Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Iki Ota

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Prélude / Re : Une plantureuse jeune fille
« le: mercredi 22 janvier 2020, 01:19:59 »
Bienvenue ravissante enfant  :)

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Le coin du chalant / Re : Vieil homme en quête de RP
« le: dimanche 09 juin 2019, 01:59:59 »
Petit envie de RP avec plusieurs type de personnages pour Iki.

Ce dernier étant peu porté sur les rapports consentis d'ordinaire, j'ai cependant des idées pour que cela arrive quand même pour tout ce que je recherche.

je serai donc intéresse pour un RP avec :

- Une des petites-filles d'Iki
- Une des petites-filles d'Iki avec sa mère (fille ou belle-fille d'Iki)
- Une domestique
- Une domestique et sa fille
- La fille d'une domestique seule
- Une prof
- Une surveillante du lycée
- Une mère d'élève
- Une lycéenne venant d'être victime de viol au  (celui ci est l'exception, ça m'étonnerait que cela puisse être consenti de se faire monter dessus par le proviseur juste après)
- Une femme enceinte d'un premier précédent rapport avec Iki
- Une magnifique furry arrivant fraichement et tombant sur Iki comme premier terrien.

Si cela vous intéresse de jouer un de ces types de personnage, n'hésitez pas à me contacter.

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Hideo Takahashi est un vieil homme de soixante-six ans ayant fait fortune dans l'industrie textile, son parcours de vie ne lui a pas donner la chance d'avoir une femme à qui se marier, préférant la compagnie de femmes différentes chaque soir il n'était pas un homme très fidèle et son estime pour la gente féminine n'était pas bien haut, n'appréciant que leur compagnie pour la nuit. Très tôt il avait découvert la joie des soirées libertines et des club SM desquels il devint un très grand habitué, pouvant ainsi faire subir à ses partenaires toutes sortes de sévices sans pour autant devoir enfreindre les lois. S'il assumait être ce sue l'on pouvait communément appelé un "vieux dégueulasse", Hideo n'aimait pas être comparé à ses congénères qui préféraient prendre ce qu'ils voulaient sans demander leur avis aux femmes concernées.

Monsieur Takahashi était donc un peu gentleman malgré son appréciation des femmes bien peu flatteuse mais malgré ses envies et son comportement, il avait quelque chose que toutes les femmes aimaient : l'argent. Il avait bien appris au cours de sa vie que pour la bonne somme même la plus respectable des femmes cédait pour ne devenir rien de plus qu'une pute qu'il prenait plaisir à culbuter. Au final pour lui les femmes n'étaient rien d'autre qu'un objet de consommation comme un autre : on la choisit, on l'achète, on la consomme puis on la jette.

Mais depuis quelque temps, le vieil homme avait un nouveau hobbie, il commençait à se lasser des femmes mûres et il avait envie de goûter aux charmes de la jeunesse de nouveau. Il s'était donc mis à convoiter les jeunes lycéennes et étudiantes, qui donc d'autre que les ravissantes demoiselles dans cette tranche d'âge là avait besoin d'argent ? A cet âge, on a besoin d'argent pour sortir, on en a aussi besoin pour payer ses études alors quand un vieil homme vient vous proposer de vous faire gagner pas mal d'argent en contrepartie de faveurs sexuelles, certaines acceptaient.

A l'arrière de sa voiture conduite par un chauffeur, il roulait à faible allure aux alentours pour trouver des jeunes filles intéressantes. Il s'arrêta d'abord vers un groupe de trois filles, les plans à plusieurs ne le dérangeant pas, deux des trois avaient l'air plutôt intéressées mais la dernière les tira loin en l'insultant de pervers. Il continua donc le chemin jusqu'à apercevoir une silhouette qui avait l'air ravissante, grande avec des jambes sportives, une petite jupe sportive et de long cheveux noire. Arrivée à sa hauteur il descendit la vitre pour la regarder et l'interpeller :

"Hé ma chérie. Tu prend combien pour venir tenir compagnie à un vieil homme en manque d'affection charnelle ?"

La question était directe et même plutôt insultante car il la posait comme s'il s’agissait d'une prostitué mais il n'était plus à ça prêt, il n'était pas du genre à vendre du rêve il préférait être cash.


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Il savait qu’il était loin d’en avoir fini avec la jeune fille, elle semblait vraiment être devenue accro à lui ou plutôt à sa façon de faire et c’était bien son but. Le vieux pervers était une véritable bête qui marquait chacune de ses conquêtes et c’était là son plus grand fait d’arme, elles se souvenaient toutes de lui, certaines comme le monstre les ayant briser d’autres comme la cause de leur plus grande jouissance.

Il lui sourit encore et se releva en la portant pour aller retrouver le vestiaire afin de se rhabiller en l’emmenant avec lui :

« Toi aussi tu peux prendre rendez-vous pour me voir quand tu en as envie ou m’attendre vers la voiture le soir après les cours quand tu veux avoir de nouveaux les meilleurs orgasmes de ta vie. »

Il rit un peu en se demandant lequel des deux auraient le plus de s’envoyer en l’air avec l’autre.

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Le proviseur avait ses favorites et certaines filles passaient  plus souvent que d’autre entre ses mains mais c’était une situation précaire car au moment où le plaisir pris commençait à décliner la favorite pouvait se voir reléguer très loin dans le classement. Et si Mathilde faisait parties de ses favorites au vu du plaisir qu’il prenait avec elle, la voir tous les jours pouvait très vite le lasser d’elle mais ce n’était pas bien grave tant qu’il prenait son pied sur l’instant.

Il eut un petit sourire lorsqu’elle avoue que pour lui ça serait gratuit sans souci et il plongea une main dans ses cheveux pour les caresser doucement, il ne s’attendait pas à ce que ce soit si direct mais l’optique de ne plus avoir à payer le tentait bien :

« On verra ça mais peut être qu’au bout d’une semaine, tu en auras marre de toujours avoir la même chose à te mettre sous la dent. C’est intense entre nous pour le moment mais à force tu vas t’habituer à ça et ça sera moins excitant. »

C’était une possibilité tout à fait plausible mais en vérité il s’en fichai mais il voulait savoir à quel point la jeune fille se sentait affamer de lui pour le moment.

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Le confort était cette chose que tout le monde recherchait et le proviseur savait cultivé cette image d’homme puissant capable de grande chose pour le confort de ses partenaires. Évidemment, il n’allait jamais jusqu’à entrer sur le terrain de l’amour c’était un terrain bien trop dangereux qu’il ne pouvait maîtriser alors aussi forte soit ses déclarations, il mettait un point d’honneur à bien faire comprendre qu’il n’y avait que du sexe entre lui et ses partenaires. Il pouvait revêtir de nombreux masques comme le bienveillant mais jamais il n’allait jusqu’à parler de sentiment pour ne pas avoir à gérer de faux espoirs et surtout car il ne savait pas feindre ce genre de chose.

Il continua de l’embrasser en faisant danser sa langue avec celle de la jeune fille avant de le rompre finalement pour la regarder en souriant :

« J’espère que j’ai le droit à des réductions car si tu es partante pour qu’on couche tous les jours, ça va me revenir cher à force. »

Il rit un peu avant de se redresser pour se mettre assis à coté d’elle et échanger les rôles en la prenant dans ses bras contre lui. Si on retirait les usures du temps, le proviseur avait le physique que toutes les jeunes filles adorent, bien musclés, fort et avec un charisme naturel certain.

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Le proviseur était un manipulateur né et il arrivait toujours à trouver la corde sensible sur laquelle jouer pour arriver à ses fins. Certains diront que jouer ainsi avec des jeunes filles encore assez innocente était facile pour jouer au manipulateur mais c’était oublier que c’était aussi à cet âge que l’esprit de rébellion était le plus fort et c’était là le plus grand rempart à la manipulation. Sur ses nombreuses victimes, rares étaient celles à être vraiment devenue des fanatiques prêtes à tout pour lui, l’esprit était différent chez chacun et le proviseur n’était pas un dieu mais en tout cas il s’en rapprochait pour certaines :

« C’était incroyable, j’espère que je ne t’ai pas fait trop mal, j’y suis aller vraiment fort pour te donner le plus de plaisir possible. »

Il se redressa pour la regarder et posa ses deux mains sur ses joues pour l’embrasser, un véritable baiser sensuel et rempli de chaleur. Il n’avait pas vraiment besoin de ça tout de suite mais il voulait continuer de s’amuser un peu alors autant y aller franchement quitte à aller trop loin pour que ça paraisse vraiment sincère.

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Pour un homme de son âge, tenir aussi longtemps pouvait sûrement être considérer comme une performance, il s’était vraiment donner à fond pour faire flancher Mathilde et lui ouvrir les portes d’un plaisir bien plus pervers qu’une prostitué qui aime se taper des vieux. Il avait pu montrer sa vraie nature qu’il avait légèrement cachée lors de leur première rencontre coquine, cette fois-ci il s’était réellement montré comme le dominateur qu’il était, il ne lui avait même pas laissé faire quoi que ce soit d’elle même pour ne rien faire d’autre que la baiser sans vergogne.

Après du sexe aussi sauvage, il semblait pourtant être redevenu plus calme mais ce n’était que pour faire bonne figure. Il se laisser caresser le crâne et étreindre que pour lui donner un sentiment de confort qu’il s’amusa à augmenter en l’embrassant doucement sur la poitrine alors qu’il commença à lui caresser le ventre et les flancs avec une douceur en totale opposition à la sauvagerie avec laquelle il lui avait fait l’amour :

« Alors ? Qu’est-ce que t’en a pensé cette fois-ci ? »

Il releva un peu la tête pour la regarder en lui souriant  avant d’aller se frotter contre le creux de son cou, un geste souvent considéré comme mignon. Il avait remarqué la dernière fois qu’elle avait été très sensible aux petites attentions d’après le sexe alors il jouait sur cette corde pour la faire craquer encore une fois.

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Il avait bien compris qu’il n’était plus question de simple jeu salace entre eux lorsqu’elle disait lui appartenir et il en sourit, c’était une nouvelle victoire pour se prédateur cruel qui adorait se divertir avec ses partenaires jusqu’à celle qu’elle en perde la raison, le sexe avait un grand pouvoir il remerciait la nature de l’avoir doté d’un don pour ça. La prochaine étape était effectivement de finir par l’engrosser mais vu son activité, elle devait se protéger pour l’éviter mais avec un peu de persuasion à cou de butoir bien placé peut être qu’elle se laisserait convaincre d’arrêter. Cependant, elle n’était pas idiote et même si en pleine action ses pensée pouvaient s’embrouiller, une fois à tête reposée, elle ne pourrait que se rendre compte que ce n’était que pour satisfaire les perversion du vieillard et contre cela il n’avait rien à faire. Il devait donc compter sur la faiblesse d’esprit et les sentiment de dépendance au sexe pour arriver à ses faims.

Tout avait commencé par un rapport tarifé consenti mais même lorsque sa partenaire était d’accord pour s’offrir à lui, Iki était un homme foncièrement mauvais et si le plaisir de faire du mal tout de suite lui était retirer, il trouvait toujours un moyen de faire mal plus tard. Mais pour le moment il se contentait de jouir une énième fois au fin fond de l’intimité de la lycéenne, l’entrain le faisait tenir et après avoir éjaculer à de nombreuse surprise en changeant une dizaine de fois de position, il finit par la prendre à même le sol et il jouit une ultime fois, un autre liquide se mêlant au foutre dans le moment donnant l’impression d’une dernière éjaculation explosive.

Il avait tout donné et même lui se retrouvait épuisé par tout ça, et se trouva à sa laisser tomber sur elle, la tête entre les seins, en haletant de plaisir :

« Formidable. »

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Cela faisait déjà un bon moment qu’il la bourrait sans retenue et il fallait bien qu’il finisse par jouir tellement le moment était torride et puissant. Il n’avait laissé aucune place à la subtilité et avait tout du long pilonner comme un forcené l’intimité de la jeune fille qui semblait être totalement accro à ça elle aussi. Il s’était redressé à force de lui tirer les cheveux mais il n’avait pas perdu en amplitude  d’action et il lui avait jouit à l’intérieur sans se poser de question.

Il se déversait en elle mais contrairement à la dernière où il s’était arrêté petit à petit après lui avoir jouit dans le cul, il ne s’arrêta pas de la limer comme un fou furieux. Le seul moment où il lui laissa une seconde de répit fut lorsqu’il la lâcha pour la retourner de nouveau dos contre le mur de la douche et il s’était presser contre elle pour la faire tenir alors qu’il lui soulevait les jambes, une fois ceci fait, il avait recommencer à la pilonner en profondeur :

« Je vais te remplir comme une bonne grosse salope puisque c’est ce que tu demande. Je vais te baiser tous les jours jusqu’à ce que tu devienne grosse. »

Entre langage salace pour s’exciter et promesse il n’y avait qu’un pas qu’il franchissait allégrement, il avait déjà engrosser des lycéennes et il se fichait bien de savoir ce qui arrivait ensuite pour elles. Dans tous les cas, il était toujours en train de se déverser dans la petite Mathilde dans cette nouvelle position. Il la ravagerait entièrement et dans toute les position possible même si pour cela il fallait se vider pour tout une semaine.

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Le proviseur se lâchait complètement et ne se souciait lus de savoir s’il lui faisait mal ou pas et même si c’était le cas, ça faisait partie de la chose avoir mal pour encore mieux ressentir le plaisir que ses assauts répétés provoquaient :

« Ah ouai, t’aime ça qu’on te traite comme une chienne. T’ai qu’une grosse salope qui aime qu’on lui parle mal, ça t’excite de te faire dominer par un vrai mâle. »

La main qui pressait sur son dos glissa pour aller lui décrocher une immense fessée qui claqua bruyamment :

« Hein que t’aime ça ? »

Il enchaîna avec série de fessées plus violente les une que les autres allant jusqu’à lui rougir les fesses. Pour le coup, il ne lui avait pas demander son avis et ne savait pas si elle aimait aller jusqu’à ce point là dans les rapports de domination mais c’était un peu tard de montrer un signe de refus alors qu’il lui claquait les fesses aussi vite qu’il lui pilonnait sa minette avide de sexe.

Il y allait tellement fort qu’il finissait tout de même par se sentir venir mais il ne ralentit pas pour autant, il la lâcherait pas avant de lu a voir fait exploser le ventre à force de la remplir

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Il avait  décider de ne lui laisser aucun moment de répit, après tout elle aurait tout le temps qui lui faudrait après pour se reposer alors pourquoi la laisser souffler alors qu’il pouvait continuer à lui marteler l’intimité pour la faire crier encore et encore jusqu’à la faire jouir de nouveau. Il ne savait pas qu’elle était ses performances avec les autres hommes mais le proviseur n’était pas du genre à se contenter de la seconde place et chacun de ses rapports se devait de rester graver à vie dans la tête de sa partenaire, qu’ils soient consentis ou pas.

Il allait et venait avec toujours la même puissance et comme à chaque fois, les bruits faisait parties intégrante de sa manière de faire, ses bourses claquait à chaque coup de butoir alors que son sexe agissait comme un bélier frappant les profondeur de son intimité pour forcer le chemin encore plus. Une de ses mains quitta les hanches de la jeune fille pour lui agripper les cheveux avec force et il les tira pour la relever alors qu’en même temps son autre main se posait à plat sur son dos pour pousser et l’empêcher de trop se redresser. Et puisque dans cette position, il ne pouvait plus la tirer à lui pour qu’elle s’empale, il commença à bouger de lui même pour la marteler encore plus férocement :

« Hm, oui. Vas y crie. Dis des choses sales. »

Il n’avait pas besoin d’être encourager mais il trouvait cela amusant et ça lui permettait de se donner encore plus à fond.

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Il lui sourit en la regardant dans les yeux alors qu’elle faisait de même après s’être retrouvé à genoux après que le fist intensif qu’il lui avait prodigué l’ait fait flancher. En la regardant, il se demandait comment il allait enchaîner, dans cette position il aurait bien aimer se faire sucer pour  faire une petite pause et lui donner le temps de se remettre. Mais d’un autre coté il pouvait très bien continuer et ne lui laisser aucun répit et c’est au final ce qu’il décida de faire.

Il alla se positionner derrière elle pour lui agripper les hanches et la soulever, la forçant et se relever  malgré ses jambes encore tremblante. Il se frotta un peu à son entrejambe avant de poser son gland entre ses lèvres intimes et c’est à ce moment qu’il aurait du commencer ses va et vient mais au lieu de ça c’est ses hanches qu’il tira puisement pour la faire s’empaler d’un coup sec. Et c’était donc sans bouger son bassin qu’il la pénétra avec toujours la même ferveur, se servant de sa force pour la faire glisser sur son pieu. Le chemin déjà grandement préparé par le fist et ses orgasmes rendait les pénétrations plus fluides et rapides :

« Hm, ah, je suis content d’avoir garder ce chemin et de ne pas l’avoir exploré la dernière fois, les sensation n’en sont que plus jouissives. »

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Il adorait entendre ses partenaire crier, entendre à quel point elle prenaient leur pied à subir ses assauts toujours aussi brutaux. Que ce soit de pur douleur ou de plaisir, il se délectait de ces hurlements, il n’y avait rien de plus jouissif. Et il se montra encore plus insistant lorsqu’elle s’était mis à crier, il voulait la pousser à bout, la faire perdre pied et qu’elle se sente incroyablement vide lorsqu’il se retirerait. De plus en plus vite et de plus en plus fort, il ressaierait sa prise sur elle pour ne pas qu’elle s’écroule sous l’effet qu’il lui procurait.

Il la sentit jouir en se faisant inonder le bras de son jus de plaisir mais il ne s’arrêta pas tout de suite, continuant ses coups de poings profond, chacun de ses mouvement provoquait des éclaboussures et le bruit qui allait avec. Malgré qu’elle continue de crier et qu’elle ait déjà jouit, il ne s’arrêta pas, continuant de la fister toujours plus fort jusqu’à ce qu’il fasse l’une des choses les plus frustrante possible, il se retira d’un coup.

Il sourit en la regardant avant de relâcher sa prise et lui embrasser le ventre avant de remonter lentement en même temps qu’il se relevait, jusqu’à de nouveau l’embrasser sur les lèvres :

« Tu ne t’attendais pas à ça hein ? »

Il la caresse avec sa main recouverte de son jus de plaisir, c’était une bonne entrée en matière pour la préparer à la suite de ce qu’il avait prévu, il se montrerait encore plus brute que la dernière fois.

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C’était dans ce délicat mélange de plaisir et de douleur que le vieil homme aimait opérer, il ne faisait que jongler avec l’un et l’autre pour qu’au final sa partenaire se souvienne à quelle point elle aurait aimé se faire traiter de la sorte. Le proviseur n’avait aucune limite ne s’interdisait rien lorsqu’il était question de sexe, c’est pourquoi il continua de la fister brutalement en la retenant toujours. Il avait tout de même sentit que le choc l’avait fait vaciller et il voulait juste qu’elle ressente tout ce qu’il avait à lui proposer.

A force d’y aller comme une brute, chaque coup de bélier contre le fond de l’intimité de la jeune formait une légère déformation au niveau de son bas ventre et l’on pouvait suivre le chemin du poing. Ses rapides va et vient constant laissait place à de profond assaut brusque et ponctuel au cours du quel il ressortait son poing avant de le faire entrer de nouveau d’un coup et de le faire s’écraser en l’enfonçant jusqu’à ce qu’il ne puisse plus avancer. On pouvait vraiment parler de défoncer quand il agissait ainsi et il ne détournait pas son regard d’elle alors qu’il continuait encore et encore.

En vérité, il comprenait bien qu’elle retienne ses gémissements mais lui voulait les entendre, il voulait l’entendre crier, hurler de plaisir et il ne s’arrêterait pas avant qu’elle se lâche complètement et s’il fallait faire entrer le deuxième poing, il le ferait avec plaisir, il allait la rendre folle alors que pour le moment il n’avait fait qu’utiliser sa bouche et ses mains.

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