Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Kara

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Ville-Etat de Nexus / Re : Découverte de Terra et de ses moeurs (PV Don)
« le: dimanche 05 septembre 2010, 20:44:40 »
Kara réfléchissait à la situation dans laquelle elle se trouvait quand quelque chose attira son attention. Le colosse venait de se lever pour se diriger vers le bar. Sans doute en avait-il marre d’attendre que la serveuse soit libre… Il la fixa avant de venir s’installer à sa table. Kara restait sur ses gardes. Il s’adressa à elle pour la mettre en garde contre les autochtones. La jeune femme écoutait sans rien dire, détaillant avec soin l’inconnu.

- Pourquoi me mettre en garde si vous vous moquez de ce qui peut m’arriver ?

La jeune polymorphe avait parlé d’une voix douce. Le colosse ne lui inspirait aucune confiance. Elle termina sa bière puis se leva.

- Ne vous en faites pas pour moi, je sais me défendre si besoin et je déconseille à quiconque de venir le vérifier… sauf si cette personne souhaite mourir. Dans ce cas, je me ferai un plaisir de lui rendre service.

Sans plus se soucier de l’homme, la jeune femme ressortit à l’air libre. La chaleur ambiante l’assomma dès sa sortie du bar. Kara reprit la direction du marché des esclaves. Visiblement, sur Terra, cette pratique était courante. Elle voulait donc en apprendre plus sur ce commerce avant de se mettre à son compte. Elle flâna dans les allées, observant les étals et la marchandise. Elle avait besoin de comprendre comment tout cela fonctionnait. Mais à bien écouter les marchands, Kara ne tarda pas à se rendre compte que les esclavagistes étaient à la tête de ce juteux marché. Seul souci, ils restaient particulièrement discrets. Seule la marque qu’ils imposaient aux esclaves était visible. Avisant un marchand qui pliait son étal, Kara décida d’en savoir plus. Elle le laissa s’éloigner avant de lui emboîter le pas. Choisissant un endroit désert, au détour d’une ruelle, la jeune femme passa à l’attaque. Maîtriser le marchand ne fut pas compliqué pour Kara. Une fois ligoté, elle commença à le questionner.

- Dis-moi ce que je veux savoir et tu auras la vie sauve.

Son regard était froid. L’homme la regardait sans comprendre. Elle en profita pour le délester de sa recette de la journée.

- Je veux rencontrer un esclavagiste… Tu en connais forcément alors je t’écoute. Et ne t’avise pas de me mentir…

Laissant volontairement sa phrase en suspens, Kara envoya un coup de pied dans les côtes de son prisonnier. Le marchand la regardait. Il décida de tenter le tout pour le tout.

- Je peux vendre des esclaves pour toi si tu veux mais encore faut-il que tu en aies et ce n’est pas le cas. Avec de l’argent, tu pourras louer une maison pour les éduquer. Je t’aiderai si tu veux.
- Admettons que je sois d’accord, tu y gagnes quoi toi ?
- On partage l’argent.

Kara éclata de rire avant de briser le cou de l’homme.

- Je travaille seule et j’obtiens toujours ce que je veux.

La jeune femme abandonna le cadavre et se dirigea vers la sortie de la ville. Cet idiot avait raison sur un point, elle ne possédait pas d’esclave à vendre. Et d’après ce qu’elle avait vu, il lui serait plus facile d’en trouver à l’extérieur de la ville.

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Kara entendit Henrietta se déplacer dans sa direction. Se retenant de rire, elle se concentra sur le rôle qu’elle avait choisi. L’autre s’adressa à elle calmement, ne cherchant pas à établir de contact dans un premier temps. La douceur dans sa voix énerva Kara au plus haut point. Cette fille débordait de gentillesse ! Comme beaucoup, Kara ignorait qu’Henrietta était en fait un homme. Extérieurement, Kara avait l’air agitée, perdue mais elle maîtrisait parfaitement la situation. Son couteau en main faisait d’elle quelqu’un de potentiellement dangereux et c’est l’impression qu’elle devait donner.

*Vous êtes seule ? Il n’y a personne d’autre ?

Kara se redressa légèrement, juste assez en fait pour qu’Henrietta puisse la voir. Elle sortit lentement de sa cachette, regardant partout comme pour vérifier que son agresseur ne l’avait pas suivie. Sa proie restait à distance raisonnable. Voilà qui était ennuyeux. En même temps, elle avait encore son poignard en main donc la réaction d’Henrietta était compréhensible. Contournant les tatamis, elle posa son couteau dessus. Kara tremblait de la tête aux pieds. Chose logique pour une personne qui venait d’être agressée. Henrietta la dévisageait avec douceur, cherchant visiblement ce qu’elle pouvait faire pour l’aider. En d’autres circonstances, Kara l‘aurait giflée pour lui faire passer son envie de gentillesse.

*Je… Je ne voulais pas… Il a pas écouté… Il m’a forcée…

Sans crier gare, Kara se jeta dans les bras d’Henrietta et se mit à sangloter. Maintenant qu’elle avait réussit à attirer l’attention de sa proie, elle n’allait pas la lâcher.

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Alors comme ça l’inconnue ne cherchait rien de particulier. Kara ne se gêna pas pour la détailler plus en détails. Des courbes parfaites et une tenue sombre qui allait bien avec ses yeux. La jeune polymorphe restait malgré tout sur ses gardes. Personne ne vient par hasard dans un gymnase, après la fin des cours, sans idée précise en tête. Et bien que l’autre ne semblait pas agressive au premier abord, l’expérience de Kara lui suffisait à savoir que les apparences peuvent être trompeuses.

*Je n’ai pas pour habitude d’avoir de spectateur… C’est la raison pour laquelle je me suis arrêtée. Avouez qu’il est quand même assez compliqué d’avoir une conversation digne de ce nom en effectuant des rotations sur les anneaux.

Kara avait choisi de répondre à son interlocutrice. Après tout, jolie comme elle était, la soirée pourrait bien se révéler des plus agréables. Et puis, elle se devait de s’intégrer au plus vite à son nouvel environnement si elle voulait éviter d’attirer l’attention sur elle.

*Cela dit, je ne vais pas me plaindre. J’aurais pu tomber sur un idiot de première en tant que spectateur… Mais je suppose que je ne vous apprends rien sur la bêtise de certains vu votre beauté.

Tout en parlant, Kara souriait à sa visiteuse. Puis elle fit quelques étirements sur la poutre pour éviter des problèmes musculaires. Kara gardait toujours à l’esprit que son corps était son outil de travail et ses transformations nécessitaient qu’elle en prenne le plus grand soin.

*Au fait, je m’appelle Kara. Je viens d’arriver en ville et c’est ma première semaine au lycée. Nous ne devons pas être dans le même niveau sinon je me rappellerais t’avoir déjà croisée. Je remarque toujours les jolies femmes.

Kara avait volontairement baissé sa voix sur la dernière phrase, la prononçant sur le ton de la confidence. Elle descendit de la poutre avant de se diriger vers le vestiaire. Elle s’arrêta en chemin, consciente du regard de la jeune femme sur son corps.

*Si vous le souhaitez, nous pouvons continuer cette conversation mais j’aimerais prendre ma douche avant… Il y a des bancs dans le vestiaire, à côté des douches.

Sans attendre la réponse, Kara entra dans l’autre pièce et se déshabilla avant d’aller se mettre sous l’eau chaude. Après un bon entraînement, elle aimait par dessus tout la sensation de bienfait que lui procurait la chaleur de l’eau glissant sur son corps.

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La sonnerie annonçant la fin des cours retentit enfin ! Kara se hâta de quitter la salle de classe. Elle s’était fermement ennuyée toute la journée mais assister aux cours faisait partie de sa couverture. Comme à son habitude, elle alla déposer son sac dans son casier avant de prendre la direction du gymnase. Un peu d’exercice lui ferait le plus grand bien. Pénétrant dans le vestiaire pour se changer, elle s’arrêta net. Il y avait du bruit. Se dirigeant vers le gymnase, elle découvrit une élève qu’elle n’appréciait pas particulièrement : Henrietta ! La gentillesse permanente de cette dernière avait tendance à énerver profondément Kara. Un sourire sadique se dessina sur son visage. Voyons voir jusqu’où sa gentillesse pouvait donc bien aller…

Kara resta quelques minutes à observer sa proie qui exécutait des figures de gymnastique au sol assez complexes, preuve qu’elle s’entraînait régulièrement. Elle n’avait même pas la décence de s’habiller convenablement. Un vulgaire jogging la couvrait entièrement. La jeune polymorphe se dirigea vers les vestiaires. Après s’être assurée que personne ne pouvait la voir, elle opéra une légère transformation sur elle : quelques traces de coups. Puis avec son couteau, elle mit son uniforme en lambeaux et ses cheveux en désordre.. Son but était d’attirer Henrietta en dehors du lycée pour pouvoir s’en occuper à sa guise en lieu sûr. Kara ressortit discrètement du gymnase, sans faire aucun bruit. Elle respira profondément avant d’entrer avec fracas dans le gymnase et d’aller se réfugier derrière une pile de tatamis, comme si elle cherchait à se cacher.

Son arrivée avait interrompu net Henrietta dans ses mouvements. Kara attendait maintenant de voir comme l’autre allait réagir et si elle était toujours aussi prévenante envers les autres.

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Ville-Etat de Nexus / Re : Découverte de Terra et de ses moeurs (PV Don)
« le: vendredi 27 août 2010, 09:56:26 »
A peine entrée, Kara s’installa à une table et interpella le serveur pour avoir une bière. Elle observait tout ce qui l’entourait. Les rares femmes présentes semblaient être là pour le plaisir de ces messieurs. Mauvaise nouvelle. Les regards de certains en disaient long Qu’ils viennent pensa la jeune femme, ils auraient une sacré surprise ! C’est d’ailleurs ce que fit un groupe de trois énergumènes. En les regardant s’approcher, la jeune femme nota rapidement que le plus dangereux était sans doute le plus balèze des trois.

- Salut beauté, t'es toute seule ? Tu t'ennuie ? Ca te dirais de nous suivre dans un endroit un peu plus intime? Je vais te montrer ce que je sais faire avec ma queue...

Parfait. Juste ce que Kara ne supportait chez les hommes. Elle se contenta de redresser la tête sans bouger pour le fixer tranquillement, sourire aux lèvres. Le gros lard empestait l’alcool. Mentalement, la jeune femme se prépara au combat. L’homme au crochet vint se placer derrière elle avec le gros porc. Seul restait de l’autre côté de la table le plus balèze des trois.

- Il ne fait aucun doute que vous sachiez vous servir de vos attributs masculins et je pense que vos compagnons ont testé votre savoir faire de nombreuses fois.

Kara avait parlé d’une voix douce, légèrement tremblante, comme si ces hommes l’impressionnaient. Le gros lard avait éclaté de rire avant de comprendre ce qu’elle avait dit.

- Mais elle se fout de nous !

C’est le moment que Kara choisit pour attaquer. Elle attrapa le crochet de l’homme qui était à sa gauche tout en envoyant valser le tabouret , sur lequel elle était assise. Elle passa ainsi entre les deux hommes en reculant et planta le crochet dans le ventre du gros lard qu’elle retira aussitôt pour le planter dans la cuisse de son propriétaire. Les deux hommes reculèrent sous la douleur. Kara attrapa le second tabouret qui se trouvait près d’elle et l’envoya en plein visage du troisième qui était toujours penché au-dessus de la table. Surpris, il se redressa. Il n’en fallait pas plus à Kara. Brisant l’un des pieds du tabouret, elle frappa avec force au niveau de la gorge de son agresseur, lui coupant net la respiration. Fidèle à son habitude, elle attrapa trois rubans de cuir qu’elle cachait sous sa jupe et leur attacha les poignets. Ils n’étaient pas prêts de se libérer. Seulement à ce moment-là, elle observa l’assistance. Personne ne bougeait. Un homme avec un carrure impressionnante l’observait, comme les autres, avant de retourner à sa bière comme si la scène l’indifférait.

- Il y a d’autres volontaires ? Non ? Une autre bière !

La jeune femme alla se réinstaller à une table choisissant une qui lui permettait d’appuyer son dos contre le mur. Ainsi, elle voyait toute la salle. Le patron la servit rapidement et la jeune femme reprit la dégustation de son verre.

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Kara se redressa lentement, les idées embrouillées. Mais que s’était-il donc passé ? Elle avait honoré son contrat et ensuite… plus rien, le trou noir. Se redressant doucement, après avoir vérifié qu’elle n’était pas blessée, elle regarda autour d’elle. Où se trouvait-elle ? Elle ne reconnaissait absolument pas cet endroit. Elle avait suivi sa proie jusque dans le par cet force était de constater qu’elle ne s’y trouvait plus. Elle venait de se réveiller en bordure de forêt. Ce que Kara ignorait, c’est qu’elle était accidentellement tombée sur une faille reliant la Terre à Terra. Un bruit mit tous ses sens en éveil. Une charrette, tirée par des animaux qui ressemblaient à des bœufs fit son apparition. La jeune femme n’en croyait pas ses yeux. Un homme dirigeait cet étrange attelage. En apercevant Kara, il eut un sourire qui en disait long sur ses intentions.

- ’Jour p’tite, t’es perdue ? Je t’emmène à Nexus si tu veux.

Tout en discutant, l’homme était descendu, une corde à la main. Kara ne lui laissa pas le temps de s’approcher. Un coup de pied au plexus et elle l’envoya au sol. Elle avait récemment découvert que sa force physique ne dépendait pas uniquement de la forme qu’elle prenait. L’idiot se retrouva attaché avec sa propre corde.

- Si tu bouges, je te tue… Dis-moi ce que je veux savoir et tu vivras… Où suis-je ?

L’homme la regardait sans broncher, la prenant visiblement pour une folle.

- T’es sur Terra ma jolie, à une heure de marche de Nexus.

Terra ! Elle y était enfin parvenue. Kara ignorait comment mais peu lui importait. D’un geste vif, elle assomma son prisonnier avant de se mettre en marche dans la direction que le marchand suivait quand elle l’avait vu. Une heure plus tard, elle arrivait aux portes de la ville. Sa tenue ne passait pas inaperçue. Il faut dire que Kara portait, comme à son habitude, une robe qui lui arrivait à peine à mi-cuisses, de couleur parme et des talons hauts. En chemin, elle avait vainement tentée de se transformer sans y parvenir. La jeune femme en déduit qu’elle devait soit être trop fatiguée pour le faire, soit ne pas pouvoir le faire sur Terra. Voilà qui pouvait s’avérer dangereux en cas de souci. Mais toute à sa joie d’être enfin sur Terra, la jeune femme décida de s’en soucier plus tard.

Elle tourna un peu dans les rues de la ville avant d’arriver sur une grande place où se trouvait un marché. Avisant qu’elle était trop repérable, elle se hâta de délester un marchand de ses économies pour acheter une tenue plus adaptée. Et oui, Kara jouait les pickpocket de tems en temps. Elle en trouva une dans une échoppe : un haut court en cuir noir et une jupe longue suffisamment ample en cas de besoin et des sandales. Ainsi accoutrée, elle commença à se promener entre les étals avant de s’arrêter devant une boutique qui vendait des esclaves. Un sourire se dessina sur son visage. Mais le fait de découvrir que les habitants n’étaient pas tous humains la perturbait. Sur l’estrade se tenait une jeune fille avec une queue et des oreilles de chat ! Terra lui réservait bien des surprises. Le soleil étant haut, Kara mit ses lunettes de soleil avant de se rendre compte que ce geste, normal sur Terre, ne l’était pas ici et que beaucoup se tenaient à distance raisonnable d’elle. Après tout, elle aurait la paix comme ça. Continuant sa découverte, la jeune femme arriva à une taverne. D’après ce qu’elle voyait, la société de Terra semblait correspondre à la société moyenâgeuse sur Terre. Elle entra dans le commerce, dans le but de se désaltérer un peu. La poussière lui avait donné soif.

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Les cours étaient terminés depuis longtemps maintenant. Kara se trouvait dans le gymnase. Si son don de polymorphie lui permettait de prendre la forme d’une brute épaisse, il lui était néanmoins nécessaire de s’entraîner pour conserver une excellente forme physique. La réussite des contrats qu’elle acceptait en dépendait. En effet, dans la plupart des cas, Kara tuait ses victimes à mains nues. De son passage à l’armée, Kara avait gardé le goût de l’effort et passer des heures à répéter les mêmes gestes inlassablement ne la dérangeaient nullement. Son corps était son instrument de travail. Il lui était donc parfaitement normal de passer du temps à l’entretenir. Pour le moment, elle travaillait ses réceptions au sol suite à une chute. Rien de bien particulier en fait mais par expérience, la jeune femme savait qu’une simple chute pouvait lui faire perdre un combat. Pour tout vêtement, elle ne portait qu’un simple justaucorps de couleur parme qui ne dissimulait que le strict minimum de son corps. A la regarder, sa tenue ressemblait plus à un maillot de bain très échancré sur le devant et dévoilant ses fesses. Par habitude, elle s’entraînait pieds nus.

Kara décida de faire une brève pause avant de changer d’exercice. Toute à ses étirements, pour éviter que ses muscles ne se refroidissent, elle ne se rendit pas compte immédiatement que quelqu’un l’observait. Saisissant les anneaux suspendus, Kara se mit en équilibre, ses bras formant une croix. Elle resta ainsi sans bouger un temps certain avant d’entamer une série de mouvements rapides, son corps tournant autour d’un axe formé par ses bras de plus en plus rapidement. qui ne dissimulait que le strict minimum de son corps Cet exercice avait pour fonction de lui permettre de garder son équilibre quelles que soient les conditions dans lesquelles elle devait se battre. C’est d’ailleurs durant l’une de ses rotations qu’elle aperçut la visiteuse. Cessant sans délai ce qu’elle faisait, Kara se laissa tomber au sol avant de faire face à la visiteuse : grande, plus grande que Kara, agréable à regarder mais avec un regard froid qui étonna Kara. De plus, l’autre ne portait pas la tenue réglementaire du lycée. Cela dit, la robe qu’elle portait mettait ses formes en valeur. Kara ne se souvenait pas avoir déjà croisé cette beauté. Possédant une excellente mémoire des visages, elle s'en souviendrait. Que pouvait-elle bien venir faire ici alors que le lycée était fermé ?

*Bonsoir, vous cherchez quelque chose ?

Après tout, un peu de courtoisie ne lui coûtait rien. Kara se déplaça sans perdre l’inconnue du regard et alla s’asseoir sur une poutre.



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Le coin du chalant / Re : Pour bien commencer...
« le: mardi 24 août 2010, 18:03:26 »
Bonsoir,

Donc la trame 1 pour Clara et la 3 pour Don. On règle les détails par MP ?

39
Prélude / Re : Kara, ange assassin [Valibreizh]
« le: mardi 24 août 2010, 13:49:34 »
Mes remerciements jolie déesse.

*S'incline respectueusement*

40
Le coin du chalant / Pour bien commencer...
« le: mardi 24 août 2010, 13:48:21 »
Sujet du topic => social ou hentai selon la trame

Nombre de participants =>1 par trame

Trames

1/ Prof ou élève, vous découvrez Kara au gymnase, après les cours, en train de s’entraîner et vous avez envie de faire plus ample connaissance (social et hentai)
 
2/ Vous cherchez à recruter une personne pour intimider  vos clients et vous avez entendu parler de Kara, vous tenter de la joindre pour la recruter (social)

3/ Vous rencontrez Kara par hasard et décidez d’en faire votre esclave sauf que la demoiselle n’est pas vraiment d’accord (hentai)

4/ libre (à discuter en MP)


Qualité de post => une quinzaine de lignes minimum, sans les dialogues.

41
Prélude / Re : Dylan | Psychologue [VAL.]
« le: lundi 23 août 2010, 21:55:39 »
Une victime qui guérit vite, voilà qui est des plus intéressants...

*dénoue son ruban et fixe la psy en souriant*

42
Prélude / Re : Echnida : Dresseuse profesionnelle. [Valibreizh]
« le: lundi 23 août 2010, 10:31:56 »
Bonjour et bienvenue, je vois que nous avons une passion commune pour la torture :)

43
Prélude / Re : Kara, ange assassin [Valibreizh]
« le: lundi 23 août 2010, 10:25:01 »
*observe le dieu et reste à distance*

Merci de votre accueil.

*fixe Adelheid et Marine puis leur sourit*

Merci à vous deux.


44
Prélude / Kara, ange assassin [Valibreizh]
« le: dimanche 22 août 2010, 21:12:16 »
Nom/Prénom/Surnom : DOURKINOVSTOÎ Kalinka alias Kara alias Casan DOURKIN

Age : 19 ans

Sexe : femelle

Race : créature

Orientation sexuelle: bisexuelle


--Description physique--

Kara mesure 1 mètre 65 pour 50 kilos. Son apparence est douce, avec des cheveux longs parme et de grands yeux noisette. Sa taille fine fait ressortir sa poitrine (90C). Elle a pour habitude de mettre des tenues de la même couleur que ses cheveux, préférant les robes courtes toujours agrémentées d’un ruban. Cet accessoire (le ruban) lui sert principalement à attacher les mains de ses victimes dans un premier temps. De longues jambes fuselées et musclées complètent admirablement le reste de son corps. Elle porte le plus souvent des escarpins à talons hauts.


--Caractère--

Sous son air avenant, Kara cache un caractère violent et autoritaire. La jeune femme n’est heureuse que lorsqu’elle peut faire souffrir une personne. Personne ne soupçonne de quoi elle est capable. Au lycée, elle se comporte comme la parfaite camarade, charmante et gentille, voir même un peu timide. Mais si une personne la dérange, elle joue de son pouvoir de polymorphie pour lui faire endurer les pires tourments. Il lui arrive parfois de regretter que l’esclavagisme soit interdit sur Terre car elle est certaine que c’est une source de revenus financiers non négligeable. D’ailleurs, l’argent est la seule chose, avec la violence, qui a un quelconque intérêt pour elle.


--Histoire--

Kara ignore d’où elle vient et qui étaient ses parents. Elle a grandi dans un orphelinat où son penchant pour la torture est très vite apparu. D’abord sur de petits animaux qu’elle dépeçait vivants pour observer ce qui se passait. Ensuite sur certaines de ses camarades d’infortune qu’elle s’amusait à faire pleurer juste pour le plaisir. A l’âge de douze ans, une surveillante l’a surprise à violer une de ses camarades de chambre avec le pied d’une chaise. L’administration décida de l’envoyer dans un camp d’internement pour jeunes difficiles. Kara ne sortirait de là qu’à ses dix-huit ans pour aller en hôpital psychiatrique. Les médecins l’ont en effet déclarée irrécupérable.

Arrivée sur place, Kara fut contrainte de passer un pyjama immonde puis on l’enchaîna. Ses chevilles, ses poignets et son cou furent reliés entre eux à l’aide d’une chaîne. Le règlement était des plus simples : soit elle obéissait, soit elle était punie. Inutile de préciser que la demoiselle passa beaucoup de temps en isolement. En contre-partie, c’est là qu’elle prit conscience de son pouvoir de polymorphie et qu’elle le développa. Une nuit où elle était furieuse après un gardien, elle en vint à souhaiter pourvoir se transformer en araignée pour sortir de sa cellule et de prendre l’apparence du gardien pour abuser d’un ou deux pensionnaires de l’établissement pour le faire renvoyer. Quelle ne fut pas sa surprise en se rendant compte que son souhait avait fonctionner. Kara ne perdit pas de temps et passa à l’action. Elle regagna sa geôle juste avant l’appel, épuisée par ses transformations mais ravie. Le résultat de ses actes ne se fit pas attendre. Le gardien fut renvoyé puis emprisonné pour viol et actes de barbarie. Elle répéta plusieurs fois ce genre d’opérations, acquérant en même temps plus de contrôle sur ses transformations.

Kara s’échappa le jour de ses quinze ans. Elle s’engagea dans l’armée sous l’apparence d’un homme, Casan DOURKIN et y resta trois ans. Trois années durant lesquelles, elle apprit le maniement des armes, la logistique de combat. Un soir, alors qu’elle était sortie boire un verre avec ses camarades, elle surprit une conversation : un homme cherchait à faire disparaître son rival et proposait une somme d’argent conséquente pour le faire. Ce fut son premier contrat. Elle quitta donc l’armée pour se mettre à son compte et ne tarda pas à avoir une excellente réputation dans le milieu. Rares sont ses employeurs qui savent à quoi elle ressemble. Kara prend soin de modifier son apparence à chaque nouveau contrat pour ne pas avoir de problème ensuite. C’est aussi à cette époque qu’elle a entendu parler de Terra pour le première fois. Le fait de savoir qu’un autre monde existe la fascine. A tel point qu’elle cherche en permanence à vérifier son existence et qu’elle espère bien parvenir un jour à aller sur Terra.

Elle vient d’arriver à Seikusu et s’est inscrite au lycée. Aux yeux de tous, elle n’est qu’une simple étudiante. En dehors de ses heures de cours, elle s’acquitte de contrats divers, allant de la simple intimidation au meurtre.


Situation de départ : vierge en dépit de tous les sévices sexuels qu’elle a pu faire endurer à ses victimes.

Autres :

*polymorphe mais elle ne maîtrise pas encore à la perfection son pouvoir.

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