Papua avait encore une vision très ancestrale du rôle de la femme, mais qui subissait des évolutions. Ainsi, s’il était encore courant que la femme serve à des mariages politiques, le sexe n’était pas tabou à Papua. Dès lors, et paradoxalement, les futures épouses papuannes étaient préparées au sexe, tout en restant vierges. C’était aussi le rôle des harems et des servantes. Si elles étaient de sexe féminin, c’était pour éviter que la future promise ne perde sa virginité. La virginité de l’épouse était attestée par un expert accompagnée d’un Huissier de justice, et elle avait plusieurs fonctions. Avant tout, la virginité de l’épouse garantissait qu’elle n’avait pas eu de relations adultérines, et était donc source de stabilité. Mais il s’agissait aussi d’une importante valeur ajoutée pour les futurs époux, l’expression d’un plaisir dominateur masculin. Toutefois, la Couronne avait tenu à mettre fin aux pratiques barbares consistant à présenter de jeunes femmes ignares en matière de sexe face à de vils prédateurs qui, sous couvert de l’union maritale, les violaient copieusement. La Couronne avait donc imposé un âge minimum avant le mariage, correspondant concrètement aux premières floraisons de la femme. C’était encore bien trop jeune pour certains, mais négocier autrement aurait été difficile. Surtout, il était prévu que la future épouse soit formée sexuellement. Jasmine avait eu le droit à ça. Elle avait souvent vu ses servantes nues, et, si elle n’avait encore jamais vu un sexe masculin, elle avait vu des seins, elle avait appris à s’épiler, à se coiffer, à comprendre le fonctionnement du corps humain... Toutes les futures épouses étaient formées en ce sens. Jasmine n’avait pas dérogé à la règle, et elle s’en était très bien sortie.
La belle Phasmaria était loin de rester insensible à son traitement. Avec une Terranide comme ça, arrogante et présomptueuse, la prendre par les pieds était un moyen très efficace de l’exciter. Elle continuait donc à ronronner, et observait tout, notant chaque détail. Elle voyait la concentration de Jasmine, et n’hésitait pas à remuer ses orteils pour caresser les lèvres de Jasmine, appuyant sur sa langue, sursautant à chaque mouvement lingual sur son corps.
« Hmmmm... Nyyyyuuwww... »
Les gémissements félins de Phasmaria trahissaient sa nature profonde, et le fait qu’elle était très sensible. Le toucher était par nature un sens très important chez les Terranides, mais l’huile spéciale de Phasmaria amplifiait cela sur son corps. Les baisers et les lèchements de Jasmine n’en étaient que plus agréables encore, faisant frémir la femme des pieds à la tête. Les joues rougies par le plaisir, elle se mordilla tendrement les lèvres, et sentit ensuite Jamsine s’attaquer à son autre pied, tout en déplaçant l’autre. Phasmaria sourit, et la vit se mordiller les lèvres, ce qui l’amena à réaliser qu’elle adorait ce petit geste, ce qu’elle ne manqua d’ailleurs pas de faire savoir :
« Tu es tellement sexy quand tu mordilles tes lèvres, mon amour... »
Elle comprit rapidement ce que Jasmine avait en tête, et l’aida en ce sens. La position était assez acrobatique, et elle tendit sa longue et magnifique jambe au maximum, tout en pliant l’autre, afin que Jasmine puisse y avoir accès. Phasmaria prit alors appui sur le menton de la femme avec son autre pied, et enfonça d’elle-même ses orteils dans sa bouche. Elle les remua tendrement, et continua, pendant ce temps, à caresser intimement Jasmine, se pinçant les lèvres en sentant la mouille couler le long de ses orteils. Elle releva encore son pied, et caressa la joue de Jasmine avec, puis posa son talon sur ses lèvres, tout son pied collé le long de son visage, laissant une fine traînée huileuse. L’huile imbiba notamment les narines de Jasmine, qui sentit une délicieuse odeur florale, évoquant un peu la lavande.
Phasmaria continuait son office avec son autre pied, et le remua légèrement, pour que la tranche de son pied caresse l’antre de Jasmine. Elle bougea encore son pied, et appuya avec le gros orteil sur le clitoris de la femme, et l’écarta ensuite, afin de coincer le bouton de plaisir de la femme entre le gros orteil et celui juste à côté. Elle serra alors, puis retira ses orteils, et les serra encore, pulsant contre le corps de la femme.
« J’adore faire jouir mes épouses comme ça, Jasmine, nyaaaa... Tu le sens sûrement, hein ? Tout ton corps m’appartient. Tu n’es qu’une délicieuse poupée de chair entre mes mains et entre mes pieds. Crois-moi, nyyaaawww... Je vais te faire découvrir un plaisir que tu n’aurais jamais pu imaginer, même dans tes rêves les plus fous... »
Jasmine allait jouir, non seulement en raison du talent de Phasmaria, mais aussi parce que la magie infestait les lieux, et que Jasmine y était entièrement subjuguée.
« Là, oui, ma chérie, ouiii, nyaaaa... Tu es si douée de tes lèvres, ma petite perle... Oh oui, Phasmaria t’adore déjà beaucoup ! Nous allons nous marier dès que nous serons à l’Oasis, nyaaaa, je veux... Hmmm... Te féconder dès aujourd’hui ! »