Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Gabriel Valmy

Pages: 1 ... 13 14 [15] 16 17 ... 100
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Le quartier de la Toussaint / Re : On se connait, non ? [Pv]
« le: mercredi 10 septembre 2014, 21:14:03 »
Bon, apparemment ni l'un ni l'autre ne joueraient au con… ce n'était pas plus mal… il regarda la jeune femme qui semblait décidée à faire un pas dans sa direction. Un bon pas. Mais y en avait-il un mauvais ? Non, sans doute pas, de toute manière, il savait que ça ne serait pas de tout repos, parce qu'elle semblait avoir, comme lui, un caractère bien trempé… ce n'était pas pour autant désagréable d'avoir en face un peu de répondant… non ? Il sourit et embrasa son physique plus qu'avantageux du regard avec un petit sourire en coin, alors qu'elle parlait…

Elle avait un regard amusant, un regard où se tenait une légère flamme de rébellion, comme si elle lui affirmait juste avec ça son indépendance et le fait qu'il aurait l'impression que même s'il le voulait, et même s'il la forçait, elle ne se soumettrait jamais…. Aussi, il commençait à comprendre qu'elle n'était pas accessible sans concessions… et les concessions, il avait horreur de ça…

Faire connaisance était une manière de présenter les choses. Maintenant qu'ils étaient à égalité niveau fions dans la tronche serait plus exact, et peut être ne fallait-il mieux pas continuer, sinon, ils seraient encore là demain… quand à la manière dont elle présenta les choses. Il ne voyait pas la différence entre lui donner la liberté de le faire et prendre la liberté de le faire. Le résultat était le même. Alors qu'importait le reste ? Il sourit et opina du chef face à cette proposition… surtout qu'elle avait pris en main sa turgescence  au travers du pantalon. Et du reste de l'appareil aussi, tant qu'à faire…

Il lui saisit le bras et l'écarta de là pour que la main cesse de toucher ça. Il lui sourit et doucement il lui fit un clin d'œil alors qu'une de ses mains venaient se poser sur une des deux jolies protubérances charnues qui ornaient son buste. Il  le lui massa quelues instants avant de le lâcher et de prendre la parole, sur un toncalme et posé, serein même…

« A vraie dire, j'allais te proposer un petit défi qui ne serait pas des plus désagréables je pense... »

Il n'avait pas lâché sa main et il vint lui embrasser le poignet, lui mordillant même la peau à la jointure de la paume et du bras, avec des idées bien autres que juste son poignet…

« Tu sais ce que je pense qu'on pourrait faire. Car je pense que ni toi ni moi n'arriveront à travailler en commun sans hiérarchie minimum, et tu sais comme moi que l'on finira dans le mur… alors ce que je te propose c'est de jouer la direction de l'équipe dans cette affaire… celui qui perd fera les quatre volontés de l'autres. Tu en penses quoi ? »

Il avait un éclat malicieux dans le regard.

« Sachant que l'épreuve sera le premier qui fait jouir l'autre a gagné... »

Il était persuadé de gagner, en effet, il avait un certain don pour jouer avec les inductions nerveuse. Il se savait capable de la faire jouir d'un seul contact un tant soit peu intime…

« Mais en n'utilisant els mêmes armes : juste ses maisn, et sa bouche dans le pire des cas... »

Oui, une manière bien plus rapide drésoudr les problèmes d'autorité et d'avoir ce qu'il voulait.

« Mais je comprends que tu n'oses pas… les défis, c'est souvent trop stressant pour les gens... »

Provocation ? Allègrement...

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Plusieurs fois, alors qu'il la maintenait ainsi, Gabriel l'avait sentie se débattre pour respirer et pourtant sans chercher à le mordre, voilà qui était étrange. Et pourtant, il n'allait pas se plaindre… il prenait son pied ainsi, en la voyant se débattre, plus encore, en la sentant se débattre. Il lui malmenait les différents orifices tour à tour, et là, c'était le tour de sa bouche de se faire défoncer comme si il ne s'agissait que d'un vulgaire sac à foutre… elle avait tout de se la salope finie, de la chienne en chaleur et de la putain qui voulait se faire toujours plus défoncer…

D'ailleurs, en parlant de sac à foutre… il était si bien là bas dedans qu'il finit par y jouir, lui remplissant la gorge au point que cela ressorte par le nez et les lèvres autour de la queue. Il la retira de sa bouche pour admirer le spectacle et se mit à lui tapoter le visage avec sa verge, lui essuyant les dernières gouttes de foutre sur les paupières, ou sur les joues. IL était ravi de savoir qu'elle était  à ce point chienne…

IL lui sourit et lui gifla le clitoris.

« Bon, et sinon, je te prends par quel trou, salope ? Allez, réclame d'en avoir plus ! »

Il voulait qu'elle parle, qu'elle supplie de se faire prendre par l'un de ses trous. Il regarda la jeune femme alors qu'il se mettait à lui malmener le clito avec violence et sadisme en attendant sa réponse. Il voulait voir le foutre dégouliner au fur et à mesure qu'elle supplierait…

« Sinon je te mettrai mes deux poings dans le cul… En même temps... Je vais te bourrer pour que tu ne marche plus jamais droit... »

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Le quartier de la Toussaint / Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]
« le: mercredi 10 septembre 2014, 21:10:52 »
Ils entrèrent ensemble dans le bar… et qualifier cet endroit de bar miteux, ça aurait été insultant pour les véritables var miteux… cet endroit n'était pas miteux, c'était crade et il y avait un rat qui devait avoir crevé sous un meuble enfin, ils n'étaient pas là pour ça… il ne répondit que par une négation de la tête à l'idée de prendre une conso : il ne toucherait pas aux verres de ce lieu, c'était courir à l'indigestion, voir à l'intoxication pure et simple, et il n'en avait guère envie, d'autant que le regard même du barman -  qui nettoyait un verre crade avec un chiffon au moins aussi crade -  était assez dissuasif, et le blondinet préféra ne pas y penser et se contenta alors de se rendre avec la joli rousse dans le fond de la salle, suivant les indications pour aller aux toilettes.

Toilettes qui, eux, étaient propres. Au moins. Comme si le lieu en lui-même de l'échange avait plus d'importance que le bar en lui-même. Ce qui devait être le cas. Ils devaient bosser pour le russe ou pour des alliés à lui, voir simplement des partenaires commerciaux, si on pouvait appeler cela comme ça… purée, il notait de donner un tuyau pour ce bar… juste histoire de faire chier le russe… et vu à quel point Gabriel était doué, ce serait une bonne colique… une colique qui ne serait pas des plus tendres…

Tiens, d'ailleurs, quitte à parler de cette zone de l'anatomie, Gabriel entra dans la cabine de gauche, suivant la jeune femme qui semblait avoir été emballée par son idée… en même temps, si elle avait pu sentir à quel point il était lui même emballé, ce n'était pas complètement étonnant, elle semblait au moins aussi délurée que lui, et ce n'était pas pour lui déplaire… IL lui sourit alors qu'elle se calait contre la porte de la cabine, exposant son fessier si joliment rebondi et musclé en même temps… et alors qu'elle l’entraînait dans un délicieux jeu de rôle, il ne put s'empêcher de sourire à la proposition qu'il lui faisait alors qu'il regardait le joli petit trou frémissant d'envie qu'elle dévoilait en remontant sa robe sur sa taille. Lui aussi frémissait d'envie, d'envie de voir chaque petit sac forcer le passage dans l'autre sens, voir l'entrée de derrière se dilater, se refermer, se dilater, se refermer, laissant juste assez de temps de pause entre chacun, juste assez pour que son petit anneau rectal se referme après chacun… il en frissonna. Il frissonnait aussi d'envie de sentir sa turgescence se planter ici, se frayer un chemin, en forçant entre ses parois anales, sentir le frottement interne, en sentir l'étroitesse…

Il s'ébroua légèrement alors qu'il lui remontait la robe jusqu'aux aisselles alors qu'il venait se saisir de sa poitrine, un sein pour chaque main, qu'il se mettait à masser sans grande douceur, mais sans violence non plus, avec fougue, tout au plus, avant de s'emparrer de ses pointes de chair et de leur faire subir un traitement un poil brusque alors qu'il se penchait entre les fesses de la jeune femme pour saisir entre ses dents le brin de ficelle ui dépassait, pour retirer les petits sacs, et alors qu'il continuait son traitement sur ses jolies mamelles dorées par le soleil.

IL tira doucement jusqu'à ce que le premier sac soit à moitié sorti et  le laissa comme ça, regardant son sphincter dilaté autour de celui-ci avant de tirer un coup sec pour le retirer en envoyant un courant électrique par ses doigts pour lui offrir un premier orgasme… il attendit un peu et recommença avec le deuxième, même procédé total, et il réitéra cela pour chacun… oui, il voulait que ce soit inoubliable et qu'elle se souvienne de ça pendant longtemps… car malgré les emmerdes, il se demandait si après ça, il ne ferait pas en sorte de la revoir… Il sourit à cette pensée alors qu'il lui lâchait les pointes de chair durcie pour reprendre son « rôle ».

« Hum, détention de stupéfiants… et en masse… je vais devoir vous emmener au post... »

Il dégaina ses menottes et  lui saisit fermement les bras, l'un après l'autre, pour la menotter dans le dos avant d'ajouter, sur un ton moquerur et amusé :

« Et je vais devoir exécuter une fouille plus poussée... »

 Il approcha de nouveau son visage des fesses de son « épouse » avant de  lui lubrifier la rosette avec de grands coups de langue et se baisser son froc et son cale-butte pour révéler son membre joliment gonflé et veiné, déjà près à l'emploi. Il appuya sur le dos, plus précisément les omoplates de la jeune femme, alors qu'il posait sa verge contre le joli derrière de Calliope, faisant glisser celle-ci le long de la raie de ses fesses, la montant assez haut, quitte à ce que ce soit un peu sport, pour que son gland lui effleur les doigts… et enfin, il se pencha contre elle et  lui mordilla le cou alors qu'il forçait un peu pour entrer la première partie de sa lance, pour pourfendre son fondement, laissant entrer le gland en elle alors qu'il lui offrait un nouveau « choc orgasmique » (hum, le nom sonne bien…) .

« Prépare toi à te faire enculer comme jamais... »

Il commença à aller et venir en elle, lentement, d'abord, pour « forer » le passage et ensuite plus fougueusement, plus brusquement, variant les rythmes, la tenant par la hanche, d'une main, l'autre jouant avec son intimité… il ne distillait de légères doses de courant électriques, pas d'orgasme, juste davantage de plaisir, en fait, c'était la garder au bord de l'orgasme tout en le lui refusant, d'une certaine manière... douce torture, n'est-ce pas ?

Il trouvait cet endroit serré à souhait et se disait bein qu'il espérait que cela durerait, et qu'il aurait l'occasion d'y revenir...il sentait les parois anales se refermer  autour de sa virilité, il en soupira, en gémit même de plaisir...

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Le quartier de la Toussaint / Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
« le: mercredi 10 septembre 2014, 17:50:18 »
Il adorait voir ce genre de regard, un regard à la fois enjôleur et séduit… vous savez, ce genre de regards avec ce fond de lubricité au fon de la pupille. Mis il y avait mieux encore à voir, car comme si elle s'attendait à ce qu'il réagisse de la sorte, elle rit et augmenta son décolleté… voilà qui était mieux. Mais si c'était décolletable comme ça, déjà, peut être l'était-ce encore plus ? Il devait peut être regarder ça de plus près…

La séduction qui s'opérait entre eux était particulière, parce que le sujet de celle-ci était lié à un domaine qui pour Gabriel était couru d'avance… aussi, il ne se posa pas la moindre question, il se contenta de se dire qu'il pouvait bien jouer un peu ce jeu, ça lui changerait beaucoup de d'habitude. Et elle en valait la peine, non ? IL regarda la jeune femme avec une lueur d'intérêt dans le regard alors qu'il  serrait doucement la main dans sienne… IL ne comptait pas ne rien faire, il comptait juste  la jouer aussi fine qu'elle… même si la finesse, c'était pas forcément son truc…

Il attendit qu'elle revienne après avoir trouvé un verre pour boire avec lui. Le blond en profita d'ailleurs pour se resservir un coup, dans un verre cette fois, alors qu'il voyait les petites fossettes se creuser de part et d'autres de sa bouche. Il regarda la jeune femme et lui sourit. C'était carrément craquant, ces petites fossettes toutes mignonnettes… il s'emùpara de son verre doucement et le lui ôta pour dessiner du doigts ses deux jolies fossettes toutes mignonnes…

« A vraie dire, je me suis rendu compte d'une chose il n'y a pas deux minutes... »

Il sourit et agrandit « en douce » son décolleté encore un peu. Déjà que c'était pigeonnant, mais alors maintenant, comme ça… comme ça en fait, ce n'était plus la même chose… c'était complètement autre chose et doucement, il se glissa dans son dos pour aller caresser ses reins. Il regarda la jeune femme et doucement, il lui murmura un petit mot au creux des oreilles.

« Mais je n'ai pas été le seul à être blessé… et je ne voudrai pas une infirmière en mauvais état... »

Doucement, il  glissa vers le sol et posa une de ses mains sur le mollet droit de la jeune femme, ménageant son bras blessé, il le laissait pendre à son côté… il remonta le long de la jambe, laissant ses doigts courir le long du galbe des muscles depuis presque la cheville jusqu'en haut de la cuisse.

« Je me souviens… de ces belles jambes fuselées… couvertes d'ecchymoses, continuant comme ça depuis les cuisses… jusqu'aux reins… il faudrait peut être y appliquer de la pommade... »

Il cessa le contact physique pour lequel il n'avait pas utilisé d'électricité. Il s'était contenté de la frôler avant de finalement lui caresser la joue.

« Mais si tu tiens tant que cela à te rendre utile, je crois qu'il faudrait que je te signale quelques petites choses… mais avant tout, tu permets que je vérifie si la tenue est bien aux normes ? »

Il sourit, un peu goguenard alors qu'il glissait sa main sur sa cuisse et passait sous la robe pour  aller caresser doucement la peau sous l'attache du porte-jarretelle…

« Hum, voilà qui n'est pas mal du tout, une infirmière sexy en bonne et due forme... »

Il lui fit un clin d'œil avant de finalement de rire doucement.

« Tu sais, je crois que je devrai me reposer, mais je pense que j'aurai besoin d'aide pour m'allonger, tu pourrais m'y aider, s'il te plait ? ET j'ai un problème de raideur dans le bas ventre qui m'importune depuis ce matin…. »

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Gabriel avait les boules. Il le reconnaissait haut et fort. En effet, il s'était avéré que on enquête était terminée plus tôt ue prévue, il allait devoir être réaffecté En fait on l'avait réaffecté avant même qu'il ne soit rentré de son arrestation. Il s'agfissait d'une affaire en apparence banale, en effet, il s'agissait d'une gamine de 13 ans qui avaient disparue. Une certaine Megan Mio. L barbe. En fait, ce qui était devenu bien plus gênant, c'était que le flic qui était sensé dirigé l'enquête ne donnait plus de nouvelles depuis la matinée de la veille, et donc, on commençait à s'inquiéter. IL avait simplement signalé qu'il avait quelque chose à vérifier et qu'il n'avait bsoin de personne pour l'aider, ce serait rapide. Et plus de nouvelles…

Il s'était plongé dans l'affaire pendant toute la journée alors qu'il tournait en rond… il ne savait pas quoi penser de cela, il savait juste une chose à ce sujet :  l'affaire était une véritable plaie, une infernale horreur et un chausse trappe. Toutes les parties impliquées avaient assez d'influence pour faire de Gabriel un bout de viande entre quatre planches de bois. C'était triste à dire, mais c'était ainsi, ce n'était pas comme si il avait eu des masses de choix. Sa colloc' n'était pas là, de toute manière… alors il avait rien de mieux à foutre… mais ce n'était pas pour cela  qu'il le faisait de bon cœur pour autant...

Et à vingt heures, il était toujours là. Oui, à Vingt heures, personne n'avait encore vu Gabriel rester aussi longtemps à plancher sur une affaire. En fait, il n'avait même pas pris une seule pause clope… il soupira et regarda encore une fois les documents sur son bureau, pas plus avancé que le matin même… Il soupira et renonça pour aller fumer une clope. Ça lui manquait terriblement. Il s'apprêtait à sortir, clope au bec, ne restant plus qu'à l'allumer, quand on gueula son nom. Putain, qu'est-ce qu'on lui voulait encore, il n'était même pas sensé être là…

Il reconnut la voix, celle de cette rombière qui tenait l'entrée, une vraie connasse qu'il ne pouvait pas encadrer… mais bon, en général, c'était important…. Il émit un puissant soupir avant de cracher sa clope qu'il chopa au vol pour la ranger dans le paquet. Il soupira et regarda la jeune femme qui se dressait là, prêt du comptoir et il ne put s'empêcher de détailler les courbes de celle-ci. Elle était plutôt bien roulée… il regarda la jeune femme et soupira, il sentait venir les emmerdes… aussi, il s'approcha davantage…    non sans sourire devant la réaction de la jeune femme.

« T'inquiète, poupée je suis pas plus emballé que toi par le speed dating. Mais faute de mieux, je crois que t'as pas le choix, et je te rassure, moi non plus ! »

Il regarda ensuite la réceptionniste.

« Dis, la grosse, tu as appris que crier, c'était mauvais à la santé, arrête la graisse et passe aux légumes verts… surtout les carottes ! Tu en as besoin ! »

Il se détourna de la japonaise pour s'adresser à l'autre jeune femme, sur un ton un peu plus poli, cette fois, comme si c'était normal de baisser un peu d'un ton, quoiqu'il ne soit pas particulièrement amical pour autant.

« Venez, suivez-moi, que je vois si c'est si important que ça et si urgent, ce que vous avez à dire... »

Il avança alors sans se retourner, jusqu'à une salle d'interrogatoire, pas un bureau. Il ne la connaissait pas, et à vraie dire, il se foutait de son identité. Si elle savait quelque chose, il lui fallait absolument avoir de nouvelles données. Il lui ouvrit la porte et la poussa devant lui avant de finalement entrer et fermer derrière lui. IL se dirigea du « bon côté »de la table et lui lança :

« Alors. On va commencer lentement. Assise. Nom. Prénom. Identité quoi…. »

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Le quartier de la Toussaint / Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]
« le: mardi 09 septembre 2014, 22:52:29 »
Comme toute réaction à sa phrase, elle sembla gémir et se cambrer davantage pour que Gabriel avait plus de champ libre pour faire ce qu'il devait faire. Alors que le policier passait sa langue sur son petit anneau rectal, il la doigtait doucement, jouant de son autre main sur son petit bouton de plaisir. IL était amusé par la situation alors qu'il insérait sa langue dans son orifice anal, commençant à bien le lubrifier alors qu'il augmlentait le choc électrique, légèrement plus fort, pour plus de plaisir. Il faisait monter cela graduellement alors que sa langue, puis son doigts venaient élargir son fondement pour accepter sans trop de difficulté le premier petit sachet…

IL aimait la voir comme ça, même si c'était dégradant, elle faisait un peu penser à une chienne en chaleur, et il aimait cela, et dire qu'il ne s'agisait que de ses doigts de sa langue… il laissait son imagination saisir si elle pouvait, la différence avec une vraie pénétration de la part de son engin, lui donner l'impression que ce n'était rien en comparaison. Il lui sourit et  continua son travail, jouant avec assez de courant pour la rendre dingue et en même temps pour la dilater assez pour qu'il… ah, ça devait être bon… IL sourit et envoya une puissante décharge de niveau orgasmique…

Et en l'entendant gémir, crier il envoya le coup de grâce et profita de la dilatation en cours pour lui insérer le premier sachet. Lke suivant vint, et le suivant, et le suivant, et le suivant, et ce, jusqu'au dernier, dernier qui sembla coïncider avec la fin de cette longue jouissance de sa part. Il avait fait vite aussi, mais en gardant le courant, il avait pu suffisamment prolonger l'orgasme pour que tout passe… et c'est à ce moment là qu'ils furent interrompus… cela voulait-il dire que dix minutes s'étaient déjà écoulées?Il fallait croire, car apparemment l'un des molosse ouvrit la porte…

… pendant que, comme une promesse de sacrées parties de jambes en l'air, Calliope lui roulait le patin de sa vie. Gabriel y répondit avec empressement, serrant son corps nu contre lui, et alors que les molosses regardaient, Gabriel ne put retenir une remarque, sur un ton provocateur et en même temps amusé, qui ressemblait à une manière de leur rappeler leur position de vulgaire molosses.

« Vous avez vu comme elle est gaulée ? Et elle est à moi, rien qu'à moi... »[/b][/color]

Et il ponctua ça par une petite claque sur le fessier hâlé… le plus ravissant fessier qu'il ait jamais dilaté, soit dit en passant… il lui sourit et l'embrassa sur la joue avant de lui remettre sa robe, sa jolie robe qu'il ne rêvait plus que d'une chose :  lui ôter de nouveau… oui, il la voulait nue juste pour lui, tout seul… maintenant, là, tout de suite, pour lui faire des tas de choses peu catholiques…

Le jeune homme sourit devant les propos de Calliope. Et doucement, il lui saisit la main doucement et la garda dans la sienne, croisant ses doigts avec les siens en revenant dans le salon, fortement attendus… il regarda la jeune femme et l'embrassa sur la joue alors qu'il écoutait les dernières recommandations de Brava ainsi que l'information sur les nouvelles alliances. Mais il n'écoutait pas. Il n'écoutait pas vraiment, surtout après les propos de Calliope. Il avait docn la tête à moult autres pensées, malgré l'explication importante de Brava. Il accompagna Calliope vers la sortie pour finalement se retrouver dehors, Ils devaient y aller… Il egarda la jeune femme et rpit dans le sac une fois qu'elle eut récupéré le papier et passa l'un des anneaux au doigt de la jeune femme.

« Tu sais, je t'ai entendue, alors je m'en doute que tu as aimé... »

Il la taquinait un peu, gentiment, alors qu'il imaginait mille et un scénarios alors qu'il approcha de sa moto pour la démarrer alors que la miss montait en croupe de la moto, juste derrière lui. Il lança la moto et se rendit directement vers la deuxième destination que la jeune femme lui donnait. C'était à deux pas, et pour une fois, il ne se comporta pas comme un malade au guidon ; même si ça avait comme avantage de la sentir plus contre lui.

Il conduisit néanmoins assez rapidement jusqu'à atteindre l'adresse en question, il s'agissait d'un bar un peu mal famé et la cachette était dans le dévidoir à papier toilette… vive la cachette à chier… il regarda la jeune femme et  l'enlaça alors qu'il la faisait descendre. Il lui sourit et lui dit, dans le creu de l'oreille…

« Tu sais, j'ai pensé à quelque chose… quand je vais te retirer lentement les sachets du cul, ça va s'élargir, se refermer, s'élargir, se refermer et ça va bien préparer car je pourrais te prendre par là dans la cabine des toilettes, comme ça, de suite après te les avoir enlevé… comme ça tout sera déjà prêt... »

Il l'embrassa avec fougue, y mettant la lange avant de finalement la plaquer contre le mur devant l'entrée pour laisser sa fougue l'emporter dans ce baiser interminable, et ce ne fut qu'à regret qu'il arrêta pour lui dire :

« Bon, quand il faut y aller... »

217
Le quartier de la Toussaint / Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]
« le: mardi 09 septembre 2014, 19:28:35 »
Gabriel ne trouva rien de plus intelligent à faire face à la réaction de la jeune femme que d'opiner du chef, quoique moins blême qu'elle, en effet, lui n'avait pas eu à s'enfoncer ça dans le fondement… ouais ils étaient trop bourrés, même si elle était carrément canon et divers jeux sexuels avec elle n'étaient pas des idées étranges pour le beau blond, mais tout de même… non, la faire jouer la mule… tout de même… il soupira et regarda la jeune femme une nouvelle fois, alors qu'elle ne semblait pas bien… il serra doucement la main de la jeune femme dans sa main, serrant doucement sa main dans la sienne, alors qu'elle commençait apparemment à se résigner.

Il regarda la jeune femme d'un air inquiet. Avait-elle vraiment l'intention de le faire ? Elle n'&tait pas obligé. Son connard de première pouvait aller crever, il n'y avait pas de soucis… il regarda la jeune femme en essayant  de la supplier du regard de ne pas le faire, elle n'était pas forcée après tout… il lui serra doucement la main, patient avec elle, essayant de lui faire comprendre qu'elle pouvait faire autrement…

Mais elle semblait résignée, soit… ; il soupira et regarda alentour pour voir si il y avait une porte vers une autre pièce. Le blondinet n'en voyant pas, ils n'allaient tout de même pas faire ça ici… il regarda la jeune femme, puis Brava, avant de supposer qu'il y aurait quand même un endroit qui puisse être plus approprié… pitié… pour elle… il regarda la jeune femme et doucement, alors qu'elle y mettait de sa condition et se levait, il ne fit rien d'autre que de prendre le petit sac. Il regarda la jeune femme. Et doucement, il glissa un bras autour de sa taille.

Mais les propos de la jeune femme avaient apparemment uniquement fait rire le russe, il prit la parole alors qu'il indiquait à deux gardes du corps d'approcher.

« Ben voyons. Voilà comment ça va se passer. D'abord, menacez-moi encore une seule fois et je vous jure que vous finirez putain à Moscou, car vos amis, je les connais et bon nombre me doivent leur carrière, à moi ou l'ami d'un ami, d'un ami. Enfin bref, vous voyez bien le topo… alors inutile de me menacer, cela ne sert strictement à rien, d'autant que je pourrai mettre en l'air leur carrière sans trop de soucis… ensuite, j'allais justement demander à ces deux braves hommes de vous conduire au même endroit de la dernière fois. Vous avez dix minutes après quoi ils entreront et se chargeront de vous les mettre eux même, et croyez-moi, ils en meurent d'envie… »

Puis il claqua des doigts et l'on saisit le couple par l'épaule, une chacune, alors que Gabriel prenait son sac d'une main, il garda celle de la jeune femme dans l'autre et suivit le parcours indiqué. Il sourit et pressa doucement sa main dans la sienne. Il regarda la jeune femme  et lui dit, dans un murmure.

« Tu sais, je ne veux pas que tu fasses ça pour moi, ce connard, et je m'en tape, mais je t'en parlerai plus tard si tu le souhaites. Dans tous les cas, ne te force pas, tu n'es pas obligée… je te le jure…  j'ai encore des marques de ses coups... »

Il lui caressa la main et  déposa un nouveau baiser sur sa joue…

« Mais merci quand même…. Je sais que ça te révulse, mais faute d'avoir plus de temps, je te promets une chose, tu vas apprécier… c'est le moins que je puisse faire... »

ON les poussa dans une salle où il y avait un matelas sur le so , en fait, le tout faisait penser à une sorte de cellule capitonnée, c'était bien pratique, vous ne trouvez pas ? Il attendit d'entendre le loquet de la porte de l'autre côté avant de plaquer la jeune femme contre le mur et de doucement l'embrasser. Allant même lui rouler un patin avant de finalement lui embrasser le cou.

« Si on avait plus de temps, je t'aurai promis le septième ciel, et sans me planter, mais là, ça va être juste... »

Il essayait de détendre l'atmosphère alors qu'il invitait la jeune femme à prendre position. Il lui sourit et doucement, cil remonta la robe le long de son corps, dévoilant tous ses atouts les uns après les autres, lentement, embrassant son corps qu'il découvrait. I embrassa ses pointes de chair délicatement dessinées avant de  glisser une main contre les fesses de la jeune femme et doucement, il  l'accompagna jusqu'à ce qu'il l'ait laissée à quatre pattes. Il se pencha et embrassa avec douceur ses fesses, les mordillant très légèrement.

« Allez, je vais y aller... »

Il se mit à genoux derrière elle et approcha son visage de sa croupe pour embrasser son intimité alors qu'un de ses doigts de posait sur son anneau rectal en envoyant de très légères ondes électriques pour l'aider à se dilater. Ces ondes avaient pour autre effets de lui faire chauffer le bas-ventre, bien entendu… lui, cette vue lui filait une gaule du tonnerre, mais il n'était pas le centre des attention…

« J'espère que tu vas aimer tout ça... »

IL commença à jouer de la langue sur son intimité alors que son doigts préparait lement son fondement à ce qui risquait de suivre… il s'appliquait à mordiller, lécher, pénétrer de sa langue son ppui d'amour, son autre main, lui mettant parfois de petites claques sur le derrière… il la ferait jouir au moment où il entrerait la première boule de drogue, jhistoire qu'elle ne la sente même pas passer….

« Si il y avait plus de temps, c'est autre chose qui aurait pu entrer dans ton joli petit cul qui m'a l'air joliment serré... »

Il déposa un baiser sur sa rosette avant de reprendre le « travail »...

218
Le quartier de la Toussaint / Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]
« le: mardi 09 septembre 2014, 17:23:16 »
Gabriel regarda la fouille au corps de Calliope, non sans une certaine dose d'envie… il aurait bien aimé la fouiller au corps… quoiqu'il l'avait fait, en profondeur et probablement de toutes les manière imaginables… sans pour autant qu'il y ait eu des réminiscence forte, mais il se rappelait de certaines scènes… et quand il vit la jeune femme bousiller les noix du mec manu militari, il ne put ressentir comme un effet de déjà vui… à croire qu'elle avait déjà subie une fouille comme ça et que l'insistance des doigts sur la jeune femme était une douce vengeance… il était de l'avis de Gabriel que jamais il ne voulait les avoir serres comme ça entre les doigts de la jolie rousse… il en eut même mal pour le type, malgré toute l'antipathie qu'il lui inspirait…

Gabriel, sentant la main de la jeune femme, légèrement tremblante, agripper  la sienne. Il la serra doucement avant de lui donner un baiser sur la joue. Très doux, comme un encouragement. IL ne murmura pas, néanmoins que l'idée de la fouiller au corps ici et maintenant l'avait effleuré et lui avait carrément foutu la gaule… non, ça c'était pas la peine et puis, si elle n'en menait pas large, il n'était pas convaincu que ce soit le meilleur moyen de lui remonter le moral, d'autant que la seule chose remontable par ces idées était chez-lui…

Il entraîna doucement Calliope à sa suite alors qu'on les emmenait vers ledit salon… salon assez proche puisqu'ils étaient dans la pièce attenante. Il s'y stoppa comme si il attendit un danger, mais fut poussé en même temps que sa rousse (oui, la sienne!). Il regarda l'homme, le mafieux par excellence, costume trois pièce sur mesure et de marque même si le noir ne cachait pas vraiment un peu de sang sur sa manche, séché depuis quelques heures…

UN nom lui revint en tête : Andrej Vatlov, dit « Brava ». il se souvenait un peu de la nuit précédente… quelques images, quelques mots prononcés, notamment sur une question de prêt de copine contre un cadeau pour les deux… ouais, c'était vague… trop vague sans doute pour lui donner la nature exxact dede la situation… aussi, préféra-t-il ne pas trop fanaronner alors qu'il les invitait à boire un coup, s'asseyant avec eux. Dans un canapé en face. Gabriel était à côté de Calliope et qu'il demanda à récupérer son bien, Gabriel, un peu par instinct, saisit Calliope pour la prendre sur ses genoux et entoura sa taille mince et élégante de ses bras, comme pour la protéger.

La question de Calliope n'avait pas pour autant passé inaperçu car le Russe était apparemment fortement intéressé par ces deux anneaux… Lui même l'était, mais il n'en pipa mot, se contentant de repérer l'emplacement de tous les protagonistes en présence d'un rapide coup d'oeil. Il attendait néanmoins des explications…

...qui ne vinrent pas. En effet, lesdites explications ne furent qu'un sourire un peu mystérieux de leur hôte… mais qui n'avait rien d'engageant, en effet, il y avait comme une menace sous-jacente alors qu'il prenait un petit verre de vin qu'il but cul sec comme n'importe quel faux amateur. IL leva les yeux aux ciel et haussa les épaules. Et finalement, il prit la parole.

« Allons, allons, nous avions un accord, contre mon petit service, je vous offrait ce que vous vouliez dans ma collection… et ceci n'était pas dans ma collection, c'est tout ce que vous aviez à savoir… et comme vous avez quand même rempli ce service pour moi, je tenais à remettre les choses à plat… si vous n'aviez pas accepté, j'aurai été contraint de faire de vous des exemples. Je respecte toujours mes promesses. »

Il sourit, comme amus, mais c'était un sourire carnassier, de prédateur, d'ailleurs, à la manière dot il se tenait, on sentait poindre l'ancien militaire… ce qui n'engageait rien de bon, mais qu'importe. Il se leva et s'approcha d'une commode qu'il ouvrit pour en sortir deux petits sacs. UN en plastique et un autre en carton. IL les approcha et les déposa respectivement devant Calliope et devant Gabriel.

« Comme vous l'avez constaté, j'ai du vous rappeler à l'ordre, aussi, pour ue j'oublie ce qui s'et passé, vous allez me rendre le même petit service qu'hier… elle trouvera ce que je veux livrer dans le petit sac, même procédure qu'hier. Et en échange, parce que je suis généreux, voilà des alliances pour remplacer les deux que vous avez... »

Gabriel prit sa propre alliance et la lui jeta au visage avant de faire pareille avec celle de la jolie rousse.

« Pas de services, vous avez ce que vous voulez. On est quitte…. »

Le mafieux eut un léger rire.

« Après le mal que j'ai eu à vous capturez, n'espérez même pas repartir vivant si vous ne faites pas ce que je vous dit. J'ai mis la main sur certaines personnes qui vous feraient changer d'avis… comme votre père, monsieur Valmy... »

Gabriel ne pâlits qu'un instant avant de rire.

« Ben voyons, allez-y !  Tuez le !  Ert je peux même vous aider !  Je me fous de ce connard alcoolique ! »

Mais ça le faisait chier quand même.

« Allons, il ne s'agit que d'escorter votre copine comme hier soir et déposer de la même manière le petit paquet dissimulé. Vous savez très bien, tout comme moi, que tout ce qui sort d'ici est surveillé... »

Gabriel ouvrit le sac plastique. IL y avait dedans une série de petis sacs platiques ronds remplis d'une poudre blanche. De la drogue sans doute, et chacune était reliée à la suivante par du fil de pêche...

« Allons, monsieur Valmy. Vtre fiancée semblait bien d'accord la nuit derrière, pour que vous les lui enfonciez entre les fesses…. »

219
Blabla / Re : Re : Re : Horloge parlante
« le: samedi 06 septembre 2014, 21:37:31 »
Même si ces petites bêtes sont connes comme mes pieds

J'ai ri en pensant que tu vas te faire lyncher ^^
21:35

Inutile de lynchage, c'est la preuve même que les chats ont réussi à endoctriner une personne de plus en jouant la bêtise... tsssst faut se réveiller, Alice, un chat c'est MACHIAVÉLIQUE ! xD

21H38

220
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 06 septembre 2014, 21:18:25 »
Bah si, ça te divertit :p

21H19

221
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 06 septembre 2014, 17:38:25 »
Mon seul sport cette année, une fois n'est pas coutume, c'est la course à pied :  la distance boulot/gare x)

17h39

222
Blabla / Re : Re : Horloge parlante
« le: samedi 06 septembre 2014, 16:12:35 »
Je n'aurais JAMAIS dû surfer sur le net pour trouver des infos sur le typhus félin... Il est dit que le taux de mortalité auprès des vétérinaires pour cette infection, est de 90%.
Je sais que c'est idiot, mais je me sens incapable de surmonter la peine et l'angoisse de la voir partir... Je l'ai eu alors qu'elle avait 3 semaines, qu'elle faisait 390g, je l'ai sauvé d'un méchant coryza...
Je sais, "ce n'est qu'un animal"...

Ouais, mais non, justement, c'est pas qu'un animal, c'est un compagnon, et même, à sa manière, un ami.
Je connais ça, le chat que j'ai, sa mère l'a mis au monde sur mon plumard parce qu'elle refusait d'aller là où je n'étais pas, et je l'ai vu grandir

16h14

Courage !

223
Le quartier de la Toussaint / Re : On se connait, non ? [Pv]
« le: samedi 06 septembre 2014, 13:37:51 »
La jolie rousse ferma la porte derrière elle. Très bien, ainsi ils auraient la paix… il voulait que le moins de monde possible ne vienne l'emmerder. De toute façon, beaucoup de monde au sein du commissariat avaient compris une règle simple : on va demander un truc à Valmy que si personne n'était disponible. Entre le caractère de merde et le côté pète burnes… Gabriel se contenta de l'observer alors qu'elle se tournait vers lui pour se mettre à parler, et pas juste histoire de causer – dieu merci – mais davantage pour  lui faire passer un message…

Et quel message… lui signaler qu'elle lui briserait la main à la prochaine claque sur le fessier… ouais, bah qu'elle essaye pour voir et ce serait pas de tout repos pour elle, il était une vraie teigne,  pire qu'une ex qui aurait surpris le string d'une autre femme dans les affaires de son mec… il regarda la jeune femme de haut en bas en croisant les bras sur son torse musculeux.  Consentante, elle en avait de bonnes… pour lui, un cul comme le sien qui se tortillait sous ses yeux au rythme des pas, c'était déjà une invitation en soi, mais devait-il le lui signaler ? Peut être, peut $être pas, elle serait foutue de gâcher le spectacle…

Il soupir alors qu'elle continuait. Ne pas jouer au con ? Dommage, c'était son jeu préféré… enfin, il pouvait bien faiure un effort, elle en valait la chandelle, physiquement… il haussa les épaules et la regarda s'installer sur le bureau, comme si elle était chez elle… ça par contre, il apprécierait beaucoup moin, mais allez, il se contenta de protester d'un froncement de sourcils.

« Bon, je veux bien faire un effor pour que ça se passe bien, mais toi aussi, okay ? »

Il ne s'agissait que d'une question purement rhétorique, en effet, il n'était pas question de lui demander de faire en sorte que ça marche bien. Il se montrerai plus correct avec elle et en échange, ce serait réciproque «(et qui sait une pipe par effort ? Non, halte au fantasme, quoique ce serait pas mal de la faire passer sous le bureau…. Nan mais fallait pas rêver, le chef l'avait prévenu, elle était aussi tête de con que lui, alors il y avait peu de chances que ça arrive.

« Moi je viens bien, ne pas te claquer les fesses, mais avec un cul pareil, qui damne même pas un saint, carrément tout le panthéon… c'est plus ofrt que moi… et je t'ai pas encore vu marcher, de dos, mais je parie que tu le tortille de manière superbe ! Donc ça risque d'être plus fort que moi… je tâcherai de faire un effort à ce niveau là. Je promets pas d'y arriver, mais juste d'essayer… c'est déjà pas mal, non ? »

Puis, il vint s'asseoir un peu comme elle sur le coin du bureau avant de se tourner vers elle et lâcher sur un ton un peu las, parce que bien sur, il était persuadé que ce serait comme ça que ça se passerait bien si il excluait tous les sujets autres que le bureau, car même si elle était particulièrement sexy, elle était plus coincée qu'une porte aux gonds rongés de rouille… enfin, elle l'était devenue sans doute… il le sentait comme ça…

« Et j'imagine qu'on parle pas du passé au passage, c'est ça ? »

ET finalement il sourit pour finalement sourire et lui dire, sur un ton moqueur, amusé même.

« Et si j'ai pas la main en miette, c'est que tu étais consentante ou c'était un coup par surprise ? »

224
A chaque claque sur son fessier, il avait senti cette contraction autoyur de sa verge… il avait trouvé amusant de la sentir aussi serrée alors qu'elle était aussi nymphomane… peut être était-ce juste une manière pour elle de l'encourager, en tout cas, il était ravi de pouvoir observer le visage de la jeune femme qui était complètement sous l'emprise du plaisir…

Sentant la manière qu'elle avait de lécher et  sucer les doigts, il se dit qu'il pouvait très bien se taper sa gorge, non ? IL hésitait, et finalement, se juchant à califourchon sur les mollets de la jeune femme, il prit son courage à emux mains (mais pas que son courage) et commença à faire entrer dans la bouche de la jeune femme sa verge et, initiant des mouvements, vint lui saisir l'arrière de la tête et les cheveux pour la lui maintenir, voir même la redresser.

« Putain, vas-y, suce lèche et profite alors qu'elle sort de ton cul de déesse ! »

Il commença à donner des coups de rein, des coups de bassin assez solides , assez brutaux, sans la moindre hésitation. IL regarda la jeune femme alors qu'il sentait ses bourses claquer sur son menton. Il était béat. Putain ce que ça faisait du bien…. Parfois, il se contentait de se stopper en la bloquant en gorge profonde quelques secondes avant de reprendre sans la moindre tendresse.

Il lui mettait aussi des claques sur les cuisses de son autre main de temps à autres… comme si il cravachait sa monture, et il continuerait ainsi jusqu'à lui inonder la cavité buccale sans la moindre vergogne, sauf si bien sur, il y avait un imprévu...

225
Dortoirs et douches / Re : corriger les pirates[Pv]
« le: samedi 06 septembre 2014, 13:36:02 »
Les paroles de la jeune femme ne lui firent pas avoir une larmichette de compassion. Pourquoi ? Parce qu'il n'avait pas, d'abord, de compassion pour les pleurnichards, et ensuite, parce que la jeune femme n'était qu'une geekette qui croyait tenir le monde entre ses mains sur son PC mais qui n'était rien hors de cela… des mois de travail ? Ben tiens, voilà qui était amusant… quant au reste, aucun intérêt :  Gabriel n'avait rien à foutre de son futur. Pourquoi aurait-il du se sentir concerné par cela ? Ce n'était que des élucubrations de gamine… si elle voulait faire tout ça, elle avait qu'à faire comme tout le monde :  finir son lycée et faire des études d'informatique…

« Oh oui, c'est digne d'un vrai génie, oublier son disque de sauvegarde…. »

Il n'en rajouta pas et se contenta de regarder la jeune femme amusé, qu'elle soit dans cet état pour si peu. Oui, ça le faisait bien rire sous cape… des années à travailler sur des logiciels et à apprendre à programmer, ben voyons et pourquoi pas savoir déjà utiliser un PC depuis le bidon de maman ? Non mais ce qu'il ne fallait pas entendre. Elle n'était encore qu'une chiarde. Donc bon, comprenez, ça réduit de beaucoup votre crédibilité… enfin bref.

Mais bon, tout cela n'était pas aussi risible que ses larmes pour ça… fallait qu'elle arrête, l'informatique c'était qu'une sonnerie, et on ne chiale pas pour des conneries ! Même si ces conneries avaient coûté des efforts particulièrement inutiles ! IL regarda la jeune femme et il haussa les épaules avant de répliquer sur un ton quelque peu abrupt.

« Ouais, bah c'est bon, c'est que de l'informatique, c'est qu'une merde comme une autre…. Et si t'es pas contente d'avoir tout perdu, tu fais plus attention, et basta ! »

Oui, il en rajoutait une couche, mais ce n'était pas non plus la mort. Il trouvait sa situation amusante, après tout, elle avait foiré de son côté car elle n'avait pas géré la sauvegarde, elle s'était contentée de regarder le truc merder sans agir intelligemment…. Tout simplement et parce que même sans disque de sauvegarde, il y avait bien des possibilités…

« La ferme, pisseuse. C'est pas ton travail qui disparaît comme ça, ton travail, ce sont tes cours, et à ma connaissance t'as pas besoin du PC pour prendre en note tes cours. Donc c'est pas du travail, c'st de la détente, et donc du masochisme. Tu rajoutes à ça le fait que tu as merdé dans ton organisation, et la seule chose que tu peux donc déduire, c'est que tu as raté six mois de ta vie... »

IL haussa les épaules et se cala contre la porte.

« Je crois que tu ferais bien de te sortir de l'informatique et t'intéresser à des choses plus « normales », non ?

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