Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Gabriel Valmy

Pages: 1 ... 95 96 [97]
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Le quartier de la Toussaint / Re : Un duo très spécial [PV : Gabriel Valmy]
« le: lundi 07 novembre 2011, 20:34:45 »
Commissariat, 17H30

« Non mais vous avez vu  l’état de votre dernier témoins ? »

Gabriel haussa les épaules. Il ne comprenait pas pourquoi il se faisait houspiller pour la énième fois par madame la commissaire. Raz le cul de se faire houspiller. Il avait les meilleurs résultats de la PJ ou presque…et on lui reprochait les méthodes qu’il employait…combien de crimes sordides avait-il récupéré car sous les menaces ou autres actes de corruptions ses collègues abandonnaient ? Tous ! Et sur ceux-là, combien en avait-il élucidé ? Heu….tous sauf un….celui où il avait fini par descendre l’accusé de sang-froid, mais ça, chut, officiellement il y avait eu légitime défense…

« J’ai ptetre un problème de témoins…mais au moins on a notre déposition et une promesse de présence pour témoignage au procès. C’est assez accablant pour lui offrir perpèt’ ! Commencez à râler le jour où j’échoue ! D’ici là, prenez ce que je vous offre… »

La femme eut l’air d’hésiter quelques instants avant de rendre sa plaque au lieutenant de police, mais alors qu’il la saisissait.

« Très bien, mais vous devrez subir un suivi psychologique pendant les quelques jours à venir. Je ne veux pas d’un lieutenant instable, et qui sait, vous apprendrez un ou de trucs qui s’appellent la psychologie criminelle et le doigté…ça vous sera utile… Bon, sur ce, à demain, j’ai mes gosses à aller chercher ! A demain….et à la moindre incartade, je vous promets que vous finirez à faire la circulation au carrefour le moins fréquenté de la ville ! »

Il opina du chef. Il n’allait pas se plaindre, elle aurait pu le forcer à se taper la tournée des écoles primaires pour la prévention routière et la sécurité. Mais la raison pour laquelle elle ne l’avait pas menacé de cela, c’était parce que c’aurait été absolument et complètement irresponsable de sa part.

Le lendemain. Gabriel ronflait sagement dans son bureau. Commencer le taf à 8h00 était inhumain, du coup il dormait dans son bureau jusqu’à dix heures et demi. La boss tolérait ça car c’était le seul moment de la journée où il était à peu près sage. Il fut vite réveillé par le téléphone. D’un coup de pied il fit décoller l’objet de télécommunication de sa base à sa main.

« Gabriel, il est là. »

Il raccrocha brutalement et se dirigea vers l’une des salles de conférence. Mais avant, il devait récupérer un document. Il ouvrit la porte d’un bureau, sans même frapper, grossier comme il l’était.

« Je vais vous présenter au policier qui dirige cette enquête. Il ne devrait pas tarder à arriver. Tiens, le voilà... »

Il s’arrêta…et merde…il pouvait pas tenter de faire le mur…il était pris au piège…

« Oui, me voila, et pas de gaité de cœur, enfin bon, ça je pense qu’on peut clairement le comprendre. Lieutenant Gabriel Valmy, police judiciaire de Seikusu. Bravo, vous avez rencontré le spécialiste des affaires résolues par des méthodes non conseillés par l’éthique ! Vous êtes devant le number one de la mise à pied ! Le premier fracasseur de voitures de service !  Alors, quel effet cela fait ? »

D’un simple regard, glacial, à l’encontre du subalterne, celui-ci se carapata sans demander son reste, les laissant seuls dans le couloir

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« Qua... Quatre heures ??!!! »

Et oui, quatre heures ! Vive le magnifique système judiciaire ! Elle en avait de la chance, elle allait passer quatre heures à poireauter sur place comme une petite idiote, et sous sa surveillance, il s’assurerait qu’elle n’aille nulle part. Ou alors, il pouvait aussi s’amuser un peu, en la menottant à un panneau e signalisation, et en la laissant là, seule, pendant le temps qu’il la retiendrait.

« S'il vous plait ! Je ne peux pas rester aussi longtemps avec vous... j'ai beaucoup de choses à faire, et, ma famille m'attend... »

Il sourit jusqu’aux oreilles. Non sans blague, on l’attendait  Quel dommage ? C’était la procédure, et puis c’est tout. Il lui prit la main et passa à son poignet une menotte, passant l’autre à son propre poignet. Voilà, ainsi, elle ne se sauverait pas. Il la força à s’installer à côté de lui dans sa propre voiture et la fit reculer dans l’impasse jusqu’au fond.  Toujours en l’obligeant à le suivre, il fit aussi reculer celle de la jeune femme pour éviter de  gêner la circulation, la plaça côté à côte avec la sienne.

« Et bien, l’ennui, c’est qu’il ne me plait pas d’agir ainsi ! »

C’était presque en souriant et en chantonnant qu’il avait dit ça. Comme si il en était euphorique.

« Disons juste qu’être parmi la piétaille me met les nerfs d’avance ! Alors on va patienter dans l’une des deux voitures, ou dehors, au choix… »

Ce faisant, il détacha les menottes. Bon, il avait fait ça pour le principe, mais pas la peine d’en rajouter. C’était inutile. Très inutile, trop inutile. Aussi les rangea-t-il et récupéra-t-il les clés des deux voitures, puis il sortit et prit une cigarette qu’il alluma avant de commencer à fumer.

« Si vous voulez fumer une clope, vous pouvez en demander, je vous en passerai une, pareille, passez-moi une bière, dans le vide poche conducteur et passager de ma bagnole, et prenez en une si vous voulez ! C’est pas de l’ambrée mais ça sera pas trop mal. »

Il sourit avant d’ajouter, amusé.

« Après, je dirai bien que si vous êtes sage on pourra négocier un départ plus tôt, mais n’espérez pas passer peu de temps ici. »

« Voiture 37 shrrrrrrrrrr vous n’êtes toujours pas intervenu…shrrrrrrr….Gabriel tu fous quoi nom de dieu ? »

Agacé par la radio, il saisit le cordon pour atteindre son transmetteur et dit laconiquement, mais en s’amusant très certainement.

« Ici voiture n°37, immobilisé par un accident de la circulation, sans gravité mais voiture hors service, impossible d’intervenir, terminé ! »

« Shrrrrrrrrr…et c’est qui qui fait chier ? shrrrrrr. »

Le jeune homme sourit et balança le transmetteur dans la voiture. Pour une fois, ce n'était lui...

« Bon, à nous maintenant ! J’ai besoin de vos papiers pour remplir le procès verbal ! »

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Le quartier de la Toussaint / Re : Flagrant délit ! ( PV Gabriel Valmy )
« le: samedi 22 octobre 2011, 17:09:19 »
« Je n'ai pas dit Méthodes conventionnelles Monsieur Brute. J'ai juste dit dans un commissariat. Tu ne sais rien des méthodes que j'emploie...Non, j'enquêtes pas là-dessus. Pas officiellement. J'ai juste lu un rapport hier et je passais pas là aujourd'hui alors je me suis dit qu'j'allais en profiter pour voir... Mais à voir tes méthodes Monsieur Brute, je crois que je vais demander à être sur cette enquête également, pour m'assurer que témoins et suspects restent en vie jusqu'au procès. En vie et en bon état ! »

Bon, elle n’enquêtait pas la dessus ! Et bien problème résolu !  Il n’avait pas besoin de plus !  Si elle ne travaillait pas sur l’enquête, il pouvait la virer de la comme une malpropre si il le désirait !  Pas de souci en somme ! Au pire, il avait le bon moyen de l’empêcher d’agir. Elle ne connaissait peut-être donc pas le principe d’obstruction à agent dans l’exercice de ses fonctions ? Oui, malgré ses actes peu orthodoxes, disons qu’il restait dans l’exercice de ses fonctions.

« Mais c'est pas possible ! Si t'as bien été à l'école, Monsieur Brute, tu devrais savoir qu'on entre pas dans une propriété privée sans mandat. Même si on croit avoir raison ! Cela s'appelle de la Violation de domicile ! Lâches cette barre de fer immédiatement ou je...En plus t'as même pas de gants et d'appareil photo pour les preuves éventuelles ! »

Il sourit tout en dent avant de répondre du tac au tac :

« Ou tu quoi ? Vas y, répond, miss fliquette parfaite !  Tu vas faire quoi ? Tu vas faire un rapport : « bouh le vilain monsieur il faut comme je lui dit de faire !  Non mais laisse moir rigoler !  Eux ne s’embarrassent pas règles, et moi je n’ai auncune raison de ne pas faire comme eux ! C’est pas ta baraque après que ces gens viennent fouiller de fond en comble. Ce n’est pas à toi qu’on envoie des menaces suite à l’arrestation d’untel ou untel !  Mon dernier coéquipier s’est suicidé à cause de ça !  Et tu veux que je fasse ça dans les règles, arrête de te foutre de moi ! Si ils ne jouent pas franc-jeu , je n’ai pas être réglo ! Même le juge sera sans doute corrompu dans cette histoire, alors s’il te plait, commence pas à me faire chier et dégage ! Tu parles de méthodes spéciales mais la vérité c'est que, comme les interrogatoires sont filmés, tu ois pas vraiment sortir des gonds, à moins que....oh si bien sur ! pourquoi n'y ai-je pas pensé plus tôt ! Tu  y vas vraiment contrairement aux règles ! Tu leur offre une clope !  Oh lala, c'est vraiment osé dis donc ! »

Il n’avait pas haussé la voix, une froide vérité, voila tout ce qu’il avait énoncé ! Seule la fin était très ironiques, et cela se sentait dans sa voix. Puis, sans ménagement aucun il la poussa sur le côté avant d’ajouter :

« T’as un téléphone, non ? Donc on a l’appareil photo ! Et pour les gants, j’utiliserai des mouchoirs en papier ! Alors écoute moi bien, soit tu m’aides et on fait en sorte que tout se passe bien, soit tu te tires !  Tu continues à te mettre sur mon chemin et je te coffres pour obstruction à agent, contrairement à toi, j’ai le droit de venir ici et d’intervenir comme flic. Ce n’est pas ton enquête, c’est la mienne actuellement ! »

Il porta sa main sous son manteau et en tira son Berretta, avant de le pointer vers le visage de la jeune femme, comme il n’avait  pas touché à ça, elle pouvait voir qu’il y avait le cran de sécurité, c’était juste qu’il n’avait pas encore jugé bon de l’enlever.

« Ah oui, j’ai ça aussi, alors amuse toi bien à faire ton choix !  Tu peux avoir le loisir aussi de faire un zoli rapport, je serai suspendu et après ? Je finirai par reprendre du service et tu auras rien changé ! »

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Le quartier de la Toussaint / Re : Flagrant délit ! ( PV Gabriel Valmy )
« le: vendredi 21 octobre 2011, 11:34:03 »
Il la laissa examiner le corps du dealer, tout sourire, non pas qu’il soit fier de ses coups, non, mais disons qu’il était ravi d’avoir rencontré une minette pareille, une vraie bombe. D’un seul coup , il en oubliait presque le dealer.

« Vous êtes une brute monsieur. On interroge les suspect en salle d'interrogatoire, mais pas dans un quartier mal famé à coup d'pieds dans le corps. »

Oh, tiens, une autre petite fliquette, cot cot cot codette ! Une jolie poulette !  Et rien qu’à son sourire, on pouvait voir qu’au final, il se foutaut complètement de ce qu’elle disait !  En même temps qui l’en blâmerait ? Il y avait trop de disctration dans le coin sans doute…c’était humain, et plus particulièrement masculin…

« Moi je pourrais aussi vous arrêter, mais pour brutalité policière... D'ailleurs c'est ce que je vais faire après avoir prévenu les secours ! »

 Il ne fuit pas mais  sortit les clés de sa bécane, il allait partir puisqu’elle le prenait comme ça ! Non mais bon, il n’avait pas quitté son vieux pour se faire engueuler par une fille qui en avait plus dans les poumons que dans le cerveau ! Et puis par-dessus le marché, voila quy’elle voulait vraiment l’arrêter ? Non mais ho faut pas déconner !  Quelques coups de plus et il aurait balancé sa propre mère ! On pouvait parler de ses méthodes, elles étaient, certes un peu extrêmes, mais tout de même !  Elles marchaient au moins.

« Bon, on passe les préliminaires ? Non parce je l’ai appris aussi à l’école ton ptit topo, poulette. Et après ?? Tu vas interroger le mec avec méthodes conventionnelles ? ça marchera pas, vu ce que je lui ai mis dans la tronche, il aurait vendu père et mère si ils étaient impliqué ! Regarde en moins de deux minutes je t’ai fait gagner ta journée, il ne sait absolument rien ! »

Il soupira et alla prendre une barre métallique non loin de là, et il se dirigea vers l’entrepôt.

« Appelle qui tu veux, même la police des polices si tu veux, ou les rg ou n’importe qui mais laisse moi tr prouver par A+B que cette enquête, je la mène de manière plus efficace que toi….Hé mais attends ! Rassure moi, t’enquêtes pas toi aussi sur la série de meurtre au moins ? »

Il y avait un papier l’avant-veille concernant un hypothétique coéquipier pour cette enquête, su rson bureau. Il avait lu l’objet de la lettre, et avait brulé le papier de suite après pour continuer à bosser seul.

« Oh et puis merde ! »

Utilisant la barre métallique comme un pied de biche, il commença à fracturer la porte de l’entrepôt.

« On parie que toutes les réponses se trouvent là-dedans ? »



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Le quartier de la Toussaint / Re : Flagrant délit ! ( PV Gabriel Valmy )
« le: vendredi 21 octobre 2011, 09:45:31 »
Gabriel écrasa son mégot dans le cendrier avant de le jeter dans le bac à fleur du voisin, avec les autres. Il n’allait pas encombrer sa poubelle pour ça !  Il prit une autre clope, mais sans l’allumer cette fois, et il se dirigea vers la sortie de son appart, il mit son trench-coat, attacha les lanières sur ses bras et descendit au parking pour prendre sa harley. Il était de service, et d’ailleurs, son Beretta se trouvait dans son holster à sa droite, et son taser était à sa gauche. Il démarra et partit sur les lieux de l’enquête, sans casque bien évidemment, sinon ça n’était pas drôle, on ne sentait pas le vent, rien.

Le jeune homme ouvrit son garage, enfourcha sa moto, et partit sur les routes afin de faire ce putain de travail qui vaut pas une bringue à cause de ce salaire de misère. Bon, en même temps, s’il n’avait pas eu à défoncer trois bagnoles en moins d’un an, il n’en serait pas là !  Mais il n’allait pas laisser un salopard s’en tirer comme ça !  Et à chaque fois il avait rattrapé sa cible !  Donc bon, la bagnole c‘était juste un dégât collatéral nécessaire.

Il s’arrêta dans le quartier de la toussaint et sortit un plan des lieux avec une série de petites croix toutes reliées entre elles par des droites. Il y avait un vieil entrepôt en son centre, mais impossible d’obtenir une commission rrgogatoire pour le moment ! Il lui fallait donc attendre et voir, wait and see.

Seulement, notre jeune homme n’était pas du genre patient, alors juste faire une planque, bonjour l’horreur. Non, il restait là et il interviendrait au premier dealer  qu’il croiserait et l’interrogerait en toute discrétion, à sa manière. Au  moins il avait des réponses. Même si les méthodes déplaisaient fortement à ses supérieurs, ça avait le mérite d’être efficace.

Enfin, une personne un peu trop basanée aux gouts de notre franco-japonais se présenta à l’entrée de l’entrepot, comme si il avait quelque chose à cacher… trop louche pour le flair infaillible du jeune flic. Alors celui-ci intervint. Après quasiment une journée complète d’attente, il pouvait se le permettre !

« Wesh man, tu fais quoi dans c’bled ? »

« J’ai cru comprendre que je pouvais avoir de la bonne….. »

« Ah j’vois, viens, tu a de quoi payer au moins ? »

Gabriel lui mit de l’argent dans la main. Et celui-ci fouilla sa veste pour sortir un petit paquet de poudre blanche et se retrouver avec un revolver sous le nez. Méthode peut conventionnelle, certes, mais le mec en eu tellement les jetons qu’il en urina dans son froc. Gabriel rit en rangeant son arme avant de prendre sa plaque et de lui  l’écraser dans le visage.

« Bon, maintenant que tu as vu ça, on va jouer autrement. J’ai pas beaucoup de temps à perdre alors qui t’emploie ? »

Il frappa à nouveau. L’homme gémit à nouveau avant de lui dire d’un ton plaintif :

« Je peux pas vous le dire…sinon on me le fera amèrement regretter ! »

Un nouveau coup, mais de  pied avant qu’il ne se retrouve à terre, et il commença à lui donner  de grands coups de pied dans les flancs.

« Alors ? Tu vas répondre oui ? Je n’arrêterai qu’une fois que j’aurai ce que je veux. »

Il continuait de gémir de douleur sous les coups furieux de Gabriel

« Mais arrêtez-vous ! Vous êtes fou ! Lâchez cet homme monsieur ! »

Il mit un petit moment à se retourner vers la jeune femme. Wouaouw, sexy la miss, un magnifique petit lot, bref, tip top. Il se reconcentra sur le dealer et l’assomma d’un coup de pied à la tempe parfaitement dosé.

« Voila, j’ai fini ! – Il sortit sa plaque- Il comptait bien lui faire le coup classique de flic.-je suis tout à vous maintenant pour placer en garde à vue pour  excès de beauté sur la voie publique, mais je suis généreux, on règle l’amend autour d’un verre ! Je suis désolé que vous arriviez à ce moment précis…cet homme et moi devisions de l’excès de drogue et sur sa vente illégale… »

Le pauvre homme était en mauvais état, trop pour faire le moindre commentaire. Il ne restait plus qu’à le menotter et à l’emmener ailleurs pour continuer.


1446
Le temps gris et maussade qu’offrait le ciel en cette après-midi de la fin de l’automne, il fallait reconnaitre que la température était vaguement fraiche, c’était presque trop chaud pour l’époque…enfin, qui allait s’en plaindre… C’était la fin de journée, il devait être dix-huit heure, dix-huit heure trente, enfin, il supposait vu la circulation…la voiture de fonction qu’on lui avait prêté avait tendance à merder dès qu’il s’agissait d’être utile, que ce soit la clim en été, la chaufferie en hiver, et l’horloge. La municipalité n’ayant pas vu l’intérêt de faire les réparations sous prétexte que ces dégâts mineurs n’empêchaient en rien le fonctionnement du véhicule dans le cadre de sa mission… bandes de crétins pompeux avares du moindre centime…

Il attendait ainsi la fin du service, dehors, appuyé contre la voiture, clope dans une main, bière dans l’autre. Fumer et boire pendant le service ??Oui Et alors ? Une petite binouze ne faisait de mal à personne ! Et puis ce n’était pas comme si il en buvait tout le temps !  Là c’était l’heure de la pause qu’il s’autorisait, en plus des pauses obligatoires bien évidemment.

« Voiture n°37 shrrrrrrrrrrrrrr demande d’intervention sur la rue de Yokohama shrrrrrrr deux patés de maison shrrrrrrr intervenez immédiatement ! »

Il soupira et ouvrit la portière. Il dit dans le talky walky :

« Ici voiture 37, j’y vais….faites chier merde !  J’ai même pas fini ma clope….’foirée ! »

Le jeune homme monta en voiture et démarra pour sortir de l’impasse. Les feux étant rouge pour les autres, il avança et s’engagea….il allut que quelqu’un en profite pour passer, enfonçant l’aile droite de son véhicule malgré le fait qu’il ait pilé comme un malad. Enervé, il sortit de la voiture et se dirigea vers la personne l’avant embouti.

« Police, papiers s’il vous plait !  Et merci, grâce à vous on va enfin me changer ce tas de taule ! »

Il présenta sa carte et sortit un alcotest à la jeune femme, très jolie au demeurant.

« Soufflez dans le ballon s’il vous plait. Bon, puisqu’à cause de vous je vais être mis à pied j’ai le droit de vous retenir ainsi ici même sans raison pendant quatre heures maximum….j'espère que vous avez du temps à perdre, car moi j'en ai plein... »

 

1447
Bon, voila, je propose mon perso pour rp (on sans dec, il est culotté le nouveau hein !)

je n'ai pas de trame particulière en tête. Déposez votre candidature ici, et on se contactera par mp...

1448
Prélude / Re : Main sur la tête ! Et que ça saute ! [Valiplanté!]
« le: mardi 18 octobre 2011, 21:34:27 »
merci madame qui a la main verte !

1449
Prélude / Re : Main sur la tête ! Et que ça saute !
« le: mardi 18 octobre 2011, 21:27:55 »
Un truc vient de me frapper, non, non, pas un ennemi, juste le fait que si ça ddérange monsieur crache la foudre, moi je peux changer hein ! J'ai de l'imagination à revendre^^

1450
Prélude / Re : Main sur la tête ! Et que ça saute !
« le: mardi 18 octobre 2011, 21:22:21 »
L'espace a été corrigé, ça c'est quand je me suis endormi sur ma fiche dans le train, et l'avat je croyais l'avoir mis, problème réglé^^


merci à tous pour les rebienvenu^^

1451
Prélude / Main sur la tête ! Et que ça saute ! [Validé]
« le: mardi 18 octobre 2011, 20:50:21 »
Nom/Prenom/Surnom :Gabriel  Valmy dit l'anguille du Yamikarasu

Age : 28 ans

Sexe : masculin

Race : ESPer

Orientation sexuelle: hétérosexuel

Description physique :
Grand et musclé, Gabriel domine régulièrement le japonais classique de par sa haute stature, environ un bon mètre quatre-ving-dix.
 Mais pourtant, quand on le voit, même s’il parait mince, c’est la taille qui donne cet effet, car il n’en reste pas moins très carré au niveau des épaules. Des bras bien dessinés, des mains puissantes et fermes montrant sa pratique régulière de sports de combat, comme  jujitsu par exemple, et doté d’une très grande dextérité dans doigts, montrant son habitude à jouer de la basse.
Des cheveux blonds relativement courts en bataille sur son crâne, des yeux d’un bleu éclatant et perçant, voilà ce qui montres les origines de notre jeune homme, si sa mère était japonaise, son père, lui était français. Un homme sec et froid, désagréable et violent, ayant marqué à vie son fils, notamment sur le dos, où se trouvent des marques de cigarette et autres petites brûlures.
Ses traits lui-même sont assez durs. S’il est beau, il faut reconnaitre qu’on voit au visage qu’il n’est pas habitué à sourire franchement, en témoigne l’absence de sourire qui apparaisse comme vraiment amical. Mais même quand il sourit, ses yeux semblent froid et distants… il n’a juste que trop rarement été habitué à sourire franchement.
Niveau tenue, il reste assez classique et il a raison, jean et t-shirt, sweat-shirt à l’occasion, mais jamais de chemise !  Plutôt crever d’en mettre une !  Alors un costard… mais il aime porter comme manteau un trench-coat usé jusqu’à la moelle, troué même à un ou deux endroits. Pour les chaussures, comptez sur les rangers…
Ah et… pas touche à sa bécane…

Caractère :
Ce qui frappe le plus quand on voit le beau Gabriel agir, c’est la facilité à laquelle il  arrive à jouer le parfait connard. Il semble que la vie l’ait assez marquée pour qu’il ait droit de marquer la vie des autres. Il en a bavé et estime en cela qu’il a un du à percevoir, du que les autres doivent le laisser récupérer, quel que ce du soit !Ripailleur et bon vivant il aime l’alcool et les femmes, même si le sexisme est souve ntau gout du jour. C’est un vrai macho !
Pas complètement satisfait de son travail, ne le faisant que pour gagner sa vie et pour les sensations fortes, il joue les gros bras pour arrondir ses fins de mois assez régulièrement.  Arrogant, violent et impulsif, il semble être parfaitement taillé pour ce rôle, mais en réalité, c’est tout autre.
Comme le dit le proverbe, derrière toute brute, il y a une petite fille qui pleure en frappant de ses petits poings la porte d’un cachot fermé à clef… c’est le cas chez Gabriel, au fond de lui, il est quelqu’un de sensible et compréhensif, quelqu’un qui a toujours cherché un port d’attache, une personne qui puisse lui offrir de l’affection autant qu’il en a besoin, autant qu’il en a lui-même à donner.
Son père a brisé cela en lui, et comme lorsque vous êtes entré dans un déguisement trop petit, vous peinez à l’enlever alors même qu’il ne demande qu’à craquer. Gabriel a tout d’un connard arrogant égoïste violent, sadique et pervers, mais ce n’est qu’une façade, qu’une manière de protéger ce cœur complètement à vif qu’il possède et qu’il chérit.
Il se cache tant de lui-même que des autres, ne voulant pas avoir à faire à son passé, ne voulant avoir à faire qu’au présent, et pourtant, il se raccroche au passé au fond de lui, car il n’a connu que cela, il se hait pour s’y être raccroché, il se gait d’aimer son père malgré tout, il se hait de ne pas avoir su faire mieux que ça pour sa vie…
Mais c’est dur à admettre, alors mieux vaut-il enfermer tout ça et espérer  ne pas avoir piégé l’empire state building de son cœur avec des tonnes de plastique… Il faut juste garder hors de portée le détonateur et espérer que personne n’en bricole un !

Histoire :
Gabriel est né dans un quartier mal famé, un quartier comme celui de la Toussaint, le genre qu’il ne fait pas bon habiter, mais pire cde cela, le père de notre jeune homme n’eut pas le temps d’aller jusqu’à la clinique. D’après son oncle, ce fut simple, il fut sorti du ventre de sa mère sur la banquette arrière de la voiture par son père et après cela au moment de couper le cordon ombilical avec l’opinel, elle eut un soubresaut, se mit à fumer et puis plus rien, le cordon fut sectionné et si la vie de Gabriel avait été sauvée, sa mère en avait fait les frais.
Grâce à l’insistance de l’oncle Ryuto, ou à cause de lui, l’enfant serait élevé par son père, mais à quel prix… en effet, il n’eut jamais droit à une famille aimante. Non il n’eut droit qu’à son alcoolique de père, et pire encore, à une seconde alcoolique qui vécu un temps avec  eux.
Gabriel eut toujours le choix dans sa vie, un choix entre survivre ou mourir à la naissance, un choix entre clé à molette ou ceinture ue fois plus grand. Vous ne connaissez pas cette scène sans doute. Vous êtes à la maison, il est tard le soir et vous ne redoutez qu’une seule chose : que votre père rentre du travail, ou plutôt du bar, empestant le vomi et l’alcool, mais vous entendez la clé tournée dans la serrure. Vous entendez des pas dans le couloir, surement papa qui vient  vous dire bonne nuit. Ses pas dans l’escalier qui montent, lentement mais surement, vous le sentez flancher à mi parcours, pester, et continuer à monter jusqu’à ce que la porte de votre chambre s’ouvre. Il est bourré et vous regarde, se dirigeant vers vous sans la moindre ambiguïté et d’une main ferme vous attrape les oignets, le serrant jusqu’à vous faire gémir de peur.
Vous sentez ruisseler le long de vos cuisse la preuve ultime que vous avez peur, que vous perdez le contrôle de votre corps tant vous avez peur de ce qu’il s’apprête à faire, tant vous avez peur de ce qu’il est en train de se passer… tout se passera comme d’habitude, mais quand vous avez à peine une dizaine d’année, ça vous effraie toujours autant.
Vous vous débattez autant que vous le pouvez, alors vous sentez son poing heurter vitre visage, votre oeil. Vous avez mal et vous pleurez, mais ça ne l’arrête pas, non pas du tout. Finalement il vous relâche mais ce n’est que pour défaire sa ceinture et sortir son outil de travail, sa clé à molette.
Comme un rituel, il pose les deux outils au pied de votre lit. Vous devez en descendre pour choisir, sinon, il frappera avec les deux. Alors vous descendez  de votre couchette pour vous pencher en tremblant de peur. Vous ne savez pas choisir, il vous presse, vous menace. Vous hésitez. Et finalement, pour le provoquer, mince courage dans cette situation, vous montrez la clé à molette du doigt, vous la ramassez et vous la lui tendez. Vous savez qu’il aura plus vite mal au bras, d’autant que sa clavicule est fragile. Il sait que vous savez, alors il frappe plus fort, comme pour vous punir.
Plusieurs fois, vous espérez être mort, mais comme d’habitude, vous en sortez avec des ecchymoses, nombreuses, et des brisures parfois, mais vous avez peur, car cela recommencera demain…

Cela vous étonnerait de savoir qu’il hait son père pour cette raison ? Et croyez-le ou non, Gabriel rendait au père Valmy chaque coup de clé à molette, chaque instant de violence qu’il avait subi au travers de son comportement. D’abord fumer, piquant les clopes de son père en douce pour qu’il en ait moins, puis boire, piquant l’alcool de son père pour qu’il en était moins. Il se constitua vite une bande d’amis d’école avec qui il commença faire les quatre cent coups, d’abord ce n’étaient que des plaisanteries de gamin puis au fur et à mesure que Gabriel grandissait, son père devenant plus violent car Gabriel devenait plus résistant. Et comme pour extérioriser toute cette violence reçue, Gabriel tournait mal. Ce qui étaient simplement les quatre cents coups devinrent progressivement bien plus graves, jusqu’à ce que Gabriel finisse par commettre un premier crime… et quand on entre cette spirale, on ne s’en sort plus jamais vraiment.
Il s’agissait d’un petit magasin, une petite bijouterie de quartier. Ils étaient entrés à quatre, armé de flingues volés et avaient tenté le cambriolage et s’étaient fait gaulés là dedans, une vraie poudrière.  Gabriel fut le seul des quatre à survivre, à aller au-delà de la porte vitrée qui les coinçait dans la bijouterie. Il fut le seul à en réchapper vivant et, à la fois fier de son triomphe et attristé par la mort, il eut l’impression que rien ne pouvait l’atteindre, qu’il était imbattable, invulnérable. Alors il enchaina les casses et les braquages, se constituant autour de lui un fan club qui se retrouva bien vite comme un gang, un gang dont Gabriel faisait partie sans être le chef. Electron libre il n’avait jamais aimé les post trop clé, ne s’estimant lui-même pas assez fin pour les exercer avec efficacité. Le gang fut appelé YamiKarasu.
Il se croyait invulnérable, imbattable, indestructible. Jusqu’à ce qu’il la rencontre :  Tsubahana. Il s’agissait d’une inspectrice de la police japonaise à l’anti-gang, et donc proche de ce qu’il faisait. Ils s’étaient rencontrés par hasard, ils avaient sympathisés et avaient développé des relations très intimes, au point que Gabriel lui parla de tout, depuis le fait que son père l’ait toujours battu jusquà parler du casse de la bijouterie, en passant par le gang.
Elle ne l’arrêta pas, et elle l’aima. Gabriel prétendit toujours par la suite qu’il s’agissait sans doute de la seule personne l’ayant jamais vraiment aimé. Elle resta très longtemps à ses côtés, jusqu’à ce qu’il soit arrêté, pris en flagrant délit. D’un seul coup, comme pour sauver sa propre peau devant les dossiers qui se rouvrait, Tsubahan fut sur son dos, le pire des bulldogs et grace à elle, il n’avait pas même vingt ans que déjà il allait en prison.
Cela resta à jamais gravé dans ses tripes, la trahison, pendant trois ans, il se forgea à nouveau une carapace, refoulant cette femme aux tréfonds de son âme. Elle avait paniqué et l’avait trahie, te Gabriel ne digérait pas, ce qui lui fit avoir de violents accès de rage en prison, au point soit de se blesser lui-même contre des murs, soit carrément de blesser d’autres personnes qui étaient présentes. Ces histoires lui firent  avoir droit à plusieurs reprises à l’isoloir.
A sa sortie de prison, il avait à peine atteint les vingt deux ans. Déjà il devait reconstruire sa vie. Peine perdue. Personne ne l’attendait à la sortie de sa cellule. Pas son père, pas Tsubahana, personne. Premier endroit où il alla : un bar. Il prit une bonne murge pour oublier avant de chercher un lieu d’habitation, une chambre miteuse et pas cher, mais encore fallait-il trouver un job. Chose qui n’était pas aisée. D’ailleurs, il n’arrivait pas à garder un travail, il semblait avoir cette fâcheuse tendance à gueuler quand il fallait se la fermer ! Il replongea dans les gangs, son gang, il avait survécu sans lui et maintenant il le retrouvait, sa seule vraie famille. Enfin, c’était ce qu’il se plaisait à croire.
Mais à nouveau, trahison, les chefs du gang voyaient d’un mauvais œil son retour et encore une fois, il fut trahi. On le passa à tabac, le laissant pour mort.
C’est là que Tsubahana entra à nouveau dans sa vie. Elle le soigna et à) l’aide de quelques amis, elle l’aida pour lui trouver un travail dans la police. Il se montra d’ailleurs très zélé, trop sans doute, dépassant les bornes régulièrement. Il flirtait avec la limite, entrant dans ce rôle qu’il s’était forgé des années durant au point de plonger parfois dans la corruption. Et cela finit par devenir une habitude.
L’ennui, c’était l’absence de personne qui soit à ses côtés pour lui exprimer ses limites, car Tsubahana prenait lentement mais surement de la distance avec le galon et comme pour s’excuser de son odieuse trahison, elle n’empêchait en rien Gabriel  de faire ce qu’il voulait. Et de son côté, Gabriel était là, à chercher les limites qu’il ne pouvait pas franchir, les limites que lui imposerait ave douceur et  fermeté quelqu’un qui lui montrerait par là qu’il ou elle l’aimait assez pour montrer qu’il comptait aux yeux de quelqu’un, vraiment. Il devenait tête brulée, s’enfermant toujours plus sous cette carapace de fer, cette vierge de fer qui enserrait son cœur…


Situation de départ : expérimenté

Autres :
Il maîtrise l’électricité sous toutes ses formes (conduction nerveuse aussi évidemment)

Comment avez vous connu le forum: Doublette

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels bouche à oreille

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