Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Orta Walkyrien

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Prélude / Re : Une Celkhane infiltrée chez l'ennemi [Violidée ~♥]
« le: mardi 01 novembre 2016, 20:28:31 »
Bienvenue à toi mi-ennemie, mi-...ah ennemie aussi ^^

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Bienvenue à toi, sorcière d'égypte

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Prélude / Re : Préz' Almarikienne
« le: jeudi 27 octobre 2016, 13:26:20 »
Bienvenue ^^

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Ma contemplation m'excitait un peu plus de seconde en seconde, et alors qu'elle commençait à jouer avec son corps, la chaleur recommença à m'envahir, maintenant et plus que tout, je la désirais ardemment. Mais je préférais rester dans ce canapé à observer ses merveilles plutôt que de briser l'ambiance sensuelle qui s'est installé. Elle vint ensuite s'approcher, avec ses gestes envoûtant, elle a désormais un total contrôle sur moi, qui est la marionnette de qui depuis le début d'ailleurs ? C'est moi qui ai commencé par lui dire qu'elle pouvait me demander ce qu'elle voulait. Mais je n'avais vraiment pas la tête à penser à ça sur le coup.

Elle se positionna sur mes jambes, dos à moi, appuyant sur mon sexe sous ses hanches. Cette sensation de mouiller et de presser me fit gémir malgré moi, levant les yeux au ciel. Et alors, elle commença à se déhancher sur moi, laissant nos deux sexes se frotter l'un à l'autre. Bien que le plaisir soit différent de celui que je ressentais quand je la pénétrais, ma voix ne put tout de même pas s'empêcher de gémir entre deux souffles difficiles. Le pilier de chair devenait alors de plus en plus dur, grandissant encore un peu pour montrer le bout entre ses deux cuisses. Plus elle le faisais, et plus le désir montait en moi, au point que je n'attendais plus qu'une chose, c'est qu'elle passe à la suite.

Magdalena se mit ensuite dans une position étrange, annonciateur que les choses allaient enfin s’accélérer, et au vu de mon excitation, il était temps car je n'allais pas tarder à la violer sur place sinon. Mon sexe pénétrait doucement son autre trou qu'elle m'avait montrer un peu plus tôt. Je commence alors à gémir à cette sensation, puis la contraction de ses parois sur mon sexe me fit lâcher un léger hurlement de plaisir totalement incontrôlé. Je sentais mon sexe bouillir au fur et à mesure qu'elle se plantait sur moi, et quand elle finis par atteindre le bout, je savais que ma limite avant d'exploser n'est pas loin.

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Je la laisse encore un peu profiter du bien que je lui fais, n'étant moi même pas si pressé que ça d'arrêter, mais j’étais curieux de savoir quelle autre pratique elle allait me faire découvrir. Elle ne semblait pas être énerver ou gonfler de ma proposition, ce qui était déjà un plus. Elle m'embrassa après me dire ce que je devais faire pour qu'elle puisse me montrer ces choses comme elle le disait. Je la repose doucement sur ses pieds et m'éloigne d'elle pour m’asseoir sur le canapé tout en la regardant.

Je l'observais de haut en bas, dévorant des yeux chaque partie de son corps, que je trouvais désormais plus que désirable. Mes yeux étaient même scotché à ses seins, tellement doux et tellement ferme, je serais bien repartie pour aller lui dévorer. Et il y avait ses lèvres entre ses jambes aussi, sa simple vue me faisait transpirer, jamais je ne me serais douté que cette endroit puisse être aussi merveilleux. Une chose était sur désormais, plus jamais je ne verrais de femmes de la même manière, cette journée restera à jamais gravé dans mon esprit, bien plus que tous les combats que j'avais put mener. Mon sexe, quant à lui, restait encore bien droit, même peut-être encore un peu plus grand que tout à l'heure, et semblait impatient de savoir ce qu'on pouvait bien lui réserver pour la suite.

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Continuant mes mouvements, j'appréciais beaucoup les bruits d'éclaboussure que produisait la danse de nos deux corps. Alors elle me chuchota qu'elle était ma chose, que je pouvais faire ce que je voulais d'elle. Étonnement, cette phrase eu l'effet inverse sur mon esprit et me fit gagner un moment de lucidité. Ce qu'elle me proposait pouvait paraître alléchant, mais pour moi c'était comme si elle venait de me mettre à la place d'un dieu pour elle, ordonnant aux hommes, se prétextant supérieurs, et les utilisant à leurs bons vouloir tels des marionnettes. Je ne suis pas comme ça, je me bat justement contre ça, alors que les démons d'où je viens utilisait les humains à leurs fins perverses. J’eus un léger ralentissement dans mes mouvements en pensant à ça et les chassa pour regarder Magdalena dans les yeux et lui dire avec un léger sourire:

"Oh non. Je t'ai montrer ce que je valais, peut-être que toi aussi tu pourrais avoir des choses à me montrer"

J'ignorais totalement si la perspective de ne pas seulement se laisser faire et de participer elle aussi à l'acte pouvait la ravir, mais au vu du plaisir qu'on prend tous les deux, je pense que le sexe est quelque chose ou les deux se donnent, et la faire participer pourrait rendre les choses intéressantes. Mais cela ne m'empêcha pas de continuer ce que je faisais en recommençant avec un de mes doigts dans son anus afin de rajouter un peu de "profondeur" à son plaisir.

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Les hurlements de plaisir que poussait Magdalena me paraissait bien moins être de la douleur en cet instant, car je comprenais très bien pourquoi elle hurlait. Mais savoir que je lui donnait un tel plaisir me fit du bien en un sens, ou plutôt me rendait heureux, oui, j’étais heureux de pouvoir entendre le son que produisait ses intenses vagues de plaisir. Je ne put retenir un sourire qui s'étira sur mes lèvres alors que je mettais du cœur à l'ouvrage, voulant toujours faire plus de bien à cette femme qui m'en faisait aussi, à cette personne qui pour une fois, je ne faisais pas tout pour la tuer, pour une fois je me sentais appartenir à quelque chose.

Elle se releva alors que je l'embrassais au milieu de notre danse euphorique, et vint placer ses lèvres tendre et pulpeuse qui me donnait toujours plus envie de les recouvrir des miennes au creux de mon oreille pour me susurrer des mots qui rendrait fou de désir n'importe quel puceau en ce monde. Elle semble vouloir m'exciter encore plus pour que je ne m'arrête pas à lui faire du bien, mais elle doit sûrement ignorer que, bien que le plaisir que je ressent est suffisant pour me faire perdre la tête, ma longue vie de guerre et de morts, ainsi que les malédictions que j'ai subis et qui palpitaient dans mon dos me donnent une endurance de titan, pas moyen que je jouisse avant un moment, et encore moins que je m'arrête. Si elle a de la chance, je ne m'occuperais d'elle que cette nuit, sinon elle serais bien obliger de passer quelques coups de fils durant nos ébats pour prévenir qu'elle ne pourrait certainement pas venir assurer ses obligations. Mais cela, je ne m'en soucie pas le moins du monde, plus par ignorance que par égoïsme, et dans cet état il allait être très compliquait pour elle de m'arrêter.

Je décide alors de changer de position et de me lever de ce canapé en la tenant toujours contre moi, puis envoie son corps en arrière après un dernier baiser, la plaçant comme en position couché dans le vide, perpendiculaire à mes hanches alors que je tenais son corps fermement et recommença mes mouvement avec toujours autant de passion, mais rajoutant à cela un mouvement de va et viens à son corps, m'en servant littéralement comme d'un sex-toy, et amplifiant l'impact de mes coups de reins sans pour autant augmenter leurs violences. De temps à autres je désynchronisais même le rythme de nos deux corps pour que les mouvements soient plus aléatoire, et le plaisir moins constant mais plus en vagues nombreuses, parfois plusieurs petites cherchant à te faire couler tellement elles sont proches, parfois laissant un léger vide un peu plus calme, mais qui ne signifiait qu'une vague bien plus puissante approchant, suivi encore par d'autre plus légère. Je cherchais plusieurs moyens de faire varier ce plaisir que je voulais toujours plus grand, et me met alors à utiliser ses hanches comme d'un moulinet sur moi pour rajouter une dimension aux sensations merveilleuses qui nous ont déjà certainement fais oublier le reste du monde.

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Alors que je continuais mes mouvements, Magdalena me bloqua avec ses bras tout au fond d'elle, je sentais alors sa gorge me masser ma chair dur, tendu par l'excitation et le plaisir. Le plaisir continuait de me faire gémir alors que je ne tentais rien pour me libérer. Ses mains stimulaient mes bourses et me fit frémir tout le long de mon corps, jusqu'au bout de mon sexe qui remuait tout au fond de son passage étroit que j'obstruais totalement. Elle répéta cela plusieurs fois, reprenant son souffle quand l'air venait à manquer, et finis par tout arrêter après plusieurs minutes qui étaient déjà devenu les meilleurs de ma vie.

Magdalena joua avec ses lèvres intimes sous les yeux alors qu'elle me lançait un sourire qui fit fondre les derniers restes de ma volonté et ses yeux m'observaient avec envie, une très grande envie. A partir de là, je n'aurais pas dût savoir quoi faire, mais mon corps agissait déjà par lui-même et la coucha dans le canapé violemment, se mit entre ses cuisses, agrippant ses hanches et s'enfonça brutalement en elle de toute sa longueur. Ce simple geste me fit lâcher un grand gémissement alors que le plaisir intense traversa mon pénis pour remonter tout le long de mon corps et exploser en moi. Je ne perdit pas de temps et lui assena des coups de reins bien plus violent que je ne l'aurais voulu, faisant claquer ma chair contre ses fesses rebondit. Mes mouvements cherchèrent comme à s'approprier l'intérieur de cette femme parfaite et je la collait a moi pour dévorer ses lèvres et partir chercher sa langue pour l’entraîner dans une nouvelle danse frénétique au rythme de nos corps luisant déjà par la sueur.

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Un frémissement parcourut mon corps quand elle toucha mon sexe qui tressauta à ce simple contact. Elle avait passer sa main autour de lui pour l'empoigner et faire glisser ses longs doigts d'une douceur exquise le long de mon membre en feu. Les sensation que je ressentais alors me paraissait impossible avant que je ne les ressente par moi-même et mon esprit redevint blanc, m'abandonnant totalement au plaisir. Je laissais aussi sa bouche se poser contre le bout de mon pénis, ce qui déclencha de nouveau un grand frisson en moi alors que je sentais son souffle effleurer cette partie de mon corps que jamais je n'avais soupçonné sa sensibilité. Elle le fit rentrer dans sa bouche, ce qui me fit pousser un long soupir tandis que je sentais mon intimité au chaud dans cette bouche humide. La vision de ses lèvres autour de ce morceau de chair dur qui m'appartenait m'excitait profondément, profitant au maximum de cette effet pulpeux qu'elles avaient.

Ne me retenant plus, j'attrape alors sa tête avec force et commence a remuer mes hanches dans cette bouche qui à chaque passage, me donnait un peu plus de plaisir. Je n'y allais vraiment pas doucement, oubliant tout ce qui se passait autour, ne laissant dans ma tête que ses pensées chaudes qui tournaient sans cesse. J’accélérais pour savoir si le plaisir pouvait encore augmenter d'un cran, et sentir la langue de cette fabuleuse personne me lécher avidement le gland alors que je continuais ce déhancher hypnotique, me fit pousser des bruits quand jamais je n'aurais crut possible de ma part, presque ridicule, mais pour l'heure je m'en moquais bien totalement concentré sur ce qui arrivait à mon sexe.

"C'est...génial... Je veux ressentir ça...encore plus...beaucoup plus..."

Perdant un peu plus de vue la limite que j'essayais de me poser pour ne pas lui faire mal, mes hanches cherchèrent à aller toujours plus profondément en elle, et ne résistant plus à ses pulsions inavouable, je me lâcha totalement, refermant la prise sur sa tête et enfonçant mon énorme engin profondément sa gorge, et accentua encore les mouvements, comme si je cherchais à creuser toujours plus loin en elle. Mon corps se crispait sous l'effet du plaisir et ma tête se renversa, laissant sortir des gémissements toujours plus fort que le précédent.

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Je passais plusieurs minutes à m'occuper de son trou d'amour, n'arrivant simplement pas à lâcher le goût et le bien être que cela me faisait. Je continuais toujours mon exploration en passant un de mes doigts trempés de sa cyprine dans son autre trou situé plus bas, et j’administrai le même traitement que son vagin a son anus. Mon rythme devenait saccadé à force d'avoir du mal a me retenir, mais si je donnais tout ce que j'avais, j'allais obligatoirement la blessé, et ça, c'était inadmissible. Combien de temps j'allais encore pouvoir résister, je l'ignorais, mais il le fallait.

Dans mon pantalon, je sentais ma chose qui était devenu tellement grosse et dur que mon pantalon n'arrivait plus à la contenir, me dérangeant beaucoup et m'excitait encore plus. Je décide alors de mettre les bouchées doubles, soulevant ses hanches alors que je me mettait a genoux pour qu'elle soit penché vers le bas et pouvoir plaqué un peu plus ma tête dans son intimité, frottant mes lèvres aux siennes, ma langue encore plus déchaîné dans son antre mouillé. Ma main enfonça mon doigt le plus loin possible dans son anus, et mon autre main essayait de stimuler le plus de point sensible simultanément dans des mouvement trop rapide pour être humain.

Je continuais comme cela durant plusieurs autres minutes, mais j’atteignis finalement ma limite et la relâcha en me levant vers elle. J'ouvris mon pantalon et laissa mon sexe sortir proche de son visage, un long membre de chair plus dur que de la pierre était levé fièrement, atteignant une taille et une épaisseur qui rendrait blanc tout homme sur terre, et folle d'envie toute les femmes de ce monde. Avec un engin pareille et ses capacités physiques bien supérieur à celle de tout humain, cette vision promettait beaucoup de plaisir à celle que son aura englobait encore plus dans ce désir inassouvissable qui la submergeait. Et pour accentuer le tout, l'odeur virile et puissante qui s'en dégageait lié à celle de la sueur qui imprégnait son pantalon depuis déjà de longue minute ferait oublier instantanément n'importe quel autre homme dans sa vie.

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Je ne comprenais pas trop l’intérêt de lui donner mon sexe, mais vu les réactions insoupçonnés qu'il avait eu à cause de Magdalena, je ne pouvais qu'imaginer que des choses étranges allaient encore se produire. Je décida donc de continuer mon exploration pour le moment, et surtout mes gestes de langue afin de pouvoir écouter ses doux bruits qu'elle produisait. Mais cela me frustrait aussi en partie, je voulais qu'elle fasse plus de bruit si cela montrait son plaisir, et j’accélère donc mes mouvements de mains et de langues pour lui donner plus de plaisir encore. Son étrange organe qu'elle a entre les jambes semble plus sensible de ce que j'en ai compris, et lâche donc son sein que je dévorais déjà à pleine dent en faisant rouler son téton avec ma langue pour la glisser le long de son intimité et caresser cet endroit si humide.

Mes doigts passait partout sur les formes de cet entre-jambe et s’arrêtèrent sur une petite boule saillante, que je m’empresse d'appuyer et de frotter dans tous les sens, l'attrapant pour le rouler comme ses tétons et le tirer légèrement pour le stimuler au mieux. Je m'amusais a le malmener en veillant toujours à ce que jamais je ne lui fasse mal, mais profitant de ma force et de ma vitesse hors norme pour lui faire ces choses de façon à ce qu'aucun autre ne pouvait en être capable. Mes doigts se déplacèrent ensuite vers le petit trou que j'avais déjà repéré plus tôt. Sans attendre, et avec une grande vivacité, j'enfonce alors deux doigts dans se trou, caressant et frottant tout ce qu'il pouvait, les tortillant brutalement en les secouant avec ma main dans un mouvement rapide et fort de va et viens ainsi de tous les côtes de son vagin. Même si la technique était encore neuve, l'application mise avec dévouement et la force employé pour donner le plus de bien possible sont quand à eux remarquables. J’utilise mon pouce aussi pour stimuler son clitoris en même temps, et la faire crier le plus fort qu'elle pouvait.

Mais mes pensées était vraiment trouble et je ressentais les mêmes sensations qu'en plein combat, ne pouvant simplement plus m’arrêter je lâche alors ses seins pour descendre et me jeter contre son intimité déjà bien maltraité, léchant et pinçant de mes dents les parois de son antre, suçant son petit bout de chair rougie du traitement de mes doigts, ma langue le frappant et frottant à un rythme insoutenable. J'attrape alors ses fesse rebondis et envoie ma langue le plus profondément possible en elle, agissant de concerts avec mes doigts toujours présents, accélérant même mes mouvements dans une frénésie de plaisir, et suçant son minou comme pour aspirer tout le jus d'amour qui pouvait encore s'en échapper, savourant ce goût que je voulais désormais sentir couler dans ma bouche chaque jour en ce monde.

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Ce que me demandais Magdalena était assez simple en soi, bien qu'étrange pour moi. Elle avait éteint la télé, ne me laissant plus aucun moyen d'en apprendre plus sur cette pratique. Mais la chaleur qui envahissait mon cœur en vague de plus en plus puissante embrumait mes pensées et chacun de mes sens était en alerte, tous concentrés vers cette femme que je ne pouvais désormais plus quitter des yeux. Sans crier gare, j'attrape alors son haut que j'arrache sans aucune difficultés, laissant aller toutes mes pulsions, et surtout ma frustration accumulé durant ces derniers jours. Je suis habitué à me déchaîner dans les combats, me défoulant totalement sur des démons, mais ici, je venais peut-être de trouver un autre moyen de me défouler...

Mon aura venant alors de devenir bien plus puissante, elle recouvra totalement Magdalena dans une envie débordante, agissant comme un aphrodisiaque très puissant sur elle. Je plaqua Magdalena au canapé en me positionnant au dessus d'elle et attrapant son jolie petit vêtement qui cherchais encore à cacher tant bien que mal les deux énormes montagnes de la jolie blonde, avant de le déchirer d'un mouvement vif, faisant penser à un prédateur qui s’apprêtait à dévorer sa proie.

Mes mains attrapèrent aussi sa jupe et le sous-vêtement dissimuler en dessous, encore protéger par le collant et enleva le tout d'un simple geste brutal. Je lance alors au loin ses vêtements en mauvaises état à cause de mon traitement et admire son corps nu avant de me jeter sur ses lèvres, enfonçant ma langue dans sa bouche et la faisant aller un peu partout pour commencer mon exploration par là. Le baisé est rapide et fougueux, ma langue torture la sienne dans une parade enivrante. Mes mains agrippent ses deux seins rendu plus ferme par l'excitation et commence à les malaxer comme s'il s'agissait de deux grosses boules anti-stress, ce qui était d'ailleurs un peu le cas vu l'effet qu'ils avaient sur moi. Je le fais suffisamment fort pour qu'elle semble y prendre le maximum de plaisir, les torturant de la base jusqu'aux deux petits mamelons pointant que mes pouces appuyaient et frottaient fébrilement.

Après avoir suffisamment explorer sa bouche de ma langue, je commence à lécher tout son corps avec un appétit puissant, pour finalement arriver à ses seins que je commence à lécher sur tout le tour, rajoutant de la salive à la graisse que mes mains avaient étalés sur elle. La langue passa rapidement à ses tétons saillant pour les sucer et les mordiller, comme si je voulais les arracher avec ma bouche. Je pinçais son deuxième téton de ma main de libre tout en continuant a jouer avec ses seins de mes mains.

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Prélude / Re : Sulfure, et le donjon d'Ahn Ak'Thar
« le: samedi 01 octobre 2016, 14:09:32 »
Plus de trois heures de lecture et je suis au III XD. Mais sincèrement j ai dévorer ton histoire absolument sublime, respect et félicitation. Je me prend déjà un ticket pour ton donjon ;) oh et re-bienvenue ^^

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Les explications que me donnait Magdalena me perdirent un peu plus, donc elle ne souffrait pas sur cette vidéo ? Je ne comprenais par contre pas cette histoire de labourage, mais ça devais avoir un lien avec mon sexe, peut-être que d'autres avaient la même chose, c'était même surement le cas en voyant la vidéo, mais ce qu'elle avait elle m'interpella. J'essayais d'en apprendre le plus possible en regardant cette vidéo sur cette pratique qui donnait du plaisir.

Qu'elle ne fut pas ma surprise en sentant Magdalena se jeter sur moi et poser ses lèvres sur les miennes. La chaleur parcourut alors mon corps une nouvelle fois, se baiser me faisant frissonner, mais c'était surtout ce contact de son corps contre le mien, ses formes généreuses appuyé contre mon torse luisant de sueur, sa main me caressant dans une douceur exquise, son entre-jambe chaud appuyé sur ma cuisse alors que la sienne pressait alors mon sexe qui, alors même que je ne pensais pas cela possible, gonfla et appuya fortement au travers de mon pantalon sur elle, comme pour l'appeler et lui montra la taille et la forme imposante qu'elle avait. Ma respiration accéléra comme mon cœur qui cherchait à sortir de ma poitrine, je regardais cette sublime créature qui réveillait beaucoup de choses insoupçonnés en moi, les yeux plus intenses encore, hypnotisant même, mes longs cheveux noirs les assombrissant, donnant au tout un air très sensuel, mais au regard que je lui lançais, il était facile de deviner que j'étais inexpérimenté, voir même n'y connaissait rien.

Je ne savais pas ce que jouir voulait dire mais au vue de son ton et de ce qu'elle m'avait fais (et aussi de mon esprit qui commençait à s'embuer pour se remplir d'envie que je ne comprenais pas), cela devait être comme sur la vidéo. Je l'attrapa alors brusquement et l'embrassa comme elle l'avait fais avec une vigueur rarement vu. Bien qu'essayant de contrôler ma force, je lui donna aussi une bonne claque sur ses fesses, le contact et le bruit me chauffant encore plus. Je la regarde alors dans les yeux presque au dessus d'elle sur le canapé et lui lance entre deux souffles chaud:

"Très bien, dis moi comment je dois faire, et je le ferais au mieux."

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Après un tel repas, je préféra aller m’asseoir dans le canapé, bien plus confortable que la chaise. Un tel confort était vraiment agréable et je ferma les yeux, plus pour profiter de ses sensations que de m'endormir, il y avait encore le temps pour ça. Mon hôte se plaça assez proche de moi et j'ouvris les yeux pour la regarder, elle qui m'avait si gentiment accueilli ici. Mes yeux se posèrent alors sur la tenue qu'elle portait désormais, mon regard se perdant dans le gouffre sans fin que représentait ses formes on ne peut plus généreuses. Une nouvelle vague de chaleur m'envahit alors que ma respiration se coupait sous la surprise d'un pareil spectacle, et surtout de la réaction que cela provoquait en moi. Je cherchais tant bien que mal à comprendre ce qu'il m'arrivait, n'ayant pas souvenir par le passé qu'une telle chose me soit arrivé. Je repris ma respiration après quelques secondes, bien plus forte qu'à l'accoutumer, faisant gonfler mes muscles qui commençait peut-être un peu à transpirer.

Quand ses mots atteignirent mes oreilles, je la regarda dans les yeux, sortit de ma torpeur. Mon poing se serra machinalement quand elle s'approcha, tous mes sens en alerte, trop habitué à recevoir des menaces réelles, mais là ce n'était pas le cas, je devais me calmer et la laissa m'approcher. C'est finalement quand la télé s'alluma que je sursauta et me tint prêt à tout danger, plaquant mon bras contre le corps de Magdalena pour la protéger à tout moment. Mon bras appuyait légèrement sur ses amonts de chairs des plus tendres, et ma main peut-être un peu trop bas, mes doigts touchant déjà le haut de sa jupe. Je ne m'en rendit bien sur pas compte, le but n'étant vraiment pas de profiter de la situation. Je regardais avec surprise la télé, j'en avais déjà vu et n'en comprenais vraiment pas le fonctionnement, mais c'est plutôt ce qu'il s'y passais qui me troubla. Voir Magdalena dans une sorte de danse ou lutte étant étrange, et m’énervait un peu d'ailleurs, les hurlements qu'elle poussait ne semblait pas être de la douleur, et me donnait chaud eux aussi, cependant cela était peut-être quelque chose de mauvais, elle semblais attaquer et brusquer. L'idée qu'elle était peut-être encore en danger me fit décider une chose:

"Alors il y a des hommes qui s'en sont pris a toi. Je laisserais pas ça faire et te protégerais en restant avec toi ce soir, en remerciement de ton aide. Et demande moi ce que tu veux."

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