Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Marcus Baritello

Pages: 1 [2] 3 4 ... 11
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Vous nous quittez déjà ? / Re : Un mauvais départ
« le: lundi 16 février 2015, 06:08:13 »
Merci Itami. :)

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Vous nous quittez déjà ? / Re : Un mauvais départ
« le: dimanche 15 février 2015, 19:41:29 »
C'est marrant, je n'avais pas réalisé que les futas étaient des concurrentes directes des vrais mecs sur le fofo.

Faut qu'on leur fasse la chasse!
Ça te dit de monter un nouveau clan, celui des Futabusters ?
Comme dit la reine dans Alice au pays des merveilles:
Qu'on leurs coupes la queue ! ... ou la tête, c'est plus radical !

18
Ville-Etat de Nexus / Pas folle la vache ? [pv Marguerite]
« le: samedi 14 février 2015, 10:46:23 »
Dans sa grande chambre, Marcus et Rachel, sa préceptrice, rient à gorge déployée. Il est vrai que la situation justifiait une telle hilarité. Marcus, comme à son accoutumé, racontait des blagues salaces à sa meilleure spectatrice, sa nounou adorée.

Attend, hi hi hi. Et celle là ! Tu la connais ?
Pourquoi les vaches font-elles une drôle de gueule?


En bon public, Rachel toujours aussi amoureuse de son jeune maître, joue le jeu.

Heu, je ne sais pas moi? Parce qu'elles n'ont pas la chance de t'avoir comme amant ?

Marcus sourit et prend avec plaisir le compliment.

Non ce n'est pas ça. Mais merci quand même.

Avec légèreté, il lui délivre la chute de sa blague.

Je voudrais bien t'y voir, toi, si on te tirait sur les seins quatre fois par jour...
...et que l'on te baisait qu'une fois par an !


Mais cette fois on n'entends que le rire unique du jeune homme. "Oups. Ça, c'est fait!", pense t'il. Il avait mît le doigt là où cela fait mal. Il savait pourtant combien, Rachel souffrait de ne pouvoir lui faire l'amour parce que Marcus s'interdisait ce plaisir soit disant par respect pour elle et ses prédécesseurs. Du moins, tant qu'elle serait esclave. Mais la libérer reviendrait à la laisser partir et aucun des deux ne veux se séparer.

Je suis désolé ma chérie, je ne voulait pas...

Ne cherchant pas à dramatiser inutilement, la cowgirl, d'âge plus mûre que son jeune maître, tempère en lui caressant tendrement la nuque.

Ce n'est pas grave, mon chou. Je sais que tu ne l'as pas fait exprès.

Alors que les deux amis allaient s'offrir un chaste baiser de réconciliation, quelqu'un frappe vigoureusement a sa porte. C'est, Octave, le majordome qui, planté derrière la porte, n'attend pas qu'on vienne lui ouvrir pour crier son message à travers la menuiserie.

Monsieur le jeune Maitre, je vous prie de bien vouloir m'excuser mais votre père vous fait appeler à l'entrée séance tenante!

Les lèvres des deux amis s'immobilisėrent juste avant de se toucher. Marcus est le premier à grommeler tout en s'exécutant. Marcus fait, peu être trop vite, le lien avec ses dernières discussions familiales.
Zut ! Je suis sûr que c'est encore pour me persuader d'épouser cette vieille peau plate comme une planche à pain de Joséphine de Beaucarmet. Je ne sais pas dans quelle langue je dois lui dire pour qu'il le calligraphe une bonne fois pour toute dans sa caboche. Je ne l'épouserais pas !

Il abandonne à regret sa chambre et son amie pour suivre le domestique jusqu'au hall d'entrée persuadé d'y trouver son père en compagnie de la vieille prétendante. Le jeune héritier est à peine arrivé sur place que son père, Irialo Baritello lui présente une tout autre invitée. Décidé à tuer le mal dans l'œuf, Marcus s'apprête à vivement protester lorsque sa bouche reste bée de surprise et qu'aucun son n'en sort. Son père en profita pour commencer les présentations.

Tiens, je t'offre ce présent. Comme elle ressemble un peu à ta préceptrice, j'ai pensé qu'elle pourrait te plaire aussi. Sur les papiers, elle s'appelle Marguerite !

Devant Marcus, se tient une jeune terranide vache qui lui affiche un large sourire  tout en lui faisant un coucou innocent de la main. Sans attendre la réaction de son fils qui de toute façon semble comme paralysé, Irialo se tourne vers la belle cowgirl et dit tout aussi froidement.

Marguerite, je te présente ton nouveau maître, mon fils. Marcus Baritello.

Habillée de façon très sexy de vêtements blancs à pois noirs, cette Marguerite est une jeune, grande, mince et belle cowgirl. De la même race que Rachel, elle possède également deux petites cornes sur la tête, une longue queue blanche en bas de son dos et, il fallait s'y attendre pour cette race très recherchée pour cela, une plus que généreuse poitrine. Ses grands yeux bruns et sa longue chevelure finissent d'agrémenter le charme naturel qui se dégage de ce cadeau inattendu.

Sur ce le père s'éclipsa vers ses préoccupations coutumières, laissant les deux jeunes gens ensemble dans le silence de l'immense hall luxueux de la résidence. Il fallut un bon moment au fils pour reprendre le contrôle de son corps et arriver à prendre une décision. Tout d'abord il ne pût articuler qu'un simple.

Salut ?

Qui avait plus l'air de résumer une question du genre " Qu'est ce que tu viens faire là et que vais je faire de toi, maintenant ?" Bien qu'il choisi d' ignorer la réponse que ses vigoureuses hormones mâles lui murmurent à l'oreille, il ne peut détacher son regard des énormes attributs que Marguerite porte naturellement. Il fallait pourtant bien faire quelque chose.

Heu,.. je suis en...chanté de faire ta connaissance, Marguerite. Tu... Tu es... Très jolie.

A croire qu'en présence d'une femme qui l'attire, il fallait qu'il perde l'usage de sa cervelle. Pourtant celle ci n'était pas en reste. De nombreuses questions s'imposaient à son esprit. Merde, où vais je la loger ? Quel fonction vais je lui attribuer? Pourquoi son père lui fait il une telle faveur ? Et Rachel que va t'elle penser de tout cela ? Préoccupé par les conséquences potentielles de cet événement inattendu, Marcus trouve la force d'inviter la jeune femme à monter les escaliers.

Mais je t'en prie, suis moi, je vais te montrer mes quartiers.

Après un moment d'hésitation, Marguerite fait un pas et fait tinter une petite clochette accrochée à son raz de fou. Surpris, il l'interroge tout en la conduisant à ses appartements, amusé par cette singularité.

C'est mignon. Mais à la longue cela ne te dérange pas ?

Arrivé devant sa porte, il ouvre le battant et invite poliment Marguerite à le précéder.
 

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Royaume Terranide / Re : Le bain de vérité [Asceltis]
« le: vendredi 06 février 2015, 14:54:01 »
Ami ou ennemi, cela n'avait maintenant plus aucune espèce d'importance pour notre duo. Ils n'étaient plus qu'un homme et une femme réunis en un improbable couple dont le temple avait forcé l'union. Un mâle et une femelle qui se désirent ardemment et enlacés dans une incontrôlable étreinte.
Le cœur du jeune l'homme s'emballe. Le contact charnel de leurs deux corps nus serrés l'un contre l'autre est une sensation encore nouvelle pour lui. Excepté avec sa voluptueuse gouvernante, il n'avait encore eu aucun rapport véritablement charnelle. Et encore, il s'était toujours refusé à la pénétrer sous prétexte que selon lui son statut d'esclave ne lui permettaient pas de consentir pleinement à la relation.

Hors cette fois, Asceltys est une entité foncièrement libre. En effet, aucune marque d'asservissement n'est visible dans sa façon de s'habiller ou gravée dans sa chair. Enfin, ni son comportement et ni ses propos ne permettent d'affirmer le contraire. Dès lors, Marcus avait décidé de s'autoriser à l'aimer sans aucune retenue.

Tout aussi impatiente que lui, Asceltys va jusqu'à devoir l'inviter à le caresser. Mais Marcus savoure la soudaine fragilité de sa prisonnière. Il jubile de la sentir suspendue à ses attentions. Ses propres envies se bousculent également dans sa tête. Il fallait choisir entre trop de différentes options. Il n'était qu'un homme et n'avait que deux mains. Son envie d'aller tout explorer à la fois s'en trouve déjà contrariée.
Telle une soupape qui lâche la pression, Marcus soupire un râle.


J'ai... tant envie de toi,... Asceltys.


Son corps ferme est aimanté à celui plus tendre de la belle femme. Il se déhanche à la recherche du meilleur contact qui soit. Devant, ses mains ont le champs libre de parcourir le corps tout entier qui lui est abandonné. Le choix est vite fait. Curieuses et impatientes, elles vont sans plus attendre se saisir de sa magnifique poitrine. Oh oui, avec une grande gourmandise, Marcus prend possession de centre d'attraction. Tout d'abord, une mains sous chaque seins, il les porte vers haut, comme en offrandeà la déesse qui les regarde. Ensuite, Ses mains remontent et se referment sur les deux délicieuses collines dressées d'envie. Il peut immédiatement ressentir la réponse frissonnante d'Asceltis. Elle s'offre alors plus encore à ses caresses. En vain, ses doigts grands ouverts cherchent à emprisonner ces généreuses mamelles. Mais ce sont plutôt ses mains qui, avec jubilation, se retrouvent dominées par le volume de leurs proies.
Leurs tailles, leurs sensibilités, leurs chaleurs et leurs douceurs sont autant de raisons de réjouir le jeune homme. Il peut aussi sentir la résistance de ses vaillants tétons qui, comme révoltés, lui griffent les paumes.
Les bras croisés en son cœur, Marcus masse tendrement la poitrine de sa partenaire. Il se délecte de ses formes.

C'est à ce moment qu'Asceltys penche la tête vers lui pour aller cueillir ses lèvres. Il répond à ce premier baiser passionné. Les langues se découvrent et se bataillent avec fougue.

Plus bas, Sa verge toujours plantée entre les cuisses est tendue à l'extrême. Presque douloureuse, elle hurle son envie de possession. Déjà lubrifiée par le coulis vaginal et bavante de pré-sperm, elle glisse entre ses hanches. Instinctivement mais maladroitement, elle cherche son chemin vers le paradis.

Le temps se suspend autour d'eux. Ils n'entendent plus que leurs soupirs et leurs propres râles de plaisir. Instigateur et Témoin privilégié, le temple les accompagne dans cette volupté. Il porte écho à leurs gémissements et souligne par la même leurs excitation. Les deux jeunes amants se retrouvent dans une ambiance idéale comme porté par la magie du lieu.

Marcus n'en a pas fini avec cette orgueilleuse poitrine. Il se délecter de sa forme, de son volume, de sa douceur et de sa sensibilité. En représailles à cette révolte, Il va capturer ses arrogantes pointes et les martyrise délicatement. Il roule ses doigts autour des tétons et tire dessus. Multitâche, l'attention de Marcus est partagée, il se laisse sombrer dans le lucre absolu. Enlacé a la plus belle femme du monde.

Il se souviendra a jamais de cet instant. Seulement, Il veut plus. Il veut la posséder. La prendre et l'aimer.
Il voudrait lui dire combien il est bien avec elle, combien l'avenir semble radieux et combien il se sent immortel avec elle dans ses bras. Mais rien ne peut sortir. Tous ses sens sont trop occupés pour le laisser s'exprimer autrement que par le désir charnel.

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Prélude / Re : [Warning] Nymphomane en vue. [Validémonisée]
« le: vendredi 30 janvier 2015, 17:41:58 »
Joli cheveux...
Soit la bienvenue.

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Royaume Terranide / Re : Le bain de vérité [Asceltis]
« le: vendredi 30 janvier 2015, 11:39:03 »
Au premier contact avec la belle Asceltys, Marcus a l'étrange sensation d'avoir déclenché l'explosion d'une émotion commune. Une sorte de synergie magnétique sur laquelle il n'a aucun contrôle. Est ce ce lieu chargé d'histoires et de magie érotique qui influence leurs états ?

Invitante, la barrière des grandes ailes s'abaisse et se replie tellement que plus aucun obstacle ne se trouve entre eux. Asceltys se rapproche de son corps musclé. Elle en augmente le contact. Sa verge encore modestement dressée se retrouve coincée entre la naissance de ses fesses rebondies.
Plus grand qu'elle, l'homme dont l'excitation va crescendo, à une vue plongeante par dessus l'épaule droite de la jeune femme. De telle sorte qu'il a une perspective plus qu'alléchante sur la généreuse poitrine d'Asceltis. Ses pointes dressée de désir fendent l'air comme des sabres enragés. Le regard hypnotisé par ces merveilles, Marcus déglutit instinctivement. Il a une idée très précise du traitement qu'il veut leurs réserver.

A leurs oreilles, leurs parviennent à nouveau de mystérieux et imperceptibles gémissements. Ceux-ci reprennent de plus bel lorsque le bel ange défaille dans les bras virils de Marcus. De fugaces et salaces images s'imposent même à leurs esprits comme des flash dont il faut en deviner le sens. Des visions partielles de corps nu et transpirant qui se caressent. Des baisers enflammés ponctués de soupires. Des hommes et des femmes brûlant de désir qui s'enlacent dans d'improbable positions. Petit à petit ce temple prend possession d'eux et les influence a choisir la voie de l'amour plutôt que celle de la guerre.

Bien appuyée sur lui, invitante, Asceltys est la première à obéir à ces stimulis. Pour sa part la verge de Marcus le fait maintenant légèrement souffrir. De ce fait, celle ci vient de l'informer qu'elle est arrivée à son apogée. Prisonnière entre les tendres fesses, vaillante elle traverse maintenant l'espace entre les cuisses et s'est allongée jusqu'à poindre sous l'aine féminine.
Elle invite ses mains à la découvrir de ses bras à son ventre qui bat sous une respiration de plus en plus haletante. Ceci trahis le désir profond qui est en train de naître en son sein. Les doigts entremêlés, Marcus resserre son étreinte pour ne faire qu'un. Ses bras sont parfaitement refermés sous la poitrine qui remonte encore.

Sa tête abandonnée sur son épaule gauche, la voix d'Asceltis se fait langoureuse même pour prononcer des mots à consonance négative comme "monstre" et "détester". En effet, le sens en est contraire. Tel une sirène mythologique, elle l'invite et l'appel de tout son être. C'est au tour du bel homme de soupirer une réponses par des murmures chargés d'émotions.


Oh que ouiii ... tu es un monstre,... Asceltys. Un monstre de beauté... au pouvoir d'attraction invincible... Là est ta véritable magie !


Pendant qu'il lui ronronne ces quelques mots son visage est indirectement caresses par les délicates mèches dorées de sa chevelure. L'enivrant d'avantage, il peut sentir la flagrance de son parfum.


Nous détester dis tu ? La frontière entre de la haine et l'amour est parfois tenue. Je choisi de choir du bon côté.


Il ponctue la fin de sa réponse par un tendre baiser dans le creux de son cou. Par la même, Marcus signe son propre abandon et lui déclare ses intentions.


22
Prélude / Re : Un nouveau genre de métamorphe (fini)
« le: jeudi 29 janvier 2015, 22:55:36 »
Zut, me suis emballé trop vite. Tu ne risques pas d'être capturée par les chasseurs d'esclaves de mon p'tit papa, nous ne sommes pas sur la même planète. Ce sera pour une autre fois! ;)

23
Prélude / Re : Un nouveau genre de métamorphe (fini)
« le: jeudi 29 janvier 2015, 20:21:10 »
Mmm, rare et convoitée. En plus, antilope ça rime avec...   :P

J'en connais une qui va finir dans le cheptel de mon papa ! Et une fois encore, c'est bibi qui va venir la sauver. Youpie !

Bienvenue beauté !

24
Rachel venait à peine de les quitter que la situation devenait deja cocasse. Alors que Gradius finissait de ferrer la prisonnière, celui ci se comporte d'une façon plus qu'etrange. Agenouillé devant Canillia, il semble prendre son temps. Marcus perçoit sa grosse main grasse lui tâter les molets puis remonter par dessus les genoux. Plus haut le visage de la renarde, devient blême. Le regard en détresse, elle lui fait signe de venir l'aider, de la sauver ou un truc du genre...
Le corps du gros garde l'empêche de voir ce qu'il trafique exactement dans les jupes de la belle. Marcus s'interpose.

Que fais tu là Gradius ? Je pense qu'elle est prête. Je peux l'emmener ?

L'employé dérangé dans sa tâche, se relève et s'étonne.

Bin? C'est la procédure M'sieur !

Jetant un regard pervers vers sa future victime, il s'explique.

Je dois consciencieusement fouiller toute marchandise avant qu'elle ne puisse quitter le quartier de rétention et entrer dans la demeure. Il faut que je vérifie qu'il n'y ai aucune trace de maladie et m'assurer de l'absence de toute éventuelle arme dissimulée. D'autant plus qu'elle va rencontrer le maitre.

Marcus avait oublié ce petit détail dans son plan. Vite il fallait improviser. Il attrape les poignets du gros-bide et se fait présenter ses mains.

Attend, mon grand ! C'est toi qui va lui refiler une maladie ! Tu as vu tes mains grasses qui sentent le poisson ?

Haussant le ton. Il crache un ordre avec dédain.

Va te les laver immédiatement !

Accompagnant la parole d'un geste, Il chasse Gradius hors de la cellule ouverte et prend sa place. Tel un bon fils de capricieux bourgeois, Marcus savait se faire détestable. Il insiste vers son employé encore plus dépité que tout a l'heure.

Que cela soit bien clair, dorénavant, tu apprendras à ne plus jamais toucher la marchandise de sa la sorte. Est ce bien compris gros beta ? Par conséquent, je vais devoir me charger de cette tâche ingrate par ta faute !

Àprès avoir fait son petit théâtre, le jeune héritier se retourne vers Canillia avec un beau sourire charmeur en travers du visage. Il lui chuchote.

Tu m'excusera cette petite comédie mais pour donner le change, je vais devoir te fouiller.

Pendant que Gradius va chercher un seau d'eau et une serviette moins sale, Marcus s'agenouille à son tour devant la belle jeune femme. Comme pour la rassurer, pendant la lente descente, son regard ne quitte pas celui de Cani. La fouille commence du bas en haut. Il avoue tout de même.

Il y a des charges plus désagréable que cela.

Calmement, l'une après l'autre, les mains du jeune homme passe sur les jambes fermes. De ses petites chaussures noires, par dessus les chaussettes blanches avec une bande rouge en haut, elles arrivent à mi mollet. Il est surpris de trouver déjà à cette hauteur la pointe tentaculaire de sa très longue natte de cheveux bleus nuits.
Les genoux franchis, les mains curieuses caresses les cuisses fermes de la jeune femme. Il peut y sentir le grain fin de sa peau frémir sous ce contact inattendu.
Derrière, dans le couloir des cachots, Gradius s'installe un peu en retrait pour profiter du spectacle. Il se permet même un commentaire.

N'oubliez rien monsieur! Ces petites canailles sont douées pour cacher des objets là où l'on s'y attendrait le moins.

Agacé par cette intervention intempestive, Marcus marque un temps d'arrêt à la naissance des cuisses juste sous la mini-jupe blanche aux franges dorées. Lentement, Il reprend l'exercice. Les gestes se transforment alors progressivement en caresses.
Le bout des doigts glisse furtivement entre les cuisses et va effleurer l'intimité de la renarde à travers sa petite culotte. Il y décèle une certaine moiteur. Appréciant cette découverte, Il se mordille la lèvre inférieure.
À regret, il doit déjà quitter cet endroit attractif et sensible mais absente de danger. Le jeune homme se redresse. Ses joues rosies trahissent un subtil mélange d'embarras et d'excitation.
C'est maintenant au tour des hanches par dessus la jupe d'être inspectées. Cette proximité et ce contact charnel réveil son désir. Malgré son pantalon bien serré mais moulant, il est facile d'y déceler son érection.
Ce n'est bien sûr plus la recherche d'objets cachés qui le motive. Excepté le fait de jouer la comédie, c'est plutôt la découverte des formes suaves de sa belle invitée.
Ses mains passent maintenant par derrière sur les fesses menues mais rebondies. Ce qui ne fait qu'aggraver son état. Il y découvre la naissance des neufs queues blanches de la renarde. Il tourne lentement autour de l'objet de ses recherches comme ses désires. Curieux, il découvre avec ravissement la douceur exceptionnel de la fourrure de celles-ci. Sans en savoir la sensibilité, Marcus prend le temps de caresser tous les appendices dans le sens du poil de la naissance à la pointe.

Oh oui là, monseigneur, il faut surtout se méfier des grosses queues poilues !

Marcus ne prête pas attention à la nouvelle remarque de son employé au sens désobligeant. Pessé par le temps, il doit malheureusement abandonner cette auscultation improvisée pour s'attaquer au haut. Au niveau du cou, de la nuque, ses mains retombent sur les épaules frêles, délicates et dénudées. Il prolonge son investigation, à cet endroit, sur les bras dans les manches ouvertes et pointues. De nouveaux frissons surprennent la bénéficiaires de ses caresses.
Par dessus et rapidement, il inspecte les manches longues et rouges qui s’arrêtent aux poignets. Maintenant, la dominant d'une tête, Marcus est parfaitement positionné derrière Cani. Il ne lui reste plus qu'une partie du corps à fouiller et la expressément gardé pour la fin. La respiration du jeune héritier s'accélère légèrement.

Il doit commencer par écarter les deux longues mèches de cheveux, qui encadrent le beau visage féminin. Celles-ci passaient par dessus l'objet de toute son attention; la volumineuse poitrine que le bustier rouge a tant de mal à soutenir. De fait, celui ci ne remonte que peu au dessus des tétons.
Il susurre aux oreilles de la renarde.

Bien entendu, le meilleur pour la fin!

Sans attendre une quelconque autorisation et armé de ce seul douteux prétexte, Marcus glisse lentement ses deux mains sur la partie visible du généreux décolleté avec toute la délicatesse dont il est compétent.
Soudain, telle une alarme magique, le grelot d'or suspendu à une ficelle rouge qui est attachée à un petit anneau cousu au milieu du bustier, se met à tinter frénétiquement lorsque les doigts gourmands pénètrent par dessous la bordure en tissus.

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Royaume Terranide / Re : Le bain de vérité [Asceltis]
« le: samedi 24 janvier 2015, 00:15:28 »
Manifestement surprise des propos masculins, la main armée de magie de la belle blonde se referme. En signe d'apaisement, Asceltys croise ses mains dans son dos. Fièrement elle lui répond dans une posture légèrement cambrée.

Je n’ai pas une envie subite de vous tuer si c’est de quoi vous vous inquiétez...

Le jeune homme se rend alors compte combien son attitude paranoïaque avait fait d'elle une ennemie imaginaire. Il avait été plus agressif et plus barbare qu'elle. C'était lui le plus dangereux des deux. Ce qui est contraire à ses valeurs pacifiques. Il l'observe. Marcus devrait ressentir la honte de s'être fourvoyer sur les intentions féminines mais ce sentiment négatif est étonnamment absent et remplacé par un autre. Une émotion bien plus positive et plus puissante: Le désir.
Ainsi fièrement plantée devant lui, Asceltys paraît plus belle encore. A la fois svelte et élégante, ses grandes ailes blanches lui donne un air de pureté désirable. Sa parfaite nudité l'obnubile. Contemplatif et silencieux, Marcus dégluti et la dévisage.

Il avait fait alors un pas vers elle. Mais à son grand regret, celle-ci choisit de reculer également d'un pas. Sans s'en rendre compte, la mise au bain vient d'inverser les rôles. De la défense, il était passé à  l'attaque. De son côté, le bel ange choisissait de battre en retraite. Elle ne cherche pas la confrontation et ne l'a jamais cherché. Recroquevillée sur elle même, acculée contre le bord du bassin, elle paraît soudainement si fragile et si timide.

Elle va jusqu'à se protéger du regard masculin. Elle tente vainement de cacher sa merveilleuse poitrine en couvrant la pointe de ses seins de son avant bras. C'est seulement à cette instant précis que Marcus  aperçoit subvertissement ses tétons dressés. Au vu de l'ambiance chaude et moites des thermes, la cause de cette raideur ne pouvait être le froid. Ainsi, seule l'excitation pouvait en être à l'origine !

Elle respire plus fort, ce qui soulève sa poitrine déjà comprimée par son bras. En conséquence, ses deux délicieuses rondeurs relaient, sans aucun filtre, la véritable émotion qui la traverse et contre laquelle elle semble vouloir lutter. Marcus est émut par cet apparent désarroi. Contagieusement, le désir qui l'habitait déjà s'enflamme d'avantage. L'image fugace des tétons dressés restée dans sa mémoire le tourmente. Il aurait aimer tant les goûter et s'y abreuver jusqu'à plus soif. Sans s'en apercevoir sa verge gonfle d'envie et se met à pencher légèrement vers l'avant.

Elle se définit enfin et explique sèchement ses motivations. Elle clôture aussi brièvement sa phrase avec un ordre révélateur.
...et arrête de me regarder comme ça !

Elle se retourne alors pour fuir, lui offrant la vue tout aussi désirable de ses fesses rebondies. Elle veut grimper hors de l'eau, s'éloigner de lui. Mais Marcus ne veut pas. Sans réfléchir et au risque de tout perdre, le jeune homme dévoile son refus en se précipitant contre elle. Par dessous ses ailes toujours grandes ouvertes, il pose ses mains sur les bras délicats du bel ange. Et lui avoue d'une voix posée...

C'est vrai,.. je ne peux voler... C'est vrai,.. je n'ai pas de magie,... C'est vrai...Je ne suis qu'un homme.

Il marque un temps d'arrêt. Elle peut ressentir son corps contre elle. Les deux bassins sont en contact. Son membre en éveil est juste logé entre ses fesses. Elle peut sentir sa chaleur, sa respiration et son "envie". Ainsi que l'eau qui s'échappe entre eux des interstices de plus en plus mince. Elle peut ressentir le partage de leur émotion naissante. Le visage de Marcus se rapproche de la chevelure blonde. Il peut sentir son parfum et lui murmure dans la nuque.

C'est vrai,.. j'ai eu peur de toi ! Asceltys. Comme on a peur de ce que l'on ne connaît pas, de ce qui est différent de vous. Je me suis trompé sur ton compte. Je te rend un ordre: ne t'en va pas !

Les ailes géantes d'Asceltis représentent le dernier rempart entre ces deux jeunes gens. D'un simple mouvement bref de ses puissants dorsaux, l'ange pourrait facilement se défaire de cette entrave. Mais en a t'elle réellement l'envie ?

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Marcus doit se contenir pour ne pas défendre le belle renarde. Gradius ne fait que son travail. Et la présence du fils du patron ne fait qu'aggraver les choses. Néanmoins, celui-ci ne peut retenir un soupire d'exaspération suite au comportement violent de son employé. Heureusement Canillia calme le jeu avec ces mots.

« Mais... J'ai pas le droit de parler avec... Mon futur maitre ? »

Ce qui n'est pas mal placé du tout vu la tournure des évènements que Marcus souhaitait voire arriver. Le bourrus personnage lui crache en reponse.

Mais c'est qu'elle est locace la p'tit renarde ? Pour répondre à ta question: Seulement lorsque tu seras bien dressée. Et d'ici là, tu es priée de fermer ton clape merde et de ne pas t'approcher des Baritellos sinon, j'entre dans ta cage te donner la première "leçon".

Le dernier mot fit frémir Marcus. Tant il sait combien sont inhumains les traitements qui se sont déroulés en ce lieu. C'est alors que Marcus intervient. En fin diplomate, il place son argumentaire.

Tu vois comme elle est déjà soumise à sa condition, Gradius ! Je crois qu'elle a bien compris où est son intérêt et quel future nous lui réservons. Je pense que sa durée de... "conditionnement"... ne sera pas longue, voire nule. Quand doit elle commencer justement ?

Le garde chiourme offre toute son attention au jeune héritier qui lui parle. Ainsi Il ne peut remarquer les simagrées de la bovine qui par des gestes dans son dos tente de faire comprendre quelques chose à Marcus. Elle mime de ses deux mains la forme d'un objet rectangulaire. Il semblerait qu'elle voudrait qu'il lui donne quelques chose ? « Ah oui, l'attestation de Canillia ! » comprend Marcus.

Gradius avoue... Embarrassé.

Heu? En fait je ne sais pas monseigneur ? Je...

Le jeune héritier profite de la confusion de son employé pour marquer le coup. Il interrompt le garde et donne un ordre à sa gouvernante.

Prend ceci Rachel, va cet ordre de mobilisation au dresseur. Il doit être à la tâche des ce soir.

Rachel prend l'attestation de Canillia pliée en deux et obéit.

Bien mon lap... Heu monseigneur. J'y vais de ce pas!

Dit elle avec un petit sourire convenu et un regard légèrement excité par ces intrigues. Sans laisser un temps mort, Marcus donne un deuxième ordres au garde.

Prépare la prisonnière avec ses chaînes mobiles, je vais aller la présenter personnellement à mon père.

Il s'explique face à la déconvenue qui se lit aisément sur le visage de Gradius.

Vu sa rareté, je tiens à lui montrer la marchandise encore brut, avant son conditionnement.

Sans trop vraiment comprendre, envahit par le doute, le garde s'exécute et va chercher, les clefs des cadenas et les chaînes de transport plus fines que celles du cachot.

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Ville-Etat de Nexus / Re : Rusée comme une Kyuubitsune. [Canillia Mc’Winth]
« le: dimanche 18 janvier 2015, 00:27:31 »
Rachel se tourne vers la prisonnière et lui explique patiemment.

Dangereux pour moi ? Absolument pas. Je suis encore une esclave, et comme tu le sais, mon collier en témoigne. Je suis libre de circuler partout dans la cité. Par contre, je ne peux la quitter sans mon maître à mes cotés. Aussi je peux être chargé d’une tâche administrative simple comme par exemple faire valider un certificat d’affranchissement ordonné par mon maître.

Elle se tourne vers Marcus et rajoute les yeux plissés d’un sourire taquin.

Et je ne compte pas m’échapper... Enfin, pas aujourd’hui !

La terranide se met à rire, celui ci se communique à Marcus qui apprécie l'humour de sa gouvernante. La bonne humeur passée, il l’embrasse sur la bouche pour lui signifier sa satisfaction.

Je savais que je pourrai compter sur toi ma toute belle. Je t’aime, tu le sais ?

Rachel rougit mais ne répond pas. Il se rapproche des deux filles et résume la situation à voix basse.

Voici ce que je propose. Lorsque le gardien sera de retour, ce qui ne devrait pas tarder, je lui demanderai de m’ouvrir la cage sous prétexte d’aller présenter Canillia à mon père. Il ne devrait pas refuser car tu seras toujours enchaînée et sous ma responsabilité. De ton coté Rachel, tu files au palais. Vu la lenteur de l’administration, je pense que tu en aura pour plusieurs heures. En attendant ton retour, je vais installer Canillia dans l’une des nombreuses pièces de la demeure, où personne ne nous trouveras sauf toi. Si tu vois d'où je veux parler. L’objectif est de récupérer le précieux documents validés avant que quelqu’un nese rende compte de ce que nous tramons. Vous êtes d’accord ?

Hélas, il n’a pas le temps de recevoir les réponses de ses deux amies. Que Gradius les rejoints à l’instant. Essoufflé d'avoir un peu couru, le gros homme chauve prend la parole juste après s'être essuyé la bouche baveuse du revers de son poignet.

Merci maître. J'ai pu manger un bon repas en compagnie de ma femme et de mes cinq enfants. J'en ai mal au bide tellement je me sui goinfré. Je vous serais éternellement reconnaissant...

c'est seulement maintenant qu'il constate la présence de la terranide bovine.

Ah.. Dame Rachel vous accompagne. Bonjour madame !

Mais aussi il voit que Canillia n'est plus allongée et debout contre les grilles de son cachot. Sans prévenir, il tape avec violence sur les barreaux métalliques avec son bâton de correction. Le bruit sourd et percutant fait sursauter toute l'assemblée. Il gueule.

Va au fond de ta cage toi, la grognasse !

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Royaume Terranide / Re : Le bain de vérité [Asceltis]
« le: vendredi 16 janvier 2015, 22:29:06 »
Me battre ? Certainement pas ! Je suis ici pour découvrir et apprendre. Je ne veux ni voler, ni tuer ! Ce qui n'est probablement pas votre cas, chère Asceltys ? Vous apparaissez sans prévenir, vous êtes armées du métal et... manifestement aussi de... la magie ?

Marcus regarde craintivement la lumière surnaturelle qui scintille dans la creux de la main droite de l'apparition. Jolie mais désespérément dangereuse. Il fait un pas en arrière. Il n'a que sa force pour lui. A contrario elle lui reste ses ailes qui ne tarderont pas à reprendre du service et sa mystérieuse magie. L'aventurier continue de douter des intentions de la belle aillée. Il cherche à gagner du temps.

La nuit s'est installée au dehors. Dans le temple de la fertilité, de l'amour et de la beauté une douce lumière, dont la source est inconnue, vient progressivement baigner les visiteurs d'une apaisante aura turquoise. On croirait voir l'eau elle même se mettre à briller. Au plafond les sculptures semblent reprendre vie sous les reflets liquides des bassins. L'atmosphère est féerique. D'imperceptibles et illusoires gémissements de plaisirs résonnent dans leurs têtes. Comme si ce lieu qui a prôné l'amour durant des siècles ne voulait pas les voir se battre. Marcus observe ce spectacle avec admiration. Il en oublie meme un instant Asceltys. Il se retourne pour regarder partout autour d'eux.

Comme c'est beau, n'est ce pas ?

Il fini son tour d'observation pour regarder à nouveau sa compagne de bains. Il observe ses réactions et son attitude. Elle reste sur le qui-vive mais ne veut apparemment pas prendre l'initiative. À trois mètres d'elle, il se tient bien droit, totalement nu. Ses genoux sont à fleur de la surface de l'eau. La mystérieuse lumière turquoise lui dessine ses muscles. Sans scrupule, elle éclaire également ses parties génitales. Son sexe est bien détendu et plus long que la moyenne. On peut aisément deviner son gland plus large que sa hampe protégé par son épais prépuce. Marcus n'est pas circoncis. Un léger duvet de poils vient coiffer le tout à la base de l'aine.
En face de lui, il en va de même pour les courbes féminines de son potentiel adversaire. Il prend le temps de bien l'observer à nouveau. Ses formes généreuse sont éclairées par le dessous. Ce qui met en évidence tout ce qui est saillants. Derriere elle, ses grandes ailes flamboies de lumière. Et bien entendu, devant, sa généreuse poitrine est délicieusement soulignée. Mais également, ses tétons raidis par le changement de température occasionné par sa chute dans l'eau. Le jeune homme aimerait faire bien d' autres choses avec elle que de se battre. Le silence s'installe, apaisant. Il se rend compte maintenant combien elle fait corps à l'ambiance de ce lieu sacré. Elle est si belle. Si pure. Si vivante. Son regard maintenant serein le jeune homme dévisage Asceltys. Il rompt ce silence en la tutoyant pour la première fois.

Qui est tu exactement Asceltys ? Et que me veux tu ?
Il y bien d'autres façons de s'affronter que de vouloir se faire inutilement souffrir !


Sur ces mots, il fait un demi pas de réconciliation vers elle.

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Ville-Etat de Nexus / Re : Rusée comme une Kyuubitsune. [Canillia Mc’Winth]
« le: vendredi 16 janvier 2015, 10:46:45 »
Merci, c'est gentil... Et j'accepte tes excuses.

Àprès s'être excusé, l'héritier est gratifié d'un sourire charmeur associé à une poitrine soulevée. Il n'en demandait pas tant. Il rougit et lui rend son sourire. On peut dire que le courant passe bien entre ces deux là. Cela faisait longtemps qu'il n'avait ressenti cela. En fait, depuis sa rencontre avec une blanche Neko qui depuis lors n'avait cessé d'hanter ses rêves.

De rien. Merci également.

Marcus est soulagé et plus motivé encore à l’aider.
Canillia leurs confirme brièvement que les Thekans sont un peuple plutôt méconnu. S'ils sont tous comme elle, le jeune homme se promet de monter une prochaine expédition à la rencontre de ces gens.

Nous ferons tout ce que nous pouvons pour te permettre de revoir les tiens.

C'est alors que la Kitsune raconte son enfance en esclavage. Soudain, elle se rappelle posséder son attestation d'affranchissement et peut lui montrer à l'instant. Le visage de Marcus se met à rayonner. "Qu’elle Bonne Nouvelle, elle sera immédiatement libérée" pense t’il.

Marcus faillit rire lorsqu'il voit Canillia fouiller son décolleté à la recherche des ses papiers. Opportuniste, il observe avec délice la main de la renarde disparaître jusqu'à son poignet entre ses gros seins. Ses chairs sont alors savoureusement plus comprimées encore dans son bustiers déjà trop étroit. Elle doit même s'y reprendre à plusieurs fois avant de trouver le bon document. Manifestement, il semblerait que le bustier déjà bien large de Canillia cache et maintienne péniblement une poitrine plus volumineuse encore qu'il n'y parait. Marcus adore l'idée qu'un profond décolleté puisse servir de porte feuille.
Il se souvient que Rachel emploi parfois la même technique pour ranger sa bourse de pièce d'or. Bien en sécurité dans le saint des seins ! Il imagine avec fantaisie une sorte de corne d'abondance infinie. Un trésor qu'il se promet de découvrir si les circonstances le permettent.
Ses sens sont tous en éveille. Une douce sensation de chatouillement vient naitre dans l'entre jambe de l'obsédé des mamelles. A n'en pas douter, une érection naissante. Il est reconnaissant du spectacle que son “invitée” vient de lui offrir. Ses joues rosies d'excitation en sont la preuve.

Le jeune esclavagiste en herbe attrape avec respect le précieux documents que la belle kitsune lui tend retenue par ses chaînes et penchée vers lui. Au passage, elle lui expose plus encore ses deux magnifiques trésors. Rachel a remarqué ce petit manège et lève les yeux au plafond en signe de contrariété ou plus certainement de jalousie.

Le papier, « Tient ? Étrange ? Ce n'est pas du parchemin ! » est tiède et sent bon un léger parfum. Il le déplie et le lit attentivement. Plus étrange encore est le style d'écriture employé. Il est d'une régularité surnaturel. Le document est même rédigé en deux langues différentes. Excepté celle écrite en Nexusien commun, par contre il n'arrive pas à déchiffrer l'autre. Plus incroyable encore, le document est agrémenté d'un dessin ou une sorte de gravure représentant le visage de Canilllia à la perfection. Décidément cette fille était pleine de surprise.
Curieuse, la terranide bovine penche la tête par dessus l’épaule de son jeune maître pour lire également. Celui ci en fait le compte rendu.

Tout semble y être et même plus encore. En fait, je n’ai jamais vu une attestation aussi clairement faite. Seulement, il y manque un élément crucial pour son authentification. Il manque le poinçon de l’administration. En fait, c’est comme si ce document était récent et n’avait pas pu encore être enregistré au greffe du palais de justice. C’est fâcheux cela !

Je peux aller au palais si tu veux ?
Intervient Rachel contre toute attente. Surpris, Marcus dévisage son amie...

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Royaume Terranide / Re : Le bain de vérité [Asceltis]
« le: jeudi 15 janvier 2015, 01:35:34 »
Aussi près, le jeune homme ne peut manquer aucun détail de la physionomie d'Asceltys. Cette belle blonde avait tout pour plaire. Il remarque: la finesse du grain de sa peau, les reflets dorés de sa chevelure, son déhanché ciselé, la finesse de sa taille... Ses formes, mises en valeurs par sa tenue blanche maintenant collante de sueur, la rend plus attirante encore. De sa position basse, Marcus a une vue contre plongeante sur toutes ses courbes, sublimant la féminité de sa silhouette. Pendant qu'elle bouge devant lui, son imagination fini de lui décrire les imperceptibles détails visibles au travers des pièces de tissus presque transparentes. Notamment, les plus sombres aréoles de sa voluptueuse poitrine.
Ce qui n'est pas pour lui déplaire, elle s'exprime aussi avec un ton de gaieté malgré la tension palpable de leur tout fraîche rencontre.

Heureusement qu'il fait chaud, ainsi il ne souffre pas de sa nudité. Aussi, à quoi bon ? Sa pudeur était elle vraiment de circonstance ? Il serait judicieux, pense t'il, de se débarrasser de cette contrainte psychologique afin de lui libérer le bras gauche, probablement utile d'ici peu. Pendant que l'aventurier en herbe hésite dans la conduite à prendre. Asceltys fait tomber ses vêtements devant lui juste au dessus de l'eau. Cet imprévu précipite instantanément sa décision. Il tend les bras pour les soustraire du bain. Hélas trop tard, il n'avait pu sauver que son gilet de cuir. De son côté le bel ange aux ailés repliées justifie son acte pour des raisons sanitaires. Il répond malgré lui.

Merci bien, mademoiselle Asceltys !

"Merde me voilà obligé de rester un peu plus longtemps que prévu." Dépité, il laisse le vêtement rescapé suivre les autres. Il se senti alors mal à l'aise lorsqu'elle se permit une remarque sur sa nudité. Plus encore, lorsqu'il la surprit le reluquer à son tour. C'était à lui de rougir maintenant. Il ramassa vivement sa chemise détrempée pour s'en faire un cache sexe improvisé, ou plutôt une éponge inadaptée. Elle rit à nouveau et lui propose d'abord dans la foulée d'attendre que ses vêtements sèches avant de sa battre. Il plussoit en riant à son tour. Sarcastique.

Ainsi, je pourrais mourir propre.

Pour certains l'humour est une arme, mais pour Marcus c'est un décontractant. À travers cette humeur partagée, il perçoit qu'elle veut avant tout se faire plaisir. Il a maintenant l'intuition que cette femme ne lui veut pas de mal. Après l'inquiétude, cette présence inattendue est devenue intéressante. Curieux, il n'a plus vraiment l'intention de se sauver. Au contraire, il chercherai même a l'empêcher de s'en aller.
Soudain l'attention du jeune homme lui est plus acquise encore lorsque, dans un souci d'équité, elle fait mine de se déshabiller. Plein d'espoir, il l'invite à s'exécuter.

Je constate avec plaisir que vous avez le sens de la justice.

Seulement elle se ravise et décide au contraire de répondre enfin à sa demande d'aide pour sortir dignement du bassin en lui offrant sa main droite. Marcus arbore alors un sourire victorieux. Il saisit sans se faire prier l'offre qui lui est faite. Il referme fermement sa main droite juste derrière le menu poignet féminin. Mais il reste bien campé sur ses jambes. Ainsi prisonnière de son emprise elle ne peut ni le tirer hors de l'eau ni se libérer. Distraite par la surprenante attitude de l'homme. Elle ne peut s'attendre à ce que la main gauche abandonne sa fonction protectrice pour aller se saisir de la poignée de son arme et la jeter hasardeusement au loin.
Sans attendre une inévitable protestation, l'homme musclé poursuit son action en l'attirant de toutes ses forces pour l'obliger à boire la tasse.

PLOUF

Il lâche prise et l'observe se débattre pour pouvoir respirer au plus vite. Marcus rit de bon cœur pendant qu'elle se redresse trempée jusqu'aux os devant lui. Il jubile.

Ah ah ah, le bel oiseau mouillé ne peut plus s'envoler. Aussi nous voici à hauteur égale et tous deux désarmés.
Il rajoute après l'avoir constaté...
... Et également nu.
Cette dernière remarque fait référence à la nudité accessoire que lui offre les vêtements blancs trempés d'Asceltis. Dans son coup d'éclat, le jeune homme avait abandonné toute pudeur et se tient droit face à son interlocutrice la verge libérée de toute contrainte s'offrant au regard indiscret.

Ah au fait ! Marcus Baritello !... Pour vous servir mademoiselle !

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