Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Dextra-Senestra

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Prélude / Re : Fille maudite de type chat : Fuse Midori [Valinekoïsée !]
« le: vendredi 20 mars 2015, 12:40:15 »
bienvenue parmi nous adorable neko

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Se retrouver dans une telle situation, en train de se faire battre spirituellement par ses propres fantasmes, et avec une professeur démoniaque qui la mangeait comme si elle était une sucrerie des plus alléchantes, était surement l'une des plus honteuses qu'elle aurait put connaître, et c'était d'autant plus vrai qu'elle n'avait pour l'instant aucune manière de s'en sortir, ni même l'ombre d'un espoir que Tessia cesses soudainement pour enfin considérer son jeu comme terminé. Alors elle subissait le tout en pleine poire, sans vivre de désillusion, cherchant peut-être à se défendre contre tout cela en gigotant, mais malheureusement trop faible de ses jambes, et trop limité de ses bras pour pouvoir réussir à faire quoi que ce soit qui ai un impact réelle sur les actions de sa supérieur hiérarchique dans le domaine éducatif. En somme, une situation désespérée à laquelle Dextra ne voulait pas plier, mais qui bienheureusement pour la prédatrice sexuelle en face d'elle, lui permettait de lentement affaiblir les défenses de la belle lycéenne.

 -  Certes non. Je commence tout juste...
 - Eh merde.

Clairement ça lui avait échappé pour le coup, sans détour et sans railleries, juste une expression de sa fatigue moral et de l'insupportable honte qu'elle ressentait depuis maintenant plusieurs longues, très longues minutes. Elle sentit les caresses de la femme descendre le long de son corps avec le même délice qu'elle ressentait juste avant, celui qui la gênait profondément et était en train de la rendre de moins en moins capable de se contrôler, puis elle la sentit s'attarder sur son nombril, jouant avec de tel manière que la jeune fille se mit à rougir, trouvant incompréhensible qu'elle puisse se sentir troublée alors que la femme ne faisait que s'amuser avec une partie tout à fait banale de son corps. Elle ronchonnait et parallèlement se mordillait les lèvres sauvagement, ne voulant pas témoigner le moindre signe de faiblesse face à cette sorcière, cette démone qui était en train de lentement lui faire perdre prise par les dons immoraux de la chair. Non elle ne perdrait pas, elle ne s'abandonnerait pas.

 -  Tout cela m'a donné grand soif mademoiselle. Et vous avez là une source à laquelle je vous remercie de me laisser me désaltérer...
 -  Tu .... Tu ne vas tout de même pas ... iiikh

Elle sentit la femme faire basculer ses hanches en avant, lui faisant prendre une position encore plus misérable que la précédente, avec ses cuisses relevées et écartés pour être offerte à la vision désireuse de la femme à ses cotés, avec apparemment une idée bien fixe en tête vis-à-vis de ce qu'elle allait déguster présentement. Elle sentit le souffle chaud passer sur son intimité humide, elle avait vraiment l'impression d'être devenue une gourmandise sans défenses aux yeux de cette démone, et quand finalement elle la vit approcher pour aller goûter son nectar, elle ne put retenir un gémissement d'excitation, son coeur battant à cent à l'heure tandis que son corps se faisait fébrile, ne semblant pas capable de se décider s'il devait ressentir de la douleur étant donné la gênante position de la lycéenne, ou du plaisir à cause de l'excitations et des attentions de la professeur. Finalement c'est le plaisir qui gagna, bien malheureusement, quand la jeune fille sentit la langue de Tessia parcourir son clitoris pour qu'elle perde sa retenue, incapable désormais de cesser de gémir, et le plaisir la faisant mouiller de plus en plus.

Et puis quand elle commençait à s'y habituer, à pouvoir se contrôlée, à ne plus être étourdie par le plaisir et la langue de sa senseï... Elle alla plus loin, glissant sa langue en elle, lapant sa cyprine à la source et continuant ainsi ses touchers infâmes, ces approches si troublantes, si étrange, qu'elle ne pouvait même pas raisonner pour tenter d'y comprendre une quelconque faiblesse afin de s'en conserver, et elle se mit ainsi à gémir, encore et encore, chacun des passages, des tortillements de la femme avec sa langue lui faisant lâcher de longues expressions de son bonheur interdit, son corps tremblant suite aux doux frissons de plaisirs qui lui parcourait l'échine. Ses hanches bougent un peu d'elle même, elle n'a plus le parfait contrôle de son corps, et étant donné que ses gémissements se multiplient, elle ne sais plus quand et comment elle a fait pour se retrouver dans un tel état de fébrilité devant sa professeur, finalement vaincue dans son désir de ne pas laisser la femme faire ce qu'il lui plairait de sa personne.

 -  Je ... Je hhnn ... Je vais ... aaah Non ... non je ..je .... aaaah je jouiiisss...aaaaah

Ce fut foudroyant, d'un coup le plaisir la traversa, la faisant se contracter avant de tout relâcher, gémissant fortement de plaisir, sans faire gaffe au fait que l'on puisse l'entendre pour le coup, juste terrassée par le plaisir que la femme avait réussi à faire naître en elle. Cela dura à la fois si peu de temps et si longtemps, la pauvre Dextra se retrouvant juste après à gémir doucement entre quelques sursauts de poitrine pour reprendre de l'air, le regard un peu dans le vague alors qu'elle tentait juste de se remettre de ce que Tessia venait consciemment de créer en elle, ce plaisir intense et immonde. Elle soupirait, inspirait rapidement, extrêmement fatigué par ces quelques instants, espérant que c'était désormais fini, ayant clairement besoin de retourner chez elle pour s'écrouler sur le lit, se sentant clairement affaiblie désormais, et qu'elle ne tiendrais pas une quelconque taquinerie supplémentaires. Et puis elle rêvait de se libérer de ces menottes qui tout à coup luis sciait les poignets.

 -  Là ... Là c'est bon non ? Vous ... vous l'avez eut ... votre punition ?

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Prélude / Re : L'Adolescence c'est tellement mignon... [Valicidée !]
« le: lundi 16 mars 2015, 15:45:23 »
Tout ça pour dire quand même bienvenue ^^
Je dois avouer que l'avatar est particulier mais bon, nous sommes à la limite donc ça passe, normal !

"sourit à SP" T'en fais pas mon vieux, y'en auras aussi de la belle femme mature

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Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: lundi 16 mars 2015, 10:27:27 »
Ses mains étaient attirées par le corps de la demoiselle à ses cotés, et plus le temps passait plus il devenait particulièrement compliqué de s'empêcher de revenir à l'assaut, d'apposer à nouveau ses doigts sur sa chair réchauffée par le désir, de se rapprocher à nouveau des courbes délicieuses qu'elle possédait. Senestra n'arrivait tout bonnement pas à se tenir, il était envahi par une envie des plus dévorantes envers la belle Amélie et malgré le fait qu'il était honnêtement une des personnes qui normalement à le plus grand mal à agir selon ses propres volontés, à cause notamment de sa timidité et son respect des autres, il n'arrivait tout bonnement pas à rester calme quand il la voyait le provoquer, le taquiner, il fallait absolument qu'il réagisse, qu'il lui réponde avec plus d'audace qu'elle même n'avait fait preuve. Et là, à l'avoir sous lui, à la sentir avoir de plus en plus de mal à respirer normalement, tout aussi excitée que lui à la sensation de leurs deux corps l'un contre l'autre, il était au bord de perdre le contrôle à nouveau... Et elle n'allait pas l'aider franchement !

« Et bien... Tu n’as qu’à la retirer, Senestra, si cette ficelle te gêne tant...
 -  Si même toi tu m'invites à le faire, je ne vais pas me gêner, en effet. »

Comme une petite pique avant de s'y atteler, il lui mordille cette oreille si proche de ses lèvres, passant légèrement sa langue dessus avant de se relever lentement pour l'observer de nouveau à une certaine distance, rougissant de plus belle en contemplant de nouveau la beauté de la française dans son ensemble, son coeur ayant même l'occasion de bondir un grand coup dans sa poitrine en lui rappelant que c'était l'une des premières choses qui l'avait fait craquer quand ils s'étaient rencontrés. L'étrangère l'avait charmée, pas qu'à moitié d'ailleurs, et même si il lui avait fallut un certain temps pour s'en rendre compte et osé l'accepter pour chercher à la conserver à ses cotés pour un moment de plus, il était vrai que désormais qu'il l'avait pour lui il ne savait plus vraiment quoi faire, surtout quand Amélie lui faisait encore découvrir à quel point elle le tenait en partie sous son pouvoir. Car oui, vu son état, il ne doutait pas que l'on puisse presque parler de sorcellerie quand au charme que la française possédait.

Puis il revint à la réalité et se rapprocha de nouveau d'elle, venant embrasser la courbure du dos de sa demoiselle alors que ses mains glissèrent doucement le long de ses hanches avant d'attraper le tissu du dernier vêtement qu'elle portait encore, commençant à l'attirer lentement vers le bas pour dévoiler les dernières parties du corps de la jeune femme que le lycéen n'avait pas encore put contempler. Ses baisers descendirent au même rythme jusqu'à ce qu'il arrive à ses fesses, l'homme se relevant alors pour finir son mouvement et faire quitter le sous-vêtement des jambes de la jeune femme allongée sur le lit, l'ayant donc finalement mise complètement à nue devant lui. Cette simple tellement excitante fit parcourir dans son corps de longs frissons, et il imaginait très bien l'état d'Amélie aussi, si bien qu'un peu joueur, il se déplaça pour se mettre au dessus d'elle, à quatre pattes pour ne pas être collé à elle, puis main vint passer lentement le long de sa colonne vertébrale, l'homme cherchant à la faire frissonner.

« Alors ? Qu'est-ce que ça fait d'être mise à nue ma belle Amélie ? »

L'écoutant répondre, il commença à ôté son propre haut, qu'il trouvait décidément bien trop gênant à force de devoir le porter alors qu'il ne voulait que sentir le corps de sa belle demoiselle contre le sien, et ce n'était d'ailleurs pas la plus simple des expériences à faire, l'homme se débattant un peu avec ce simple vêtement étant donné que l'enlever à une seule main n'était pas des plus pratiques. Cela fait, il le jeta sur le sol près du lit et s'approcha lentement d'elle pour se plaquer contre son dos, son torse au contact de la peau de la demoiselle, frottant légèrement le temps qu'il s'installe au dessus d'elle et vienne embrasser tendrement son épaule, sa main libre venant caresser le flanc de la charmante française en remontant, le bout de ses doigts venant alors frôler les seins de la femme avec douceur. Il commençait à avoir du mal à respirer normalement, l'excitation étant à son comble, et pourtant il ne voulait pas encore faire cesser ce doux instant de jeux et de taquineries, cherchant à nourrir encore et toujours le plaisir de son "invitée".

« Aurais-tu d'autres questions Amélie ? Ou dois-je poser les miennes ? »

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La femme semblait surprise par ce qu'elle venait de faire, et elle même ne savait pas vraiment pourquoi elle l'avait fait pour le coup, dirigée par la colère et le désir de lui en mettre pleins les dents, ce qui faisait qu'elle était désormais en train de se demander si honnêtement elle n'aurait pas mieux fait de ne pas faire autant la fière et de rejeter ces menottes aux loin pendant qu'il en était encore temps. De toutes manières elle ne pouvait plus fuir depuis que les têtes de morts s'étaient misent à apparaître sur ses longues jambes, alors elle savait bien qu'elle sera à la merci de cette femme tant qu'elle ne sera pas rassasier, donc elle avait fait ce qu'elle espérait qui toucherait le plus la personne en face d'elle, cherchant à montrer que son orgueil n'allait pas disparaître, au contraire il allait croître encore et encore ! Que sa professeur soit là, dubitative devant elle était en soi un première victoire, peut-être pas celle qui changeras quoi que ce soit à la finalité des choses, mais au moins celle qui lui permettrait de sourire et tenir le coup jusqu'au bout.

Par contre quand la femme déroula de nouveau son fouet, elle sentit une pique d'appréhension dans son corps, et eut l'occasion de se dire qu'elle l'avait dans le fond bien cherchée, sa flagellation, aussi se prépara-t'elle intérieurement à prendre les coups, serrant les dents tout en regardant avec une grande défiance la personne en face d'elle. Après tout si elle portait finalement des coups sur elle, la lycéenne n'aurait que plus de preuves de la culpabilité de Tessia, et en ce sens elle aura tout le pouvoir de prendre sa revanche une fois libérée, alors elle acceptera bien de souffrir un peu pour que ses projets se réalisent, quelques coups de fouets et larges blessures n'ayant pas dans le fond le même poids qu'une exclusion à vie d'une femme dans le domaine éducatif. Et elle vit les deux coups partir, pensant originellement prendre le coup en plein corps, avant de sentir le court tissu de son sous-vêtement se brisé, et échouer lentement au sol pour montrer son intimité imberbe devant sa senseï aux airs ravis.

 - Vous savez miss Dextra, la lecture de certains écris saints peut parfois être relativement plein de vérité... Ainsi, le Coran m'as appris une chose que les psychologues ont mis des siècles à comprendre. Il m'a apprit que l'expression de notre visage a un important impact sur notre manière d'envisager les choses et vice-versa. Le Coran l'as simplement formulé sous la forme "c'est ton sourire qui te rends heureux.". Ceci est pour le sourire. Maintenant vous avez parlé de "pute des bas-fond" il me semble ? C'est assez ironique en réalité...

Elle s'était dangereusement rapprochée en disant cela, et cela ne laissait dire rien qui vaille pour la lycéenne désormais parfaitement nue dans cette salle de classe où elle était encore en train d'apprendre l'anglais il y a une bonne vingtaine de minute, et pourtant elle se sentait presque plus à l'aise depuis que cette folle avait enfin choisit de poser son fouet plus loin, ne risquant plus de faire jouer du cuir sur la chair de l'adolescente. Pourtant, elle ne s'était pas préparée une seconde à voir cette aura rougeoyante envelopper son corps, et encore moins voir cet élément malsain prendre peu à peu forme dans le monde réelle tandis que le plantureux physique désormais inutile de sa professeur vint lentement s'échouer sur ses jambes, son nez allant même caresser l'intérieur de sa cuisse avec cette sensation horrible de plaisir charnel. Bon sang c'était une démone... des plus grosses saloperies qui voulaient encore et toujours jouer avec elle et ses sensations, il fallait que ce soit une démone. Et elle n'osait se demander si c'était une succube, ce serait la cerise sur le gâteau.

 -  Je songe que je devrais refaire les présentations Mademoiselle Dextra... Cependant, je ne suis pas assez sotte pour donner mon vrai nom à une petite occultiste comme vous. Sachez simplement que Tessia n'est que le coeur de mon vrai nom. Une sorte de condensé en somme. Voilà qui pimentera vos réflexions futures...
 -  Étrangement, réfléchir à votre cas ne me fait pas bien plaisir, c'est bizarre n'est-ce pas, répondit-elle sur un ton provocant.

Elle ne voulait pas le montrer, mais cette découverte avait ébranlée la jeune femme dans ses plus profonds fondements, et pour de bien nombreuses raisons, à commencer par celle la plus malhonnête, que son premier contact avec un homme, qui plus est son frère, avait été provoquée par une succube qu'elle avait elle même convoquée. Mais plus honnêtement, c'était aussi une chose qui du coup la rendait maintes fois plus sensible, la seule idée de le faire avec un être démoniaque, masculin ou féminin, lui donnant tout simplement envie de s'abandonner à quelques perversions, quelques délices purements démoniaques et qui savaient se faire attrayants à la pensée de Dextra, qui n'avait jamais connue que le toucher démoniaque et qui, d'une certaines manières, lui font perdre pied avec la réalité. Contemplant la femme reprendre peu à peu ses esprits après son évanouissement volontaire, et la disparition de se forme immatérielle, elle l'observa se redresser avec une certaine forme d'appréhension, qui d'ailleurs se concrétisa bien vite.

 -  Oû en étais-je déjà ? Ha oui ! Un cours sur la masturbation...
 -  Je n'ai pas souscrit à ce complément de cours vous savez ? Hnn...

Elle se mordit les lèvres quand les mains inquisitrices de la démone se mirent à caresser ses zones sensibles, une délicate chaleur imprégnant son corps face à l'approche de sa professeur dans une totale illégalité. Oui elle était plus sensible quand quelqu'un d'autre le lui faisait, encore plus quand la dites personnes était une succube, et puis... C'est avec grande honte qu'elle devait avouer qu'elle savait y faire cette mégère, elle savait éveiller un plaisir latent et le faire grandir dans la poitrine d'autrui.

 -  Personnellement, j'estime qu'il faut toujours commencer doucement, mais d'autres personnes préfèrent y aller franco direct. La stimulation de zones érogènes est primordiale. Vous en avez des nombreuses. Pour n'en citer que quelques-unes, le cou, les aisselles, l'intérieur des cuisses, les fesses, le ventre, les flancs, les seins et bien sûr votre vulve.
 -  Incroyable, vous avez fait de l'anatomie durant vos études ?

Elle disait cela sur son habituel ton de défi teinté de sarcasmes, mais il était presque difficile pour la jeune fille de soutenir le regard de Tessia, non pas parce qu'elle était encore possédée par cette crainte viscérale qu'elle avait connue plus tôt, mais bien parce qu'elle avait atteint ce petit seuil qui s'appelait "plaisir", et qui faisait réagir relativement positivement son corps aux caresses de Tessia. En faite... Elle se rendait compte qu'elle était en train de perdre complètement, parce que la femme avait tapé inconsciemment dans le point exact de la faiblesse de son armure : La capacité à agir avec cette douceur qu'elle ne connaissait quasiment que chez son frère, et le fait qu'elle était un être non-naturel, un de ces êtres qui la passionne et qu'elle souhaite, malgré le danger, rencontrer autant qu'elle peut. Pour l'instant elle arrive encore à se défendre contre ces attouchements, mais elle sent malgré elle son bas-vente se réchauffer à cause des doigts de sa prof, tout comme sa peau se couvrir d'une chair de poule caractéristique due aux frissons qui remontaient le long de sa colonne.

 -  Chez les seins et la vulve, il est à noter que les tétons et le clitoris sont particulièrement sensibles à des attouchement adaptés...
 -  Est-ce que vous m'écoutez ? Non ? J'ai dis que ... dis que ... m... haaan.

Mince elle avait gémit. Et puis pas à moitié, ça s'était entendue dans la salle de classe vide, elle venait de gémir bien malgré son désir de garder cela au plus profond d'elle et cela la faisait clairement mal se sentir, imaginant déjà ce qui devait courir dans la tête de cette démone au comble de la perversité maintenant qu'elle avait entendue la faiblesse dans laquelle elle se trouvait. Mais comment pouvait-elle résister dans ces conditions, une main sur l'un de ses seins, la langue de la femme en train de se déplacer sur sa poitrine excitée et tout particulièrement son téton des plus sensibles, sans parler de son bouton de plaisir qu'elle stimulait et faisait réagir d'une main de maître, quelles chances avaient-elle donc de pouvoir y résister, elle, simple étudiante sans le moindre pouvoir et dominée de A à Z depuis le moment où cette succube avait fait le choix de la punir. Serrant les dents pour ne pas offrir plus d'informations, mais les joues rouges de gêne et incapable de dissimuler une rapide tentative de réagir malgré ses mains menottées, elle était vraiment à ses yeux dans la pire des situation... et ça n'allait pas aller en s'arrangeant, car elle commençait à mouiller.

 -  C'est bon, t'as finit de t'amuser, demanda-t'elle avec défiance en espérant qu'elle n'ai pas remarqué l'évidente réaction de son entre-jambe ?

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L'Art / Re : In The Hall Of The Snake King.
« le: vendredi 13 mars 2015, 15:42:33 »
Je repasse pour dire que ma demande a toujours court ^^
Et que j'aime bien la nouvelle bannière, oui oui oui.

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 -  Tsss... Et mon sourire ? Si c'est ainsi que vous vous contentez, je commence à comprendre pourquoi vous êtes toujours d'humeur aussi exécrable.

Elle était bien drôle à lui dire une chose pareille, c'était bien de sa faute si elle se retrouvait dans une situation exécrable, où elle était obligée de participer à sa propre humiliation sous la menace d'un coup de fouet bien placée, alors comment voulait-elle donc qu'elle éprouve le moindre plaisir à se caresser alors qu'elle le faisait contre sa propre volonté. Pour l'instant tout ce qu'elle était capable de ressentir était une honte grandissante, quelque chose qui lui rongeait le coeur et la rendait clairement tout aussi coléreuse que triste, bien obligée dans le fond de se rendre compte que dans la situation actuelle, elle était juste un morceau de chair dont l'avis ne valait pas grand chose, tout au plus si il ne faisait qu'amuser cette perverse excentrique qui y voyait là quelque signes de défiances misérables. C'était l'horreur, tout autant à ressentir qu'à vivre, et déjà elle se sentait rabaisser au point de considérer qu'elle ne valait plus grand chose, alors elle espérait plus que tout au monde que les choses se finissent vite, malgré l'irréalité d'une telle demande...

Elle la vit lever la main et s'attendit d'ailleurs à un châtiment corporel immédiat étant donné qu'elle n'arrivait pas à agir comme elle le souhaitait, ne pouvant naturellement s'abaisser à de telles pratiques érogènes alors qu'elle se trouvait en danger imminent, aussi fut-elle particulièrement surprise quand elle entendit le sac de la femme bouger avant de voir partir rapidement un objet métallique vers la main de la femme, n'ayant pas eut le temps de remarquer de quoi il s'agissait. Par contre, quand la femme les lui jeta aux pieds, ou plutôt exactement entre ses jambes, comme une énième provocation à sa situation déchue, elle put comprendre toute l'immondice, le tas de merde qu'était ce nouvel outil de torture à ses yeux : des menottes, de celle que l'on voyait typiquement capable de scier les poignets et d'empêcher tout mouvements futurs. Elle regarda l'objet avec peur, s’imaginent déjà quel genre de débauche celui-ci avait déjà vu, et quel type d'immonde expérience il allait pouvoir lui faire connaître une fois ses membres entravés par ses soins.

 -  Puisqu'il faut tout vous apprendre mademoiselle, passez donc ces menottes autour de vos poignets de sorte à ce que le pied de table derrière vous soit entre vous et la chaine. Je vais vous apprendre à vous masturber correctement.
 -  Mais... mais c'est...

Elle ravala ses paroles avant de les prononcer, sentant déjà les caresses du fouet sur sa peau alors même qu'elle n'avait pas contestée les ordres de la femme, inconsciemment d'ailleurs, et tendit des doigts tremblants vers le jouet sexuel qui avait surement la pire des visions de la part de Dextra, le fait même de se retrouver enchaînée lui laissant un goût des plus amers en bouche. Au premier contact froid avec le métal dont était fait les menottes, elle hésita, puis alla lentement positionner ses doigts autour du premier arc de cercle qu'elle pouvait atteindre, attirant à elle l'objet pour finalement le soulevé du sol avec un geste qui tenait clairement du dégoût, la demoiselle n'osant même pas réellement le regarder en face, comme s'il s'agissait de l'arme de quelques démons sadique qui se faisaient un malin plaisir de la provoquer... Oh attendez, mais n'était-ce pas exactement ce qui était en train de se passe ? N'était-elle pas au prise avec une satanée démone perverse qui osait la réduire en esclavage, peu à peu ? Bon elle était humaine hein, mais c'était tout comme !

 -  C'est, c'est... C'est pathétique, rugit-elle en abattant les menottes au sol dans un cliquètements métallique sonore. Vous êtes quoi, une pute des bas-fonds qui se fait passer pour une prof ?

C'est bon la colère avait prit le dessus sur la peur ! Elle en avait marre et comptait bien se vengée de cette connasse qui osait tenter de la briser ainsi. Elle exultait d'une haine incroyable envers elle, si bien qu'elle n'en avait plus rien à faire de son état, quasiment nue au beau milieu d'une salle de classe ! Elle ne faisait pas non plus plus attention au reste de cette histoire, ni le fouet, ni le sort, ni la possibilité que d'autre l'entende. Elle voulait l'humilier, très bien, tant pis, elle le lui rendrait avec le même fiel, la même odeur de pourri ! Elle prit les menottes à pleines mains, et elle en plaça le premier cercle autour de sa main droite, puis se plaça bien contre le pieds de la chaise, avant de faire passer l'autre partie de la menotte du coté opposée, puis de juxtaposer les deux anneaux avant de les croiser, produisant une position encore plus compliquée et restreignant encore plus ses mouvements ! Oui chacun pouvait provoquer à sa manière, et tant pis la douleur, de toute façon elle était déjà au fond, et c'est avec un regard de défi qu'elle bloqua son deuxième poignet !

 -  Tiens ! Je t'ai même rendu la vie plus facile ! Comme ça j'aurais encore plus mal, et encore plus DE mal pour réagir ! Alors heureuse ? Tu vas faire quoi maintenant, me frapper ? M'humilier encore un peu ? Vas-y, éclates toi !

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Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: jeudi 12 mars 2015, 00:58:12 »
Le désir du jeune homme commençait doucement à prendre le pas sur sa naturelle timidité, au point que celle-ci se mit lentement à s'effacer quand il eut vraiment à sa disposition le corps de la belle, sa poitrine rebondie, sa taille fine, qu'il caressait, palpait et taquinait avec autant de fascination que de douceur. Pour l'homme qui avait une habitude sérieuse à se laisser guider par les autres en de nombreuses occasions, jugeant souvent que rien de ce qu'il ne choisirait saurait satisfaire tout les parties, il était pour le coup bien directif dans ses mouvements, sans pour autant se faire pressant. Disons qu'ils faisaient finalement des choix car il sentait qu'il ne pouvait pas se permettre de décevoir la charmante jeune femme avec qui il se trouvait, et que cela passait obligatoirement par le fait de faire des choix, plus ou moins valables, plus ou moins intéressants, mais qui au moins puisse les satisfaire tout les deux, alors que l'excitation les gagnait avec force.

Quand il la taquina sur son état, il se serait bien amusée de la voir rougir, de la voir gênée, mais cela ne semblait pas vraiment exister en cette belle demoiselle, relativement forte de caractère dans le fond, et elle lui renvoya plutôt un de ses sourire à faire fondre la glace, touchant le jeune homme en plein coeur alors que ses joues rosirent de nouveau, tel un effet boomerang. D'ailleurs même si il la caressait, elle s'écarta de lui sans violence, et il se demanda honnêtement ce qu'elle avait en tête quand elle le fit, avant de la voir lentement se déshabillée devant lui, laissant tomber le jean au sol et s'en séparant sans la moindre gêne alors que lui était encore pleinement habillé, même si ses affaires étaient en partie ouvertes, notamment son pantalon d'où sortait une verge fièrement dressée, et désormais particulièrement douloureuse tant elle était dure d'excitation, la vu du corps quasiment nue de la jeune femme la rendant d'autant plus désirable qu'il sentait qu'elle était encore en train de jouer avec lui !

« Autant que toi, je dirais, Senestra... »

Ce n'était pas faux, il n'y avait bien que sa retenue et sa politesse qui l'empêchait de sauter sur Amélie vu son état actuel, car nombres d'hommes de son âge ne se serait surement même pas questionner dans de tels situations, et auraient vite fait de la jeune femme le fourreau de leur lame. Sauf que voilà, là il s'agissait du jeune lycéen, et quand elle le taquinait, quand elle s'interdisait à lui, quand elle se mettait hors de sa portée pour lui faire envie encore et toujours, alors il jouait le jeu, attendant au loin, la dévorant du regard, laissant son coeur battre comme un fou et ses mains tremblées d'envies de la récupérer contre lui pour se l'approprier. Même là, tout juste allongée près de lui, elle était à la fois lointaine et proche, elle l'invitait à venir conquérir son corps et en même temps elle semblait vouloir autre chose, quelques jeux dont il ne comprenait pas la pleine profondeur. Mais une chose est sure, cette frustration d'être coupée mais d'avoir toujours l'objet de ses désirs à porter, cela rendait l'homme tellement désireux que le charme opérait sans mal, le paralysant d'envie.

« Comment tu trouves mes fesses, Sen’ ?
 -  Tes fesses ...? »

Il rosit et écartes instinctivement le regard, cela le mettant bien dans l'embarras pour le coup. Il se rappelait avoir lu un livre en littérature étrangère où l'un des protagonistes demandait ce genre de choses à un autre alors qu'ils dégustaient une liaisons des plus douteuses, mais il ne se souvenait pas de la réponse qu'il avait faites, et en plus il se doutait que si la jeune femme était sur le lit à le provoquer ainsi, ce n'était surement pas pour recevoir une réponse que n'importe quel intello un peu siphonné du ciboulot pourrait lui sortir quasiment immédiatement. Donc elle attendait quelque chose de personnelles, mais il ne savait pas quoi dire qui ne soit ni vulgaire, ni pervers, ni bateau, ayant vraiment du mal dés qu'il s'agissait d'exprimer un avis, alors si en plus il fallait rajouter le fait que ce soit un peu érotique et sensuel, il était perdu.

« Eh bien... Elles sont encore trop couvertes à mon goût, mais elles me semblent bien belles et ... »

Il s'approche doucement d'elle pour la surplomber, sa main allant caresser l'une de ses fesses délicatement alors qu'il vient expirer chaudement à son oreille :

« ... si douces au toucher. »

39
Ma petite Minerve est sur le fo'
Snif

Ils grandissent si vite !

40
 - Depuis quand les asticots dans votre genre, incapables de tenir debout, réclament-ils quoi que ce soit autre que le droit de vivre et éventuellement celui de servir ?

Droit dans l'orgueil, mais en même temps elle ne lui laissait pas le choix, c'est elle qui l'avait rendue aussi impuissante, aussi incapable de faire quoi que ce soit, alors de quel droit se permettait-elle encore de la rabaisser, de la rendre toujours plus inférieurs, toujours plus infime. Ça lui faisait terriblement mal et le pire c'est que désormais elle n'avait même plus la possibilité de se défendre face à cela car en effet, cette femme l'avait réduite à l'état d'asticot, incapable de se défendre ou de protester, incapable de pouvoir vraiment lui faire face, elle lui était désormais soumise, et le fait de s'en rendre compte était surement la pire des choses moralement pour la jeune fille qui sentait quelques sanglots remonter du plus profonds de sa gorge. Toutefois, toujours par fierté, elle ne voulait pas perdre la face devant cette femme, alors elle ravalait sa tristesse et sa rancoeur, se retenant de piquer une colère, subissant sans un mot, blessée.

Puis elle la vit sortir le fouet et la peur se raviva de plus belle en ses yeux. Non elle n'allait quand même pas la frapper, elle n'avait tout de même pas fait tout cela pour rien, cette chose ignoble et rabaissante, elle ne l'avait quand même pas faite juste pour se voir une nouvelle fois bafouée avant de subir les assaut de cette dominatrice à moitié folle ? Quand elle vit le fouet fondre sur elle, elle voulut faire un geste pour se défendre mais le coup allait trop vite, et elle put presque pressentir la passage du fouet sur sa peau, terrifiée de ressentir la douleur cuisante d'un bout de cuir prêt à lacérer sa chair, mais finalement rien ... enfin du moins les premières secondes, avant qu'elle ne voit tout ses vêtement partirent en lambeaux, et qu'elle essaya désespérément de les faire tenir en place, seule sa culotte restant intacte encore alors qu'elle maintient d'une main maladroite le haut de sa tenue, ayant abandonnée son soutien-gorge pour couvrir ce qu'elle pouvait de sa chemise d'uniforme scolaire, elle aussi en piteuse état.

 -  Vous avez de la chance cependant, vous avez obéi alors je dois vous récompenser. Vous allez donc écarter vos jolies cuisses et vous caresser pour moi mademoiselle Dextra. Et avec le sourire, j'insiste... Après tout, je suis déjà bien trop bonne de vous laisser le privilège de vous satisfaire vous-même.
 -  Tessia-senseï c'est... enfin je ne peux ...
 -  Cependant, décevez moi ou continuez à m’insulter. Et la prochaine fois, ce sera l'un de vos seins qui subira le sort de vos habits. Croyez-moi, je sais très bien écorcher les gens avec cet outil. Et je ne parle pas d'un sens imagé, je parle au sens propre.

Un frisson la parcourut quand elle vit sa prof la menacer ouvertement, et maintenant qu'elle avait vue la capacité que la femme avait à manipuler un fouet à cette distance, elle ne doutait pas du tout de ses mots, imaginant très bien qu'elle arriverait sans la moindre erreur à venir lécher son corps de cette manière de cuir pour en séparer les chairs. Pourtant elle n'avait pas envie de lui obéir, de faire quelque chose d'aussi gênant au beau milieu d'une classe, et de manquer de se faire voir par nombre d'autres personnes en ce lieu tandis qu'elle était en train de se faire plaisir devant une de ses professeurs, habillée d'une manière tellement honteuse que le simple fait d'être vue dans la même pièce à ses cotés lui mettrait déjà le rouge aux joues. Pourquoi ça lui arrivait à elle, pourquoi n'avait-elle même pas le choix de résister et de répondre face au comportement inacceptable de la femme ? Elle ne savait même pas mais elle avait actuellement vraiment envie de pleurer, se sentant comme moins que rien, ce qui était surement vrai dans le fond.

 -  Quelle... quelle honte.

Elle lâcha son haut, le visage empourpré tant elle se sentait mal à l'idée de le faire, et laissa donc tombée ses affaires pour finir seulement habillée de ses chaussures, ses chaussettes, et cette culotte qui, elle s'imaginait sans peine, allait bientôt partir elle aussi si les choses continuaient comme elles avaient commencée. Hésitante, un peu tremblante, elle amena sa main vers son entre-jambe, lentement, et la glissa sous son sous-vêtement pour commencer à se caresser, se mordillant la lèvre de frustration en se rappelant encore dans quelle situation elle était en train de faire cela. Le plaisir n'était pas vraiment eu rendez-vous d'ailleurs, et pourtant elle en sentait légèrement les effets, ne comprenant pas comment elle pouvait ressentir ce genre de choses alors qu'elle se trouvait obligée de le faire sous les ordres d'autrui. Allant de pair avec le plaisir, elle se mise à écarter un peu plus les jambes, mais dans le fond ce sont surtout de petites larmes qui se mirent à couler sur ses joues, la jeune femme se sentant tellement honteuse qu'elle n'osait même plus relevé la tête, vaincue.

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Voilà, elle avait eut bien du mal mais elle était finalement parvenue à se redresser, et se sentait presque capable de réagir à la prochaine approche de cette femme complètement délirante qu'était sa professeur, espérant toutefois qu'elle n'allait pas à nouveau lui jeter un de ces sorts minables qui la gênait depuis le début. Bon rien n'était dit, elle tenait autant sur ses jambes qu'un jeune chaton qui tenterait de faire ses premier pas, ce qui honnêtement n'était pas la plus élégante des manières de se déplacer, mais il y avait dans la salle assez de chaises et de tables pour qu'elle s'y maintienne, et en cela elle espérait bien pouvoir se déplacer sans trop de problèmes, à grand renfort de soutiens pour sa potentiellement longue marche vers la liberté. Pourtant, et c'était bien la pire des choses qu'elle redoutait, elle entendit les pas de la femme derrière elle, et se prépara à lui répondre en se retournant le plus vivement possible afin de l'avoir en face d'elle... mais trop tard, la fessée qu'elle subit la fit gémir de douleur et la surprise tellement que sa jambe droite perdit son appui, la laissant s'écrouler mollement au sol.

Tombant sans grande délicatesse, quasiment tête la première, c'est sa poitrine qui toucha avant tout le sol et elle couina de frustration et de douleur mêlées, ses seins ayant certes amortis un poil la chute, mais n'ayant malheureusement pas évité de la faire souffrir un peu étant donné qu'il s'agissait quand même de son corps bien sensible qui avait heurté le sol. Grognant en tentant de se relever, sa tentative fut vite fait arrêtée par le talon aiguille de cette salope qui vint la coller ben contre sol, la pointe de sa chaussure rentrant péniblement dans son dos afin de lui faire connaître quelques souffrances supplémentaires, comme si elle n'avait pas déjà assez mal suite à ses chutes répétées à terre. Regardant par dessus son épaule, elle aperçoit le visage satisfait de sa tortionnaire et hésites presque à la haranguer encore une fois, mais apparemment plus elle résiste et plus la femme en est satisfaite, aussi gardes t'elle sa langue dans sa bouche alors que la femme s'adresse à elle, semblant préparer un autre mauvais tour :

 -  Première leçon : apprendre à ramper comme le ver de terre que vous êtes mademoiselle Dextra.
 -  La seule larve que je vois ici, c'est vous, provoqua-t'elle, n'ayant put se retenir après une telle insulte.

Peut-être d'ailleurs n'aurait-elle pas du, car dés lors ses paroles terminées, elle entend le claquement de doigt de la femme résonner dans la pièce et sent juste après une vive brûlure parcourir ses jambes, de bas en haut, remontant de ses chevilles aux mollets, puis continuant encore le long de l'arrière de ses cuisses pour finir en une tâche brûlante juste avant que cet horreur ne la fasse gémir en venant aussi se marquer sur ses fesses. Elle avait l'impression de n'avoir même plus de jambes après cela, le simple fait de les déplacer était devenu un enfer, et elle tenta bien de les mouvoir mais il lui fallait un effort surhumain pour les déplacer de quelques centimètres, comme si elles se trouvaient désormais clouées au sol par leur propre poids. Bon sang elle ne savait pas ce que cette salope venait de faire, mais pour sur, elle risquait bien de l'atomiser dés qu'elle en aurait l'occasion, espérant juste l'avoir cette occasion avant de devoir s'avouer vaincu et de finir dans elle ne savait quel merdier ! Bon au moins elle arrêta de lui marcher dessus, mais vu l'état de ses jambes, cela ne changeait pas grand chose !

 -  Il vous reste une petite minute pour rejoindre ce bureau Mademoiselle Dextra, passé ce délai...

Le dernier bureau de la rangée ? Pourquoi donc ? Est-ce que ça l'amusait de lui offrir une occasion de s'éloigner encore un peu d'elle ? Non ce n'était qu'un jeu elle le savait bien, la femme s'était de toutes manières assurée qu'elle ne puisse pas s'enfuir, autant par la protection magique que par ce qu'elle venait d'inscrire sur ses jambes, même si de sa position elle ne pouvait pas vraiment voir ce dont il s'agissait. Elle regarde la femme du coup, se demandant ce qu'elle avait en tête, surtout en la voyant récupérer cette règle sur la table avant de la manipuler avec aisance, le sourire aux lèvres. Elle ne savait pas vraiment comment elle allait faire, mais plutôt crever que de lui faire le plaisir de participer à son amusement personnel ! Elle ne voulait pas qu'elle puisse trouver ses méthodes efficaces, et encore plus, elle ne voulait pas qu'elle se sentes supérieur à elle, et ... Oh putain !

 -  ... Je me ferai un plaisir d'arracher personnellement la peau de vos fesses à l'aide de ceci.
 -  Mais vous êtes malade ! Putain je ...

Bon ok, là ... elle n'était clairement pas en position de discuter, le fouet qu'elle venait d'acquérir en jouant avec la règle ayant en effet largement de quoi lacérer sa peau et lui faire connaître une douleur à nulle autre pareille. Tessia venait surement de gagner sa première vrai manche, parce que la frayeur qui se dessina dans le regard de la jeune femme avait tout de la véritable peur, et avant qu'elle ne puisse vraiment s'en rendre compte, elle était déjà en train de se hisser vers la prochaine table, même si cela était en train de déchirer en petit morceaux son égo. Elle avait peur, terriblement peur, et elle ne voulait pas souffrir de nouveau, surtout en connaissant les propriétés d'un fouet et la vive douleur que ce genre de choses pouvait provoquer. Les secondes s'écoulaient mécaniquement dans sa tête, et plus le temps passait, plus elle se mettait à haleter à la fois à cause de l'effort et de son coeur qui accélérait à toute vitesse grâce à l'adrénaline qui envahissait son corps. Était-ce juste de la peur, ou de la terreur ?

Pourtant elle l'atteint. Elle ne sais pas si elle en est à 45 secondes, à 50, ou à plus, sa tête étant dans un tel état de confusion qu'elle a eut du mal à conserver un compte précis du temps qui s'est écoulé, mais quand elle toucha le bureau, elle se hissa un peu et en profita pour se retourner pour avoir une vue sur la démone, n'ayant qu'une frayeur c'est qu'elle soit juste derrière elle, prête à la frapper de ce long fouet de cuir qui ne manquerait pas de la faire hurler de douleur. Oui elle était terrorisée, et en somme déjà en partie vaincue parce qu'elle ne pensait même pas à la scène honteuse à laquelle elle venait de participer, non, elle pensait avant tout à cette femme qui était en train de lentement installer sa domination sur elle, sans même qu'elle n'ai eut le temps de le remarquer. Sa main était fermement fixée au pied de la table, et elle remarqua qu'elle tremblait pour le coup, tandis que son souffle était saccadé, non à cause de l'effort mais bien à cause de cette peur terrible qui s'était logée dans sa poitrine...

 -  Je ...Je ... Je l'ai touchée, lâchez ça maintenant, cria-t'elle sans même s'en rendre bien compte.

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Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: mercredi 04 mars 2015, 17:38:17 »
« Hmmm... »

L'entendre gémir le faisais frissonner de plaisir, savoir qu'elle appréciait ce qu'il lui faisait étant en soi une victoire pour l'homme qui était de plus en plus conquis par la jeune femme en face de lui. Il s'amusait avec le corps d'Amélie, pouvait ressentir à quel point elle était réceptive, et dans le fond cela lui permettait d'être de plus en plus osé, ses mordillements, ses lèches et ses baisés sur sa poitrine commençant à devenir bien plus insistant qu'avant, à mesure que sa confiance en lui grandissait. Quand il sentit sous le tissu du soutien-gorge rose de l'étrangère que sa poitrine s'était un peu durcie, et que ses tétons venaient à pointer fièrement dû à l'excitation, il ne put s'empêcher de venir glisser sa main sous la mince protection, et ses doigts vinrent palper avec envie ce bel orbe de chair à la douceur captivante, ses doigts venant caresser à la fois sa peau chaude et l’extrémité durcie, sur laquelle il perd d'ailleurs un long temps à jouer avec du bout des doigts.

Emporté dans son envie de lui faire plaisir, il fut surprit en sentant les doigt frais de la jeune femme se poser lentement autour de son sexe palpitant, frissonnant avant de la regarder avec un léger sourire, le contact étant tout aussi agréable qu'il était attendu. Et les gémissements qu'elle poussait l'hésitation dont elle aussi pouvait faire preuve de temps à autre, c'était si... si...invitant  ? Excitant ? Il ne savait pas comment le définir, cette impression qu'il ne pouvait plus se détacher d'elle tant le désir était fort, qu'il ne pouvait plus s'arrêter parce que son corps s'était de toutes manières détacher de lui pour agir à sa façon, sans attendre de nouveaux ordres de la part de son cerveau. Il voulait plus que tout qu'elle soit à lui, qu'elle ne pense plus à rien d'autre que lui tandis que lui-même ne pensait plus à rien d'autre qu'à elle, toujours plus hardi dans ses avances, toujours plus sur dans ses gestes, jusqu'à ce qu'il ne puisse clairement plus revenir en arrière, enivrés par le contact de l'autre et le besoin de se sentir avec, peau contre peau.

« Haaaa... Ouiii, ouiii, haaaannn... Encore, Senestra, encore, hummmm...
 -  Je ... Je ne risque pas de m'arrêter, répond-t'il avec un sourire heureux. Bien au contraire. »

Il s'écarte un tout petit peu d'elle, puis use un tant sois peu de ses abdos pour se maintenir droit tout en libérant le bras qui lui servait de trépied un peu plus tôt, et va pour dégrafer le soutien-gorge de sa belle demoiselle, ses doigts glissant dans le dos de la jeune femme avec délicatesse jusqu'à ce qu'il trouve l'intersection si problématique selon les ragots sur le net et les quelques commentaires rageurs de Dextra. Très honnêtement, c'est clairement par chance, mais il met un temps infime à trouver la technique pour ôter la protection de tissu d'Amélie, et il la retire lentement pour libérer la belle poitrine de l'étrangère, posant le tissu sur son lit avant de revenir à l'assaut de cette chair délicieuse, un main à nouveau pour le soutenir et l'autre sur l'un des deux seins, l'autre subissant déjà de petits coups de langue bien concentrés sur son téton excité. Toutefois, et c'est peut-être à la fois pour le meilleur comme pour le pire, mais il a encore et toujours plus envie d'elle, et malgré leur élégance, les beaux attributs d'Amélie ne sont plus assez pour le satisfaire, même si il continue de les stimuler avec envie.

« Cela ta plait... ma douce Amélie ?... Moi j'adore. Tu es si belle, si délicieuse, ça me rend dingue. »

Il sourit et cesse ses caresse un moment pour aller caresser doucement son visage, et venir l'embrasser avec passion, le regard enfiévré par son désir pour elle plongé dans le sien, et sa langue venant délicatement cueillir la sienne pour la faire danser avec douceur entre leurs lèvres. Et pour le coup il cesse encore une fois de se servir de son autre-bras comme maintien pour venir caresser doucement le bas-ventre de la jeune femme, sans pour autant encore aller vers son jean, ne prodiguant que quelques caresses le temps que le long baiser leurs fasse perdre encore un peu plus leur souffle, puis quand il s'écarte, il l'observe tendrement en faufilant lentement ses doigts sous le vêtement de la femme qui le passionne temps, cherchant à titiller encore un peu plus son désir. Finalement sa main se glisse dans son pantalon pour venir caresser, au travers de son tissu aux couleurs de l'Union Jack, l'intimité de la belle demoiselle, si bien qu'il sent rapidement l'humidité dont est affecté cette mince surface de tissu et sourit, venant la taquiner un peu.

« Tu es... dans un sacré état, n'est-ce pas ? »

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Elle courait vite, et pensait vraiment que ce serait suffisant pour s'enfuir loin de cette professeur aux idées clairement pas nette, mais loin de se douter qu'elle comptait user de son cercle d'une manière bien inattendue, elle ne prit pas soin de vérifier si elle était en effet hors de la zone d'action du sort, et n'eut qu'à l'apprendre à ses dépends. Rencontrant avec force la protection que la succube avait mise en place, s'emplafonnant littéralement dans ce mur invisible, la douleur parcourt violemment son corps alors qu'elle est projetée en arrière avec fracas, faisant un joli vol plané qui la ramène deux mètres plus loin sur ses pas, alors que sa tête se fait lourde et sa vision embrumée. Non seulement elle ne comprenait pas vraiment ce qu'elle venait de subir, mais en plus elle n'était plus vraiment capable de réfléchir à grand-chose pour le coup, le choc ayant été assez violent pour l'étourdir un petit instant où elle eut tout le mal du monde à se rappeler ce qu'elle faisait là...

 -  Pas trop de casse mademoiselle Dextra ? Ce serait dommage que vous vous soyez déjà cassée quelque chose avant de commencer.

Mince c'était vrai, la folle qui voulait la corriger avec son inscription démoniaque sur la table, bon sang elle était dans une sale situation actuellement. Elle observait avec une certaine crainte la femme au dessus d'elle, et se redressait difficilement dans une pure volonté de reprendre le dessus sur la faiblesse immédiate de son corps afin de pouvoir lutter contre sa professeur. Mais son corps était clairement engourdie, surement le choc et la douleur qui était en train de l'anesthésier, du moins un minimum, et si elle arrivait à se mettre difficilement en position assise grâce à moult efforts, elle n'arrivait pas pour autant à placer ses jambes de manières à pouvoir se redresser, ce qui la mettait encore une fois dans une position clairement peu agréable. Relevant le regard sur le visage satisfait de sa professeur, elle se prend à maudire tout le corps éducatif de ce foutu lycée, mais ce n'est pas cela qui va changer grand chose, pire, cela semble laisser sur les lèvres de la femme un sourire plein de satisfaction, comme si la hargne de la jeune fille n'était pour elle qu'une friandise d eplus à déguster.

 -  Si j'ai bonne mémoire, nous parlions de nous occuper de votre estime de vous...
 -  Vous ... pouvez allez vous faire voir avec vos idées à la con !

Alors qu'elle essayait encore de faire obéir son corps rebelle à ses demandes, elle vit la femme en face d'elle commencer à ôter ce qu'elle considérait comme une sévère atteinte à la pudeur pour finalement découvrir qu'il y avait actuellement bien pire sous cette déjà courte tenue, observant avec un mélange de dégoût et de fascination ce corset que l'on pourrait croire sortit d'un mauvais film érotique. Comment pouvait-on mettre quelque chose d'aussi honteux, d'aussi malpropre, n'avait-elle même pas le moindre égo ? Non franchement, non seulement la lycéenne ne pouvait pas comprendre comment sa professeur pouvait s'affubler de pareils habits, mais en plus elle commençait à connaître une sévère frayeur de ce qu'elle comptait lui faire connaître comme genre de punition, tout en doutant clairement de son propre état une fois le châtiment pratiqué. C'était fou, comment avait-elle put se trouver en pareille situation ? Comment le monde pouvait assez lui en vouloir pour l'obliger à faire face à pareille déchéance ?

 -  On attaque ?
 -  Demandez donc à vos élèves dotés d'une bite pour ça, salope. Sortez de la salle, allez dans la cour, et je suis sur qu'ils seront ravi de vous ramoner le fondement dans cette tenue, et avec un peu de chance les autres profs et l'administration aussi, avant de vous virer !

Et dans un effort qui se veut monumentale, elle arrive à bouger sa jambe pour faire un joli croche-patte à ce qu'elle considérait encore il y a quelques minutes à une professeur digne de ce nom, la laissant choir au sol lourdement tandis qu'elle s'en écarte en se traînant au sol, cherchant avec hâte une solution pour fuir. Déjà, se relever, par chance les tables et les chaises n'étaient pas trop loin d'elle, et s'aidant d'abord de l'assise la plus proche pour se mettre sur ses genoux, elle tend la main vers la table pour prendre à nouveau appui et tenter de se mettre debout de manière assez maladroite, mais valable vu l'état de son corps. Ses jambes étaient en coton, elle ne comprenait pas vraiment comment cela se faisait qu'elle ait autant de mal à se mettre debout, mais entre le choc physique et le choc moral qu'elle venait de subir, il était surement compréhensible que ce qui lui permettait normalement de marcher l'ai complètement abandonnée. A moins que ce ne soit encore un coup de cette connasse, actuellement dans son dos, et de son foutu sort de barrière au niveau des sorties de la salle.

 - Bon sang, vous allez fonctionner foutue guibolles ? Faites chier j'ai pas que ça à faire !

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Le jeune homme avait un peu posé sa question comme une échappatoire, ne trouvant à la fois pas grand chose à dire mais surtout ayant besoin de parler d'un peu autre chose après ce qu'il avait connu un peu plus tôt comme gêne, le rose sur ses joues étant encore bien présent alors qu'il avait prononcé ses quelques mots. Dans le fond il n'était pas réfractaire à ce genre de question, il aurait été particulièrement idiot de partir sur ce genre de préjugé pour finalement se bloquer alors qu'il venait à peine de rencontrer ses idoles, tout particulièrement Akua, mais malgré tout il ne se sentait pas des plus à l'aise quand on venait à parler de ce genre de choses, son innocence jouant souvent sur ce sujet de discussion alors que n'importe quel garçon de son âge aurait surement sauter sur l'occasion pour renvoyer une question un tant soit peu perverse. Par contre sa propre demande sembla amusé Akua, qui réagit directement avant d'être coupée par le coude de sa camarade :

 -  Oh rien de bien méchant, on va se mettre à l’aise puis on bai...aieuh
 -  On a dit pas trop sérieux, mais arrête tes conneries Aku. Il n’y a rien de spécial de prévu. Ce serra une rencontre dans les loges de chacune, ainsi vous pourrez voir les lieux de préparation avant de monter sur scène. En temps normal nous partageons la même, mais là il n’y a personne, on aura donc chacune la nôtre. De là on discutera de ce que vous voulez.
 -  C’était pas la peine d’y aller si fort. Si on peut plus déconner. Senestra, tu verras, pas besoin d’être aussi sérieux quand on serra que tous les deux.
 -  Euh je ... Oui d'accord.

Comment dire qu'il n'était pas des plus stressés ? Se retrouver seul avec elle allait être une véritable expérience, et pour le coup, le fait qu'elle l'ai appelé sérieux lui rappela les quelques mots que lui avait adressée l'autre fille quand il était encore au dehors de la pièce, espérant sur le coup que la jeune femme ne le trouvait pas trop ennuyeux à cause de ses étranges réactions un peu coincées. Finalement, le petit clin d'oeil qu'elle lui adressa lui fit du bien, très honnêtement, il se sentit déjà un peu plus à sa place, mais malgré tout il se sentait presque comme un ovni au milieu de tout ce monde, se demandant bien comment il allait pouvoir faire pour agir naturellement auprès de cette jeune fille aussi adorable que charmante quand ils seront enfin en tête à tête. Après, peut-être allait-il juste devoir prier les kamis pour espérer recevoir une bénédiction de courage et de détermination, à lui le pur non-croyant qui les appelait seulement quand il était hésitant, mais franchement les chances que cela arrive étaient infimes.

 -  Oh je sais, on pourra prendre des photos avec vous ? J’adorais ajouter ça à ma collection !

Tiens bonne idée les photos, il aurait du en parler cela l'aurait peut-être mis dans une situation moins gênante que celle de plus tôt.  Décidément cette Frida avait le don de sortir les bonnes questions au bon moment, il aurait presque été envieux de cela ! Il observa le groupe et se demanda clairement ce qui serait le mieux à faire pour des photos, et finalement il se mit à penser qu'une photo avec chaque membre du groupe, puis une photo générale serait surement le meilleur à faire, s'imaginant déjà derrière les trois idoles et les deux autres invités, étant donné que sa taille jouait en bonne partie en sa défaveur sur toutes les photos d'ensemble qu'il avait déjà dut prendre. Au moins le résultat promettait d'être vraiment sympa, si du moins Akua, June, et Sue avaient prit le partie de vouloir immortaliser le moment de leurs rencontre avec quelques clichés !

 -  Ouais sans problème, on avait même prévue ça, avant que chacun vas s'en aller on fera une séance photo. Comme ça chacun pourra faire des photos avec qui il veut. Ça vous convient à tout les trois ?
 -  Bien sur.
 -  J'en serais ravi personnellement !

Une courte pause puis Akira reprends :

 -  Du coup à moi de poser une question c'est cela ? Hum, bon je vais oser, mais j'aimerais avoir votre avis sur le scandale qu'il y avait eut quand vous commenciez tout juste à être connue, avec les reprises photos...érotique, de June ou d'Akua...

Pour le coup, Dextra écouteras attentivement ce qu'elles ont à dire sur cela, l'homme ayant été l'un des plus gros videurs de post "poubelles" sur le forum quand plus d'une trentaine d'image retouchée avait été lancée sur les sites spécialisés du groupe. Il se souvient encore de la colère noir dans laquelle il était entrée et du nombre de personne qu'il avait tout simplement incendié à l'occasion, ayant d'ailleurs surement fait faire une crise cardiaque à un bon nombre d'usagers fréquents du forum qui avait dés lors découvert la face caché de ce jeune homme si poli et si calme qui jusqu'ici n'avait fait que témoigner tout son fanatisme envers Akua. Suivant la discussion sans y répondre pour autant ou faire un commentaire, ne voulant pas les couper ou paraître désobligeant, il fit juste le minimum pour montrer son intérêt pour ce qu'elles répondaient, puis lui même choisit de casser un peu la tension quand on lui donna le droit de parole, pour poser une nouvelle question.

 -  Je vais complètement changer de sujet du coup. J'ai cru entendre que certaines de vos chansons était basées sur vos connaissances ou vos proches, on parle aussi de petits amis ou autre. Qu'en est-il vraiment ?

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La jeune fille n'était pas des plus agréables actuellement, mais elle s'en moquait proprement, car que ce soit élèves ou professeurs, ils n'avaient tout simplement pas à lui casser les ovaires comme cela, c'était détestable, fatiguant, et en plus cela lui donnait envie de casser à peu prêt tout ce qui lui tombait sous la main. Pour elle, plus les choses étaient simples, calmes, et plus elle ferait preuve d'un peu de respect envers autrui, mais malheureusement la grande majorité de l'humanité était bruyante, convaincue que sa petite personne était essentielle à la société, et que sa place valait surement dix fois celle de son voisin, amenant à tout cet aspect détestable un orgueil à peine plus acceptable. En tout cas elle pensait que pour une fois, sa professeur n'allait pas insister deux heures pour se faire ouïr par l'élève, mais malgré sa capacité évidente à prouver qu'elle ne comptait pas changer le moins du monde, elle entendit de nouveau la voix de la femme s'élever, accompagné d'un ton qui l'a surprit.

 -  Rentrer chez vous... Un concept intéressant s'il en est... Vous savez sans doute que les japonais écrivent le mot "maison" en plaçant le Kanji "femme" sous le kanji "toit". En somme, pour eux, la "maison" est l'endroit où les attendent leur femme. Mais qu'en est-il quand c'est une femme qui l'écrit ? Elle ne peut pourtant pas placer le kanji "homme" sous le kanji "toit". Qu'est-ce qui vous attends donc "chez-vous" Mademoiselle Dextra ? Une famille ? Non car, d'après votre dossier, vous ne vivez plus chez vos parents... Votre petit frère peut-être ? Pourtant je me suis laissée dire que son petit boulot le faisait souvent rentrer tard...
 -  Et ... Et alors ?

Elle avait réagit plus violemment qu'on aurait put le croire de prime abord, la femme ayant commencer à toucher exactement ce que la lycéenne essayait de cacher du mieux qu'elle le pouvait, notamment par le biais de la mention de son frère, qui avait eut le don de la faire frémir un court instant. Non les choses étaient en train de déraper et elle n'aimait pas ça du tout, et observant la femme par dessus son épaule, sa main ayant cessé de tenir la brosse qui s'était de nouveau retrouver sur le bord du tableau, elle vit la femme se lever et prendre une craie pour commencer à marquer rapidement sa pseudo-psychologie au tableau, même si elle mettait de plus en plus souvent ses tirs dans le mille, laissant à Dextra peu de place pour réagir à de tels énonciations. Oui elle avait un chez-soi qui avait été et qui était encore à ce jour un lieu de protection, loin des soucis avec ses parents, loin des soucis avec ses camarades, mais n'était-ce pas la même chose pour tous ? En quoi cela la différenciait-elle d'un autre ? Et pourtant elle se sentait agressée, peu à peu acculée par Tessia, et elle n'aimait pas ça !

 -  Partant de ce postulat, je songe que cela vous correspond bien. Vous voulez "rentrer chez vous" ? Non, je pense plutôt vous voulez courir vous mettre à l'abri.  Mais à l’abri de quoi ? Le Japon n'est en guerre contre personne, aucun obus ne risque de s'abattre sur vous au détours d'une rue et il y'a très peu de chance que l'on cherche à vous tirer dessus, La ville n'a pas assez de brigandage et d’agression pour que ce soit un réel problème. Donc ce n'est pas quoi, mais plutôt qui ? Personne ne vous harcèle, cela se saurait vu votre caractère. De même, vous n'avez aucun problème financier notable et votre frère est un des êtres les plus doux et les plus gentils qu'il m'ait été donné de voir.
 -  Il sera surement ravi de l'entendre, ironisa-t'elle avec toute la mauvaise foi du monde, jalouse comme tout. Et je vous ferait remarquer que vous êtes en train de détruire votre propre théorie !

Cela ne lui ressemblait pas. Normalement Dextra ne réagissait aux mots des autres que de manières à être certaine de pouvoir définitivement leur couper le sifflet, mais là il n'y avait rien de cela, même pire, elle était en position défensive, essayant de prouver une faille inexistante dans les mots de sa professeur pour la faire douter et se libérer du calvaire qu'elle était en train de lui faire connaître. Elle ne faisait plus attention au jeu de la professeur avec ses petits écrits sur le tableau, elle était plutôt parfaitement focalisée sur les prochaines phrases de son enseignante, qui était d'ailleurs bien la première à la mettre dans une telle situation de doutes et de craintes, sa carapace étant en train de se faire ôtée par des mains bien trop inquisitrices à son goût. Elle l'écouta, la regardant de biais, entendant au fur et à mesure des paroles de Tessia ce qu'elle ne souhaitait pas entendre le plus au monde, à savoir qu'elle puisse être sa propre peur, qu'elle puisse craindre quelque chose qu'on appelait faiblesse... En somme qu'elle puisse être faible, fragile, inférieur !

 -  De là, cela ressemble non plus à une colère dirigée envers vos camarades mais plutôt à quelque chose chez vous-même qu'il vous révolte de trouver chez les autres. Et cette colère qui déborde un peu de chez vous devient dès lors non plus de l'agression gratuite, mais de l'auto-flagellation par le biais de ce que vous considérez peut-être sans vous en rendre compte, un avatar de vous-même.
 - Je... Vous délirez senseï, je n'ai rien à me reprochez, rien à devoir me faire pardonner, rien à considérer chez moi comme une anomalie. Non seulement je ne vois pas de quoi vous tirez une telle idiotie mais en plus j'ai bien l'impression que vous vous ridiculisez à chercher à théoriser mon comportement, alors qu'il n'y a pas plus simple à comprendre : Les autres m'énervent alors je m'énerve, point. Maintenant si vous voulez bien cesser, ce sera du temps de gagner pour moi comme pour vous !

Elle tremblait légèrement, et avait d'ailleurs un peu reculer en arrière de manière instinctive, comme si elle se sentait réellement en danger depuis quelques minutes alors que la femme approchait peu à peu de la vérité sur le comportement incendiaire de Dextra envers elle-même et envers les autres. Un peu plus et elle aurait surement déjà explosée, fait voler quelques chaises puis se serait barrer sans demander son reste, mais étrangement elle ne se sentait pas pleinement satisfaite à cette idée, comme si... comme si elle était vraiment obligée de donner tord à la femme pour être certaine de ne pas perdre le contrôle des choses en ce lycée. Elle ne se doutait pas qu'elle puisses se trouver un tel ennemi parmi les enseignants, mais pour le coup, la femme venait vraiment de la mettre dans la situation la plus délicate qu'elle n'avait jamais eut à connaitre, et cela la mettait dans un état proche de la crise de panique, où seul son contrôle quasiment parfait d'elle-même l'empêchait de perdre pied face à cette femme à la si fine intuition. Le bruit de la craie posée sur le cadre en fer la rappela à son adversaire :

 -  Il y'a de nombreux moyens de remédier à ce genre de problème, mais ce n'est en tout cas pas en faisant le vide autour de vous que vous y arriverez. Au contraire, vous agissez ainsi pour pousser les gens à ne plus vous mettre sous le nez vos propres soucis. Ce n'est pas une façon de régler quoi que ce soit. C'est une fuite en avant. Un moyen pour vous de vous voiler la face. C'est pourquoi, je vais vous donner une chance de me promettre, ici et maintenant, d'essayer de calmer le jeu avec vos camarades. Sinon, je serais obligée d'attaquer la mal à la racine, à savoir : votre estime de vous. Car, pour moi, il ne fait aucun doute que c'est votre sentiment de devoir être supérieur aux autres en tout point qui vous fait haïr vos propres défauts.

Deux choses venaient de lui sauter à la figure alors qu'elle ne s'était pas du tout douter de cela de prime abord. Non seulement la femme avait déjà eut le temps de l'observer comme il le fallait, la cernant quasiment parfaitement en quelques jours, ce qui la mettait particulièrement mal à l'aise, mais surtout, elle venait enfin de se rendre compte de ce que la femme venait d'inscrire sur le tableau. Le cercle de convocation qu'elle venait de faire était parfait, et la jeune femme passionnée d'occultisme venait de découvrir que sa professeur était loin d'agir dans la parfaite légalité que ses prédécesseurs avaient tant mis en avant quand ils avaient choisis de lui faire quelques remontrances bien senties envers son comportement généralement peu apprécié au sein du lycée. Elle ne savait pas ce qu'elle comptait appeler, ni comment, mais une chose était sure, même en tant que débutante, Dextra pouvait très bien se rendre compte qu'elle était non seulement en danger du point de vue mentale, l'analyse de Tessia étant quasiment sans défaut, mais surtout, elle risquait gros au moindre faux pas, ce genre de cercle d'appel démoniaque n'étant clairement pas fait pour appeler un quelconque diablotin...

 -  Malheureusement pour vous mademoiselle Dextra, personne n'est parfait. Et ceci est une vérité absolue. La seule constante à laquelle vous puissiez vous raccrocher. Soit vous l'admettez et vous essayez de changer pour vous y adapter. Soit alors, dans votre intérêt, je prendrait des mesures drastiques qui ne vous plairons pas du tout.
 - Des mesures drastiques, hein ? Dites moi Tessia-senseï, quel genre de professeur menace son élève en créant sur son tableau un sigle d'appel d'entité démoniaque, hein ? Elle s'arrête un instant, faisant deux petits pas en arrière avant de rencontrer le premier bureau sur son chemin, et d'y placer une main ferme. Non seulement je ne comptes pas changer, mais je le ferais encore moins sous l'emprise d'une quelconque promesse de "correction". Amusez vous donc avec ce que vous comptez convoquez, moi je ne restes pas une seconde de plus !

Courir vers la porte la plus proche la rapprocherait du tableau et de la professeur, alors elle n'hésites pas une seconde et tourne le dos à le femme tout en tirant la table dans le chemin, afin de se créer un rapide obstacle, et court vers les portes coulissantes du fond, ne voulant clairement pas finir entre les mains d'une quelconque entité plus que gênante ! Elle s'enfuit du mieux qu'elle peut, révolutionnant surement son record personnel de sprint et espère que la femme n'aura pas le temps de prononcer les quelques paroles nécessaire à sa convocation, chose dont elle doute car seule une parfaite idiote utiliserait un appel nécessairement long alors que sa cible aurait tout le temps de s'évader le temps qu'elle finisse de prononcer son appel. Et sa senseï avait prouvée juste avant qu'elle était loin d'être une idiote en lisant clairement dans son comportement protecteur de jeune lycéenne incapable d'accepter sa plus infime faiblesse ! Elle est à portée de la porte quand elle sent l'ambiance de la salle changer, et retient du mieux qu'elle peut un élan de panique, plaçant sa main sur la porte afin d'ouvrir avec fracas celle-ci...

Mais surement est-il trop tard.

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