Les contrées du Chaos / Re : Barbare mécanique
« le: jeudi 10 juin 2010, 23:52:55 »Kannan continuait ses voyages quoi qu'il puisse lui arriver, et elle en avait vu pas mal depuis son départ. La seule chose qu'elle n'avait pas croisée était tout de mêmes d'éventuelles personnes voulant la ramener à son maître originel. Avait-il trouvé une nouvelle esclave ou non ? La jeune Furry l'ignorait, et continuait de marcher. Cependant, elle finit par arriver dans des montagnes, qui s au premier abord lui donnait l'impression d'être accueillante et jolies à traverser, la jeune femme ne tarderait pas à s'en mordre les doigts.
En effet, lorsque la première nuit tomba, out naturellement, la chienne décida de s'arrêter pour se reposer, et s'installa sous un arbre. Quelle fut donc sa surprise, quand au matin, elle se retrouva couchée comme un sac de pomme de terre sur le dos d'un cheval. Elle se trouvait derrière une jeune femme complètement mais nue, mais pas dénuée de protections, comme des armures et diverses armes. Celle ci eut alors beau vouloir discuter, la demoiselle ne lui répondait jamais. Cependant, s'apercevant de son réveil, la femme la fit descendre de cheval, et marcher derrière. Ce dont Kannan était obligée de faire, si elle ne voulait pas se faire trainer purement et simplement, puisque ses mains liées étaient reliées à une corde dont l'autre extrémité était entourée autour du pommeau de la selle, si encore elle ne montait pas sans.
C'est alors qu'un petit groupe d'hommes sauvage fit son apparition, et le groupe de femme décida de lui donner la chasse. D'ailleurs, les hommes ne décidèrent même pas de combattre, préférant fuir, même si les chances de réussir à semer des chevaux étaient minimes. La Furry dut donc accélérer son rythme de marche pour suivre l'accélération, mais elle fut bientôt à bout de souffle, et avait de plus en plus de mal à mettre un pied devant l'autre. D'ailleurs l'épuisement était elle, qu'elle avait une expression de dépit sur le visage, alors que son regard semblait vide. Comme si elle s'était résolue à son sort, n'ayant de toute façon aucunes armes ou pouvoirs réels pour se défendre.