Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Hirondelle

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Hirondelle comprit que Vian parlait plus pour poser ses interrogations que réellement questionner l’esclave. Cette dernière devait cependant tout faire pour permettre à son nouveau maître de tout comprendre, pour qu’il puisse facilement l'utiliser comme il le souhaitait. L'esclave attendit que les interrogations s'arrête et allait répondre quand la prise à sa nuque vint à se relâcher, tout comme celle sur ses jambes.  La transsexuelle voyait que sa présence l'interrogeait et devait tout faire pour qu'il accepte sa présence. Après tout comme pourrait-elle faire tout ce qu'elle avait reçu comme ordre si son nouveau maître ne savait pas comment agir en face d'elle.

Hirondelle vint à se relever, ses jambes tremblantes encore sous la prise de l'arachnide, puis elle courba l'échine, faisant un salut typiquement japonais.

- Si vous le permettez maître Vian je vais corriger quelques erreurs que vous avez dis et répondre à vos questions.

L'esclave avait clairement les jambes qui faisait mal et comme elle c'était relevé Vian pouvait voir à présent son entrejambe.

- Je ne craint pas la personne qui me commande, car il s'agit sans doute d'une personne dirigée par la sorcière qui m'a sauvé d'un méchant roi et d'une méchante reine qui voulait me transformer en prince. Même si je possède un attribut d'homme je suis une femme, la sorcière m'a inculqué que cela était une malformation créé par mes parents biologique pour m'obliger à être un prince. La sorcière m'a donc éduquée pour que je puisse servir au mieux ses serviteurs et camarade sorcier. Je ne peux fuir, car cela serait rejeter le fait que la sorcière m'a protégé d'un destin dangereux. En servant les maîtres et maîtresses je serais protégé et nourrit en retour.

Hirondelle vint à  interrompre légèrement la parole. Elle n'avait pas menti, elle avait été droguée et endoctrinée pour devenir une esclave très obéissante et craignant surtout de décevoir.

- Vous m'avez surprise avec le crapaud, mais on m'a inculqué que si j'avais peur je serais une mauvaise esclave, que je pourrais blesser mon maître et ma maîtresse. Pour ce qui est de la souffrance, la prise de l'araignée et le rocher m'ont blessée et j'ai eu mal. Cette douleur est légèrement amoindrit car j'y suis un peu habitué, pouvant, dans certain cas, éprouver un peu de plaisir.  Pour en revenir aux punitions ...

L'esclave vint à s'assoir au pied de Vian, observant l'endroit où il devait y avoir des orteils, si l'esprit avait prit des pieds comme transformation.

- Vous pouvez m'affamer, m’assoiffer, m'empêcher de dormir, m'empêcher d'avoir un rapport sexuel pendant six heures pour que je sois en manque. Le contraire peut aussi marché, un abus de sexe, faire enfler mon ventre jusqu'à être plus que plein. Vous pouvez aussi me bruler, m’asphyxier en m'étouffant ou en me noyant. Vous pouvez aussi me taillader le corps, le chatouiller avec une plume jusqu'à ce que je sente que ce soit des lames tranchants mes pieds. Vous pouvez faire ce que bon vous sembles sans vous soucier de moi. Vous pouvez m’emmener près des porte de la mort et de la folie.

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La jeune esclave vint à légèrement hocher sa tête, quand Vian répéta qu'elle devait l'amuser, faisant attention à ses gestes au vu de sa position très précaire. un faux geste et il était certain que sa colonne finirait par craquer, signifiant au mieux une légère paralysie et au pire la mort. Mais elle continua à conserver la position sous le regard de l'esprit sylvestre, attendant patiemment que Vian donne les premiers ordres ou fasse part de sa désapprobation sur ce divertissement. Hirondelle attendit, sentant son sang ruisseler de moins en moins, mais laisser toujours ce sillage chaud sur son épiderme.

La douleur dû à sa posture avait totalement occulté les dernières traces de démangeaison, étant concentré sur les faits et gestes de son nouveau maître. C'est alors que ce dernier vint enfin à poser des questions, permettant aussi à sa prisonnière de reprendre une posture moins douloureuse, ce qu'elle fit pour éviter de mettre son corps en danger. Elle vint à répondre, toujours avec la même sincérité.

- Je ne connais pas cette personne. Elle m'a toujours communiqué mes ordres à mon réveil, me fournissant les accessoires pour la nuit. Cette tenue lui appartient, tout comme ce qu'il m'a fournit. Il m'a guidé dans une taverne pour me retrouver dans votre monde et vers vous. Il guide ma vie dès mon réveil jusqu'à mon couché et ses ordres sont plus importants que les votre maître Vian. Je suis obligée de faire ce rapport à mon retour.

Elle sentit la mandibule se serrer légèrement, comme si Vian avait été énervé par cette phrase.

- Je ne connais pas son but, peut-être veut-il mieux vous connaître en m'utilisant. Vous auriez put me tuer facilement maître Vian et peut-être ne veut-il pas mourir de vos mains en utilisant le simple objet que je suis.

La transsexuelle ne savait absolument pas qui tirait les ficelles, ce dernier avait été assez malin pour ne pas dévoiler son identité jusqu'à maintenant.

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Hirondelle tournait son regard dans tout les endroits où il y avait du mouvement et vit un écureuil s'approcher d'elle. Sa taille était impressionnante, mais elle ne vint pas à paniquer, se doutant que cela devait être son maître, sinon l'araignée aurait certainement fuit devant un animal de cette taille. L'esclave ne paniquait pas, sachant qu'elle aurait ses réponses rapidement. L’écureuil vint à changer de forme, se transformer pour avoir un mélange entre un humain et un cerf. L'être se présenta comme étant Vian, Hirondelle vint à pousser un soupir, sachant qu'elle avait atteint son premier objectif, qui était de le trouver. Dès cet instant, elle pouvait se faire torturer par ses mains sans avoir à se défendre, elle avait enfin trouvé le maître à servir.

L'esclave pouvait savoir beaucoup de chose rien qu'en regardant Vian. Premièrement c'était un homme, le manque de forme au niveau de la poitrine en état la preuve, mais se fiant à son cas, elle ne pouvait s'avancer trop sur ce point là. Ensuite son maître était clairement du genre à user de la violence et du sadisme, la preuve étant son jeu. Hirondelle était à présent certaine que le jubila, le crapaud et l'araignée avait été contrôlé par lui, encore plus quand l'arachnide vint à plier d'avantage son dos, faisant éclater les quelques bulle d'airs entre les os de la colonne vertébrale. Hirondelle se laissait faire, sachant qu'à ce niveau là résister était prendre le risque de briser la colonne vertébrale. La douleur était très présente et le visage de la transsexuelle se mit à virer vers le rouge sous le plaisir qu'elle pouvait légèrement ressentir de cette douleur.

L'esclave allait répondre aux interrogations de l'esprit sylvain quand ce dernier en posa une autre et vint à palper sa poitrine, plantant sans ménagement les ongles. Hirondelle poussa un léger gémissement en sentant les ongles grandir et creuser des trous dans sa chair, laissant des sillons de sang se former et agrémenter sa peau blanche d'une nouvelle couleur. La soumise avait la tête en arrière, pour suivre la courbure de son dos, posant littéralement son crâne contre la tête de l'araignée. Elle essayait de ne pas se crisper pour ne pas se blesser, se mettant alors à répondre aux questions en toute franchise.

- Rien ne vous empêche de me tuer maître Vian, seulement je ne pourrais revenir dans ma chambre et faire le rapport de vos actions sur moi, comme il m'a été demandé. Il n'y a rien qui me protège maître Vian, si ce n'est votre amusement à mon égard. J'ai reçu l'ordre de vous servir, de vous obéir et souhaite vous apporter satisfaction maître. Vous pouvez m'utiliser comme bon vous semble, me faire subir ce que votre imagination peut créer, m'imposer vos règles et me punir si je les enfreints, même si la sanction est disproportionnée à la faute commise.

La dernière phrase était récitée par coeur. Elle ne savait pas ce que voulait dire "disproportionnée", tout ce qu'elle savait c'est que pour avoir parlé sans l'autorisation de son maître elle pouvait se faire lester d'une pierre et se faire jeter dans un lac.


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Hirondelle profitait de cet instant de répit pour fermer les yeux et essayer de se reposer. Les démangeaisons commençaient à partir, l'esclave avait visiblement bien fait de plonger dans l'eau et profiter du courant pour chasser la bave. Elle vint à réduire son rythme respiratoire pour faire le moins de geste possible. Elle ne comptait pas bouger avec la nuit, pour trouver un endroit où se soigner convenablement, mais cela aurait put se passer si l'esprit de la forêt ne gardait pas un oeil sur cette étrangère. L'esclave focalisait sa détection sur l'ouïe et le touché, son corps pouvant sentir qu'il y avait au loin du mouvement. Elle pouvait imaginer que sa petite taille a rendait plus sensible aux vibrations. Elle ne pouvait se fie r à sa vue, ayant les herbes qui pouvait dissimuler n'importe quoi, dont l’araignée qui s'approchait avec un silence de mort.

L'ombre fut le signe annonciatrice de sa présence et l'humaine ne put rien faire, manquant de rapidité. Ses jambes furent immobilisé et avant qu'elle ne tente de se défaire de la prise les crochets vinrent prendre en étaux sa nuque, dès lors elle se laissa faire, non sans gémir devant la position peu confortable. Hirondelle était assez souple mais les évènements passé l'avait rendue assez rigide, la courbure de son dos était très douloureux, mais tenable. La transsexuelle vint à détendre son corps, comme si elle était morte, ceci pour soulager un peu les muscles de son dos et avoir moins mal. Une voix se fit entendre et elle ne sentit aucun mouvement des mandibules, elle sentait que cela devait être son maître temporaire qui parlait.

Elle tenta de retrouver l'endroit où était la voix, mais fut contrainte à répondre rapidement sous la pression des mandibules, sentant ses dernière appuyer légèrement sur sa trachée. Hirondelle n'avait pas peur car son maître voulait certainement la faire peur, certains maîtres et maîtresses aimaient pousser l'esclave dans ses retranchements. Il n'en restait pas moins qu'elle devait se présenter et expliquer la raison de sa venue ici.

- Hirondelle. Je suis venue pour servir maître Vian qui vit en ses lieux. Je dois obéir à ses ordres, tant que cela n'inclut pas ma mort. Êtes-vous maître Vian ?

Hirondelle ne savait rien de Vian et savait qu'elle risquait de subir de nombreuses punitions pour apprendre à le cerner., le servir de manière exemplaire. L'humaine ne pouvait actuellement rien faire, elle était à la totale merci de l'araignée rousse. Elle n'avait rien d'une guerrière et pourrait tout au mieux être une empoisonneuse, vu ses piètres capacités combatives. La transsexuelle attendait que la voix réponde à sa question, même si elle savait que questionner un maître était interdit.

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Hirondelle était tellement concentrée sur son linge, qu'elle n'eut aucune réaction quand la bestiole sautait et se rapprochait de plus en plus de l'esclave. Cette dernière était sur ses genoux, le corps légèrement penchée vers l'eau, pour laver ses vêtement. Elle voulait clairement donner une bonne impression, comme l'esclave avait été prévenu que Vian ne supportait pas les humains, mais elle devait le servir. Hirondelle savait que ce maître allait certainement la maltraiter, seulement les ordres sont absolus.

La transsexuelle entendit un bruit et posa son linge avant de se redresser. C'est à cet instant que le batracien avait lancé sa langue collante. Le batracien parvint à enrouler sa langue autour des hanche de la lilliputienne et n'eut aucune difficulté, avec la force de son muscle linguale, à ramener sa proie vers sa bouche. L'esclave ne chercha aucunement à résister, elle observait plutôt la bouche du crapaud pour éviter de se faire croquer. Elle devait survivre, devant faire un rapport à son retour. C'est aussi pour cela que sa première action, une fois dans la bouche du crapaud, fut de saisir la langue, le batracien de démenant pour avaler cet insecte qui se débattait. Le fait d'être un peu comprimée entre la langue et le palais n'était pas douloureux. Le corps de l'esclave se trouvait même excité par la maltraitance du batracien et aussi l'effet irritant de la bave/ La transsexuelle avait cependant conscience que sur l'endurance, elle ne pourrait tenir le coups. Il fallait sortir de là.

L'odeur, bien que très prenante, n'affectait pas autant l'esclave qu'un humain normal. Son odorat s'adaptait rapidement aux émanations, pour servir au mieux ses maîtres et maîtresses qui voudrait, par exemple, la mettre dans une étable peu entretenue. L'esclave avait les yeux mi-clos, pour que la bave ,e vienne pas irriter sa pupille, alors que son corps tremblait sous les démangeaisons et l'excitation. Elle vit le bout de la langue se mettre à gigoter devant son nez. Ni une ni deux elle saisit la mit en bouche, puis serra sa mâchoire à plusieurs reprise. Elle fit autant de fois que nécessaire, jusqu’à ce que la langue du batracien saigne et qu'il ouvre grand la bouche.

Ni une ni deux elle s'arracha de la langue collante, non sans avoir un léger gémissement. C'était comme si elle retirait un scotch de bonne qualité sur sa peau. Une chance qu'elle ai peu de pilosité, sinon elle aurait davantage souffert. Sans réfléchir elle vint à courir vers le ruisseau et plongea dans les courants puissants. Elle bénissait l'eau froide qui apaisait les démangeaisons. Une chose fut négative, elle ne pouvait contrôler sa directions et évidemment un rocher fut sur sa trajectoire. L'esclave ne pouvait éviter cet obstacle et se le prit de plein fouet, se blessant les bras et les jambes pour éviter que ce soit la tête qui prenne.  Le courant étant puissant, elle sentait son corps comprimé et son souffle manquer.

Se tenant tant bien que mal contre le rocher, elle remonta le minéral jusqu'à pouvoir sortir sa tête de l'eau, respirant la bouche grande ouverte. Jetant un regard derrière elle, Hirondelle put constater que le batracien n'était plus là. Avait-il fuit ? Quoi qu'il en soit l'esclave ne pouvait rester ici indéfiniment et elle vit un courant plus faible menant vers la berge. Elle força sur ses jambes blessée pour se propulser vers le courant et vint à se faire percuter par un objet qu'elle ne vit pas. Heureusement elle parvint à atteindre la berge, recrachant un peu d'eau qu'elle avait bu suite à cette attaque surprise.  Elle quitta le ruisseau et s'écroula sur le sol, constatant la rougeur de sa peau.

Hirondelle se demandait si la personne qui l'avait envoyé ne testait pas sa capacité de survie en milieu extrêmement hostile, une meut de chien semblait beaucoup plus facile à gérer que cet endroit regorgeant de mystère et de danger. Elle aurait bien voulu s'occuper de ses démangeaisons, ainsi que de l'état de son corps, mais elle ne trouva ni sable, ni une plante faite pour ça. Son corps tremblait sous les démangeaisons et elle savait que se gratter engendrerait certainement des lésions, donc de la laideur. Elle ne pouvait que supporter et attendre que le temps fasse son office pour la guérir.

Elle était toujours au sol, faisant la morte pour que les autres créature ne la repère pas. Hirondelle ne pouvait faire le lien entre ses rencontres et son maître temporaire. Elle n'avait pas de connaissance en magie et encore moins en créature de Terra et elle allait certainement en apprendre beaucoup suite à cette rencontre hostile.

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La magie avait été facile à utiliser contre Hirondelle, car elle n'avait aucune défense magique. Un humain lambda en possédait une naturellement, faible certes, mais elle était présente, cela à cause des siècles de rituels qui a marqué l'histoire de l'humanité et aussi le corps des pratiquants et croyants. Hirondelle quand à elle avait vu cette protection sauter, la rendant, comme le sentait l'elfe très très vulnérable à une quelconque magie. Cependant, elle ne fit aucun mouvement quand la magie vint à la rétrécir au point d'avoir la taille d'une petite fée. Il en aurait été autrement si le lanceur voulait la tuer, même si cela n'aurait pas changé au résultat de réussite du sort.

L'esprit avait eut tout le loisir de l'observer, car tel avait été le but de s'endormir ici. Elle se laissait volontairement faible pour permettre à son maître d'observer son corps dans les moindre détails. Elle n'eut aucune réaction quand le vent vint à légèrement souffler, se traduisant par un souffle puissant au vu de sa taille. Hirondelle s'était bien positionné et la réduction de sa masse n'avait pas affecté sa position. L'insecte, qui désirait remonter sur son arbre ne pouvait savoir que son entreprise allait rencontrer une certaine résistance. Si l'animal put monter sur le corps de l'humaine, dès que l'être vint à forcer un peu plus et poser une de ses pattes sur le visage de l'étrangère, la main gauche partie saisir la patte et l'écarter avec rapidité et précision.

Elle avait réagi de manière instinctive, comme un animal ressent le danger. Le danger en question était que son visage aurait été marqué par la patte et donc, inconsciemment, elle avait protégé son visage. Les ordres reçus étaient absolu, jusqu'à hanter on esprit pendant qu'elle dormait. Comme Vian était son maître, le corps avait su que la magie provenait de lui, nul ne pouvait dire comment, mais les faits étaient là. L'insecte n'eut le droit à aucun temps de répit, l'esclave  donnant un coup de coude pour que l'insecte s'éloigne d'elle. Elle frappa autant de fois que nécessaire pour l'éloigner, sur son visage endormie on ne pouvait observer aucun sentiment, mais si on lisait les aura on pouvait constater quelques chose se rapprochant de la colère, sans pour autant en être. Une fois l'insecte assez loin, elle esquiva une charge de l'animal et le laissa remonter chez lui.

Dans ses geste rapide, sa capuche était partie en arrière, laissant à l'esprit de la forêt observer son teint d'albâtre, ses cheveux aussi noire que le Jubila et son regard qui n'avait pas la même étincelle que les humains. Elle observa son apparence et semblait se mesurer avec un brin d'herbe. Elle observa autour d'elle pour retrouver ses armes. Bien sûr, son armement n'avait pas suivi son rétrécissement. Hirondelle vint à observer sa bourse, les pièces étaient là, au moins avait-elle une arme de fortune. Elle n'avait pas peur, la peur n'était pas utile pour une esclave. Portant ses mains à ses oreilles, elle tenta de localiser l'eau, comme on lui avait apprit. Elle marcha donc en direction du ruisseau qui devait, pour elle, ressembler à une fleuve.

Hirondelle s'adaptait très rapidement à sa nouvelle apparence. Elle testa son poids sur l'herbe et constata que même son poids avait été réduit, cependant sa petite taille ne permettait pas de connaître exactement le ratio, elle se sentait plus légère, mais cela n'était qu'une impression. Plusieurs fois elle lança un regard en direction de Vian, même si elle ne pouvait le voir, elle savait que le regard  ressenti avant son repos était toujours là.  Elle observait le jubila remonter le long de l'écorce.

- Serait-ce un coup de maître Vian ?


L'esclave vint à renifler ses vêtements et grimaça.

- Je devrais être plus présentable.


Hirondelle partie vers le ruisseau, se sachant épiée et se doutant qu'il s’agissait de son nouveau maître, sur la route, elle croisa une plante qui parfumait. L'esclave vint à arracher un bout de la feuille et continua sa route. Le ruisseau n'était pas loin et l'avancé rapide d'Hirondelle avait évité que Vian ne fasse un mauvais coup sur le trajet. La jeune transsexuelle observa soigneusement le cours d'eau et trouva, près d'un rocher, un endroit où l'eau était sans le moindre courant. Elle vint vers le bord et retira ses vêtements avant d'entrer dans l'eau, qui remonta jusqu'à son bassin. Comme elle tournait le dos à l'esprit, se dernier pouvait continuer à croire qu'elle était une humaine à part entière.

L'esclave vint à s'agenouiller sur le sol assez meuble, l'eau allant alors jusqu'à sa poitrine. Sans la moindre hésitation, elle entreprit de se frictionner le corps, se lavant et ne sachant pas quel nouveau tour Vian préparait pour l'effrayer. Le pauvre allait celui qui serait surprit, voire frustré. Il était certain que sans les cours de survie Hirondelle n'aurait eu que très peu de chance de survivre, son instinct de conservation avait été modelé de telle manière à ne pouvoir survivre sans l'aide d'une tierce personne. L'humaine se rendit alors compte d'une chose, elle n'avait pas vu sa prise du matin, un lapin. Elle se doutait que l'animal n'avait pas rétrécit et donc qu'elle allait devoir chercher de quoi manger.

Ayant fait assez trempette dans l'eau elle se dirigea vers le bord en direction de ses vêtement et du bout de feuille. Elle avait pour but de nettoyer ses vêtement et de les parfumer pour faire bonne figure devant son maître.

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Prélude / Re : Saphir Sylian, une humaine pas comme les autres...
« le: samedi 09 août 2014, 10:36:49 »
*s'incline devant les deux personnes*

Bienvenue à vous maîtresse Sylian et maître Hans.

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Les contrées du Chaos / L'abus d'esclave est bon pour la santé. [PV Vian]
« le: samedi 09 août 2014, 04:10:25 »
Aujourd'hui elle ne c'était pas réveillée normalement, une alarme venait de retentir dans sa "chambre". L'esclave ouvrit les yeux doucement et saisit le réveil, qu'elle coupant, observant  sur une table de marbre une lettre écrite par la personne qui gérait ses actions nocturne. Elle observait la tenue étendue sur le rectangle froid et noir comme le charbon. Elle prit le chemin vers la douche et prit soin de son corps. Elle prit ensuite la lettre et lu ce qui avait été écrit à son attention.

A daté de ce jour tu devras quitter le lycée. Tu devras te vêtir de ses affaires, n'en oubli aucun.
Tu devras  te rendre à une boutique nommée "La chatte Furieuse", il s'agit d'un bar.
Demandes Edouard au barman et il te fera passer par une petite porte. Donne lui une pièce
d'argent présent dans le petit sac de pièce, que l'on nomme bourse.

Tu descendra tout en bas où une femme te feras boire un concoction, bois là jusqu'à la dernière
goutte. Normalement, à ton réveil tu sera dans un autre monde à Nexus. Tu devras toujours garder
les papiers présent dans la sacoche. Tu te nommes Hirondelle Nightmare, tu seras une voyageuse.
Tu devras aller à l'auberge du Coucher de Lune. Demandes ta besace et paie l'aubergiste.

Tu as une arme, protège toi jusqu'à la fin de ton voyage, je ne veux pas que quelqu'un,
autre que ton maître, puisse te blesser.

Tu auras d'autre informations une fois à l'auberge. Ne dépenser l'argent en surplus que pour des
choses importantes.

D'ici ton réveil tu as très exactement trois heures pour te préparer et partir.

PS : Une fois la lettre lu, je te demande de la manger.


Hirondelle mémorisa les informations et déchira le papier en plusieurs morceau avant de le mastiquer et l'avaler. Elle vint à retirer sa robe et commença par enfiler un shorty noire, puis passa par-dessus un mini-short en cuir marron. Comme haut, elle eut un soutient-gorge noire, avec une tunique verte, agrémentée d'une ceinture noire à boucle argenté. Elle enfila des botte souples, remontant jusqu'à la moitié de ses cuisse, puis elle attacha au col une longue cape, munie d'une capuche. Elle attacha à la ceinture une petite dague, ainsi que la bourse.

L'esclave prit le chemin indiqué, suivant aveuglément les directives données. Elle avait évacué à l'heure limite indiqué, ayant optimisé son temps en comptant le nombre de pièce de cuivre, d'argent, d'or et de platine. Ainsi savait-elle exactement combien elle avait.  La chance voulu qu'Hirondelle n'eut pas à utiliser sa dague contre des personnes mal intentionnées. Il arriva au lieu et vint à faire la demande. Elle fut conduit dans une cave et une femme encapuchonnée vint à tendre un élixir. L'esclave bu la décoction sans hésitation et vint à se coucher sur le sol en attendant que le sommeil arrive.

A son réveil elle se trouvait sur un lit en plume d'oie. Elle descendit et parcourut Nexus à la recherche de la fameuse auberge. Cette dernière était visiblement connu, car elle eut l’information rapidement. Elle se fit contrôler plusieurs fois son identité et n'eut aucun soucis, les papiers étaient en règle et elle avait l'allure d'une voyageuse, rien ne pouvait être retenu contre elle.  Une fois à l'auberge elle eut le droit de lire un autre papier avec un sac de provision, un arc, un carquois et une dizaine de flèche.

Je te félicite pour être arrivée jusqu'ici, mais ne traine pas. Tu vas passer un bout de la nuit dans cette auberge.
Tu devras dormir six heures maximum et puis tu quitteraq la ville vers le sud. A deux heures de marche
tu trouveras une personne en armure, il t'initiera brièvement à la chasse et aux rudiments de survie.
Tâche de ne pas me décevoir.

Une fois l'entrainement terminé, tu te dirigeras plein ouest et marchera pendant trois jours. Tu
découvrira une forêt. C'est là que ton maître t'attend. On le nomme Vian, c'est un esprit de
la forêt qui déteste les humains. Tu devras le servir et obéir à ses moindres demandes.
Tu es son jouet pendant la durée qu'il voudra, hormis mes ordres nul autres ne pourra
t’ordonner quoi que ce soit.

Une fois qu'il t'aura relâché je souhaite qu'à ton retour tu écris tout ce qu'il t'a fait dans
les moindre détails.

Tout comme l'ancienne lettre débarrasse t'en de la même manière

L'aubergiste ne fut pas surprit de voir Hirondelle manger la lettre et réserva la chambre, comme l'esclave avait demandé. Hirondelle fit comme demandé et quitta dans la matinée l'auberge, avec le sac de provision sur le dos. Elle parvint assez rapidement chez la personne qui devait l'entrainer. Hirondelle apprit rapidement à tirer à l’arc. Elle savait maintenir sa respiration et ne pas trembler. Elle ne connaissait pas le stress de rater sa cible, conférant de ce fait une plus grande précision qui se trouvait utile. Chaque soirs ses bras étaient douloureux, comme si de nombreux pics avaient été fiché dans ses bras. Mais ce n'était pas grand chose pour elle. L'esclave vint rapidement à se coudre des gants en cuir pour ne pas se faire couper les doigts au passage des plumes sur les flèches. Elle apprit à faire des pièges, trouver des sources d'eau, dénicher de la nourriture.

Son instructeur était sans pitié, laissant peu de sommeil pour qu'elle en apprenne le plus possible pendant sa courte présence en ses lieux. Au bout de deux semaines elle fut jeté hors de la maison, l'instructeur estimant qu'il avait enseigné le minimum et qu'elle devait à présent se débrouiller toute seule.

Hirondelle continua son voyage et ne rata pas une occasion pour s'exercer à l'arc. Elle se nourrit de lapin et petite créatures, se creusait des abri de fortune quand le sommeil était trop pesant. Elle n'avait pas besoin de beaucoup de chose et pouvait facilement vivre comme une sauvageonne. Pendant son entrainement, elle avait développé une certaine puissance dans les impulsions, pouvant esquiver. Son instructeur avait jugé que c'était la seule chose de potable chez elle, le reste nécessitant une énergie qui n'était pas égal au salaire qu'il avait reçu.

Hirondelle avait gardé beaucoup de pièces dans sa bourse, dont celle en platine. L'esclave se disait qu'elle devait garder cette somme pour son trajet retour. Elle fit son dernier feu de camps à l'orée de la demeure de Vian. Elle attendit le matin pour entrer dans la forêt, dissimulant son visage sour sa capuche, sa flèche déjà prête sur la corde. Hirondelle sentait que dans cet endroit il y avait beaucoup de créature malfaisante et son possesseur avait bien souligné qu'elle devait se protéger d'autre personne que Vian. Elle vint à marcher pendant trois bonnes heures avant de trouver un bosquet.

Hirondelle se sentait observé, un regard sadique et un brin lubrique. Mais elle ne fit rien, cela devait être son maître. Elle sortie de sa sacoche une lettre qu'elle déposa sur l'herbe, puis alla s'adosser à un grand arbre. Hirondelle vint à fermer les yeux et se mit à dormir. Son maître pourrait ainsi lire la lettre en toute discrétion et décider ce qu'il ferait de l'esclave.

Dans la lettre il n'y avait qu'une phrase "Fais en bonne usage".

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Refectoire / Re : Vous avez dit deux melons ? [PV Ata]
« le: mercredi 06 août 2014, 23:55:24 »
L'esclave entendit sa maîtresse jouir, se laissant asperger de la cyprine qui giclait sous le plaisir qu'Hirondelle avait procuré. Pour la dominée, donner du plaisir à la dominante était une chose banale. Elle avait été formaté pour permettre à ses possesseurs d'en faire ce que bon leurs semblaient, sans se plaindre de la douleur ou même de la peur de mourir. Une personne aussi douée était confiné à un rôle des plus dégradant et risquait d'y rester toute sa vie. Hirondelle avait des sentiments, mais étaient dirigé vers ses maîtres. Dans le cas présent elle surveillait la chute d'Ata, ne répondant pas à un compliment qu'elle avait entendu bon nombre de fois. S'il existait un "moi" dans l'esprit de l'esclave il n'y avait pas d'égo, tout était pour le maître, tout ce qu'elle avait était pour la maître. Egoïsme, avarice, gourmandise, paresse, colère, l'envie. Ses péchés n'existaient pas dans l'âme façonné d'Hirondelle, seul la luxure pouvait y régner en maître, tant qu'elle était pour le maître.

L'esclave vint à suivre du regard sa maîtresse, ne souffrant d'aucune surprise quand Ata vint à parler de la suite des évènements, bien au contraire. N'empêchant pas la geekette de jouer avec son oiseau, elle vint à lever les bras pour les poser loin derrière elle, comme si elle avait été attachée par des menottes invisibles. Son corps réagit assez rapidement à la masturbation. D'un voix légèrement altéré par l'activité d'Ata, elle vint à donner des informations pour que la maîtresse sache que ce n'était pas sa première épreuve de ce type.

- Libre à vous de me branler maîtresse Ata. Le plus long fut pendant trois heures. Vous devriez avoir les poignets échauffé sinon vous allez souffrir de la répétition, maîtresse.

Hirondelle avait prit une initiative en informant Ata, cette dernière pouvant prendre son conseil pour une raison d'être un peu plus "méchante", mais ça l'esclave était prête à l'endurer.

25
Prélude / Re : Someone Call the police ?
« le: mercredi 06 août 2014, 19:12:22 »
*S'incline devant l'agent de police*

Bienvenue maîtresse Annalee

26
Prélude / Re : La Loge Noire
« le: mercredi 06 août 2014, 01:53:05 »
*S'incline*

Bienvenue maîtres et maîtresses.

27
Prélude / Re : Suis je une femme ou un homme ?
« le: mardi 05 août 2014, 16:04:34 »
*S'incline*

Bienvenue maîtresse Terman

28
Refectoire / Re : Vous avez dit deux melons ? [PV Ata]
« le: jeudi 31 juillet 2014, 14:51:35 »
L'esclave ne vint pas à gémir quand la prise d'Ata sur ses hanches se resserrait, la maîtresse temporaire d'Hirondelle pouvait faire ce que bon lui semblait, comme aller jusqu'à planter ses ongles dans la peau de la transsexuelle, cette dernière continuerait son travail sans faillir. Sous les ordres d'Ata l'esclave vint à faire un mouvement concentrique pour entrer plus profondément dans l'antre humide de sa maîtresse. Elle augmenta aussi a vitesse, mais en douceur, pour ne pas avoir mal à la langue sous l'effort soutenu qu'elle allait devoir entreprendre.

Elle observa la suite des évènements. Hirondelle ne bougea pas d'un cil, laissant Ata prendre sa nouvelle posture, le matelas se creusant légèrement sous le poids. La soumise  avait l'arrière du crâne encadré par le mateals qui ne pouvait que se modeler au poids de sa tête et du corps d'Ata, cette dernière allant même jusqu'à plaquer le visage d'Hirondelle contre son sexe gourmand et désireux.  Heureusement que sa maîtresse n'était pas un slime, sinon sa tête aurait été dans son corps.

La position de l'esclave n'était pas confortable, mais pour Hirondelle cela n'avait guère d'importance. Même si dans cette posture la respiration était difficile  et que l'odeur du fluide sexuel d'Ata saturait l'odorat de l'esclave, elle vint à obéir. Ce n'était pas une suffocation complète, comme Hirondelle avait put expérimenter et donc elle restait très performante, faisant entrer sa langue plus profondément dans l'antre, jouant sur quelques va et vient, mais aussi des mouvement circulaire plus ou moins large et rapide. Tout était fait pour le vagin d'Ata ne puisse pas s'adapter à cette langue et soit toujours excité par chaque pénétration. Hirondelle vint à saisir les hanches d'Ata pour permettre de temps à autre à s'avancer un maximum et permettre d'aller plus loin. Elle continua jusqu'à sentir sa maîtresse avoir son premier orgasme, n'ayant nullement peur de recevoir la cyprine en plein visage. L'esclave savait que d'être souillée ainsi attirait beaucoup les dominantes, qui s'imaginait marquer sa domination sur elle, comme un chat marque son territoire.

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Prélude / Re : Génitrice de l'enfer formien [Valimutée]
« le: mardi 29 juillet 2014, 13:47:08 »
*s'incline*

Bienvenue maîtresse

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Refectoire / Re : Vous avez dit deux melons ? [PV Ata]
« le: samedi 26 juillet 2014, 17:21:04 »
Hirondelle n'avait pas choisi cette phrase pour rien. Elle sentait qu'Ata avait besoin de léger coup de pouce pour avancer plus vers la voie de la domination sans tabou. Elle n'avait pas beaucoup de crainte quand la geekette semblait réfléchir à la première étape, comme l'esclave l'avait dire elle pouvait clairement se lâcher. N'ayant qu'un esprit formaté pour une soumission totale, elle ne craignait pas de souffrir et de se faire traiter comme l'être le plus insignifiant vivant sur Terre.

On pouvait la briser physiquement, elle continuerait d’obéir aveuglément aux questions, on pouvait essayer de la briser mentalement, elle était passé par tellement de chose qu'une simple humaine ne pourrait rivaliser en ingéniosité qu'une meute de mâle.

Ata était une pauvre maîtresse comparé à d'autres femmes plus aisée, qui jetaient leurs argents dans les mécanismes et les jouets fantaisistes et coûteux.

La transsexuelle ne fit aucun geste pendant qu'Ata s'installait confortablement sur son visage, attendant que sa maîtresse est prise la position désirée, puis elle vint à lécher doucement l'intimité de la geekette. Hirondelle commençait en douceur, étant cependant prête à augmenter le rythme et la profondeur de la léchouille aux ordres d'Ata.

Si cette dernière avait de nombreuse idées, elle allait découvrir qu'Hirondelle était un parfait jouet pour assouvir le moindre de ses fantasmes.

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