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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 12 février 2012, 11:38:15 »11h38
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: samedi 11 février 2012, 23:26:27 »Vous penser quoi des userbar ?
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: samedi 11 février 2012, 23:25:20 »Blabla / Re : Tu sais que t'es de LGJ quand...
« le: samedi 11 février 2012, 23:20:05 »Blabla / Re : J'épouse, j'esclavagise, je tue
« le: samedi 11 février 2012, 23:18:17 »J'épouse Anéa tien !
La dernière je lui fout la paix
Miya Diablo | Aoki Kou | Ulrique Chevalier
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: samedi 11 février 2012, 23:15:37 »Vous aimez le lait concentré ?
Blabla / Re : Embrasses-tu / n'embrasse pas
« le: samedi 11 février 2012, 23:14:06 »Embrasseriez-vous un tube de lait concentré ?
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: samedi 11 février 2012, 23:12:19 »Ulrique pousse donc la chansonnette sur le topic
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: samedi 11 février 2012, 23:02:04 »Les alentours de la ville / Re : Death Blue Screen [PV Ulrique Chevalier]
« le: samedi 11 février 2012, 22:57:31 »S'il n'a finalement que peu d'expérience, il en sait suffisamment pour comprendre qu'elle est de toute façon on ne peut plus prête pour accueillir ce qui semble être l'objet de ses désires. Un sourire qui peut passer pour carnassier se dessine sur son visage quand il vient poser ses mains sur les hanches de la mutante, tirant un peu dessus pour lui faire comprendre ses propres désires alors que le lit grince sous son poids conséquent.
Compte tenu de leur taille respective, il l'oblige à relever ses hanches pour qu'elle se mette à sa hauteur à genoux, la dominant de tout le reste de sa hauteur qui malgré la position égale plus ou moins celle d'un homme debout. Il la maintien fermement arrière train en l'air quand les 2 sexes se trouvent, la longue hampe venant se frotter le long de la fente ouverte à plusieurs reprises pour en récolter la liqueur abondante qui se mêle à celle qu'il émet lui-même.
Ça doit prodigieusement agacer la mutante sûrement, mais malgré ses éventuelles ruade elle ne peut obliger les choses à se faire, la poigne d'Ulrique étant de la même trempe que celle de Voodoo. Mais sa patience, ou impatience en fonction du point de vue, est finalement récompensé quand l'épaisse lance de chaire entièrement humide de leur fluide vient ce caler contre l'entrée de l'antre inondé de l'américaine.
Il y a bien des façons de gérer la chose, certaine moins bonne que d'autre en fonction de la situation. De la même façon qu'on ne conduit pas une camionnette comme un camion benne, on n'utilise pas organe commun comme on introduit un membre hors norme. Ulrique opte pour une poussé lente mais continu dans la gaine étroite qui a sans doute rarement été obligée de s'ouvrir comme aujourd'hui.
Centimètre par centimètre, le puissant bélier gonflé de sang force les chaires sensibles en imposant son épaisseur peu commune à l'étui trempé dans lequel il progresse sans faiblir. Ce n'est qu'au bout de longues secondes qu'il vient buter contre l'utérus qui marque le fond du passage dilaté de son encombrante présence. Il reste ainsi quelques instants, le gland confortablement lové contre le fond du passage dont il prend le temps apprécier la qualité.
Ses instants d'immobilité laisse le temps à Voodoo de découvrir la scène qui se joue entre ses jambes toujours fermement maintenue par les larges mains d'Ulrique. Malgré le fait qu'il soit au fond d'elle, son mandrin est loin d'avoir trouvé la place d'entrer entièrement dans l'intimité de la mutante, comme un glaive ne trouve pas place dans le fourreau d'une dague. Cela explique en partie les précautions que le géant a prises pour cette première pénétration quitte à frustrer grandement sa partenaire du moment.
Pendant toute l'opération il n'a pas cessé d'observer les réactions de sa partenaire, guettant le moindre signe de gène dû à sa présence alors que pour sa part les gémissements qu'il émet faiblement n'exprime que le plaisir et l'envie de poursuivre leur danse. Ce qui est sur c'est que les mouvements suivants qu'il s'apprête à amorcer s'annonce nettement plus rude, peut-être enfin ce qu'attends Voodoo de son compagnon d'un moment.
Prête ?
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 11 février 2012, 21:03:02 »21h03
Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Écran beu... c'est normal ?
« le: samedi 11 février 2012, 14:22:41 »C'est de ma faute, je n'avais pas vu que vous étiez derrière moi.
Un accident con en somme. Mais bizarrement cet événement finalement anodin fait rougir la professeur. C'est peut-être son regard un peu mal placé dans ce genre de situation qui provoque ça, allez savoir. Mais bon quand on s'appuie sans vergogne contre un (grand) homme, il faut bien s'attendre à être détaillée par ledit homme non ? Ce n'est peut-être pas comme cela que ça fonctionne au Japon, les locaux étant parfois déroutant dans leur logique et leur culture quand on n'est pas né dedans.
Évidemment il ne pouvait pas deviner qu'Hitomie connaissait au moins en partie la culture européenne, bien qu'on n'aborde pas forcement les choses sous le même angle en France et en Angleterre. Mais là n'est pas vraiment le sujet à vrai dire.
Ça vous dérange si...
Soit la jeune femme est aveugle au point de ne pas se rendre compte que ce genre de comportement peut être interprété de façon très suggestive, soit elle essaie de l'allumer d'une façon très coincée et/ou hésitante.
Moi ça ne me pose aucun problème. J'en ai plus pour longtemps.
Effectivement il remonte la machine à l'origine de leur rencontre. En ce qui concerne le fichier perdu il ne peut malheureusement pas faire grand-chose, avec un peu de chance elle pourra en récupérer une partie via la sauvegarde automatique, mais sans doute trop peu pour terminer avant la fermeture de l'établissement. Mais la jeune femme a-t-elle réellement envie de ce remette là-dedans après tout ?
Il éteint l'ordinateur et récupère ses affaires pendant que la professeur en fait sans doute de même. Il attend poliment qu'elle soit prête elle-même à sortir en se tenant debout à coter de la porte, mais avant de la franchir il prend le temps de s'étirer. Les bras tendus en l'air soulevé un peu le tissu qui lui couvre le torse pour dévoiler un petit bout de son ventre. L'étoffe laisse d'ailleurs deviné le reste ce qui ne manque probablement pas d'attirer le regard d'Hitomie, regard qu'Ulrique intercepte avec sans doute tout l'intérêt dont il est chargé.
J'imagine que vous ne passez pas toute votre vie dans le rôle de professeur, vous savez où l'ont peut boire un truc frais dans le coin ?
Une perche aussi grosse qu'un building qu'elle ne peut a priori pas louper si elle voulait effectivement jouer les allumeuses. À Hitomie de saisir sa chance ... Ou pas, ça ne dépend plus que d'elle maintenant.