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Messages - Coralie Scorpio

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Les alentours de la ville / Re : Une soirée comme les autres ( Coralie Scorpio)
« le: vendredi 19 décembre 2014, 20:32:51 »
Effectivement, c'était une bonne première impression, le genre de chose qui permet de mettre facilement un nom sur le visage d'une personne et de se démarquer du reste des idiots qui pullulaient dans la ville de Seikusu. Coralie trouvait d'ailleurs surprenant qu'il y ai autant de monde nul en drague, à croire que la majorité des filles de cette ville étaient soit des écervelés, soit des esclaves comme elle. Le marché du sexe semblait être quelque chose de particulièrement prolifique dans cette cité.

Coralie, je suis enchanté de faire votre connaissance Dit-elle en s’asseyant à la table du jeune homme

De plus près, il était encore plus craquant, son style était à la fois simple et efficace, philosophie que partageait pleinement la jeune fille. Les yeux d'Alex étaient d'une beauté qui la fit perdre pied avec la réalité un très court instant, mais ils trahissait aussi la nature du courtisant : Arrogant et parfaitement conscient de ses atouts, le genre de personnes qui pense que tout lui ai dû. Coralie pris la décision de le bousculer afin de le tester un peu, afin de voir si son nouveau compagnon tombait le masque. Vu l'âge de ce dernier, elle misait sur un enfant pourri gâté, peut-être ayant des parents riches et ce genre de personne avait tendance à vite s'emporter lorsqu'on leur refusait un caprice.

Vous attendiez peut-être quelqu'un ? un ou une amie ? Mais le verre de champagne ainsi que votre assurance me laisse penser que vous n'êtes là ce soir que pour tromper votre solitude. Elle marqua un temps de pause avant de poser sa boisson qu'elle n'avait toujours pas bu et de reprendre : Alors ? Alex, qu'est-ce que vous faites dans la vie ?

L'idée était de savoir d'emblée si le ce garçon pouvait être lui être utile ou non, était-il possible d'obtenir de l'argent de lui ? Ou bien alors d'utiliser ses contacts ou son influences ? Si ce n'était pas le cas, il suffirait alors de tourner les talons et de pister le pigeon ailleurs. Seikusu était rempli d'homme et de femme doté de ressources exploitables et qui serait ravi de libérer leurs frustration sur elle.

Depuis qu'elle avait rencontré Slade, Coralie sentait que quelque chose était entrain de pourrir en elle. Cette fausse confiance et ces méthodes de vipères avaient été acquise par nécessité. Cependant, cela ne lui ressemblait pas du tout. L'impression qu'elle avait été d'un agneau qui s'habille d'une peau de loup; mais qui fini petit à petit par oublier qu'il était un agneau à l'origine.

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Les alentours de la ville / Re : Une soirée comme les autres ( Coralie Scorpio)
« le: samedi 13 décembre 2014, 22:40:24 »
La nuit venait de commencer et le travail de Coralie avec. Slade commençait à lâcher un peu plus la bride de cette dernière, mais la menace n'avait pas disparu pour autant. Si la jeune fille tentait de s'enfuir, non seulement, il finirait inévitablement par la retrouver, mais en plus, cela pourrait avoir des conséquences tragiques pour elle et son entourage. Cette dernière avait suivi contre son grès la formation de Slade pour devenir la parfaite petite esclave sexuelle. Coralie en pas mal bavé et c'était pas une image, mais il y avait une chose qui était sûr, elle tenait bon, et n'abandonne pas l'idée de pouvoir retrouver sa liberté un jour.

Ce soir, la jeune fille était à la recherche de ce que son maître qualifiait de "pigeon". Son but était d'obtenir des faveurs (très souvent de l'argent) de personne en utilisant ses charmes. Oui, c'est de la prostitution, mais le monde dans lequel elle est tombé était particulièrement sombre et cruel. Coralie ne prenait aucun plaisir à faire cela, mais c'était tout d'abord sa principal méthode de survie, mais aussi, son seul moyen de commencer à œuvrer dans l'ombre pour construire tout doucement son chemin vers la liberté. Cela faisait maintenant un moment qu'elle y travaillait, la jeune fille avait su utiliser le nom terrifiant de son maître pour obtenir certains avantages, mais elle avait du aussi offrir son corps pour en obtenir d'autre, car elle vivait dans un univers ou le sexe pouvait être une monnaie au même niveau que l'argent.

Coralie pénétra dans l'un des bars branchés du moment. La musique Californication était entraînante et donnait une ambiance convivial à l’ensemble. L’atmosphère était particulièrement agréable et la jeune fille régréttait de ne pas pouvoir en profiter. C'est le genre d'endroit où elle aurait aimé passer du temps avec ses amis ou Inori. La tenue qu'elle portait tranchait radicalement avec le décors qui l'entourait, une robe rouge juste assez provocante pour attirer l'attention de toutes les personnes qu'elle croisait mais pas suffisamment pour se faire arrêter par les flics pour racolage (Pour le plaisir des yeux illustration içi). Un jarretière en tissus noir simple et sans dentelles faisait office de collier ras de cou, c'était le dernier vestige de ce qu'elle fut jadis et ne serait peut-être plus jamais. Coralie s'installa dans le bar de manière à être seule et ainsi attirer les "pigeons", elle prit soin également de se positionner de façon à pouvoir bien observer le reste de l'établissement. A sa grande surprise, il ne fallu pas longtemps pour qu'on lui fasse déjà des avances, un verre de champagne lui fut servi par le barman alors qu'elle n'avait encore rien commandé. C'était une manœuvre assez classique pour débuter un plan drague, mais elle avait au moins l'avantage de montrer un certain sens du bon goût, la jeune fille n’appréciant pas du tout les gens qui faisaient du rentre dedans. Elle aperçu l'homme qui s'avéré être un jeune homme particulièrement beau selon ses critères. En effet, elle était plutôt habitué à tous les porcs du quartier où elle était retenu, cela allait lui apporter un peu de fraîcheur, et qui sait... peut être que cela pourrait bien se passer dans un certain sens. Coralie offrit un jolie sourire à son mystérieux courtisant et se dirigea vers lui avec la coupe de champagne à la main, l'expérience de la jeune fille lui avait appris à ne pas directement boire tout ce qu'on pouvait lui offrir, surtout venant d'inconnu.

Je suis ravi de voir qu'il reste dans cette ville des gens de goût. Mais du champagne me semble un peu exagéré pour une première rencontre vous ne trouvez pas ? Dit-elle d'un ton amusé.

Son visage affichait un sourire naïf qui trahissait l'impression qu'elle s'était faite du jeune homme : Coralie ne le prenait pas du tout au sérieux.

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Oui, tu pourras la garder, mais je ne veux plus que tu la portes comme avant, tu as de belles tenues, inutiles de les gâcher avec ça… alors voilà où on va la mettre... Annonça le geôlier.

C'est ... c'est vrai ? Murmura Coralie.

La surprise se mêlait au scepticisme, après tous les coups tordus qu'il lui avait fait subir, c'était devenu une habitude. Aussi, l'étonnement fut d'autant plus grand lorsqu'il se contenta de tenir ses paroles sans tenter de souiller d'autant plus la jeune fille. Les yeux de cette dernière étaient grand ouvert et avait du mal à réaliser ce qu'il venait de se produire, de plus, elle trouvait que cela lui allait bien et que c'était donc à la fois une très bonne idée et un excellant compromis. Son état était tel, que Coralie n'eut même pas l'habituel sursaut de recul à l'approche de la main de son tortionnaire.

M... Merci beaucoup. Dit-elle d'une voix inaudible.

Intéressante cette méthode pratiquée dans la cabine d'essayage, le vendeur m'en a glissé un mot… je te croyais plus ignare que ça… je te félicite de ton initiative… nous te trouverons un cadeau, je te le promets...

La réalité eut vite fait de reprendre le pas sur cet instant qui semblait incohérent avec le personnage, à la grande tristesse de la jeune fille. Cette dernière se mit à rougir de gène comme une tomate lorsqu'elle pris conscience que son geôlier était au courant pour ce qu'elle avait fait dans la cabine. Savait-il aussi pour ce qu'elle avait ressentit durant ce moment ? Elle pria de toute son âme que ça ne soit pas le cas.

La journée shopping se poursuivit afin de compléter la tenue de la parfaite petite esclave sexuelle. Tous les achats ne furent pas révéler à Coralie, cette dernière préféra ne pas imaginer quel plan tordu il avait encore pu imaginer pour la faire souffrir. En revanche, elle était parfois amené à l'attendre à l'extérieur des boutiques, ce qui avait pour réaction de lui provoquer un terrible mal être. En effet, sa tenu vulgaire ne faisait rien pour empêcher d'attirer l'attention des passants qui la dévoraient du regard. En temps normal, une tel situation aurait été synonyme de danger pour la jeune fille et son entourage à cause de sa "malédiction", mais maintenant, c'était un autre type de danger qui l'a guettait. Il ne fut pas beaucoup de temps pour que les types louches commencèrent à l'aborder. Deux punk tout droit sortie des pires clichés possible s'approchèrent d'elle et firent le manège habituel dans ce genre de situation : Drague minable ponctué de sous entendus salaces et de mains baladeuses. Coralie n'avait nullement envie de se faire tripoter par ces hommes mais elle ne savait pas si c'était encore un manège de son tortionnaire ou non, du coup, il n'y eu pas trop de résistance de sa part. Cette désagréable scène pris fin lorsque les deux individus virent la marque sur le sein de la jeune fille à travers le tissus tendu de la robe.

Oh putain !! C'est la pouliche de Slade ?!! Dit le premier à terrorisé
Quoi ? euh bon tu nous excuses hein ? On savais pas hein ? Bon allez salut ! Ajouta le deuxième avant de partir comme si les deux punk tentait de fuir un monstre.

Slade ? C'était donc le nom de son geôlier ? Coralie était encore sous le choc de la rencontre mais elle était rassuré que cela ai pas mal tourné. Elle pouvait donc utiliser ce nom pour obtenir certaine chose de certaines personnes. Cela pourrait s'avérer être une information particulièrement utile pour l'avenir, surtout lorsque ce dernier ne serait pas derrière elle. La jeune fille fit comme si rien ne s'était passé durant la l'absence de son maître, et reprit ça tourné des boutiques.
La dernière d'entre elle était particulièrement glauque, et les articles vendu à l'intérieur l'étaient encore plus.

Allez, va choisir un objet pour ton cul, un pour ton con et un autre pour ta bouche, pense juste qu'il faudra que ce soit assez gros, pour t'habituer un peu à prendre une bonne taille en toi… car je te promets que tu vas avoir de sacrés gros morceaux… ah et du lubrifiant, aussi, je n'en ai plus ! Et s'il y a des objets qui t'intriguent ou t'amuse, prends les, qui sait tu auras peut être l’occasion de les essayer... Et il ajouta : Monsieur accepte de nous offrir les course si tu le suces et que tu le laisses de te jouir sur le visage avant que tu ne te le nettoies avec tes doigts et ta langue, tout cela,  en étant filmée ! J'ai dit que tu étais d'accord, ça ne te dérange pas au moins ?

Non ! Alors là non c'était pas possible. Coralie n'y connaissais strictement rien en sextoys, et elle n'avais nullement envie de les essayer. Un gros blocage se produisit à cette instant. La jeune fille avait fait des choses bien pire depuis qu'elle était devenu esclave mais c'était un nouveau cap à passer dans sa progression vers la débauche qu'elle n'était pas prête à faire.

Oui monsieur. Répondit-elle sans aucun entrain.

Il n'y avait réellement aucune conviction dans ses paroles, on pouvait même lire une profonde détresse. L'idée lui était venu de tenter de s'enfuir lors de l'absence de son maître, elle aurait peut être dû essayer pour échapper à ça. Son corps était tellement crispé lors de son passage dans les rayons qu'on aurai pu la confondre avec un automate mal huilé. Coralie devait choisir ELLE-MÊME les outils qui allait servir à la torturer, ce qui lui était particulièrement insoutenable. Malgré tout ces efforts, la jeune fille ne parvînt pas à se résoudre à faire une telle chose, alors elle décida de limiter au maximum la casse. Son choix se dirigea vers deux gode d'une taille standard, relativement proche des pénis qu'elle avait pu apercevoir dans la cabine d’essayage. Enfin, son dernier achat se tourna vers un bâillon boule, avec l'intention que si Slade s'en servait, elle n'aurait pas à dire des choses qu'elle n'a pas envie de dire.
Vînt alors le moment de "passer à la caisse", le gérant n'attendait que ça visiblement, un sourire des plus évocateur se profilait sur son visage. Ce dernier guida Coralie dans le bureau situé à l'arrière boutique, et dégaina son téléphone comme on le ferait avec un revolver.

Enlève moi cette robe que je puisse t'admirer et ensuite tu viendras t'occuper du chibre à papa. Dit le gérant grassement.

Est-ce que Slade va me faire sucer toutes les bites de la ville ? Si je ne choppe pas de MST ça sera un vrai miracle... Pensa la jeune fille.

Une certaine forme de lassitude l'avait envahi, elle n'avait pas envie de faire le moindre effort pour ce qu'elle qualifierai de gros porc. Coralie ôta sans fioriture sa robe et se dirigea vers le gérant pour faire se qu'on lui avait demandait. Les mouvements qu'elle exécutait était devenu mécanique et sans application, peu de chose la différenciait de la poupée gonflable à ce moment là. Devant ce manque de motivation flagrante, le partenaire lui tira sèchement les cheveux afin de faire des vas-et-viens violent. La jeune fille commençait à avoir l'habitude et presque aucune douleur ne fut ressentit au niveau de la gorge. Le spectacle était si minable que l'homme fut contraint de finir à la main et se soulagea sur le visage de Coralie. Cette dernière suivi les instructions que lui avait donné son maitre en nettoyant son visage mais il n'y avait aucune sensualité dans son visage.
Tout ceci n'avait pas été du goût du gérant qui ne semblait pas avoir été comblé. Lorsque la jeune fille s'éloigna pour récupérer sa robe, l'homme lui attrapa le poignet et la tira vers lui.

Hop Hop ! Pas si vite, tu crois que j'ai pas compris ton petit numéro ? Je suis pas rassasié et je compte bien complètement me vidé. Annonça-t'il.
Lâchez-moi ! J'ai fais ce qu'on m'a demandé de faire ! Vous... Non... Dit-elle en se débattant.

L'homme poussa Coralie contre le bureau et plaqua son buste contre ce dernier. Le gérant utilisa son poids et sa force pour maintenir la jeune fille dans cette position, puis, il défit sa ceinture afin de lié les mains dans le dos de cette dernière. La pauvre femme se débattit comme elle put mais la situation était trop désavantageuse. Slade serait sûrement ravi de la tournure que prenait la situation mais elle ne voulait vraiment pas le faire avec cette homme, ni dans une arrière boutique miteuse, surtout pour sa première fois. Alors, lorsqu'elle vu le gérant ce saisir du bâillon boule qu'elle avait prévu d'acheter, elle fut pris de panique et le désespoir la fit réagir de façon que même elle n'aurait jamais imaginé.

AU SECOURS MAÎTRE !!! A L'AIDE !!! AU SECOUHHHMMMMFF !!! Trop tard, l'homme avait enfourné le bâillon boule dans la bouche de Coralie et l'avait fermement fixé.

Tout en continuant à ce débattre, la jeune fille se mit à pleurer, elle n'aurai jamais pensé qu'elle appellerai son tortionnaire à l'aide. Elle tentait de produire autant de son qu'elle le pouvait avec sa voix mais cette dernière était maintenant particulièrement étouffé. Le gérant avait tiré le soutien gorge afin de pouvoir profiter pleinement de la poitrine de sa pauvre victime. D'un mouvement sec il écarta les jambes de cette dernière et ôta le string jusqu'à mi-cuisse s'offrant ainsi une superbe vue sur l'antre des plaisirs de Coralie. La colonne de chair de l'homme s'érigea et il s'en servit pour caresser les lèvre intimes de la jeune fille. Plus qu'un coup de rein et il serait dedans.

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Non, ça ne me va pas. Je n'aime pas ses couleurs… prends du blanc et du violet, ce ne serait pas mal, et prends aussi une robe et deux portes-jarretelles avec des bas assortis, s'il te plaît. Et même s'il ne te plaît pas, d'ailleurs… ah et maintenant que j'y pense, il te faudrait une robe…. Évite les robes corset car tu as trop peu de poitrine pour les remplir… et du coup évite le trop grand décolleté… je te laisse complètement libre de choisir celle qui te plaira ! Pas besoin de mon approbation… ah et pas de robe en dessous du genou… au dessus, même. C'est une obligation, bien sur… et pour le manteau ? Il n'y a rien qui vaille la peine ici, nous verrons cela ailleurs… ou alors… hum… non, en fait tu n'en auras pas besoin ! Oublie ça !

C'était surprenant de voir le geôlier parler de goût vestimentaire, sans compte cette manie qu'il avait de se corriger pour faire le méchant, cela lui donnait un côté ... plus humain. Y'avait-il un changement dans son comportement ou son caractère ? Peut-être qu'il s'attendrissait un peu, même si cela ne changeait en rien le fait que ça soit un monstre bien-entendu. En revanche, les indications vestimentaire de ce dernier ne surprenait pas vraiment Coralie. En résumé, fini la jeune fille réservé, et bienvenue à la grande débauché. Après un discret soupir traduisant le peu de motivation éprouvé cet idée, elle retourna dans les rayons.
L'un de ses choix s'orienta vers une robe violette très moulante, et arrivait à peine plus bas que l'entre-jambe, ce qui donnait plus l'impression d'un grand T-shirt sans manche. Afin de conserver un semblant de dignité, elle avait choisis un tissus un tout petit peu épais pour qu'on ne puisse pas (trop) distinguer ses sous-vêtements. Coralie accompagna cette robe avec un ensemble noir soutien-gorge/string simple mais très fin enfin de ne rien laisser transparaître (tout du moins elle l’espérait). La jeune fille ne pu s’empêcher de rougir à la vue du portes-jarretelles qui accompagnait l'ensemble, car elle n'avait jamais osé en acheter et encore moins en mettre, ces derniers avait la particularité de passer sur les fesses et non sur les côtés des jambes. Pour finir, elle choisi des bas simples noirs qui montaient jusqu'au milieu de la cuisse et qui donnait un peu l'impression de grande chaussette opaque. Plusieurs idées lui traversa alors l'esprit, nourrissant son inquiétude qui ne cessait de grandir. Tout d'abord, Coralie prenait conscience que même si elle était forcé de faire ses achats, c'était elle qui étais entrain d'opéré sa transformation en esclave sexuelle, ce qui été particulièrement sadique de la part de son geôlier. Ensuite, nourrissait l'espoir qu'elle pourrait conservé sa jarretière malgré toutes ses acquisitions (afin de conserver une trace de son ancien elle). Enfin, même si son voeux le plus cher était d'être reconnu et sauvé par quelqu'un, elle espérait ne pas croiser des élèves de son école qui pourrait la voir habillé comme une dévergondé et se faire une fausse opinion de sa personne.

Coralie mit fin à ses emplettes en complétant avec des suggestions de son ravisseur et notamment une mini-jupe blanche et particulièrement flottante qui représentait absolument tout ce qu'elle avait voulu éviter lorsque la jeune fille avait choisis sa robe. Le regret se lisait sur son visage mais la crainte de son geôlier était plus forte.
Les paroles de ce dernier lui revînt en tête : Quand tu auras choisi, je vais te demander d'aller dans la cabine d'essayage central pour être sur que les tailles te conviennent, et… et tu sauras quoi faire…. Tâche de faire ça correctement…. Je t'attendrai juste à côté, avec autre chose que je voudrai te faire essayer. Allez, file !
Qu'est-ce que ce malade avait pu encore imaginer ?... Coralie pénétra dans la cabine et commença à se changer, elle distingua deux orifices sur les parois, l'un en face de l'autre, et compris immédiatement le manège qui allait se déroulé. Des inconnus (probablement client du magasin) aller pouvoir se rincer agréablement l’œil pendant son essayage. Cela eu pour réaction de la tétaniser et de la faire respirer fortement sous l'effet du stress. Elle lui fallu un bon moment pour réunir ses forces, provoquant ainsi l'impatience des voyeurs qui se manifestèrent en toquant à la parois. Ne voulant pas décevoir son maître afin de ne pas s'exposer à une horrible punition, Coralie débuta enfin son essayage en se tenant le plus de profile possible. Les yeux présent dans les orifices scrutaient le moindre recoin de son corps et semblaient jouir de la gène intense qu'ils provoquaient. Dans l'ensemble, tous les vêtements de la jeune fille étaient à la bonne taille. Mais alors que la jeune fille était en sous-vêtement afin de mettre la robe qu'elle avait choisi, un pénis en érection fit son apparition à travers l'un des orifices de la cabine d'essayage. Pris par surprise, Coralie ne pu réprimer un cri, et eu le réflexe de jeter un œil dehors pour se plaindre auprès de son ravisseur, mais le regard satisfait de se dernier permit de conforter les craintes de la jeune fille. Son "travail" d'esclave sexuelle avait d'ore et déjà commencé.
Elle se retourna alors, se mit à genoux, pris un très court instant pour souffler et se mettre en condition. Cela aller être théoriquement plus facile qu'avec son maître, en effet, Coralie n'aurait pas à subir son terrible regard et ne pouvait non plus voir le visage des voyeurs au cas où ces derniers aurait un physique disgracieux. Cette dernière se rassura en voyant le pénis qui était d'une taille bien moins imposante que celui de son geôlier, et pu débuter sa fellation sans se faire prier. Même si ce qu'elle faisait la rebutait profondément, la jeune fille acquis au cours de cette pratique une certaine confiance en elle puisque, le membre de chair devient dur beaucoup plus vite que celui de son maître. La vue sur le fessier pratiquement dénudé de Coralie avait particulièrement excité le second voyeur qui toqua sur la parois et fis lui aussi passer son pénis par l'orifice.

Quoi ? Mais ...Attendez j'ai pas encore fini, soyez un peu patient... je vous en prie. Dit-elle dans sa tête, qui fut simplement résumé par un petit gémissement. Ce dernier fut très mal interprété par le premier voyeur qui le prit pour un bruit de plaisir et dont la colonne de chair se mit à palpiter avec vigueur. Le stress envahi Coralie lorsque le second voyeur se montra de plus en plus insistant en toquant de  plus en plus contre la paroi. Elle tenta de poursuivre sa fellation sur l'autre tout en masturbant le premier mais cela ne semblait pas plaire au premier qui le fit rapidement savoir. C'est alors qu'elle parvînt à trouver le compromis, ses mains prirent appuis sur la paroi de droite, puis bloqua ses pieds contre la paroi de gauche. Pendant qu'elle jouait de sa bouche sur la première personne, elle se servit de la raie de ses fesses pour caresser le second et ainsi lui offrir une branlette dite "allemande". Le résultat ne se fit pas attendre, Coralie ne s'attendait pas à ce que ses partenaires aient si peu d'endurance qui vinrent presque simultanément, l'un dans la bouche de la jeune fille et l'autre sur les fesses de cette dernière salissant le string même pas encore acheté. Contrairement à ses précédentes expériences avec son ravisseur, aucune douleur n'avait été ressenti durant la pratique, Coralie avait avalé la semence de son partenaire par réflexe pensant être vite inondé mais la quantité fut parfaitement raisonnable : pas plus que quelques giclées. Le goût quand à lui était à la fois le même et totalement différents, mais toujours désagréable. La jeune fille se laissa glisser sur le sol et pris le temps d'assimiler ce qu'il venait de se produire. Un sentiment particulièrement étrange l'envahi : au départ c'était de la curiosité, mais lorsqu'elle prit conscience qu'elle avait sensiblement mouillé durant ce rapport (parce qu'aucune douleur n'avait été ressentit) Coralie fut pris d'effroi et de dégoût pour elle-même.

Elle ressorti de la cabine, habillé de la robe moulante violette, de ses bas noirs maintenu par le porte-jarretelle qui va avec et tenant sa jarretière dans ses mains. La jeune fille avait pris la peine de TOUT bien essuyer afin de rester présentable et de ne pas donner de fausse idée à son ravisseur. Elle n'avait pas l'habitude de porter des choses aussi courte et tentait régulièrement de rabaisser cette dernière mais en vain. La moindre personne qui baisserait un tout petit peu la tête aurait une chance de voir la naissance des fesses de Coralie. La robe mettait particulièrement les courbes de la jeune fille en avant, ses seins prenaient une jolie forme et son beau popotin était mise en valeur.

Excusez-moi monsieur, je sais que je n'ai aucun droit et que je ne suis rien de plus qu'un jouet pour vous, mais ... puis-je garder ma jarretière ? C'est quelque chose d'important pour moi. Demanda le plus humblement Coralie.

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Je préfère t'avertir. Si jamais tu tente quoique ce soit, je te jure que je te ferai regretter le fait que tu ne sois pas un simple sac à foutre… tu m'as compris ? Officiellement, de hors, je suis ton mec, un mec dont tu refuse de t'éloigner… nous sommes d'accord ?

Coralie ne ferait rien qui puisse mettre sa vie en jeu, elle s'en était fait la promesse. Mais heureusement pour elle, son geôlier ne pouvais pas lire dans ses pensées. D'une certaine manière, les rôles venaient de s'inverser, c'était elle qui devait surveiller le tortionnaire maintenant. Il fallait que durant cette sortie, elle recueille un maximum d'information possible sur son environnement et que la jeune fille garde un œil sur le monstre pour éviter qu'il ne s'en prennent à des innocents. L'idée de devoir jouer la petite copine n'était pas du goût de Coralie, qui aurait préférer vivre ce genre d'expérience avec une personne qui compte vraiment à ces yeux. Mais au moins, elle n'était plus obligé de faire des choses qui lui donne envie de vomir. La jeune fille avait encore le goût de la semence dans la bouche dont elle n'avait pas réussi à ce défaire, cela lui donner l'impression qu'elle empestait l'odeur de son tortionnaire. Le contact de la main de ce dernier sur ces fesses ne fit que la crisper d'avantage mais elle tenta de faire avec.

Lors des premiers pas à l'extérieur, Coralie respecta les ordres de son nouveau maître et resta coller auprès de lui durant tout le trajet. Elle profita de l'occasion pour bien identifier les lieux, c'était un quartier qu'elle connaissait car elle l'avait déjà traversé sans jamais s'y attarder. Quasiment tout le monde sait à quel point il est dangereux mais de très nombreuse personne prennent tous les jours le risque d'y passé car c'est l'un des chemins les plus cours pour traverser la ville. Il n'y   avait pratiquement aucune chance qu'elle croise l'une de ses amies et d'une certaine manière cela l'a rassurait. En tout cas, grâce à la fierté de son geôlier, Coralie savait désormais où elle était retenu captive. A croire que le petit manège de hier soir n'avait servi qu'à l'humilier.
Le couple finirent par pénétrer dans une première enseigne qui faisait dans la braderie. La jeune fille n'était encore jamais rentré dans cette boutique mais il y plainait une atmosphère sensiblement lugubre.

Allez, montre moi ce que tu achèterai et je te donnerai mon accord ou pas. Tu as besoin d'un manteau, de sous-vêtements, de deux pantalons et de deux ou trois hauts… de toute manière, c'est surtout pour sortir… quand tu auras le droit de sortir bien sur… ensuite nous irons acheter un peu d'alimentation, et quelques jouets et accessoires pour toi...

A chaque tape qu'elle recevait sur ces fesses, Coralie était d'avantage gêné, elle ne parvenait pas à s'y habituer et le fait que cela soit en public n'arrangeait rien. Elle commença à vadrouiller dans les rayons du magasin mais ne perdit pas de vue son objectif : analyser son environnement. Pas une seule fenêtre à l'horizon, il n'y avait qu'un éclairage artificiel. On pouvait distinguer une porte à double battant au fond des rayons qui devait menait à l'arrière boutique mais situé dans un endroit trop dégagé pour s'y rendre discrètement. La jeune fille s’arrêta devant un bac dans lequel s'entassaient des pantalons de piètre qualité, certain semblait même avoir été déchiré puis recousu vite fait. Une idée sordide lui vînt à l'esprit, c'était qu'une bonne parti des vêtements de ce magasin provenait peut-être de fille comme elle, enlevé par des psychopathe, et désireux de se débarrasser du "superflu".
Dans un soucis de ne pas faire perdre patience à ton "compagnon" imposé, Coralie traversa les rayons et pris diverse vêtements en ce souciant uniquement de la taille. Ces derniers étaient relativement classique : pantalon en tissu, jean, chemise apprêté, t-shirt. Tout cela sans fioriture, ce qui lui donnerait un air parfaitement anodin, idéal pour les rares sorties qu'elle aurait l'occasion de faire. En revanche, elle ne put s’empêcher de perdre une petite minute dans le rayon sous-vêtement, pas par coquetterie, mais simplement parce qu'elle avait toujours eu un faible pour la lingerie. La jeune fille portait de tout habituellement, mais toujours simple, dans dentelles ou broderie, elle n'en avait jamais eu le courage. Bien évidemment, elle se doutait qu'avec son dégénéré de tortionnaire, Coralie serait amené à porter des choses qui défie toute la bien séance, et qui l'a rabaisserai à ce qu'elle est devenu "un simple sac à foutre" pour reprendre les termes de son geôliers. Finalement, fidèle à ses habitudes, elle pris de tout : culotte, caleçon, shorty, tanga, string. Seul point commun à tout ça, la couleur, noir ou dans des teintes bordeaux. La jeune fille ramena ses trouvailles auprès de son geôlier pour inspection.

Est-ce que mes choix sont à votre goût monsieur ? Demanda-t'elle humblement.

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Mais qu'est-ce qu'il pouvait attendre comme ça ? Ceci n'était encore, sûrement, qu'une façon tordu de se délecter de la gène de Coralie. Le temps commença à lui paraître plutôt long et éprouvant psychologiquement. Son tortionnaire mis fin à cet instant pesant et se rapprocha de sa captive. Son comportement n'étais plus celui d'une bête sauvage et tyrannique, mais il agissait d'avantage avec douceur et calme. Le geôlier plongea son regard dans celui de la jeune fille qui était suppliant au possible. Elle ne vit dans les yeux de son agresseur qu'un immense désert de glace de sentiment, comme s'il n'était rien de plus qu'une machine. Le tortionnaire repositionna Coralie sur la table et sortie un couteau. A cette instant, ce n'était plus de la peur mais une véritable terreur qu'éprouva la jeune fille. Tous les muscles de son corps se contractèrent et elle ne pût, malgré tout ses efforts, réprimé quelque gémissement de frayeur.
L'homme démarra alors une opération avec son couteau sur le sein de sa captive. Elle ne savait pas ce qu'il était entrain de faire mais ça faisait le picotement produit par la lame sur cet endroit si sensible provoquait une vive douleur. Coralie, bougeait la tête dans tout les sens tentant par tous les moyens de garder la pose, pour ne pas faire dérapé la lame de son tortionnaire. Elle respirait fortement et gémissait lorsque la douleur était un peu trop forte. On était cependant encore loin de ce qu'elle avait subis hier soir qui restera un profond traumatisme pour la jeune fille, elle endura donc l'opération jusqu'à la fin sans vaciller.

Et voilà, c'est fait… bon, maintenant, il va falloir t'habiller avant que l'on aille te trouver des vêtements plus adéquats... Dit-il l'air satisfait.

Se remettant de son supplice, Coralie put remarquer la présence d'une marque brillante sur son sein, un peu comme si un piercing brillant lui avait été mit. C'était donc ça le marquage ? Le motif était plutôt jolie mais c'était une bien maigre consolation car elle venait de dire au revoir aux peu de liberté et d'humanité qu'il lui restait. C'était maintenant officiel, la jeune fille était devenu une esclave, un objet dont son maître aller pouvoir se servir comme bon lui semblait, elle ne put réprimer quelques larmes à cet instant.

Voilà, habille-toi et si tu veux te nettoyer la frimousse fait le, on part dans un quart d'heure...

En revanche, la jeune fille éprouva de la joie pour la première fois depuis sa captivité, l'homme lui donna des vêtements pour sortir. Cela pouvait semblait anodin, mais après tout ce qu'elle avait subis, c'était devenu une sorte de luxe pour la captive. Elle les enfila sans aucune hésitation. Son visage arbora une tout petit sourire aux milieux des larmes, signe du tout premier sentiment de satisfaction depuis environ 24 heure. Coralie alla se nettoyer le visage et arranger ses cheveux avec les maigres moyens qu'elle possédait, c'était plus du bricolage qu'autre chose mais c'était mieux que rien.
Voilà, la jeune fille était prête pour sa sortie, il ne lui avait largement pas fallu un quart d'heure pour se préparer, elle se demandait qu'elle genre de vêtement elle allait devoir porter. Mais elle avait surtout un espoir, celui de peut-être croiser quelqu'un qui pourrait l'aider à ce sortir de cette horrible situation.

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Prélude / Re : Une nouvelle esclave s'amène! (Valiprimée !)
« le: jeudi 25 septembre 2014, 20:19:52 »
Ben il va peut être pouvoir finalement l'ouvrir son bordel  ;D

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A la grande surprise de Coralie, son ravisseur mit fin à la fellation avant qu'une inondation de sperme ai lieu. La peur envahi la jeune fille qui se mit à trembler comme une feuille, qu'avait-t'elle fait de mal pour s'attirer la fureur de son maître ? Pourtant, à entendre ce dernier, il avait l'air plutôt satisfait de la prestation. La peur de la baguette, d'une torture sadique encore inconnu ou plus simplement encore, de la douleur que pourrait subir Coralie, la tétanisa. Pour toute réponse, une caresse faite avec le pénis alla se déposer sur la joue de la jeune fille.

Bien, tu as fait beaucoup de progrès, dis moi…. Je pense que tu as mérité ton repas...

Hein ? de... de quoi ? Pas de colère mal placé ? Pas de torture sadique ou de remarque pleine de mauvaise foi ? Il était donc possible de satisfaire ce monstre ? Coralie eu du mal à cacher sa surprise mais ne prononça aucune parole. Préférant rester méfiante en reprenant sa position de d'origine, elle ne se jeta pas sur l’assiette, préférant attendre que son maître agisse le premier. L'homme ramassa la "gamelle" et se dirigea vers la cuisine en sifflant Coralie comme on sifflerai son animal de compagnie pour qu'il vienne manger sa pâté. Elle le suivi, à la fois curieuse et pleine d'espoir puis se remit à genoux derrière lui une fois qu'il eut atteint le frigo. Le geôlier déversa des restes provenant d'autre repas dans l'assiette pour en faire une sorte de tambouille. Ce n'était pas de la grande cuisine, mais la jeune fille s'en contenterai amplement, surtout que son ventre était de moins en moins discret.

Voilà, tu vas pouvoir manger, ma belle, attends juste quelques instants...

Et voilà, c'était trop beau pour être vrai. Mais même si elle n'avais pas vu le coups venir, Coralie ne fut finalement pas surprise par le comportement de son ravisseur. L'homme avait décidé d’assaisonner le repas avec une bonne rasade de semence. Voulait-il que la jeune fille soit imprégné par le goût de son sperme en permanence ? L’assiette ne lui sembla plus aussi attirante qu'il y a encore quelque seconde.

Bonne appétit, ma chérie…. Je t'attends dans le salon, comme je compte t'apprendre quelques petites choses de plus avant que l'on sorte...

Ma belle, ma chérie et même un "s'il te plait"... Y'avait de l'amélioration dans les paroles employé par l'homme. Peut être avait il réellement apprécié la fellation de la jeune fille et que le temps pour l'amadouer serait moins longs qu'elle l'avait prévu. Mais pour ça, il fallait que Coralie poursuive ses efforts et continue à surmonter ses aversions. Elle prit un petit morceau de sa "ratatouille" et le mis dans sa bouche. C'était froid, fade, gluant, et surtout, il avait l'horrible arrière goût de la semence de son tortionnaire dont elle n'arrivait toujours pas à s'habituer. Pour ne pas avoir à trop souffrir de son repas, la jeune fille avala au coups par coups les aliments en les mâchant le moins possible pour ne pas que la forte saveur du plat n'envahisse son palais.

C'est lorsque son estomac fut apaisé, que l'inquiétude avait gagné la jeune fille. C'était toujours la même peur qui l'accompagnait, celle de l'inconnu, de l'incapacité à imaginer quel serait son prochain tourment. Coralie revînt dans le salon et s'approcha de la table en vers la fixant un cour instant. Elle pris appuie sur le rebord et s'allongea doucement et avec délicatesse sur le dos. Le contact du verre froid et de sa peau la fit frissonner et il lui fallut plusieurs seconde avant de s'y habituer. La jeune fille était maintenant allongé sur le dos de la même façon que le serait un patient dans un hôpital. Se rappelant de hier soir, elle se retînt de cacher ses atouts féminins malgré la profonde gène que lui provoquait la situation actuelle. Mais ayant peur que cela ne suffise pas aux yeux se son geôlier, Coralie posa ses pieds sur le rebord de la table et écarta doucement et sensiblement les jambes. Quant à ses mains elles allèrent chercher l'autre côté de la table pour s'y accrocher. La position qu'avait actuellement la jeune fille, faisait que seul ses pieds, ses fesses, ses épaules et sa tête étaient en contact avec la table. Le dos formait une jolie courbe vers le ciel, mettant en valeur sa poitrine. Complètement nue, seule sa fidèle jarretière ornait encore et toujours sa jambe droite, dernier signe distinctif qui l'a démarquait de toutes les autres qui avait pu se retrouver dans la même situation. Elle ferma les yeux et posa sa tête sur le côté comme pour détourner le regard.

C'est bon comme ça monsieur ? Demanda-t'elle avec une voix tremblante qui trahissait sa timidité et sa gène.

Coralie essaya de ne penser à rien mais c'était peine perdu. Tout un tas de chose lui traversa l'esprit, elle se demandais si le moment était venu pour elle de perdre sa virginité ou si ce monstre allait continuer à jouer avec elle. Dans tous les cas, la jeune fille ne put faire que la seule chose qui était encore en son pouvoir : prier pour que ça soit rapide et le moins douloureux possible.

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Et bien, tu n'as qu'à délacer la ceinture et  ouvrir la braguette pour aller faire ce que l'on te demande. Tu sais, quand je te donne un ordre, fais ce qu'il faut pour l'exécuter. Je ne te dis pas de faire preuve d'initiative permanente, quoique je puisse apprécier le fait que par exemple, une fois que je te ferai plus confiance, te lever avant moi pour faire en sorte que le repas soit prêt quand je me lève, ou, quand je ne suis pas là, faire en sorte que la soupe soit chaude quand je rentre. Ce sera pour plus tard, mais là, dans ton cas, par exemple, là, tout de suite. Il faut que tu comprennes que tu dois faire ce qu'il faut pour exécuter les ordres. Par exemple, si je te dis de changer l'ampoule de ma chambre qui a grillé ce matin. Tu vas chercher un escabeau, non ? Alors là, c'est pareil, tu dois te donner les moyens de ce que je veux que tu fasses...

Cela pouvait sembler paradoxal, mais l'idée de devenir la bonne de ce monstre rassurait un tout petit peu Coralie. Sa gorge ne serait pas forcément malmené tout la journée ou autre chose d'ailleurs. Cela représenterai peut-être dans l'avenir un moyen d'oublier qu'elle est devenu une poupée sexuelle, voir même de pouvoir renouer contact avec l'extérieur. Mais pour le moment, il fallait satisfaire son geôlier afin de ne pas subir d'avantage de blessures et de mettre fait à ce début de jeun imposé. La jeune fille lorgnait toujours du coin de l’œil l'assiette laissé au sol par son récent maître, et même si cela ne suffirait probablement pas à apaiser son estomac, cela lui permettrait au moins de profiter du goût qui semblait alléchant, pas comme le pénis de ce dernier...

Allez, fais ce qu'il faut, et ensuite j'aurai quelques petites choses à te faire faire, et des courses auxquelles t'emmener… ah et ce soir, il faudra que je te marque...

Elle aimerait vraiment pouvoir se mettre des habits ne serait-ce que des sous-vêtements, car être en permanence toute nue la dérange au plus haut point. Même si la jeune fille avait moins de gène à être nue face à son ravisseur, la nature pudique de Coralie l’empêchait de se mouvoir naturellement ou de se comporter correctement. Elle se doutais bien que ce derniers n'allait pas lui donner des vêtements décents mais ce serait toujours mieux que rien. En revanche, l'annonce du marquage glaça le sang de la jeune fille.

Me marquer ? Comme du bétail ? Pensa-t'elle.

Elle allait franchir encore un nouveau cap dans le rabaissement de sa personne. Une fois fait, elle deviendrai officiellement une esclave et rien ne la différencierai de l'animal de compagnie. Inutile de préciser que cette nouvelle ne fit qu'ajouter d'avantage de tristesse à son état d'esprit, mais Coralie avait déjà beaucoup pleuré, aucune larmes ne sorti à cet instant.

Oui monsieur répondit Coralie, la voix de cette dernière ne cachait rien de sa tristesse.

Puis elle s’exécuta. Défaisant la ceinture ainsi que la braguette du pantalon afin de faire sortir le pénis de son tortionnaire qui bandait déjà mou. Nul doute que cette chose ne resterai pas longtemps dans cette état et qu'elle aurait vite fait de faire du mal à la délicate gorge de la jeune fille. Elle percevait le pénis de son geôlier comme un monstre vorace à part entière, sûrement dû au traumatisme de hier soir. Sauf que la bête se nourrissait de sexe et qu'il fallait la nourrir sous peine qu'elle devienne particulièrement violente.
Coralie ferma les yeux seulement une seconde afin de chasser ses images de son esprit et de se focaliser sur sa tâche. Elle commença par user de sa langue tout autours du membre et alla le chatouiller sous les bourses avec cette dernière afin d'éveiller le monstre. Lorsqu'il devînt convenablement dur, la jeune fille fit remonter sa langue le long du pilier de chair jusqu'au gland et le fit disparaître dans sa bouche sans hésitation. Commença alors des sucions sensible de ce dernier, mêlée à un ballet de la langue autour du pénis donnant l'impression que cette dernière dansait comme une ballerine. La manœuvre eut pour effet de générer pas mal de salive qui permit non seulement de donner l'impression que Coralie avait déjà les lèvres humidifié par du liquide séminale, de produire un petit son agréable à l'oreille et surtout, de préparer la gorge de la jeune fille à  l'ingestion de l'imposant membre de son maître. Tout cela bien sûr était effectué avec le brin d'amateurisme et d'hésitation qui la caractérisait, mais le changement était si radical, qu'il en fut méconnaissable. L'expression "la nuit porte conseil" était à prendre au pied de la lettre avec Coralie. En effet, grâce aux rêves procuré par Lust Enigma, la jeune fille pût s’entraîner plusieurs fois à la pratique de la fellation, une dizaine de fois en réalité. Seulement, il n'y avait pas eu de douleur ou de sensation durant son apprentissage onirique car cela aurait pu la réveiller. Après de longues minutes de ce traitement, Coralie estima bon de passer à l'étape suivante. Ses mains rompirent la formation et allèrent se placer sur le canapé afin de conforter son assise, elle pu ainsi relever son postérieur pour offrir une jolie courbe aux yeux de son ravisseur, puis, la jeune fille commença à faire de lents mouvements de va et vient avec sa tête afin d'avaler progressivement le pénis. Lorsque ce dernier fut entièrement dans la gorge de Coralie ne laissant que les bourses à l'air libre, elle prit difficilement sa respiration avec le nez pour essayer de se calmer. La jeune fille fit alors prendre de la vitesse à son mouvement de tête, ce dernier fut rapidement suivi de gémissement, provoqué non pas par du plaisir, mais par la douleur du frottement du membre sur sa gorge. Il est probable qu'un individu lambda n'aurait pas su dire si elle prenait son pied ou si elle étouffait. Coralie n'avait pas remis les élastiques pour faire des couettes mais même si son geôlier décidait de faire le sadique, il y aurait premièrement pas grand chose de plus à faire avaler et en plus, le travail préliminaire effectué avait suffisamment hydraté la gorge avec la salive pour grandement réduire la douleur infligé. Cela resterait douloureux, mais serait supportable. Ayant pris sensiblement confiance en elle, les mains de Coralie quittèrent le canapé pour s'agripper aux fessier de son tortionnaire et permettre ainsi de faire des mouvements plus rapides. Le membre était devenu très dur et palpitait de tel manière qu'il était fort probable que la fellation allait bientôt toucher à sa fin. La jeune fille se prépara alors à recevoir toute la semence de son ravisseur.

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Allez, debout ! J'ai faim et si tu veux manger, il faut que tute dépeĉhe de venir ! Tu as dix minutes pour être réveillée et prête à l'emploi, dans sle salon. A genoux, cuisses écartées, mains dans le dos.

Elle était déjà réveillé depuis un petit moment, ce qui permit à Coralie de ne pas prendre le temps de réfléchir et de sortir rapidement de la trappe. A cause de son esprit embrumé hier soir, elle perdit un tout petit peu de temps pour se diriger vers la douche car elle ne retrouvait pas le chemin. La jeune fille fit ce qu'elle pouvait avec les moyens du bord pour pour tenter de se rafraîchir un peu. Mais l'eau était glacial, ce qui l'a fit perdre encore un petit peu de temps pour s'habituer à la température. Décidément, quand le cerveau est éteint, le corps humain peut faire des choses incroyables. Enfin, lorsqu'elle eut fini, Coralie retourna dans le salon afin de reprendre position. Il y eut un instant de pause dans sa préparation, étant redevenu en pleine possession de ses moyens, elle avait également récupéré sa pudeur. La jeune fille s’exécuta finalement, cela devait pas faire tout à fait dix minutes mais son bourreau serait capable de la punir quand même, juste pour le plaisir.
Coralie avait senti l'odeur du bacon et son estomac commença à grommeler. Son tortionnaire ne lui faisait décidément pas de cadeau, et continuait à la faire souffrir psychologiquement. Heureusement pour elle, son dernier "vrai" repas daté d'hier, cela restait donc un jeun supportable. Il parait que l'on peut vivre une semaine sans manger, c'est donc pas une demi journée qui allait la tuer. Cependant, la situation était tout de même très frustrante car la viande avait l'air vraiment bonne.

J'imagine que tu as faim, chienne Coralie… mais si tu veux avoir quelque chose dans l'estomac, il faudra que tu le pompes, pour t’entraîner… tu auras des repas plus consistants ou du moins, plus normaux quand tu auras assez d'expérience à mon goût… auquel cas, sucer deviendra plus une manière de te récompenser avec ta boisson favorite… car oui, à la fin, tu réclameras d'en avoir encore… car tu aimeras ça… c'est comme ça que font les bonne catin, elle réclament leur crème...L'homme déposa l’assiette sur le sol et reprit la parole :Si tu t'appliques, tu pourras lécher l'assiette, chienne Coralie et en plus, je vais te demander autre chose, avant de sucer. Je voudrai que tu me nettoies les pieds avec la langue….

Après le sol les pieds ? Si après tout ça, Coralie ne tombait pas malade ou n'attrapait pas de saloperie avec tous les endroits où sa langue à traîné elle serait vraiment verni. Ensuite à ses yeux ils étaient moins dégradant et douloureux de lécher les pieds d'une personne plutôt que son pénis. Elle se rapprocha donc sensiblement de son bourreau pour pouvoir s’exécuter. La jeune fille démarra son nettoyage pas le haut du pied, léchant comme si c'était une glace. Le travail était méthodique et presque minutieux, sa langue n'oublia aucun espace de chair et se faufila même entre les orteils. Une fois qu'elle considéra avoir fini, elle passa au suivant avec le même sérieux. Sa bouche commençait à s'engourdir un peu mais ce n'était rien comparé à ce qu'elle avait subit hier soir. Une fois fini, Coralie s'autorisa un cours moment pour se détendre la machoire et dissiper la gène, car elle avoir besoin d'être totalement opérationnel pour la suite. Elle détourna sensiblement le regard.

J'ai fini monsieur. Je... Pouvez-vous... défaire de vos vêtements pour que je puisse m'occuper de votre... de ... de vous ? Dit-elle avec la timidité qui la caractérise.


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Voilà, tu devrais avoir toute la place dont tu as besoin pour dormir. Car tu n'y passeras que tes nuits et tes punitions les plus douces… je ferme le soir en allant me coucher et j'ouvre en me levant tout ce que tu as à faire avant d'aller te coucher, tu as intérêt à le faire avant ouu à te retenir car je ne tolèrerai, tu le sais, aucune esclandre !  Oh tiens, d'ailleurs, les toilettes… il s'agit de ça ! L'homme tendis un seau à Coralie. Il y a un renfoncement dans ton dormoir sur la doite où tu peux le ranger. Et le matin, tu le vide dans la grille dans ta salle de bain, ça partira directement pour le tout à l'égout ! Voilà, tu sais tout ce que tu as besoin de savoir, tu as quartier libre ! Oh et petit détail, tu ne seras pas forcée de dormir là dedans tous les
soirs, quand je te ferai confiance, tu auras d'avantage de liberté !


Une fois les directives donné, Coralie entra dans la douche et ota machinalement sa jarretière pour se nettoyer. Cela pouvait semblait ridicule étant donné qu'elle était complètement nu, mais c'était un pur acte mécanique. Il n'y avait plus rien d'humain dans la chose qui se trouvait en ce moment dans la "salle de bain", même l'eau froide ne suffit pas à la faire réagir. Une fois qu'elle eu finit elle se sécha avec la serviette et récupéra sa jarretière ainsi que le seau et pénétra dans sa "loge" sans dire un mot. Une fois que la trappe fut refermé et que la niche fut plongé dans le noir, il ne fut pas longtemps à la jeune fille pour s'endormir sous le poids de la fatigue aussi bien mentale que physique.

Au cours de la nuit, un étrange phénomène se produisit. Coralie s'éveilla mais ses yeux étaient toujours fermé, pourtant elle avait l'impression qu'elle pouvait distinguer tout ce qui se trouvait autour d'elle. Cet état l'a surpris grandement la laissant complètement décontenancé. Elle n'avait plus l'impression d'être dans sa toute petite niche mais dans une pièce meublé. Sa main glissa sur le contour de quelque chose qui semblait être un fauteuil mais ce n'était qu'une impression car elle était en réalité immobile. Une voix résonnante et surnaturelle se fit soudainement entendre. La jeune fille aperçu alors un être qu'elle avait déjà aperçu distinctement par le passé. Un être de forme humanoïde dont le corps avait un aspect androgyne, des hanches de femmes et une belle chute de reins, mais des épaules et des muscles taillés comme un homme. Cela dit, un rapide coup d’œil à son entre jambe permettait de distinguer que non seulement c'était un mâle, mais qu'il était nu. Sa peau semblait recouvert de motif aussi varié que des fleurs, des étoiles et mêmes des losanges qui formaient un damier sur ses jambes. Son visage était fin et donnait l'impression de voir une statue, aucune imperfection ne semblait présente. Enfin, ces yeux était noir sans pupilles, on pouvait distinguer le vide sidéral comme si c'était les hublots d'une navette spatiale.

Nous voici dans ton rêve Coralie

Lust Enigma ? Qu'est-ce que tu fais là ? Pourquoi viens-tu me hanter dans mon sommeil ? Mon destin c'est accompli tu ne devrais plus être là.

Le destin d'une personne ne prend fin qu'au jour de sa mort

Et alors quoi ? Tu vas encore me faire vivre d'effroyable cauchemars ? Tu crois que le fait de me faire violemment agresser sexuellement ne m'a pas suffit ? D'ailleurs je te félicite, tu t'es pas trompé sur le choix de ton bourreau. Je suppose que tu as vu quand il a failli me tuer avec sa ... son.. machin en me l'enfonçant le plus profondément possible dans la gorge. Dit Coralie furieuse, sur le ton de l'ironie.

Quelque soit le chemin que tu empruntes, la trame de ton avenir à été respecté. Tu as fait face à une difficulté sans précédent dans ta vie, et c'est maintenant que l'on va voir ce que te réserve le futur.

Tu m'avais dit que j'avais le choix ! Or, je n'en avais aucun. L'homme dont je suis devenu l'esclave est d'une puissance et d'une cruauté sans limite. Il m'était totalement impossible de le vaincre. Tu m'as menti !

C'EST FAUX !!! La voix de Lust Enigma éclata comme un coup de tonnerre dans les oreilles de la jeune fille qui tomba à la renverse sur le fauteuil. Il reprit : Mais ce n'est pas ce qui importe, maintenant que tu suis cette voie, il te faut la parcourir jusqu'au bout. Car c'est la lumière qui t'attend peut être à la fin de celle-ci.

Je ne comprend rien à ce que tu dis. Soit plus clair ! Tu prétends qu'il avait une alternative ?

Ce que je te dis, c'est que si jusqu'à présent, tu avais toutes les raisons de croire que j'étais ton ennemis, ce n'est plus le cas désormais. Mais ne te méprend pas, je ne suis pas ton ami non plus. Nous entrons dans une phase où il est plus important que tout que nous nous entraidions.

Toi et moi ? Tu te moque de moi ? C'EST A CAUSE DE TOI SI JE SUIS DANS CETTE SITUATION DE MERDE, SALAUD !!!

Et je suis une part de toi-même, je suis l'incarnation de ton destin. On ne choisis pas son histoire, de la même manière que l'on ne choisi pas sa famille. On ne peut que faire avec.

Tu oses prétendre que je désirais devenir le jouet d'un dépravé sexuelle ?

Non, et tu le sais. Je n'étais que l'annonciateur d'un mal qui allait se produire dans ta vie. Qui DEVAIT ce produire afin de sauvegarder l'équilibre même de cette réalité. Car tu es le maillon d'une interminable chaîne, et chaque être qui forment cette dernière doivent agir dans le but de la protéger.

Mais je n'ai rien demandé... je ... je n'ai jamais voulu faire ça... renia Coralie.

Un silence pesant c'était installé pendant que la tristesse et l'incompréhension l'avait envahi. Encore une fois, son destin jouait avec elle comme une marionnette. Elle ne voulait pas continuer dans cette voie mais comme lui avait dit Lust Enigma : Maintenant qu'elle y était, il fallait y aller jusqu'au bout. Et peut être qu'une porte de secours apparaîtrait. L'image de son frère et d'Inori lui vînt à l'esprit. C'était les deux personnes les plus importante à ces yeux, elle avait promis de vivre pour eux. Alors elle allait tout faire pour tenir sa promesse.

Que ... que dois-je faire ? Demanda la jeune fille avec résignation.

Si tu veux avoir une chance de revoir un jour ceux que tu aimes, il va falloir d'abord survivre. Et tu sais ce que tu dois faire pour y parvenir.

Je... je ne sais pas si j'en aurais la force...

C'est ça ou la mort. Seul toi peut faire ce choix, mais pour ma part, ce n'est pas dans mon intérêt que ta vie s'achève.

... D'accord. Je le ferai.

Je tâcherai de t'aider aussi loin que mes capacités me le permettent. On pourra communiquer à travers tes rêves, et je me servirais de ces derniers pour te former.

Suites à ces paroles, Lust Enigma s'en alla et laissa Coralie reprendre un sommeil normal. Cependant, ce dernier fut ponctué par de nombreux rêve que l'on pourrait qualifier de "mouvementé".
Finalement, elle se réveilla. La niche était toujours plongé dans le noir et la jeune fille avait perdu tout ses repères temporelles. Elle pris conscience avec une agréable constatation que son corps ne lui faisait plus mal, sa gorge n'étais plus irrité mais son esprit était encore confus à cause des rêves qu'elle venait de vivre. Coralie était redevenu une personne normal et non une marionnette sans âmes. Elle était toujours entièrement nu à l'exception de sa jartière qu'elle portait à sa jambe droite, ses doigts glissèrent affectueusement dessus car c'était la dernière chose qui lui restait de son ancienne vie. Le bruit du verrou l'a fit sursauter, tout en se recroquevillant de pudeur. La lumière pénétra alors dans la loge.

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Pour la première fois depuis le début de cette triste soirée les prières de Coralie furent exaucé. Les mouvement de l'homme commencèrent à suivre le même rythme que celui de sa victime, signe qu'il avait enfin la volonté de mettre fin à ce calvaire. Le problème, c'est que la douleur infligé était monté d'un cran, devenant indescriptible avec des mots. L'esprit de Coralie était sur le point de s'éteindre, elle perdit petit à petit conscience. Ses mains qui étaient si fermement accroché lâchèrent petit à petit prise jusqu'à ce que les bras tombent complètement ballant.

Mais soudain, l'homme arriva au bout de son endurance et délivra une immense quantité de semences sur Coralie. Pas seulement dans sa gorge, dans sa bouche, son visage et également sa poitrine. S'en était trop pour le système immunitaire de la jeune fille qui expulsa tout le liquide présent dans le corps. Tout fut recraché violemment, suivi peut être par un vomissement... et ... non finalement aucun rejet supplémentaire. Coralie était à bout de force, elle tomba sur le sol et perdit conscience.

Ah, ça fait du bien...

Si la jeune fille avait été consciente à ce moment là, elle aurait pu profiter de toute la classe masculine à l'état brut. Heureusement pour elle, ce ne fut pas le cas. La première chose qu'elle vit lorsqu'elle reprit conscience c'est le visage de son tortionnaire, ce dernier admirant un visage déformé par la substance poisseuse. Coralie aurait souhaité de tout son cœur que tout cela n'était qu'un horrible cauchemars infligé par Lust Enigma, mais c'était hélas très loin d'être le cas.

Bon, alors, quel goût a ton maître ? Car tu le goûteras tous les jours, et plus encore, ce sera la première chose chaque matin, et la dernière chaque soir. Tu comprends ?  C'est très important que tu t’entraînes à cela, un jour, tu pourras non seulement tout prendre en bouche, mais en plus mettre les couilles avec si tu t’entraînes bien !

"..." Même si Coralie avait voulu répondre, elle n'aurait pas pu. Toutes ses forces l'avait quitté. Son seul souhait désormais était de pouvoir se reposer. Elle n'était même pas consciente de tous les mots que prononçais son ravisseur. Le goût ? Ce fut la plus horrible saveur qu'elle n'avait jamais eu l'occasion de goûter.
Le cerveau de la jeune fille se remit tout doucement en route. La vue était le premier des sens à s'être réveillé, rapidement suivit par le goût puis l’ouïe. Il fallu un peu plus de temps pour le toucher, elle prit d'abord conscience de l'immonde substance qui l'a recouvrait, puis elle se remit doucement en position assise. L'odorat fut le dernier sens à revenir, Coralie empestait l'odeur du foutre et aurait donné n'importe quoi pour prendre un bon bain afin de se débarrassé de toute cette souillure.
L'homme était partie se servir un verre de vin, qu'il sirota juste devant la jeune fille.

Chacun sa boisson… tu finiras par réclamer la tienne ! Comme ton pucelage, tu finiras par me demander de te le retirer…. Ah et pour le sperme, nettoies-toi le visage avec tes doigts et lèche les… pareil, il y a des gouttes par terre, lèche les aussi, ne gâche pas ton repas...

...*tousse* O.. Oui, monsieur. Dit-elle avec difficulté.

Chaque gorgés de vin bu par son ravisseur était une véritable torture psychologique. Coralie avait soif, très soif, mais pas de cette substance. Sa bouche était sèche, et sa gorge effroyablement irrité par le mauvais traitement qu'elle avait subit. Son corps était courbaturé et rougis par les coups de baguette. Quand à son esprit, il était complètement déphasé avec son univers, son regard était d'un vide absolue. La jeune fille laissa glisser son doigt le long de sa poitrine pour y récolter la semence de l'homme et la mis dans sa bouche. Toujours le même goût atroce, mais comparé à ce qu'elle venait de subir, cela lui semblait dérisoire. Alors tel un automate, elle exécuta l'ordre sans trop réfléchir. Avec la même rigidité que le pantin de bois, elle se nettoya le visage comme elle pu, puis lorsqu'il lui semblait avoir fini, elle s'attaqua à la substance au sol. Il n'y avait aucune classe, ni sensualité dans son acte puisqu'elle n'avait plus totalement conscience de ce qu'elle faisait.

Voilà monsieur. Que dois-je faire maintenant ? Demanda machinalement Coralie.


43
L'homme fit de nouveau sifflet la baguette en assénant un coup sur le postérieur de Coralie. L'arrivé soudain d'une vive douleur fit instinctivement mordre le membre de l'individu. Mais il était tellement dur qu'il ne semblait même pas l'avoir remarqué.

Ça, c'est parce que je ne t'ai pas donné l'autorisation de te relever ! Tu mériterais bien pire pour ne pas avoir demandé l'autorisation de te relever…. Quand tu suces, c'est à genoux, sauf quand je donne des ordres particuliers… oh, et attends, j'ai une idée pour que ce soit plus simple pour moi...

L'homme mit fin à la fellation pour aller chercher quelque chose. Coralie profita du peu de temps de repos qui lui était accordé pour reprendre sa respiration et se reposer la mâchoire. Sa bouche était encore imbibé du goût du pénis de l'homme alors qu'il n'avait même pas encore éjaculé. Son tortionnaire revînt avec de simples élastique à cheveux, il s'en servit pour faire des couettes à la jeunne fille. Non pas par coquetterie, ça serait idyllique, mais pour s'en servir comme de lanière afin de mieux retenir la tête de Coralie.

Regarde comme c'est pratique...

L'homme semblait satisfait. Il prit l'une des couettes pour rapprocher de force le visage de sa victime, le membre entra en contact d'abord avec la joue. Coralie n'eut même pas le temps de se préparer aussi bien mentalement que physiquement, car l'individu lui tira le nez vers le haut pour lui faire ouvrir la bouche et lui enfourner son imposant chibre. Les rôles venait de s'inverser, c'était maintenant l'homme qui bougeait et faisait des mouvements de vas et viens avec ses hanches. C'était une sensation particulièrement désagréable mais Coralie se disait qu'elle pourrait l'endurer si cela rester de cette façon. Comme toujours, c'est quand elle espère que ça se passe pas trop mal que le pire ce produit. Le ravisseur s'accrocha d'avantage aux couettes et donna un violent coup de rein afin d'enfoncer son pénis le plus loin possible. Le gémissement que poussa la jeune fille avait tout du râle d'agonie. Cela lui avait fait horriblement mal, au point d'avoir les yeux complètement révulsé sur le moment. La nausée n'avait pas tardé à suivre. Elle avait instinctivement rompu sa position pour poser les mains aux sols.

Allez, on tient, on tient... Dit-il sur le même ton qu'un professeur de sport.

Cela semblait interminablement long pour Coralie qui n'en pouvait déjà plus. Elle tentait de respirait péniblement par le nez mais cela ne suffisait pas aux yeux de son tortionnaire qui lui pinça le nez pour l’empêcher de respirer. Au moment où, la jeune fille cru qu'elle allait perdre conscience, l'homme relâcha enfin son étreinte. Elle se laissa tomber au sol, toussant, crochetant et respirant fortement. L'individu lui fit une petite tape sur la tête pour la féliciter mais c'était bien peu de chose par rapport à ce qu'elle venait d'endurer.

Bon, tu sais ce qu'il te reste à travailler...allez, recommence, et vas-y autant que possible, je ne l'ai pas enfoncée entièrement, mais si tu arrives de ton propre chef à faire aussi profond et à rester comme ça assez longtemps, je m'estimerai satisfait, ma belle petite chienne Coralie... Il s'essuya le penis sur le visage de Coralie avant de reprendre : Si tu as besoin d'aide pour t'empaler la gorge, tu peux utiliser tes mains sur mes cuisses pour te maintenir...


Quoi ?! Que je ... *tousse*

Comment ? Elle devait recommencer cette affreuse atrocité ? Lorsqu'elle entendu ces mots, la jeune fille crû qu'elle allait fondre en larmes. Jusqu'où la cruauté de cette homme pouvait aller ? Elle se releva doucement, essayant de se remettre comme elle pouvait de son traitement.

Oui monsieur.

Elle n'avait pas tardé à répondre favorablement pour ne pas avoir à subir une nouvelle volé de coup de baguette. En revanche, une chose avait retenu l'attention de Coralie. Pour la première fois, l'homme émettait l'idée qu'il pourrait être satisfait. Jusqu'à présent toutes les tentatives de la jeune fille pour apaiser son tourment c'était soldé par un échec, il n'y avait donc pas de raison que ça change. Mais que lui restait-il d'autre que le vain espoir qu'un jour cela se termine ? Rien d'autre.
Coralie regarda avec insistance le membre de son tortionnaire, ses yeux n'était remplis plus que d'une chose : du désespoir. Elle rassembla le peu de force qui lui restait, et une fois résolu, elle repris sa position devant l'homme. Elle serra fort les dents, un éclat de démence semblait doucement naître sur le visage de la jeune fille, et de manière totalement inattendu, elle se jeta sur l'imposant pénis qu'elle fit disparaître dans sa bouche. Bien sûr, elle ne pouvait pas le mettre totalement à l'intérieur, mais c'était pratiquement autant que lorsque l'homme lui avait ravagé la gorge. Les bras de Coralie s'enroulèrent autours des cuisses de son tortionnaire comme si elle étreignait passionnément un amant. Elle profita ainsi de l'appui fournis par les jambes pour enfoncer d'avantage le membre dans sa gorge. respirant fortement par le nez, la douleur était à la limite du supportable, mais cela ne s'arrêta pas là. Coralie brûla ses dernières force pour commencer d'important mouvements de va et vient avec sa tête, pratiquement tout le pénis de l'homme se trouvait dans la bouche de la jeune fille. Les secondes s'écoulaient et il était de plus en plus dur de poursuivre la fellation, au point que Coralie doivent s'accrocher avec les ongles sur les cuisses de son ravisseur pour ne pas que son corps rejette la colonne de chair. Des larmes coulait sur les joues de la jeune fille et ses yeux étaient rouge, sensiblement révulsé. Elle avait des hauts le cœur à chaque mouvement de tête et ces derniers était ponctué par d'atroce gémissements de douleurs.

Allez ! Joui ! je t'en supplie ! Je n'en peux plus ! Je sens que mon corps va craquer si cela continue encore un peu ! Par pitié joui ! supplia Coralie dans son esprit.

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Je vois…. Et ça se passe ainsi que si j'accepte ce que tu me propose, c'est ça ? Sinon quoi ? Sinon tu vas fermer la bouche et refuser de l'ouvrir ? Auquel cas je malmènerai ton corps jusqu'à ce qu'il cède, et ce, sans la moindre gêne ! Je ne m'embarrasserai pas de ça !  Alors écoute moi bien, chienne Coralie, tu feras ce que je t'ordonnerai de faire, quand je t'ordonnerai de le faire, comme je t'ordonnerai de le faire. Pour le reste, tu n's pas le moindre pouvoir, ni même celui de négociation !

L'homme ponctua ses paroles de deux gifles qui firent perdre tous les repères de Coralie pendant quelques secondes. Le bruit résonna dans tout la pièce et fit vibrer les tympan de la jeune fille. Sa torpeur ne prix fin que lorsque la douleur sur ses joues fut remplacé par celle subit par sa poitrine. La manipulation des seins n'avait plus rien de sensuelle, c'était juste de la méchanceté à l'état brut, il n'y avait dans ce geste que la volonté de faire mal. Ne pouvant plus le supporter, Coralie poussa un véritable cri de douleur.

Compris, chienne Coralie ? Alors maintenant tu vas te forcer un peu et le prendre en bouche aussi loin que possible, et si ce n'est pas assez loin à mon goût, tu le sauras immédiatement…. Et si jamais tu te débats, je te promets la correction de ta vie ! Dit l'homme tout en frottant sa verge contre le visage de la jeune fille, il ajouta : Et si je dis que ton nom est chienne Coralie, c'est comme ça et pas autrement, tu n'es plus rien, alors oublie tous tes droits, le seul que tu aies, c'est obéir sinon, tu auras un châtiment !

Cette homme ne se lasserai jamais de lui faire du mal, il ne se ferait jamais attendrir et toute tentative de négociation se solderai par un échec. Le bourreau du destin de Coralie était un monstre à l'image de son pouvoir : Froid et impassible comme un iceberg. Il fallait que ce calvaire cesse le plus vite possible, et pas seulement la douleur sur sa poitrine, mais bien l'ensemble de cette séance de torture.

O... oui, monsieur. Dit doucement la jeune fille.

Son regard était larmoyant mais semblait se vider de son essence. Elle reprit alors sa position devant son tortionnaire : A genoux avec les mains dans le dos. L'ensemble de son traitement lui faisait tourner la tête, et la vue de l'imposant membre de chair devant elle ne l'aida pas à calmer ses angoisses. Elle prit un court instant pour ce calmer et se concentrer, reprendre sa respiration comme lorsqu'on se prépare à plonger en apnée. Puis, ouvrit la bouche et baissa doucement la tête pour faire rentrer délicatement le pénis de l'homme dans la bouche de la jeune fille. Commençant d'abord à la sucer comme on le ferait avec une vrai sucette. puis elle démarra un petit mouvement de va et vient avec sa tête. La taille imposante de l'appendice rendait la fellation difficile et Coralie avait peur qu'elle ne l'avale pas suffisamment au goût de son ravisseur. Elle tenta alors de se pencher plus en avant et de se cambrer afin que sa tête, sa gorge et son corps soit dans le prolongement du pénis, elle parvint alors à faire rentrer d'avantage le membre dans son corps. Sa nouvelle position rendait l'équilibre de la jeune fille précaire et donc pénible. Elle écarta alors doucement les jambes jusqu'à ce qu'elle se sente plus stable. La posture finale de Coralie était devenu très sensuelle même si elle faisait toujours preuve d'un amateurisme flagrant. Ses actes n'était pas poussé par une volonté de faire plaisir, mais par la force du désespoir de ne plus en subir d'avantage. Ce qui était une nuance particulièrement importante dans la situation présente.

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L'homme rapprocha la tête de Coralie avec son entre jambe afin que la joue de cette dernière entre en contact avec l'excroissance qui se formait sur le pantalon.

La douceur… tu en as de bonne… tu feras avec ce que je déciderai  de faire de toi, tu couineras de plaisir sur commande, et tant que je ne te l'ordonnerai pas, tu n'auras pas droit de jouir, quant au reste, j'espère que tu apprendras vite ! Dit l'homme.

Il relâcha l'étreinte qu'il exerçait sur la jeune fille afin de pouvoir libérer la colonne de chair qui ne demandais qu'une seule chose : sortir à l'air libre. Les yeux de Coralie s'ouvrir en gros lorsqu'elle vue le membre de son ravisseur, elle n'en avais jamais vu de vrai et pour une première fois, la chose qu'elle voyait lui semblait immense. Elle cru un instant qu'elle allait tomber dans les pommes, et il aurait sûrement mieux valu que ce soit le cas. Décidément, le destin faisait toujours en sorte de réaliser l'exact inverse des prières de la jeune fille.

Allez, l'apprentissage commence. Je suis pour apprendre sur le tas… N'utilise jamais tes mains sans mon accord ! Il reprit alors sa trituration des seins de Coralie, qui continuait à émettre de petit gémissement de douleur. Difficile pour elle de se concentrer alors que ce monstre s'acharnait à maltraiter sa poitrine. Il ajouta : Peut être que je t'y installerai des anneaux, peut être pas, je verrai selon mon envie du moment… enfin bon, je parle, je parle, mais tu suces pas beaucoup pendant ce temps, chienne Coralie...

Il fallu à la jeune fille tout son courage pour approcher du chibre de son ravisseur malgré le mauvais traitement mammaire qu'elle était entrain de subir. Sa respiration était devenu de plus important à mesure que son visage s'en approchait. C'était la même peur qui envahissait Coralie que celle que ressente les personnes qui sont sur le point de faire leur premier saut en parachute. La jeune fille se remémora certain cauchemars que lui avait imposé Lust Enigma et tenta de reproduire maladroitement ce qu'elle avait vu.

Monsieur... non, maître. Donnez moi un nom de chienne... s'il vous en prie. Si vous le faite, je ferai tout ce que vous me dites... comme une ... une chienne bien dressé. Je ... Vous donnerez tout le plaisir que vous désirerez... et j’essaierai de vous faire croire de mon mieux que je ... je ... gémie ... de plaisir. Demanda, une dernière fois Coralie avant de commencer à laisser glisser sa langue le long de la colonne de chair.

La jeune fille commença d'abord avec les bourses de l'homme, en y allant tout doucement, essayant de capter les zones et la méthode qui plaisait à son ravisseur. Puis elle déposa des baisers en remontant très très lentement ce membre vigoureux. Elle pouvait ressentir l'afflux sanguin, les pulsations de ce chibre même si cela restait encore très amateur. Coralie termina avec des coups de langue sur le bout du gland qui était à la fois chaud et dur, elle déposa un dernier baiser et repris la parole.

Si vous êtes d'accord... alors ... allez y, servez vous de ma bouche comme vous l'entendez, maitre, re... remplissez moi la bouche je tacherai de faire mon mieux pour ... pour ... tout avaler.
Par contre, veuillez m'excuser maître, mais je ne suis pas sûr de pouvoir contenir toute votre virilité sans me débattre par pur instinct de survie... il serait peut être préférable que vous ... vous me ligotiez les mains. Sur ces paroles, la jeune fille ferma les yeux en fronçant les sourcils et ouvrit grand la bouche en tirant la langue.

Peut être qu'en agissant comme il le voulait, elle pourrait l'attendrir...

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