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Tekhos Metropolis / Re : Un client bien spécial [Theorem & Ishtar]

« le: samedi 19 septembre 2015, 03:39:33 »

"Tu as été superbe ma jolie... Je n'ai pas jouis mais nous avons tout notre temps... Te voir jouir était déjà une superbe expérience."

Tyria resta muette en entendant cela, cherchant toujours à retrouver son souffle tandis qu'elle sentait progressivement la chaleur dans son ventre se dissiper tout doucement. Mais le plus dur pour elle a supporter et surtout à admettre, c'était qu'elle en avait encore envie. Elle avait joui de ce simple frottement contre son intimité. Cette acte qu'elle observait parfois à travers les écrans de surveillance de son bureau et qui l'avait toujours laissée de glace la touchait maintenant de plein fouet avec un impact insoupçonné par la dernière des Stukov.

- Merci... Ne put que répondre la jeune fille d'une toute petite voix timide, tandis que ses joues prenaient feu.

Mais Ishtar n'en avait visiblement pas fini avec elle car elle continua à la caresser. Et il n'en fallut pas beaucoup plus pour faire migrer le brasier de ses joues vers son ventre à nouveau.

- Hummm... Ishtar... Laissa-t-elle échapper la voix brûlante d'un désir qu'elle ne parvenait pas à masquer.

Comme en réponse à cet appel incontrôlé, la dragonne vint doucement prendre ses lèvres et Tyria se laissa gentiment glisser dans un état de béatitude dans lequel elle devenait très passive. Elle se laissa embrasser, sa bouche ni vraiment fermée ni vraiment ouverte permettant à Ishtar de venir chercher sa langue jusque dans sa bouche. Sous la dragonne, l'humaine commença à frisonner et se tortiller inconfortablement car une dernière révolte de son esprit la poussait à tenter de fuir les caresses qui la rendaient si vulnérable.

Elle senti la main de son amante caresser son intimité, s'attaquant à une zone particulièrement sensible qui la fit couiner comme une fillette dans la bouche de sa partenaire. L'autre main reposait sur son sein qu'elle pétrissait avec ce qu'il fallait de douceur pour que ce soit agréable et ce qu'il fallait de vigueur pour lui donner envie qu'elle continue. Elle continua ainsi pendant un léger temps, mais ce fut plus que suffisant pour que la jeune brune trempe à nouveau le maillot de bain qui lui avait été prêté. Mais cette fois l'orgasme choisit de ne pas sortir, la frustrant en même temps intensément. Ses gémissement se firent plus rauques et elle commença non plus à éviter les caresses, mais à pousser son corps contre celui d'Ishtar pour appuyer plus fortement sur ses zones sensibles.

À son grand malheur, la dragonne se retira avant que ne vienne l'extase et elle gémit de déception. Puis se crispa et ouvrit de grands yeux en voyant la dragonne s'asseoir sur son ventre, sa verge venant se glisser dans l'espace ouvert entre ses seins par le maillot en "V". Ishtar lui expliqua ensuite comment poser elle-même ses mains sur sa poitrine pour la presser contre ce membre turgescent. Elle obéit, à la fois intriguée, un peu dégoûtée aussi, mais surtout fascinée. Elle connaissait cette position sous le surnom de "cravate de notaire" ou encore "branlette espagnole", mais elle n'avait jamais compris l'intérêt qui y était porté par un certain nombre de personnes la pratiquant. Certes, la personne dont le pénis se trouvait dans la poitrine de l'autre devait l'apprécier, mais celle qui pratiquait n'avait rien en retour...

- Haannnnn !!!

Elle avait parlé trop vite. Ishtar avait une chose que la plupart des humains avec qui elle faisait affaire en temps normal n'avaient pas : une queue caudale préhensile. Elle en senti d'ailleur la pointe revenir caresser sa fleure, ce qui la fit gémir à nouveau. Elle senti la verge de la dragonne noire commencer à aller et venir entre ses seins pendant qu'elle tremblait doucement pour maintenir sa prise sur sa poitrine pour continuer à offrir à son amante un bel écrin pour son sexe. Mais ensuite la queue d'Ishtar passa de son intimité à son anus et Tyria laissa échapper un petit cri de surprise en sentant la queue tourner autour de son petit orifice.

"Tu es d'accord si... on préservait ta jolie fleur ? ... J'ai très envie de te faire découvrir une forme de sexe qui est contraceptive en elle-même et tellement plaisante... Tu ne pourras plus t'en passer, fais-moi confiance."

Tyria n'eut pas besoin de réfléchir très longtemps pour savoir à quoi sa cliente faisait référence : la sodomie. Elle eut immédiatement peur en sentant trop bien le contact sur sa poitrine de l'immense sexe de son amante et s'imagina très mal comment celui-ci pourrait rentrer dans son anus encore vierge et étroit comme un l'esprit d'un commissaire politique de défunt NKVD. Mais après réflexion, elle se dit également qu'être déflorée par un tel monstre serait probablement plus désagréable encore. Même si l'essentiel de ses sensation venaient de son intimité, elle se fit violence pour hocher la tête d'un air incertaine. Elle venait d'accepter que sa première soit une sodomie pour ne pas avoir à souffrir un rapport plus classique.

Dès lors, Ishtar pris en mains la suite, afin de préparer son petit anus encore tout serré à accueillir plus avant le pénis d'Ishtar. Et il y allait y avoir du boulot.

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Tekhos Metropolis / Re : À la découverte de Tekhos (Tyria et Keyleth)

« le: jeudi 17 septembre 2015, 02:10:46 »

Tyria resta silencieuse un petit moment, regardant fixement la jeune elfe qui était sa nouvelle acquisition. Quoique "jeune" soit à prendre avec des pincettes avec cette espèce. Elle pourrait tout aussi bien avoir été déjà grand-mère quand la famille Stukov n'existait pas encore. Il lui était souvent très difficile de donner un âge à ses individus sans se tromper facilement de plusieurs siècles.

Malgré tout, l'elfe blanche décida finalement de coopérer et retira avec une lenteur funèbre ses frusques ainsi que le gilet de Tyria qu'elle regarda choir au sol sans trop s'y intéresser. Il coûtait son prix, c'était très vrai car réalisé en soie de Dryder, une espèce emblématique des elfes noirs car c'était là le sort de celles qui déplaisaient à leur déesse si Tyria avait tout saisi. Mais ce qui l'attirait plus dans cette matière, c'était doux et confortable à porter, tout en ayant des fibres suffisamment résistantes d'un point de vue solidité pour arrêter une balle de petit calibre. Ho certes, Tyria aurais sans doute quelques os cassés si elle se mettait en tête d'intercepter une balle avec son veston, mais elle serait toujours en vie et c'était un avantage peu négligeable. Mais la soie de Dryder était une matière à l'exportation plus que limitée et en obtenir coûtait cher. Très cher. Mais elle n'avait pas besoin de s'en soucier.

Pour le moment, elle avait une belle créature à peau laiteuse sous le nez et elle était dans le plus simple appareil. Tyria tourna autour d'elle, la scrutant d'un regard critique. Elle cherchait des anomalies qui l'éloigneraient encore plus d'une elfe classique en-dehors de sa couleur de peau  peu banale. Au final, elle ne releva rien de particulier. Elle cachait sa poitrine derrière ses bras, semblant plus préoccupée par ça que de cacher son intimité. Mais Tyria était la propriétaire ici et elle souhaitait tout voir.

Sans un mot, elle leva une main gantée de cuir et la passa doucement sur la main qui cachait l'un des fruits bien mûrs de la prêtresse elfe. Elle la prit doucement, ne brusquant rien. Et toujours dans un silence froid, elle capta le regard de l'elfe et se fixa dessus pendant qu'elle tirait doucement sur sa main pour révéler la partie cachée de son sein. L'esclave ne résista pas réellement et Tyria regarda avant de relâcher doucement sa main, passant le dos de cette dernière sur cette partie sensible, faisant frisonner sa nouvelle acquisition. Intriguée, Tyria prolongea un peu ce contact tactile et passa sa main à plusieurs autres endroits du corps de l'elfe blanche. Ses frémissements l'amusaient, mais elle ne savit dire pourquoi. Étant elle-même éveillée au sexe depuis seulement quelques semaines, elle découvrait encore tant de nouvelles choses à chaque fois qu'Ishtar passait la voir pour lui faire essayer un nouveau jeu ou une nouvelle position pour faire l'amour.

Et pour le moment, la dragonne noire n'avait réclamé que son anus dont elle avait fait le terrain de jeu privilégié de son membre de transsexuel. Pour ce qui était de son organe reproducteur, même si Tyria détestait qu'on le crie sur les toits, il était de notoriété publique dans tout le harem que la maîtresse des lieux était toujours vierge par-là. Et elle soupçonnais fortement ce gredin de Théorem d'être à l'origine de la fuite qui avait tant fait rire d'elle.

- La douche est par-là... Finit-elle par laisser tomber en relâchant la hanche de l'elfe qu'elle se contentait de frôler de sa main gantée.

Elle laissa partir l'esclave car la douche en question était automatique et se contrôlais par la voix. Elle n'avait donc pas besoin d'apprendre à s'en servir. Elle avait aussi une autre fonction amusante : celle de pouvoir servir de cabine d'imagerie par résonance sonique. En d'autre terme, la cabine était un scanner qui permettait d'obtenir toutes les mesures exactes de la personne qui y rentrait tout en la lavant et ce sans qu'elle s'en rende compte. Ce qui servit à Tyria pour passer commande à son robot de confection. Il était hors de question de laisser 012 se promener dans le petit ensemble outrageusement provocant que les esclavagistes lui avait donné.

Elle fit tailler une nouvelle robe pour sa propriété et sélectionna la confection de toute une série de sous-vêtements ainsi que de deux autres tenues plus sages et plus urbaines. Tyria ne savait pas encore si elle allait mettre cette esclave au travail comme n'importe laquelle autre de son harem, mais plus elle y pensait et plus elle en doutait fortement. Cette créature-ci, elle s'imaginait plutôt se la garder pour elle personnellement. Après tout, Ishtar lui avait fait essayer le sexe avec un organe masculin sur un corps très féminin. Elle était curieuse de découvrir ce que cela faisait d'avoir affaire à une partenaire entièrement féminine.

Quand Keyleth sorti, Tyria était en train d'expédier des affaires courantes et des factures.

- Ta robe est sur le présentoir, dit-elle en ouvrant une armoire murale d'un claquement de doigts, laissant voir une belle robe blanche et bleue assortie à la couleur de cheveux de Keyleth pour la partie blanche et aux décorations formant les épaulières en soie des îles de Nexus agrémenté de fils d'argent et d'Azurite, une pierre semi-précieuse au profond reflet bleuté.

Tyria se leva de son bureau et s'approcha de la robe avant de cueillir les sous-vêtements qu'elle déploya ensuite.

- Ça devrait être à ta taille... Dit-elle même en sachant qu'ils étaient fait sur mesure.

Elle s’agenouilla alors, ses mains écartant les jambes de la culotte pour que l'elfe l'enfile. Celle-ci hésita, ce que Tyria comprenait assez. Ce n'était pas exactement anodin de se laisser habiller de A à Z et normalement il fallait une certaine dose de confiance pour se laisser ainsi aller. Mais ici la confiance était tout simplement remplacée par la peur de la punition. Cependant, Tyria voulait aussi se servir de cela pour voir si l'elfe oserait se laisser aller au point de se laisser habiller par elle. Quand l'esclavagiste eut terminé de fermer le dernier fermoir de la robe, elle fit asseoir l'elfe devant une coiffeuse et entrepris de lui brosser longuement les cheveux pour les démêler de leur manque de soins lors de la captivité de sa nouvelle acquisition. plusieurs dizaines de minutes plus tard, l'elfe avait retrouvé une chevelure lisse et belle à voir. Mais Tyria ne s'arrêta pas là et entrepris de la coiffer, toujours en silence, la dotant d'une coiffure un peu compliquée composée de nombreuses tresses avant de glisser dans ses cheveux des broches plaquées d'or blanc et serties de saphirs bleu pour tenir le tout. Elle termina par attacher autour du cou de l'elfe une somptueuse parure d'argent elle aussi décorée de pierres précieuses bleues.

Comme une poupée qu'on habille, Tyria avait habillé Keyleth comme une reine. Mais ensuite, elle ne savait trop quoi faire. Elle se contenta de la regarder dans le miroir, somptueuse créature qu'on aurait jurée prête à se lever pour commencer à distribuer ses ordres à toute la maisonnée d'un ton royal. Et Tyria se mit à attendre sa réaction.

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Tekhos Metropolis / Re : Un client bien spécial [Theorem & Ishtar]

« le: vendredi 11 septembre 2015, 00:23:52 »

Tyria avait lâché prise. Il n'y avait pas d'autre manière de décrire ce qu'elle avait fait. Tel la chute du rideau de fer, la jeune fille avait laissé parler ses envies avant ses sentiments ou sa logique et s'était laissée déborder par tout ce qu'elle retenait en elle. Elle avait tenté d'embrasser cette dragonne qui était sa cliente. Et après, c'était cette Ishtar qui l'avait finalement embrassée. Mais pas méchamment ou bestialement. Longuement et doucement, permettant à le jeune femme de temporiser un peu ses désirs et de recommencer à réfléchir plus posément.

J'ai sauté sur une cliente ? Ho mon dieu ! Bon d'accords, elle m'a réclamé en première, mais pourquoi ? Pourquoi ais-je cédé ?

La réponse lui vint d'elle-même quand Ishtar la porta sur le lit et qu'elle ne s'y opposa pas. Elle ne se sentait pas acculée ou même forcée. Au contraire, elle se sentait même plutôt… Confiante ? Avec une créature qu'elle ne connaissait que depuis quelques heures ? Ça n'avait pas de sens !

Pourtant, les faits étaient là. Elle se laissa retirer ses sous-vêtements sans protester, appréciant au passage la caresse des gants en latex de la dragonne sur sa peau. Elle qui avait honni le latex à l'époque où sa gouvernante tyrannique l'avait forcée à en porter, elle trouvait soudain ce contact agréable. Elle n'osait plus rien dire et recouvrit timidement son intimité et sa poitrine à l'aide de ses bras pendant qu'Ishtar la grondait comme quoi ses sous-vêtements n'avaient rien d'esthétique.

À court d'idée de réplique, la jeune fille se contenta d'hocher la tête, acceptant la remontrance sans broncher, à des lieues de la Tyria qui avait gouverné ce harem d'une main d'acier implacable dans un gantelet d'airain. Mais il fallait se rendre à l'évidence. Tyria avait dix-huit ans et n'était au fond qu'une adolescente blessée dans son intimité incapable d'étouffer pour toujours ses désirs et ses envies. Pas une tueuse froide et implacable comme l'image d'elle qu'elle avait reconstruite après avoir étranglé sa gouvernante et utilisée les pouvoirs surnaturels d'un objet magique pour vaporiser ses parents qui l'avaient confiée à son bourreau en toute connaissance de cause.

Ho, cette Tyria-là existait bien. Elle était sa logique froide comme un hiver Russe qui pensait d'abords à sa survie et ensuite en termes de pertes et profits. Mais elle avait eu l'ascendant trop longtemps et maintenant l'autre Tyria, la jeune femme qui voulait découvrir son corps et s'autoriser un peu d'amour et de tendresse, avait pris le dessus et remisé sa personnalité dominante au placard comme on y range une veste trop portée et usée.

Mais cette nouvelle veste était encore plus fragile que la précédente. Un jugement de trop, une parole malencontreuse, un geste déplacé et elle savait qu'elle allait voler en mille morceaux et était encore moins sûre de parvenir à les recoller avant la fin de sa vie.

Et en ce moment, elle était en train de se laisser faire entre les mains agiles et visiblement expérimentées de sa cliente. Guère plus qu'une pauvre poupée de chiffons en cet instant précis. Trop timide pour participer plus, trop apeurée pour chercher à s'enfuir ou a résister et en même temps dégustant les caresses sur son corps comme une noyée qui aspire l'air après en avoir été trop longtemps privée.

- Hmmmm… Haaaaa… Soupira-t-elle tout bas tandis que la dragonne noire finissait de lui enfiler son maillot de rechange.

Il était un peu large à l'entrejambe, mais Ishtar avait à cet endroit des arguments que Tyria n'avait pas du tout.

Sa partenaire fit un très beau commentaire à ce moment qui fit délicatement rosir les joues de la jeune brune. Et pour la première fois depuis leur rencontre, Tyria laissa les bribes d'un sourire déformer la commissure de ses lèvres. Un sourire timide, mais heureux qu'on la trouve jolie. Elle s'étonna en même temps que ce latex tant honnis ne la fasse pas souffrir en ce moment précis. Dans son enfance, elle avait toujours eu des plaques rouges sur la peau et des démangeaisons atroces dès que sa gouvernante la forçait à porter ces humiliants vêtements de latex qui révélaient tout ce que des habits auraient dû cacher. Mais cette fois, non seulement son intimité et ses seins avaient les bonnes parties couvertes, mais en plus elle n'y faisait pas de réaction allergique. Elle ouvrit de grands yeux en s'émerveillant de cette découverte. C'était un vrai miracle dans son esprit.

- Co… Comment c'est possible ? Normalement je suis allergique au latex… Alors pourquoi plus maintenant ? Laissa-t-elle échapper à voix haute.

Ishtar lui glissa une explication possible au sujet de latex synthétique de mauvaise qualité  mais peu couteux qui avait des effets allergènes connus et reconnus et se vanta de la qualité du latex de son pays, naturel à 100% dont était fait le maillot qu'elle portait en ce moment. Tyria hocha la tête, trouvant l'explication logique et se jurant de se documenter plus tard.

Mais la dragonne continua à s'occuper d'elle et lui écarta gentiment les cuisses sans forcer. La dernière des Stukov rougit violement en se demandant si la dragonne n'allait pas bien trop vite en besogne après l'avoir tout juste habillée avec ce maillot de bain en "V". Mais à sa grande surprise, Ishtar se contenta de poser son sexe contre son intimité à travers le maillot. Aucune contact direct, c'était… Extrêmement chaste comme technique en fait.

Pourtant, dès les premiers frottements de ce pénis largement piercé, Tyria rejeta la tête en arrière et poussa un gémissement de plaisir qui tenait plus du râle. Sa vulve gonflée de désir et sa trop longue frustration accumulée au cours des années mettait son plaisir à fleur de peau et celui-ci ne demandait qu'à éclater à tout instant. La jeune fille se mit à se tortiller sous sa partenaire, agrippant els draps et le coussin sur lequel elle ait sa tête tandis que des gémissements rauques et sans fin s'échappaient de sa bouche.

C'était chaste, et pourtant c'était obscènement bon !

- Haaannnnn !!! Hooo la vache !!! OUIIIIIIII !!! ENCORE ! HNNNNNN !!!

Elle entendit la question d'Ishtar et ne sut ni quoi en penser, ni quoi y répondre. À moins d'être honnête ? Que voulait-elle là juste maintenant…

- Je… Hmmmmm… Je… Je crois que j'ai…Aussi… Haaaaa… Envie de toi… Ishtar… Admit-elle d'une petite voix timide, les joues encore plus rougies à la fois sous l'excitation et la gêne.

Tyria continua de s'agiter de manière spasmodique sous la dragonne noire qui ne faisait au fond que se masturber contre sa petite fleur. Stimulant son bouton de plaisir au-delà de tout ce que Tyria pensait possible et avait jamais expérimenté. Elle comprit soudain un peu mieux pourquoi Sodoka couvait Korus de tels regards quand elle savait qu'elle allait avoir la possibilité d'être avec le même client que lui. Les secondes devinrent des minutes et les minutes des heures dans l'esprit shooté au plaisir de la jeune fille qui ne tint ainsi que relativement peu de temps pour son premier vrai rapport sexuel.

- HOOOOOOOO !!! JE… ISHTAR, JE…

La dernière des Stukov fut soudain parcourues de spasmes violents et gicla son liquide féminin dans le fond du maillot de sa cliente en jouissant bruyamment.

- HAAAAANNNNNNNN !!!

Puis elle retomba, pantelante et sans forces dans le lit, le corps tremblant, le souffle court.

Elle venait de jouir pour la première fois de sa vie. Et ça avait été extrêmement bon !

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Tekhos Metropolis / Re : Un client bien spécial [Theorem & Ishtar]

« le: vendredi 07 août 2015, 14:27:11 »

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Tyria vit la dragonne sortir de la douche... Aussi habillée qu'elle y était entrée, mais elle semblait au moins plus propre. Elle ne voyait plus toutes ces traces de lubrifiant et de sperme sur elle, même si imposant service trois-pièces était encore visible, pendant désormais entre ses cuisses son excitation étant un peu retombée. La dragonne noire fit un commentaire sur ses sous-vêtements et la jeune brune parvint à ne pas rougir de celui-ci au prix d'un certain  effort pour calmer son cœur.

- Je suis déjà bien pourvue en dessous, commenta-t-elle aussi neutrement que possible à la proposition, ou du moins ce qu'elle estimait une proposition, qui lui était faite.

Elle regarda la dragonne la détaille en s'approchant et ne put que remarquer que son sexe se dressait gentiment à nouveau.

Cette Ishtar a vraiment une libido sur-développée ! Songea l'humaine en se sentant moins à l'aise de voir ainsi ce membre l'approcher à nouveau.

Elle l'approcha tout doucement, sans parler, comme si elle essayait d'apprivoiser un animal craintif, ce qui la vexa presque autant qu'elle l'apprécia. Puis la dragonne reprit la parole et l'humaine n'osa soudain pas répliquer. Caresser son ventre ? Pourquoi pas... Mais remonter jusqu'où ? Elle eut envie de le demander, mais sa gorge resta sèche, refusant soudain de lui obéir.

Elle se fit violence pour ne pas trembler quand les mains gantées de latex noir de la dragonne se posèrent sur sa peau. Mais elle n'en menait vraiment pas large. La seule chose qu'elle parvint à faire fut de conserver son apparent masque d'indifférence, mais elle était consciente que toute tentative pour modifier son expression faciale la trahirait avant qu'elle n'aie le temps de dire "ouf".

Mais la dragonne ne se contenta absolument pas de passer ses doigts sur son ventre et de caresser son nombril, elle finit par remonter sur une partie bien plus problématique de son anatomie et Tyria ne put retenir un frisson la parcourir et senti la chair de poule se former sur sa peau. Son moi intérireur repassa soudain devant ses yeux toutes les techniques martiales qu'elle connaissait pour se dégager et riposter contre ces attouchements. Mais une nouvelle fois, son corps la trahit et refusa d'appliquer ce que son esprit souhaitait.

Elle senti son cœur recommencer à battre plus vite et tous ses efforts pour réguler discrètement sa respiration ne parvinrent qu'à ralentir le processus. Elle sentit doucement sa poitrine gonfler légèrement et durcir tandis que ses tétons se mettaient à pointer à travers son soutien-gorge. L'excitation la gagnait petit à petit et l'envahissait comme un venin brûlant et visqueux, parcourant ses veines de leur relents noirâtres et aux allures du latex dont était vêtue celle qui le distillait en elle.

Et Tyria resta parfaitement immobile, l'air aussi implacable qu'avait pu l'être sa Russie originelle avant que les Stukov ne s'en exilent avec la montée au pouvoir des Soviétiques. Mais son corps parlait pour elle, de par les signes d'excitation qui se multipliaient, de par sa chaleur qui augmentait et de par la toute petite tache bien ronde de la goutte de sécrétion vaginale ayant échappée au blocus que Tyria imposait à son corps pour s'abîmer dans sa culotte.

Autant son corps était excité, autant son esprit était aux abois. Et le mélange faisait qu'elle en devenait incapable de décider quelle réaction choisir.

Les mots d'Ishtar sonnèrent alors le glas de sa résistance. L'embrasser ? Pourquoi faire ? Ne la mettait-elle pas déjà suffisament au supplice ? Pourquoi en rajouter encore ? Pour le plaisir de la voir perdre ses moyens ? Pourquoi...

Mais pendant que son cerveaux s'interrogeait, une nouvelle fois son corps réagit avant qu'elle ne le remarque. Elle avait relevée la tête, l'avait penchée légèrement sur le côté pour éviter que son nez ne heurte le museau de la dragonne et ses lèvres s'étaient approchées de celles de son interlocutrice.

NON !

Sur un ultime sursaut de résistance, son esprit parvint à dévier son geste et les lèvres de Tyria effleurèrent finalement la joue gauche et le coin de la bouche d'Ishtar. Mais le masque était déjà fissuré et Tyria Stukov le savait très bien. Alors dans une sorte d'élan soudain dû à son énorme frustration et passa soudain ses deux bras autour du cou d'Ishtar, agrippa sa tête et plaqua ses lèvres contre les siennes, cherchant à les goûter de manière à la fois désespérées et amateur au possible.

- Hmmm... Hnnnn !

C'était dit, Tyria n'y connaissais au sexe que la Théorie. Et même si elle était très bien documentée, la pratique n'avait strictement rien à voir, comme en témoignait sa manière d'avoir soudain enroulée ses jambes autour de la taille de la dragonne et ainsi coincé son sexe entre leurs deux corps. Elle se retenait à la créature comme un bébé koala à sa mère et semblait vouloir s'y agripper de toutes ses forces, fisant découvrir par la même qu'elle en avait plus que son physique ne le laissait supposer. Bien plus.

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Tekhos Metropolis / Re : À la découverte de Tekhos (Tyria et Keyleth)

« le: vendredi 07 août 2015, 02:23:16 »

La dernière des Stukov nota scrupuleusement les informations que lui donnait l'elfe blanche dans un coin de sa tête. Ou plus précisément, se servit du petit appareil accroché à son oreille pour l'enregistrer. Elle trierait ensuite les informations et les ajouterais à sa base de données.

La seule question qui vint à son interlocutrice après qu'elle l'ait marquée fut de simplement demander où elles étaient. Tyria pencha la tête de côté et réfléchit quelques secondes à cette question avant d'hausser les épaules.

- Tu es à Tekhos, une république matriarcale qui dénigre les mâles. Au-delà de ça, te détailler toutes les spécificités prendrait trop de temps. Sache juste qu'ici la technologie est la plus avancée de tout Terra et pour le reste, tu t'habitueras.

Elle se tourna ensuite vers un de ses robots.

- SR-6, quel est l'identifiant de mon dernier esclave ?

- 011, Maîtresse. Répondit le robot de sa voix synthétique sans la moindre intonation.

- Bon, dit la jeune femme en se tournant vers l'elfe blanche. Dorénavant tu seras 012. C'est ainsi que je t'appellerais et c'est à ce matricule que tu devra répondre, l'informa-t-elle avant de se diriger vers la porte tandis qu'un robot lui emboîtait le pas et que l'autre se portait au côté de l'elfe pour l'escorter et la forcer à suivre sa nouvelle propriétaire.

Il fallut près de vingt minutes de voyage dans la limousine volante de Tyria pour rejoindre la Tour Stukov. De là, le chauffeur, également une entité synthétique, se posa dans le garage situé quelques cinquante étages plus bas, au niveau inférieur de la tour sans pour autant être le rez-de-chaussé, loin s'en fallait. Tyria et Keyleth, maintenant resurnommée 012, montèrent dans l’ascenseur qui les emmena au terme de quelques minutes d’ascension rapide à l'entrée du Harem de Tyria. Un vaste salon d’accueil carrelé de marbre sombre veiné de blanc s'ouvrit devant elles, un long comptoir de bois aussi lustré que le sol et parsemé de dorures barrait le mur de droite et une image holographique bleutée simulant une hôtesse aux rondeurs attrayantes se matérialisa en les détectant, le haut de son corps dépassant du comptoire.

- Bonsoir Maîtresse, ravie de vous revoir, lui sourit l'hologramme.

- Rodina, fait couler un bain dans mes quartier et fait-y monter mon robot-médecin. Et scanne le visage de 012 pour la rajouter à tes bases de données. Elle est ma nouvelle esclave, lui ordonna rapidement la jeune fille brune en passant devant elle pour rejoindre un autre ascenseur.

- Bien Maîtresse, acquiesça la projection avant de tourner son visage souriant vers l'elfe et de rester muet deux secondes.

Puis elle disparut et le robot poussa l'elfe blanche dans l’ascenseur avec Tyria. Mais tous deux restèrent à l'extérieur et ne montèrent pas avec elles. Tyria pressa sur la touche menant à ses appartement qui contrôle au passage ses paramètres biométriques pour confirmer qu'elle était bien elle-même.

La cage déboucha sur une vaste pièce faisant office de bureau et de salle de réunion pour la jeune femme. D'ailleurs, sont grand bureau en métal occupait l’essentiel de l'espace ainsi que la grande table de réunion. PLusieurs portes se trouvaient dans la pièce et Tyria prit doucement la main de sa nouvelle esclave pour la guider vers une porte.

- Tu ne crains rien ici 012. Nous allons simplement te laver et t'habiller. Ensuite on verra ce qu'on fera de notre soirée, mais je pense que nous allons surtout discuter. Tu m'intrigues, je n'avais jamais croisée de créature comme toi avant.

Tyria ouvrit la porte qui menait à une grande salle de bain elle aussi carrelée de marbre noir veiné de blanche et contenant une immense baignoire pour plusieurs personnes ainsi qu'une cabine de douche assez grande dotée de jets à plusieurs hauteurs pour effectuer un aqua-massage à la personne qui s'y doucherait.

- Bon, veux-tu bien te déshabiller en face de moi ou bien dois-je partir du principe que je vais devoir te forcer ? Demanda Tyria d'un ton assez neutre en se tournant vers l'elfe.

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Tekhos Metropolis / Re : Un client bien spécial [Theorem & Ishtar]

« le: vendredi 31 juillet 2015, 12:55:59 »

Tyria vit la dragonne noire jouer un moment avec sa poitrine avant de s'en désintéresser pour commencer à user du gode anal qu'elle avait dans son fondement sous le regard surpris de la jeune femme.

Je n'avais pas remarqué qu'elle avait ça dans ses fesses !

La dragonne lui répondit que la raison principale à son physique était que les choses avaient été faites avec des moyens réduits. Mais que si aujourd'hui elle avait choisit de le conserve c’était parce qu'elle était fière de son parcours et que son corps en était la preuve. Ce disant, elle continua à se ramoner le fondement à l'aide de son gode en obsidienne qu'elle faisait sortir et entrer en elle en un spectacle obscène qui pourtant fascina Tyria. Quand elle l'entendit parler de lui "couper son petit truc pour lui en mettre un plus gros", elle fronça les sourcils, un peu moins sûre d'elle. Ça restait une mesure assez extrême dans son esprit, mais elle chassa cette pensée en se disant que ce n'était pas son problème. Elle en avait un autre beaucoup plus massif en main à gérer pour le moment.

Elle senti la grosse verge d'Ishtar se contracter dans le onahole et alors que cette dernière poussait un long gémissement à son avis fort peu féminin, elle éjacula si fort dans le sextoy que celui-ci déborda littéralement. La jeune femme banda ses muscles pour maintenir le sextoy, surprise par l'afflux soudain et massif de liquide, mais n'eut pas à utiliser toute sa force pour le maintenir en place. Le liquide dégoûtant coula hors du carcan de silicone et ruissela sur les testicules de la dragonne tandis que Tyria regardait la scène à la fois répugnée et en même temps presque envieuse. Elle même ne se souvenait pas avoir jamais atteint l'orgasme auparavant et elle jalousait la facilité avec laquelle son interlocutrice semblait pouvoir se laisser aller entre les mains d'une parfaite inconnue.

Elle aida ensuite la dragonne à retirer le sextoy rendu collant par le mélange de sperme et de gel lubrifiant qui faisait effet de ventouse sur son membre. Une fois celui-ci retiré, elle le jeta dans le bac de réecption du matériel utilisé qui s'empressa de le descendre à la laverie automatique. Elle retira également ses gants devenus poisseux qu'elle jeta à leur tour dans le même bac avant d'en sortir une nouvelle paire de sa poche qu'elle s'empressa de renfiler. Elle ne se sentait pas à l'aise de laisser sa peau découverte et s’assurait de toujours la recouvrir au maximum, même si en ce moment ça devenait difficile. Elle commençait à avoir excessivement chaud dans son costume et elle n'en comprenait pas bien la source. Elle tira un peu sur le nœud de sa cravate noire pour la desserrer alors qu'Ishtar se penchait sur elle.

Elle s'approcha même extrêmement près du visage de Tyria à tel point que celle-ci se renfonça dans son fauteuil et loucha sur le museau de la dragonne.

- Je ne suis pas une de mes esclaves, gromella Tyria d'une voix guère convaincante. Vous ne pouvez pas m'ordonner de me déshabiller comme ça... Même pour rester en sous-vêtements...

Elle resta quelques instant songeuse avant de repousser le museau de la dragonne noire.

- Bon, j’accepte votre requête à titre exceptionnel... Mais Богом(par Dieu), lavez-vous avant, vous êtes dégoûtante ! C'est ma condition pour accéder à votre requête.

La dragonne sembla la jauger du regard pendant plusieurs autres secondes avant de finalement se retirer et se diriger vers une cabine de douche présente dans la pièce. Sitôt la porte de la cabine fermée, Tyria poussa un soupir de soulagement. Elle ne savait pas bien ce qu'il venait de se passer mais elle avait le sentiment d'avoir gagné quelque chose.

D'un geste rapide, elle prit le contrôle de la console de commande et lança le programme de nettoyage de la pièce. Un robot d'entretien à l'allure féminine sorti d'un logement dans le mur et, armée de ses injecteurs de produits de nettoyage implantés, de ses aspirateurs et de ses systèmes de nettoyage, entrepris de faire disparaître et désinfecter toute traces laissées par la dragonne noire au profit d'une odeur de désinfectant mélangé à une arôme d'amande, fragance qui avait le dont de calmer Tyria.

Mais malgré que ls tension redescende doucement, Tyria était une femme de parole. Elle tira donc sur sa cravate pour la dénouer franchement et la roula avant de la mettre dans la poche de sa veste. Elle déboutonna ensuite celle-ci qu'elle posa sur le dossier de sa chaise avant d'y faire suivre son gilet sans manche et sa chemise blanche, qu'elle replia pour la poser comme si elle était prête à être rangée dans son armoire sur la console de la pièce. Tyria portait encore ses gants et un soutien-gorge souple noir plutôt sportif en-dessous qui retenait difficilement sa poitrine plutôt généreuse pour sa taille. Tyria n'aimait pas beaucoup que sa poitrine soit aussi développée, elle la trouvait encombrante, surtout dans l'art martial qu'elle pratiquait.

Poussant un soupir, elle tira ensuite sur son ceinturon de cuir pour le dégrafer et ensuite ouvrir le bouton pui descendre le zip de son pantalon. Elle s'assit ensuite pour délacer et enlever ses mocassins de cuir noir qu'elle rangea bien parallèles avant d'y glisser ses chaussettes. Puis elle fit glisser son pantalon le long de ses longues jambes fuselées aux muscles bien dessinés par sa pratique martiale. Tyria était redoutable avec ses coups de pieds et elle en était fière, du coup elle n'hésitait pas muscler un peu ses jambes pour gagner plus de punch. Elle replia le pantalon qui alla rejoindre la chemise sur la console avec son ceinturon encore passé dans les boucles de celui-ci. Il n'y avait rien à dire au sujet de la culotte de Tyria. Aussi noire que son soutien-gorge et aussi fonctionnel que ce dernier, dans une matière synthétique pour pouvoir pratiquer du sport avec, il n'y avait que les deux bandes blanches des adhésifs de sa lingette qui en dépassaient, rendant le tout aussi sexy qu'un sac à patates. Mais Tyria n'avait justement rien de sexy dans ses armoires. Tout était centré autour de son confort personnel et de son envie presque maniaque de s'habiller dans une mode très masculine qui lui autorisait une plus grande souplesse de mouvement qu'avec des jupes encombrantes ou des décolletés ne tenant pas bien sa poitrine. Elle frissonna et hésita à retirer ses gants. Mais préféra au final les garder. Par contre, elle augmenta la température du chauffage au sol tandis que le robot d'entretiens s'en aillait, laissant la pièce aussi propre que quand Ishtar l'avait trouvée.

La jeune fille se rassit dans son siège et attendit que la dragonne termine de se nettoyer, croisant les jambes dans un geste nerveux pour cacher sa vulnérabilité et hésitant aussi très fortement à couvrir sa poitrine de ses bras. Mais elle opta finalement pour une posture soi-disant décontractée où elle appuya son coude sur un des accoudoirs et vint appuyer ensuite sa joue sur son poing fermé, l'autre bras reposant nonchalamment sur l'autre accoudoir. Ce n'était pas la première fois qu'elle voyait des gens nus, après tout !

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Tekhos Metropolis / Re : À la découverte de Tekhos (Tyria et Keyleth)

« le: samedi 25 juillet 2015, 13:07:22 »

Dans la salle de retrait des enchères, Tyria stuckov attendait, habillée de son tailleur masculin noir avec cravate et gants de cuir assortis. Elle n'avait pas pour habitude de se mêler à la jet-set de Tekhos, surtout pour quelque chose d'aussi peu dans ses priorités qu'une vente d'esclaves. Encadrée de deux de ses robots-sentinelles, elle était assise, jambes élégamment croisées, dans un siège confortablement rembourré tandis que le comptable de la compagnie procédait aux transactions financières depuis les comptes de la jeune femme et qu'une autre humaine en tailleur plus féminin car portant une jupe, remplissait les contrats d'achat et réglais la paperasse administrative.

La jeune Stukov se demandait encore ce qu'il lui avait pris. Avait-elle été atteinte d'une sorte de fièvre acheteuse due à l'effet de se retrouver au milieu de toutes ces personnes venues pour se doter d'un nouvel esclave à ajouter à leur collection ? C'était ridicule, mais plausible. Mais surtout ridicule car elle était déjà propriétaire d'un harem qu'elle avait fondé avec les anciens esclaves de ses parents en guise de force de travail. Et ce Harem lui servait avant tout de vengeance contre eux. Y ajouter une personne qui n'avait rien à voir avec cette histoire relèverait de la cruauté pure et simple. Et même si Tyria avait la réputation d'être une sorte de "rideau de fer" tout soviétique aux demandes de ses esclaves, elle n'était pas non plus quelqu'un de foncièrement cruel. Elle n'aimait pas ça, même si sa colère la faisait régulièrement se transformer en monstre de froideur quand il était question du sort des anciens esclaves de ses parents.

Sauf que là, elle n'avait aucune idée de ce qu'elle allait bien pouvoir faire de cette acquisition. Ni même de pourquoi elle avait ressenti le besoin de se battre pour acquérir cette créature. Il était vrai qu'on avait jamais vu d'elfe de cette couleur auparavant et cela l'intriguait. Elle avait une elfe dans son Harem qui, malgré sa soumission absolue et sa manie de faire comme si elle ne savait rien, en connaissait un rayon sur les autres espèces. Elle espérait qu'elle pourrait peut-être l’aiguiller sur où sortait cet étrange spécimen.

Les robots tournèrent leurs "têtes", contenant surtout leurs capteurs vers la porte qui s'ouvrit dans le mur et par laquelle deux personnes entrèrent, un homme doté d'un archaïque gourdin et son achat, encore très légèrement vêtue de sous-vêtements d'une genre révélateur. Tyria Stukov resta de marbre tandis que la femme en face d'elle lui confirmait que tous les papiers étaient en ordre et que la comptable donnait son feu vert, confirmant que le payement avait bien été délivré.

Les choses étaient faites, Tyria Stukov venait d'acheter fort cher une esclave dont elle ne savait que faire. Il était désormais trop tard pour reculer et elle doutait que le vendeur ne fasse des reprises.

En voyant les deux personnes approcher, les robots relevèrent les sécurité de leurs élégants fusils à chocs, faisant doucement monter dans les aigus la charge de leurs armes et faisant hésiter l'homme traînant l'esclave par le bras.

- Vous n'avez pas besoin d'approcher plus près, Dit Tyria le visage complètement inexpressif à l'homme sur le ton de la simple constatation. Je n'aime pas avoir de gens armés dans mon entourage immédiat. Vous pouvez également relâcher ma propriété, je ne pense pas qu'elle puisse s'enfuir bien loin avec toute la sécurité de cette tour sur le qui-vive.

L'homme relâcha le bras de l'elfe blanche avant de se reculer de plusieurs pas, ce qui eut pour effet que les robots remirent les sécurités en place sur leurs armes qui, bien que non-létales, pouvaient malgré tout être douloureuses et induire aisément un état de perte de connaissance. Le bruit aigu diminua doucement tandis que l'homme se retirait de la pièce avec la comptable et la responsable administrative qui promit que le reste des documents suivraient à son adresse après lui avoir remis une puce de données sur son achat récent.

Une fois tout le monde parti et ne laissant plus que la jeune femme brune, ses deux robots-sentinelles et son esclave dans la pièce. Tyria demeura silencieuse, laissant un lourd et inconfortable silence s'installer. Elle détailla sans se cacher le physique de sa nouvelle acquisition. Elle avait un corps magnifique, une teinte de peau des plus atypique, des yeux ensorcelant, une bouche attirante... Elle était une sorte d'appel, de tentation incarnée et Tyria commença à comprendre un peu mieux pourquoi elle s'était portée acheteuse. Cette esclave l'attirait, et du côté sexuel de la chose.

C'est donc officiel, si je ne suis pas bi, au minimum je suis lesbienne... Songea la jeune fille en poussant un léger soupir avant de se lever et d'avancer à pas agiles, presque félin en direction de son acquisition. Elle s'arrêta en face d'elle et la toisa en silence toujours avant de tendre une main et de cueillir délicatement une mèche de ses cheveux qu'elle regarda de plus près. Ils étaient si fins qu'elle s'en étonna, même si elle n'en montra rien. Elle relâcha cette mèche et tourna ses pupilles brunes vers celles de l'esclave.

- Tu es bien silencieuse, pourtant je me doute que tu n'en penses pas moins... Quel est ton nom ? Comment es-tu arrivées ici ? Demanda-t-elle de son ton neutre tout en déboutonnant son pardessus.

Elle écouta la réponse tandis qu'elle retirait le survêtement de ses épaules, libérant son gilet noir et sa chemise blanche d'en-dessous de celui-ci. Puis elle posa celui-ci sur les épaules de l'elfe. Il était suffisament lon pour qu'une fois refermé, il soit presque à la même hauteur qu'une minijupe sous ses fesses, même si du coup il faisait aussi un décolleté plus que plongeant s'arrêtant juste sous le niveau des seins.

- Enfile-ça, tu vas prendre froid sinon... Dit-elle sans changer d'un iota son ton neutre. Je me nomme Tyria Stukov. Je suis ta nouvelle propriétaire. Quand à savoir ce que je vais faire de toi... J'y songe encore... Dit-elle en sortant une sorte de pistolet-injecteur de sa poche. Navrée, ça va pincer un peu, mais c'est pour éviter que ces deux-là te considèrent comme une menace, dit-elle en désignant du pouce les robots dont les têtes semblaient fixer assidûment l'esclave. Et ça permet aussi de te marquer comme m'appartenant, expliqua-t-elle en lissant un peu la peau de la nuque avant d'appliquer l'injecteur qui pinça fortement la peau pour y faire entrer la puce RFID qui s'activa en absorbant les impulsions électrique du système nerveux.

La dernière des Stukov rangea ensuite l'injecteur dans sa poche et massa doucement du pouce la peau qui s'était assombri à l'endroit de l'injection.

- Bon, maintenant que c'est fait, est-ce que tu as des questions avant que nous ne rentrions chez moi ? Des questions pertinentes de préférence... Précisa-t-elle

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Tekhos Metropolis / Re : Un client bien spécial [Theorem & Ishtar]

« le: samedi 25 juillet 2015, 12:02:10 »

La jeune Stukov cessa complètement de s'intéresser à l'écran tandis que la dragonne noire en face d'elle lui expliquait qu'elle l'avait percée à jour. Qu'elle ne connaissais rien au sexe et qu'elle allait tout lui montrer.

Tyria releva vers Ishtar une figure très neutre, pour ne pas dire inexpressive. Mais elle ne fit rien non plus pour empêcher sa cliente de se servir de ses mains pour la masturber doucement. Elle entendit les bruits de succion du produit lubrifiant mélangé à l'épais sperme de la dragonne noire. Elle portait toujours ses gants de cuir et se fit la réflexion qu'après un tel traitement, ils seraient probablement foutus.

La dragonne prit ensuite le temps d'ajuster le onahole à l'embout de son membre masculin énorme et dressé. Puis elle libéra Tyria en la laissant avec le sextoy en main au bout de sa queue. La jeune fille, malgré son air impassible, était clairement perturbée, et encore, le mot était faible. Elle éprouvait une curiosité presque morbide à savoir ce que pouvait bien donner le fait de masturber cette dragonne noire transgenre, un peu comme quand vous regardez un serpent venimeux vous regarder et que vous êtes incapables d'en détacher le regard.

Encouragée à tenter ses propres expériences, Tyria se décida à descendre doucement le sextoy sur le sexe d'Ishtar, lui arrachant gémissements et soupirs tandis que celui-ci engloutissait l'énorme pieux de chair de sa partenaire. Arrivée en bas, n'ayant pas vraiment d'autre chois, elle fit remonter l'objet, celui-ci dégoulinant un pu partout sur le sol et sur l'entrejambe de sa cliente. La jeune Stukov fut soudain heureuse de ne pas avoir à faire le ménage, surtout en voyant le grosses goutes épaisses et visqueuses qui tombaient des testicules d'Ishtar sur le sol.

Celle-ci encouragea d'ailleurs Tyria a augmenter la cadence et à la toucher un peu plus avec ses gants recouverts de gel et de liquides séminaux divers.

Intriguée, Tyria continua de faire aller-et-venir le onahole sur la verge tendue d'Ishtar et posa une main curieuse sur ses testicules. Elle ne put empêcher la commissure de ses lèvres de se relever légèrement en entendant la shemale gémir plus fort à cet attouchement et elle cueillit ces fruits biens mûrs dans sa main avant d'essayer de le pétrir un peu pour voir le résultat. Elle passa son pousse sur la peau de ses bourses juste à la base du pénis et agita ses doigts derrière celles-ci, à la naissance de son scrotum. Elle s'amusa un peu à chercher ce qui faisait couiner la dragonne le mieux tout en continuant à agiter le onahole un peu distraitement.

- Vous êtes étrange Ishtar... Marmonna la jeune femme. Il existe tellement de méthodes magiques ou technologiques pour obtenir un corps qui soit réellement hermaphrodite ou mâle ou femelle. Pourquoi ce choix d'user de technologies archaïques pour tenter le transgenre ? Demanda-t-elle en retrouvant son air impassible qu'elle avait légèrement perdu pendant qu'elle découvrait comment masturber la dragonne. Et surtout, pourquoi cette idée, au demeurant surprenante, de pratiquer une ablation pénienne complète de votre propre vice-amiral ? Y a-t-il une tradition d'Inferis que j'ignore à ce sujet ?

Elle était peut-être en train de masturber l'une de ses clientes et, même si l'idée la dérangeait et la perturbait, elle n'en demeurait pas moins curieuse et souhaitait satisfaire une partie de sa curiosité en profitant un peu de la position vulnérable de la dragonne noire. Même si elle ne parvenait pas à pratiquer la chose en temps normal, elle avait à sa disposition une base de données des plus fournies avec tous les ébats que ses esclaves avaient subis depuis la fondation de son Harem. Le sexe, elle en connaissait la théorie presque par-cœur et avait compris que souvent, quand l'excitation du partenaire est haute, les inhibitions des personnes étaient fortement ébranlée et elle devenaient plus volubiles. Elle n'avait jamais entendu parler d'une technique d'interrogatoire consistant à masturber sa victime, mais elle se fit la réflexion qu'il était plus que probable qu'une telle méthode existe. Elle ne pensait de loin pas avoir inventé la poudre avec cela. Même si elle devait admettre apprécier d'entendre Ishtar soupirer et gémir. Elle réalisait doucement qu'elle aimait que les gens réagissent à elle un peu comme un marionnettiste s'émerveillant de voir ses poupées de bois prendre vie quand il en agitait correctement les fils. Elle aimait être au contrôle.  Mais ça, elle ne comprenait pas encore bien ce que cela voulait dire.

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Tekhos Metropolis / Re : Un client bien spécial [Theorem & Ishtar]

« le: jeudi 16 juillet 2015, 00:22:48 »

Dans la chambre, les cris du soumis d'Ishtar résonnaient plus fort que n'importe quel autre son ainsi que ses suppliques car Classa prenait un réel pied à passe à tabac son matériel génital. En un sens, le pauvre Terranide-hyène payait pour tous les autres hommes avec qui elle avait dû coucher depuis que Tyria avait créé son Harem pour se venger d'eux. Classa n'avait rien contre le sexe à la base, mais servird es hommes qui ne passaient qu'une fois ou deux, la traitaient comme de la merde et ne prenaient même pas la peine d'essayer de lui faire du bien l'avait profondément frustrée. Ça plus le comportement de tyran de sa propriétaire. Alors elle en profitait pour cogner ces testicules grotesques et cette queue ridicule.

De son côté, Sodoka prouvait qu'elle était capable de faire des merveilles d'ouïe sélective en ignorant les cris du client dont elle ramonait sans pitié le fondement avec son poing en jelly en guise de gode-ceinture. Sodoka était une Neko, et comme toutes les Neko, elle adorait la crème. La seule chose qu'il fallait prendre en compte était que dans son cas, en tant qu'esclave fille de parents déjà esclaves, la seule "crème" qu'elle avait apprise à aimer était celle qui sortait des pénis qu'on lui présentait depuis toute petite. Et même si elle n'aimait pas trop Korus car elle le trouvait arrogant et peu fiable sur ses promesses, au moins lui il produisait de grosses quantités de crème qu'il lui donnait parfois. Alors comme il venait de lui en promettre, elle s'en donnait à cœur joie sur le fondement de ce client décevant.

Ce fut Korus justement qui cette fois vit le panneau holo d'appel. Il sorti sa bite de la bouche à Lirinëlle qui gémit et le suivit à quatre pattes tant elle était excitée et voulait encore d'une belle queue pour la satisfaire. Elle se glisse d'ailleurs à genoux entre le mur et lui pour recommencer à le sucer pendant qu'il lisait. Ce qu'il vit lui fit hausser très haut des sourcils. Depuis un petit moment déjà, il se doutait que d'une manière ou d'une autre, ce n'était plus Tyria qui était aux commandes. Car non seulement les jeux étaient pervers à souhait, mais en plus ils s'enchaînaient aisément en se montrant sans pitié pour le soumis. Une débauche de moyen que sa propriétaire eut sans doute répugné à employer. Il se mit à sourire et décida que c'était peut-être l'occasion de tirer son épignle du jeu. Pendant que l'elfe lui prodiguait une gâterie, il commanda quelques accessoire en plus dans le stock.

L'amercian great challenge arriva bien, énorme gode en silicone pourpre foncé moulé aux dimensions d'une bite démentielle. Mais avec lui virent quelques ajouts. Un rouleau de gros scotch gris, trois œufs vibrants et cinq seringues déjà préparées avec des doses de liquide clair comme de l'eau.

Korus emporta tout le barda vers le lit, se séparant à nouveau de Lirinëlle qui gémit une nouvelle fois en suivant l'esclave. Celui-ci se pencha ensuite à l'oreille de la Neko pour lui murmurer quelque-chose et celle-ci se retira subitement de l'anus du soumis tandis que Classa cessait ses coups pour lever un regard intrigué sur l'esclave roux. Il leur expliqua les instructions qu'il avait reçue, ajoutant son plan étant donné que personne d'autre que  lui n'avait vu le contenu de l'affichage. Les filles hochèrent la tête et lubrifièrent à grand renfort de gel le gode pour le soumis d'Ishtar que Classa enfonça lentement mais sans aucune merci pour les cris et les suppliques du soumis qui affirmait que ça allait le déchirer en deux.

Puis quand il fut en place, Korus prit les trois oeuf vibrant et avec un peu d'aide de Sodoka qui avait retiré son gode-ceinture pendant ce temps, les scotcha contre le pénis de soumis bleui par les coups, le faisant gémir et crier quand les œufs appuyèrent contre ses bleus en formation. Pous terminer, l'esclave distribua les seringues et les filles reprient position en demi-cercle autour du soumis. Alors, chacune son tour piqua le matériel génital du Terranide-Hyène et y injecta la dose d'aphrodisiaque qui y était contenu. Lirinëlle piqua la testicule gauche. Quelques secondes plus tard pour permettre à Théorem de bien sentir les aiguilles les unes après les autres, Sodoka piqua dans la hampe du pénis. Puis Classa piqua dans l'autre testicule. Et enfin, ne résistant pas à la tentation, Korus piqua dans le gland du soumis roux, malgré ses supplications.

Tous les cinq se retirèrent ensuite et Korus recommença à baiser Sodoka sous les yeux de Théroem pendant que Lirinëlle et Classa se changeaient pour arborer elles aussi une minijupe de latex. Quelque minutes plus tard, quand elle furent sures que l'aphrodisiaque faisait effet les filles se mirent à jouer avec les télécommandes des œufs vibrants fixés au pénis de Théorem. Impossible de prédire ce qu'allait donner ce cocktail. Le soumis, les bourses et l'appareil génital en feu, hurlant dans son cerveau son envie, non son besoin, de jouir et ce à son corps défendant et incapable.

- NYAAAAHHH !!! OUI KORUS !!! PLUS VITE !!! Cria la terranide-Neko déjà toute excitée par l'attente tandis que l'humain la prenait.

Il aurait probablement besoin d'une dose d'un quelconque dopant pour tenir à baiser chaque fille jusqu'à l’orgasme.


Tyria, pour sa part, n'en menait vraiment pas large. Face à son premier refus de l'accompagner sur sa masturbation, sa cliente s'était levée et s'était approchée, déployant ses charmes littéralement sous le nez de la jeune fille. Cette fois elle déglutit en détaillant le pénis largement piercé de son interlocutrice. Il était à son sens baucoup trop gros. Elle n'avais jamais rien introduit de plus qu'un doigt dans son intimité, en encore, pas complètement. Alors envisager d'avoir une chose aussi énorme en elle, la terrifiait. Et pourtant, ça semblait l'exciter au même point que ça lui faisait peur.

Je dois vraiment être détraquée, c'est pas possible...

Elle senti alors la dragonne prendre délicatement ses mains et la dernière des Stukov pâlit sensiblement. Elle avait les moyens de se défendre à mains nues et n'aurais pas hésité dans n'importe quel autre cas. Mais là, non seulement c'était une cliente, mais en plus elle lui faisait de l'effet. Et quel effet ! Sans sa lingette dans sa culotte, elle était gentiment sûre que la tache qui s'y formait serait visible jusque sur son pantalon. La dragonne posa ensuite les mains de Tyria sur son corps de shemale, dont l'une vraiment très proche de la base de son énorme verge. Elle lui parla ensuite étrangement. Lui parlant de l'épauler, de l'aider... De devenir son amie...

Elle hésita un long instant, n'osant pourtant pas retirer ses mains. Puis elle déglutit à nouveau.

- Je... N'ai jamais entendue parler... d'amis... qui le proposent après avoir posé les mains de la personne qu'elles souhaitent avoir pour amie sur leurs parties intimes... Commenta-t-elle un peu surprise et légèrement songeuse.

Elle resta immobile encore un peu, puis se surpris à vouloir essayer de caresser ce corps qui l'attirait tant. Elle avit ses mains sur Ishtar, mais ceux-ci étaient gantés de cuir. Cependant, elle s'essaya quand même à bouger un peu les pouces contre le ventre de sa cliente. Peut-être de sa future nouvelle amie... Une caresse au fond très anodine mais qui eu sur Ishtar juste assez d'impact pour la faire réagir. Alors, à la fois curieuse et craintive, Tyria essaya de bouger toute la mains. Une à la fois, puis les deux en même temps, caressant doucement le ventre de la dragonne.

- Je vais réfléchir à votre proposition et vous ferait parvenir la réponse adéquate dans les meilleurs délais... Souffla-t-elle tandis qu'elle sentait sa respirations s'accélérer.

Ce n'était pas la première fois qu'elle s'essayait à caresser une femme. Elle avait déjà tenté sur Lirinëlle et Sodoka pour voir si cela attisait chez elle un quelconque désir. Mais à chaque fois, chacune était tellement terrorisée par le nombre de robots de garde présents autour du lit qu'aucune des deux n'avait pu se lâcher. Tyria parce qu'elle était trop incertaine à son sujet et l'esclave parce qu'elle craignait pour sa vie. Au final, ces tentatives de câlins avaient été des échecs.

Mais là, sans robots ni contrainte, cela semblait tellement plus naturel. Tellement plus spontané... Et quelque part, tellement plus... Beau ? Doux ? Elle n'en était pas sûre.

La porte s'ouvrit alors et les deux robots de garde entrèrent, pistolets à chocs au poing. Tyria grommela en comprenant immédiatement pourquoi. Avec son souffle qui s'accélérait, ses fonctions vitales avaient dues s'emballer. Et donc, son détecteur de constantes vitales implanté avait dût mettre les robots en mode d'alerte.

- Arrêt d'intervention, autorisation Tyria Stukov B-K-F-8-9, dit la jeune femme d'un ton agacé.

- ARRÊT PROCÉDURE CONFIRMÉ... Déclara l'un des robots tandis que tous deux rangeaient les pistolets dans leurs holsters.

- Désolée... S'excusa Tyria en soupirant. L'ennui des systèmes de garde implanté dans le corps. Dès que mon cœur part un peu en vrille, toute la sécurité de la maison panique... Enfin je voulais dire... Dès que les paramètres ne sont plus dans la norme... Heu... Qu'ils augmentent un tant soi peu quoi...

Et chier ! Je lui ai balancé à la figure qu'elle me fait de l'effet ! Chiotte ! Bravor Tyria, tu ne veux pas l'inviter à visiter ton lit aussi tant qu'à y être ?

Heureusement qu'elle avait ordonné la fin du protocole d'intervention, car les pensées qui lui traversèrent la tête après cette idée, si elles n'avaient rien de bien extraordinaire au niveau perversion, suffirent à lui rôtir subitement les joues qui se tintèrent d'une rougeur fort malvenue de l'avis de la principale intéressée.

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Tekhos Metropolis / Re : Un client bien spécial [Theorem & Ishtar]

« le: lundi 13 juillet 2015, 02:24:49 »

Peu de temps après, dans la chambre, la Neko poussa finalement un long miaulement de plaisir tandis qu'elle se mettait à trembler de tout son corps, éjectant de son intimité un petit filet de liquide clair qui se répandit sur le sol.

- MYYYAAAAAAAAAAAAAHHHH !!!

Elle relâcha alors ses bras, tombant sur ses gros seins qu'elle écrasa sous on propre poids pendant que sa têtte rejoignais le sol et que sa queue se mettait à s'agiter doucement de contentement alors que Korus sortait son membre encore dressé et raide de son intimité.

- Nyyyyuuuuuuhh... Je suis toute élargie... Ronronna la Neko sur le sol tandis que l'esclave roux s'approchait du soumis en se masturbant vigoureusement, son regard rivé sur Classa en train de prendre avec ardeur les trous de Lirinëlle, la faisant couiner de plaisir dans son monde embrumé de plaisir et d'aphrodisiaque.

- HAAANNNNN !! OUIIIIIIII !!! PLUS FORT ! HNNNNNNNNN !!! PLUS VITEEEE !!! Réclama l'elfe blonde, sa langue pendante, un sourire absent aux lèvres.

- Bandes de salopes... Commenta Korus avant d'être agité de tremblement puis de pointer sa verge sur le visage avant de jouir de longs jets de sperme épais sur sa figure.

- HAAAARRRR !! OUAIS PUTAIN ! PRENDS ÇA DANS TA GUEULE DE TAPETTE LA FIOTTE ! S'exclama 003 en jouissant longuement sur la figure de Théorem, se servant ensuite de sa verge pour étaler son sperme sur la figure du Terranide.

Classa se retourna pour voir Korus faire et sembla juger bon d'en rajouter.

- Tu vois... Hnnnn... Espèce de loque ? Haaaannnn... Quand un vrai mec joui, il peut... Hoooooo... Repeindre la gueule de sa meuf ! Haaaannn, oui, agite un peu plus ton cul ma chérie... Réclama Classa dont les embout du double-gode jumeau s'agitraient aussi dans ses propres orifices, ce à quoi Lirinëlle s'exécuta immédiatement, faisant gémir la pseudo-démone plus fortement. Pas juste lui laisser une... Hnnnnnn !! Ho oui ! Comme ça !  ...Petite trace ridicule sur la joue ! Dit-elle en donnant l’ultime coup de rein qui fit à nouveau couiner Lirinëlle et la fit jouir une seconde fois en moins de dix minutes.

- HAAAAAAAAAAAAAA !!! OOOOUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!

La pauvre était tellement excitée par l'aphrodisiaque qu'elle tremblait presque trop pour réussir à continuer à pousser son poing dans l'anus du soumis d'Ishtar.

Sodoka remarqua pendant ce temps l'hologramme qui affichait son nom. Elle s'approcha, les jambes flageolantes, et lut ce qui était écrit, ses oreilles remuant de surprise et sa queue caudale s'agitant par saccades suivies de longues pauses comme un félin qui inspecte une nouveauté amusante. Elle retira ensuite sa culotte, son intimité toujours invisble sous sa micro-jupe de latex et la mit dans le système d'échange qui lui envoya une petite clé argentée ainsi que les outils pour contraindre le sexe de Théroem à une non-jouissance absolue. Elle regarda le harnais en se demandant comment il allait, mais haussa les épaules en se disant que Classa saurait bien comment le mettre.

Elle s'approcha et se pencha à l'oreille de la créature démoniaque qui haussa un sourcil avant de regarde le matériel que lui montra la Neko. Elle hocha la tête et se pencha ensuite sur Lirinelle pour chuchotter dans son oreille pointue et celle-ci acquiesça, le souffle court et toutes les deux se séparèrent pour se retirer de sur le Terranide roux, sous le regard de Korus qui écoutait la Terranide-chat lui murmurer un truc à lui aussi.

Les esclaves s'assirent sur le lit, plus ou moins en demi-cercle autour de Théorem et Sodoka se pencha alors, la petite clé à la main, pour libérer le pénis du soumis d'Ishtar de sa prison de métal. Le petit cadena s'ouvrit sans faire d'histoire et l'objet fut retiré. Un ange passa tandis que les esclaves découvraient la verge de leur client. Puis Classa commença à pouffer. Son envie de rire se transmit à Lirinëlle qui, malgré l'aphrodisiaque, ne parvint pas vraiment à empêcher le début d'un sourire amusé relever la commissure de ses lèvres.

- Mais il est tout petit ! Nyah ! S'exclama alors Sodoka en ouvrant de grands yeux ronds surpris.

De extérieur, l’étui semblait pourtant contenir un organe de taille classique et une énorme déception se peignit sur les traits de la Neko.

Il n'en fallut pas plus pour que Lirinëlle et Classa partent toutes les deux en fou-rire sans pouvoir se retenir. Korus les suivit en rugissant de rire à côté d'elles.

- Il est pas petit ! Il est RIQUIQUI ! Hé gamin, quand tu veux te branler, tu vas chercher les brucelles c'est ça ? S'exclama l'esclave roux en redoublant de rire.

- HI, HI, HI !!! Il est tellement... PFFFF !!! Minuscule... HA, HA, HA ! Que je pense qu'il... PFFHI, HI, HI !!! Ne touche même pas les parois de ma chatte ! Plaisanta Classa à son tour, faisant rire encore plus fort l'assemblée à l'exception de la Neko.

- C'est pas drôle ! Nyah ! Moi qui espérait avoir droit à un peu de crème de la part du client ! J'aurais même pas trois gouttes avec un truc pareil ! Et je pourrais même pas me soulager avec ! Myuh ! Se vexa Sodoka en croisant les bras sous sa poitrine, l'air pas contente du tout, l’étui de Théorem encore en main.

Elle se tourna, agitant sa queue de manière rageuse et jeta avec rancœur et fort peu de délicatesse l'étui et la clé dans la boîte qui devait la ramener à Ishtar, goûtant visiblement très peu la plaisanterie que "son" client ait une si petite bite.

Malgré leur rires qu'elle ne parvenaient pas vraiment à clamer car il repartait presque tout seul à chaque fois que l'une levait les yeux sur l'autre, Classa et Lirinëlle enfilèrent le harnais de contention à Théroem, le serrant atrocement bien dans le sens où il gênait la circulation sanguine dans le petit pénis du Terranide-hyène et compressait complètement le canal de la prostate supposé amener le sperme au pénis de son propriétaire. Le cockring également fut douloureusement bien serré sur ce dernier et garanti que malgré tout ses efforts, pas la moindre goutte de semence ne franchirait le gland du soumis d'Ishtar.

De son côté, Korus toujours hilare aida la Neko à enfiler le gode-ceinture doté de son poing en jelly à la place d'un traditionnel gode pendant que la Terranide-chat pestait contre les clients qui ne tenaient pas leurs promesses.

- Et qui c'est qui est encore privée de crème ? Hein ? Nyuh ! C'est Sodoka ! C'est pas juste ! C'est toujours les autres qui ont la bonne crème et il n'y en a jamais pour Sodoka ! Nyah !

Korus lui murmura alors un truc à l'oreille et celle-ci redressa soudain sa queue, le regard alerte.

- C'est vrai ? Nyuh ? Lui demanda-t-elle en se tournant vers lui, son poing en jelly s'agitant entre ses cuisses pendant que ses yeux étaient remplis d'étoiles à l'intention de l'humain.

- Mais oui, bien sûr que c'est vrai, lui sourit l'esclave en lui caressant la tête.

La terranide agita son bassin d'anticipation et se dirigea d'un pas sautillant vers le lit ou elle sauta presque bille en tête pour se frayer un chemin entre ses deux sœurs de chaînes qui se foutaient encore un peu de la figure de Théorem en tentant de mesurer sa bit en se servant uniquement de leurs doigts et de leurs estimations de sa taille réelle. Pour le moment, l'estimation la plus flatteuse venait de l'elfe qui estimait la taille du pénis du soumis à environ dix centimètres.

- Nyuh ! Place pour le fist-fucking spécial de Sodoka ! Nyah ! S'exclama la Neko toute contente avant d'enfiler le poing en jelly dans l’anus encore tout écartelé du terranide-Hyène et commencer à le baiser comme s'il était assis sur un marteau-piqueur, s'agitant comme une petite folle entre les cuisses écartées et enchaînées de Théorem comme une hyperactive ayant mangé trop de sucre. Nyah ! ♪ La crèèèmeeeuuhhh, la crèèèmeeeuuhhh ! ♫ La crème pour Sodoka ! ♪ Se mit-elle à fredonner au rythme de ses coups de reins.

Classa quitta le lit pendant que Korus rejoignait Lirinëlle et la convainquait sans aucune peine de lui tailler une pipe bien en face du terranide pendant que la pseudo-démone commandait au système une paire de gants en cuir clouté, aux doigts coupé et dont les articulations des phalanges étaient renforcées de rivet en acier. Aucune pointe sur ces gants, juste ce qu'il fallait pour tabasser quelqu'un. Elle revint pendant que Sodoka continuait de violement sodomiser "son" client et se mit à claifourchon sur son torse à nouveau.

- Depuis le temps que je n'ai plus eu de punching-ball... Se réjouit-elle en tournant un sourire sadique vers le soumis.

Elle se tourna ensuite et se mit en position de garde haute comme pour la boxe. Sous les coups de butoir de la neko, les bourses de Théroem s'agitaient en rythme. Classa se cala alors pour donner des coups de poings, pas trop fort au début, pour ceuillir ses testicules à chaque fois qu'elles se rabattaient vers l'avant, faisant couiner de douleur leur client. Sodoka ne s'en formalisa pas, se concentrant sur ce que Korus lui avait promis si elle remplissait bien sa mission. Quand Classa se senti plus à l'aise, elle commença à boxer plus fort les couilles du Terranide-hyènes quand elles revenaient vers elle. Puis elle commença également à écraser sous son poing sa petite verge incapable de débander à cause des problèmes de circulation sanguine induite par le harnais et le cockring. Elle commença d'ailleurs à souffler en rythme et petit à petit se mit aussi à bourrer de coups de poings de force variable la zone proche du pénis et des testicules de théroem, y allant parfois fort et parfois beaucoup moins. Elle ne relâcha pourtant pas ses efforts sur l'organe reproducteur du roux et celui-ci rougit et commença même à enfler un peu tandis que les coups pleuvaient comme grêle sur lui.


Dans la salle de projection, Tyria ne suivait plus vraiment ce qu'il se passait dans la pièce. Elle avait comme hypnotisée au moment où l'énorme verge de sa cliente avait expulsé plusieurs grosses giclées de sperme blanc sur sa fausse énorme poitrine de dragonne noire. Elle l'avait regardée s’essuyer en se sentant la bouche sèche. Pourtant elle se retint de se passer la langue sur les lèvres. Il n'aurait plus manqué que sa cliente croie qu'elle avait envie de... goûter... sa semence.

Malgré tout, elle ne pouvait nier qu'elle commençait à avoir chaud dans son costume et que cette chaleur était particulièrement mal localisée entre ses cuisses. Pour rendre les choses encore plus désagréables, cette chaleur s'accompagnait d'une certaine moiteur qu'il lui devenait difficile à supporter.

Fais chier... Ma cliente m'excite... Réalisa doucement la jeune fille.

Elle ouvrit par contre des yeux énormes en la voyant lui tendre un de ses propres œufs vibrants. Elle écouta ensuite sa cliente lui dire qu'elle ne verrait pas de soucis si elle voulait se faire plaisir en la regardant. En gros, elle proposait à Tyria de jouer les voyeuse et de se soulager en se servant de sa cliente comme d'une source d'excitation. Cette fois, tout contrôle d'elle-même qu'elle exerçait sur elle, elle ne put empêcher ses joues de rosir et senti son entrejambe commencer à la brûler franchement de manque. Mais elle serra les dents.

- Votre offre est généreuse Dame Ishtar, mais nous sommes dans une relations professionnelle vous et moi. Je vous fournis un service, et vous me payer pour lui. Je ne fais pas partie du contrat. Éluda-t-elle d'une voix qui était légèrement altérée par le désir.

Mais c'était visible comme le nez au milieu de la figure qu'elle le refusait en bloc. Pour la dragonne, elle présentait des signes clairs d'être une boule de frustration exacerbée, incapable de voir son propre plaisir autrement que comme une chose sale et dégradante. Elle cachait derrière un froid professionnalisme une adolescence inexistante sur le plan sexuel et encore plus dramatiquement détruite sur le plan émotionnel. Pour Tyria Stukov, le plaisir, c'était bon pour les autres. Elle-même n'y succombait que quand elle ne pouvait plus faire autrement et devait probablement s'en vouloir pendant des jours après chaque fois où elle passait ne serais-ce qu'une petite minute à se toucher intimement. Pour une personne comme Ishtar, il était même fort douteux que la jeune fille ait jamais atteint l'orgasme.

Et ça se disait tenancière de Harem...

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Tekhos Metropolis / Re : Un client bien spécial [Theorem & Ishtar]

« le: lundi 06 juillet 2015, 14:53:34 »

Dans la chambre, l'ambiance avait vraiment changée. Le grognement étrange du client avait relâché quelque chose de plus et dans la pièce, tous s'en donnèrent finalement à cœur joie. La plus comblée étant probablement la Néko qui, si elle n'appréciait pas des masses Korus, devait bien admettre qu'il était un amant exceptionnel, comme le prouvaient ses miaulements enthousiastes.

- Nyuuuuuuhhh ! Nyaaahhhh !!! Ouiiiiii ! Continue Korus ! Plus fort ! MYAAAHHHH !!! OUI !!! ICIIIIIII !!! NYUUUUUUUHHH !!!

- Pas besoin de me le dire deux fois salope ! Raaahhh ! J'adore ton minou ! C'est le plus serré de la maison !

- NYAAAHHH !!! TA GUEULE, SALAUD ET BOURRE-MOI ! MYUUUUUUUHHH !!!

À ses cris, il était évident que La Neko était très proche de la jouissance.

Mais ce fut Classa, la créature démoniaque qui finalement laissa couler à travers son sling bikini un petit jet de cyprine avec un long gémissement rauque sur le sol, la flaque se répandit guère très loin sous la tête du soumis d'Ishtar tandis que la pseudo-démone reprenait lourdement son souffle.

De son côté, Lirinëlle Continuait à fister le client, poussant désormais un partie de son avant-bras dans celui-ci, continuant ses vas-et-viens pour élargir le passage pour son poignet avec pour objectif clair d'au moins rentrer jusqu'à son coude à l'intérieur. Les yeux dans le flou, elle haletait également, sa poitrine douleureuse pendant que de son intimité coulait un filet de son jus clair le long de ses cuisses. Elle aurait tellement voulu que ce soit dans son cul qu'elle sente son propre poignets à l'ehure actuelle. N'y tenant plus, elle glissa son autre main sous elle et commença à caresser son clitoris à travers son mirco-string de maillot de bain, gémissante et agitant ses hanches sur la poitrine de Théo comme si elle essayait de s'y empaler sur une queue qui n'était pas présente.

Tyria rejoignit la salle où Ishtar se trouvait, l'une des nombreuses pièces équipées pour se livrer à un voyeurisme éhonté sur les autres salles. Elle marqua une pause à l'entrée en voyant la tenue de la demi-dragonne, cachant malgré tout très bien son trouble a voir une silhouette aussi féminine être ainsi dotée d'un membre si terriblement masculin.

Elle avait en stock un homme extrêmement efféminé que, d'après ce qu'elle avait compris, sa mère adorait travestir à ses instants perdus, mais il n'avait pas les seins d'Ishtar. Il ressemblait bien plus à Théorem dans le style.

Elle entra seule dans la pièce et se saisit d'un fauteuil dans lequel elle s'installa en entendant sa cliente lui adresser la parole.

- Faites seulement, je vous en pries... Lui indiqua-t-elle d'un ton poli en lui désignant le clavier de contrôle holographique.

Elle ne regarda pas les instructions, elle n'en avait cure. Si elles mettaient en danger la vie de ses esclaves, ceux-ci s’arrêteraient très spontanément, elle ne s’inquiétait pas de ça. Ils étaient trop revêches à la tâche pour risquer leur peau dans des pratiques extrêmes pour leur santé.

Elle vit la pseudo-démone remarqua l'écran d'appel et alla le consulter. Elle semblait un peu plus relâchée. Tyria s'empara d'un écran holographique périphérique et zooma quand il lui sembla voir quelque chose d'inhabituel sur le visage de 002. Elle fut assez surprise de la voir sourire doucement pour hausser un sourcil.

Elle s'empara ensuite de l'étrange double-gode à deux têtes de chaque côté et le pousser dans ses orifices sous son sling-bikini avant de monter sur le lit.

- T'es vraiment une loque le roux ! T'ose laisser une superbe créature comme Lirinëlle  couler d'envie sur toi sans essayer de la satisfaire ? Tu vaux même pas la mouille qu'elle te donne ! Les impuissants dans ton genre, on est déjà trop bonnes de les laisser nous regarder ! S'exclama la démone en écartant juste ce qu'il fallait le micro-string de 001 pour que celle-ci retourne vers elle des yeux un peu vaseux de désir.

Par contre, elle se mit à agiter son derrière comme une chatte en chaleur en voyant ce que la pseudo-démone avait entre les cuisses. Classa gloussa et poussa doucement les tiges de silicone lubrifiée dans les orifices de l'elfe qui s'ouvrirent facilement pendant qu'elle poussait un râle de plaisir rauque, coulant abondamment sur le torse du soumis d'Ishtar. Elle avait même peut-être probablement joui au moment de sa pénétration.

- Regarde, sale loque, et apprends comment on satisfait une femme ! Reprit Classa en commençant de longs mouvements de vas-et-viens avec son gros jouet dans les orifices de Lirinëlle. Ha Korus, tu viendra montrer à la petite pute comment un vrai mec fais une facile ! Histoire qu'il voit ça au moins une fois dans sa vie.

- T'inquiète, je termine de faire jouir la chatte en chaleur et je lui repeint la gueule façon vraie masculinité de suite ! Acquiesça Korus qui semblait n'avoir aucun problème à comprendre ce genre de sous-entendu.

- NYAAAAHH !! MÉCHANT KORUS ! JE VOULAIS LA CRÈME MOI ! MYUUUUHHHH !!! OUI CONTINUE !!!

Le tout sous le regard scandalisé de Tyria qui n'avait rien manqué grâce au hauts-parleurs de la pièce.

- Est-ce vous qui lui avez donné l'instruction de... Tenir ce langage à votre soumis ? Hésita-t-elle un instant.

Elle évitait de plus en plus scrupuleusement de regarder sa cliente. Voir 003 se masturber dans la cadre de son travail la dégoûtait un peu mais ne la dérangeait pas outre mesure. Mais voir cette très belle demi-dragonne faire aller de manière aussi appuyée sa main sur son énorme chibre, pour une raison qu'elle ne s'expliquait pas, réveillait un peu ses pulsions. Elle sentait une légère chaleur poindre dans son ventre. Elle fut assez heureuse de porter son costume et une lingette dans sa culotte. Au moins pour le moment ce n'était pas visible et elle contrôlait plutôt bien son corps.

Pour le moment... Il allait falloir qu'elle songe néanmoins à négocier assez vite sa retraite sans pour autant froisser sa cliente.

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Tekhos Metropolis / Re : Un client bien spécial [Theorem & Ishtar]

« le: jeudi 02 juillet 2015, 23:52:52 »

Tyria senti le petit appareil dans sa poche de costume vibrer et elle le remit en place sur son oreille avec un soupir, l'activant pour voir l'icône d'un mail clignoter en bas de l'affichage.

Elle l'ouvrit pour découvrir les demandes de sa cliente. La jeune Stukov eut de la peine à cacher sa surprise. Qu'elle s'éloigne était probablement le moins surprenant, elle sentait le malaise grandir au fur et à mesure qu'elle restait, ce qui n'était pas pour lui plaire le plus. la séance privée pour le soumis avec son elfe, elle s'y attendais un peu, mais qu'elle soit chargée comme une mule en terme d'aphrodisiaque était une première dans la liste des demandes étranges qu'elle ait jamais reçues.

Que Korus soit utilisé pour coucher avec la Neko la dérangeait moins, même si elle savait que celle-ci n'aimait pas beaucoup l'humain. Le coup de la jupette en latex la laissa un peu perplexe, mais elle n'y voyait pas d'inconvénients. Que Classa soit mise à la masturbation d'elle-même était probablement le moins compliqué à réaliser. Et enfin faire changer les gants de latex de Lirinëlle par des gents remontant jusqu’aux épaules n'était qu'une question d’accessoires.

Tyria haussa les épaules. Il n'y avait rien d'irréalisable, à part peut-être doper son elfe au point demandé. Mais elle faisait confiance aux programmes médicaux entrés dans ses robots pour cela.

Laissant son accessoire sur son oreille, elle se releva.

- 001, changement de programme, va enfiler des gants de type 3, ordonna-t-elle. 004, laisse 002 et va enfiler une jupette en latex. 002, continue à te caresser. Quant à toi 003...

Elle se tourna vers un des robots.

-SR-8 Une dose de contraceptif pour le numéro 003... ordonna-t-elle.

L'esclave haussa les sourcils de surprise. Qu'elle ait ordonné ça était sans doute pour éviter qu'il ne mette enceinte quelqu'un. Hors le client étant un homme, cela signifiait qu'il aurait donc affaire aux filles. Cela le fit sourire un peu plus et il présenta spontanement son bras pour l'injecteur du robot.

Lirinëlle retira doucement sa main du fondement de Théorem et le gratifia d'un sourire aimable avant de se rendre au système de réquisition pou se changer. Elle y retrouva Sodoka qui venait de commander sa jupette, après avoir relâchée une classa dubitative. À croire que la maîtresse faisait tout ce soir pour qu'elles soient toutes extrêmement frustrées.

- Nyah, il s'est passé quelque-chose ? Demanda tout bas la Neko à l'elfe.

- Je n'en sais rien, chuchota l'elfe en retirant son premier gant pour ensuite ré-enduire ses bras jusqu'aux épaules de solution lubrifiante et enfiler la nouvelle paire de gants qu'elle avait commandée.

Tyria attendit que les deux reviennent. Puis elle se tourna vers le robot le plus proche.

- SR-6, calcule et prépare une deuxième injection A-1 pour 001, puis donne-la moi...

La nouvelle provoqua un léger blanc dans la salle. La désignation d'injection "A" signifiait "aphrodisiaque". Le nombre la puissance de l'aphrodisiaque.

Et Lirinëlle avait déjà une dose de "un" dans les veines. Lui en réinjecter allait mettre un sacré bordel dans ses hormones et probablement la pousser à des comportements nymphomane.

La maîtresse de maison fit signe à deux autres robots.

- Mettez-moi la petite salope sur le lit et sanglez-le, ordonna-t-elle.

Elle fit ensuite signe à l'elfe de se rapprocher tandis que SR-6 lui tendait l'injecteur normalement greffé à son bras. Celle se dirigea vers elle, lui tendit son bras avant de se rendre compte que l'injecter à travers le latex serait de l'ordre de l'impossible. À la grande surprise de l'elfe, Tyria se pencha et pressa l'injecteur contre l'intérieur de sa cuisse pour procéder.

- Vos instructions suivront sur l'écran, précisa-t-elle à la cantonade avant d'attraper l'elfe par le bras. Si tu sens de la difficulté à respirer ou que tu commences à avoir mal au cœur, j'exige que tu utilise ton code de détresse 001, c'est bien compris ?

L'elfe hocha la tête. Tous les esclaves de Tyria avaient reçu un code unique signifiant un danger pour leur santé. S'il était prononcé, les robots intervenaient immédiatement pour sécuriser l'esclave et l'emmener à l'infirmerie. Le seul cas de non-intervention étant un contre-ordre direct de Tyria. Et les symptôme qu'elle venait de décrire étaient une complication classique d'une trop forte dose d'aphrodisiaque.

Celle-ci relâcha son esclave et sortit de la pièce, laissant les esclaves se rapprocher de l'écran. À peine sortie, elle ralluma son système portable et envoya les instructions sur l'écran de la salle. Les robots finirent d'attacher le Terranide-Hyène sur le lit et se retirèrent dans les coins de la salle. Conformément à leurs instructions, ils l'avaient sanglé sur le dos, bras et jambes écartées en étoile et laissé avec la tête pendant dans le vide du côté du reste de la pièce pour qu'il puisse voir ce qu'il s'y déroulait.

Dans celle-ci, Korus sourit en voyant ce qu'il lui était demandé et aggripa la Neko un peu surprise pour la mettre à quatre pattes à quelques mètres de là.

- Nyahouch ! Moins fort Korus ! Se plaignit-elle juste avant de glapir de surprise quand l'humain défit le nœud se son micro-string, le laissant tomber au sol avec un bruit humide.

- Ho ta gueule la chatte ! Gloussa 003 avant de s'enfoncer d'un coup dans l'intimité de la Neko.

Celle-ci cria de surprise et de douleur au début, mais très vite elle commença à changer de ton et ses yeux se perdirent dans le vide pendant qu'elle se faisait prendre sauvagement, ses énormes seins ballottant dans le vide à chaque coup de rein qu'elle recevait. Ils étaient situés de telle façon que le soumis d'Ishtar, s'il pouvait deviner ce qu'il se passait sous la mirco-jupe de latex, ne pouvait rien voir d'autre que des gouttes de cyprine tomber au sol et la poitrine de la Neko s'agiter dans son ridiculement court haut.

- Nyaaaahh !!! Myuuuuh ! Myawwwww !!! Se mit-elle à miauler fortement.

Pendant ce temps, Classa s'adossa au lit, profitant du spectacle pour recommencer à se masturber elle-même, grommelant qu'elle préférait quand c'était la Neko qui la doigtait.

Lirinëlle monta alors s'installer sur le torse du soumis, son regard se voilant petit à petit sous l'effet de la drogue qui se répandait dans ses veines. Elle se pencha ensuite entre ses jambes écartées, coinçant la cage pénienne du terranide entre ses seins généreux. Puis elle réenfonça son poing dans son anus, mais nettement moins doucement qu’auparavant, et commença à vraiment pousser son poing de plus en plus loin, agitant à une distance assez faible sa raie intime qui dégouttait à rythme croissant de jus sur le torse du soumis.

le ballet repris de plus belle et bientôt la pièce fut noyée sous les halètement, les gémissements et pour une seule, les miaulements de plaisir.

Retirer la patronne avait bel et bien ôté un sacré malaise de l'équation.

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Tekhos Metropolis / Re : Un client bien spécial [Theorem & Ishtar]

« le: lundi 29 juin 2015, 00:34:49 »

Même si Théorem fit un effort méritoire pour Que Tyria ne puisse pas suivre la conversation de manière certaine, ce qu'elle en entendit lui fut suffisant pour comprendre que le client aussi intervenait pour faire descendre la tension. Tension générée de plus en plus par ses ingérences.

La brune s'arrêta un moment pour réfléchir. Elle se demanda de plus en plus pourquoi on lui avait demandé de superviser cette séances. Non seulement elle n'aimait pas ça, mais en plus elle avait l'impression que plus elle s'en mêlait, plus elle se dirigeait vers un point de rupture qui risquait de pousser l'un ou l'autre de ses esclaves à commettre l'irréparable. Et en présence d'un client, ce n'était pas exactement ce qu'elle souhaitait.

Elle détestait la quasi-totalité de ses esclaves. Elle les haïssait pour leur passivité et leur vie meilleure que la sienne. Mais même si elle ne pouvait oublier cette colère et cette haine, en ce moment, elle se faisait l'impression d'avoir pris la place de sa propre bourreau. Et cette situation la dégoûtait bien plus. Elle pouvait rester derrière son bureau et entendre que ses esclaves la détestaient. Elle pouvait donner l'ordre de les faire maltraiter à distance. Mais être dans la même pièce, les frustrer et se montrer cruelle avec eux... Elle y parvenait, mais n'en tirait aucune fierté ni plaisir. Pire, elle ressentait du dégoût.

Elle poussa un soupir d'agacement.

- Elle s'appelle Lirinëlle, grogna-t-elle d'un ton agacée en désignant l'elfe d'un geste du menton.

L'instant d'après, le silence le plus complet se fit dans la pièce. L'elfe ouvrait d'immenses yeux médusés, s'étant complètement interrompue alors qu'elle avait quatre doigts insérés dans l'anus du roux au sol. Sodoka avait complètement cessé de caresser Classa, la bouche ouverte sur une expression de stupeur muette. Même Classa, l'imperturbable la regardait avec les yeux de quelqu'un qui vient de voir la lune se transformer en tête de troll. Korus également affichait un air de surprise totale.

Elle leur jeta à tous un regard furieux, sentant sa honte lui monter aux joues d'avoir été prise en flagrant délit d'acte de bonté. Un long silence gêné s'installa qu'au final, la dernière des Stukov brisa.

- Je n'ai pas ordonné de pause, reprenez le travail ! Ordonna-t-elle  la voix pleine de colère.

Les esclaves reprirent leurs activités de manière un peu hésitante et la jeune Tyria préféra battre en retraite dans sa chaise, se passant la main sur le visage d'un geste tremblant pour remttere une mèche derrière son oreille.

- Est-ce que j'ai rêvée ou bien Maîtresse Stukov vient d’appeler Lirinëlle par son vrai prénom ? Demanda tout bas Classa à Sodoka.

- Nyuh... Je croyais que Maîtresse Stukov était méchante... Répondit la Neko dans un murmure.

- Elle n'a jamais été méchante, elle a simplement trop souffert... Corrigea Lirinëlle aux deux autre en arborant un air triste.

L'elfe reprit son travail sur l'anus du Terranide et finit par pouvoir y enfoncer ses cinq doigts. Elle entrepris dès lors d'enfoncer doucement sa main dans celui-ci et continua à faire des aller-et-retours en poussant toujours un peu plus sa main jusqu'au moment où l'orifice se referma sur son poignet fin.

De son côté, Sodoka avait repris ses attouchements, mais elle semblait tellement troublée qu'elle finit par faire couiner Classa de surprise quand elle passa par erreur une griffe sur la peau de son sein, l'ouvrant très légèrement et faisant glisser une goutte de sang noir le long de la courbe généreuse de la poitrine de la créature démoniaque

- Aïe... Dit-elle en fermant un oeil tout en grimaçant légèrement.

- Ho mince, Nyah... Désolée... Gémit la Neko d'un voix contrite.

- Ce n'est pas grave... La rassura Classa qui avait aussi l'air tellement songeuse que cette petite douleur ramena à la réalité.

La Neko suçota son doigt pour le passer sur la blessure, ce qui fit trembler un peu plus Classa. Mais quand la Neko reprit ses caresses, cette fois la créature Démoniaque sembla se laisser un peu plus aller. Elle finit par réussir à gémir doucement de plaisir et son entrejambe commença aussi à goutter légèrement à travers son maillot. Elle-même ne savait pas si c'était dû à sa nature, mais sa cyprine sentait bien plus fort que celle des autres filles, charriant un parfum sucré et tentateur. Sodoka commença d'ailleurs à s'en lécher les babines tandis qu'elle reniflait de manière de plus en plus ostensible l'odeur qui s'élevait de sa camarade esclave.

Tyria resta assise sur sa chaise, le poing pressé contre la tempe pendant qu'elle essayait de rassembler ses esprits. Pour le moment elle ne disait plus rien et n'interférai plus.

Assis sur le lit, Korus se mit à arborer un sourire mauvais pendant que sa propriétaire regardait ailleurs. Sourire qui n'échappa pas à l'elfe qui se mit à le regarder d'un air préoccupée.

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Tekhos Metropolis / Re : Un client bien spécial [Theorem & Ishtar]

« le: samedi 27 juin 2015, 02:24:34 »

Lirinëlle Regarda le terranide pendant qu'elle le doigtait avec deux doigts pour gentiment élargir son anus afin d'y glisser un troisième. Elle lui sourit doucement et de sa main non gantée, indiqua son collier.

- Je m'appelle 001, Répondit-elle doucement en lui montrant les chiffres qui y étaient inscrits. Quand à votre demande, il ne m'appartiens pas d'y répondre, fit-elle signaler en désignant Tyria d'un geste d'une élégance quasi-aristocratique du poignet.

Celle-ci saisit le geste et la réponse, s'approchant du soumis ses mains croisées dans le dos, le regardant gémir et se tortiller comme un vers sur le sol carrelé.

En quoi ça peut l'intéresser le nom de la prostituée qui s'occupe de lui ? Songea-t-elle. Ne me dites-pas qu'il éprouve des sentiments pour elle ? Il n'est pas censé avoir déjà épousé sa maîtresse lui ?

Elle se planta à une paire de mètres entre les deux couples, observant les ébats d'un œil froid et désintéressé, parvenant à ne pas grimacer quand le roux couina au moment où Lirinëlle enfonça un troisième doigt dans son cul et recommença des mouvements visant à doucement élargir l'anus du Terranide. Son gant blanc ne changeant étonnamment pas de couleur, Tyria en fut réduite à considérer que soit Théorem appartenait à une espèce rare qui ne produisait aucun déchets, ce qui dans ce cas serait une aberration d'avoir malgré tout un orifice pour les expulser, soit qu'il avait subi un lavement en règle avant de lui être confié. Elle opta pour la seconde option qui, par défaut, était la plus plausible.

En face du roux, Sodoka faisait de plus en plus de bruit, couinant et gémissant sous le traitement que lui faisait subir sa congénère esclave. Classa la regardait avec une tendresse que la dernière des Stukov n'avait jamais vue avant tout en activant ses doigts sur son corps tremblant et parcouru de frissons de plaisir. Sa vulve en particulier semblait très sollicitée et avait répandu une flaque d'une certaine taille goutte par goutte sur le sol. La Terranide-Neko était crispée à l'extrême tout en reposant sur le corps de la créature démoniaque, la langue pendante, bavant sans retenue tout en ayant ses yeux perdus dans ceux de sa partenaire.

- Nyaaaaah ! Miaula-t-elle d'une voix rendue rauque par l'excitation et le plaisir. Myuuuuh... Classa... Je n'en... Nyuuuh... peux plus... Je... Je vais...

- 002, échange avec 004, Les coupa soudain Tyria.

Les deux esclaves tournèrent des yeux ronds vers elle. Sodoka trembla, mais cette fois de frustration quand Classa s'était arrêtée.

- Je ne pourrais pas finir Sodo... 004 avant ? Demanda Classa en se corrigeant quand sa propriétaire tourna son regard vers elle.

La Terranide tourna de grands yeux humides dans sa direction, le souffle encore court de son orgasme si proche et pourtant refusé au dernier moment.

Tyria haussa un sourcil.

- Tu remets vraiment plus en question les instructions qu’auparavant 002... Constata la maîtresse de maison.

Un lourd silence tomba pendant lequel Tyria se contenta de regarder ses deux esclaves et où Classa ne cilla pas en la regardant. La plus mal à l'aise fut finalmeent Sodoka qui finit par se retirer d'elle-même des mains de sa semblable.

- C'est bon Classa, ce n'est pas grave, Nyuh. Maîtresse a ordonné, on doit obéir, dit la petite Neko avec une nuance dans la voix qui indiquait bien plus clairement qu'elle était appeurée à l'idée de ce qu'il risquait de se passer si Classa et Tyria s'affrontaient pour de bon.

Classa gagnerai peut-être, Sodoka la trouvait très forte. Mais Tyria lui faisait très peur et elle savait aussi très bien se battre. Et pour compléter le tableau d'horreur de la petite Neko, elle avait entendu dire que, dans sa haine pour eux, la maîtresse de maison aurait fait programmer les robots pour qu'ils tuent l'ensemble des esclaves en cas de décès de la jeune Stukov. Une rumeur, rien de plus, mais que Tyria laissait courir, si cela pouvait motiver certains à garder le poing dans la poche.

004 passa donc dans le dos de 002 et l'attira contre elle pour reproduire à l’identique ce qu'elle lui faisait quelques secondes avant. À la différence très notable que si la petite Neko s'était facilement laissée aller, malgré les signes d'excitement croissant qui fleurissaient sur le corps de Classa et son souffle s'accélérant, elle ne décrocha pas la mâchoire et continua à fixer Tyria dans les yeux, ne laissant pas le moindre gémissement dépasser ses lèvres. Pourtant Sodoka s'appliquait avec beaucoup de douceur à l'exciter, mais la créature démoniaque semblait développer une fierté de plus en plus mal placée pour une prostituée.

Stukov leva les yeux à temps pour saisir les bribes de sourire satisfait qui étaient né aux commissures des lèvres de Korus disparaître rapidement. De là, pas besoin d'être Sherlock Holmes pour savoir qui entraînait Classa sur cette pente.

De son côté, Lirinëlle avait inséré un quatrième doigt dans l'anus de Théorem et continuait son travail d'élargissement anal, massant le colon du soumis pour le préparer au moment où elle rentrerait sa main complète, souriant doucement aux caresses du terranide et gratifiant la base de sa queue de hyène de quelques grattouilles affectueuses.

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Tekhos Metropolis / Re : Un client bien spécial [Theorem & Ishtar]

« le: vendredi 26 juin 2015, 13:52:41 »

Tyria regarda Théorem gémir et parfois couiner, agitant sa queue en l'air dans une manifestation de son plaisir. Les chocs étaient très rares car il se tenait bien tout seul, ce qui, quelque part, parvint à forcer un peu le respect de la jeune esclavagiste. Elle-même au mieux de sa forme ignorait si elle aurait pu tenir cette position aussi longtemps. Un peu de liquide translucide commença à couler de sa cage pénienne sur le sol carrelé. Tyria se demanda brièvement s'il s'agissait de sperme, mais le soumis ne semblait pas encore avoir joui. Elle comprit qu'il s'agiassait de liquide pré-séminal, destiné à la lubrification lors des rapports.

Elle comprit également que si elle continuait dans cette voie, Théorem n'allait pas tarder à jouir. Pour faire en sorte de remplir son contrat, elle devait d'abords l'en priver pour une durée prolongée. Donc commencer par couper son plaisir. Quoi de mieux que la douleur pour ça ?

- 002, règle l'aiguillon sur le niveau cinq et choque la petite salope, ordonna-t-elle.

L'esclave eu un hoquet de stupeur suivit de près par les deux filles sur le lit. L’appareil avait six niveaux de décharge. Les niveaux un et deux étaient plus stimulants que douloureux, le niveau trois sur lequel il était réglé en ce moment provoquait des crampes qui, si elles étaient désagréables, restaient assez supportable. Le niveau quatre commençait à provoquer des crampes pouvant provoquer une douleur certaine. Le niveau cinq provoquait à coup sûr une décharge capable d'en faire crier plus d'un. Le niveau six pouvait s'avérer mortel en cas de constitution fragile et d'utilisation prolongée.

- Il n'est pas très épais... Protesta Classa.

- Il est immortel, la coupa Tyria sans lui adresser un regard. Il ne peut pas en mourir.

L'esclave resta quelques secondes perplexe en regardant le roux. Excédée par son hésitation, Tyria lui arracha subitement l'aiguillon des mains. Sous le regard ébahi des filles présentent, le mâle ayant les yeux fermé car trop occupé à remplir son rôle entre les fesses du soumis, elle tourna le réglage de l'aiguillon qui émit un sifflement montant dans les aigus. Puis elle l'activa et en donna subitement un coup contre le flanc de Théroem qui cette fois cria de douleur en sentant une décharge prévue pour faire normalement réagir un bovin de plusieurs centaines de kilos lui traverser les entrailles. Korus retira précipitamment son visage d'entre les fesses du soumis, les yeux grands ouverts de stupéfaction.

- Mais vous êtes mala... Entama celui-ci d'un air horrifié, stoppé au dernier moment par le regard assassin de sa maîtresse.

- Va t'asseoir sur le lit aussi, 003, siffla-t-elle d'un ton qui indiquait clairement qu'elle s'en souviendrait. Et défense de toucher à 001 et 004, dit-elle en relevant les yeux, saisissant de justesse Sodoka qui retirait précipitamment sa main de la cuisse de Lirinëlle tandis que cette dernière ôtait sa main du sein de la Neko qu'elle avait passée par-dessus son épaule pour commencer à le pétrir à travers le haut de son micro-bikini.

L'aphrodisiaque qu'elles avaient dans les veines continuerait à faire effet encore une heure et demie, deux heures au grand maximum et visiblement, l'envie d'échanger des caresses était assez forte pour qu'elles s'y risquent même sans en avoir reçu l'ordre express. Tyria haussa mentalement les épaules, ce genre de comportement la dérangeait beaucoup moins. Elle-même n'avait de tendres sentiment que pour une seule personne à l'heure actuelle. Et cette personne était une femme. Elle avait haï son propre genre étant plus jeune, jusqu'à en croiser une qui était spéciale et qui lui avait donnée le courage de gagner sa liberté. Et à cause de ce qu'elle n'avait jamais oser lui dire, à cause de non-dits, elle avait interprété à tort l'utilisation que Tyria avait fait de ses conseils et de son cadeau. Un pendentif avec une gemme rouge sang enchassée dedans qu'elle portait en permanence sur son cœur, malgré qu'elle soit fendue.

Elle se pencha vers Classa.

- Lâche-le 002 et va rejoindre les autres, dit-elle de son ton neutre habituel.

L'esclave hocha la tête et relâcha le bras de Théorem avant de s'éloigner à gestes lents. Tyria la regarda s'asseoir sur le lit, puis baissa le regard sur le roux à ses pieds. Elle leva l'aiguillon qui crépita.

Sans un mot, elle donna une nouvelle décharge au Terranide sur la croupe, le faisant à nouveau crier tandis que ses jambes s'agitainet de manière incontrôlée.

Je ne saisi pas bien l'intérêt d'être immortel si c'est pour subir ça... Songea Tyria en laissant s'écouler quelques secondes avant de donner un nouveau coup d'aiguillon sur le dos du soumis, le faisant couiner bizarrement alors que ses organes internes partaient un peu en vrille.

Elle laissa encore quelques secondes avant de choquer Théroem une nouvelle fois, visant son téton gauche cette fois, le faisant hurler alors que son cœur encaissait des chocs peu en rythme avec ses propres battements.

Comment fait-il pour ne pas essayer de se défendre ? J'ai pourtant cru comprendre qu'il assumait des fonctions militaires, il devrait savoir se battre pourtant ? Songea-t-elle avant de donner un nouveau coup d'aiguillon au roux derrière la cuisse droite cette fois.

Elle continua encore de longues minutes, laissant toujours entre trente et quarante secondes entre les décharges pour que le soumis puisse reprendre un peu son souffle et calmer son cœur. Et surtout, pour éviter que la douleur continue n'atténue les chocs suivants ou ne le fasse s'évanouir. Elle n'y prenait visiblement aucun plaisir, se contentant de procéder de manière très mécanique. Elle avait elle-même subit des électrochocs étant petite. Mais sa gouvernante n'avait rien d'aussi aboutit que l'aiguillon qu'elle-même tenait en main. Tout était bricolé, grossier et surtout, très peu respectueux d'une quelconque norme de sécurité qui aurait visé à protéger la jeune fille qu'elle était alors. Pour sa gouvernante, Tyria n'avait jamais été qu'un morceau de viande à battre comme plâtre.

Au final, un voyant rouge s'alluma sur le manche de l'aiguillon, indiquant que la charge était très basse. Douze chocs, C'était le total qu'elle avait délivré au soumis d'Ishtar. De quoi envoyer un humain ordinaire à l'hôpital en urgence. Pourtant il avait l'air de plutôt bien tenir le coup. Malgré qu'ils soit tremblant et courbaturé de partout, presque chaque muscle de son corps le faisant souffrir.

- La petite pute est plus résistante que certains, constata-t-elle en regardant 003 sur le lit.

Korus était pâle et malgré l'aphrodisiaque semblait sur le point de faire un malaise. Pas que lui d’ailleurs.  La Neko avait ses mains plaquée sur ses oreilles et s'était détournée pour ne plus voir le soumis hurler et tressaillir au sol. Classa semblait elle aussi un peu pâle, mais également plutôt surprise par la résistance de la créature qu'elle avait maintenu presque sans efforts.

Lirinëlle pour sa part regardait la scène avec un certain calme, presque du détachement, caressant distraitement la tête de la Neko qu'elle tenait contre elle pour la rassurer.

Tyria savait que l'elfe était née en esclavage de parents esclaves. Elle n'avait jamais rien connu d'autre et faisait partie des tous premiers esclaves dont ses parents s'étaient dotés. Malgré cela, son passé était nébuleux. Elle avait transité entre plusieurs maîtresses depuis Nexus, en passant par Ashnard, avant de finalement arriver à Tekhos. Aucune n'avait jamais donné les motifs de sa séparation d'avec la belle esclave aux oreilles pointues. De tous les numéros, elle était celle dont elle entendait le moins parler, ne rechignant pas à la tâche depuis qu'elle avait ouvert le harem et elle n'avait eu que des retours positifs à son sujet. Elle avait visiblement l'expérience de ce genre d'environnement et prenait le parti de s'en accommoder.

- 001, réquisitionne un gant de chirurgie vétérinaire, ordonna la jeune esclavagiste en désignant le système de parc à matériel sur le mur. Tu vas me faire un examen tactile de l'intestin à notre client.

L'elfe hocha la tête et se leva, pianota quelques secondes sur le mur pour se faire livrer un gant en latex blanc remontant jusqu'à l'épaule qu'elle enfila après avoir lubrifié la peau de son bras pour permettre de retirer le latex après coup. Tyria attendit près du corps étendu de Théroem que l'elfe s’assoie à califourchon sur son dos. Puis, sans faire de commentaires, elle retira le petit bijou de l'anus du Terranide et commença à utiliser ses doigts gantés pour dilater l'anus du soumis.

Tyria se détourna pour rendre l'aiguillon au système de prêt pendant que des gémissements et des couinements d'un genre bien différent commençaient à s'élever dans la pièce.

- 002, prend 004 et va la masturber bien en face de notre client, le but est qu'il puisse sentir l'odeur de sa cyprine, mais il ne doit pas voir sous son maillot.

Sodoka rougit comme une tomate en entendant ça, ramenant ses oreilles en arrière de gêne tandis que sa queue se figeait. Classa regarda la petite Neko. Celle-ci recommençait déjà à s'échauffer après avoir entendu une suggestion aussi osée et il était possible de voir que son cœur s'était affolé assez pour qu'elle redevienne rapidement légèrement haletante.

Les deux filles vinrent s'agenouiller à quelques pas devant Théorem, Classa derrière Sodoka, cette dernière se laissant aller en arrière contre la poitrine de la créature démoniaque, sa tête se posant sur son épaule. Rouge de gêne, la néko n'en lâcha pas moins des couinement et des gémissements suraigus dès les première caresses de sa partenaire dont les mains se glissèrent sous son maillot pour accéder immédiatement à ses points sensibles. En moins de quatre minutes, elle avait oublié sa gêne pour commencer à gémir ouvertement.

- Nyaah ! Miaawww !!! Hannnnn ! Classaaaaa... Soupira la Neko qui se mit à mouiller abondamenent, sa vulve à moins d'un mètres du soumis coulant abondamment sur le sol à travers son maillot détrempé. Nyuuuuuhhh !!! Encore ! Nyaaaaahhh...

De vrais animaux... Constata Tyria en écoutant la terranide miauler comme une chatte en chaleur, ce qui était le cas.