Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Asami Yamada

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Asami Yamada

Pages: 1 [2] 3 4 ... 7
16
Asami suppliait son agresseur de donner suite à la pénétration qu’il avait odieusement arrêtée, la laissant pendante à ses caresses, s’amusant à palper son corps autant qu’il le pouvait et le faire brûler d’envie sans l’assouvir. Cependant, par bonté ou simplement parce que malgré la tentation de jouer avec les nerfs, il le voulait aussi, il « obtempéra » et commença par réaffirmer sa position, annonçant par ailleurs à son otage que son vœu allait être exaucé, puis s’enfonça profondément en elle. Bien évidemment, elle gémit bruyamment à ce moment, lui criant tout son contentement et l’encourageant implicitement à plus tant ce sursaut avait été agréable. D’ailleurs, réalisant cette demande ou simplement dans un élan primaire, il ne se gêna pas pour instaurer un rythme bien plus rapide mais aussi plus puissant, prenant la jeune fille d’une façon possessive et animale, la plaquant contre le mur, négligeant presque sa présence si ce n’est celle de son intimité, et soufflant dans ses oreilles un halètement bestial. C’était loin d’un quelconque romantisme et Asami n’était à ce moment pas réellement traitée comme elle l’attendait d’une personne qui lui avait juré de la faire se sentir bien, mais elle avait du mal à avouer ce que son corps criait, qu’elle aimait ça, qu’elle y prenait du plaisir et aurait aisément abandonné un peu plus de son humanité pour plus de ce que proposait son agresseur. Il était à ce moment en réalité plus animal qu’à tout autre moment, se comportant avec la lycéenne comme l’incarnation de la masculinité bestial, sa langue parcourant goulument le coup de sa proie, ses mains parcourant son corps, y cherchant toutes les formes qui représentaient la féminité et les massant maladroitement.

Cependant, comme on pouvait l’attendre de quelqu’un dans un tel état second, il était impulsif, et arrêta aussi vite qu’il l’avait commencé cet acte, lui annonçant - Preuve d’humanité car il en fallait bien une - qu’il n’allait maintenant plus se retenir, ce qui affola presque Asami tant elle pensait que c’était déjà le « pire » dont il était capable. Et il ne mentait pas, car une fois projetée sur le canapé, elle sentit vite tout le poids de l’homme qui l’avait prise s’abattre sur elle, la couvrant de son propre corps, sa chaleur se transmettant par leurs deux peaux plaquées l’une contre l’autre, et son membre bien évidemment dure entrer à nouveau en elle sans quelconque forme de sensualité. La lycéenne ressentait toute sa puissance, une main plaquant contre le meuble ce qui échappait au corps entier, l’autre pétrissant sa poitrine avec force alors que sa gueule dardait lentement son cou, l’égratignant de temps en temps sans jamais lui faire ressentir la moindre douleur, et que son membre s’enfonçait à un rythme fluctuant mais toujours assez soutenu au plus profond d’elle, allant jusqu’à claquer contre ses fesses comme ultime buttoir. Malgré tout, Asami en ressentait un étrange plaisir, étreinte entre le canapé et la chaleur et la puissance du corps de son agresseur, celui-ci la dominant complètement de tout ce qu’il pouvait et lui apportant sa dose de bestialité, son corps répondant plus que favorablement, lâchant constamment des gémissements extasiés et quelques gouttes de son désir coulant de son intimité sur le meuble sous les fougueux coups de reins de l’animal. La jeune fille était dans une position bien défavorable, rabaissée, dominée,  mais malgré qu’elle en soit consciente, tout chez elle, de son corps à ses gémissements, suppliait son « partenaire » de continuer, voire lui en demandait plus.

17
Les alentours de la ville / Re : Une mission délicate [ PV Shinji Ojima ]
« le: lundi 18 février 2013, 19:27:26 »
L’appartement restait particulièrement calme, mais Asami pouvait y déceler du mouvement et espérait qu’on vienne lui ouvrir. Cependant, ce ne fut pas le cliquetis d’une serrure qui vint mais le bruit du papier glissant sur le sol : On lui avait en guise de réponse donné un mot rapidement griffonné. Elle pensa assez logiquement que cela équivalait à un rejet, s’imaginant déjà le contenu du message comme une impolitesse lui demandant de déguerpir sur-le-champ. mais elle devait tout de même le lire, et fut surprise de son contenu : Au lieu de lui demander de partir, au contraire, il l’invitait à entrer, la prévenant cependant du désordre de l’habitation et de l’occupation de son occupant. La lycéenne ne se fit pas plus prier et tourna lentement la clenche, poussant doucement la porte  pour ne pas faire trop de bruit ni entrer trop brusquement là où elle ne pensait pas malgré tout être très désirée. L’appartement était pour le moins simple, constitué d’une salle de bain, d’une cuisine, deux pièces où elle n’avait de toute façon rien à faire, et celle où elle entrait actuellement, servant de chambre et de salle de vie.

Cependant l’allure de cette pièce lui arrachait complètement son apparente simplicité : C’était un fatras innommable, certaines parties littéralement recouvertes de papiers de diverses tailles, certains gribouillés jusqu’à en être noirs, d’autres comportant simplement une esquisses, et au milieu de cela, ce qui semblait être une fille affairée à dessiner - Vraisemblablement l’origine du désordre. Asami avançait lentement, ne faisant quasiment aucun bruit alors elle se concentrait sur l’évitement des divers papiers disséminés sur son chemin, avant qu’elle se trouve un endroit à la fois libre de tout dessin et assez proche de la « jeune fille ». Elle resta là à l’observer un moment, à la fois impressionnée et étonnée de sa concentration, ne comprenant pas exactement les divers gestes qu’elle faisait vers le miroir, ne pouvant même pas y observer la lycéenne, et décida donc de lui adresser la parole.


« Bonjour...Excuse-moi mais je suis une déléguée du lycée et...J’aimerais parler à Shinji, s’il est là...Il n’a pas d’ennui, c’est juste que...On s’inquiète de ne plus beaucoup le voir... »

Elle n’avait pas réellement idée de qui la dessinatrice pouvait être, se disant qu’elle était peut-être la petite amie de l’élève qu’elle était venu voir, excluant de toute façon d’emblée la possibilité que ce puisse être elle pour des raisons évidentes bien que trompeuses, et ne prit du coup pas la peine de l’observer plus en détail. Sa réponse peinait cependant à venir, totalement absorbée par son art, et la déléguée se permit quelques coups d’œil sur son travail, sans doute impolis, mais à ce moment là elle ne pouvait pas la voir, justement concentrée sur ce dessin, et cela l’intéressait bien trop pour qu’elle puisse résister à l’envie de voir ça au lieu de patiemment attendre des paroles qui tardaient. Elle pouvait y distinguer une jeune femme, mais pas grand chose de plus, n’osant tout de même pas s’approcher, et le dessin étant de toute façon relativement peu avancé à ce moment là.

Ceci fait, sa curiosité assouvie, elle jeta un œil sur les dessins qui jonchaient le sol, n’ayant de toute façon qu’à poser son regard à un endroit pris au hasard pour avoir une bonne chance d’en trouver un, et en parcouru un bon nombre, y voyant de très divers dessins, peut-être certains en ayant remplacé d’autres au cours d’un quelconque processus créatif. Cependant elle fut attirée par une esquisse qu’on pouvait même d’ici deviner pour le moins osé, voire à caractère résolument sexuel en fait, et releva définitivement sa tête, cette vision ayant servi de déclic pour lui faire comprendre qu’elle n’avait pas à être ainsi curieuse, pour calmement attendre sa réponse, ne pouvant cependant pas cacher un certain empourpremen0t de ses joues suite à cela.


18
Les alentours de la ville / Re : Les bienfaits de la servitude [Asami Yamada]
« le: lundi 18 février 2013, 00:44:43 »
Asami se lassait de cette attente, mais surtout la trouvait insupportable, restant ainsi, se soumettant déjà à une personne qui n’était même pas là, et doutant de ce qu’elle lui ferait, peut-être serait-ce aussi « doux » que ce qu’elle avait subi jusqu’ici, mais maintenant qu’elle était dans son « antre », elle pouvait en réalité faire absolument ce qu’elle voulait...Cependant, le traitement qu’on lui avait réservé jusqu’ici était celui d’une réelle princesse, ses habits fins et pour le moins particuliers ayant sans doute une assez grande valeur - Bien qu’elle ne pouvait réellement en évaluer la facture, surtout maintenant qu’elle ne pouvait se retourner, observer attentivement ses vêtements, risquant alors d’accueillir sa Maîtresse défavorablement - et s’étant littéralement faite habillée, ce qui avait d’ailleurs un goût étrange, sans doute lié à la nature des vêtements qui la couvraient peu. Malgré tout, elle restait quasi immobile, en tout cas autant qu’elle le pouvait, « sagement » comme avait dit la servante, bien que sa motivation était bien plus complexe que la simple envie de bien se comporter et que ce mot prenait une valeur assez ironique à ce moment, puisqu’en réalité elle ne faisait ça surtout que par obligation d’un chantage assez odieux, en tout cas, elle se le disait, tentant d’effacer l’idée que tout cela avait jusqu’ici été assez agréable et que tout à l’heure, elle aurait pu se damner à cela pour l’éternité.

Asami avait déjà passées dix bonnes minutes dans cette position lorsque la porte s’ouvrit. Elle était du coup à ce moment un peu fatiguée de cela, mais n’aurait pas osé bouger et déranger le spectacle qu’elle allait offrir à sa Maîtresse et restait alerte à l’ouverture de l’unique porte de la chambre. Lorsqu’elle s’ouvrit effectivement, la jeune fille parvint tout de même à légèrement relever la tête et ses yeux vers la vampire qui entrait, lui signalant qu’elle avait toute son attention mais la contemplant aussi car, et elle aurait pu s’en douter, elle avait elle aussi changé de livrée. Elle portait une tenue bien plus simple que la sienne, et de toute évidence absolument pas empreinte d’une quelconque soumission bien qu’elle non plus pas très encline à couvrir les formes de sa porteuse : Une robe jaune dorée parcourue de vert laissant un décolleté finement maintenu par à un lacet parcourir le ventre entier de la vampire et des talons hauts remontant ses jambes avec des lanières noires. Cette tenue rayonnait de richesse, par sa couleur bien évidemment qui se voulait sciemment représentative du faste de sa porteuse, mais aussi par la finesse qui la parcourait, des motifs travaillés à sa structure visiblement complexe à maintenir. Cependant le trait que remarqua surtout la lycéenne fut le sourire qu’elle arborait lorsqu’elle la contempla, bien différent de la pauvre déformation crispée de la bouche d’Asami et dévorant presque celle-ci, et qu’elle garda pendant la lente marche qui l’approcha de son esclave. Elle se félicita d’avoir choisi ces vêtements et lui tendit ensuite la main en lui demandant de se lever pour lui demander de se voir dans le miroir. La jeune fille ne savait à ce moment trop pourquoi elle voulait cela, car même si elle éprouvait effectivement une certaine curiosité quant à ce à quoi elle ressemblait, ça ne devait pas franchement être le premier soucis de sa Maîtresse qu’elle le sache ou non, enfin, elle le voyait ainsi, et elle en vint même à se demander quel serait l’intérêt de cela pour la vampire, peut-être lui faire contempler l’œuvre qu’elle estimait être la sienne ?

Lorsqu’Asami fut devant le miroir, daignant à peine s’y regarder, la femme, postée derrière elle, posa une main sur son menton, le relevant doucement pour la faire contempler son reflet, l’autre se posant sur un de ses bras, le caressant lentement, peut-être pour lui rappeler après cette courte absence la relation qui les unissait, mais on pouvait le voir dans la courte expression qu’arbora son visage quand elle regarda la main gantée qu’elle caressait, elle semblait aussi y prendre un certain plaisir. La lycéenne ne voyait dans son reflet que peu qu’elle ignorait, remarquant au plus les détails des vêtements qu’elle portait, les confirmant comme très beaux et finement travaillés et constatant par ailleurs la façon superbe dont ils épousaient ses formes, soulignant la beauté des vêtements comme la sienne, mais pas beaucoup plus. Cependant, la remarque de sa Maîtresse - qui, lorsqu’elle parlait de beauté et de désir, savait être extrêmement convaincante, tant par la façon dont elle le faisait que par l’aura - la fit se réexaminer. Le temps qu’elle plonge à nouveau son regard dans son reflet, elle pouvait y voir la vampire couvrant sa nuque d’un délicieux baiser et jouant avec « sa » chaînette. Malgré qu’elle symbolisait à ce moment là une parfaite soumission, acceptant docilement les lèvres de sa Maîtresse sur la peau et les légers mouvements de la chaînette qui l’avilissait, elle ne pouvait, même pas en toute humilité, la désavouer : Son habit soulignait délicieusement ses formes et la blancheur immaculée de son teint, en même temps qu’il reflétait la finesse de ses traits et que sa monochromie laissait comme seul relief sur sa silhouette ses cheveux lisses et bleutés et une magnifique rose sur son cœur. Si cette tenue n’avait été aussi aguichante, elle aurait été parfaite pour Asami, et si elle avait été moins finement travaillée et précieuse, sa Maîtresse aurait sans doute eu l’envie de l’arracher sur-le-champ, l’équilibre entre les deux étant le divin spectacle qu’elle pouvait contempler dans le miroir.

Elle voyait cependant bien moins le rapport avec un quelconque pouvoir, du moins autre que celui que cela aurait sur les hommes - et potentiellement les femmes, sa Maîtresse semblant être là pour en témoigner. Elle se demanda sur cette remarque si la vampire elle-même n’aurait pas souvent fait usage de ce pouvoir, puisqu’elle aurait pu par cette remarque faire entendre que c’était aussi sa plus grande arme à elle, et dont celle par laquelle elle avait ainsi « réussi », car elle avait ainsi plusieurs servantes et esclaves ainsi qu’un manoir digne de riches familles anglaises - Ce n’était pas la plus simple des références, mais c’était à cela qu’avait fait penser Asami la demeure au premier regard. La remarque suivante allait elle aussi dans ce sens, affirmant que ce soir la lycéenne deviendrait une « femme accomplie », soit qu’elle le ferait en perdant sa virginité - La Maîtresse évitait assez logiquement de le formuler ainsi, mais c’était exactement le but. Elle ramena d’ailleurs bien vite la conversation dans un registre plus érotique - et même bien plus osé que ça - en lui proposant un choix « simple » : « le » faire maintenant ou après le souper ( Formule qui convenait parfaitement à un repas dans un manoir empli de servant, mais la jeune fille n’eut pas le luxe d’accorder son attention à ce détail grammatical ).

C’était un choix relativement difficile, d’autant qu’elle n’avait pas réellement d’idée de ce à quo
i pouvait ressembler le repas dans cet endroit. Puis elle se rappela l’éventuelle foule qui y serait - Entre les ( autres ) esclaves de la vampire, ses « filles » dont elle ignorait si c’étaient réellement ses enfants, et qui sait qui d’autre... - et l’état sans doute peu digne dans lequel la laisserait sa Maîtresse après « ça », elle-même ayant été tout à l’heure peu présentable, étendue sur le sol. De plus, étant à ce moment assez stressée, elle eut l’instinct de repousser ce moment aussi loin qu’elle le pouvait, vainement de toute évidence, comme tout délai l’était, mais c’était ainsi que l’espèce humaine raisonnait. Enfin, il se faisait assez tard, et ce qu’allait lui demander cette femme requerrait sans doute assez de force. Sa voix hésitante balbutia alors, la tête de la lycéenne se tournant légèrement tout en fixant celle de la vampire dans le miroir :

« A-Après le souper, Maîtressse...Je préfèrerais... »

Elle se retourna alors vers elle, absolument pas brusquement, et baissa la tête, docilement, avant qu’une de ses mains ne s’égare à saisir celle de sa Maîtresse, ses doigts gantés en saisissant l’index et le majeur, pas plus, mêlant quelques peu leurs doigts pour y chercher un faible et étrange réconfort, son autre main se serrant nerveusement et répétitivement sur sa hanche, témoignant de sa situation de stress.

19
Les alentours de la ville / Re : Cours particulier [ PV Iinuki ]
« le: dimanche 17 février 2013, 17:31:28 »
Asami redoutait la réponse de sa professeure, et son cœur faillit s’arrêter net malgré le rythme d’enfer auquel il battait au premier de ses mouvements, craignant, peut-être irrationnellement mais en tout cas bien réellement, qu’elle la rejette, refuse d’à nouveau lier leurs lèvres et sépare leurs corps à jamais. A ce moment, la lycéenne n’aurait pu se faire à cette idée, brûlant de désir pour sa professeure, mais par chance, toutes ces idées souvent contradictoires et toujours pénibles s’arrêtèrent lorsqu’Iinuki posa un doigt sur ses lèvres, l’apaisant par son doux contact. Mais elle fut vite plus que calmée et vraiment rassurée par le doux contact des lèvres de son amante sur sa joue, valant pour elle toutes les réponses du monde, tant en sens qu’en intensité, et seul le toucher de ses doux doigts dans sa main parvint à lui arracher un faible cri de surprise venant briser le silence qu’elle lui avait intimé et qu’elle n’aurait oser autrement trahir. Asami rassurée, sa professeure ne manqua pas de continuer ce qu’elle avait arrêté, faisant lentement glisser son souffle sur le visage de la lycéenne pour atteindre son oreille qu’elle mordilla lentement, geste qui seul suffisait à la faire mourir de passion, mais dont la suite ferait plus si c’était possible. Sa vraie réponse, celle qui sortit de ses lèvres en de doux mots murmurés à son oreille, l’enchanta, pleine de promesses, et raviva son envie, si elle s’était jamais éteinte ou même seulement affaiblie, d’elle, tout simplement, car chacun des lourds battements de son cœur, chaque centimètre de sa peau, chaque mèche de ses cheveux, était précieux et délicieux pour la jeune fille.

Asami put ensuite sentir la bouche de sa partenaire se diriger vers sa poitrine, s’arrêtant cependant sur sa clavicule, ne lui enlevant cependant pas les douces caresses de ses lèvres qui suffisaient à l’emplir de plaisir, et son autre main dont elle se languissait du toucher vint masser un de ses seins, et après quelques douces pression sur celui-ci décida de céder à la tentation d’y poser ses lèvres, pinçant délicatement avec ses dents son téton dressé depuis bien longtemps et d’en caresser les alentours avec sa langue, laissant à son plus grand regret la bouche de son élève libre de faiblement gémir sous ses caresses, n’ayant malheureusement pas d’autre occupation. Elle resta ainsi un bon moment, bien qu’il en demeurait divin et qu’Asami aurait aisément pu rester ainsi éternellement, comblée à ce moment, mais son désir pour Iinuki la poussait à vouloir plus et surtout à aussi lui faire plaisir, car à ce moment, leurs corps voulaient simplement se mêler et ne faire qu’un.

Alors sa main, restée crispée sur son tanga, ses doigts ayant au plus pianoté sur sa douce peau pendant tout ce temps - Quel gâchis, pensa-t-elle en s’en rendant compte - fut aidée par l’autre qui se plaça exactement de l’autre côté après avoir défait son pantalon pour le baisser, dévoilant son tanga noir et blanc de dentelle absolument ravissant de plus que légèrement transparent. Il fallut à la lycéenne beaucoup de volonté et de résolution pour rompre le doux contact qu’avait instillé sa professeure entre elles, mais elle avait pour ça la promesse qu’elle pouvait maintenant aller plus loin et l’envie irrésistible de le faire. Elle descendit le long du corps d’Iinuki, n’oubliant pas de le caresser de ses seins et de ses lèvres en toute occasion, couvrant son buste entier de baisers, assez pour porter ses mains jusqu’à ses pieds et complètement enlever son pantalon. Comme un signe délicieux du destin, ce mouvement avait porté sa tête exactement au niveau du tanga, et elle ne se priva pas de tendre la main à ce signe, écartant doucement de ses doigts la fine lingerie et ses cuisses pour, avec passion et retenue, lentement lécher son intimité. Elle y mettait tout le talent qu’elle pouvait avoir, soit pas beaucoup vu le peau d’expérience qu’elle avait, mais son envie pour sa professeure la poussait à l’excellence et sa douceur à ce moment n’aurait su être égalée, sa langue se régalant du toucher qu’elle tirait de ses caresses. Asami à ce moment ferma les yeux, se laissant guider par les sensations dont elle s’enivrait, et finit par se laisser aller aux pulsions de son corps, comme s’il obéissait à son envie seule, et titilla le bouton d’Iinuki, guettant avec délice ses réactions, avant de raidir sa langue pour mieux la faire pénétrer dans son intimité, se délectant de sa cyprine et de son bonheur, souhaitant ne pouvoir vivre que de ça tant cela suffisait, le pure plaisir de sa partenaire, à la combler.


20
Les alentours de la ville / Une mission délicate [ PV Shinji Ojima ]
« le: samedi 16 février 2013, 18:56:08 »
Asami avait toujours su être appréciée et gagner la confiance de ses professeurs et autres personnels du lycée : Elle était une élève studieuse et tout sauf dérangeante, n’ayant pour ainsi dire jamais subi de réprimande. C’était pour cela qu’ils ne rechignaient pas à la solliciter pour diverses tâches, s’étant de toute forcer porter volontaire pour cela de par sa position de déléguée, et, bien que cela ne consistait souvent qu’en quelques réunions ou messages à l’attention de la classe, il arrivait que des circonstances plus exceptionnelles l’appellent à d’autres choses. Ce matin, ç’avait été le cas : Un élève vivant seul ne venait plus en cours bien qu’étant présent aux contrôle importants, et, bien que ça ne soit pas excessivement problématique, la bien-pensance du lycée demandait qu’on s’en inquiète, et la directrice avait au détour d’un couloir proposé à la lycéenne qu’elle se charge d’aller lui parler - Pas nécessairement le faire revenir, mais au moins s’enquérir de son état - ce qu’elle accepta. Bien entendu elle n’allait pas sécher ses cours de la journée pour cela, surtout qu’elle n’aurait, d’après l’adresse, qu’à faire un relatif détour pour rentrer chez elle ce soir pour mener à bien cette mission, et attendit donc la dernière sonnerie de la journée.

Elle sortit alors du lycée, comme tous les jours, disant au revoir à ses amies, puis se dirigea vers l’appartement désigné. On n’aurait pas pu dire qu’elle était franchement heureuse d’avoir à faire cela, cet élève lui était de toute façon inconnu, mais elle ne s’en plaignait absolument pas, et, si par cela elle pouvait l’aider, alors ç’aurait mille fois valu le coup. Elle marchait alors lentement dans les rues de Seikusu, finissant par dériver de son chemin habituel pour se diriger plus ou moins approximativement vers l’adresse qu’on lui avait donnée, ne prenant sans doute pas la route la plus directe mais au moins ne risquait-elle pas de se perdre. Elle portait toujours son uniforme, n’ayant pris la peine de faire un aller-retour pour se changer, et il aurait de toute façon été un peu étrange de parler d’un retour au lycée - Sans le réclamer, bien entendu, ce n’était pas le but et aurait été assez impoli - tout en n’en portant pas les habits, cependant son blazer était replié sur son bras puisqu’inutile avec la relative chaleur qui régnait aujourd’hui. Lorsqu’elle approcha de la zone qu’elle savait être proche de l’appartement, elle sortit alors de son sac un bout de papier même pas de la taille d’un post-it où était écrite l’adresse pour la guetter avec attention, étant bien incapable de localiser celle-ci avec précision, ne connaissant pas excellemment bien cette partie de la ville.

Marchant lentement dans la rue qu’elle avait rapidement trouvé, elle la remontait en cherchant le numéro de l’immeuble indiqué, ralentissant le pas devant chaque hall d’entrée pour l’accélérer jusqu’au prochain, du moins, jusqu’à ce qu’elle tombe sur le bon, se dirigeant immédiatement vers sa porte. Par chance, il n’y avait pas besoin de code ou de quelqu’un via l’interphone pour l’ouvrir, aussi put-elle directement chercher l’appartement, bien qu’elle aurait à ce moment put mettre à profit un indice quant à l’organisation du bâtiment, car, peut être car elle n’était pas forte à ce jeu là, elle eut un peu de mal à comprendre la numérotation qui lui semblait excessivement complexe. Quand elle fut finalement rendue devant la porte portant les bons chiffres, elle patienta quelques instants.

Non pas qu’elle en avait réellement besoin, bien entendu il ne lui restait plus qu’à toquer puis attendre une réponse, mais elle ne voulait surtout pas froisser l’élève qu’elle était venue voir : Après tout, il devait avoir des raisons plus ou moins valides de ne pas venir en cours, et sans doute ne recevrait-il pas avec plaisir Asami qui lui demanderait - pas excessivement mais abordant au moins le sujet comme elle se le devait et on lui avait demandé - d’y retourner. Elle était légèrement anxieuse et avait une dernière fois récapitulé ce qu’elle pouvait lui dire et ce qu’elle ne devait lui dire, puis elle expira une bonne fois pour toute avant de toquer à la porte de trois coups fermes mais pas inquisiteurs, simplement assez pour qu’il puisse les entendre, après quoi elle se pencha légèrement en avant, approchant sa tête et surtout ses oreilles de la paroi pour mieux entendre filtrer un éventuel « entrez » ou une quelconque réaction - Au fond, elle ne savait d’ailleurs pas s’il était présent. Ne croyant rien entendre pendant quelques secondes, elle se permit de dire d’une voix relativement forte pour qu’elle porte à travers l’entrée :


« Bonjour...Je suis Asami du lycée...Est-ce que je pourrais te parler ? »

Elle l’avait tutoyé, ce n’était pas dans ses habitudes pour un inconnu, mais sans doute serait-ce plus adapté, car elle ne voulait pas sembler officielle ou distante, et sa voix malgré l’insistance qu’elle avait, était assez douce. Elle ne lui avait pas demandé si elle pouvait entrer mais bien lui parler, ce qui faisait parti de ce qu’elle s’était dit lors de la légère pause de préparation qu’elle s’était octroyée il y a quelques instants, car elle n’avait en réalité pas besoin de pénétrer chez lui et que ne demander que de le faire n’aurait pas du tout été en accord avec l’attitude conciliante qu’elle voulait adopter. Alors elle attendait, n’ayant maintenant plus rien à dire, sa tête légèrement penchée sur le côté pour, plus que rapprocher son oreille, légèrement plus l’exposer à une quelconque réaction.

21
Les alentours de la ville / Re : Les bienfaits de la servitude [Asami Yamada]
« le: vendredi 15 février 2013, 23:04:36 »
Asami s’était contenté de suivre sa Maîtresse à travers toute la ville, ignorant à vrai dire leur exacte destination et surtout le chemin qui les y conduirait. Par chance, le temps qu’elles avaient agréablement mis à profit leur permit de sortir du lycée sans croiser un seul élève ou professeur, tous étant sortis depuis longtemps, et le reste du voyage - en  transports en commun - se ferait, bien qu’en présence de beaucoup de monde, uniquement en compagnie d’inconnus. Cela ressemblait à un plan parfait, car même si quelqu’un remarquait les uniformes désarrangés des lycéenne ou la relation tout de même tenace de dominante à dominée qui subsistait entre elles, ce ne serait au fond qu’une personne lambda qui passerait son chemin sans encombre, la déléguée se rassurant à cette pensée. Cependant, la vampire n’en décida pas ainsi, et sa position ne laissait guère à sa servante le choix : Elle la guida d’abord au fond du métro, souvent quelque peu délaissé, surtout par les gens dits « fréquentables », ce qui au fond étonna à peine Asami, sa Maîtresse étant après tout quelqu’un que beaucoup qualifieraient de déviante voire malsaine. Ce qui l’inquiéta plus et surtout la gêna fut qu’elle ne l’emmena là-bas que pour l’embrasser, et ce « que » était absolument littéral : Durant tout le trajet, qui dura de longues minutes, la vampire embrassa son esclave, pour son plus grand plaisir s’il n’y avait ces regards désapprobateurs qui les fixaient, d’autres intéressés, mais ils se faisaient discrets, et ces exclamations des aînés qui allaient des plaintes aux insultes. La lycéenne en rougissait de honte, bien qu’une partie de son empourprement était sans doute due à l’embrassade langoureuse qu’elle « subissait », et seul le réconfort des lèvres de sa Maîtresse en plus de sa soumission envers celle-ci l’empêchaient de descendre de la rame au premier arrêt venu.

Lorsqu’elles descendirent enfin, soulageant la plupart des utilisateurs du métro, Asami pressant le pas pour ne pas avoir à subir leurs regards plus longtemps, la jeune fille put apercevoir un magnifique coucher de soleil malgré la situation actuelle, l’endroit s’y prêtant particulièrement bien, sur les hauteurs de Seikusu, un quartier riche, mais peut-être à cause du stéréotype de Dracula, un comte vampire aristocrate, elle s’y attendait presque. Sa Maîtresse lui fit subir l’exact même traitement dans le bus, mais ce fut bien moins pénible, leurs sièges leur procurant une relative intimité, la lycéenne s’étant retrouvée, certainement pas par hasard, prise entre la jeune femme et la fenêtre du car, impuissante devant ses baisers, mais au fond ne souhaitant pas réellement les entraver.

Enfin, elles descendirent du bus, dans la périphérie de la ville où régnait un lourd silence. La vampire prit Asami par la main, la guidant le long d’une rue qui se faisait de plus en plus étroite, éclairées par un soleil déclinant et rougeoyant, cette situation les faisant fortuitement presque passer pour des amoureuses, main dans la main sous un coucher de l’astre du jour. Finalement, les deux femmes ne s’arrêtèrent nul part dans cette rue bordée de maisons cossues, mais bien au bout où trônait un manoir d’une belle taille et à l’apparence ancienne et charmante. La lycéenne resta quelques instants à l’observer, sa Maîtresse le lui présentant avec une fierté non dissimulée avant de l’y faire pénétrer, la guidant vers l’entrée principale. Juste avant de l’atteindre, tendant presque la main vers la poignée, la vampire s’arrêta cependant et décida de ne pas présenter Asami à « ses filles » - Ce que la jeune fille ne sut interpréter comme ses vraies filles ou simplement ses autres esclaves - et l’emmena plutôt vers une entrée dérobée puis la guidant à travers le manoir, ne croisant personne malgré une activité qu’on pouvait entendre à tout moment, la fit entrer dans une chambre. Étrangement, sa Maîtresse la quitta alors, lui ordonnant de se déshabiller et la laissant aux soins d’une éventuellement servante qui lui apporterait une tenue visiblement spécifique qu’elle n’osa s’imaginer.

Asami , laissée seule, était à ce moment bien moins sûre de ce qu’elle faisait : Si la vampire s’était jusqu’ici montrée très gentille et ses ordres pour le moins agréable, la jeune fille perdait confiance en cette idée, maintenant dans son « antre », de ses propres mots, et se disant que son rôle d’esclave ne pouvait s’arrêter aux simples « câlins » que s’apprêtait sans doute déjà sa Maîtresse à entreprendre. Malgré ces doutes, la lycéenne devait lui obéir, même hésitante, et elle se déshabilla alors, angoissant à cette idée, d’abord quant à ce que tout cela pressentait, mais aussi au simple fait d’être nue devant une autre servante de la vampire : Si elle n’avait visiblement pas le choix pour sa Maîtresse, se disant que se montrer nue était  alors une quasi obligation, l’utilisant peut-être d’ailleurs simplement comme alibi, car elle ne pouvait nier avoir apprécier jusqu’ici, pour une autre personne, vraisemblablement quelqu’un dans une situation à peu près semblable à la sienne, c’était assez osé. Ses habits enlevés, elle parvint à leur trouver une place discrète dans la chambre, et elle se souvint alors qu’elle devait s’exposer complètement à la vue de la première personne qui franchirait la porte, en évidence sur le lit, nue...Elle monta d’abord à quatre pattes sur le lit, constatant par ailleurs qu’il était assez confortable, et aussi qu’il pouvait aisément supporter plusieurs personnes, en tout cas au moins deux, et, espoir futile brisé, qu’elle aurait amplement la place de se mettre en scène. Sachant qu’elle devait le faire, elle se demanda brièvement comment, car bien qu’elle voulait satisfaire sa Maîtresse, elle y rechignait et tenterait alors un compromis : Elle opta pour une position allongée, adossée à un oreiller d’une taille assez impressionnante et ses jambes légèrement repliées, laissant voir son fessier et  sa poitrine à quiconque entrerait, mais épargnant son intimité, seule chose qu’elle pouvait sauver sans désobéir à sa Maîtresse, dernière chose qu’elle pouvait et voulait faire.

Lorsque la servante annoncée par la vampire arriva, elle avait effectivement dans ses mains une tenue pour Asami, mais ce ne fut pas ce qui sauta au regard de la jeune fille en premier : Cette femme blonde - Fait relativement rare au Japon, mais à relativiser à côté d’une chevelure bleue - était habillée d’une façon pour le moins aguichante, alors même qu’elle semblait vaquer à des activités relativement banales, ses formes soulignées et révélées par ses vêtements visiblement faits pour séduire, bardés de froufrou. Aussi, elle arborait des oreilles et une queue de chat, sans doute pour lui ajouter le caractère souvent érotique de ce déguisement, en tout cas ce fut ce que se dit la lycéenne. Elle semblait à peine gênée de voir ainsi la lycéenne, agissant exactement comme prévu, s’approchant d’elle ses habits pressés contre elle, ne révélant que leur couleur, le blanc, et tendant sa main comme une invitation à descendre du lit pour lui permettre de l’habiller, résolue à ne pas la laisser se vêtir seule. La jeune fille garda une main au milieu de son buste, cachant maladroitement sa poitrine, et donna une main hésitante à l’autre servante, glissant sur les draps du lit pour se lever devant elle. Avec la proximité, elle put constater que ses traits félins n’étaient pas faux, ou en tout cas ne relevaient pas d’un accessoire discret et caché : On fond, ce ne fut pas si étonnant, venant de la servante d’une vampire, et Asami arriva étrangement facilement à en faire abstraction. Cette femme, justement, déposa les habits sur le lit et en prit immédiatement un, d’une manière même pas hésitante, comme si elle savait exactement en quoi sa tâche consistait, et intima du dos de sa main à la lycéenne de se retourner, ne lui laissant même pas le temps d’entrevoir sa tenue.

Elle sentit vite des mains sur ses mollets, l’incitant par une légère pression à les lever l’une après l’autre, lui enfilant des bas blancs parcourus de lacets argentés tournant autour des longues et fines jambes de la jeune fille qui furent vite maintenus par un porte-jarretelle blanc. La servante ne se privait pas d’effleurer à chaque occasion le corps de la lycéenne, celle-ci ne sachant si c’était intentionnel ou simplement qu’elle n’avait plus de réelle notion de la pudeur, entre les mains de la vampire depuis vraisemblablement plus de temps qu’elle, dans tous les cas elle la mettait assez peu à l’aise, celle-ci se crispant mais la laissant libre de continuer ses caresses « fortuites » alors qu’elle l’habillait. Elle l’aida alors à enfiler de longs gants blancs satinés, montant jusqu’au delà de ses coudes et collant parfaitement à sa peau, laissant son toucher presque intact, sans doute pas par hasard. Prenant la plus grande pièce de la tenue promise à Asami, celle-ci put entendre une fermeture éclair derrière elle, puis on lui enfila ce qu’elle pensait être une robe blanche finement travaillée. Lorsqu’elle fut en place, la servante refermant la fermeture dans son dos, elle put cependant constater qu’elle n’était pas tout à fait banale : Elle avait l’air d’une robe de mariée, soulignant sa poitrine et épousant parfaitement ses formes, les ornant de magnifiques dentelles dénuée de bretelles, mais la jupe était relativement courte et fendue à l’avant, arrivant jusqu’aux genoux mais les laissant largement visibles, entre autres, à quiconque faisait face à la jeune fille. La lycéenne eut un moment peur qu’on la laissa ainsi dévêtue, puisqu’à ce moment son intimité était exposée presque aussi bien que si elle était nue, mais on lui enfila ensuite un tanga lui-aussi blanc, légèrement transparent et fait de dentelle, qui cachait à peine son intimité et dont le moindre fil était nécessaire, rien si ce n’est son intimité et une faible partie de son fessier étant caché, puis la servante le releva pour que l’armature se cache dans le bustier de la robe, donnant l’illusion que ce n’était qu’un seul vêtement, harmonisant la silhouette, mais, sans doute pour des raisons pratiques, permettant de les séparer. Finalement, Asami sentit un simulacre de voile - Bien incapable de voiler son visage et très court, au plus symbolique - se poser sur ses cheveux et, touche bien plus distinctive de sa Maîtresse, un épais collier de satin orné de dentelle se resserrer sur son cou, une chaînette longue d’environ un mètre y étant attaché : Le lien ne saurait sans doute pas tenir face à beaucoup de force, mais la résistance de l’esclave était sans doute à ce moment négligée, son obéissance garantie. Pour poser la dernière touche à cette tenue, la servante déposa une rose - dépourvue d'épine, au moins - dans son décolleté, émergeant du tissu blanc en une magnifique fleur rouge sang au niveau de son coeur.

Le tout lui donnait une réelle allure de mariée, bien que lointaine de la tradition et teintée d’érotisme, mais ce déguisement étrange ne servant sans doute que l’idée que la vampire lui volait alors sa virginité. L’autre servante la contempla un moment, s’assurant sans doute par ailleurs qu’elle avait dûment accompli sa tâche sans quoi elle serait sûrement punie, puis quitta assez précipitamment la pièce, laissant dans ses derniers pas filer dans sa main la chaîne reliée au cou de la jeune fille. Asami était alors seule dans la chambre, habillée d’une façon qui, elle devait le reconnaître, était bien travaillée et saillante, bien que définitivement vouée à servir le plaisir de sa Maîtresse. Elle s’assit un moment sur le lit, ses pieds effleurant le sol alors qu’elle les balançait légèrement d’angoisse, mais elle réalisa vite que si elle voulait être une « bonne esclave », elle ne pouvait se contenter d’attendre ainsi, et remonta vite sur le lit, repliant ses jambes sous elle, posant ses fesses sur ses talons en prenant garde que la jupe de la robe se déplie bien de toute sa longueur autour d’elle, exposant par ailleurs son intimité à peine cachée par le tanga blanc, et eut la délicate attention de poser ses mains gantées au creux de ses cuisses, pressant sa poitrine pour la souligner, en même temps qu’elle avait rejeté sa « laisse » devant elle pour que la vampire puisse vite la trouver. Il y avait certainement une forme de talent dans cette mise en scène, sa peau blanche immaculée se confondant avec ses vêtements finement travaillés et ses cheveux tombant comme une cascade sur ces beaux atours, mais la vérité était qu’Asami était à ce moment bien angoissée, et que son visage n'offrirait à quiconque pénétrerait dans la chambre qu'un sourire beau bien que gêné et un regard soumis et suppliant.


22
Dortoirs et douches / Re : Démarchage [ PV Cassidy ]
« le: vendredi 15 février 2013, 17:51:48 »
Asami gémissait doucement alors qu’elle entamait de lents va-et-vient sur le membre de Cassidy, savourant ses caresses qui l’emplissaient de sa chaleur et de désir pour elle. Elle se retenait jusque là de gémir trop fort, péniblement elle devait avouer, et elle accueillit comme une libération la déclaration de sa partenaire, se laissant aller à des cris de plaisir plus forts bien qu’encore légèrement étouffés, n’osant tout de même pas sonner de toute sa voix. Son visage entier exprimait le plaisir qu’elle prenait malgré la dureté de cet acte, d’autant qu’elle l’avait commencé sans beaucoup de préparation, ses yeux émeraude à peine ouvert et tentant d’apercevoir sa camarade, ses lèvres s’écartant doucement au grés de ses gémissements . Son corps n’était pas en reste et s’extasiait sous le regard de Cassidy, sa peau brûlant sous les mains de celle-ci, son cœur battant sous le sein qu’elle massait, et son intimité mouillant sous ses yeux et ses caresses alors que, plus tactilement, l’orifice qu’elle pénétrait se resserrait périodiquement autour de son membre.

Lorsqu’elle fut ancrée dans le rythme qu’elle imposait à sa camarade en même temps qu’à elle-même, n’en ressentant plus beaucoup de douleur, elle se mit à vraiment apprécier ce qu’elles faisaient, se délectant du plaisir qu’elle prenait et sous son effet, posa une main presque par réflexe sur la poitrine de Cassidy, ses doigts se crispant faiblement dessus et la massant, l’autre couvrant celle de l’hermaphrodite sur son propre sein, l’y pressant. Elle gémissait d’autant plus fort que les caresses de l’hermaphrodite semblaient se faire plus insistantes, ses tétons comme son clitoris se dressant sous ses doigts et son intimité exposant, mouillé, ses palpitations à la vue de la jeune fille.

23
Asami avait en main le membre de son « agresseur », le caressant lentement alors que celui-ci s’évertuait à la faire mourir d’envie, stimulant chaque partie de son corps avec un talent et une perversion s’égalant dans l’excès. Elle gémissait fortement, ses lèvres libres se languissant déjà de la langue de son partenaire et s’occupant à lui crier le plaisir qu’elle tirait de ses caresses, alors que son corps entier le lui hurlait aussi à sa façon, réagissant délicieusement à chacun de ses plus petits effleurements, ses plus petits tressaillements. Assez évidemment, sa main s’aventurant dans son pantalon ne fit que lui donner le signal qu’elle en voulait plus, bien qu’elle ne pouvait le nier, et, chaque action entraînant sa réaction, il ne fit que se jeter avec encore plus de voracité sur son corps : Il glissa un autre doigt dans son intimité tout en caressant son bouton de chair, abandonnant le simple titillement qu’il lui avait imposé jusqu’ici pour maintenant entrer dans le vif du sujet, alors que sa bouche gobait encore plus de son sein, suçant et léchant son téton avec entêtement. Il garda ce rythme de longs instants que la lycéenne passa à hurler son plaisir - Une chance que, malgré qu’elle ne le sache pas, personne d’autre n’habitait cet immeuble - tout en répondant malgré elle à ses caresses, son téton ne cessant de s’exposer plus hardiment à sa langue tout comme son clitoris faisait avec son doigt, et son intimité se resserrant périodiquement autour des doigts qu’il y avait inséré, faisant couler sur eux un flot de cyprine incontrôlable.
A l’issue de ce délicieux moment, il décida que ses caresses sur son membre invitaient définitivement à plus, et arrêta alors tout ce qu’il avait entrepris. Arrachant à Asami un long soupir de dépit et de plaisir mêlés, la rendant aussitôt nostalgique de cet instant si peu lointain où elle gémissait sous ses caresses et la laissant haletante, il retira ses doigts de son intimité et ses lèvres de son sein, y laissant cependant une marque rouge gorgée de sang, comme son empreinte marquant sa propriété. Cependant loin d’en avoir fini avec cette passade, il porta ses doigts couverts de la cyprine de la lycéenne à sa bouche, la dardant de son regard qui vit aussitôt ses joues s’empourprer alors que ses yeux semblaient presque trahir son plaisir de le voir ainsi boire le résultat de son désir pour lui.

Il lui intima alors de se tourner vers le mur devant elle, celle-ci s’exécutant sans la moindre résistance, se plaquant contre la paroi docilement, sentant les mains de l’homme la caresser, d’abord son ventre, mais retournant bien vite à sa poitrine, lui arrachant de faibles soupirs de plaisir, attendant sa « récompense » qu’elle sentit vite pointer entre ses fesses, le membre les caressant lentement alors qu’une main laissa apparaître son intimité en décalant la lingerie qui la recouvrait. Une fois prête à recevoir son « agresseur », Asami sentit son souffle arriver sur son cou, vite suivi de ses crocs mordillant son oreille, lui signalant l’imminence de sa surprise. Elle sentit alors le membre qu’elle tenait il y a quelques instants entrer en son intimité, la faisant gémir tout le long de cette pénétration, et lorsqu’elle eut en elle tout le sexe de l’homme, elle lâcha un soupire de plaisir qui se mêla à celui que lui poussait dans son oreille, la submergeant de son plaisir auquel elle ne pouvait que se joindre, les deux se superposant pour trahir ce qui se passait au plus profond de la jeune fille.

Mais il n’alla pas plus loin, d’ailleurs, il cessa simplement toute activité en elle, levant une de ses jambes pour faciliter des mouvements qu’il n’entama pas. Cependant, il ne cessait de jouer avec elle, sa main caressant toujours agréablement sa poitrine et ses lèvres dardant sa peau, la couvrant de doux baisers aux endroits les plus sensibles, suffisant à lui faire fermer les yeux de plaisir et à soupirer pour la même raison. Mais en ce qui concernait son intimité, la seule chose qu’elle pouvait apprécier étaient les soubresauts de son membre en elle, des mouvements involontaires qui suffisaient, dans cette position divinement agréable, à la faire brûler de désir et d’envie, à faire crier son corps de désespoir et à lui faire implorer plus, ne lui accordant rien, jouant avec ses nerfs.


« S’il vous plaî~t... Ha~n... Prenez moi... Faites ce que vous voulez de moi - ha~ - mais je vous en prie, ne me faites pas attendre comme ça... »

Elle était pitoyable ainsi, le suppliant pour quelques coups de hanche, qu’il se livre à la bestialité en lui avec elle, tout pour qu’elle ne brûle pas ainsi de désir, se consumant dans le vide, s’excitant sur son membre, sur l’attente qu’il bouge, qu’il satisfasse ses envies les plus basses : Elle se resserrait autour du pénis, le mouillait de son excitation et gémissant au moindre de ses soubresauts alors que les caresses de l’homme ne faisaient déjà que mettre ses nerfs à vif.

24
Asami subissait depuis un moment les caresses de son ravisseur, cédant peu à peu au désir qu’il faisait monter en elle avant d’ouvertement lui en demander plus, ce qui était sans doute d’une certaine façon malsain vue la situation, mais son corps le réclamait bien trop fort pour qu’elle puisse y résister. Dès sa déclaration, l’homme devint comme ne transe, étant sans doute déjà prêt à aller plus loin, n’attendant que sa demande pour ne pas trahir ses promesses, et malgré qu’il semblait profiter de l’effet pervers qu’il instillait en la jeune fille, il osa jouer avec ses nerfs, le tout, ajoutant à la moquerie, en délaissant son sein de sa langue. Il jouait avec elle, et en fait, malgré qu’elle l’avait presque supplié de mettre fin à cette attente et qu’il en avait sûrement d’une certaine manière envie, il prit soin de la provoquer en prolongeant ses caresses, lui accordant cependant un peu plus de conviction dans celles-ci. Premièrement, il se débarrassa de son soutien-gorge, celui-ci perturbant sûrement le toucher moelleux et doux des seins qu’il cachait, mais à la hâte, car il ne prit pas la peine de le dégrafer ou même le faire tomber de ses épaules : Il le souleva simplement, le strict minimum, dévoilant, ce qui était sans doute son seul objectif, la poitrine de la lycéenne. Et, peut-être ravivé par cette vue, il la massa alors comme jamais, lui faisant ressentir à la fois sa force et sa tendresse, pressant son sein de toute son habileté, laissant Asami apprécier toute l’étreinte qu’il avait sur elle et en même temps ne manquant de la combler comme si son seul désir était son plaisir.

La jeune fille ne put réprimer de faibles gémissements, prise sous le coup de cette sensation, les soufflant à l’oreille de son ravisseur comme une confession qu’elle aurait voulu taire, mais il ne la laissa pas continuer, répondant à ses « plaintes » ou simplement par envie, et l’embrassa. La lycéenne l’apprécia quelques secondes, sentant simplement la chaleur de son « amant » passer par ses douces lèvres, mais lorsqu’elle se crut délaissée par sa bouche, il revint à la charge, cette fois bien plus langoureusement et plus profondément, liant cette fois jusqu’à leurs langues. Les doigts d’Asami se crispèrent alors sur le coup de son ravisseur, le pressant plus contre elle, collant leurs lèvres encore plus les unes contre les autres, alors que sa langue embrassait avec joie sa semblable, valsant avec passion. Mais encore une fois, ça ne dura pas, leurs bouches se séparant arrachant cependant cette fois un gémissement légèrement déçu à la lycéenne, mais celle de l’homme reprit bien vite son corps comme centre d’attention pour son plus grand plaisir. Collant ses lèvres au sein de la jeune fille, il en prit dans sa bouche une partie, ses crocs l’entourant légèrement, faisant légèrement craindre Asami, mais il n’était à ce moment que le mélange exquis de force et de passion qu’elle appréciait, la rassurant bien vite, le doux contact de sa langue venant s’ajouter à ce rêve ne faisant que la presser de ne plus se soucier de quoi que ce soit d’autre que son plaisir.
Presque habituée, bien que jamais lassée, à la caresse de ses doigts sur son intimité, l’attention de la jeune fille y fut ramenée lorsque celles-ci se firent plus intensives : Glissant maintenant sa main dans la lingerie, forçant sa main à être presque plaquée contre elle, l’homme écarta ses lèvres pour glisser entre elles un de ses doigts, d’une manière délicieusement agréable. Asami en rougissait de plaisir, resserrant son étreinte autour du coup de son « amant » et dardant le haut de son visage de baisers entrecoupés de gémissements, alors que son corps entier se cabrait et vibrait sous les caresses de ses doigts, le tout rythmé par l’humeur de l’homme qui modifiait celles-ci sans prévenir, pour la plus délicieuse surprise de sa captive. Cependant, elle se rendit vite compte que toutes ces douces choses ne la servaient qu’elle, et voulut alors rendre à son doux ravisseur ses faveurs.

Elle posa une main sur son torse, se repérant grâce à cet appui, ses yeux fermés pour mieux apprécier ses caresses, mais aussi pour profiter de ce toucher agréable, la chaleur et la puissance de son corps brûlant sous les doigts de la jeune fille, et fit alors lentement glisser l’autre vers son entre-jambe, défaisant sa braguette d’un geste rapide puis, profitant alors du mou dans le pantalon de l’homme, glissa sans autre déshabillement ou mise en garde sa main autour de son membre, commençant lentement à le caresser. Ses baisers redoublaient d'ardeur alors que sa main sentait la chaleur du corps de son « amant » mieux que jamais, et de la même manière, son intimité se resserrait parfois autour du doigt de celui-ci tout en le mouillant abondamment de toute son excitation.

25
Asami était allongée sur son ventre, dans un relatif calme, se reposant en attendant que sa Maîtresse daigne venir caresser ses fesses de sa langue, y collectant le sang qu’elle lui avait arraché. Y repensant, la jeune fille, entre ses longs soupirs, son cœur pas encore totalement remis de la sodomie qu’elle avait enduré, avait en fait apprécié cela, malgré la douleur sur le moment, et l’idée que c’était à cause de cela que la vampire allait bientôt lécher ses plaies bien situées ne faisait que renforcer cette impression. Son corps se délestant de toute ses pulsions sexuelles et cessant de lui donner une impression de chaleur intense, la lycéenne commençait à reprendre conscience du monde qui l’entourait, sentant l’humidité de divers liquides - la semence de sa Maîtresse comprise, une partie encore au plus profond d’elle - mouiller son bas ventre et ses jambes, et le bruit du souffle tout aussi haletant que le sien de l’autre jeune femme - Haletant pas seulement de fatigue, non, mais d’un plaisir dans lequel elle s’était donnée à fond - descendait à ses oreilles, lui signalant qu’elle aussi avait apprécié ce moment, ce qui la fit sourire. Ce petit ornement de sa bouche, arquant légèrement ses lèvres, ne faisait que compléter l’état de bonheur qu’elle avait atteint, sa tête légère reposant sur ses avant-bras, ses cheveux tombant sur ceux-ci et sur son dos en une belle cascade bleutée, et son corps presque entier touchant le sol, ses fesses seules légèrement surélevées pour accueillir comme il se devait les lèvres de la vampire, ses seins se pressant faiblement contre le sol, les déformant un peu.

Les yeux fermés, Asami ne pouvant de toute façon pas poser son regard sur la vampire sans une gymnastique qu’elle n’avait l’envie d’effectuer dans ce moment si agréable, la jeune fille sentit la main de sa Maîtresse se poser sur une de ses fesses, tressaillant l’espace d’un instant et lâchant un soupire de plaisir et de contentement à ce doux contact. Ses doigts massèrent lentement sa fesse, évitant soigneusement les plaies et les filets de sang pour ne pas gâcher le nectar rouge, sonnant pour la lycéenne comme une récompense et un remerciement à la fois, ce qui, venant de la vampire, la comblait. Cette main dont le toucher était déjà bien agréable fut vite suivie de douces lèvres et d’une langue avide, les deux caressant le cul de la jeune fille en une danse qui reliait harmonieusement toutes les traces de griffes faiblement ensanglantées qui parcouraient ses fesses, Asami laissant docilement cette valse s’effectuer, en appréciant chaque mouvement, chaque petit effleurement, son sourire s’accentuant à chaque centimètre de peau parcouru. Alors que ce prélèvement se faisait plus appliqué, les seins de la Maîtresse caressaient vite les jambes de sa servante, ce doux contact suffisant à renforcer le plaisir de celle-ci, mais ce délicieux sentiment eut à peine le temps d’être consommé que les crocs de la vampires s’enfonçaient dans ses fesses.

Cette morsure était au départ vive et douloureuse, le corps de la lycéenne se crispant sur les crocs qui le pénétraient, ses dent mordant ses lèvres et ses doigts de pieds se refermant du peu d’ampleur dont ils bénéficiaient. Mais très vite, et c’était littéralement surnaturelle, ces deux petits trous dans sa peau dont devraient s’extirper toute vitalité la firent vite fondre de plaisir, le doux sentiment de son sang filant dans la bouche de sa Maîtresse la poussant presque à lui en offrir plus et les crocs acérés de celle-ci ne devenant que le pont divin entre leurs deux corps, et ses lèvres eurent vite fait de se séparer dans un faible gémissement de plaisir alors que ses doigts de pieds s’écartaient maintenant d’extase. Après un bref moment, sonnant comme un déchirement pour Asami, les canines s’extirpèrent de sa peau, mais vite la vampire posa délicatement une main sur son flanc, lui intimant de se retourner, n’inculquant dans ce mouvement même pas une once de force, sachant pertinemment que son esclave ne complètement avec plaisir et soumission.  La jeune fille se posa sur ses coudes, de façon à pouvoir finalement contempler sa Maîtresse, appréciant son beau corps nu et la magnifique vue qu’elle en avait, mais celle-ci rompit vite le croisement de leurs regards pour faire caresser à ses lèvres les cuisses de sa servante, se dirigeant lentement vers son intimité. Sachant avec un délice et une impatience sans fin où se dirigeait alors cette bouche, la lycéenne ferma les yeux pour mieux apprécier ces effleurements gracieux, le plaisir qu’elle en tirait culminant lorsque la langue de la jeune femme vint se loger en elle pour en goûter l’excitation.

Ce doux contact ne dura que quelques instants, mais l’atmosphère calme ne se prêtait de toute façon déjà plus à l’épilogue de ce genre de chose, restant ici seulement des caresses éphémères, aussi divines soient-elles, et Asami sentit vite la langue de sa Maîtresse doucement remonter son ventre, l’appréciant tout autant, et ne rouvrit les yeux qu’à l’approche de son visage, appréciant ses traits fins avant d’en embrasser ceux qu’elles jugeait les plus beaux, ses lèvres. L’enchevêtrement de leurs corps était à ce moment divin pour la lycéenne, qui sentait à la fois toute la chaleur, toute la douceur et toute la sensualité de la vampire doucement la caresser, et celle-ci la chevauchant, reposant légèrement sur elle, affirmait délicieusement sa position délectable et incontestable, en réalité qu’elle ne voulait contester, de « Maîtresse ». Leurs langues se mêlaient délicieusement, valsant ensemble, témoignant de l’ardeur qu’elles avaient l’une pour l’autre, la lycéenne gémissant fréquemment, ces bruits à peine étouffés par leur embrassade, sentant la vampire aussi bien en elle par le divin contact de ses lèvres et de sa langue que ses caresses, sa main tirant faiblement ses cheveux pour lui rappeler la relation asymétrique qui les unissait pour son plus grand plaisir.

Le baiser s’arrêtant finalement, car il le fallait malheureusement bien, après quelques délicieuses secondes, et Asami en fut bien déçue, elle ne trouva la force d’enfin se mouvoir, malgré que la vampire avait couvert sa nuque de ses douces lèvres, que lorsque celle-ci lui saisit les mains pour la relever, accompagnant alors avec bonheur le mouvement. Ses doigts se posèrent ensuite sur les joues de son esclave, la gratifiant ensuite d’un sourire qu’elle ne put que rendre avec délice avant que de ses lèvres, plus qu’offrir une belle déformation aux yeux de la jeune fille, ne lui ordonnent de la suivre chez elle. Obtempérant, la lycéenne ramassa ses quelques habits, les remettant presque à la gâte, ceux-ci pouvant paraître presque aux yeux de n’importe qui en désordre, mais ce n’était pas ce qu’elle cherchait, elle souhaitait juste suivre sa Maîtresse. Elle ne s’inquiéta même pas des « traces » qu’elles avaient laissé, les trouvant à ce moment tout à fait insignifiantes, et de toute façon n’y pouvant rien ni n’ayant quoi que ce soit à en craindre. Elle marcha alors dans les pas de la vampire, doucement, se laissant guider vers sa demeure et les promesses qui l’accompagnaient.


26
Les alentours de la ville / Re : Cours particulier [ PV Iinuki ]
« le: lundi 11 février 2013, 00:26:55 »
Lovée dans le cou de sa professeure, Asami s’en sentit vite malheureusement repoussée par Iinuki, mais, ce qui la rassura, elle ne voulait non pas mettre fin à leur câlin, mais au contraire plus s’exposer à son élève. La lycéenne s’était suspendue au dessus de la jeune femme, ses bras tendus de part et d’autre de son corps alors que son regard émeraude se fixait dans ses yeux, s’en délectant tendrement, et ses cheveux tombant en une longue cascade azurée qui touchait presque la poitrine de sa professeure. Elle eut alors tout le loisir de voir ses mains lentement défaire sa chemise, suivant assidument la course de ses doigts, entrecoupant cependant ces coups d’œil de regards vers son doux visage, ne résistant à son attraction et rougissant lorsqu’Hanazono faisait de même, croisant leurs regards. Une fois tous les boutons enlevés, ce qu’attendait avec impatience la jeune fille, Iinuki tira les pans de son chemisier, dévoilant sa poitrine cependant encore couverte de son soutien-gorge. Asami ne bougea pas, contemplant les formes qu’elle pouvait délicieusement deviner et ne souhaitant sous aucun prétexte la brusquer, lui laissant l’ultime décision de défaire sa lingerie par ailleurs admirable. Après très peu d’hésitation, la jeune femme s’en défit effectivement, laissant à la lycéenne le plaisir de contempler sa poitrine, sous tout rapport magnifique, alors qu’aussitôt ses mains se dirigèrent vers ses fesses, les caressant sous sa jupe et même sous sa culotte, la faisant lentement rougir et lui arrachant quelques soupirs de désir.

Ne souhaitant pas brusquer les choses, Asami se plia avec bonheur au baiser de sa professeure, joignant leurs lèvres dans une douce et langoureuse embrassade, la jeune fille fermant même ses yeux pour mieux apprécier ce contact chaud et fusionnel. Profitant de ce calme ô combien agréable, la lycéenne déplaça lentement ses mains vers sa propre poitrine, effleurant délicieusement au passage celle d’Iinuki, sentant ses tétons sur le dos de sa main, et commença à déboutonner sa chemise, lentement car elle ne la regardait pas, mais elle était tout sauf pressée par le toucher agréable de ses lèvres. Après quelques instants, les deux pans de sa chemise se séparèrent et elle demanda, rompant pendant quelques douloureux instants leur baiser, à la jeune femme de dégrafer son soutien-gorge, sa main déjà en place. Ceci fait, se relevant finalement à regret, n’ayant d’autre choix, au dessus de sa professeure, Asami fit lentement glisser sa chemise et son soutien-gorge le long de ses bras, lui offrant par ailleurs une vue agréable de ses seins dont les tétons étaient déjà dressés. Rougissant une fois qu’elle eut dévoilée sa poitrine à Hanazono, restant pendant un bref moment bêtement relevée sur celle-ci, la lycéenne se baissa à nouveau vers elle, leurs poitrines se caressant l’une l’autre, pour à nouveau l’embrasser.

Sa main glissant lentement sur son ventre, elle atteignit vite l’arrière de la tête de sa professeure, pressant ses lèvres contre les siennes, leur embrassade fougueuse faisant s’effleurer leurs seins pendant de longues et délicieuses secondes alors que son autre main remontait lentement les longues jambes de la jeune femme. Après un moment, la jeune fille sépara à regret leurs lèvres et leurs langues pour, une ultime fois, lui demander si elle souhaitait prolonger ce câlin, priant de tout son cœur que sa réponse serait positive, sa voix en devenant hésitante et ses joues s’empourprant, alors que la main qui effleurait sa cuisse avait atteint le haut de son pantalon, y agrippant avec hésitation l’extrémité, glissant deux doigts entre sa peau et le bord de son tanga, comme pour signifier ce qu’elle demandait.


« Est-ce que...Tu es-sûre que tu veux aller plus loin ? J’ai vraiment envie de toi Iinuki mais...Si tu ne veux pas, je comprendrai... »

27
Lorsqu'Asami sortit de la douche, honteuse, elle s'attendit pendant plusieurs secondes à des réprimandes, au moins, et peut-être pire si sa conduite avait modifié les intentions de son ravisseur, mais ce ne fut absolument pas le cas, au contraire. Il était torse nu, séduisant si seulement elle avait l'esprit à ça, et portait une serviette, sans doute l'une de celle qu'elle aurait du avoir après sa douche. Il l'approcha doucement, ne disant rien, et la jeune fille put le surprendre, alors qu'elle guettait sur son visage ses émotions, à lever les yeux au ciel à cause de ses excuses, comme si elle était cruelle envers lui que de croire que lui-même l'était. Alors il marchait lentement vers elle, ayant déjà dissipé tous ses doutes quant à ses intentions qui n'étaient alors que douceur, et, peu avant de l'atteindre, il déplia la serviette qu'il tenait et commença à la passer sur son corps, commençant par ses bras. Elle se sentait si petite dans ses mains fortes et chaudes, si fragile au milieu de sa puissance, et pourtant tout ce que lui apportait cette force était douceur et réconfort, c'était si agréable, et il l'avait déjà pardonnée, lui passant ce qui passait maintenant même à ses yeux pour un caprice, la traitant, en tout point, et comme il lui avait promis, comme une princesse. Il ne la brusquait pas, ses bras bougeant à peine alors qu'il la séchait, et il passa vite au reste de son corps, sa poitrine, ce qui ne la fit que rougir alors qu'auparavant elle l'avait repoussé pour ça, signe évident qu'elle lui faisait maintenant bien plus confiance, son ventre, puis ses longues jambes, ne se gênant par pour caresser son intimité, cependant sans autre visible intension que de la sécher avec attention. Enfin, il termina par sa chevelure, signe ultime que tout cela était bien maladroit, car il la laissa les cheveux ébouriffés et à peine séchés, la serviette étant déjà bien humide à ce moment, comme encore une bonne partie de son corps car il ne s'y prenait pas extrêmement bien, ou peut-être n'osait-il pas, mais cela ne la dérangeait pas, car le geste était si doux et attentionné qu'elle lui pardonnait avec une grande facilité ce petit défaut.

Quelques gouttes ruisselaient encore le long de sa peau douce ici et là, mais elle n'était plus trempée jusqu'aux eaux, et cette simple transition l'avait sans doute bien plus rapproché de son ravisseur que quoi que ce soit avant, aussi se mit-elle à lui sourire pour lui exprimer qu'elle aussi ne lui ferait pas de mal, enfin à son échelle, soit qu'elle ne trahirait pas ainsi sa confiance une autre fois. Mais assez vite, et elle ne sut s'expliquer cela, encore moins la façon brusque et irrationnelle dont ça arriva, elle se sentit vite oppressée par son corps puissant, pire, elle était apeurée de ses crocs qui ne faisaient que l'étonner il y a quelques secondes, et elle redoutait ses mains puissantes comme si elles ne feraient que la broyer à la première occasion. Tentant de reculer d'un pas peu assuré et incroyablement lent car elle osait à peine bouger, tremblante, Asami fut cependant vite arrêtée, ou plutôt s'arrêta-t-elle, lorsqu'une main lourde se posa sur sa poitrine. Elle ne put réprimer un léger cri de surprise et de terreur mêlées, et elle se figea aussitôt, comme si cette simple emprise sur son sein, cristallisant toute sa peur, ne lui laissait d'autre choix que de se soumettre, d'accepter tout ce qu'il ferait, et, malgré qu'elle restait incontrôlablement tremblante, elle n'osait plus bouger, si ce n'est pour plonger son regard émeraude légèrement mouillé de larmes dans celui de son agresseur. Mais elle n'osa rien faire, se contentant de sentir sa poitrine pressée sous la puissance de l'homme, fermement et pourtant douceur et chaleur, car au fond, ce n'étaient que des caresses pour lui, les joues de la jeune fille s'empourprant à vue d'œil. Puis, cessant de palper sa poitrine pour seulement en épouser la forme, la découvrir, ses pouces se placèrent vite sur ses tétons qu'il pouvait maintenant voir par transparence, et les effleurèrent d'abord, faisant frémir Asami, puis les massèrent, les harcelant doucement, comme si ce qu'il cherchait n'était pas à les apprécier, mais bien à ce que ceux-ci apprécient les caresses de ses doigts.

Oui, c'était sans doute ça, il ne profitait pas d'elle, il jouait avec, la taquinant, l'entraînant peu à peu dans son jeu, car même si elle était au départ apeurée et repoussée - Même si elle n'en connaissait pas la raison - par ce contact, elle se mit vite à l'apprécier d'une manière malsaine, ne pouvant s'en détacher de peur, mais en tirant un certain plaisir, une certaine excitation tant qu'il durait. D'ailleurs, une de ses mains se détacha lentement de sa poitrine, glissant sur ses côtes, puis ses hanches, les effleurant délicatement, la traitant toujours avec la même préciosité que tout à l'heure, puis alla se plaquer au creux de ses jambes, caressant son intimité, pas violemment, ne lui ôtant même pas sa culotte, mais titillant délicieusement son bouton de chair qui commençait déjà à, elle avait honte de le sentir et de se laisser aller à ce plaisir, pointer, tout comme ses tétons. Ayant déjà fermé les yeux, ne voulant l'affronter, ni lui ni l'excitation qu'elle ressentait, elle sentit vite le souffle de l'homme caresser son cou avant que ses lèvres ne s'y posent délicatement, l'emplissant d'une certaine sensualité qui vient compléter toute la douceur qu'il lui témoignait déjà, lui arrachant une longue expiration qui passerait presque pour un gémissement, ses lèvres. Il lui susurra alors, d'une voix qui se voulait rassurante et tendre, qu'il la désirait et ne voulait que son bonheur, ou plutôt son plaisir...
Ajouté à la situation actuelle, Asami fondit de désir, et se laissa aller à tout ce que lui faisait l'homme, en appréciant chaque caresse, sa chaleur sur sa peau, d'autant qu'elle ne ressentait plus de peur, celle-ci ayant disparu aussi vite qu'elle s'était instillée en elle. Ainsi, elle commençait à gémir aux caresses qui se faisaient plus insistantes, son « ravisseur » - Qu’elle n’oserait plus désigner comme tel - stimulant maintenant son intimité entière, et son souffle se déplaçant lentement de son cou où il était déjà incroyablement agréable, sensuel même, vers son sein où, ce qui la fit tressaillir d’étrangeté mais aussi de plaisir, sa langue, d’une longueur assez exceptionnelle, s’engouffra. Elle se faufila entre son corps et la fine lingerie qui le recouvrait, massant de façon erratique sa poitrine, la pressant et la dardant de son contact chaud et agréable, jusqu’à se fixer autour de son téton que l’homme devina très vite pointé, signe de son excitation, et sur lequel, pour jouer, il trouva drôle de s’attarder, son muscle rose l’entourant, se mouvant autour pour le titiller, le recouvrant de salive alors qu’à l’autre bout du corps de la jeune fille, son intimité elle aussi s’humidifiait, cette fois sous le coup de l’excitation d’Asami, qui trouvait cela décidément de plus en plus agréable. Après quelques instants passés ainsi à soupirer de plaisir, en appréciant chaque moment, l’otage ne put résister à l’homme dont les caresses la submergeaient, et, passant une main derrière sa tête, plaquant celle-ci contre elle, embrassa son front d’une façon presque incontrôlée, ses lèvres le couvrant de quelques baisers emplis de passion entrecoupés de gémissements qu’elle ne pouvait réprimer. Son partenaire s’amusant avec elle, dardant son corps de caresses irrésistibles et jouant avec son excitation, elle ne put vite plus se contenter de cela et plaqua sa tête contre son épaule dans un spasme que lui donnèrent les effleurements de ses doigts, en profitant pour lui susurrer à l’oreille ce qu’il souhaitait sans doute entendre avant de détourner ses lèvres vers sa joue, faute de pouvoir atteindre sa bouche grande ouverte et langue tirée - D’autant que son activité était pour le moins agréable.


« S’il vous plaît, ha~, arrêtez de jouer avec moi... ha~n, je n’en peux plus... Je suis à vous...Ha~ »

28
Salles de cours et bibliothèque / Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]
« le: dimanche 10 février 2013, 19:18:02 »
Asami adorait décidément sentir sa Maîtresse en elle, sa domination se faisant plus forte alors que la douleur s’amenuisait avec la durée croissante de cette sodomie. Sa position semblait faite pour qu’on profite d’elle, qu’on la prenne, car elle ne pouvait rien y faire, sa poitrine touchant le sol alors que son cul était aussi haut qu’elle pouvait le porter, ses mains servant au plus à ce qu’elle ne se fasse pas trop mal, sa tête reposant dessus. Quant à elle, plus que cela, elle était la représentation même du plaisir, son visage l’incarnant, rouge de plaisir et d’endurance, ses yeux à demi fermés sous le même coup, sa bouche entre-ouverte et sa langue en sortant légèrement alors que s’en extrayaient à chaque instant des gémissements qu’elle ne pouvait contenir. Ses jambes commençaient à peiner à la porter, faillant un peu plus à chaque minute de sodomie, alors que ruisselait sur elles la cyprine sortant de son sexe et qu’une flaque du liquide transparent, témoin de son excitation, se formait entre ses bas, seuls vêtements que la jeune fille portait encore, des gouttes y tombant sous les à-coups que subissait le corps.

Peut-être à cause de tout cela, ou simplement parce qu’elle en avait le caprice, l’acte durant depuis de longues minute, poussant à l’impatience, la vampire ne cessait d’accélérer la cadence, s’enfonçant avec toujours plus de force et de vitesse dans son esclave, et, parallèlement, giflait le cul qui lui était présenté autant que possible, remédiant peut-être au fait que la douleur de la sodomie s’estompait, pour le plus grand et paradoxal plaisir d’Asami. La lycéenne se délectait de toute la force qu’exprimait sur elle celle qui la pénétrait, adorant se complaire dans sa domination, dans sa soumission, et acceptant comme des présents chacun des actes les plus dépravés dont elle la gratifiait, ses gifles la faisant gémir non pas de douleur mais d’un plaisir coupable et honteux qu’elle ne pouvait cacher. Ces claques traversaient le corps de la jeune fille, rebondissant sur ses fesses puis le corps entier qui se cabrait sous cette impulsion, celle-ci n’osant s’opposer à sa Maîtresse et ne le souhaitant de toute façon pas : elle aimait sentir sa tête rebondir sur cet à-coup, ses cheveux ondulant faiblement sous la force de la vampire que celle-ci ne prenait même pas la peine de retenir, marquant son fessier de rougeurs qui laissaient à la lycéenne, même lorsque la main de sa pénétrante l’avait quittée, un souvenir pas si doux de son passage qu’elle pouvait savourer.

Au bout de longues minutes, la vampire se mit à haleter légèrement plus fortement, alors que les deux femmes subissaient le coup de la fatigue, le cul d’Asami s’étant abaissé au fil du temps, seulement maintenu en l’air par les coups de reins répétitifs de sa Maîtresse et ses mains qui lui rappelait qu’elle ne pouvait se laisser aller, et son visage se complaisait dans le plaisir, ses yeux fermés d’appréciation et ses lèvres mi-ouvertes d’où ne s’arrachaient que des gémissements de plaisir. Les pénétrations de la femme s’étaient mises à, au moins pour ces longues minutes, rythmer le corps entier de la jeune fille, celui-ci ondulant au grés des coups de reins, et la lycéenne ne vivait plus que par ceux-ci, ne sentant qu’eux, s’étant abandonnée aux sensations que sa Maîtresse lui donnait et reniant toutes les autres, son souffle haletant constituant sa seule musique. Et c’est ainsi qu’elle perçut d’une manière divine son cri de jouissance et son sperme giclant en elle, sa chaleur l’envahissant en quelques vagues successives, lui donnant un sentiment agréable de récompense qu’elle lui aurait accordé, mais pour autant, elle ne s’arrêta pas là. Les pénétrations reprirent, de plus belle même, et la semence se mit à sortir au fil des va-et-vient de l’orifice d’Asami, coulant le long de ses jambes et se mêlant à la flaque de sa propre excitation s’étalant sous elle. La Maîtresse se mit aussi à ne plus simplement laisser son membre glisser dans le cul de son esclave, mais le faisait complètement sortir à chaque fois, laissant l’orifice ouvert et exposé à sa vue pendant quelques instants, avant de brutalement retourner en elle, lui arrachant un cri de plaisir qui devait raisonner divinement à ses oreilles. La lycéenne, elle, se sentait comme réveillée par cela, ses yeux rouverts par la douleur ravivée des pénétrations lourdes et subites, et elle sentit, ce retour la satisfaisant presque, les réelles griffes de la vampire s’enfoncer dans ses fesses, cette fois y perçant complètement la peau et faisant perler son sang sur ses formes, les gouttes tremblant à chaque coup de la vampire, ceux-ci plus violents que jamais.

Entre le sentiment de domination de sa Maîtresse qui se faisait plus fort que jamais et ses pénétrations qui avaient redoublé de force, Asami approchait dangereusement se l’orgasme, et lorsque la vampire la rabaissa comme jamais et jouit pour une deuxième fois en elle, la souillant à nouveau de son sperme, elle fit de même. Ses jambes faillirent lâcher, tremblant légèrement malgré les ongles de la vampire plantées en elles, et elle se resserra autour du membre enfoncé au plus profond d’elle, alors que son sexe expulsa en quelques petites giclées un liquide translucide sur le sol et que ses lèvres laissaient sortir un cri de jouissance. Se sentant presque délivrée, ce qui ne fut pas si faux une fois le pénis de sa Maîtresse hors d’elle, lui arrachant un long soupir et laissant son cul encore écarté expulser le surplus de semence de son ventre. La lycéenne était alors dans un état assez pitoyable, du sperme longeant ses jambes, son corps entier presque effondré sur le sol, rouge des claques et griffures de la vampire et recouvert de sueur après cet acte intense, son visage rendu l’incarnation même du plaisir, ses yeux à peine ouverts, la jeune fille préférant se concentrer sur les douces sensations que lui avait octroyé sa Maîtresse, et ses lèvres presque souriantes lâchant de longs souffles raisonnant encore de désir.

Ne cessant de vouloir profiter d’Asami, ce qui au fond ne la dérangeait pas tout à fait, la vampire posa son pied sur ses fesses, n’ayant besoin que d’une légère pression pour la faire tomber au sol, ses jambes s’effondrant et s’écartant à peine son ordre intimé, et, n’ayant pas fini de jouer avec elle, lui ordonna de se mettre en position pour qu’elle puisse récolter les quelques filets de sang perlant sur ses fesses, ne voulant sans doute pas gâcher le liquide rouge, sûrement précieux pour elle. La jeune fille heurta le sol assez lourdement, presque incapable de s’opposer à ce mouvement tant le bas de son corps était endolori et fatigué, et lorsqu’elle le fit, quelques gouttes de sperme giclèrent de son cul, rejoignant la flaque de divers liquides, fruit des excitations et orgasmes, dans laquelle baignait désormais Asami. Après quelques instants de repos que lui avait gracieusement accordé sa Maîtresse, elle joignit lentement ses jambes de manière à ce que ses fesses soient légèrement surélevées, présentées royalement à la vampire. Après tout cela, la lycéenne ne put s’empêcher d’ajouter, comme pour complimenter et remercier sa Maîtresse, du moins plus que ses gémissements de plaisir qui avaient déjà bien ce sens :


« Ha~... Merci Maîtresse... Faites de moi ce que vous voulez, c’est si agréable...Je suis ravie d’être votre esclave... »

Ces paroles dites, elle se détendit après ce moment intense, reposant les muscles de tout son corps, la douleur dans ses jambes d’évaporant, sa tête reposant sur ses bras croisés, les yeux fermés, soupirant lentement dans une sorte de calme d’extase.

29
Lorsque qu’il aborda sa plainte quant à son sort, il sembla l’avoir pris comme une insulte, bien qu’absolument pas mal, car il ne montrait toujours pas une once d’agressivité ou de colère, mais il voulut immédiatement clarifier les choses, la débarrasser de ses doutes, aussi prit-il même la liberté de s’arrêter un instant, risquant sans doute assez dans sa position de « fugitif », se mettant à genoux devant elle, pour ne pas lui parler depuis sa carrure imposante qui ne pouvait que l’impressionner, et posant ses mains chaudes sur ses épaules. Il ne parlait pas d’une façon préméditée, d’ailleurs assez maladroite, et de ce qu’il disait transpirait l’honnêteté, assez étrangement, et Asami fut tentée de le croire et céda bien vite à cette envie. Elle était bien entendu d’accord pour ne pas lutter, ne pas s’opposer à lui, ceci étant de toute façon stupide, aussi hocha-t-elle lentement la tête après sa longue tirade rassurante, l’agrémenta d’un petit « Oui...D’accord... ».

Il montrait tant de signes de sa volonté de la réconforter, peut-être un peu maladroitement cependant, il fallait l’avouer, qu’Asami le suivait maintenant presque d’elle-même, marchant exactement à ses côtés, serrant son bras contre lui, la tête légèrement posée sur son épaule, pour profiter de sa chaleur sur sa joue, se prétextait-elle. Elle pouvait voir, du coin de l’œil, sa tête régulièrement se tourner vers elle, retournant en vitesse à la surveillance de la rue qu’il scrutait avec attention, et, lorsqu’elle avait parlé, il avait lentement hoché la tête, ne la regardant pas plus, mais alerte à ses paroles. En même temps, il arrivait à la guider à travers cette partie de la ville qu’elle ne connaissait pas, raison pour laquelle elle suivait simplement les mouvements de son bras avec grande confiance, sentiment qu’il arrivait aussi bien avec talent qu’avec maladresse à instiller en elle grâce à ses paroles.

Elle se surprit même, lorsqu’elle se remémora ses paroles précédentes, n’y ayant sur le moment pas réellement réagi, étant alors dans un tout autre état, à presque sourire sur sa remarque quant à la drogue, et au fond elle aurait presque deviné qu’il en consommait, sans doute un préjugé quant à son apparence et au fait qu’il était après tout un meurtrier, mais il parlait avec un tel naturel et une certaine poésie - Exclusivement sur la natation, la drogue s’y prêtant très peu - que l’effet en était là : Elle se sentait rassurée, et serrait contre elle avec encore plus d’acharnement son bras, et son rire, communicatif, lui fit souffler ce qui aurait sans doute été un rire dans d’autres circonstances, ses lèvres s’arquant dans une sourire qu’elle tentait de lui cacher.

Asami ne se détachait pas de son agresseur, aillant de plus en plus froid et, parallèlement, plus confiance en ce meurtrier. Bien entendu, elle n’oubliait pas la scène de tout à l’heure qui lui donnait encore des frissons d’effroi chaque fois qu’elle lui revenait dans un horrible flash, mais elle était de plus en plus convaincue qu’il ne lui ferait pas de mal. En fait, plus que de ne pas lui faire de mal, il semblait s’occuper d’elle, se préoccuper de son état, car au fond ses questions ne servaient sans doute qu’à ça : Son seul intérêt était que la jeune fille ne révèle jamais son identité, pas tant qu’elle devienne son amie, enfin, c’était ainsi qu’elle résonnait. Du coup, elle se rassurait, avec le temps, et, malgré qu’elle ne lui accorde pas une confiance aveugle ni ne croit fondamentalement en son bon-vouloir - Il avait tout de même tué sous ses yeux - elle était prête à admettre qu’il ne se montrerait pas ne serait-ce qu’agressif ou mauvais avec elle.

Après de longues minutes, ils arrivèrent enfin en face d’un immeuble, mais Asami ne s’en rendit compte que c’était leur destination que lorsque le bras qu’elle tenait fermement s’arrêta brusquement devant celui-ci, le regardant alors : Il n’avait pas l’air d’un squat ou quelque chose du genre - Oui, encore une fois, ses préjugés faisaient surface, bien que d’un meurtrier, on aurait pu s’attendre à bien pire - et semblait en réalité plus que normal, l’homme résidant au quatrième étage ( Enfin, c’est là qu’il ouvrit une des portes, mais la jeune fille ne pouvait savoir la vérité ). Lorsqu’elle entra dans l’appartement, elle sentit immédiatement une douce chaleur l’envahir : Il fallait dire qu’elle était à ce moment presque frigorifiée, aillant parcouru bien plus de chemin que ce qu’elle aurait du faire pour simplement rentrer chez elle, et sa tenue relativement légère, surtout sa jupe, n’aidant absolument pas. Aillant lâché son bras, n’ayant plus de mobile apparent pour cela, elle se laissa tout de même guider par son preneur d’otage jusqu’au canapé, où elle s’assit, invitée, vite rejointe par l’homme.

Alors qu’elle n’osait faire un pas vers lui, restant simplement là, immobile, grelottant encore légèrement bien qu’elle se réchauffait lentement, lui le fit, enroulant doucement et sans geste brusque son écharpe, avant de poursuivre avec son manteau. Il lui proposa ensuite qu’elle aille se doucher, ce qu’elle ne pensa même pas à refuser, il fallait avouer qu’après tout ça, ce réconfort serait tout sauf désagréable, et elle ne pensait de toute façon aucunement à lui désobéir, et un déroulement de la soirée qui semblait assez sensé, et qu’elle accepta donc de la même façon, hochant simplement la tête pour signifier son accord d’un bloc, le gratifiant d’un faible
« Oui...Faisons ça... ».

Il se mit lui aussi à l’aise, retirant son bandana, ce qui dévoila sa bouche qui, maintenant, semblait presque normale, au plus de longues dents en dépassant, mais sa vue ne causant aucunement l’effet de sa dernière apparition qui était en fait le meurtre sanglant de tout à l’heure, et le sourire qui la déformait ne permit que de mieux rassurer Asami qui oublia alors la peur qu’elle avait de ses crocs. Cependant, à sa la surprise de la jeune fille, il continua de la déshabiller, ne s’arrêtant pas à son écharpe et son manteau qui eux ne se portaient pas à l’intérieur : Il défit sa chemise, puis sa jupe, et après ses collants. Elle s’était contentée jusqu’ici de rougir intensément, acceptant sous ce qu’elle pensait être la contrainte ce traitement, mais lorsqu’il ne lui restait plus que son soutien-gorge et sa culotte, les deux étant, par bonheur ou par malheur, assorties, d’une paire relativement affriolante, largement décorée de dentelle bleue claire. À cause de cela, ses seins étaient déjà presque entièrement découverts malgré la lingerie sensée les recouvrir, et Asami ne voulait pas qu’il la déshabille plus, pas comme ça, aussi saisit-elle les doigts de l’homme qui tentaient déjà de l’en défaire, effleurant sa peau, la brûlant presque tant elle était froide et ses mains chaudes.
Paniquant, elle se précipita vers la salle de bain qui était non loin, rouge de honte et abandonnant ses habits comme son agresseur, et s’y enferma immédiatement la porte franchie, s’y adossant ensuite. Elle avait sans doute été stupide de faire cela...Même si c’était clairement inapproprié, elle n’étais pas réellement en position de refuser, et maintenant il lui en voulait peut-être...N’osant l’affronter aussitôt, elle se dit qu’elle serait aussi bien de maintenant prendre la douche qu’il lui avait proposée, cela mettant un temps, même si il était bien court, entre ce moment et celui où elle saurait si elle avait mal agi ou pas...Elle ôta ces quelques vêtements, bien peu en fait, et alla dans la douche où elle resta de longues minutes sous l’eau chaude, qui lui paraissait en fait brûlante tant elle avait eu froid jusqu’ici. Elle s’en extirpa finalement, totalement trempée alors qu’elle avait apprécié pendant un bon moment sa douche, mais constata avec effroi qu’il n’y avait pas de serviette dans la salle de bain, et évidemment pas ses affaires.

N’ayant d’autre choix, elle enfila ses sous-vêtements qui se trempèrent aussitôt sur son corps, les rendant presque totalement transparent, et déverrouilla la porte pour apparaître devant l’homme. Elle était rouge, à la fois de honte et de chaleur, et l’eau ruisselait encore le long de ses fines jambes, de sa poitrines, de ses cheveux bleutés et de son visage harmonieux, en plus de sa poitrine et son ventre, et elle laissait même de nombreuses gouttes d’eau sur son passage. Sa culotte et son soutien-gorge étaient par ailleurs rendus quasi inutiles par l’eau, presque transparents, et elle s’en rendait bien compte, se présentant honteuse, saisissant d’une de ses mains le coude de l’eau bras et fuyant le regard de l’homme, ne sachant comme s’expliquer de ce qu’elle avait fait.


« Je...Je suis désolée pour tout à l’heure...Je ne voulais pas...Être impolie ou vous brusquer... »

30
Asami se contentait de suivre le meurtrier, n’osant le contrarier en quoi que ce soit, bien que même ainsi, elle traînait légèrement à le suivre : Il marchait vite, et la jeune fille elle n’était pas dans l’état de vraiment le faire, aussi se contentait-elle de garder un air naturel - Du moins, autant que possible avec une moitié de visage égratignée, celui-ci humide de ses larmes effacées, le tout après avoir vu un meurtre cannibale. Marchant quelque peu derrière lui, lorsqu’elle en était trop éloignée, trouvant la force d’accélérer pendant quelques instants, elle pouvait l’observer. Non pas qu’elle voulait pouvoir le reconnaître plus tard, non, elle ne pouvait pas décemment le faire dans cet état, et, actuellement, son seul objectif était de le contenter pour qu’il ne lui fasse rien, mais elle souhaitait simplement en savoir plus sur lui, peut-être comprendre quelque chose dans ce qui ressemblait à un cauchemar. Parvenant lentement à se calmer, réprimant à plusieurs reprises des crises de larmes et forçant ses jambes à les traîner à la suite de son agresseur, elle parvint finalement à penser clairement.

Il avait l’air typique d’un « gangster » de ces vieux films américains, une chemise sur un tee-shirt, un jean, un bandana, des gants de cuir...Au fond, ses crocs cachés, il pourrait presque passer pour un simple délinquant, au plus imposant par sa taille, mais rien ne laissait présager de ses capacités - sans parler de ses envies - tout sauf humaines. Pour autant, il était difficile de faire le lien entre la bête qu’Asami avait surprise en train de se nourrir sur un être humain après l’avoir odieusement assassiné et cette personne, car bien que son apparence n’était pas bien engageante, elle n’avait rien d’horrible, et, en ce qui concerne la lycéenne, ses actes étaient bien opposés à cette barbarie. Son contact était chaud et rassurant, d’autant plus dans cette nuit noire et froide, et elle se surprit même, le rattrapant peu à peu, à se blottir contre son bras, bien que c’était en partie un réflexe du au froid la gagnant, elle parvenait si peu à le diaboliser maintenant qu’elle marchait à ses côtés et n’y voyait presque pas de problème. Par ailleurs, il semblait en profonde réflexion, sans doute sur son cas, raison de plus pour ne pas faire de vague, et préoccupé, sans doute la jeune fille lui posant un cas de conscience, aussi étrange cela puisse sembler après le meurtre. Parfois, il se retournait brièvement vers elle, lui faisant stopper sa respiration, comme s’il évaluait alors sa vie, un tressaillement parcourant horriblement son dos à chacun de ces moments.

Elle grelottait, son souffle poussif et blanchissant à l’air, ses dents s’entrechoquant par moments, et, n’osant s’en plaindre, elle résolut le problème par elle même, se plaquant maintenant presque entièrement contre le bras de son agresseur, son autre main se plaçant au niveau de son coude pour le tirer à elle, le gant de cuir effleurant par moment le manteau noir d’Asami qui lui arrivait un peu au delà  de mi-cuisse. Sa chaleur la parcourait, la réconfortant et l’enivrant au milieu de toute cette neige, il avait d’ailleurs étrangement peu froid, comme si tout cela ne l’atteignait pas. Tout cela devenait si confus, elle ne savait plus si elle jouait la comédie ou si elle avait fait ça de son propre chef, si elle n’avait pas halluciné et qu’un étranger la raccompagnait chez elle...Mais au fond, son comportement n’en changerait pas tant il était passif.
 Au bout d’un moment, peut-être car il estimait la distance parcourue depuis la scène de crime suffisante, il ralentit, se calmant alors, finissant même par lui adresser la parole. Elle ne sut au départ quoi dire, son envie de discuter à ce moment au plus bas, mais elle n’osait aller à son encontre, aussi se força-t-elle, ne réfléchissant presque pas à ses réponses, pourvue qu’elles soient bonnes. Elle était honnête, mais au fond pas besoin de mentir, et se confier ainsi contribuait à la mettre en confiance, ce qu’elle ne souhaitait pas foncièrement, son interlocuteur la prenant après tout en otage, mais au moins elle parvenait à se calmer...


« Je...Je m’appelle Asami...Je vais au lycée de Seikusu, ici, et...Je fais de la natation...J’aime bien nager... »

Cela l’avait à nouveau fait stresser, craignant qu’elle ait pu commettre une erreur dans une si banale action que de répondre à cette si simple question, mais, acte d’une étrange douceur, il se mit à caresser sa main de son pouce ganté, ce qui la calma et réconforta avec une efficacité presque malsaine vue la situation. Globalement, il se blottissait aussi contre elle, bien qu’elle avait déjà amorcé cela bien avant, et elle s’en sentait d’autant plus en confiance. Peut-être pour ne pas briser cet élan, et ne surtout pas paraître agressive ou dangereuse pour lui, elle tenta de poursuivre. Elle hésita quant à quelle question poser, car elle ne devait pas sembler concernée par son identité, ce qui jusqu’ici lui avait causé d’énormes ennuis, et elle en profita finalement pour aussi en apprendre plus sur son sort, tentant aussi d’apaiser la situation, bien qu'elle se présentait bien plus favorable qu'il y a quelques minutes, d'une manière il fallait l'avouer assez pitoyable, mais quoi d'autre était-elle, actuellement...Elle se pencha faiblement en avant vers lui, tirant légèrement sur son bras pour s'attirer son attention, et, le fixant de ses yeux émeraudes, le supplia :

« Et...Où est-ce que vous m’emmenez.. ? .. Je vous en supplie, ne me faites pas de mal...S'il vous plaît... »

Pages: 1 [2] 3 4 ... 7