Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Setyhs Inoru

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Prélude / Re : Setyhs, une illusioniste qui ne vend pas que du rêve
« le: dimanche 24 octobre 2021, 20:28:50 »
Après avoir rp un certain temps avec Setyhs et réfléchis longuement sur la meilleure manière de lui apporter de nouvelles choses qui correspondrait mieux à l'image que je me fais d'elle et de ce que j'aime aujourd'hui, j'ai réédité sa fiche en y apportant des changements concernant son physique et sa personnalité, tout comme certains passages de son histoire que j'ai réécris, notamment le tout début. Je demande donc une nouvelle validation pour cette nouvelle édition de ma kitsune. Merci à l'avance.

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Me voilà transformée en édifice peu brûlant, mais idolâtré et portée au septième ciel par un type vraiment insupportable et exécrable en arrogance, mais qui se montre plutôt mieux expérimenté que prévu. Essayant au moins à défendre encore le peu de dignité brisé qu'il me reste, j'essaye donc de ne pas laisser transparaitre la moindre once de petit gémissement, qui flatterait l'égo démesuré de cet espèce de gros porc en manque. Mais même en luttant au maximum de mes moyens, il m'arrive de temps en temps de laisser échapper involontairement, une réaction de mon corps, à chaque fois que je ressens une décharge un peu trop violente. Des fois je resserrais un les cuisses entre deux de ses coups de langues de vipère qui vendrait sa propre famille. Une autre fois, je faisais une légère grimace ou je tremblais. Certes ce type était peut-être pas si mal que ça, mais il mettait vraiment trop la honte. Un naze, avec zéro classe et surtout zéro âge mental, aussi ringard que l'élève le plus con de ce sous-établissement.

Au bout de plusieurs minutes de tortures, à ressentir cette langue chaude qui me caresse la chatte qui malheureusement mouille, le singe acrobatique qui devrait présenter ses prestations dans un cirque perdu dans la cambrousse, me fait redescendre de ses épaules.

- Ouah! Quelles sensations vertigineuses! J'en ai la tête et le coeur qui se renversent, dis donc.

Mais l'insupportable arrogant, qui n'entend décidément jamais complètement fermer sa gueule d'ivrogne bourré en cyprine, me fait une remarque particulièrement humiliante, avant de se me fourrer ma propre culotte dans la bouche, comme une moins que rien. La même que celle que ce con vient de tout juste me retirer et qui vaut plus cher, que toutes ses merdes et sûrement son objet de farces et attrapes qui doit probablement être une arnaque pour les jeunes filles comme moi, tellement je le trouve finalement improbable.

- Mmmmmmpf! Mmmmmmpf!!!

J'allais lui coller une baffe, juste entre ses deux yeux avec sa sale face de rat dégénéré, quand j'entends deux filles qui entrent dans les chiottes d'à côté. Le gros vicelard ne perd pas une seconde pour retirer sa ceinture et m'exposer encore sa grosse bite, qui est censée devoir lui donner une descendance aussi atteint génétiquement que lui. Bref avec des mecs pareils, ce monde ou n'importe quel autre, court à sa perte...

Plaquée contre le mur, le manant des égouts des pissotières d'écoles me force à écarter les jambes, tout en me soulevant légèrement du sol, avant de me commencer à me pénétrer la chatte, avec son engin puant et dégueulasse. Nouvelle décharge électrique d'humiliation qui passe entre mes cuisses, avec mon assaillant vulgaire et transpirant le rebut par tous les ports, qui s'acharne à l'intérieur de mon intimité. C'est avec désolation et fatalisme, que je me prends son horrible machin dans l'étau, qui se détend progressivement. Bonne pour consulter après ça un infectiologue en urgence, ma chatte se contracte de plus en plus, à mesure que mes parois internes cèdent, face au mandarin pourri de cette crapule, violeur de jeune fille et de putes qui n'ont jamais rien demandé de leurs pathétiques existences. Préférant garder momentanément mon "bâillon" tristement improvisé, pour arriver à mieux cacher des gémissements incontrôlés, qui pourraient encore désespérément passer pour de la frustration, il finit par entièrement m'embrocher. Nouvelles sensations de honte et de dégout, il se retire ensuite de mon sexe, avant de revenir s'insérer en moi comme un pervers sans scrupules. Tout en répondant avec des gémissements qui deviennent terriblement embarrassants, à mesure qu'ils deviennent incontrôlables, notre bourreau des culs agresse ensuite ma poitrine, avant de me déchirer les boutons de ma chemise, comme un enfoiré.

- Mmmpf!!!

L'être abominable et pestilentiel, tripote mes seins encore protégés par mon pauvre tissu restant, tout en s'en donnant à coeur joie dans les tréfonds de mes entrailles. Intimité et fierté détruite, j'ai donc le droit de recevoir sa trique, pendant que ses affreuses paluches pressent sans vergogne ma poitrine aux douces excroissances sensibles et pulpeuse. Quelle triste déchéance pour un avoir peut-être droit à un objet qui n'égalera jamais ma valeur...

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Les alentours de la ville / Re : Inconsciente sur une plage ( Pv Setyhs )
« le: dimanche 11 juillet 2021, 21:41:26 »
Un trou noir. Ca devait quand même être sacrément horrible de ne se rappeler de rien comme ça, même momentanément. Pas étonnant qu'elle panique autant. Une idée de lui implanter une illusion basé sur des faux souvenirs avait bien traversé un instant mon esprit brillant, mais je ne savais si c'était la meilleure solution. Ou au moins, peut-être pourrais-je essayer de le faire plus tard, si jamais cette drôle décongelée ne parvient toujours pas à se rappeler quoi que ce soit, d'ici là. En attendant, après être partis dans de belles émotions, je prends mon temps de continuer de l'observer avec attention. Surtout lorsque j'essaie de comprendre cette curieuse histoire de froid, qui semble émaner d'elle. Assise à côté d'elle, sans relâcher sa main, elle arrête de regarder le sol, avant de retourner son attention sur son autre main qu'elle observe un peu, comme si elle se croyait être devenue le nombril du monde. Le vent, la pluie, avec parfois l'orage qui s'invite pour venir nous faire chier, tout ce boucan qui s'entend et qui me répond pour le moment à la place d'une bouche presque muette, continue surtout de regarder sa palme comme vraie une autiste. C'est alors qu'elle sursaute pile au moment où je vois sa main qui s'enferme pour de bon, dans un bloc de glace. Presque autant paniquée que cette fille sortie de ses glaces, elle revient me coller, tout en serrant ma main  au maximum. Aie!

Mais elle fait au même moment, une révélation qui me parait être la logique de l'évidence interstellaire elle-même. Notre curieuse amie, semble avoir des pouvoirs liés à la glace. Un peu comme moi, avec mes illusions, mais quand même à un bien meilleur niveau, au vu de mes talents exceptionnels qui m'ont bercée depuis le berceau, aussi compromettant à t-il été à une époque aujourd'hui lointaine.

- Ah! Ouh c'est froid! Je... Ok! Ok! Encore une fois calme-toi et respire fort! Ma belle accroche-toi à ton string! Je crois que tu as un talent. C'est plutôt rare, surtout par ici, vu les incompétences des personnes, mais je dirais que tu es... spéciale! Au contraire tu devrais plutôt être heureuse et sauter de joie! C'est pas la folie?

Un peu maladroitement, j'essaie avec sincérité de lui faire prendre conscience de la chance qu'elle a, d'avoir un pouvoir magique. Et en plus grâce à ça, elle pourra peut-être arriver à se souvenir plus facilement d'autres choses. Même surprenante dans un sens, Je dirais que c'est plutôt une bonne nouvelle. Surtout que ça écarte donc la théorie d'un bateau douteux, qui aurait éjecté son corps de prostituée devenu inutile, dans les flots. J'attrape ensuite son poignet qui précède sa main congelée, pour l'éloigner au plus vite de moi, tellement c'était froid!

- Ok! Bravo! C'est super! A peine tu sors de l'inconscience, que tu retrouves un truc de folie! Ce n'est peut-être pas grand chose pour restituer ta mémoire limitée, mais si j'étais toi, j'essaierais de me souvenir sur tout ce qui aurait un rapport avec ça, pour commencer.

Tout en regardant rapidement autour de moi, avant de constater que la zone était entièrement déserte suite à ce temps de merde, je lui propose d'essayer d'aller plus loin, tant qu'elle le pouvait encore pour le moment.

- Et si tu essayais autre chose? Je veux dire par là, essayer d'autres trucs stylés? Je ne sais pas moi... Tiens pourquoi essayer de faire une pique de glace? Ou une boule de glace géante? Un gode bien froid, qui pourra te servir pour plus tard? Peut-être que ça pourrait t'aider à te souvenir d'un truc?

Prenant le risque de relâcher sa main, je regarde la fille avec toujours la même attention, tout en espérant qu'elle trouve un intérêt à essayer de tester ses pouvoirs de glace, avant que les secours n'arrivent. A moins qu'elle ne soit sans doute encore trop faible, que pour arriver à en faire plus? Dans tous les cas, je la trouvais de plus en plus intéressante. Surtout qu'elle devait de plus en plus m'admirer, maintenant qu'elle avait l'esprit au moins suffisamment clair, que pour me reconnaitre en tant que sa grande sauveuse! On peut dire qu'elle a vraiment une sacrée chance, de m'avoir rencontrée!

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Le demeuré semble encore rire, avant de venir presque écraser sa masse infâme contre moi. Mais plutôt que d'y aller directement et proprement comme je le lui demande, voilà que monsieur essaie de se la jouer en improvisé, sur les cordes d'une chanson de romance pathétique. Il attrape l'une de mes mains pour la mettre dans la sienne, comme si nous étions des amoureux. Voulant se montrer "rassurant", il se met à embrasser ma joue.

- Ah? Il y a de la romance entre nous maintenant? Ces choses là ne sont-elles pas un peu trop hors de portée, pour un barbare puant et sans cervelle comme toi?

Tout en me laissant faire, je le regarde un peu étonnée. Lorsqu'il continue de me parler d'une voix suave qui est prête à me faire fondre sur place, dans cet endroit romantique par où sortent les magnifiques déjections de tous ces sous-crétins, il poursuit ses attentions dans mon cou. Son autre main glisse de mes hanches vers ma jupe, pour venir frôler mes cuisses. Peu convaincue, notre clochard, héros d'un monde parallèle dans lequel je dois probablement être sa dulcinée, me lèche la gorge. Berk! Mais avec ça, arrive un compliment où je ne peux que me reconnaitre à plus de cent pourcent. Sauf que venant de sa part, ça ne me touchait pas vraiment.

- Evidemment que je suis belle, espèce de crétin ignorant! Je le sais depuis le tout premier jour de ma naissance. Et ce ne sont pas tes attentions anecdotiques et sans saveurs, qui vont bouleverser mon coeur un peu trop noble pour toi...

Notre grand romantique à ses heures perdues, vient attraper mes fesses bien trop belles pour lui, avant de m'écarter la culotte, pour commencer à me caresser la chatte. Commençant à manifester de l'impatience à voir ce calvaire qui risque de vraiment s'éterniser, Grayle, le tombeur de toutes les dames, insiste pour s'occuper de moi dans sa version B de son système revisité. Je laisse donc mon prince charmant en manque d'affection, on ne se demande pas pourquoi, me tripoter la chatte. Je ressens rapidement ses doigts qui essaient désespérément de m'exciter. Mon corps finit quand même par réagir un semblant, surtout lorsqu'il commence à jouer avec mon clitoris. Mais la romance commence évidemment à déjà perdre en intensité, lorsqu'il me fait ressentir encore une fois sa grosse bosse dégoutante, en me collant la main dessus.

- Quelle surprise mon chéri. Je n'avais pas encore compris que tu bandais comme un âne, depuis tout à l'heure. Continue et on pourra en faire sûrement un film d'amour, s'il ne se transforme pas en horreur avant...

Encore plus dans le ton de la moquerie qu'autre chose, je laisse faire le primate transformé en séducteur bon marché, continuer son incroyable route de l'exploration. Bien sûr, je ne participe absolument pas à son délire. Tout juste je le tolère déjà, alors il ne faut pas m'en demander plus. Et après plusieurs minutes de caresses et d'échanges passionnés, qui vont certainement me bouleverser pour le restant de mes jours, mon grand tombeur s'arrête. Lorsqu'il lâche ma main, il me soulève du sol, ce qui me laisse surprise un instant. Au moins jusqu'à ce que je comprenne ce qu'il projette de faire, en guise de suite tant attendue entre nous.

- C'est ça. Regarde de plus près, ce que tu n'as jamais vu de toute ta vie. Profite, pendant que tu le peux encore.

Découragée de le voir s'acharner à essayer de se perdre dans des attentions futiles, je ressens rapidement sa langue qui vient me lécher le minou. Très vite, on passe ensuite aux baisers et aux chatouilles, avant que le puceau vienne me dévorer en profondeur. Ce n'était pas sensationnel pour quelqu'un comme moi, mais il avait au moins le mérite d'arriver à faire microscopiquement réagir mon corps. Le mec avait une certaine force et une bonne adresse. Mais j'espérais surtout que tout ça n'allait pas encore durer trop longtemps...

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Lorsque j'essaie d'avoir un peu plus d'informations sur cette repêchée sortit de son tombeau de glace, elle met sa tête dans ses mains. Croyant d'abord lui avoir peut-être dis quelque chose qui aurait pu la blesser, j'allais continuer de lui apporter mon soutient, en lui rappelant que j'ai quand même été là pour la sauver, quand elle s'embrouille. Comme je m'y attendais un peu, elle semble vraiment déboussolée. Mais pas de panique. Je suis sûr que c'est seulement parce qu'elle est en état de choc.

- Hé! Détends-toi! Tu es revenue d'entre les morts, tu sais? Enfin tu as du traverser une épreuve assez éprouvante, pour venir t'échouer ici, ce qui t'a secouée un peu. Je suis sûre que ça ira mieux après.

J'avais déjà vu ces trucs là dans les films. Tous ces idiots jamais assez bons pour s'en sortir par eux-mêmes, qui ne trouvent rien de mieux à faire qu'à perdre conscience, pour qu'on vienne ensuite les secourir. Pendant qu'ils viennent te casser les couilles à leurs réveils, tout ça parce qu'ils ont du mal à se reconnecter à la réalité et que toi tu n'as jamais rien demandé, tu comprends qu'ils ont momentanément perdus la mémoire. Bon... Elle c'était encore un cas à part. Et puis j'ai quand même risqué ma vie pour venir l'aider!

J'allais ensuite lui prendre la main pour essayer de la consoler, quand elle se met à éternuer. Et là, je ne sais pas ce qui se passe, mais elle ne bouge plus pendant un instant... Jusqu'à ce qu'un autre orage bien dégueulasse, nous claque juste au-dessus de la gueule. Puis pile au moment où je sursaute, quelque chose de vraiment froid m'attrape la main. Un frisson me parcourt le bras entier, lorsque je vois ensuite la main de la décongelée dans la mienne. Cette curieuse sensation de froid s'amplifie encore, lorsqu'elle vient me coller. J'allais la repousser tellement je trouvais la sensation vraiment glauque, pour quelqu'un qui n'était pas sensé n'être qu'un cadavre réanimé, quand elle se met à pleurer... Ca aurait put n'être que la pluie, mais sa voix devenait encore plus tremblotante qu'avant. Elle semblait, secouée de spasmes. Tout ça parce qu'elle disait ne pas comprendre... Elle ne ne semblait plus rien savoir. C'était comme si elle n'était devenue plus qu'un corps, vidée de toutes pensées liée à son passé...

- Ok calme-toi. T'es juste en état de choc, à cause de ce que t'as traversé. Tu as juste perdu un peu de ta mémoire primitive, mais ça va revenir. Oui ça va revenir! Ca va revenir parce que je le sais! Et parce que je suis là!

Sans attendre, comme emportée dans mon élan, je prends la fille dans mes bras. Je lui caresse doucement le dos, tout en commençant à la bercer. Ca me faisait bizarre d'être aux petits soins comme ça, pour quelqu'un. D'habitude c'est plutôt l'inverse, mais ce n'était pas désagréable. Seul le contact direct avec elle, était vraiment étrange. Comment pouvait-elle être aussi froide?...

- C'est pas grave. Je suis sûre que tu pourras me donner ton nom et même te rappeler de tout, après avoir fait un petit saut à l'hosto du coin. En attendant, on reste ensemble et on attend. Est-ce que tu veux quelque chose? Tu veux parler? Si tu as le moindre souvenir qui te revient, même si c'est celui de ton troisième chien que tu as perdu l'année dernière, parce qu'il n'en pouvait plus de t'avoir comme maîtresse, tu peux m'en parler. Exceptionnellement, je suis prête à écouter les pires conneries possibles de quelqu'un aujourd'hui. Et ce quelqu'un, c'est toi!

Lorsque je pense qu'elle s'est calmée un peu, je m'écarte doucement, mais sans la relâcher entièrement. Je ne savais pas pourquoi, mais je commençais soudainement  à me sentir plus triste que joyeuse. Mais j'étais décidée à la soutenir. Au moins jusqu'à ce que ces foutus secours arrivent. En attendant, je ne comprenais toujours pas comment ça se fait qu'elle était dans un tel état de froideur...

- Hormis te rappeler de quelque chose, est-ce que tu saurais me dire pourquoi tu parais être si... froide? En plus, il y avait de la glace autour de toi. Pour quelqu'un de soi disant vivant, ça craint quand même un peu, non? Enfin non, je plaisante bien sûr!

J'avais beau être intellectuellement géniale, mon incapacité à pouvoir faire le lien avec cette physique illogique m'embarrassait. Même moi qui vient d'une planète beaucoup plus éloignée, je n'ai jamais remarqué de différences avec ça, en arrivant dans ce minuscule endroit.

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Un bruit. Il y a d'abord un ou deux bruits sourds, avant que je n'entende clairement quelqu'un tousser. C'est alors que pile au moment où je regarde dans la direction du cadavre décongelé, que le zombie m'attrape le bras!

- Hiiiiii! Au secours! A l'aide! Sauvez-moi!

La première pensée que j'ai n'est pas de la savoir en vie, mais plutôt qu'elle soit transformée en mort vivant. Je secoue alors fortement le bras, mais rien à faire, elle s'y accroche dessus de toutes ses forces. C'est alors qu'elle arrête de tousser et que la décongelée ouvre les yeux. Son regard croise le mien pendant quelques instants, avant que je comprenne que je l'avais sauvée!

- Oh mon dieu! Putain tu es vivante! Oh merci! Ton cadavre ne viendra pas hanter mes rêves! Merci! Merci à moi pour cette intervention de génie!

Tout en continuant de pleurer, j'embrasse la fille en la serrant dans mes bras. Je la remerciais d'être vivante. Grâce à mes compétences hors du commun en secourisme, j'ai pu sauver une vie. Quand je raconterai ça à Tet, il n'en reviendra pas! Je vais sûrement faire la une de tous les journaux du monde! On parlera de moi pendant des années et même des siècles! Je serai acclamée et je serai enfin riche! Tout ça grâce à une bonne action!

Pendant que je la tiens dans mes bras, la fille qui pourra me remercier jusqu'à la fin de ses jours, me demande qui je suis. Elle cherche aussi à savoir où nous sommes...

- Attends tu... tu ne sais pas où on est? Ne me dis pas que le coup du bateau qui a envoyé ton pseudo cadavre à la flotte, était vrai?

Je la regarde interloquée. Mais qui était cette fille? Et qu'est-ce qu'elle faisait là, si on oubliait la théorie des trafiquants qui congèlent des prostituées comme elle?

- Ce serait plutôt à toi de me dire qui tu es et ce que tu fais là. Pour information, je viens de te sauver la vie. Tu étais en train de couler à pic, quand je me suis jetée à la flotte pour venir te chercher. J'ai nagé et j'ai nagé. Jusqu'à t'avoir courageusement ramené sur cette plage, tout en prenant le risque démesuré d'éviter la foudre, qui s'abattait à chaque fois à côté à moi.

Heureuse de voir cette fille en vie, je me relève et je lui tends les mains, pour l'aider à faire de même.

- Je sais que tu viens tout juste de te réveiller, mais est-ce que tu arriverais à te relever? La pluie est forte et je ne voudrais pas que la foudre te tombe dessus. Pour les présentations et surtout les remerciements, on verra ça après. Viens. Accroche-toi à moi.

J'aide péniblement la fille à se relever. Comme je m'en doutais, elle avait du mal à garder l'équilibre et je devais m'y reprendre à plusieurs fois. Mais à chaque fois qu'elle chutait, je l'encourageais à se dépasser. Je voulais lui montrer que tout pouvait lui être possible, maintenant qu'elle avait su rester en vie. Même si c'était surtout grâce à moi. Après plusieurs essais, je réussis enfin à la saisir correctement. Je marche ensuite lentement avec elle, jusqu'à nous abriter à l'endroit où j'étais. Je l'aide ensuite à se rasseoir sur le sable un peu moins détrempé, pour qu'elle puisse s'appuyer en même temps contre l'arbre qui nous abritait.

- Bien joué! Tu as assuré la décongelée!

Tout en la félicitant, je m'écroule à côté d'elle. Maintenant à l'abri, je pouvais essayer de discuter avec elle. Mais il fallait d'abord que je m'assure qu'elle aille bien, avant tout.

- Comment tu te sens? Est-ce que tu as encore besoin d'aide? Ce serait peut-être mieux que j'appelle les secours?

Sans perdre de temps, je prends mon téléphone. Puis je fais passer le message aux secouristes qui me répondent au bout d'un instant. Je leur explique avoir trouvé et surtout sauvé à moi toute seule, une fille de la noyade. Après quelques renseignements, je coupe le téléphone. Il ne restait plus qu'à attendre qu'ils arrivent.

- Ok! Il n'y a plus qu'à attendre... Mais qu'est-ce qu'une fille comme toi fais par ici? Et pourquoi tu avais de la glace autour de toi? J'oubliais, je m'appelle Setyhs et tu es à Seikuzu. Ca ne te dis rien? Si tu es ici, c'est que tu dois sûrement trainer dans le coin. Tu n'as pas pu échouer comme ça par hasard. Et toute seule en plus...

Très intriguée par la fille que je venais de sauver, je commence à l'observer. Elle était jolie avec ses cheveux bleus. Mais ce qui me frappait, c'est que j'avais le pressentiment qu'elle était complètement perdue...

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C'était vraiment dégueulasse d'en arriver à aller sucer son machin immonde, alors qu'il aurait tout simplement pu me demander un autographe, en échange de son miroir. En plus d'être sacrément volumineux, sa trique puait la mort. Donc je préfère concentrer mes pensées sur ce cadeau le luxe que personne d'autre que moi n'aura à la fin de ce calvaire, qui va se terminer d'ici quelques minutes. Mais l'idiot se moque encore de moi, pendant qu'il garde ses sales pattes sur ma tête, alors que je faisais tout en mon pouvoir pour lui être la plus agréable possible. Lorsque les succions de la décadence s'enchainent, le type met le bout de son espèce de chaussure sale, contre ma culotte. C'est donc là que je décide d'en terminer pour de bon, en demandant à ce toqué de me prendre lui-même, pour qu'on en finisse le plus rapidement possible avec cet affront déshonorant.

Mais au lieu de faire ce que je lui demande, il me pince le nez. M'empêchant de respirer, il enfonce son gourdin jusqu'au fond de ma gorge. Et en plus, cet inconscient qui doit aimer jouer avec la vie, m'envoie une claque sur la joue. Le connard qui ne semble pas comprendre la chance extraordinaire qu'il a de pouvoir se taper la bouche extraordinaire d'une fille hors du commun comme moi, a en plus le culot incroyable de me remettre à ma place. Le monde à l'envers! Comme c'était tout simplement devenu inacceptable pour quelqu'un de mon étique, je décide de réagir en lui enfonçant mes doigts de toutes mes forces, dans ses cuisses de crapule. Le clochard dimensionnel qui commence en plus à vraiment m'empêcher de pouvoir respirer, avec sa trique égouttée dans les égouts de son dernier foyer puant, commence à se retirer de mon merveilleux palais, pour revenir dedans. Là c'était trop! Du coup j'essaie de lui mordre son pitoyable bout de viande par lequel il pourra dire adieu à sa descendance aussi dégénérée que lui, sauf que ça ne marche pas.

Le taré insupportable me donne ensuite des ordres, tout en ondulant fortement dans ma bouche. Il finit par arrêter de me bloquer l'air, en osant me dire que c'était lui qui donnait les ordres. Lorsque je recommence à respirer, je ressens une sensation répugnante. Du pré-foutre dégueulasse qui sort de mon nez dans un bruit tellement crade, que même les scénariste des pires films pornos ne voudraient pas. Et lorsqu'il se retire, je pète un câble et je le ruine sur place.

- Enculé! Espèce de cinglé sur quatre pattes atrophiées! Je t'avais dis de vite me prendre la bouche! Pas de ramener ta gueule en faisant le fier et en m'étouffant dans un jeu sordide! Refais ça encore une fois et je te jure que je vais te renvoyer chez toi en morceaux, tout en gardant ton putain de miroir!

Pendant que je lui crie dessus, les larmes aux yeux, le sous-primate qui n'arrive pas à tamponner dans son cerveau de la taille d'une crotte de rat ce que je lui dis, continue de se la jouer. Il me saisit ensuite par la nuque, pour me tripoter après. Ses mains de gros pervers répugnant s'attaquent à la grâce de mon corps généreusement parfait, en se permettant de toucher des zones extrêmement sensibles. Avec sa sale bite qu'il colle contre mon cul, je ressens son souffle chaud et insupportable qui vient frapper au creux de mes oreilles. De sa voix suave qui m'est surtout terriblement insupportable, la tête de con me demande de l'emmener dans les chiottes du bahut. C'est pathétique! Puisqu'il le prenait comme ça, je préférais couvrir mes arrières...

- Ca commence à faire beaucoup, pour quelqu'un qui a voulu m'étouffer et qui ne fait pas gentiment ce que je lui demande! Puisque c'est comme ça, tu me donnes d'abord le miroir en échange. Sinon plus de cul pour un être particulièrement primaire comme toi! Et tu as intérêt à arrêter de me torturer!

Je tends la main, en même temps que je lui remets ses vieilles pendules détraquées à l'heure. Lorsqu'il me donne le miroir, je le range précieusement dans la poche de ma chemise, avant de l'emmener dans ces foutues toilettes qui puent comme lui. Après avoir retraversé une partie de la cour, tout en veillant à ce qu'il reste à plusieurs dizaines de mètres loin derrière moi, je rentre dans cette espace terriblement sexy. Lorsque le détraqué entre ensuite, je referme la porte derrière lui, tout en lui rappelant encore les règles du savoir vivre de notre petit accord.

- Bon! Essaie d'être moins con pendant encore un instant, si mes paroles ont suffisamment de portée pour quelqu'un venu d'un temps ancien, où l'homme n'en était qu'à un stade de pseudo primate. Tu termines ton coup et on en parle plus! Et ne recommence plus à faire quelque chose de désagréable, où je te jure que je te tue pour de bon! Essaie au moins d'utiliser correctement ta vieille trique de puceau, pendant les cinq prochaines minutes qui restent au compteur de ton époque perdue, avec ton allure ringarde.

Donnant une dernière chance à ce malade, j'attends qu'il se lance vite et bien, pour qu'on en parle plus. Je lui offrais même possibilité de finir où ça lui plaira, du moment que ce cauchemar ambulant disparait de ma vue, à tout jamais! Quelle épreuve humiliante et traumatisante je devais subir, pour avoir en échange un simple petit miroir, avec quelques gadgets rajoutés en option...

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A chaque seconde qui s'écoule, j'essaie de plus en plus de comprendre comment je peux encore porter une seule particule d'intérêt extra-planétaire, à ce type. A ce dégénéré déjanté du cerveau jusqu'à la moelle épinière, en passant par son épiderme aussi mou qu'un flanc, qui a depuis longtemps atteint sa date de péremption. Alors bien sûr, il essaie de se défendre pitoyablement face à mon intellect infaillible, en utilisant des arguments vide de tout contenu. Il n'y avait aucune once de pertinence qui sortait de ce petit esprit pathétique, jusqu'à ce lorsqu'il sorte un miroir... Mais il est vraiment sérieux? Ce con n'allait donc jamais s'arrêter de se donner en spectacle? A croire que le ridicule ne pouvait vraiment pas le tuer un seul instant, celui-là.

- Oh un miroir. Quelle surprise. Me voilà impressionnée par un tel objet. Je n'ai jamais vu ça de toute ma vie...

Mais alors que je roule des yeux, très agacée et honteuse de continuer à parler à cet animal grossier, le mec se transforme en...

- Hein? Moi?... Qu'est-ce que c'est encore que cette blague de merde?

Pendant que j'écarquille les yeux et qu'un frisson me traverse lentement l'épiderme, il se met à parler exactement avec la même voix que la mienne. Avec ma propre apparence, il parvient en plus à découvrir des secrets sur mes propres origines et peut-être même jusque dans ma vie...
Très choquée de voir ce que ce fou était capable de faire sous mes yeux, je commence à serrer les dents. Un terrible malaise s'empare de moi, en imaginant que ce type était peut-être beaucoup plus puissant et dangereux que ce que je ne pensais. Mais j'étais tellement restée dans l'étonnement, que je me retrouve étranglée sans pouvoir réagir. Un piège! J'étais tombée dans un piège à la con!

Et alors que je pose mes mains sur ma gorge, pendant qu'il continue de se la jouer inlassablement, il claque des doigts. La strangulation magique cesse et c'est mon apparence perfectible qui s'envole, pour le laisser retrouver la sienne. Celle d'un mec complètement tordu, mais qui possède pour de vrai dans son sac, des objets vraiment dangereux et limite dingues!

- En... enculé! Comment tu as fais ça?...

Déboussolée et prise en même temps par une envie de soit lui rendre la monnaie de sa pièce ou bien de fuir d'ici pour appeler la police, il se saisit de mes doigt. Le mec arrogant qui continue de déblatérer et de jouer à son jeu stupide et dangereux par lequel j'étais stupidement entrée, les fait glisser sur son miroir démoniaque. J'avais beau être choquée, ça n'empêche pas le mec totalement imperturbable de me faire une proposition. Il... il m'offrirait avec un sous-entendu plus qu'explicite, la possibilité de pouvoir m'offrir ce fameux miroir en échange de mon bon consentement. Le timbre de sa voix devient beaucoup plus chaud, alors qu'il entraine sans attendre ma main, tout proche de son sexe... Essayant de digérer cette incroyable information, je vois apparaitre une grosse bosse sous son pantalon. Et pendant que je la fixe bêtement, il caresse mes cheveux tout en me pressant la tête, pour la faire aller vers le bas. Juste vers l'endroit qui l'intéressait...

- Je... je...

D'abord immobile. Incapable d'arriver à commander mon propre corps, je devais mobiliser le plus rapidement possible tout mon cerveau, qui se retrouvait en plus à devoir gérer mes ressentis contradictoires. D'un côté, j'avais peur et j'avais envie lui faire la peau. De l'étriper jusqu'à ce qu'il ne lui reste même plus les os. Mais de l'autre, je sentais qu'il avait réussi à m'impressionner totalement. Derrière cette face de con, il y avait un mec ou peut-être plus qu'un simple être humain, qui semblait posséder des pouvoirs et des objets tout simplement hallucinants. Et tout ce qu'il me demandait de faire en échange, pour que je puisse obtenir cet incroyable artefact divin, était que je lui fasse une simple pipe en échange... En échange de mettre aussi entièrement de côté ma fierté, pendant cinq ou dix minutes. De contredire tout ce que je lui ai dis avant. Plus exactement, me mettre à ses pieds et lui faire ce qu'il me demande en retour. Essayant de tout oublier. Jusqu'à même ne plus me rappeler de mon désintérêt pour les hommes à cause de tout ça, je prends donc une décision...

Evitant à ton prix de croiser son regard du mec qui doit déjà se sentir victorieux et fier de lui, je baisse lentement son pantalon. Lorsque je vois sa grosse bite qui attend bien droite et bien fière devant mes yeux, je la prends en main, après avoir encore hésité une seconde. Je tire ensuite dessus, pour décalotter son gland. Puis tout en avalant ma salive et en comprenant que je ne pourrai plus faire marche arrière contre cet homme qui aura piétiné ma fierté transformée en crêpe collée au sol, je la mets dans ma bouche. Lorsque sa bite répugnante entre en moi, je suis envahie par une vague d'humiliation écoeurante. En acceptant de le sucer, j'avais maintenant pactisé avec lui. Je venais de signer définitivement un contrat, qui faisait de moi une simple pute arrogante, prête à sucer ou à donner son cul, pour avoir quelque chose en retour. Mais surtout, je venais en une seconde de reconnaitre sa supériorité vis à vis de moi. Je venais de détruire tous mes arguments d'avant. Toutes mes parades. Bref, toute ma dignité de fond en comble.

Mais plutôt que d'y aller lentement, j'y vais à toute vitesse. Car plus j'irai vite et plus ce moment atroce se terminera rapidement. Peu importe qu'il puisse croire que j'étais tout simplement motivée à lui pomper sa queue dégueulasse, je voulais juste qu'il jouisse le plus vite possible dans ma bouche, pour qu'on en parle plus après. Je commence donc par utiliser ma langue, pour caresser son gland en cercle. Et pendant que j'offre très généreusement ma bouche à son bout sensible et que je déteste, à l'exception de celle de mon frère pour des raisons précises, je fais des vas et viens. Sa queue s'enfonce en profondeur dans ma gorge, avant de revenir et de repartir instantanément. Je répète plusieurs fois le mouvement, avant de le branler frénétiquement. Lorsque je pense en être à plusieurs minutes, je me risque de le regarder, pendant que je me positionne devant lui de façon dégradante. Continuant de tenir sa bite dans ma main, j'étais maintenant à genoux. J'étais vraiment à ses pieds pour de bon.

- On va aller plus vite, parce que je n'ai pas que ça à faire. Tu vas me prendre la tête et te finir. Et après, tu me donnes le miroir et tu te casses. Tu disparais de ma vue à tout jamais. Tu oublies tout! C'est clair ou tu crois qu'il va te falloir un dessin?

Les deux mains sur les genoux, en position pour en finir pour de bon, je remets sa bite dans ma bouche sans aucune élégance, prête à le sentir prendre mon palais et toute ma gorge. Je vivais une humiliation terrible. C'était peut-être encore plus pénible pour moi, que de me faire violer, parce que j'étais consentante de me faire piétiner comme un vulgaire déchet. Consentante de devenir la pute d'un mec qui m'avait à peine donné son nom. Etre tout simplement rabaissée au même au rang que toutes ces connasses qui donnent leur cul, pour qu'on leur fasse des cadeaux en retour...

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Bon sang! Il ne va quand même pas se mettre à pleuvoir maintenant? Pas juste quand je décide de faire profiter avec grande dignité, mon superbe corps aux courbes impeccablement élégantes?

- Merde! Merde! Quelle planète de merde!

En moins d'un instant qu'il me faut pour me poser une caresse sensuelle des pieds à la tête, le vent se lève et les nuages arrivent vite. Très vite! J'étais venue sur la plage pour me la couler douce. Loin du bahut! Loin de la ville! Loin de tout! De toutes les conneries possibles! Je voulais juste profiter un peu de quelque chose, que j'ai si rarement eu l'occasion de faire chez moi. Forcément quand tu habites une planète qui s'appelle Saturne, elle a beau être la plus belle de tout ce système solaire périclitant, la température n'est pas du tout la même. Alors les trempettes au bord de l'eau, sur une plage ou n'importe où ailleurs, ce n'est pas si simple que ça. Les quelques badauds amorphes qui se trainaient comme des langoustes pas très loin de moi, commencent à ranger leurs affaires et à se tirer. Bon vent! Seulement, moi j'ai décidé de faire courageusement de la résistance! Alors pendant que la dizaine terriens, qui représente tout au mieux le petit peuple qui survit sous mon talon divin de kistsune Saturnienne et fière de l'être commence à partir, je m'accroche à ma serviette. Contre vents et marrées, je décide de ne pas ployer devant cette tempête minable, qui ne fera même pas le poids de l'équivalent d'une plume de moineau contre moi...

- Aaaah! Oh merde!

Lorsque j'entends un orage claquer très violemment juste au dessus de ma tête parée de ses excroissances invisibles, je me relève d'un seul coup. Je me rhabille sans trainer, alors que j'essaie de rattraper ma serviette et mes tongs qui commencent à partir sans moi. Tout en me battant vaillamment contre cette nature déchainée qui n'aura pas ma peau de jeune fille innocente, j'arrive à peu près à rassembler mes affaires. Tout embarqué à l'arrache dans mon sac de plage, je cours sous les arbres qui n'attendent que moi, à deux pas d'ici pour m'abriter. Je soupire ensuite, pendant que je regarde le triste rideau de pluie qui s'abat sans pitié sur toute la plage. Sur la mère défoncée par une mer déchainée. Et c'est sur cette rime impeccable, que pond chaque jour mon prodigieux cerveau dans l'improvisation la plus totale, que je vois...

- Hein? Qu'est-ce que c'est que ça? Qu'est-ce qui flotte là-bas?

Main en visière au dessus de mes yeux, je vois un truc bizarre qui se trouve sur le sable mouillé. Le pire, c'est que les vagues pourraient bien reprendre très vite cette chose avec elle, si on la laissait là... Faisant le pour et le contre, ma curiosité l'emporte encore une fois haut la main. Je cours donc vers ce qui est resté par terre, en pensant d'abord à des affaires oubliées, avec peut-être à l'intérieur un porte-feuille remplis d'argent et qui me permettrait de vivre avec dignité, jusqu'à la fin de mes jours. De l'argent réel bien sûr, que je ne rendrais bien évidemment jamais à son propriétaire, si jamais il venait pointer sa tronche devant moi. Mais je n'ai pas parcouru plus de vingt mètres, que je m'immobilise net sur place. Ce n'était pas un sac que quelqu'un avait oublié, mais bien une personne. Un corps qu'on avait oubl... enfin non...

- Oh mon dieu!

Regard à gauche... Regard à droite... Regard en haut... Sous mes pieds peut-être... Personne évidement. J'étais la seule à assister à ça... L'idée de partir avait bien sûr effleuré mon esprit. Mais je décide de faire appel à toute ma bonté, ma grâce et ma générosité intrinsèque, pour vaillamment voir d'un peu plus près ce cada... ce truc!... Lorsque j'arrive à sa portée, alors que la pluie n'arrête pas un seul instant de m'emmerder, je vois qu'il s'agit d'une fille... Elle était toute habillée. Mais ce qui était curieux, c'est qu'elle semblait comme briller. L'eau autour d'elle luisait étrangement.

- De la glace?...

Plus vraiment le temps de réfléchir, j'ose trainer sur plusieurs mètres, cette fille particulièrement lourde. Lorsque je suis à bout de force, je m'écroule en arrière sur le sable d'un temps chaud et sec, maintenant complètement oublié. Mais mes mains étaient bizarrement froides... Je me relève ensuite, pour pouvoir mieux la regarder. Est-ce qu'elle était vraiment morte?...

- Ohé! Ohé si tu n'es pas morte, ce serait sympa de me répondre, parce que je n'ai pas appris les notions de secourisme... Je... il ne faut pas m'en vouloir, si j'ai l'habitude de faire passer en priorité ma personne avant les autres! J'espère que tu comprends?... Tu m'entends?...

Je commence à la toucher du pied. Son corps était anormalement froid. Elle avait une étrange pellicule de gel tout autour d'elle. S'il le faut, elle s'est d'abord retrouvée dans le frigo d'un bateau suspect, avant qu'ils l'aient larguée à la flotte pour camoufler leur crime odieux, dans un trafic douteux.

- Merde! Pourquoi il faut que ça tombe sur moi en plus? Tu ne pouvais pas aller t'échouer ailleurs?...

Essayant de me convaincre que cette pauvre fille était peut-être morte, je n'avais pourtant pas la force de partir, sans m'en être au moins assurée. Si je partais maintenant, je serais éternellement hantée par ma conscience pour le restant de mes jours, de jeune fille talentueuse...

Je me mets donc à genoux, tout en continuant de recevoir cette pénible pluie sur mes vêtements détrempés. Ne parvenant pas à ressentir son coeur, je décide de tenter un bouche à bouche. Evidemment rouler une pelle à un potentiel cadavre, ne m'enchantais pas du tout. Mais je ne pouvais pas la laisser là sans rien faire et sans savoir. Bien sûr j'avais l'option d'appeler les secours, mais le temps qu'ils arrivent, il serait peut-être déjà trop tard pour elle. Quant à mes illusions, elle ne sauvent pas encore quelqu'un de la noyade ou de l'inconscience. Et elles ramènent encore moins les morts à la vie...

Prenant une grande inspiration, je pince son petit nez glacé, tout en collant ma bouche au plus près de la sienne, après une hésitation. J'expire l'air qui part de mes poumons intacts et qui vont jusque dans sa voie respiratoire un peu pourrie, à cause des déjections de tous ces imbéciles qu'elle a dut avaler en arrivant au bord de l'eau, avant que le temps ne change. Le contacte n'était pas très agréable et à chaque fois que j'imaginais le pire, j'avais envie de vomir. Mais je me retenais courageusement et je recommençais encore. Au bout de plusieurs essais, je tente de lui faire un massage cardiaque qui ne ressemble pas à grand chose. En désespoir de cause, je termine en lui collant des tartes.

- Allez réveille-toi bon sang! Ne sois pas un cadavre qui va hanter le reste de mes prochaines nuits!

Après lui avoir collé d'autre gifles, mes espoirs finissent par complètement s'envoler. Ils laissent place à quelque chose de beaucoup plus douloureux, qui m'envahit rapidement et sournoisement des pieds à la tête. Je pose alors ma tête sur le sable mouillé sans m'en rendre compte et je commence à pleurer. J'avais échoué. La fille était morte. Elle avait peut-être même crevé à cause de moi, parce que je n'ai pas su être à la hauteur...

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Le parc et son sous-bois / Re : Enlacement végétal [Akita Celebrindal]
« le: dimanche 23 mai 2021, 18:38:56 »
Complètement maintenue comme si j'étais enchainée, ses racines, ses bites ou ce qu'elle veut, viennent s'occuper de moi par tous les côtés. Par tous les trous. Par toutes mes merveilleuses entrées tellement sensibles et chaleureuses, que cette fille complètement toquée a bien la chance de pouvoir explorer. Mais je commence hélas à m'épuiser! Ca avait beau être merveilleux, c'était quand même bien crevant de devoir encaisser tout ça, pour la reine de ces bois minables que j'étais devenue. J'avais l'impression d'être devenue le centre même de la foret. Comme si cette chose avait besoin de mon énergie vitale, pour que cet endroit devienne encore plus merveilleux. Et tout ça grâce à moi! Je pourrai m'en bien sûr m'en inquiéter, mais pas question de penser à des choses pareilles alors que je m'amusais bien. Et puis je m'en fichais surtout!

- Mpf! Mais qu'est-ce que tu fabriques encore toi?...

Pendant que mon corps tremble et se fait secouer dans de superbes déhanchements, voilà que la folle me refait bouffer ses fruits. Ce n'était pas aussi appétissant que de se prendre ses espèces de tuyaux végétal, mais je sentais que je n'avais pas vraiment le choix. Je bouffe donc ses fruits de merdes, qui ne sont certes peut-être pas si dégueulasses que ça, pendant que mon cul assimile encore plus fort son gros gourdin. Je la laisse faire avec joie, continuant d'écarter mes cuisses pour qu'elle se fasse plaisir à agresser sa maîtresse. Mon bas-ventre tressaute à chaque fois qu'elle vient s'enfoncer en moi. Mon cul était aussi bouillant que ma chatte. Et il l'est encore plus, lorsque l'arrogante vient encore se vider en moi, avec insolence. Elle se vide encore par de puissants jets, directement dans mes fesses juvéniles et tellement délicieuses pour elle à prendre.

- Oui c'est ça! Remplis-moi encore, espèce de sale dépravée! Continue sale chienne des forets!

Je continue de lui crier d'autres insanités méritées, pendant qu'elle me remplit de son jus sauvage avec sa chose douteuse. Lorsqu'elle se retire, le jet chaud et compacte que j'ai reçus au coeur de mes somptueuses fesses, commence à ressortir. Pendant qu'il coule encore une fois entre mes cuisses, j'avais l'impression de me sentir encore mieux que tout à l'heure. J'avais comme retrouvé la pêche du début. Sauf que l'air semblait devenir plus frais. Il caressait chaque pore de ma peau, avec une étonnante précision chirurgicale. C'était comme si je ressentais des centaines, peut-être des milliers de doigts, qui s'amusaient à passer le long de mon corps divin. Partout. Aucune endroit n'était épargné. Ce contact me faisait frémir intensément. Quant à ses racines, elle m'avaient l'air d'être encore plus chaudes.

- Oh mon dieu! Mais qu'est-ce qui m'arrive?...

Enivrée par tant de sensations insolentes, la belle vient encore me défoncer mon vagin en chaleur. A peine elle vient se mettre généreusement dedans, que ça me fais déjà jouir! Mais mes cris sont momentanément retenus par une entrée soudaine, qui en devient presque fracassante. Mon ventre gonfle encore et c'est toute ma chatte qui s'affole complétement! La pression était tellement énorme, que j'avais l'impression d'être enceinte! Mais c'était tellement beau! Tellement intense de voir et de ressentir tout ça, que j'en étais presque arrivée à accepter de mourir, pour vivre jusqu'au bout ce somptueux moment! On se souviendrait alors de moi comme un exemple à suivre! Je deviendrait le modèle incarné de la jeune fille morte en martyre, au nom de l'orgie végétale et de la beauté sexuelle!

Mais je suis tellement devenue si sensible, que plus un seul de mes mots n'arrivent à trouver du sens. Tout n'était plus qu'un mélange de cris et d'obscénités sans cesses répétés à tue-tête. Une bouillie discordante infâmes de mots qui ne me rendaient pas hommage, mais qui sonnait tellement bien avec ce que j'étais devenue. Un corps sensible. Un esprit supérieur, perdu dans l'espace entre la raison et de l'illogique, qui ne pense qu'à jouir encore et encore! Mon corps continue de trembler, pendant que je vois ma chatte qui se déforme continuellement. A chaque fois que je reçois un coup de sa bite monstrueuse au fond de mes entrailles, j'avais l'impression d'entrer dans une nouvelle dimension lubrique. Puis ma tête se fait relever en arrière. Un puissant courant électrique parcourt la base de ma chevelure et de ma nuque, en même temps que je ploie devant les étoiles microscopiques de ce petit monde insignifiant.

- Oh mon Dieu! Encore! Encore!

Je me déchaine encore plus, lorsqu'elle vient me sucer les tétons et le clito complétement durcis, alors que je jouis encore une fois. Ca ne s'arrêtait plus! Ma cyprine coule à flot et avec elle, il y avait encore ma pisse. Je n'arrêtais plus de tressauter comme une poupée sexuelle. Je perdais complétement le contrôle de tout. Plus une seule pensée en dehors de cette baise ardente, m'était encore possible. J'étais comme possédée. Emprisonnée par la terre. Mon seul plaisir dépendant du seul bon vouloir de cette chose qui me dominait complètement. De cette entité à la fois monstrueuse, mais incroyablement désirable.

Pendant que j'entends les pulsations de mon coeur qui tambourine frénétiquement à l'intérieur de mon corps qui n'est plus qu'un réceptacle malléable, voilà mes mains se retrouvent à tenir ses jouets végétal. Je les masturbe sans attendre, pendant que mes jambes se faisaient encore écarter. Toutes les sensations primaires prenaient le dessus sur moi, alors que je continue de crier ma rage de jouir!

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Silence pesant, lourd, menaçant et certainement insoutenable que je faisais exprès de rediriger vers cet idiot, rien qu'en le toisant du regard. Un regard remplis de mépris et de reproches bien mérités, quand on se paye ma tronche comme il vient de le faire. Même les mecs de cette stupide planète, ne savent vraiment pas quoi faire pour essayer de m'avoir. Mais celui-là détenait le plus gros record à ce jour! Dans toutes les catégories confondues, possibles et inimaginables, à atteindre ou ou pas. Enfin voilà, car le minus en comparaison avec l'estime que je lui porte maintenant, doit bien être dégoûté.

D'abord très étonnée, ce n'était pas des pleurs que j'entendais soudainement, mais bel et bien un rire... Un rire lourd et bruyant qui me cassait les oreilles! Pourquoi est-ce que cet idiot se mettait à s'esclaffer comme ça?

- Je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de drôle, tête de...

Je n'avais pas le temps de lui dire d'arrêter son rire grossier qui ressemble à celui d'un clown défoncé à coup de substances aussi illicites que celles qui traînent juste derrière, qu'il m'interrompt en posant sa sale patte sur ma tête!

- Hé!!!...

Là, je m'arrête. Le mec qui était peut-être un sale clochard comme son copain, se permettait de me toucher? D'aller en plus me caresser frénétiquement la tête, sur laquelle reposait ma chevelure délicate aux senteurs des parfums de la perfection?

- Berk mais dégage! Lâche ta sale patte de ma tête! Espèce de pervers bourré!

Quand je faisais un bon pas en arrière pour qu'il arrête immédiatement de me toucher, c'était pour me faire insulter avec des sous-entendus qui dévalorisaient gravement l'incroyable personne que j'étais! J'étais tombée sur un malade mental, qui en plus de ne pas me respecter à ma hauteur, se permettait de se moquer de moi! Comme si j'avais demandé à être emmerdée par ce toquard avec son copain en pagne, tout droit sortis de nul part... En attendant, ce taré commençait à me mettre les nerfs à vif, avec ses conneries.

- Toi tu veux vraiment mourir on dirait? Tu crois vraiment que tes tours de passe-passe qui n'effrayeraient même pas un gosse, allaient m'impressionner? Surtout avec ton sourire débile et ta sale face de parfait crétin?

Dis-je au moment où monsieur l'ignorant fouille dans son propre sac, où il n'y avait jamais rien eu d'autre que le vide, à part l'air de sa connerie qui atrophie le cerveau de ce primate recyclé. Je soupire en préférant ne plus intervenir dans les imbécilités qui sortent de la bouche de ce cas désespéré, quand je l'entends se gratifier d'être un homme parfait. C'est que ce fou, Grayle je crois l'avoir entendu dire, ne se prenait vraiment pas pour n'importe qui, en plus de ça... A croire qu'il essayait de tout faire pour se rendre parfaitement détestable à mes yeux.

- Et en plus je suis tombé sur un mec qui a la grosse tête! Le genre de personnes dont j'ai horreur quoi...

Avec l'envie de me débarrasser de ce type pour l'envoyer voir ses copains les détritus dans les poubelles de derrière, il sort des... fleurs de son sac? Fleurs qu'il me tend plus ou moins en continuant encore de m'insulter. En me traitant de "petite" et de probablement de quelqu'un d'ignorant sur la vie de ce petit monde, qui n'était déjà même pas le mien... Pas de doute, ce mec était maso et devait certainement aimer en prendre plein la gueule. Au moins, voilà quelque chose sur quoi il pourra compter!

- Franchement, tu crois vraiment que je vais tomber dans le panneau, parce que tu m'offres des fleurs que tu as fais sortir de ton "chapeau magique" de débile ignorant? Tu croyais quoi en arrivant ici avec ton pote? Que j'allais être impressionnée par ta prestation? Que j'allais te sauter dessus, comme une écervelée pour t'embrasser et en criant "mon héros!" "mon héros"!? Malheureusement pour toi, tu es tombé sur la mauvaise personne! Et ce n'est pas avec ton bouquet de fleurs ringard, ni avec ta tête aussi grosse qu'une pastèque, que tu vas m'impressionner! Il en faut beaucoup plus, pour ça. Alors laisse tomber tes répliques à la con, qui ne feraient rire que les vieilles mamies lubriques et décharnées. Tes tours d'apprenti magicien, qui n'ont dut qu'impressionner que ta bande de copains détraqués comme toi, que tu as rencontré derrière les barreaux. Et surtout, arrête de te prendre pour un mec super intelligent et tellement parfait! Ce sont déjà mes meilleurs qualités et je ne vois pas trop comment un guignole comme toi, pourrait bien les avoir aussi.

Et voilà! J'avais fait taire cet insolent, avec son air de demeuré complètement hilare. Et pour être bien certaine qu'il comprenne, je m'amuse à lui mettre la dernière couche pour l'achever. La touche finale à mon oeuvre intrinsèque, en réponse à ton les cons démesurés de son genre.

- Tu n'as rien qui pourra m'impressionner, de toutes façons. Et ce n'est pas demain la veille, que tu auras un truc dans tons sac tout pourri et soit-disant magique, qui me mettra en quatre à te supplier à genoux. Encore moins pour me donner à toi corps et âme, si tu vois dans quel sens je te parle mon chéri...

Convaincue d'avoir remporté non pas une bataille, mais bien toute une guerre entière, je le regarde droit dans les yeux. Fière de moi, le dos droit, avec les mains posés sur le bassin et surtout ce petit sourire fatal qui crèverai n'importe quel coeur de mortel ou de dieu.

- Quant à mon nom, il faut aussi le mériter pour le connaitre. Mais je crois que tu as passé ton tour avec moi, depuis que tu es arrivé dans ce coin perdu, "héros".

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Mais quelle horreur! On vient de me coller à devoir balayer l'arrière cour, tout ça à cause d'une petite conne qui a voulu faire sa maligne avec moi! Elle m'a tellement énervée que je me suis levée en plein cour et je lui ai foutue une tarte en pleine gueule! Pour le reste, l'imbécile de prof n'a pas traîné pour me foutre des heures de colles qui se transforment en heures de... nettoyage... Et me voilà donc arrivée dans cet espace infecte qui déprave toute mon existence à devoir nettoyer ce lieu sordide, local à poubelles inclus...

- Berk! Mais c'est immonde! Il mettent quoi dans ces bacs? Des cadavres d'animaux ou d'étudiants trop cons que pour arriver à compter sur les doigts de leurs pieds?...

Je n'ai pas fais deux pas dans celui-ci, que mon estomac commence à se retourner. Non là c'était trop pour moi! Déjà que ma présence n'avait rien à faire ici, alors en plus de...

- Oh! Oh! Oh! Oh! Ooooh!!!!!

A peine je me remets de cette vision d'horreur qui se mêle avec ses odeurs putréfiantes qui contamine mes narines sensibles, qu'un vent incroyable se lève sans prévenir, en moins de deux secondes montre, horloge, réveil ou téléphone en main. Il est si puissant qu'il commence même à me pousser! Encore trois secondes de plus, que je vois des éclairs oranges qui se forment dans l'air et qui se suit avec une déflagration. Complétement en panique, je me colle au mur en me croyant être l'ultime témoin de la fin imminente de cette petite planète aussi grande qu'un grain de poussière dans la voie lactée. Et lorsque je rouvre les yeux, c'est pour voir un monstre avec un pagne... Ah non ce n'est pas un monstre en fait, mais plutôt une espèce d'humain de race dégénérée. L'homme venu du fin fond de la préhistoire s'écrase soudainement juste à côté moi, manquant de peut de broyer mon pauvre corps sous sa masse infecte et puante.

- Oh bon sang! Dégage! Ne me touche pas vermine!

Pendant que je me décale et qu'il crie comme une bête sauvage affamée avec ses... ses yeux rouges effrayants, un autre type sort par cette même lueur étrange... C'est bizarre parce que ça me rappelle vaguement quelque chose, mais dans une version différente...
Peu importe parce que pendant que je me décale héroiquement, ce mec qui est apparut et qui ressemble à un ninja avec son écharpe flottante, se met à lancer la tirade la plus pitoyable que j'ai jamais entendu de toute ma vie. Heureusement il s'arrête de parler en pleine action, mais c'est pour me voir me faufiler hors de cet endroit de fou...

- Ne faites pas attention à moi! Je ne fais que... aaaaaah!!!

Prête à trouver une excuse pour partir, voilà que son ami l'homme des cavernes avec son gros pagne qui doit cacher un truc que je n'ai pas du tout envie de voir, se précipite sur moi! Mais le gros mec dégueulasse, puant et super collant tombe au sol en se prenant la honte, pendant que le ninja le tire ensuite vers lui avec un... un fouet brillant... Là je me dis être heureuse de n'avoir respiré que pendant seulement trois secondes, les émanations sordides de ce local à poubelles... Bref peut-être que je suis en train d'halluciner mais en attendant, celui qui essaie de se faire passer pour le héros du jour, me demande de ne pas paniquer. Par chance, comme ce type m'a donc dit de ne pas m'effrayer de voir ce spectacle, il est donc certain que je ne peux que l'écouter et ne plus être terrorisée du tout! C'est magique! Les mots d'un homme parviennent toujours a apaiser les plus grand esprits de ce monde, comme le mien par exemple.

Réduite pour l'instant en spectatrice de ce fiasco monumental, le ninja ne s'arrête pas là et sort maintenant de son sac, un parchemin qui explose et qui fait apparaitre des murs bleus... Il s'ensuit ensuite un combat sans paroles, sans bruits. Tout me confirme que je suis bel et bien prise par une bouffée de délire et que je vais devoir appeler la police... qui elle-même s'en référera certainement à l'armée qui feront passer le message aux armées des armées de notre système galactique, pour qu'ils viennent inspecter ce local à poubelles très suspect.

La fin de combat tout droit sortit de mon imagination très productive, se termine avec un éclair que l'autre ninja renvoie sur le barbare avec son vieux pagne crade. Le colosse s'écroule, puis les murs bleus bizarres s'arrêtent de briller. Ensuite tout redevient calme, pendant que l'homme me salue et me demande si je n'ai pas eu trop peur...

- Pour... pour une hallucination que mon cerveau a créé en produisant une fin particulièrement ratée?

Encore convaincue d'être sous l'emprise d'une drogue tout droit sortie des poubelles de derrière, le type qui devrait apparemment être mon fantasme masculin, range son épée comme si de rien n'était dans son sac minuscule. Puis il en ressort un sceau qu'il dépose sur l'animal... Oui enfin c'est une bête pour moi! Donc l'homme issue d'un temps préhistorique se désagrège, pour certainement rentrer chez lui. Et lorsque tout est enfin terminé pour de bon, à part qu'il reste encore la présence de mon "sauveur", il me pose des questions qui sont toutes aussi stupides que celle de sa réplique inachevée de tout à l'heure.

- Qu'est-ce que ça peut te faire de savoir en quelle année je suis? Retourne dans le local à détritus et reste-y avec ton ami! En tout cas bravo pour les effets spéciaux. C'était presque aussi bien que ma magie. Dommage que tout ceci ne soit pas réel et...

Une seconde... Normalement mes sortilèges d'illusions doivent naturellement pouvoir me protéger contre les hallucinations. Ou au moins contre les effets subitement délirants qui proviendraient des drogues ou des émanations...
Pendant que je me rapproche de cet homme, j'utilise un pouvoir de dissipation mentale sur moi-même en touchant ma tête. Lorsque rien ne semble se produire, je touche le bras de l'homme. Ce mec semble réel...

- Oh non! Ne me dis pas que t'es vraiment réel? Tu ne vas pas me faire croire qu'il puisse exister sur cette planète, un mec capable de faire des répliques aussi pitoyables, qu'il sait faire des sortilèges abracadabrants? Et aussi ranger le tout dans un sac surprise, trop petit pour pouvoir transporter une épée?

Je regarde le sac qu'il tient pendant un instant avant de m'en emparer sans le prévenir.

- Donne le sac!

Lorsque je le tiens en mains, je plonge alors ma main dedans et je touche le fond qui me semble vide. Je le retourne et rien n'en sort non plus... Je lui le lui renvoie d'un air franchement blasé.

- C'est du bidon! Il n'y a rien là dedans! C'est que du vent depuis le début! Comme toi depuis que tu es arrivé ici, avec ton ami qui ne ferait pas fureur dans un défilé de mode!

Je croise ensuite les bras sans bouger, tout en regardant l'espèce de ninja pathétique qui me faisait face et qui croyait vraiment m'avoir impressionnée avec ses sortilèges et les objets de son sac. Mais le pire, c'est qu'il a faillit réussir! Pour une fois qu'un homme aurait put entrer dans ma haute estime, je suis vraiment déçue...

28
Lorsque je ressors de la boutique de ma mère après l'avoir aidée et reçus son réconfort habituel que j'avais besoin depuis ce qui était arrivé l'autre fois, je retourne seule vers le lycée. Epaules raides, avec la têtes rentrée dans celles-ci, je pars presque au pas de course vers la station de métro. Veillant à ne rien laisser au hasard, j'essaie de faire le plus rapidement possible converger mes pensées vers des choses plus agréables. Surtout ne pas repenser encore à tout ça...

Je vais être franche, j'ai régulièrement des craintes depuis ce jour là. J'ai des angoisses mais heureusement que ma mère a les moyens de pouvoir soulager un peu ma conscience qui reste parfois tendue. Grâce à elle et à ses talents, j'arrive déjà à retrouver une vie à peu près normal. J'essaie de continuer à vivre comme si de rien n'était. Comme elle, j'essayais d'oublier cet instant traumatisant. Sauf que je ne savais pas encore que j'allais le retrouver. Il était là, si proche de moi. Lui! Ce sale pervers détraqué qui a... osé me violer sauvagement ma mère et moi! Il était là sur les quais quelque part, sans que je m'en aperçoive. Il m'espionnait et il attendait tranquillement le bon moment pour recommencer ses trucs dégueulasses sur moi...

Naturellement je n'en savais rien et je montais dans un wagon, tout en faisant attention à me retrouver dans une rame suffisamment pleine pour éviter toute agression. Coups d'oeils furtifs de temps en temps lorsque je me perds sur mon téléphone, ce truc terrien qui t'aspire tout ton temps et toute ta misérable intelligence qui ne pourra jamais égaliser la mienne, je finis par vite arriver à la station qui se trouve près du lycée. Comme tout à l'heure, je ne perds pas une seconde et je file à toute vitesse, la tête encore une fois bien rentrée dans les épaules.

Je souffle et je me détends un peu, lorsque j'arrive dans le hall du bahut en début de soirée. Tout en saluant les deux ou trois connaissances que je croise en remontant vers ma chambre, je finis par m'arrêter devant la porte avec un pressentiment désagréable que je chasse immédiatement. Dans ce monde cruel, je devais tout faire pour ne pas montrer ma faiblesse. je m'étais mise d'accord avec ma mère pour que mon frère ne sache rien de ce qui était arrivé. Nous ne voulions pas qu'il souffre lui aussi de tout ça...

Lorsque la porte s'ouvre et grince légèrement, j'allume la chambre qui s'éclaire aussitôt. Comme d'habitude c'était le bordel à cause de Tet. On partageait la chambre et même si on baisait ensemble, le seul mec avec lequel j'étais consentante il faut le préciser et c'est mon frère, on faisait un peu chacun notre vie tout en se retrouvant tous les jours.

- Quel con! Il a rien rangé du tout!

Un peu lassée, je remets un peu d'ordre dans cette chambre aussi minable qu'indigne de m'accueillir, puis lorsque j'ai terminé, je pianote encore peut-être un long moment sur le téléphone. Je voulais attendre que l'heure avance suffisamment, pour être certaine de croiser le moins de monde possible en allant prendre une douche. Puis comme je n'avais pas vraiment faim, j'ai donc sauté le repas de merde que l'on nous sert chaque jour dans cette cantine infecte, que même les pays les plus sous-développés de cette planète ne voudrait pas.

Après avoir jeté un oeil à la fenêtre qui était restée ouverte, je décide de la refermer avec un nouveau petit frisson désagréable, avant de prendre enfin mes affaires de toilettes pour me diriger vers les douches. Lumières éteintes et porte de la chambre bien refermée, j'arrive en quelques gracieuses enjambées dans l'endroit qui se retrouve désert. Tant mieux.

Je me déshabille et je pose mes affaires et je traverse ce coin pouilleux pour aller dans une cabine. Voir personne ne voulait pas dire que je ne voulais pas m'isoler complétement de tout... Gel douche en mains, je commence à faire couler l'eau que je mets à température convenable, avant que celle-ci ne commence à me détremper. Sa chaleur rassurante et apaisante se met à glisser le long de mon corps nu et éternellement sublime. Pendant que je commence à voir la buée et que je ferme un instant les yeux, je sursaute lorsque j'entends un bruit. Quelqu'un était entré dans les vestiaires. Mais je décide ne pas faire attention, prête à commencer à me laver.

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J'ai mal! Mon coeur me tambourine dans les tempes qui menacent d'exploser sur place, à tout instant. J'ai la tête qui tourne et je commence à voir des points étoiles...  Mon pauvre corps souillé par cette merde immonde,  se retrouve à devoir se trainer lamentablement par terre dans une lenteur horrible. Mais je ne pensais plus qu'à vivre! Car Je ne voulais pas mourir! Je ne voulais pas que ma vie s'arrête tristement comme ça! Ce monde aussi petit et insignifiant soit-il, représentait pour moi une nouvelle vie. Une nouvelle planète avec un nouveau futur pour vivre tous les trois ensemble avec mon frère et notre mère que nous avions si longtemps espérés! Unis tous les trois!... Mais la vérité c'est que je suis seule... Je ne peux plus que compter que sur moi-même pour pouvoir me sortir vivante d'ici et d'espérer fuir, si je ne voulais pas finir réduite en brochette par propres mains de ce malade. De ce gros porc avec sa tronche de cauchemar sur pattes!

Par chance, mon illusion semble fonctionner. Le dégénéré commence à s'étouffer et je le vois se mettre à flancher au sol. Je suis prise d'un élan d'espoir, lorsque je le vois croire à sa propre mort. Et si son cerveau parvient à rester suffisamment longtemps dans cet état, son coeur peut vraiment finir par s'arrêter!

- Ouais! Tu vas crever connard! Tu vas crever comme une merde dans d'affreuses souffrances, t'entends?

Doucement, je continue de me trainer jusque vers la porte, sans quitter mon regard impitoyable sur cet enculé. Mais mes oreilles s'affaissent et je suis prise par un frisson d'effroi, lorsque je le vois faire apparaitre une étrange aura verte tout autour de lui, avant de se relever.

- Qu'est-ce que tu as...? Non! Merde! Merde!...

Mes derniers espoirs de me sortir vivante d'ici s'envolent, lorsque je le vois terminer de se remettre debout. Terrorisée de croiser encore le même regard de tueur psychopathe fou qu'il avait pour moi, juste avant que je me libère de cette face de rat, j'essaie d'utiliser mes dernières forces pour continuer de ramper vers la sortie. Vers la lamentable issue de mon salut... jusqu'à ce que je sois prise d'une violente douleur dans le dos qui me fait immédiatement crier!

- Ah! Aaaaah!!! Aaaaaah!!!

Je finis de paniquer et de péter complétement un câble. Je me mets à crier, en utilisant les dernières forces qui me restent. J'étais plaquée au sol et je ne pouvais plus bouger. Et pendant que je tremble sur place et que mon coeur redouble de battements encore plus violets, je me fais agripper le crâne et soulevée du sol. J'étais lancée dans une panique incontrôlable, alors que je le voyais me regarder cruellement comme un démon sortit des enfers! Quelque chose en lui avait changé mais pour moi, ce n'était plus que devenu un détail. Je me balançais comme une merde sous sa main que j'essayais de faire se relâcher en vain de ma tête. Mais j'étais devenue trop faible et je ne contrôlais plus rien de mes mouvements. Et pendant que je lui servais de balançoire, le timbré aux yeux d'aliens me colle une baffe à m'arracher des dents, avant de m'en renvoyer gratuitement une autre sur l'autre joue. Pendant que les douleurs continuent de s'accumuler sur mon corps qui tombe de plus en plus en morceaux comme on brise un verre fait de porcelaine, je me retrouve pendue par la seule masse de mes cheveux.

- Arrête! Arrête!...

Je me mets alors à pleurer. Je manquais d'air sous la panique et mes sanglots étaient entre-coupés par des larmes, qui commençaient à rouler sur mes joues qui venaient se mélanger avec le foutre gluant et répugnant de ce mec. Mais le psychopathe me lâche et je retombe au sol. il vient alors douloureusement m'écraser les coudes avec ses énormes genoux, pour m'empêcher de bouger. Nouveau cri, nouvelles souffrances, nouvel effroi. Me voilà ensuite encore avec sa queue dégueulasse, qu'il vient foutre dans ma bouche que j'essaie de mordre. Mais le connard avait tout calculé, en venant m'écarter la mâchoire. Coincée, m'attendant à recevoir de force sa putain de grosse saloperie dans la bouche pour subir une pipe forcée, le mec m'insulte. Spectatrice de ma propre lamentable déchéance, j'entendais des mots qui faisait mal à ma fierté qu'il avait piétiné, brisé depuis qu'il avait commencé à me violer. Et alors que je crie, ce dégénéré de merde me... pisse dessus! Avec la tête relevée, je me retrouve à devoir être forcée de boire sa putain de pisse! Comme si ça ne suffisait déjà pas, ce fils de pute m'arrose la bouche, pendant que je suis en train de me noyer misérablement en même temps dans son urine. Je pensais avoir déjà touché le fond dans ma fierté, je me rend alors douloureusement compte que je pouvais encore tomber plus bas! Tomber... dans les abysses où ne vivent que les merdes les plus répugnantes au monde comme lui!

- Touss! Touss!... Kof!!! Kof!!! Touss!!!...

Pendant que je tousse et que je continue d'avaler de force sa putain de pisse immonde, j'en ressens le gout horriblement dégueulasse et acide. Durant les prochaines secondes de cette interminable déchirante torture, les points lumineux que je voyais devant mes yeux s'accentuent encore. Ils grandissent encore et encore. Jusqu'à ce qu'il finissent par fusionner tous ensemble, pendant que j'avais l'impression que mon âme sortait de mon corps. Lorsque je ne vois plus qu'une intense coloration lumineuse sous les yeux, tout devient noir d'un coup...

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Le parc et son sous-bois / Re : Enlacement végétal [Akita Celebrindal]
« le: samedi 10 avril 2021, 20:10:56 »
On... JE continue cette baise de haut rang élevée par mes seules compétences, pendant que la chose stupide mais drôlement adroite, me fourre encore son truc en forme de bite, dans ma chatte déjà remplie. Ca ne dure bizarrement pas longtemps, mais suffisamment pour faire de mon antre de jouissance divinatoire, l'équivalent d'une piscine débordante. Ouah...

J'y vais encore à coups de commentaires bien chiants pour elle mais honnêtes, avant de préférer momentanément la laisser pleinement faire à sa guise, comme mon animal de compagnie. Quand elle se retire de moi, la succion m'arrache un cri et me fait encore une fois jubiler. Bien que j'étais enlacée, je pouvais admirer mon bas-ventre qui avait pris en volume, en emmagasinant ce liquide dégueulasse. En se retirant, je ressens l'air frais de l'endroit venir me caresser la croupe et s'infiltrer dans mon intimité parfaite. Le liquide coule lentement le long de mes cuisses, pendant que je tremble d'extase!

Je n'ai pas le temps de souffler, que la revoilà avec sa racine en forme de bite, en train de me caresser mon autre intimité sensible et précieuse. Lorsqu'elle recommence à faire entrer sa chose reproductive en moi par le côté opposé, la sensation change radicalement. Le début n'est pas du tout à la hauteur. Il est même douloureux et curieusement fait avec de curieuses formes répétitives qui grossissent, au fur et à mesure qu'elle plonge entre mes fesses...

- Ouh! Aie!... Mais qu'est-ce que tu fiches? Déjà que tu ne dois pas être compétente en dehors de la baise, essaie au moins de t'appliquer...

La chose avec ses racines me murmure en réponse quelques mots d'abord désagréables, avant qu'elle me prévienne du prochain arrivage de foutre épais et pourri qu'elle compte m'envoyer au fond du cul.

- On s'en fout! Prends-moi! Dépêche!

Consternée que ma grande présence doit se faire autant désirer pour que vienne la suite dans cette part de souffrance, mon cul se fait encore agresser. Je reçois encore un coup de son truc irrégulier, qui vient me taper violemment l'intérieur et me faire mal. Je crie encore une fois de douleur, avant que l'ensemble me parait devenir comme plus doux et régulier, malgré la grosseur de son truc. Frustrée par cette entrée douteuse dans mon aéroport prestigieux, je crie frustration lorsqu'elle termine de me casser le cul en deux!

- Enfin! Je... Aaah! Aiiie! Putain doucement... Mais quelle conne!

Sa bite trop bizarre m'empale d'abord péniblement le cul, avant que je commence à ressentir des sensations... Donc elle me passe directement sur les fesses avec son avion de chasse de troisième classe et sans grâce, avant que je prenne enfin dignement mon pied! Je me remets à rire avec béatitude et à chauffer sous la violente pression répétitive, pendant que la gourde retourne me claquer mon trésor de chair. En même temps qu'elle gigote comme une forcenée dans mon hangar, je gémis, je crie. Bref je m'éclate comme une folle, sans chercher à savoir dans quel état trop louche j'ai été balancé. Mais un nouveau problème arrive encore, lorsque je ressens une folle envie d'aller pisser! Et comme elle m'encule, forcément elle appuie sur ma vessie à chaque contraction...

- Stop! Arrête de faire entrer ton avion préhistorique! Je dois pisser!

Pendant que je lui ordonne d'arrêter tout de suite, la chose continue de me ramoner grossièrement le cul. J'allais crier à plein poumons pour faire comprendre à mademoiselle deux points de QI de s'arrêter, quand je me sens encore sauvagement être agressée par la chatte qu'elle avait foutrement remplie à ras bord! Et en plus, mes tétons, mes seins, tout y passait! J'étais dans une telle intensité de sensations, que je n'arrivais plus à parler. La chatte me bouillonne encore, quand je ressens l'effet d'une double pénétration qui se termine plus ou moins obscènement dans ma bouche. En plus de ma cyprine qui coule comme une fontaine de jouvence, elle me fait gouter à son truc infâme qui a un gout étonnement sucré...

Tous ces effets qui venaient de partout, me faisaient tourner la tête et ça m'étouffait! Et lorsque je ressens un nouveau jet épais venir encore me presser le ventre et couler comme un torrent dans mon cul, j'explose! J'émet un râle particulièrement bruyant et grossier, tandis que je pisse par terre! Comme une chose dégoutante, rabaissée au même niveau que cette folle, je fais couler les égouts de mon indignité. Une grande partie se retrouve honteusement à se déverser sur mes cuisses, pour terminer outrageusement sa course jusqu'à mes pieds! Et dans cette horrible honte, je me remets encore à jouir! Je me délecte de mon sort et des fluides que la fille m'envoie à coup de litres. J'avais la sensation de n'être plus qu'une vache qui se faisait traire, mais à l'envers.

- Espèce de folle! Je t'avais pourtant bien dis d'arrêter! C'est scandaleux de me faire un coup pareil! Tu vas perdre des points pour ça, tu m'entends?

En colère d'avoir pissé par terre comme un bébé kitsune, la fille continue de m'enculer férocement. Mais très vite, je récupère mon bien-fait et j'oublie presque cette anecdote humiliante de ma vie idyllique.

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