du moins, à défaut d’être le meilleur, il était captivant et sauver les miches d’une fille de dignitaire, c’était plutôt motivant. Même si la jeune femme n’avait aucune idée du rôle qu’elle pourrait jouer là dedans. N’ayant jamais mis les pieds dans un vaisseau, ses yeux curieux se posaient sur à peu près tout, surtout ce qui n’avait plus d'intérêt pour ceux qui en avait l’habitude depuis longtemps. Restait à éviter le Capitaine du vaisseau, ce Hawk, qui n’apprécierait sûrement pas sa présence, ce qui n’allait pas l’aider à jouer un rôle dans cette histoire.

Pourtant, si elle était ici, c’était qu’elle avait son rôle à jouer. Peut être existait-il un moyen d’embarquer avant lui sur le vaisseau et celui de se faire passer pour une esclave elle même ? Ce n’était pas gagné, elle n’arrivait même pas encore à se repérer et l’idée de finir entre les mains des pirates ne la mettait pas vraiment à l’aise. Une moue mécontente déforma son doux visage quand elle se retrouva nez à nez avec le poste de pilotage d’une tourelle.

Puis parce que la blonde n’était ni très chanceuse, ni très prudente, elle se retrouva à passer nonchalamment là ou il ne fallait pas, là ou se trouvait le dit Capiaine, flânant  dans le couloir comme une touriste en vacance. Elle s’éloigna en trottinant, l’air de rien, mais à moins d’être aveugle ou sourd, ou les deux, Hawk était maintenant au courant qu’une indésirable se trouvait à bord…

Sueur froide, palpitant qui s’emballe, comment les choses allaient-elle tourner ?

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Blabla / Re : Trombinoscope
« le: samedi 13 mai 2017, 14:41:42 »
Je suis du genre discrète voir supra invisible, mais si si je suis là, je vous lis, je vous espionne, tremblez !

Après avoir regardé vos trognes telle une voyeuse, faut bien jouer le jeu (jouer le jeu, le grand jeu ? Ok...*tousse*) c'est la moindre des choses !

 
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)


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One Shot / Re : Une histoire très prenante [PV Grayle]
« le: jeudi 20 avril 2017, 00:29:30 »
" Je suis un chef de guerre généreux. Lorsque quelque chose ne me convient plus, je le laisse à mes hommes. Ils font de leurs mieux pour... se partager équitablement ce à quoi ils ont droit. "

Un court instant, ce fut le blackout pour la blonde. Plus de sons, plus d’images, en dehors de celle qui se dessinaient dans son esprit et qui l’inquiétaient à présent plus qu’elle ne l’excitaient. La situation devenait de moins en moins évidente. Savoir que sa mort n’était pas définitive ne la rendait pas plus agréable et l’obtenir de ses mains à lui, lui semblait assurément impossible.

Elle se laissa faire quand l’orc l’obligea à s’allonger, il aurait été stupide d’opposer la moindre résistance et elle n’en avait pas envie. Peut être sentait-il sous ses doigts qui serraient sa gorge, les pulsations trop rapides de son cœur et sa respiration affolée ? Ce qui était certain en revanche c’est qu’il percevait sans le moindre mal à quel point son intimité était chaude et moite et qu’elle réagissait au moindre de ses mouvements, volontaires ou non.

Alors que la situation commençait à lui plaire, voilà qu’elle cessait, encore. Elle espérait la voir reprendre rapidement son cours mais ce ne fut pas le cas. Au lieu de ça Lirielle se retrouva à grimacer parce qu’on tirait sur ses boucles blondes. Décidément c’était leurs “trucs”, mais ça n’était pas pour lui déplaire, ça pimentait un peu l’instant et s’il espérait voir du dégoût dans ses yeux pâles c’était raté. Ne s’y lisait que reproches, frustration et désir. 

Mais il n’était pas stupide, pour son plus grand malheur et elle regretta amèrement d’avoir laissé son index glisser le long du sexe bandé de son “bourreau” dès qu’il lui en avait donné l’occasion.  Ils étaient au moins d’accord sur quelque chose, il ne servait à rien qu’elle réponde à sa question purement rhétorique. Bien sûr qu’elle le voulait, même si elle doutait que les choses ne se passent sans douleur. Trop large, trop long, trop...Trop.

" Si tu le veux, il te faudra parler. Oh, je suis gentil. Pour chaque information, tu aura la baise de ta vie, petite humaine... si tu refuse... je ne te considérerais plus comme convenable "

La jeune femme continuait, inutilement, d'essayer de masquer son excitation grandissante. Elle s’était rarement, peut être jamais retrouvé dans un tel état, le corps brûlant et les idées à l’envers. La preuve, il lui arrivait quelques secondes d’oublier d’avoir peur. Les choses promettaient d’être compliquées. S’efforcer de ne pas le regarder ne l’avait guère avancé, parce qu’il y avait son odeur masculine, son souffle tiède sur sa peau et le reste. 

" Dans quelle direction est partie l'elfe ? "

Un léger rire échappa à la jeune femme. Si les accords sonnaient agréablement à l’oreille, ils ne parvenaient pas à masquer tout à fait le malaise qui habitait la blonde. C’était un peu risqué de jouer l’excès de confiance, mais qu’il ne croit pas avoir gagné aussi facilement, elle avait tout le temps de se reprendre, hum, plus tard…

- Je crois que vous n’êtes pas assez malin pour la retrouver, même avec cette information et puis j’ai envie de voir si... vous êtes à la hauteur de votre prétention.

Peut être qu’elle pouvait avoir ce qu’elle voulait sans en dire trop, les orcs n’étaient sans doute pas si différent des hommes C’était le genre de provocation qui pouvait fonctionner. Au point ou elle en était de toute façon. Lirielle replia légèrement sa jambe, caressant le sexe d’Arkail de sa cuisse avant de se cambrer légèrement, comme pour lui rappeler qu’il devait se tenir à sa part du “contrat”.

- L’Est…

Elle n’avait pas mentit, il serait temps de regretter plus tard.

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Nuit sans rêves, ni réveils, ça la blonde ne l’aurait pas parié. Peut être Sophia l’avait-elle belle et bien secouru, gardienne d’un sommeil réparateur qui tombait bien. La journée allait être longue et surement difficile. Elle n’avait jamais eu à témoigner, du moins dans cette réalité et bien qu’elle ne soit pas du genre à donner du crédit aux films et séries policières, sans doute y avait-il du vrai ?

Quoiqu’il en soit ce n’était pas ce genre de pensées qui agitaient son esprit. S’y mélangeait plutôt des bribes de souvenirs et de fantasmes sur la nuit dernière. Son odeur, le goût légèrement salé de sa peau, ses hanches sous ses doigts et…
La blonde se réveilla, contractant par réflexe les cuisses autour de la main baladeuse, un sourire se dessina sur ses lèvres avant même qu’elle ne se décide à ouvrir les yeux.

- Il est l'heure mon coeur, Lirielle... Ouvre tes jolies yeux.

- Hummmm…


On avait fait plus efficace comme réponse mais c’était clair. Un mix entre continue et non je veux pas me réveiller. Qui en aurait eu envie dans cette situation ?

- Ca sent bon.

On progressait, une vraie phrase. Lirielle s'étira à peine avant de rouler sur le dos, posant son regard tendre et ensommeillé sur Sophia, tendant la main pour toucher sa joue. Tout ça était bien réel.

- Pas trop fatiguée ?

La jeune femme prit encore quelques secondes pour profiter de tout ça avant de se redresser un peu, glissant un oreiller dans son dos, les cuisses légèrement ouvertes, juste au cas ou le traitement de faveur soit parti pour durer. 

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Centre-ville de Seikusu / Re : Nouveau monde • Lirielle Hathran
« le: samedi 08 avril 2017, 17:54:50 »
"...Y a une seconde j'étais dans une plaine, où on se tapait joyeusement dessus et juste après, POUF, me voilà dans un parc dans un endroit que je ne connais pas ! »

- Alors que moi je suis à deux endroit à la fois...Intéressant.

Tandis que la jeune femme répondait, plus pour elle même que pour celui qui se désignait comme mercenaire, elle s’était mise à tourner autour de lui, se tapotant la lèvre inférieur d’un index curieux. En réalité elle cherchait à comprendre de quelle époque il pouvait venir, plus que du lieu, qui lui semblait de plus en plus évident. Le Japon probablement, ou son équivalent quelque part. S’il savait à quoi ressemblait ce pays aujourd’hui, il en ferait une attaque, elle en était une certaine. Ce n’était pas plus mal qu’il ait atterri ici, il n’était probablement jamais venu dans son...monde. Lirielle fut tenté de lui demander comment il comptait rentrer, mais craignait de mettre le doigt sur un sujet qui fâche et il l’était déjà bien assez comme ça, visiblement. Reprenant sa place face à Sanzo la blonde eut une moue gênée à la suite de ses propos.

« Peux-tu me dire quel est cet endroit ? Si y a une taverne dans le coin ? J'tuerai pour une p'tite guerre de seigneurs, histoire de gagner un peu d'or. »

- Nous sommes à Londres, en Angleterre. Hyde park. Jolie n’est ce pas ?

Lirielle osa un sourire rassurant, peut être un brin amusée.

- Pour ce qui est de trouver une taverne, on ne dit plus vraiment ça maintenant, bien que certains s’efforcent de tenir un commerce ressemblant à ce que l’on pouvait trouver au Moyen age. Ce sont plus des “bars”. C’est comme ça que nous les appelons aujourd’hui. Mais rassure toi, c’est dans la même veine.

Faisant signe à l’homme de ne pas bouger, la blonde revint à ses affaires rapidement, embarquant live, sac et enfilant sa veste d’uniforme rapidement, revenant vers lui.

- Je peux t’y emmener, je te paierais un verre, je doute que tu es de l’argent sur toi et surtout qu’il soit utilisable ici, tu vois ? Allons-y. Je t’expliquerais quelques petites choses, notamment sur la Seigneurie, on ne fait plus la guerre.

Le raisonnement était assez simpliste et manquait d’au moins 90% de détails, mais ça irait bien. Elle ne doutait pas qu’il saurait lui poser les questions qu’ils désireraient et ils auraient tout le temps d’en parler une fois assis devant une bière fraiche, du moins, elle le pensait. Peut être allait-il disparaître aussi vite qu’il était apparu, en plein milieu de l’établissement ? Ce serait bien sa veine...

Tandis qu’il regagnait l’une des grandes allées principales, la blonde s’était mis à fouiller dans le chaos qu’était son sac, en extirpant non sans difficultés une clé accrochée à une bonne dizaine de porte clé. Ce qui n’était pas très pratique mais ne semblait pas gênée sa propriétaire.

- Ma voiture est garée par là. Vous...vous n’avez jamais vu une voiture, si ?

Lirielle avait l’impression de vivre un remake des Visiteurs, version super vilain pas très commode. Dailleurs, ses deux billes d’un bleu profond se posaient discrètement mais régulièrement sur le mercenaire. Il avait un certain charme, viril, qui n'était pas pour lui déplaire malgré tout.

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- A quel moment j'ai dit que tu étais folle?

C’était une étrange sensation qu’éprouvait la blonde alors que la surprise et le soulagement se battait la première place dans le chaos de ses émotions. Alors c’était tout ? C’était aussi simple que ça ? Au sourire tendre de Sophia, la blonde sentit ses joues rosir à nouveau, elle était belle, charmeuse et elle en connaissait bien trop sur ses...talents, pour rester totalement de mabre.  

- Tu parles à une nana qui a chopé des extraterrestres avec une autre nana vraiment barge... Et, j'ai rencontré une vampire alors la plus folle des deux c'est moi.


La première pensée qui vient à l’esprit de la jeune femme qui jouait distraitement avec les boucles de ses cheveux, était qu’elle se moquait probablement d’elle, mais la seconde, qui fut plus rapide et persistante à s’emparer d’elle était que c’était tout bonnement impossible. Le respect, l’empathie et l’affection les en empêchait et s’était terriblement agréable. Tout semblait si facile avec Sophia et Lirielle était heureuse d’en profiter, car la journée de demain risquait d’être moins agréable.  

Cette fois un sourire amusé illumina le visage de la jeune femme à l’évocation des romans de JK Rowlings. Peut être y était-elle déjà allée ? Nul le saurait jamais car la jeune femme n’aborda pas la question.

- C’est un peu différent, c’est moi qui rejoint un monde déjà existant, des gens bien réels, comme si tout ce que nous lisions existait quelque part. Je me suis déjà demandée si ce n’était pas tout simplement l’imagination des auteurs qui avait le pouvoir de créer des...mondes alternatifs. Le notre n’est-il pas que le fruit de l’imaginaire d’un vieil homme très malin ?

il était évident que ses maigres hypothèses passionnaient la blonde, tout dans son attitude et dans son regard brillant le trahissait.

- Je ne sais pas exactement comment ça fonctionne. Tout ce que je sais c’est que quand je quitte un endroit comme celui là et bien, la suite du livre reste inchangée, mais je garde les séquelles, atténué un jour ou deux...C’est passionnant et épuisant. En général c’est quand les choses tournent mal que je me retrouve au coeur du problème. Je ne contrôle pas grands choses, pas plus que je ne me les explique. Mais je crois que je ne pourrais plus vivre sans.

Un long soupire de plénitude échappa à la jeune femme qui se lova dans le bras de la policière, prenant soin de déposer un baiser sur sa peau douce et tiède.

- Tu sais, tout le monde n’a pas ton ouverture d’esprit, toi aussi tu es à part.  

En tout cas, pour elle, Sophia était une exception et ce soir, c'était SON exception.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Nouveau monde • Lirielle Hathran
« le: mardi 04 avril 2017, 00:44:08 »
Lirielle était occupé à relire un roman, paisiblement assise sur sa veste qu’elle avait posé par terre avant de s’asseoir. Elle ressemblait trait pour trait à l’idée que l’on se faisait de l’étudiante modèle. La fameuse jupe plissée et le chemiser au couleurs de l’université dans laquelle elle faisait ses études, son air de petite fille sage et un livre.

Seulement elle n’étudiait pas, elle parcourait le dernier chapitre d’un roman de fantaisie pour la troisième fois, pour la troisième fois depuis qu’elle l’avait “vécu”. Relire, c’était ne prendre un aucun risque, elle ne pouvait pas aller à nouveau quelque part et ça Lirielle le savait pertinemment. Ce n’était pas l’unique raison qui la poussait à s’y replonger, c’était une histoire très prenante, mais une autre histoire que celle qui nous intéresse.

Ainsi donc, alors que le soleil commençait à décliner et que la blonde se disait qu’il était grand temps de rentrer et qu’elle s'apprêtait à se lever, elle se figea et ses pupilles se dilatèrent sous l’effet de la surprise. Capter le reflet d’un katana, si elle ne disait pas de bêtises et voir un homme sortir de nulle part, ce n’était pas commun. Du moins dans ce monde, celui qui était sensé être le sien et dans lequel elle se sentait étrangère.

Mage ?

La jeune femme resta là, indécise. Ici, si elle mourrait il n’y aurait pas de retour au calme et le type, qu’elle ne voyait que de dos, avait l’air plutôt agité. Mais Lirielle était en proie à une excitation et une curiosité hors norme et grandissante. Comme l’arme avait retrouvé son fourreau et l’inconnu son calme, la blonde s’avança, oubliant livre et veste. Il agissait comme s’il cherchait quelque chose, sûrement à se repérer et il finit par se retourner. Lirielle découvrit le regard colérique ou renfrogné, dur à dire, de celui qui était arrivé de nulle part. Loin de s’en formaliser, les yeux de blonde eux, brillaient de malice, d'intérêt et un sourire discret c’était dessiné sur son visage. 

- Bonsoir, je peux vous aider ? Je vous ais vu...apparaître. Vous aussi vous voyagez n’est ce pas ?

Sans prendre plus de précaution la blonde avait avancé jusqu’à se retrouver à un pas ou deux de distance.

- Comment est-ce que vous faites ? Il vous faut forcément un mage ? Comment le prennent les autres, est ce que vous le leurs avez dit ? Vos proches, vos amis. Est ce qu’ils s’en rendent compte ?

Elle, en tout cas, se rendit compte du débit de ses mots et surtout du nombre de questions qu’elle venait de poser en l’espace de quelques secondes sans laisser à son vis à vis le temps d’en placer une. Lirielle baissa les yeux, un peu coupable, avant de chercher à nouveau le regard du mystérieux... Elle n’en savait rien, c’est peut être par là qu’elle aurait dû commencer.

- Je suis désolé c’est juste que...C’est la première fois que je rencontre quelqu’un de différent, comme moi. Je m’appelle Lirielle.

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Il y a des moments ou ne pas se faire prier est la meilleure idée qui soit et Lirielle s’était glissé sous les draps encore tièdes de leurs ébats immédiatement, à la limite de l’impatience, retrouvant cette source de chaleur, cette douce odeur et le rythme lent d’un coeur paisible qui battait tout contre elle.   

- Tu es une fille spéciale et pourtant on se connaît à peine mais tu as fait exploser toutes les barrières que j'avais dressé entre moi et le monde.

- Il y a un moment ou on n’a pas le choix si on veut continuer à vivre vraiment, mais tu ne dois cette réussite qu’à toi même. Je suis heureuse d’en avoir été l’élement déclencheur.

Distraitement, la main de la blonde caressait le bras de Sophia alors qu’à nouveau elle affichait une moue boudeuse. Parler d’elle, ça ne lui plaisait pas, mais elle n’avait pas envie de le lui refuser, parce qu’elle, aurait voulu tout savoir, absolument tout. Mais comment se dévoiler sans parler de “ça”. Là résidait toute la question...

- Allez dis moi tout, c'est pas comme si t'allais m'annoncer que c'est toi l'assassin


Elle aurait presque préféré...

- J’aime la lecture, depuis toute petite. J’ai le pouvoir de rendre réel ce que je lis. Je ne veux pas dire par là que j’ai beaucoup d’imagination non, même si c’est le cas, je voyage réellement…

Peine perdu, c’était trop dingue, trop compliqué à expliquer. Lirielle laissa échapper un lourd soupire, toujours lové contre la policière. Pourquoi avait-il fallu qu’elle soit si honnête ? Elle le savait en réalité, se mentait peut être, mais elle craignait sa réaction, comme elle craignait celle de tous. Mais son jugement à elle, avait bien plus d’importance.

- Tu aurais préféré que je t’annonce être l'auteur du crime plutôt qu’une folle, hein ? 

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- Tu... Tu... Tu es formidable…

- Je sais répondit la blonde avec un clin d’oeil et un sourire amusé. C’est l’effet que tu me fais qui est formidable.

L’attirant par les hanches une dernière fois, la blonde lui avait volé un énième baiser, encore, plus sage, rassasié, mais pas moins passionné avant de s’écarter d’elle pour retrouver la chaleur de la douche, se décidant à y faire ce qu’on était censé y faire. La blonde abusait peut être quelque un peu de l’hospitalité de Sophia, mais les quelques secondes de trop qu’elle avait passé à profiter les yeux mi clos de la chaleur qui délassait ses muscles l’aidait à se détendre, elles étaient nécessaire, parce qu’elle avait beau en avoir vu d’autres, les images du meurtres lui revenait bien trop souvent.

Finalement, la blonde se décida à sortir, posant bientôt ses pieds sur le tapis de bain moelleux. Lirielle glissa la main dans ses longs cheveux pour dégager son visage, son corps constellés de goutte d’eau que la serviette que son hôte avait laissé pour elle essuya bientôt.

- Il est trois heures du matin ma belle et demain j'ai encore ta déposition à prendre pour revenir sur le meurtre... Maintenant il faut dormir mistinguette, je suis au bout de ma vie, tu m'as épuisée et c'est assez rare pour le dire...

- Le meurtre...Oui, je n’arrête pas d’y penser répondit la jeune femme en tout honnêteté, du moins dès que tes mains ne sont plus mon corps.

La blonde tendit la sienne pour se saisir, sans les regarder, d’un des pyjamas que lui tendait Sophia.

- Peut être que je devrais garder mes distances pour le reste de la nuit, je ne voudrais pas finir par te tuer.

Mais tandis qu’elle prononçait ses mots avec un sourire ses doigts s’étaient saisit de ceux de la blonde et elle avait ajouté sans lui laisser l'occasion de répliquer :

- Je serais sage, promis.

Elle l’avait suivit jusqu'à la chambre, sans enfiler le pyjama qu’elle tenait soigneusement plié sur son bras. Les yeux pâle de la jeune femme se posèrent sur le lit. 

- Tu vois un inconvénient à ce que je dorme nue ? J’en ai l’habitude.


Ce n’était pas très beau de mentir, mais elle considérait que la situation le méritait. Elle n’aspirait qu’à s’endormir contre le corps chaud de sa sauveuse. 

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One Shot / Re : Une histoire très prenante [PV Grayle]
« le: jeudi 16 mars 2017, 21:33:58 »
Il est toujours difficile de garder sa dignité quand on se retrouve nu contre son gré, tout autant quand on tombe par terre et pire encore quand on cumule les deux. Par contre, il est un tout petit peu plus facile de faire croire que ça ne nous atteint pas.

Lirielle était libre de penser qu’elle y parvenait en tout cas. Seulement, son visage inquiet  la trahissait sans mal. Sans chercher à se relever, la blonde avait observé les faits et gestes de l’orc en contre plongé, le visage fermé mais le regard curieux, intrusif, fascinée comme elle l’était par ses muscles qui roulaient sous la peau, ses mains qui pouvaient lui broyer la gorge sur un coup de tête, ou tout autre chose…

La jeune femme n’y connaissait pas grand chose en kidnapping, mais quelque chose lui disait qu’il en avait l’habitude et qu’il faisait ça très bien. D’ailleurs il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre comment les choses fonctionnaient ici. Restait à voir dans quelle mesure elle allait se plier aux règles établis. Après tout, dans son cas, mourir reviendrait pour ainsi dire à gagner. Y parvenir ne devrait pas être si compliqué que ça, même si la barbarie dont cette race était capable l’effrayait, pour ne pas dire terrorisait. Une trop grande partie d’elle même, qu’elle aurait voulu faire taire, lui criait de se tenir à carreau et de lui donner les informations qu’il demandait mais il était hors de question d’y céder.

" J'admire ta loyauté à la cause, moins ta suffisance, putain. Je peux te torturer pendant des jours si je le souhaite. T'infliger les pires des supplices. Evites de tester ma patience... "


- Je me comporterai sûrement différemment si la vôtre, de cause, trouvait une justification valable à mes yeux. Mais je ne comprend pas.

Il n’y avait plus guère de défi dans la voix de la blonde, elle n’était pas assez stupide pour ça. Plutôt de la curiosité, se pouvait-il que certaines choses lui échappe ? Était-ce l’alcool, cette étrange attirance qu’elle éprouvait pour cette race ou bien la deux qui la poussait instinctivement à leurs trouver une excuse ?  

Elle n’eut pas l’occasion d’y penser plus avant, alors que sa main froide s’était posée sur sa joue brûlante et douloureuse dans l’espoir d’un soulagement, une autre plus large, plus calleuse et délicieusement tiède s’était aventuré ou il ne fallait pas. Vraiment pas. L’odeur d’Arkail mêlée à celle du vin, le timbre de sa voix, le pouvoir qu’il avait sur elle, l’intelligence qu’elle décelait chez lui, tout ça la maintenait dans un état perpétuel d’excitation et de peur.

" Je pourrais aussi te livrer à mes orcs. Ils seraient très heureux de goûter à une ch... "

Lirielle aurait préféré qu’il ne s’en rende pas compte, parce qu’elle craignait précisément qu’il fasse ce qu’il venait d’évoquer. Un orc c’était une chose, deux aussi, trois peut être...Lirielle ferma les yeux à la fois pour effacer les images qui venaient de se former dans son esprit et auquel elle ne survivrai surement pas et dans l’espoir vain que de ne plus le regarder dans les yeux soit suffisant pour calmer ses ardeurs. La blonde avait bien tenté de serrer les jambes et de repousser cette intrusion mais ça n’avait fait que retarder l’inévitable d’une poignée de secondes.

- J’aurais préféré le terme opportuniste.

La couverture glissa un peu, dévoilant à nouveau sa nudité presque parfaite, dont elle n’avait pas conscience et qui la rendait plus attirante encore. Elle avait soudain bien plus chaud et se cacher ne faisait plus partie de ses priorités. Il n’y avait que les idiots qui ne changaient pas d’avis.

- Vous êtes du genre à partager ce qui vous appartiens ?

C’était ce qu’il avait décidé, qu’elle soit sa prisonnière après tout.
Elle espérait qu’il ne l’oblige pas à retraverser le camp, à quitter la sécurité relative de sa tente, qu’il s’occupe d’elle. Surtout qu’il continue ce qu’il était en train de faire et que rien ne vienne encore compromettre son plaisir et sa curiosité.

Son corps s'arc bouta légèrement, demandeur, ses poings se fermant légèrement et un gémissement lui échappa alors qu’elle se décidait à rouvrir les yeux. Elle retint son souffle, appréhendant ses réactions.

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A nouveau son cœur s'emballa, son corps parcouru d’une douce décharge qui lui arracha un énième frisson, un énième cri de plaisir étouffé par le bruit de l’eau. Cette fois sa main glissa jusqu’à la nuque de Sophia et la pressa contre son corps avec force, sans plus se préoccuper de quoique ce soit, elle n’était pas en état de réfléchir, elle ne l’était plus depuis un moment déjà. Son autre main acheva de glisser, laissant pour un instant la trace de ses doigts sur la paroi transparente.

Peut être qu’elle aurait du s’inquiéter du pouvoir et de la place que cette femme avait prit en si peu de temps dans son existence, dans ce monde, le sien, la réalité comme se plaisait à le dire les psychiatres. Lirille ne réalisait pas, n’entrevoyait pas la possibilité qu’elles se revoient, elle avait fermer les portes de son cœur à double tours, c’était plus facile. Seul son inconscient s'évertuait à lui envoyer des messages qu’elle refusait d’entendre, d’accepter, pour l’instant.

- Viens,
lança la blonde d’une voix faible, légèrement déformée par l’émotion et les ondes de plaisirs qui irradiaient encore tout son corps, dans un petit nuage de bué. Elle s’était écarté, s’échappant à l'étreinte de Sophia pour l’obliger à se relever.

- Tournes-toi.


La blonde la poussa avec tendresse contre le mur couvert de multitudes de gouttes d’eau avant de poser doucement ses mains sur ses épaules et de lui murmurer de fermer les yeux, tout prêt de son oreille. Dans son dos le jet continuait de diffuser une chaleur presque désagréable mais la simple idée d’écarter une seule main de ce corps lui était insoutenable. Lirielle avait envie de pousser un peu plus encore leur moment, de le faire durer, de lui donner des teintes et des nuances, un peu de douceur et de délassement pour commencer. Elle entreprit de masser les épaules et la nuque de la jeune femme avec application et un certain doigté, ce n’était visiblement pas la première fois qu’elle se prêtait à ce petit jeu. Ensuite, il manquait une pointe d'érotisme et ses mains vinrent enfermer la poitrine de Sophia dans les siennes, les malmenant entre tendresse et avidité avant de laisser ses mains courir le long de ses flancs, pressant son corps contre le sien, jusqu’à ce que la frustration et le besoin de la faire gémir à nouveau ne la pousse à glisser sa main entre ses cuisses, à écarter doucement les lèvres de son intimité pour y glisser ses doigts. Enfin, alors qu’elle laissait deux doigts la pénétrer, ses dents gouttèrent à la peau de sa nuque avec force dans un gémissement, excitée par les premiers mouvements de bassin de sa partenaire.

- A ton tour…


Et doucement, l’exploration se fit exigeante, moins timide.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Au mauvais endroit, au mauvais moment. [PV Sophia]
« le: vendredi 24 février 2017, 00:27:14 »
- Cela dépend des jours, mais à cet instant, je ne veux pas être ailleurs. Je suis bien et c'est grâce à toi.

C’était assez étrange comme ses mots lui donnaient à elle un fort sentiment de réconfort, non pas par une quelconque empathie, plutôt comme si elles en avaient autant besoin l’une que l’autre. C’était peut être le cas, surement.

-Qu’il dure encore longtemps notre moment.


Un petit sourire en coin avait illuminé le visage de la blonde dont les yeux brillaient d’une envie qui ne semblait pas prête de faiblir. Le feu était éteint mais les braises étaient toujours là, créant cette douce chaleur qui se répandait dans le corps de la jeune femme comme une onde au grès des nouvelles caresses de Sophia, au contact de l’eau entre leurs deux corps.

Lirielle baissa les yeux sur son hôte, sur cette jeune femme, cette inconnue qui la rendait folle, dépendante, dans une attente perpétuelle, plus, toujours plus. Elle la fixait et même si ses joues rougissaient à son contact, à la chaleur, elle voulait la regarder, admirer son beau visage, là, toute dévouée qu’elle était à son désir. La blonde passa une main dans ses cheveux, écartant les mèches gorgées d’eau qui osaient gâcher sa contemplation. avant de la poser sur l’épaule de sa partenaire. Son autre main, chercha l’appuie du mur, de la paroi transparente, n’importe quoi parce que cette femme la rendait folle. Elle ne savait plus vraiment ou elle se trouvait, il n’existait plus qu’elle et elle en gémissait, en tremblait d’impatience, ses ongles s’enfonçant doucement dans son épaule à mesure que le plaisir montait, s'efforçant de ne pas laisser aller jusqu’à sa nuque, de ne pas l’écraser sur son sexe. 

- Continue…

Sa main glissa un peu sur le mur humide, ses yeux continuant de la dévorer. Encore un peu, encore.

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Sa main un peu tremblante s’était posé sur sa peau, chaude, tendre, sa cuisse se lovant instinctivement contre la sienne. C’était un besoin, une urgence presque. Comme si elle craignait que ce moment prenne fin, comme si elle se devait de la toucher pour qu’elle ne disparaisse pas. Mais ce serait le cas, pourtant. Lirielle avait appris à prendre son parti, mais pas ce soir, cela lui semblait plus complexe qu’à l’accoutumée.

- Te revoilà sur terre Lirielle...

- Non, je ne sais pas ou on est, mais c’est bien mieux que ça.


Nouveau baiser, toujours aussi agréable, qui fit naître à nouveau une onde d’envie dans le corps encore gorgé de sensations de la blonde, qui émit un vague grognement de contestation quand Sophia saisit son menton entre ses dents. Mais son sourire amusé exprimait tout le contraire. Lirielle se leva prestement après avoir caressé le visage de la jeune femme une dernière fois.

- Montres moi la salle de bain.

Elle l’avait suivit, indifférente au liquide chaud qui coulait entre ses cuisses, ne pouvant s'empêcher de pincer une des fesses parfaites de Sophia après l’avoir dévoré des yeux sans la moindre pudeur.

- Pour le coup de dent…

Il n'y avait en réalité aucune justification, juste une pulsion. La blonde dépassa son hôte avec un petit clin d’oeil satisfait et laissa son regard découvrir cette nouvelle pièce.

- Tu dois être bien dans cet appart’ !

L’était-elle vraiment ? Seule avec des souvenirs et des remords. Lirielle en doutait, elle regrettait cette affirmation qui lui avait échappé. Elle saisit sa main et l'entraîna dans la douche la repoussant avec douceur mais fermeté contre la paroi froide, elle voulait la sentir frissonner dans ses bras. Un gémissement échappa à nouveau à la jeune femme quand leurs poitrines se touchèrent et d’une main fébrile, elle activa l’eau chaude.

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Ses doigts chauds sur son corps alors qu’elle se laissait repousser sur le matelas suffisaient toujours à la rendre folle. Un frisson traversa son échine alors qu’une des mains de Sophia descendait doucement vers son intimité, à peine moins trempée, que ses caresses expertes avaient remis au supplice alors qu’elles s’embrassaient.

Encore, toujours, qu’elle continue...  

Ses doigts entrèrent elle, Lirielle se sentait moite, humide, à sa merci coincé là sous ce corps que ses propres redécouvrent encore et encore et cette situation lui plaisait vraiment beaucoup, mais ses dents vinrent capturer sa lèvre un instant, serrant juste ce qu’il fallait, lui rappelant bien involontairement, portée par le plaisir monstre que sa partenaire lui procurait, que de poupée, l'innocente” blondinette n’avait que l'apparence.  

Mais ce bref coup de dent ne dura guère plus d’un instant, Lirielle basculant la tête en arrière offrant sa gorge à Sophia dont elle sentait les cheveux lui caresser la poitrine et les épaules. Elle perdait pieds, totalement, gémissant plus fort encore quand elle la coinça entre ses jambes. Sa partenaire ne lui laissant pas le moindre répit, ses doigts allant et venant à un rythme parfait, appuyant ou il le fallait pour faire monter le désir encore et encore, vite, trop fort. Combien en elle ? La jeune femme aurait été bien incapable de le dire mais elle se sentait rempli, comblée.

- Tu aimes ça ma belle, vas y cris pour moi, fait moi entendre que tu jouis pour moi.

La jeune femme releva les yeux pour croiser ceux de Sophia, l’air hagard, ailleurs. Elle se mordit la lèvre, gênée de sa demande, se sentant rougir, mais c’était juste elle, juste ce soir, juste cette chambre alors…

Est ce que c’était ce doigt qui jouait de son point sensible, ces mots qui l’excitaient qui avaient encore fait monter le désir d’un cran ? Les deux probablement, mais la blonde haletante, sentait qu’elle n’en avait plus pour très longtemps…

-Continue...S’il te plait...Encore !

Encore, juste un peu, juste là et elle lui offrit ce qu’elle voulait. Elle hurla, se cambrant, jouissant sous ses doigts, sa main écrasant son poignet, l’autre un de ses seins généreux, tentant de garder un vague contrôle sur les spasmes qui parcouraient son corps, son regard noyé dans le sien.

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