Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Coralie Scorpio

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Slade lui avait joui dans la bouche et Coralie avait bu sa semence comme si c'était un nectar divin, une amertume à la fois forte et vivante avait empli son corps. Elixir qui ne fit que embrouiller d'avantage son esprit et qui lui permit de ne pas "trop" ressentir la douleur lorsque cette dernière tenta d'enfoncer sa main dans son fondement.

Allez, ça ira pour le moment, je suis fier de toi. Tu dois avoir des restes de foutre sur les doigts, quand je t'ai giclé dans le cul, lèches les bien, pour ne pas gâcher, ensuite, je suppose que tu pourras aller te laver si tu le désires, puis tu auras ton repas. Ah et un conseille, attache toi les cheveux , tu verras c'est plus pratique pour tout le monde...

La fatigue, la douleur et la faim pesaient lourdement sur le corps de la jeune fille, en réalité, seul sa volonté de ne pas faire chuter sa fièvre de sexe lui permettait encore de faire bouger son corps meurtri. Cependant, son maître semblait être satisfait, il n'y aurait donc plus rien pour permettre à Coralie de ne pas reprendre conscience. Alors qu'elle se dirigeait vers la douche, la jeune fille se lécha désespéramment les doigts, on pouvait apercevoir une lueur de folie dans ses yeux, il ne fallait pas qu'elle se réveil, n'importe quoi aurait fait l'affaire. Cette dernière commença à se caresser ses parties intimes une fois dans la salle de bain, ses mouvements devînt de plus en plus frénétique, se tortillant dans tous les sens, se plaquant contre le mur, allant jusqu'à dire des choses graveleuse pour tenter de se raccrocher par tous les moyens à cette folie qui l'habitait.

Tu as aimé ça tout à l'heure quand il ta prit dans ton cul hein ? Cela t'excite quand ça te fait mal hein ? Dit-elle avant de reprendre en grognant : Allez ! Pourquoi je ne ressens plus l'excitation ?... tout à l'heure tu as gémis comme une traînée alors pourquoi je n'y arrive plus ? Des larmes commençait à apparaître sur le visage de Coralie, ses doigts griffant son corps plus qu'il ne le caressait. Je... snif... je me suis comporter comme une pute, et *sanglot* que... qu'est-ce... que je dois faire maintenant ? Elle se laissa tomber sur les genoux la paume de la main contre la paroi de la salle de bain. Je suis une chienne.  Dit la jeune fille avant de s'effondrer en larme dans la pièce vide et froide, la fièvre venant de passer et la ramenant brutalement dans la réalité.

Une fois lavé et frigorifié également, Coralie se dirigea lentement dans le salon. Ses yeux étaient rouge d'avoir trop pleuré, sa peau était pâle à cause de l'eau trop froide, sa démarche lente et incertaine donnaient à l'ensemble l'impression de voir un zombie déambuler dans les pièces. Elle s'agenouilla un instant devant sa gamelle de nourriture puis se jeta dessus sans retenu, tentant de reprendre des forces. Lorsqu'elle eut fini, la jeune fille vînt auprès de son maître, posant sa tête sur ses genoux, faisant le vide dans son esprit et caressant avec tendresse sa jarretière. Coralie sombra dans les bras de Morphée sans effort, elle ne fut réveillé que bien plus tard, lorsque son tortionnaire se leva pour aller chercher un petit cahier.

Voilà, sur ce calepin, je voudrais que tu notes tout ce qui t'arrive ; ce que tu ressens, ce que tu aimes, ce que tu n'aimes pas. Chaque jours, tu y passeras une demie-heure… sois la plus détaillée possible. Ensuite, tu le rangeras sur cette étagère quand tu auras fini. D'accord ? puis sans attendre de réponse, il reprit la parole : Allez, profite de ta dernière demie-heure avant d'aller te coucher.

Coralie pris l'objet, l'observant un moment, c'était un petit cahier tout ce qu'il y a de plus simple, avec une couverture fine cartonné. Qu'est-ce qui se passait encore dans la tête de son tortionnaire ? Probablement qu'il voulait se délecter de sa souffrance psychologique en plus de la physique. Elle prit un crayon et pris un instant pour réorganisé son esprit, mais étant trop exténué, la jeune fille se contenta de faire simple pour une première retranscription.

Aujourd'hui, j'ai eu la tête qui tourne, j'ai senti la température de mon corps monter, je me sentais faible. Mais tout cela n'était qu'un plaisir trompeur qui a corrompu mon âme. J'appellerai désormais ce sentiment "la fièvre", en rapport avec l'état maladif du même nom.

Une fois ses deux phrases écrite, elle déposa le carnet sur l'étagère comme lui avait ordonné son maître et utilisa ses dernières force pour rentrer dans sa niche. Coralie s'affala sur le sol rembourré comme une limace prenant à peine le temps de se mettre dans une posture plus confortable. Elle venait de se rappeler que Slade voulait lui faire quelque chose avant de s'endormir, mais la fatigue fut la plus forte et la jeune fille s'endormit aussitôt.

Comme lors de la nuit précédente, Coralie s'éveilla dans dans le monde onirique, Lust Enigma était là, attendant patiemment.

Qu'est-ce que tu m'as fait aujourd'hui ? Dit-elle sur un ton énervé.

Je n'ai pratiquement rien fait. Répondit-il calmement.

NE ME MENS PAS ! C'est toi qui m'a transformé en traînée durant cette soirée, avoue !

Ma seule préoccupation est d'assuré notre survie Coralie. Rien de plus.

Oh non non non. Tu ne me feras pas croire que la dévergondé dans le lit de Slade c'était moi. Tu dis que tu veux m'aider, mais tu ne fais qu’aggraver la situation.

Tu as prié pour que je te vienne en aide.

Et pour qu'elle résultat ? Tu aurais pu simplement mettre mon cerveau en off comme tu le faisais jusqu'à présent.

Cela n'est pas une bonne chose pour nous, pas une bonne chose pour toi.

Et devenir une pute c'est une bonne chose ? Il n'aura fallu qu'une seule journée, UNE SEULE JOURNÉE, pour que Slade me transforme en chienne dévergondé ! Et après tout ce que j'ai dit, il est inutile de préciser qu'il m'est maintenant impossible de lui faire croire le contraire. Ce salaud va être encore pire avec moi. Mais toi ça t'arrange puisque c'est mon destin apparemment.

Ne mélange pas tout Coralie, ce que tu es et ce que ton destin veux sont deux chose lié mais complètement différente.

La jeune fille mit un certain temps avant de répondre, se détournant de la créature pour ne plus lui faire face.

Je suis fatigué de toutes ces manipulations, je suis déjà sous l'emprise d'un monstre détraqué sexuel, je n'ai pas envie d'être également manipulé par une entité qui se prétend incarner mon destin. Fais moi sortir... Je ne veux plus te voir.

Coralie...

FAIS MOI SORTIR !

Et sur ce cri, le monde onirique pris fin, et la jeune fille reprit sa nuit de sommeil jusqu'au matin.

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Par contre, pour te déflorer… nous allons attendre un peu, pas tous les plaisirs le même jour, voyons...

Dans l'état actuelle des choses Coralie ne voulait pas que cela s’arrête, quelque chose au plus profond d'elle se disait qu'elle n'arriverait pas à supporter ce qu'elle était devenu, que le retour à la réalité sera particulièrement dur à accepter ce que la jeune fille à fait. Cette dernière était entrain de se caresser à la fois son sein, mais aussi son intimité pour tenter de parvenir à ne pas faire tomber la fièvre de sexe qui l'avait submergé.

Je te prendrai ta petite chatte quand tu seras assez chienne pour n'avoir plus que cette envie en tête, quand tu seras si proche de l'orgasme et si loin en même temps que doucement tu sentiras poindre cette douleur au sein de ton ventre, la douleur d'un plaisir qui ne pourra être satisfait que de cette manière, qui ne pourra être satisfait que par ma queue qui te ravagera le con, encore, et encore, alors que mon poing se frayera un chemin dans ton cul complètement distendu...

Les paroles de l'homme seul suffisait à maintenir un certain niveau d'excitation, ce qui l'incita à lui répondre. Chaque mots qu'elle prononça l'excita d'avantage.

C'est entendu maître, je ... je veux que vous la prenez, de force si nécessaire... je veux que vous me fassiez porter des tenues de putes, pour que tout le monde sache que je vous appartiens, et que je ne suis rien de plus qu'un sac à semence... je veux porter des strings ou des tangas tous les jours, même si ils doivent être apparent, afin qu'on puisse me mettre une main au fesse à n'importe quel moment... Je veux que vous me fassiez travailler dans un strip club pour que tout le monde puisse voir mon corps et que j'apprenne à charmer les gens... ou alors... je veux que vous me forciez à faire le trottoirs pour me faire agrandir l'anus un peu plus chaque jours... Je kidnapperez des jeunes filles si un jour vous vous lassiez de moi...  Je veux faire tout ça pour que ça soit vous qui preniez ma virginité. Dit-elle, sur le même ton que si Coralie récitais un serment.

Et sur ces mots, la jeune fille se jeta sur le pénis de Slade et commença son travail de nettoyage, sa langue passa sur chaque centimètre du membre de chair, sa bouche avalais goulûment, tout ce qui pouvait se trouver dessus, les bruits de sa fellations était un hymne à la déchéance et aux désirs charnelles. Elle pris même la main de Slade pour que ce dernier puisse lui tenir fermement les cheveux. En temps normal, un tel dévouement dans cette pratique et une tel passion, aurait remis au garde à vous immédiatement, et aurais même fait passé pour un précoce, le plus vétéran des amants.

Ensuite, je veux te voir continuer à t'écarteler le cul… je veux que tu puisses y mettre la main. La tienne est bien plus fine, avant quoique ce soit… ensuite nous dinerons.

Coralie ne perdit pas une seconde, elle mit fin à la fellation en terminant par un baiser déposé délicatement sur le bout du gland. Puis, retourna là où Slade avait déposé les godes. La jeune fille en pris deux : une qui était un peu plus grand que le plus fin de tous et qui avait plus le diamètre d'un tube. Et un deuxième dont les proportions commençais à ressemblait à celui de son maître. Elle fixa le plus gros sur les barreaux du lit et enfonça le plus petits délicatement dans son anus. Ses mains agrippèrent aux barreaux comme si ces dernières était attaché avec des menottes. Cela lui permettait également de se mettre en équilibre car elle prenait appuis uniquement avec ses genoux, afin de pouvoir pousser le godes qu'elle avait dans le fondement avec des talons. Coralie se mit alors à simuler une double pénétration jusqu'à ce qu'elle se sente suffisamment dilater et excité également. La jeune fille arrêta alors son manège et commença à introduire ses doigts dans son fondement, elle n'eut pas de difficulté à faire rentrer trois doigts pour débuter. Puis vînt un quatrième et en forçant d'avantage le dernier fut finalement dedans. Il fallut un dernier effort particulièrement douloureux qui fut aussi assez agréable; puisque Coralie n'était plus capable de faire la différence entre les deux, pour faire rentrer un peu la main dans son Anus. Sa respiration était assez prononcé, mais c'était purement une réaction naturelle du corps face à la douleur.

Vo... Voilà maître, *halete*, êtes vous satisfait ? Demanda la jeune fille avec des petites larmes sur le coins des yeux et une vois gémissante mêlant à la fois douleur et plaisir.


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Un pieu, c'est ce qui qualifiait le mieux ce qui était entrain de faire des va et viens dans l'anus de Coralie. C'était littéralement entrain de la détruire de l'intérieur et la seule chose qui venait à son esprit c'était comment une chose aussi massif pouvait parvenir à rentrer en elle par cet orifice. Même dans ses pires cauchemars, il était impossible d'imaginer la douleur de se faire écarteler de l'intérieur. Pour cette raison, lorsque Slade se retira, la jeune fille pris la même respiration que le ferai un plongeur qui fait de l'apnée en sortant de l'eau. Même sans rien dans son fondement, la douleur était encore bien présente. Coralie était littéralement entrain de pleurer de douleur et essaya un moment de glisser ses doigts dans son anus pour vérifié s'il n'y avait pas du sang, qui révélerai des lésions dans ses parois annales. Mais elle n'en n'eut pas le temps, Slade enfonça son pouce là où se trouvait son pénis il y a encore quelque instant. Cet endroit du corps était encore sensible mais c'était "presque" agréable contrairement au monstre qui l'avait ravagé jusqu'à présent. Cependant, la jeune fille était en partie dévasté, et même les caresses sur son intimité ne semblait n'y rien changé.

Arrête de pleurer ça n'y changera rien… caresse toi et donne toi du plaisir avec tes doigts pendant que je t'encule, tu verras que ça passera tout seul, ça sera moins douloureux, je peux te l'assurer...

Ce salaud tentais de passer pour un mec sympa après ce qu'elle venait d'endurer, mais à aucun moment il ne fit illusion. La colère l'envahit, Coralie était consciente d'être totalement impuissante face à cet homme, mais à cet instant, elle aurait vendu son âme au diable sans aucune hésitation si ça lui aurait permis de trancher la gorge de son tortionnaire. Elle avala le pénis de son geolier lorsque ce dernier le présenta devant la jeune fille, qui s’exécuta de manière appliqué mais sans aucune passion.

Allez, sèche tes grosses larmes, inspire un bon coup, expire fort, et maintenant détends toi, et caresse toi la chatte, tu verras, ça va t'aider… à moins que tu ne préfères que ce soit moi qui le fasse ? Oui, je vais le faire, c'est préférable… ne t'en fais pas, tu finiras par aimer… peut être même plus que quand je passerai pas ton con, tu verras...

Les mouvements de Slade était doux et faussement attentionné, il allait la pilonner de nouveau mais avant cela il reprit ses caresses sur l'intimité de Coralie, qui ressentit rapidement de nouveau des picotements. Ce n'était pas possible, comment le simple contact des doigts de l'homme qu'elle détestait le plus au monde pouvait-il avoir autant d'effet sur elle ? Comment pouvait-il balayer toute la colère qu'elle était entrain d'éprouvé un simple mouvement de la main ? Utilisait-il une drogue, un objet ou un pouvoir qu'elle ne voyait pas ? A première vue, aucun des trois, cela pouvait-il provenir de Lust Enigma ? L'esprit de la jeune fille était confus, et elle ne parvenais plus à nouveau à avoir une pensée cohérente, l'idée qu'elle pouvait être réellement une chienne lui traversa l'esprit un cours instant.

Ne bouge pas !

Slade s'éloigna de Coralie pour aller chercher quelque chose, qui en profita pour souffler un coup. L'objet qu'il était allé chercher ressemblait à des petits électrodes, qu'il fixa avec de tout petit morceau de ruban adhésif autour de la partie intime de la jeune fille. cet dernière commençait à avoir peur de ce que préparait son tortionnaire qui appuya sur les boutons de différentes télécommandes.

AAAH ! Cria de surprise Coralie.

La jeune fille se tortilla et ses mains s'agrippa au lit, les yeux écarquillé. Il lui avait fixé des vibros et ces derniers semblaient travailler à plein régime. D'abord contracté, elle se détendit naturellement, perdant lentement le contrôle de son corps. Une fois accoutumé, le traitement s'avéra plus efficace que les violents mouvement de doigt de Slade. Il ne fallu pas longtemps pour qu'elle se mette à haleter et trembler comme une feuille, tentant de se débattre vainement contre cet afflux soudain de sensation.

Haa... Haa... Non... Arrétez je... HAAAAN ! Se mit à gémir la jeune fille.

Voilà, je vais pouvoir y aller, ma petite chienne Coralie !

Et il reprit sa sodomie là où il l'avait laissé. La douleur était toujours très présente, mais elle se mélangeait désormais au plaisir procuré par les vibros. L'esprit de la jeune fille était en black out, n'étant plus capable de discerner ce qui était bon de ce qui était mauvais. Sa tête tournais et fut emporté par un torrent d'émotion et de sensation qu'il lui était parfaitement impossible de contrôler. Elle commença à accepter que la souffrance pouvait être une forme de plaisir.

Alors, c'est mieux, petite chienne ?

HAN ! HAN ! Je... Je...  HaaaAAA ! ah ! oui...  OUI ! HAN C'EST BON ! Dit-elle après avoir complètement craqué.

Coralie avait commencé à faire d'elle même des mouvements de hanches pour que le pénis de Slade s'enfonce d'avantage dans son anus. C'est comme si tous les verrou du corps venait de voler en éclat, une sensation de liberté comme elle n'en avait jamais connu. La jeune fille n'était plus elle même et personne ne l'aurait reconnu à cette instant.

Raconte moi tout...

HAN ! Je... J'aime ça ! Haa ! Dit-elle en se cabrant en arrière, faisant ainsi voler ses cheveux en arrière avant d'ajouter : Haa.. Haa... Je veux vous... Haa... sentir dans ma ...  HAN ! S'il vous ... plait... Haa... Maître.

Puis Slade éjacula dans l'anus de Coralie.

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Coralie ne put réprimer un profond soupir de soulagement lorsque Slade lui retira le gode de son fondement. Mais le pire était encore à venir et l'un des moments fatidiques se rapprochait de manière inéluctable.

Prends et suce le pour le nettoyer… et ça va le lubrifier un peu pour le remettre après... tu verras ce sera plus simple !

Même si elle avait subit un lavage en profondeur, la jeune fille n'était vraiment pas emballé à l'idée de mettre quelque chose qui avait traîné dans son anus dans sa bouche. Toujours en position à quatre pattes, les fesses bien relevé et la poitrine contre le lit, Coralie se tenta de ne pas exécuter l'ordre donner par son tortionnaire. L'angle de vue et l'esprit de Slade concentré ailleurs donnait l'espoir qu'il ne se rendrait pas compte de la désobéissance de son esclave. Mais durant ce temps de réflexion, elle dut faire fasse à un nouvel assaut de son geôlier, et celui ci mit à rude épreuve tant son corps que son esprit. Pris par surprise, une vive douleur suivi un claquement sec sur ces fesses, est-ce qu'il c'était rendu compte de quelque chose ? Toujours pris de cours, les doigts de Slade pénétrèrent vigoureusement l'intimité de la jeune fille. Il ne fallut pas longtemps pour que cette dernière commence à ressentir de petit picotement dans le bas de son corps, suivi par une respiration haletante et d'une difficulté grandissante à organiser une pensée cohérente. Dans un dernier sursaut de lucidité afin de pas craquer face à son tortionnaire, elle enfourna le gode dans la bouche espérant profiter d'un goût profondément ignoble pour garder l'esprit éveillé. La forte saveur qui envahit sa bouche eut l'effet escompté, mais un cours instant seulement. Le lavement avait dû être particulièrement bien fait car l'odeur n'était pas assez forte pour lui permettre d'ignorer le traitement qu'elle était entrain de subir, sans compter que cela lui rappelait certaines fellations qui ne s'étaient pas trop mal passé. Du coup, c'est l'effet inverse qui se produisit, et cela l'excita d'avantage. Coralie était exténué et avait toute la peine du monde à retenir se flot d'émotion qui était entrain de l'envahir, sa main gauche serra fort le drap du lit, sa respiration devînt de plus en plus difficile à contrôler, de plus en plus bruyant. Elle était à deux doigt de craquer, l'idée d'abandonner, de se laisser engloutir par le désir et de se transformer en chienne avide de sexe était devenu si séduisante, qu'elle perdu toutes les notions qui lui avait permis jusqu'alors de ne pas céder. Ayant arrêté de sucer le gode, elle mordait le drap du lit avec vigueur pendant qu'elle murmurait des mots parfaitement incompréhensible pour Slade, mais qui était l'équivalent d'un compte à rebours avant le point de non retour.

NON !... Non... Non... N... n... nnfff... hmfff... humff... ha... haa... Han... HAN ! HAAN ! c'est... C'est... Trop... O... Ou... Marmona Coralie, Mais juste à la seconde où son esprit allait succomber, Slade stoppa son traitement sur l'intimité pour se concentrer sur l'anus.

La meilleur façon d'illustrer la situation était de dire qu'elle avait été sauvé par le gong. Parce qu'autant la jeune fille avait ressentit des choses qu'elle ne pensait pas trouver agréable venant de son geôlier, autant là, on était revenu à de la torture tout ce qui a de plus classique. La douleur était vive, au point de pouvoir de nouveau avoir des pensés cohérente. C'était une méthode douloureuse, mais efficace pour revenir à la dure réalité que Coralie était entrain de subir. C'était l'entée de son orifice anal qui lui faisait au final le plus mal, Slade tentait de le dilater au maximum jusqu'à ce qu'il puisse  mettre trois doigt aisément. La jeune fille serait mordait le draps, pas pour empêcher des soupirs de désir s'échapper de sa bouche, mais bien pour l'aider à supporter la douleur. La terreur l'envahit au moment où elle sentit le gland de son tortionnaire de poser à l'embouchure de son anus, le moment où sa virginité anal allait disparaître était venu.

Sais-tu pourquoi tu gardes ta virginité ? Parce que je ne te la prendrai que quand tu viendras réclamer que je te la prenne, comme la chienne en chaleur que tu es…

Le rire que poussa Slade à ce moment glaça le sang de Coralie, prise de panique, elle tenta désespérément de se calmer en urgence et de penser à autre chose ou n'importe quoi qui lui aurait permis de supporter un tout petit peu plus la douleur. Mais c'était trop tard, le gland venait de pénétré son corps et cela avait eu pour conséquence de couper net la respiration de la jeune fille. C'était comme si son anus était littéralement entrain de se déchirer. Elle ne ressenti même pas la nouvelle paire de claque qui allèrent frapper les fesses de cette dernière, la douleur fut complètement éclipsé par celle provoqué par le pénis de Slade qui pénétra encore plus profondément le fondement de Coralie, qui poussa un fort râle de douleur. Impossible de simuler quoi que ce soit, la douleur était si intense qu'il n'était pas possible de la cacher d'aucune façon que ce soit. Ses yeux avaient été un instant pratiquement révulsé, son corps se contractait pour essayer d'expulser ce corps étranger mais ça aussi c'était impossible. La jeune fille soufflait rapidement pour tenter d'évacuer la douleur et tenter de se détendre mais la tâche était particulièrement ardu.

Alors, tu aimes que ton Maître t’honore ainsi ?

Son "maître" devra se contenter des couinements de douleurs de Coralie pour seule réponse.  Elle gémissait frénétiquement et pleurer abondement, aucune parole ne pouvait sortir de la bouche de la jeune fille.

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"il te faut juste de l'exercice, et du kilomètre au compteur...", Coralie se faisait l'image d'une vieille voiture en entendant ces mots, elle avait le cliché en tête de la vieille prostitué avec une voix nasillarde et aux cheveux dégarni. Savoir que c'était le futur qui l'attendait, la plongeait dans un profond état de dépression. Après, il était probable qu'elle ne tienne pas jusqu'à un age avancé, et de plus, elle était suffisamment occupé pour avoir autre chose à penser. Et si c'était ça le secret pour enduré tout ça ? Mettre le cerveau en pause comme lorsque Lust Enigma le faisait pour la protéger, ne se préoccuper que de l'instant présent et de l'ordre donné ?

Tourne toi, dos à moi, pour ça, et présente moi ta croupe, que j'examine comme tu te débrouilles avec le gode, ma petite chienne Coralie...

La jeune fille obéit et repris sa fellation comme si elle ne s'était pas arrêté. Même si l'exercice n'était pas simple, elle ne rencontra presque aucune difficulté à suivre le rythme imposé par son tortionnaire. Son entrainement onirique ainsi que la pratique accumulé durant toute la journée lui permis de faire cette pratique sans heurt. Il aura suffit d'une journée intensive sous la contrainte pour faire de Coralie une débrouillarde dans le domaine. Cet confiance en elle eut pour conséquence de commencer à la faire sensiblement mouiller, un part d'elle-même ne voulait pas que cela ce produise, une façon de rejeter ce qu'elle était entrain de devenir. Mais comme dit précédemment, la situation n'était pas à la réflexion, et la jeune fille se laissa aller et faire, se concentrant sur sa fellation.
De façon totalement inattendu, parmi ses faux gémissement, il y'en a eu un qui fut un véritable soupir de plaisir. Coralie se crispa que durant l'espace d'un instant devant ce sentiment qui avait surgit de façon incontrôlable. Heureusement pour elle (si on peut parler de chance), Slade se mit à torturer son anus avec le gode qui était dedans, ce qui dissipa toute forme de plaisir qu'elle pouvait ressentir. Le traitement était dur, des pointes de douleurs dans son fondement lui donna l'impression qu'on l'a piquait avec des aiguilles, est-ce que des lésion c'était formé à cause de "touillage intensif" ? En tout cas, cela avait eu un effet sur sa fellation qui avait perdu en qualité. Fini la valse de la langue et du membre de chair, il ne restait plus que le mouvement de va et vient, mais cela ne semblait pas déranger Slade qui prenait finalement plus de plaisir à la faire souffrir qu'à recevoir une fellation.

Hum, voilà, c'est bien ! Oh… oui, voilà… et c'est bien ce que tu dis… mais tes cuisses mentent… c'est la dernière fois que tu simules… demain, tu n'auras plus le droit au lubrifiant… si tu veux lubrifier, tu devras utiliser ta mouille et pour utiliser ta mouille, il va falloir que ça coule, alors tu as intérêt à penser à ta manière de le faire… pour la peine je t’attacherait le gode dans le fondement pour la nuit...

Dormir avec ce truc toute la nuit ? Il se rendait compte qu'avec un truc comme ça elle ne pourrait probablement pas dormir ? Et que du coup, cela aurait une conséquence sur la qualité de ce qu'elle faisait ? Visiblement il n'en avait rien à faire, Coralie espéra donc que Lust Enigma pourra l'aider à la faire dormir. Elle était aussi inquiète pour le gémissement qu'elle avait poussé, son tortionnaire agissait comme s'il n'avait rien entendu mais si c'est comme le coup de la cabine, alors il était probable qu'il lui ressorte plus tard.

C'est pas vrai... ça ne va jamais s’arrêter... je suis entrain de me... me ... Il me transforme... Combien de temps faudra-t'il encore avant que je ne devienne qu'un... qu'une... chienne comme il dit. Pensa la jeune fille.

Allez, prépare-toi, à quatre pattes, cul bien levé, tête posée sur le sol, et détends toi…

Coralie s’exécuta, et tenta de faire le vide dans dans esprit. Elle avait encore des petites pointes de douleurs qui la tiraillait mais c'était franchement supportable. Elle pensa à Inori, son frêre, et même à ce garçon qu'elle avait rencontré au Lycée, Shawn. Difficile de cacher qu'elle était en réalité terrorisé, et pour la première fois de ça vie, la jeune fille se tourna vers le seul être qui l'avait accompagné durant ces dernières années.

Oh mon dieu... J'ai peur. Je t'en supplie Enigma ! Fait quelque chose pour apaiser mon calvaire ! Pria-t'elle.

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Coralie profitait d'un des rares moments d’accalmie qu'elle pouvait avoir lorsqu'elle était en cours. Le temps était agréable, une légère brise caressait avec douceur les cheveux de la jeune fille, et le soleil brillait juste ce qu'il fallait pour réchauffer le corps mais pas suffisamment pour faire mal au yeux. Le téléphone diffusait la chansons Echoes depuis les écouteurs et permettait à Coralie de laisser son esprit loin des tracas quotidiens que sa malédiction lui inflige tous les jours de sa vie.

La matinée de cours avait été éprouvante pour la jeune fille, cela avait commencé dans le couloir principal de l'établissement. Lorsque l'occasion se présente, elle tente toujours d'éviter la foule, mais il arrivait lors des heures d'affluence, et plus précisément, lors de la sortie de cours, de se retrouver dans des marées humaines. Dans ce genre de moment, il y a toujours une multitude de mains baladeuses pour la tripoter plus ou moins discrètement. Puis elle était parvenu à échapper à la tentative de viol d'une fille sociopathe qui avait passé la matinée à la traquer. Enfin, un professeur avait eu plusieurs eu moment de blanc en regardant le bas du dos de Coralie. Et le pire dans tout ça ? C'est que toutes ses personnes n'y était strictement pour rien, ils étaient simplement tous tombé sous l'influences de Lust Enigma. Selon les jours, sa malédiction pouvait rendre infernal certaine journée, voire carrément être invivable. Mais depuis quelques jours un rayon d'espoir était apparu et portait le nom d'Inori. Peut être que grâce à elle, ce destin qui la tourmente ne serait plus qu'un mauvais souvenir.

La pause pris finalement fin lorsque deux mecs maousse aperçurent la jeune fille. Leurs corps se raidirent d'un seul coups comme s'ils n'étaient plus maîtres d'eux même. Les deux élèves lambdas devinrent des prédateurs sexuels potentiel à cause de Lust Enigma.

Regarde ça mec, si c'est pas appétissant. Dit le premier.

En effet, je m'en payerai bien un bout. Répondit le second en se léchant le coin des lèvres.

Coralie comprenant instantanément le problème, ne prit pas le temps en considération vaine. Dès que les deux zombies s'approchèrent d'elle, cet dernière leurs envoyé une volée de coups pour les repousser, la jeune fille profita de l'occasion pour tourner les talons et tenter de mettre de la distance afin que sa malédiction de les affectent plus.

Je suis désolé de devoir faire ça, mais je sais que vous êtes pas dans votre état normal. Leurs dit la jeune fille en s'éloignant.

Les deux élèves allèrent contre les toutes les prévisions de Coralie et se remirent rapidement sur pieds, ils ne leur fallut pas longtemps pour la rattraper. Elle était maintenant acculé et la situation empirait de minute en minute, se préparant à sortir sa lame d'auto-défense en derniers recours. C'est alors que de manière totalement inattendu, un jeune homme fit son apparition et planta un crayon dans le mollet de l'un des deux zombies.

Tututu, il ne faut pas embêter les jolies filles tu sais? Sinon elles peuvent te castrer en donnant un coup de pied entre les jambes ! Dit-il avec un sourire satisfait.

Le garçon déchanta vite lorsque le deuxième larrons se retourna vers lui pour tenter de le frapper. Plusieurs choses se produirent dans la tête de Coralie à une vitesse défiant l'imagination. Tout d'abord, elle fut stupéfaite que quelqu'un tente de la protéger (autre qu'Inori bien sûr). Puis, elle fut parcouru par un sentiment de satisfaction en sachant qu'il y avait des gens capable encore de faire ça. Enfin, il était intolérable pour elle que quelqu'un souffre à cause de sa malédiction. Elle se jeta alors sur l'élèves et lui agrippa le bras pour l’empêcher de frapper le jeune sauveur. Cela ne pouvait pas être pire comme situation car l'influence de Lust Enigma est bien plus forte lorsqu'il y a contact direct avec le corps de quelqu'un d'autre, les pulsations de son pouvoir pouvait ainsi se propager bien plus facilement.

COURS ! ENFUIS TOI ! JE LES RETIENS ! VA T'EN ! Hurla t'elle au jeune garçon.

Il y'avait bien sûr un autre risque, celui que son jeune sauveur tombe sous l'influence de sa malédiction et décide également de s'en prendre à elle. L'autre élève était toujours au sol entrain de couiner, elle finirait bien par parvenir à se débarrasser de l'autre. Toujours tenter en premier lieux d'éviter que la situation n'empire.
La jeune fille sorti sa lame d'auto-défense mais le zombie ne se laissa pas faire et attrapa Coralie avant de la plaquer violemment au sol. La force du choc fit lâcher le couteau qui glissa à même pas quelque centimètre d'elle.

Je savais que tu voulais ma bite et pas celle d'un autre foutu salope. Dit l'élève avec un regard de fou et de la bave au coin de la bouche.
*Kof* *Kof* ! Lachez moi ! Vous ... Vous n'êtes pas dans votre état normal ! Ressaisissez vous ! Tenta de raisonner la jeune fille.

Mais rien n'y faisait, le zombie était sur elle et utilisait tout son poids pour la maintenir au sol. Du coins de l’œil, Coralie aperçu sa lame d'auto-défense et tendit la main pour tenter de l'attraper. L'élève quand à lui avait saisi le t-shirt de la jeune fille pour essayer de l'arracher à même les mains. Il ne manquait que quelques millimètre pour qu'elle parviennent à attraper son couteau, on pouvait entendre le craquement du tissus qui se déchirait lentement, cédant petit à petit du terrain face à la force de son adversaire.

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Lorsque Alex la pris dans ses mains, Coralie ne put réprimer un petit soupir. Elle aurait tant souhaité avoir une vie normal, se lancer de manière insouciante dans la valse du désir charnel et du frisson, avec ce beau jeune homme que la jeune fille venait tout juste de rencontrer. Mais ce genre de découverte qui aurait dû lui servir à s'épanouir en tant que femme lui était désormais interdit. Il y avait eu tant d'homme qui avait pu profiter de ses charmes, qu'elle n'était plus capable de se rappeler des visages et des noms de tous ses partenaires. Seul Slade se démarquait du lot puisque c'était le monstre qui avait changé sa vie, tous les autres n'étaient plus qu'un amalgames de chairs confus dans l'esprit de Coralie.

Alors tu ne m’as toujours pas dit ce que tu attendais de moi hormis prendre du plaisir

Ne se retournant pas, la jeune fille leva les bras et les posas autours du cou d'Alex, tout en s'appuyant  lascivement sur lui. Ses cheveux dégageait une odeur de pomme verte, qui pourrait être perçu comme un rappel au fameux fruit défendu. Sa robe était était si fine qu'il était parfaitement possible de sentir le corps de Coralie ainsi que ses sous-vêtements. Elle se cambra d'avantage pour pouvoir tourner la tête vers le jeune homme afin de lui présenter ses lèvres.

hmmm ... Tu auras très vite l'occasion de te rendre utile, rassure toi. Comme je te l'ai dit, je rend des services et en échange on me retourne l’ascenseur. Dit la jeune fille avant de déposer un baiser qui ne dura même pas l'espace d'un instant, elle repris : Suis-moi, nous sommes bientôt arrivé.

L'intérieur de l'immeuble était assez bien entretenu tout en étant chic mais luxueux. Le sol était recouvert d'un carrelage blanc froid, ce dernier faisait contraste avec le papier peint orangé. Le couple pénétra dans l'ascenseur et Coralie pressa sur le bouton 6, la façon dont elle s'était plaqué contre le mur pour appuyer sur l'interrupteur était pratiquement une incitation au viol. Lorsqu'ils entrèrent dans le couloir, ce dernier était parsemé d'immenses miroirs qui allaient du sol au plafond. L'étage tout entier contrairement au reste de l'immeuble semblait complètement inhabité. La jeune fille tira une clé de son sac à main et ouvrit la porte de l'appartement situé juste à la gauche de l'ascenseur, on pouvait y distinguer le numéro 36. Une fois à l'intérieur, on pouvait constater un agencement des pièces peu orthodoxes, un peu comme si elles étaient toutes aligné les unes à côtés des autres. De plus, les miroirs présent dans le couloir l'était également dans l'appartement.
Coralie indiqua la direction de la chambre à Alex tout en s'approchant de lui de manière espiègle, son visage donnait un peu l'impression d'une petite fille qui s’apprêtait à faire un tour à quelqu'un. Il n'y avait rien de méchant dans sa démarche, cela ressemblait plus à l’intonation de quelqu'un qui voulait jouer.

Voilà le deal, tu me rends service en apportant une petite contribution financière pour le paiement du loyer de cette appartement et moi je en retour je m'assure que tu ne quitte pas cet endroit tant que tu n'auras pas des étoiles pleins les yeux. Dit-elle avec un sourire malicieux, avant d'ajouter : Qu'en dis-tu ?

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Je vois… les choses vont changer… à partir de maintenant tu vas t’entraîner à prendre du plaisir dans la douleur et dans l'humiliation permanente, je ne souffrirai aucune désobéissance là dessus ma belle… et la sodomie est un excellent moyen pour commencer cela… mais avant de commencer cela il va falloir lubrifier ma verge, nul doute que tu sauras précisément ce que j'attends de toi… et il va falloir aussi que je te prépare, car plus ton orifice sera serré, plus tu auras mal… donc je te conseille de te détendre et de bien écarter les fesses… nous allons nous mettre sur mon lit, nous serons plus à l'aise là bas...

Coralie fut surprise pendant un court instant. Après sa plaidoirie, elle était persuadé que Slade l'aurait frappé avec la force et la froideur qui le caractérise. Mais heureusement ce ne fut pas le cas pour le bien être de la jeune fille. Malgré les paroles intimidantes de son tortionnaire, c'était maintenant une certitude que ce dernier s'assouplissait. Soit il devenait plus gentil et se laissait charmer, soit il avait une trop grande confiance en l'emprise qu'il exerçait sur elle. Coralie suivi son tortionnaire jusqu'au lit et Slade repris la parole.

Ces godes que tu vois par terre, il va falloir t'y habituer, car tu en porteras souvent un, voire deux… le but est de t’habituer à se faire dilater le derrière comme on le souhaite… je serai contant quand je pourrais faire passer mes poings ensemble dans ton derrière, donc chaque jours tu commenceras par le premier, puis le deuxième, etc. Jusqu’à ce que tu sois capable d'encaisser le plus gros… ensuite je prendrais le relia manuellement… tu comprends l'intérêt d'avoir le cul bien propre du coup ?

Le regard de la jeune fille se porta alors inconsciemment sur les mains de son geôlier. L'idée que déjà de ses poings puissent rentrer lui sembler difficile et particulièrement douloureux, alors deux, cela friser carrément à l'absurde. Elle poussa un petit soupir exaspéré ne prenant pas du tout l'objectif au sérieux. Coralie déchanta bien vite lorsqu'elle aperçu le gode dont la taille et l'épaisseur était plus que conséquente, que des gens puissent prendre du plaisir à s'enfoncer quelque chose d'aussi gros dans l'anus l'a fit frissonner de peur.

Oui monsieur. répondit-elle tout en ayant du mal, malgré tout, à cacher son inquiétude fasse à ce qui se profilait face à elle.

Allez, enfonce le plus petit et ensuite mets-toi au travail… et si tu as du mal, tu as du lubrifiant !

La jeune fille s'approcha du plus petit des godes qui se présentait devant elle. Ce dernier était long d'environ 10 centimètre et avait à peu près l'épaisseur d'un tube à essai, quelque chose de particulièrement adapté pour s'initier à ce genre de pratique. Si on gardait à l'esprit que Slade était un monstre pervers, froid et sadique, alors on pouvait dire qu'il n'avait pas fait preuve de cruauté lors du choix de l’ustensile. Coralie le saisi, se mit à genoux, et dirigea lentement le gode vers son anus. Elle essaya de se convaincre que c'était comme un suppositoire mais en plus grand et beaucoup plus long. La jeune fille commença alors à tenter de l'enfoncer mais rencontra quelque difficulté, impossible de savoir si le stress en était la cause ou si c'était sa morphologie naturelle. En tentant de forcer un peu, Coralie pris conscience qu'elle possédait un orifice assez étroit ce qui ne l'aidait pas pour se détendre. Après quelques échecs qui n'ont servi qu'à irriter sensiblement son fondement, la jeune fille se saisie du lubrifiant en tube et fit couler un peu de gel sur des doigts. Le produit possédait une consistance similaire au savon mais en plus huileux, il ne dégageait aucune odeur et avait une couleur translucide. Coralie appliqua le lubrifiant comme si c'était de la pommade, de manière délicate et innocente. Puis, fit de même avec le gode, les mouvement qu'elle fit rappeler étrangement ceux d'une masturbation. Ce fut alors le temps de la seconde tentative, le sex toys ne rencontra aucune résistance et pénétra dans l'anus de la jeune fille sans difficulté. Elle ne savait pas trop comment décrire les sensations qu'elle ressentait, cela ne lui faisait pas mal, mais c'était pas une sensation agréable non plus. Son corps tentait de se contracter pour expulser cet intrus et il fallu fournir un effort pour que le gode reste à sa place.

Coralie commença à se déplacer à quatre patte vers son maître, plus par difficulté à ce mouvoir que dans un soucis de vouloir charmer. Elle monta sur le lit et se positionna sur Slade qui était allongé sur le dos. Les jambes de la jeune fille était bien écarté et son fessier était bien relever lorsqu'elle débuta sa fellation, les caresses de sa langue n'avait presque plus d'hésitation et les mouvements de sa tête avaient un rythme régulier. Seul le gode placé dans l'anus de la jeune fille rendait son exécution un tout petit peu crispé. Il faut dire aussi qu'avec tout ce qu'elle avait pratiqué aujourd'hui, Coralie commençait à avoir une certaine maîtrise du sujet, même si c'était toujours plus difficile avec Slade à cause de la taille de son membre. Prenant alors confiance, elle se risqua à simuler quelque soupir de plaisir maladroit mais discret.

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Vous êtes directe vous. Dit Alex.

Bon, déjà c'était un premier bon point. Le jeune homme était quelqu'un de suffisamment intelligent pour comprendre un sous-entendu qui n'en était pas un, sans être obligé de dire crûment :"On baise ?". Même s'il faut admettre que c'était pratiquement la même chose. Cependant, Coralie espérait que l'intellect d'Alex s’arrêtait là afin de ne pas rendre sa tâche plus compliqué qu'elle ne l'était déjà.

On peut aller chez vous. Je vous avoue qu’il y a quelqu’un chez moi. Proposa t'il.

En revanche là, c'était pas un bon point, et pour une raison très simple : Chez elle, c'était aussi chez Slade et ce dernier n'apprécierait pas que la jeune fille ramène une parfait inconnu dans sa planque (quoi que ce serait pour lui une bonne occasion de se défouler sur autre chose qu'elle). Toutefois, les paroles du jeune homme finirent de conforter l'idée que celui-ci vivait encore chez ses parents. C'était une faille exploitable par Coralie qui décida d'utiliser une combine dont elle avait recours dans ce genre de situation.

Cela vous pose un soucis ?

Non rassurez-vous, cela ne me pose pas de problème. Mon appartement se situe à moins de 10 minutes de marche d’ici. Donc, si la balade ne vous fait pas peur, suivez-moi. Tout d'abord rassurant, la fin de sa phrase avait quand à elle pris un ton particulièrement envoûtant.

La jeune fille se leva, puis partie en direction de la sortie, en se frayant un chemin à travers les clients du bar. Il était vrai que sa poitrine n'était pas exubérante, mais elle était assez fier de son dos qu'elle pris soin de mettre en valeur lorsqu'elle quitta cette endroit. Sa chute de rein était un véritable toboggan de plaisir pour les yeux, menant directement vers des fesses qui ne demandait qu'une chose : être dévoré des yeux et malmené avec les mains. Le tout était parfaitement souligné par la robe moulante que portait Coralie et qui donnait déjà une idée assez clair (pour ceux doté d'une vue particulièrement perçante) des sous-vêtements qui se cachaient en dessous. Elle se retourna un court instant vers lui, son visage rayonnait d'une expression qui ne voulait dire qu'une chose :"Et bien, qu'est-ce que tu attends pour me rejoindre ?". A cet instant, la jeune fille avait tout du lapin blanc dans la fameuse oeuvre de Lewis Caroll.
Elle connaissait un appartement non loin de là où elle pourrait emmené son pigeon du soir si ce dernier venait à la suivre. En réalité, c'était là que la jeune fille emmenait la plus part des gens qu'elle voulait extorquer.  En effet, ce dernier était un peu particulier, il servait à l'origine à tourner des films porno clandestin pour l'un des grands parrain du sexe de la ville. Il fut abandonnée pour des raisons mystérieuses mais elle en avait récupéré les clés auprès d'un homme peu scrupuleux qu'elle avait rencontré au cours de ses nombreuses péripéties depuis que Coralie était devenu l'esclave de Slade. Cet dernière, percevant tout le potentiel de cette endroit au vue de ses projets, en fit l'acquisition en offrant son corps à l'individu, car pour rappel, le sexe est dans cette ville une monnaie au même titre que l'argent.
Il n'arrivait pas toujours que la jeune fille se serve de cet appartement pour faire pression sur les gens. Parfois, elle s'en servait juste comme un lieu tranquille pour faire une passe comme la bonne petite prostitué qu'elle était. Tout dépendais en réalité de se qu'elle pouvait obtenir de sa victime, et si le jeu en valait la chandelle, alors elle n'hésiterai pas à faire découvrir les spécificités de cette endroit à Alex.

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Les alentours de la ville / Locked out of heaven [PV Logan]
« le: mardi 03 février 2015, 22:50:45 »
Une nouvelle soirée tout à fait classique était sur le point de débuter pour Coralie. Ce soir, Slade n'avait pas besoin d'elle, mais cela ne voulait pas dire que cette dernière était libre pour autant. Il s'était passé à peine quelques jours depuis son dernier pigeon : Alex. Mais la jeune fille devait déjà passer à autre chose, car c'était très difficile de nouer des liens (bon ou mauvais) avec des gens à cause de ses activités. Les rares contacts extérieurs qu'elle avait dans son répertoire était des personnes qui devaient lui rendre des service ou qui avaient subit nombre de chantage de sa part.
La jeune fille arpentais les rues de la ville de Seikusu dans l'une de ses nombreuses tenues affriolantes mais qui restait dans ses classiques : robe moulante au possible et d'une longueur indécente, des bas qui l'a faisait passé pour une prostitué mais accordé avec sa robe pour laisser encore planer le doute au yeux des autorités.
Lorsque la nuit tombait, l'ambiance dans la ville n'était plus du tout la même. Pratiquement tous les habitants en profitait pour sortir et se changer les idées. Coralie pouvait alors assister au balais des jeunes étudiant dans les soirées, et ne pouvait s’empêcher d'éprouver de la crainte pour toutes les jeunes filles insouciante qui étaient parfois vêtu plus vulgairement qu'elle et qui auraient fait des proies de choix pour n'importe quel dépravé sexuel. Il était d'ailleurs curieux de noté que la police ne faisait jamais grand chose pour ceux dont la tenue vestimentaire constituait une violation de toute les lois sur la bienséance. On pouvait sentir un sentiment de lassitude chez les rares policiers qui patrouiller dans les rues de la ville, l'une des raisons était  que ces derniers pouvaient se rincer allègrement l’œil ou alors peut-être qu'il y aurait simplement trop de femme à arrêter. Selon Coralie, la vérité devait se situer un peu entre les deux...

La jeune fille débuta sa tournée avec une boite de nuit qui avait pour habitude d'ouvrir relativement tôt afin de rameuter le plus rapidement possible des clients. L'ambiance y était déjà bonne mais la fièvre se ressentira que bien plus tard dans la nuit, on pouvait y attendre une chanson : Locked out of heaven. Coralie fit un salut de la main à l'une des femmes qui tenait le bar qui lui retourna la politesse par un signe de la tête. Les deux se connaissait mais leur relation était strictement "professionnel", la jeune fille offrait de bon pour boire ou des services à la serveuse qui en échange lui indiquait des cibles potentielles à arnaquer.

Je suppose que tu viens pour la pêche, mais il est encore un peu tôt, je n'ai donc pas grand chose à te filer, j'ai juste entendu dire qu'une bande d'étudiant aller venir faire la fête durant la soirée. Dit la serveuse de manière concis et efficace.

Ce n'est pas grave. Ah ! Et merci au fait pour l'autre fois, je te revaudrai ça. Répondit la jeune fille.

Les deux personnes se trouvaient en réalité dans des situations assez similaire, il était donc nécessaire de se serrer les coudes entre victime de monstres tyranniques comme pouvait l'être Slade. Coralie s'éloigna alors du bar et se laissa porter progressivement par le rythme entraînant de la chansons et se mêla à la foule de danseur, se rapprochant des gens afin de pouvoir plus facilement attirer à elle les éventuelles pigeons. Une tel proximité avec les gens aurait été impensable il y a encore un ou deux mois à cause de sa malédiction, mais maintenant la situation c'était inversé, la jeune fille devait attiré du monde si elle voulait un jour retrouver sa liberté.

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Il était difficile de mettre des mots pour exprimer tout le nuancier de subtile sensation qu'avait ressentit Coralie au court de cette douche. Lorsqu'on mélange trop de couleur entre elle, le résultat donne souvent une bouilli de marron et de noir, toute subtilité disparaît et c'est ce qui c'est produit dans la tête de la jeune fille.
D'abord le contact de l'eau glaciale contre sa peau nue lui fit plusieurs fois croire qu'elle allait mourir, la friction rappeuse et soutenue du savon lui donner l'impression d'être passé dans une rappe à fromage pour lui enlever la peau. Aucun mot compréhensible ne sortait de la bouche de Coralie, seulement des couinements mêlant douleurs et tristesse. Mais à ce moment là, elle avait encore un semblant de lucidité.

Allons, on m'a TOUT raconté, tu devrais t'en douter, la manière dont tu as mouillé, ça je l'ai remarqué aussi quand tu es sortie, tu avais un reste de mouille le long de la cuisse… alors j'ai une question, pourquoi tu prendrais ton pied avec les autres et pas avec moi ? Tu sais que ce n'est pas ce que je vais apprécier… tu t'en doutais à l'avance, non ? Alors je veux tes explications ! Vite ! Dès que ton lavement serait fini, bien sur ! Je veux que tu te souviennes de comment je fais car désormais, à chaque fois que tu iras prendre ta douche, tu en feras un. Je n'aime pas enculer des malpropre… et comme après une enculade, tu lécheras ma queue, il vaut mieux pour toi que ce soit propre… non ?

Puis après la décomposition, le pire c'était produit, Coralie était persuadé avait pris toute les précautions pour dissimuler ce fait mais ça n'avait pas échapper à l’œil de Slade. Toutes les questions commençait à s'évaporer et sa conscience avec. Ce n'était pas la première fois qu'elle vivait un tel black out, hier soir, elle n'avait pas supporter son premier traitement. C'était une réaction instinctive de son corps, sa dernière solution pour échapper à un assaut trop insoutenable pour son corps et son esprit.

Voilà la première étape de faite

Elle venait de subir un traitement tel, qu'en temps normal cela aurait provoquer des ravages sur Coralie. Mais la jeune fille était passé en mode automatique, toutes les traces de cette torture laisserait forcément des séquelles sur son corps. Tout cela n'allait pas disparaître comme par enchantement, cependant, celui lui permettait de pouvoir tenir le coups.

Tu vas garder ça dans ton cul pendant deux à trois minutes, puis tu te videras dans l'évacuation et ensuite tu recommenceras toute seule, avec du vinaigre pour désinfecter, même processus… ensuite tu viendras, avec ton collier et comme une bonne chienne, dans le salon, pour que tu m'expliquer le pourquoi du comment tu te permets de donner ton plaisir à des inconnus et pas à ton maître.. ; suite à quoi, je t'initierai à la sodomie… peut être que je mettrais ensuite ta virginité en vente… qui sait… je verrai bien...

Coralie exécuta tous les ordres de son maître sans rechigner et sans réfléchir, comme un robot. Son esprit refit doucement surface lorsqu'elle commença à se diriger dans le salon, ce qui l'a fit tomber sur ces genoux. Son premier réflexe fut d'attraper une serviette et de se frotter comme une damnée pour se réchauffer. Elle n'avait plus très bien conscience de ce qui c'était produit, mais une petite voix résonna dans sa tête, de la même façon qu'un magnétophone qu'on allumerai pour se remémorer des notes. Lust Enigma ne fit que répéter les paroles de Slade, et ces dernières n'étaient pas vraiment encourageante. La jeune fille se posa une question simple : Se pourrait-il que ça soit sa malédiction qui mette volontairement l'esprit de Coralie en pause pour la préserver ? Le temps ne lui permettait pas trop de développer cette idée.

Elle se dirigea donc au salon en prenant la position habituelle que lui avait imposé son maître. Il y eut ensuite une longue minute de silence, durant laquelle, la jeune fille prit bien le temps de prendre conscience de ce qui allait lui arrivé en posant ses yeux sur la latte en cuir que tenait Slade. Puis, il lui en fallu une seconde pour bien choisir les mots qu'elle allait employer. Enfin, une troisième fut requise pour réunir son courage afin de prendre la parole.

Du... Durant cette journée, j'ai exécuté tous les ordres que vous m'avez donné, j'ai donc donné du plaisir au gens que vous m'avez désigné. En répondant ainsi, elle prenait évidemment le risque que Slade pense que Coralie le prenne pour un con. Ce n'était bien évidemment pas le cas, mais une volonté sincère d'exposer les faits. Après un cours temps de pose, qui aurait malgré tout suffit à son geôlier pour lui mettre deux gifle bien sec dans le visage, elle reprit la parole : Quand au peu de plaisir que j'ai pu ressentir dans cette cabine, il n'est que le résultat d'un accomplissement de ma part. Avoir réussi à trouver un compromis au problème que je rencontrais, ajouté au fait c'était l'une de mes premières expériences sans douleurs, à provoquer la réaction en moi que vous avez pu constater. Je finirai en disant que le plaisir que j'en ai tiré était infime mais suffisant pour que j'éprouve des craintes..

Il n'y avait pas eu d'hésitation dans ces dernières paroles, son regard était fixé droit dans les yeux de Slade, ce n'était pas sur un ton de défi ou d'arrogance que ces mots avaient été prononcé mais chacun d'entre eux portait une assurance certaine. Coralie était pratiquement certaine qu'après avoir parler ainsi, elle subirait le courroux de son maître et que cela être probablement aussi douloureux que hier ou que cette douche. Cependant, la jeune fille avait réussi à les supporter, Lust Enigma était là pour la soutenir et cela lui donner la force d'endurer son calvaire. Elle hésita un moment, il voulait que la jeune fille fasse preuve d'initiative mais d'un autre côté, les mots qu'avaient prononcé son geôlier n'avaient pas disparu de son esprit : pas de négociation, pas le moindre pouvoir. Inutile donc de tenter de l'amadouer ou de marchander, il suffisait juste d'attendre que la tempête passe. Elle prit donc la décision de prendre une dernière fois la parole, cela serait donc son initiative tout confirmant à Slade qu'elle lui était toujours soumise :

Je suis maintenant prête à recevoir votre initiation monsieur. Dit-elle en baissant les yeux.

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Les alentours de la ville / Re : Une soirée comme les autres ( Coralie Scorpio)
« le: vendredi 23 janvier 2015, 21:54:24 »
Merci du compliment vous n’êtes pas mal non plus dans votre genre

Première étape atteinte. L’appât au bout de la ligne avait attiré l'attention du poisson, il fallait maintenant qu'il morde à l'hameçon. C'était la partie la plus technique de l'opération, le but étant de réussir à obtenir quelque chose de la personne? Dans ce cas-ci, très probablement de l'argent mais qui sait ? Peut-être pourrai-t'elle faire chanter le fils à papa en faisant pression sur les parents.

Et donc, hormis travailler dans le social, vous faites quoi de votre vie ? Il y a un homme, un chien, un poisson rouge ?

Un poisson rouge ? Étrange trait d'humour, très décalé pour un fils à papa. Coralie appréciait beaucoup le comique par l'absurde lorsqu'elle n'était pas sous l'emprise d'un maître, se fut donc un petit rire sincère qui émana naturellement de sa bouche. Les occasions de pouvoir s'amuser se faisait rare et cela lui fit presque oublier la raison de sa présence ici.

Hihi ! Oh... vous savez, je rencontre une passe difficile en ce moment, je rencontre pas mal de soucis et vous savez comment son les gens ? On leur rend service mais quand il s'agit de renvoyer l'ascenseur, les amis se font rare...

Mêlant le vrai et le faux, la jeune fille estima qu'il était temps de passer à la suite des événements.

Mais je ne souhaite pas vous ennuyer d'avantage avec mes soucis. Pourquoi n'irions nous pas ailleurs pour continuer à faire connaissance ?

Invitation clairement ouverte, il était nécessaire que la situation bouge pour créer de nouvelle opportunité. La lassitude étant un ennemi particulièrement redoutable, Coralie devait parvenir à conserver l'intérêt de son poisson pour que ce dernier n'aille pas voir ailleurs. Une boite de nuit est un lieu propice pour le rapprochement mais il y avait peu d’intimité, chez Alex ça serait également intéressant mais si elle c'est trompé sur son estimation elle aura perdu son temps pour rien. D'autre alternative était bien sûr possible et quelque soit la réponse de son partenaire du soir, la jeune fille s'y adapterai.

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De retour dans son lieu de détention, Coralie exécuta les directives de son maître en allant ranger les affaires qu'ils avaient acheté. Tout dans cet endroit dégageait quelque chose d’inhospitalier, une atmosphère malsaine né de la seule journée qu'elle avait passé en ce lieu. La jeune fille était déjà épuisé mentalement et physiquement, et la torture allait se poursuivre encore un long moment. Elle aurait bien voulu se reposer juste un moment, faire le vide dans son esprit, oublier tous les pénis que Coralie avait dû sucer ainsi que tous les regards qui s'étaient braqué sur elle, et ne pas penser à tout ce que son geôlier allait lui faire subir encore.

Je te conseille de retirer ta tenue, après tout, tu ne vas pas ressortir aujourd'hui...

Oui monsieur Répondit-elle machinalement.

La jeune fille retira délicatement ses vêtements et les plia avec précautions. Son état d'esprit était perdu, perplexe, rassuré de ne plus porter une tenue qui attire les regards et de ne plus risquer de se faire violer dans la rue, mais terrorisé de devoir rester complètement nue en compagnie du pire monstre qui soit. Elle commençait néanmoins à avoir l'habitude d'être en tenue d'eve devant son maître, même si cela était toujours désagréable. Il était inutile de cacher sa nudité devant cette homme mais un effort conséquent pour lutter contre la timidité devait être fait. La seule chose que conserva Coralie, fut sa fameuse jarretière qu'elle remis sur sa cuisse droite.
Slade attendait patiemment dans le salon, la jeune fille aurait souhaité retarder le plus longtemps possible son arrivé dans la pièce mais il ne fallait pas faire attendre son geôlier. Ce dernier, frappa sa cuisse avec le plat de sa main de la même façon que l'on appellerai son chien de compagnie. C'était la le plus grand paradoxe dans le comportement de cette homme, tenter d'amadouer Coralie avec des caresses douces et des mots enjôleur mais tout cela était contrasté par la volonté de la traiter comme un animal. Elle alla s'agenouiller au pied de son maître et posa sa tête sur ces genoux comme une condamnée qui mettrait sa tête dans le billot d'une guillotine.

Bon, dis-moi exactement, tu es prête pour la suite ? Après ce qui s'est passé dans le magasin, je me demande si il ne serait pas temps de t'initier à la sodomie et ensuite de te prendre, peut être, ta virginité… je verrais bien comment ça se passe...

La jeune fille ne répondit rien, ne sachant pas quoi répondre. Bien évidemment que si le choix lui aurait été donné, elle refuserait catégoriquement, mais toute tentative de refus se solderait probablement par une violente réplique de la part de Slade. Ce dernier semblait d'humeur à jouer le rôle du gentil garçon, le calcul se fit donc rapidement dans la tête de Coralie. Quitte à subir une expérience particulièrement douloureuse, autant faire en sorte que son geôlier se comporte de façon douce que de façon brute. Elle se laissa donc entraîner par Slade jusqu'à la "salle de bain".

Allez, on va te laver… et je vais t'apprendre à te faire un lavement... Dit-il en sortant quelques ustensiles. Slade se déshabilla avant de reprendre : Et dis-moi, tu semblais vraiment ravie de ce traitement, avec les deux queues dans la cabine d'essayage…. Pourquoi refuses-tu ce plaisir à ton Maître alors que tu l'accordes à des inconnus ?

En revanche, à ce moment là, la jeune fille se tétanisa. De quoi parlait-il ? Est-ce qu'il était au courant de ce qu'elle avait ressentit dans la cabine d'essayage ? Quelqu'un l'avait vu et lui avait dit ? Où est-ce que tout ceci n'était qu'un sous-entendu déplacé de sa part ? Tant de question qui l'a fit grelotté alors que l'eau glacé du tuyau d'arrosage ne l'avait même pas encore aspergé.

Que... Comment ça ? Je ne v... vois pas de quoi vous voulez parler. Je n'ai fait que suivre vos directive monsieur. Répondit-elle.

Son cœur battait à tout rompre, au point que Coralie cru un moment qu'elle allait faire une crise cardiaque. De toute façon si la jeune fille n'en faisait pas à cause des propos de Slade, elle en ferait sûrement une lorsque l'eau glaciale viendrait balayer les forces qui lui restaient.

L'eau jaillit du tuyau d'arrosage et l'effroyable impression d'être transformé en statue de givre l'envahit.

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Un bruit sourd accompagné d'un craquement se fit entendre et c'était fini, le gérant du magasin tomba au sol comme un pantin désarticulé, le regard vide. Coralie fut submergé par la panique, se laissant tomber sur le sol en reculant et en se recroquevillant contre le mur d'effroi. Cela faisait trop d'un coup pour elle, encore sous le choc de ce qui venait de se passer. Des spasmes l'envahissaient, la respiration était déjà difficile mais le bâillon boule n'arrangeait rien, des larmes coulait le long de ses joues. Est-ce que ce type était mort ? Et est-ce Slade pouvait tuer une personne aussi simplement et froidement que ça ? Dans tous les cas, ceci était le parfait rappel de qui il était vraiment : Un monstre, froid, cruel et dépourvu de la moindre once d'humanité.

Allons, c'est finit. Rhabille-toi… on rentre... Dit-il en indiquant la sortie. Le geolier ne prit pas la peine de la détacher et prit la direction de la sortie.

Ne pouvant pas répondre, Coralie pris le temps d'accuser le coup, pendant un instant, avant que la peur de Slade ne la ramène à la raison. Il lui fallut un bon moment avant de pouvoir se défaire de la ceinture qui nouait ses mains, elle avait mal aux poignets à force de se débattre, le cuir de cette dernière ayant bien abîmer sa peau sensible. La jeune fille était totalement débraillé et tenta de remettra rapidement un peu d'ordre dans sa tenu. Une fois fait, elle rejoignit Slade à l'extérieur, se dernier prenant son attitude faussement douce.

Je ne voulais pas que ça se passe ainsi… pourquoi a-t-il réagi comme ça ? Demanda t'il avec un ton qui mêlait la fausse compassion et l'insistance prononcé.

Je... Je ne sais pas. J'ai bien fait comme vous m'avez demandé de faire. Mais cela ne lui suffisait pas il voulait plus et ... et je n'ai pas voulu. Dit-elle craintive avant d'ajouter. Je vous jure que c'est ce qui sait passé.

Coralie n'avait pas menti, elle n'avait pas totalement dis la vérité également, mais il aurait été complètement stupide d'être sincère dans un moment pareil et en compagnie d'un tel psychopathe, c'était purement un réflexe de survie. Le chemin du retour se fit sans un mot, la tension que ressentait la jeune fille était insupportable, c'était comme d'étreindre une bombe au beau milieu de la rue et qui pourrait explosé à n'importe quel moment. Même les gens qu'ils croisaient dans la rue ressentaient un mal aise à la vue de son visage. Slade mit fin au silence en s'adressant à Coralie.

En rentrant tu iras te laver et je t'apprendrais à te faire des lavements pour que le jour où je t'initierai à la sodomie, tu sois bien propre… ta virginité… hum, il faudra peut être résoudre ce problème, que te faire sauter par quelqu'un ne soit plus un problème...

Le moment qu'elle redoutais tant allait finalement peut être se produire. Cela faisait à peine 1 jour qu'elle connaissait son geôlier, la jeune fille avait déjà l'impression d'arriver au bout de ses forces et de ne pas pouvoir en supporter d'avantage. Tout ce qu'elle pouvait espérer, c'était que ça se fasse rapidement, et de la manière la moins douloureuse possible.

Oui monsieur. Dit-elle machinalement

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Les alentours de la ville / Re : Une soirée comme les autres ( Coralie Scorpio)
« le: dimanche 04 janvier 2015, 21:01:32 »
Alex ne s'était pas laisser déstabiliser par la petite pique envoyé par Coralie, ce qui l'a fit douter un court instant, mais elle n'eut pas de le temps d'y réfléchir que la réponse lui vînt aussitôt.

Je profite de la vie tout simplement. C’est un luxe que je peux me permettre et dont je profite avec plaisir.

Un fils de riche pourri gâté, elle avait vu le coup venir à des kilomètre. La jeune fille eut du mal à cacher son sentiment, à la fois blasé et amusé d'avoir vu juste, un petit sourire moqueur se dessina sur son visage et tenta de le faire passer pour un petit ricanement niai, digne des plus beaux clichés de filles écervelés. Décidément, certain préjugés avait la vie dure et certaine personne avait le don de les cultiver.
Ce garçon était donc une cible potentiel pour Coralie. Dans ce genre de situation, elle pouvait espérait tirer de l'argent ou des services. Dans le premier cas, cela se terminait le plus souvent par une partie de jambe en l'air accompagné parfois d'un bon pour boire. Dans le deuxième cas, la jeune fille utilisait la crainte que procurait le nom de son maître pour faire pression sur le pigeon et obtenir des choses difficile à obtenir même avec de l'argent.

Et de votre coté, cela donne quoi ?

Disons que je travail dans le social. Je rend service à des gens et en retour ces derniers me renvoie l'ascenseur. Répondit Coralie.

Toute la mécanique se mettait maintenant en marche. Le regard de la jeune fille devînt langoureux, ses lèvres se firent plus pulpeuses, ses manières plus sensuels et ses paroles mielleuses. Elle croisa d'abord ses jambes avant de sensiblement se pencher en avant pour mieux mettre en avant sa poitrine humble mais délicate.

Mais ne parlons pas pas trop de moi. Puis, se pencha d'avantage en avant pour parler sur un ton plus bas. Je dois vous faire une confidence, je vous trouve particulièrement charmant. Ajouta-t'elle.

Coralie se mit à rire de manière gêné pour donner à ses paroles d'avantage de crédibilité, mais la jeune fille pris rapidement conscience que ce n'était pas de la comédie. Elle pensait réellement ce qu'elle avait dit, peut être qu'une part enfoui profondément dans son être tentais de refaire surface, probablement son âme de jeune fille candide que Slade lui avait volé.

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