Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Anderson

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Le quartier de la Toussaint / Re : Une nuit de folie [Anderson]
« le: dimanche 26 août 2012, 21:42:07 »
La soirée avait été plutôt intéressante. Tournée de quelques bars avec des "connaissances", sous un air plutôt frais, qui changeait des grosses chaleur qu'il pouvait parfois y avoir à Seikusu. Nous n'en étions qu'au début de la nuit, et j'avais repéré une jeune femme, dans la rue, en face d'un bar fréquenté. Elle m'avait repéré également, à coup sur. Mais, en y regardant de plus près.. elle n'était pas une des jeunes femmes qui sortaient avec leurs amis ce soir. Fringues différentes, posture différente, regard différent.. J'avais traversé la route pour aller passer un appel et fumer une clope, seul, sans mes camarades du soir. Mon appel a peine terminé, la demoiselle m'accostait.

"C'est 500 000¥ pour une nuit complète mon mignon. Tu auras le droit de tout me faire, que ce soit fellation, sodomie, ou alors des trucs plus coquins encore..."

500 000 ¥. Les prostituées, de nos jours, ne se faisaient plus chier avec l'argent. Il se trouvait que j'étais issu d'une famille aisée, voire plus qu'aisée, et que l'argent n'était pas un soucis. Surtout pour 500 000 malheureux yens.  Mais elle avait donc dû repérer que j'avais de l'argent. Ou alors, elle proposait ce prix à tout le monde..mais ne devait pas avoir beaucoup de clients. Très directe, elle s'approcha de moi et son visage s'infiltra dans mon cou. C'est avec surprise que je sentis sa langue sucer doucement mon lobe d'oreille. Très, très directe. Ses mains passèrent dans mon dos et attrapèrent sans ménagement mes fesses. Elle lâcha un gémissement très, très coquin. Elle m'attrape la main et m'entraîna dans une rue parallèle. Je l'arrêtais.

- 500 000 ? C'est d'accord, tu les auras sans aucun soucis demain matin, sur un compte crée spécialement pour cette occasion. L'argent n'est pas un problème. Mais alors, sache que la nuit sera plutôt..longue. Et, parmi tes propositions diverses et variées, je choisi..tout, et bien plus encore.

Ma main s'abat fermement sur ses fesses en les faisant claquer.

- Alors je te suis jusqu'à ton appartement. J'espère que tu as tout ce qu'il faut là-bas, si on doit finir attacher et bien plus encore, c'est le mieux ma belle..

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Sa bouche avait soudainement décidé d'explorer mon corps. Et c'était loin d'être désagréable, tout au contraire. Elle explora d'abord mon cou et mon lob d'oreille, le mordillant légèrement, me faisant frémir. Dans le même temps, elle déboutonna mon jean et réussit à me l'enlever et le balança plus loin sur les tapis. Elle ne pesait pas lourd et essayait de me clouer sous elle sur les tapis, et, pour le moment, je me laissais faire.

Sa bouche reprit sa visite, mordillant la peau de mon cou, entamant des suçons qui me faisaient fermer les yeux. Mes mains avaient élu domicile dans le bas de son dos, se posant sur ses fesses de temps à autre, par dessus un jean qu'il me tardait d'enlever. De son côté, elle continuait son chemin et s'attaque quelques secondes à un de mes tétons. Pas une zone super érogène pour moi, mais elle savait manifestement se servir de sa langue. Ses lèvres suivirent la ligne séparant les abdominaux droits et gauche, puis sa langue fit le tour de mon nombril. Un peu plus bas, c'était l'incendie total. Plus elle approchait, plus cela chauffait. Elle allait jouer le rôle de pompier. Ou plutôt celui d'une pyromane qui allume d'autres feux. Elle descendit encore..puis remonta mordiller mes lèvres. J'en profitai pour glisser ma langue dans sa bouche et goûter la sienne, délicieuse. Nos bouches se quittèrent, et elle en profite pour m'allumer un peu plus.

” Oui, j'ai peut-être quelques petites choses à te faire découvrir. Mais je pense que tu dois déjà bien tenir la route, non ? Qu'en disent les petites japonaises ? ”

Sourire amusé sur mon visage. Sourire narquois sur le sien, tandis qu'une de ses mains caresse lentement par dessus mon boxer. Mais la bosse ne passe pas inaperçue, et la demoiselle doit déjà se rendre compte que son choix pour des souvenirs impérissables..est parfait.

- Si je tiens la route..

Je me redresse doucement, l'enlace. Ma tête file dans son cou, et ma bouche à son oreille. Ma langue glisse doucement sur son lob, puis je murmure.

- Je fais parti des meilleurs étalons de ce foutu bahut.. Les petites japonaises n'avaient pas tellement l'habitude voir tant de..longueur.

Je retire la bouche de son oreille, me rebalance en arrière et mets les mains derrière la tête avec un sourire.

- Voilà ce qu'en disent les petites japonaises.

Je la dévore du regard, puis descend les yeux vers mon boxer, et les remonte lentement, mon regard se plantant dans le sien. 

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” Vraiment ? J'ai hâte d'en découvrir plus dans ce cas-là. ”

Oh, elle n'allait pas être déçue. Elle voulait..comment avait-elle dit déjà ? Des souvenirs impérissables. Se taper un élève pouvait être intéressant en effet, mais encore fallait-il bien choisir l'élève. Et je pense qu'elle avait bien choisit. Quand il ne me resterait plus de vêtements sur ces tapis, elle se rendrait alors compte que son choix était le meilleur possible. Je n'avais pas l'habitude d'être modeste quand il n'avait pas lieu de l'être, et, justement, il n'avait pas lieu d'être modeste à ce moment là.

Alors que je léchais doucement la chaude peau de son cou, elle enserra mes hanches à l'aide de ses cuisses et, de sa main libre - l'autre caressant ma nuque - elle défit les derniers boutons de sa chemise. Sa chemise s'écarta, laissant apparaître sa guêpière noire et légèrement transparente. Absolument magnifique. Elle me repoussa à nouveau, m'allongeant encore une fois. Puis elle retraça le contours de mes pectoraux et de mes abdos, mais avec les lèvres, et le bout de sa langue. Je frissonnais, la sentant parcourir mon ventre d'une bouche..experte.

” Quand pourrais-je voir ce que je n'ai pas encore vu ? Je ne l'ai pas dit mais... La patience n'est pas mon fort... ”

Elle se pencha sur moi et mordilla mon lob d'oreille, son buste frottant contre mon torse. Je posais mes mains sur ses deux épaules en attrapant les bords de sa chemise.

- Ce que tu n'as pas vu, tu peux le voir quand tu veux ma belle..de préférence le plus tôt possible.. chuchotais-je à son oreille.

Je commençais à retirer en douceur son chemisier. Je le retirais d'abord de ses épaules, et posais mes lèvres sur sa clavicule droite, l'embrassant sensuellement. Je retira définitivement sa chemise et l'envoya un peu plus loin sur le tapis. Ma bouche glissa de sa clavicule à son cou, puis tomba juste au dessus d'une poitrine qui se révélait être absolument extraordinaire.

- Tu as beaucoup à me faire découvrir.. Tu es véritablement délicieuse..

Un regard coquin se posa sur le sien tandis que ma bouche se collait à la sienne. Ma langue s'infiltra entre ses lèvres et invita sa langue à une danse torride. Je coupais le baiser, peut-être un peu trop tôt, mais c'était fait exprès. Autant la frustrer un peu, elle en serait peut-être plus..sauvage.

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Peut-être s'attendait-elle à ce que je l'embrasse directement après m'être penché vers elle. Mais ça n'aurait pas été amusant. Non, je préférais faire durer ça un peu. Cette assistante-documentaliste m'avait aguiché et entraîné à l'écart, si elle me voulait, elle allait devoir le montrer.

Alors que je venais de demander si, d'après elle, j'étais un saint, elle tourna la tête et posa ses lèvres sur la peau de mon cou, me faisant frémir. C'est dans un murmure qu'elle me répondit.

” Et bien, Andy. Si tu es un saint, tu le ne resteras pas longtemps. ”

Après avoir embrassé mon cou, elle mordilla ma peau et remonta jusqu'à mes lèvres. Et cette fois, ce fut elle qui me feinta et, au moment de m'embrasser, recula et me repoussa soudainement pour m'allonger sur les tapis. Elle bascula sur moi d'un mouvement de hanche, me chevauchant. Sa chevelure rousse flotta de droite à gauche derrière sa tête, puis son regard se posa sur moi, me dévorant déjà.

” Tu forme un vrai contraste avec la gent masculine du lycée.. J'aime ça. ”

Un rictus s'afficha sur mes lèvres, et mes mains vinrent attraper ses poignets. Elle venait déjà de poser les mains sur mon torse, mais je les pris pour les diriger moi-même. Et je ne les dirigeais pas au hasard. Je lui fis tracer le contour de mes pectoraux, puis de mes abdos. Je relâchais ses mains et écartait les bras.

- Il est vrai que je suis plutôt différent de la majorité des japonais ici présents.. Je n'ai pas vraiment l'air d'un japonais d'ailleurs. Et encore..tu n'as pas tout vu.

Un léger sourire en coin, je posais mes yeux sur sa poitrine, qui, sous sa chemise de plus en plus ouverte, ne demandait qu'à être dévoilée. Son regard aguicheur, il m'était impossible d'y résister. Une si belle documentaliste qui s'offrait à moi sur un plateau.. D'un mouvement du torse, je me redressais pour me retrouver assis sur les tapis, avec cette magnifique beauté rousse à califourchon sur moi.

- Et maintenant..

Mes lèvres se posèrent sur son cou, et ma langue sortit instantanément, glissant sur sa douce peau.

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Elle se rhabillait lentement, alors que j'étais encore là, tel quel, nu au milieu de la pièce. Elle tournait autour de moi en me parlant, et en se délectant de me voir là, soumis à son pouvoir. Elle venait de se coller à moi, et, tête à hauteur de mes épaules, les embrassait doucement. Je sentais ses doigts parcourir mon corps, en passant par mon dos, mes fesses ou mon torse.

« Désormais, tu passeras l’essentiel de ta vie avec moi, Anderson, dans ce harem... Ton existence entière sera vouée à la luxure, aux plaisirs charnels, et au bonheur... N’est-ce pas un merveilleux cadeau que ta Maîtresse te fait ? »

Un sourire étira mes lèvres. En fait, c'était exactement ce que je cherchais. Ma vie ici, dans ce lycée.. jusque là, j'avais passé mon temps à sortir, à me taper des petites lycéennes, et pas que des lycéennes. Mais cette créature là venait de donner un tournant nouveau à ma vie, et c'est avec un plaisir sans nom que j'acceptais ce tournant.

- Ma Reine..vous êtes si..grande.

J'attrapais son poignet en douceur et portait sa main à ma bouche. Je l'embrassais en douceur puis me rapprochait d'elle. Mes lèvres se glissèrent sur les siennes et je profitais d'un dernier baiser torride. Scène étrange, si quelqu'un nous avait surprit. Un homme, nu, et une femme, habillée.
Enfin, elle se dégagea et me dit rapidement qu'elle allait très vite venir me chercher. J'avais hâte. Elle sortit de la pièce, et je me rhabillais sans plus attendre.
Alors que j'étais sur le pas de la porte et que j'allais quitter la pièce, je la regardais une dernière fois. Le bureau était en miettes sur le dessus, des morceaux de bois jonchaient le sol. Deux flaques trempaient le sol, une près du tableau, l'autre près du bureau. Un nouveau sourire étira mon visage. Je refermais la porte et m'en allais par le couloir opposé..

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[J'écrirai en turquoise maintenant pour différencier tes paroles tes miennes :)]

Aide-documentaliste. Une espèce de secrétaire. C'est bien ce que je pensais, il ne manquait que les lunettes et tableau était parfait, un véritable fantasme masculin ambulant.

Joli.. Tee-shirt.

Joli tee-shirt. Elle m'avait littéralement dévoré du regard. Une pensée me parcourut l'esprit, et un sourire étira mon visage, mais elle reprit et je me reconcentrais sur ses paroles.

” Je ne suis là que pour une courte période. Et j'entends bien avoir des souvenirs impérissables auxquels je repenserait avec un sourire aux lèvres... Veux-tu faire parti de ces souvenirs ?

” Viens donc me tenir compagnie sur ces tapis au lieu de rester debout. Qu'on puisse faire plus... Ample connaissance. ”


Elle était pour le moins..directe. Peut-être une envie subite. Mais tant mieux. J'avais de nombreux rapports sexuels ces derniers temps, je n'étais pas en manque, je ne chassais pas forcément, mon physique me permettait de laisser venir les femmes. Et, dernièrement, les femmes qui tombaient dans mes filets étaient plutôt matures. Pas de petites lycéennes farouches que l'on met 3 semaines à chasser pour au final partir sans rien, la "queue entre les jambes", c'est le cas de le dire.

” Je me nomme Hécate-Ève, mais Hécate suffira. Ou Ève, si tu préfères me croire sainte. ”

Apparemment, elle avait finit de parler. Un sourire amusé s'afficha sur mes lèvres, et je pris la parole.

- Joli tee-shirt ? Oh, merci. Tiens, c'est cadeau, garde-le, ça te fera un souvenir impérissable en plus.

Je me retirais du mur et enlevais mon tee-shirt moulant devant elle, révélant un torse et des bras bronzées et imberbes. Et particulièrement musclés, ce qui était quand même le plus important. Je m'approchais et jetais le tee-shirt en haut de la pile de tapis, sur ses jambes.

- Ensuite, évidemment, faire parti de tes souvenirs impérissables me ferait le plus grand...plaisir.

Je remarquais qu'un de ses doigts jouait avec le quatrième bouton de son chemisier. Révélant des bouts de tissus noirs, juste en dessous. Un soutien-gorge ? Mh, ça n'y ressemblait pas. Une guêpière. Très, très intéressant. D'un geste plutôt élégant, elle enleva ses talons rouges qui tombèrent au milieu des filets de volley. Je pris facilement appui sur mes bras et me hissait sans soucis en haut de la pile de tapis, tous les mucles de mon torse se contractant juste sous son nez. Je m'assis à côté d'elle, sourire aux lèvres.

- Toi, une sainte ?

Je fis mine d'approcher ma bouche de la sienne avant de dévier vers son cou et son oreille, mon souffle glissant sur sa peau. A quelques millimètres de son oreille, je chuchotais

- J'en doute fortement Hécate.. Tu pourras m'appeller..Anderson. Ou Andy, pour les intimes...

Une de mes mains fermes se posa sur son jean, au niveau de son genou.

- Et moi...suis-je un saint d'après toi ?

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La journée n'avait pas été harassante. J'avais séché la matinée, préférant la passer à dormir, encore fatiguée d'une petite fête de la veille. Levé pour de bon sur le coup des 11h, j'avais fumé une clope à ma fenêtre en buvant un espèce de café absolument dégueulasse. Celui de la veille, puisque j'avais eu la flemme d'en refaire en me levant. Mes cours de l'après-midi commençaient à 14h, ce qui m'avait laissé près de deux heures pour manger et me préparer. Amplement suffisant. Après avoir dégusté des restes de salade et un poisson à l'allure bizarre, j'avais profité d'une douche rafraîchissante, avant d'enfiler un bermuda en jean serré et un t-shirt à col en V, également serré, qui faisait ressortir ma musculature plutôt intéressante.

5 minutes. Pour 5 minutes de retard, le prof de math ne m'avait pas accepté dans son foutu cours. Tout ça parce qu'il n'était qu'un petit homme gringalet et rabougri, qui approchait la soixantaine et qui n'avait pas dû avoir une vie épanouissante sexuellement. Alors, évidemment, ma silhouette d'athlète le contrariait. J'aurai dû lui dire que c'était pour moi un gros effort de me lever pour venir à son cours qui ne me servirait aucunement dans le futur. Mais bon, j'avais pris mon sac à la main et je m'étais barré sans mot dire, préférant aller me caler sur un banc inconfortable de la cours pour pioncer une heure de plus. Puis, mon après-midi s'était déroulée tranquillement.


17h. Devant le lycée, j'étais adossé à un mur, pensif. Une clope à la main, un briquet bleu foncé dans l'autre, je regardais passer les élèves et les professeurs qui, progressivement, rentraient chez eux. Un léger vent frais, une clope, que demander de plus ? Pour moi, rien. Mais le destin n'était pas de cet avis. Etait-ce le destin ? Je ne savais pas comment appeler ça, et j'avoue que lui donner un nom n'était pas ce qui m'importait le plus.
Alors, autant décrire et ne pas donner de nom. Plus petite que moi comme bon nombre d'habitants ici, elle n'était pas des femmes les plus petites que j'ai pu voir, seulement de taille normale. Une longue chevelure flamboyante dans son dos, un jean qui moulait ses formes, et une chemise aux premiers boutons ouverts, ce qui créait un fort appréciable décolleté. Bref, tout pour attirer l'oeil. Il me semblait l'avoir déjà vu ici, mais je n'en étais pas sur. Toujours est-il que je n'aurai probablement rien fais.

Si elle n'était pas passé devant moi, en me jetant un regard qui ne laissait pas de place au doute. La clope à la bouche, je tirais une taffe bien trop longue, plutôt occupé à tourner la tête en même temps qu'elle passait devant moi. Une taff trop longue qui faillit donc cramer mes poumons dans leur totalité. Je la vis continuer à marcher puis, sans se retourner, faire un signe de la main. A mon attention, sans aucun doute. Et qui, après ce regard, finissait de me décider. Elle se dirigeait à grands pas vers le gymnase, et je pu admirer l'arrière de son anatomie se balancer de droite à gauche de fort belle manière. Je me décollais du mur et la suivait, à bonne distance puisqu'elle avait prit un peu d'avance. Elle tourna vers la réserve du gymnase et disparue.

Je fini par tourner également, et la vis enfin. Hissée en haut d'une pile de tapis, jambes croisées. Chemise décolletée, jean taille basse moulant, et les petits talons. Ne manquait que les lunettes style secrétaire, et tout y était. Sa chevelure rousse ne passait pas non plus inaperçu. J'avançais vers elle, clope à la bouche. Je m'adossais au mur, à quelques mètres d'elle, tirait une nouvelle taff puis jetais le mégot non loin.

- Alors.. Professeur ? Secrétaire de la direction ? Documentaliste ? Employée de la section comptable ?

Je tournais mon regard vert émeraude et le posa sur elle, un léger sourire étirant mon visage.

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Me soulager en elle avait été véritablement extraordinaire, le fait que cela soit dans sa bouche accentuant l'excitation. J'avais même pu avoir un effet de puissance, de domination. Seulement un effet, et seulement l'espace d'un instant. C'était bien moi l'esclave, et ce cadeau qu'elle m'offrait là, j'en savourais chaque instant avec délectation.
Mon sperm débordait de sa bouche et coulait le long de son cou, entre ses seins, jusqu'à son ventre. En dose conséquente, preuve du plaisir que j'avais éprouvé.

« Relève-toi, mon homme. Relève-toi, et vois dans quel état tu as mis ta Reine... »

Je me relevais et baissais la tête pour l'observer. J'étais plutôt grand mais elle me dominait totalement. Paradoxal. Elle recula soudainement et alla se caler contre une table, les pieds décollés du sol. Elle baissa son regard entre ses seins, où mon sperm coulait à flot, s'accrochant à sa si belle paire de seins, en amas imposants et gluants. Le signe de la main qu'elle fit ne laissait pas place au doute, et je la rejoignais sans plus attendre. Une de ses mains se glissa dans mes cheveux, ses griffes les caressant doucement, puis elle plaqua mon visage entre ses seins, frottant ses jambes aux miennes. Mon sexe frottait contre ses cuisses, une nouvelle fois.

« Là, vas-y... Goûte donc à ton propre sperme, ce jus que j’ai bu de mes lèvres... Profite-en, mon ange, car tu es à moi... Et ta Maîtresse récompense fidèlement ceux qui lui sont fidèles, mon chéri. »

Avoir le visage enfouit au chaud dans une si belle paire de seins, c'était purement jouissif. Les mots qu'elle venait de prononcer, ça l'était encore plus. Ma langue se glissa entre ses seins. Je léchais mon propre sperm, l'avalant sans protester, appréciant même ce moment-là. Je la nettoyais complètement puis elle me laissa retirer mon visage, m'embrassa sur le front comme une mère embrasse son enfant. Une relation perverse, certes.

« Tu trouves que je suis la plus belle créature qui n’ait jamais été conçue sur Terre, hum ? Tu as toutefois tort, mon ange... Je ne viens pas de ce monde... »

- Alors vous êtes la plus belle créature qui n'ait jamais été conçue dans tout cet Univers Ma Reine..

Je pris sa main et l'embrassais, puis attrapait sa jambe et commençait à déposer de longs baisers dessus. Jusqu'à ce que ma bouche finissent par atterrir à ses pieds, que je n'hésitais pas à lécher à nouveau. Je relâchais finalement sa jambe et la regardais dans les yeux, hypnotisé par son regard carnassier.

- Et je serai honoré de pouvoir être votre esclave en un autre lieu que celui-là.. Pour vous je serai là à n'importe quel moment.. Maîtresse.

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Le coin du chalant / Re : On s'en paie une tranche ?
« le: jeudi 23 août 2012, 23:08:13 »
Bonjour !  :)

Voilà je serai intéressé par un RP avec toi, possible d'en discuter par MP ?  :D

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Bonjour à tous et à toutes !  :)

Je vous demande 2 minutes de votre temps pour lire ce qui suit, promis, ça n'est pas long.

Après une petite période d'absence pour raisons personnelles, je reviens sur ce beau forum, plus déterminé que jamais à faire de beaux RP avec vous tous !
J'ai déjà quelques rp en cours, mais en prendre quelques uns supplémentaires ne me dérange pas, tout au contraire, et c'est bien là le but de ma demande !

Ma proposition ? Pas de trame particulière ! Je suis un habitué des RP, et ma qualité d'écriture est donc plutôt bonne, je peux vous proposer un nombre de ligne plus que correct !
Que vous soyez nouveau ou ancien, peu importe ! Si un RP avec moi vous intéresse, dites-le ici-même, et nous en discuterons (ici ou par MP, à notre convenance).

J'attends donc vos propositions, que vous soyez femme ou homme, humain ou créature, ancien ou nouveau, nous discuterons ensemble de notre futur RP (trame, lieu, hentai ou social..etc.)
Je vous dis à bientôt sur le forum, dans un RP, bien entendu  ;D




Votre très cher serviteur, Anderson.

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Les terres sauvages / Re : Perdu en terre inconnue. [Pv Arashi]
« le: jeudi 23 août 2012, 15:23:54 »
-Je sais que tu dormait depuis un long moment! Mais moi cela va faire longtemps que je me suis pas arrêter! Alors si tu veux je vais te parler de Nexus! C'est un village, cela ressemble à une ville bien normal de votre monde ,mais moins évoluer. C'est un lieux plutôt marchands, c'est bien comique, mais la nuit faut faire attention,  les esclavagistes recherches leurs proies la nuit.

Des esclavagistes, rien que ça. Décidément très sympa ce monde dans lequel je venais de tomber. J'espérais sincèrement pour cette planète que l'office de tourisme du coin omettait de parler de tous les dangers que l'on devait affronter en venant ici. Sinon, ils ne risquaient pas d'avoir beaucoup de touristes. Cette pensée me fit sourire, mais je la gardais pour moi et reportait mon attention sur ma guide du jour.

-Alors Anderson... Pensez-vous que je suis humaine...?

Je fronçais légèrement les sourcils. En fait, je m'attendais au fait qu'elle ne soit en aucun cas humaine. J'étais dans un monde inconnu, apparemment très différent de tout ce que je pouvais connaître de la Terre. De ce fait, ses habitants ne pouvaient pas être des humains au sens premier du terme. Peut-être qu'ils s'en rapprochaient.. Mais cette jeune femme, fort ravissante au premier abord, devait forcément avoir quelque chose de différent.

- Non, je ne pense pas que tu sois humaine. Avec tout ce que tu as pu me dire sur ton monde, des choses assez inquiétantes d'ailleurs, je présume que tu ne dois pas être humaine. Enfin, tu ressembles à une humaine, tu es d'ailleurs bien plus jolie que beaucoup de femmes de mon monde, mais.. tu dois être différente. Je ne sais pas en quoi, mais j'en suis persuadé.

Je la regardais, essayant de déceler justement cette différence. Manifestement impossible à remarquer au premier abord, et je ne comptais pas la déshabiller du regard (ou le faire littéralement) pour trouver ce qui faisait d'elle autre chose qu'une simple humaine.

- Alors ? Quelle créature est-tu ?

Un sourire étira mon visage tandis que je la regardais, attendant qu'elle mette fin à cet insoutenable suspens.

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Mes trois doigts s'activent en elle. Pas trop rapidement d'abord, puisque je veux quand même faire durer le plaisir. Même si elle est logiquement la seule à en prendre dans une situation pareille, j'aime bien la voir dans cet état là. D'abord, de petits soupires s'échappent de ses lèvres. Du moins quand ma bouche le lui permet, puisque ma langue séquestre la sienne dans une étreinte..torride. Après les soupires, c'est au tour de son bassin de manifester son plaisir. Voilà qu'elle le remue, très doucement au tout début, un peu plus vite par la suite. Ses mains se crispent au sol et je sens qu'elle arrache les quelques brins d'herbes qui subsistent sur cette partie de terre peu fertile. Puis elle interrompt notre baiser et s'adosse à l'arbre, littéralement plaquée par une force invisible. Invisible, puisque mes doigts sont bien profondément enfouis dans sa ruisselante intimité. Une intimité qui devient progressivement une vraie petite cascade. J'irai bien y mettre la langue, mais je préfère continuer avec mes doigts plutôt experts. Je maîtrise totalement la situation, elle est pliée à ma volonté, et je fais d'elle ce que je veux. Très excitant aussi en fin de compte. Son corps se cambre, sa poitrine, déjà bien plus que généreuse, est d'autant plus mise en avant lorsque son corps prend cette délicieuse cambrure. Son corps se tend, et soudain, ma main est définitivement trempée. Elle lâche un cri, qui pourrait bien nous faire repérer, mais, tant pis, qu'on nous repère. Cela sera d'autant plus excitant, de le faire à la vue d'une personne extérieure. Son cri est compréhensible, il faut dire que je n'y suis pas allé de main morte, surtout vers la fin..une bonne moitié de ma main est enfoncée entre ses cuisses. Je la retire doucement, et des gouttes de cyprine se mettent à couler le long de mon poignet.

" À ton tour... "

Je plonge mon regard dans le sien et porte ma main à ma bouche. Je lèche mes doigts trempées de son liquide vaginal, tout en la regardant bien droit dans les yeux. Puis, je me rapproche d'elle. Mon torse se colle à ses seins, mes bras enlacent son corps et ma bouche glisse dans son cou. Ma langue se pose sur cette peau si douce et remonte lentement jusqu'à son oreille. Je suçote doucement son lob d'oreille, puis le relâche et chuchote.

- Alors je vais vous proposer quelque chose Sensei.. Je vais vous laisser choisir ce que sera la suite de nos ébats qui, je l'espère, vont se prolonger tout au long de cette journée. J'ai encore beaucoup à vous montrer. Je vous laisse l'entière prise de décision, je serai..comment dire..à vos pieds. Je serai l'élève et vous..la maîtresse. Mais en contre-partie.. Je suis élève au sein du lycée dans lequel vous enseignez. Ce serait donc pour moi l'occasion de venir prendre des cours particuliers dans votre classe Sensei..

Je recule mon visage pour le mettre face au sien, avec un sourire plein d'envie. Mes lèvres effleurent les siennes et une de mes mains, baladeuses, se glisse sur ses fesses. Mon sexe repose sur sa cuisse, histoire de lui montrer que la promesse d'être au top niveau toute une journée..n'était pas une promesse faite dans le vent.

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Je ne pensais plus à rien. Je ne réfléchissais plus à rien. J'étais bien incapable de le faire d'ailleurs. J'étais dans un état second, et ce depuis que j'avais posé les yeux sur Mélinda, dans ce couloir désert. Cette créature, au corps tout droit sorti d'un fantasme que je pensais irréalisable, avait surement dû repérer en moi un..simple morceau de viande, comme tous les autres humains de ce lycée et de cette ville. Mais tout au long de l'après-midi, je lui avais offert des performances sexuelles plutôt intéressantes. Jamais aucune femme ne m'avait fait me donner autant. Il était clair que j'étais prêt à tout pour elle. Elle avait bu mon sang à deux reprises, et cela m'avait excité au plus haut point.

« Hmmm-hmmm... »

Ses gémissements me tirèrent à moitié de mon état second, un état d'euphorie profonde. Ma queue était entièrement enfoncée dans sa bouche. Ce n'était pour elle qu'un morceau de viande. Modestement, un très beau morceau de viande. Sa langue glissait sur mon gland et sur toute la longueur de mon sexe, et tous nos ébats de l'après-midi avaient totalement ruinés ma résistance au plaisir. Je n'étais plus très loin de l'éjaculation, et j'allais prendre un malin plaisir à me soulager en elle, sur elle.

*Aimes-tu mon traitement, Anderson ? Le traitement de ta Reine ?*

Le plaisir qu'elle m'offrait dépassait de loin toute mes espérances et mes ébats précédents. Je n'arrivais plus à monter une phrase correcte, mon cerveau était à moitié éteint, mais j'essayais de faire l'effort de sortir une phrase cohérente.

- Ma Reine vous si vous...vous.. haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan

C'était manifestement peine perdue, surtout à ce moment là. Tous les muscles de mon corps se crispèrent, à commencer par mon bassin, mes fesses, et mon membre, qui se dressa de toute sa hauteur, se contracta et expulsa violemment ma chaude semence. Je la laissais s'écouler de mon corps et glisser dans sa gorge en gémissant. Je sentais chaque goutte de sperm quitter mon corps, et je ne me retenais pas. Quand plus rien ne s'écoula de ma verge, je me retirais de sa bouche et constatais que j'en avais mis de partout, et pas forcément dedans. Du liquide coulait le long de son cou, jusqu'à ses seins. Encore tremblant de plaisir, je me repris.

- Ma Reine. Vous êtes extraordinaire..la créature la plus extraordinaire de cette foutue planète.

Alors qu'elle descendait du bureau et se remettait debout, nu, je posais un genou à terre, un second, et baissait la tête.

- Je suis à vous.

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J'ai perdu, sur un dernier coup de rein, je n'ai pu me retenir de me soulager en elle. Cette partenaire, encore plus expérimentée que moi au lit, ne me laisse pas de répit, et c'est tant mieux. Mais, pour l'heure, j'ai perdu. Je me suis écrasé de tout mon poids sur elle, ma tête reposant entre ses deux magnifiques seins, ma respiration courte. Je sens ses mains caresser mon dos et ma tête, et ce petit moment de pause ne peut que me faire du bien.
Après quelques instants de cette pause, elle se dégage de mon poids et se relève, puis file s'asseoir au pied de l'arbre contre lequel je l'avais précédemment prise. Elle s'assoit, écarte les cuisses et les relèves, m'offrant une vue magnifique sur son intimité, humide et au goût si divin.


" Je veux que tu me fasses jouir avec tes doigts. Tu peux te toucher, si tu veux. Mais avoue que ce serais dommage de gâcher un tour avec ta propre main. "


Un sourire étire mon visage. Lui faire du bien sans en profiter moi-même. Elle a bien choisi.

" Et elle sera bien mieux employée sur mon petit corps. "

Je m'approche d'elle, m'assoit tout à côté et me retourne, la bouche prêt de son oreille.

- En toute logique, tu vas jouir maintenant..et ce sera donc à mon tour de choisir..

Je lui ai chuchotai ça comme un avertissement, et ma bouche attrape la sienne dans un baiser torride. Ma main vient caresser ses seins, mais ne s'y attarde que très peu, descendant vers son point d'arrivée sans tergiverser plus longtemps. J'atteins son bas ventre en quelques secondes. Puis, enfin, je sens l'humidité de son vagin. Un de mes doigts se sépare des autres et va caresser l'entrée de cette si douce intimité. Elle est encore toute trempée. Un second doigt rejoins le premier, et je leur fais faire des petits ronds à la surface de son vagin, sans y entrer. La faire languir, rien de mieux pour que j'apprécie également cette masturbation.

Sans plus attendre, mes deux doigts, qui s'activent avec plaisir sur ce vagin, décident d'aller visiter les lieux, et je les entre en douceur, dans leur totalité. Oh, et puis, après tout.. Pourquoi pas un troisième ?

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Lécher son pied était une preuve irréfutable d'asservissement. Mais, quel doux asservissement ! Cette créature, au demeurant si supérieure, avait bu mon sang à deux reprises, et m'avait littéralement envoûté. A plusieurs reprises, je m'étais soulagé en elle, et cela avait été les ébats les plus torrides de ma courte existence. Elle était là, devant moi, jambes légèrement écartées, sa cyprine gouttant encore de son intimité trempé. Tout aussi trempé que le reste de son corps, son corps coulant de sueur la rendait encore plus attirante, et cela expliquait que ma queue se redresse encore si fièrement, de cette vingtaine de centimètres approximativement.

Ma langue se glissa sur ses orteils, entre ses orteils, les léchant avec douceur, les prenant dans ma bouche. J'étais littéralement à ses pieds, que je léchais sans me poser de question. L'envoûtement était total, et semblait même me faire du bien. J'étais dans un état second, totalement enivré par son parfum, par son regard, par ses griffes qui me labouraient le corps, par cette bouche qui me dévorait.

Dès lors que sa main se referma autour de mon membre, le sang afflua en celui-ci, mon sexe se redressant dans sa main, qui paraissait petite par rapport à ce qu'elle tenait.

« Ainsi soit-il, Anderson. A partir de ce jour jusqu’à ce que j’en décide autrement, tu seras à moi. Je serais ta Maîtresse, ta Reine, ta Déesse, et tu dois savoir que je suis... »

Elle venait de basculer à 4 pattes devant moi, et sa main s'activait lentement autour de mon membre. Ses longues griffes glissant sur la peau de ma queue, qui enflait entre ses doigts experts.

« ...Très généreuse. »

Elle posa sa main à la base de mon pénis, et l'enfourna dans sa bouche. Je le vis disparaître petit à petit. Ma maîtresse avait donc de la place.. Je sentis sa langue se poser sur mon gland, et mon état second se prolongea. Je sentais le plaisir monter, bien plus rapidement qu'auparavant lors de nos ébats. J'avais déjà éjaculer plusieurs fois, et j'étais désormais proche de la rupture. A tout moment, je pouvais me soulager en elle, je n'étais plus capable de me retenir. Elle était en train de me vider, et ça ne m'étais pas arrivé souvent lors de mes précédentes relations. Ma main droite vint se poser à l'arrière de sa tête, caressant sa chevelure qui tombait en cascade sur sa nuque. Mon sexe se gonflait toujours plus, et du sperm perlait déjà au bout de mon gland. Je me retenais tant bien que mal, pour faire durer plus longtemps cette si douce fellation..

- Ma reine...vous êtes si..haaaaaan....

L'éjaculation arrivait, et je repoussais ses assauts encore et toujours.

- Si généreuse..

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