Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Anderson

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Tiens, un merci. Finalement, elle m'avait peut-être remarqué, même si c'était seulement par ma manière d'avoir joué les gros bras en empêchant un espèce de vieux pervers de la toucher. Ici, on ne touchait pas les filles.

- Derien, c'est mon boulot.


Je tirais une nouvelle taff sur ma clope, et recrachais la fumée sans faire attention. De ses lèvres à elle sortaient des petits ronds de fumée. De suite plus classe. J'eus un sourire en coin en me rendant compte que je me préoccupais plus de ses lèvres que des ronds de fumée. Logique. Mais, bref, passons. Elle continuait.

"- Tu ne sembles pas avoir de problème d'argent… Pourquoi travailles-tu ici? Et merci de t'inquiéter pour moi… Mais je suis une grande fille. Je serais me protéger en cas de besoin. Et contrairement à toi, tu vois, venir ici… Je n'ai pas le choix. Même si, cela me déplait."

Tiens. Elle avait également comprit que je n'avais aucun soucis d'argent. Donc, elle avait dû surement s'intéresser un peu plus à moi que ce que je le pensais au départ. Intéressant. Je tirais une nouvelle taff' avant de lui répondre.

- Non en effet, je n'ai aucun soucis d'argent, c'est même tout le contraire. Mais je suis là, à ne rien faire. Je suis au lycée de la ville, pour faire quelque chose de ma journée, et puis le soir je viens bosser là. On m'avait déconseillé ce quartier, mal-famé. Mais je ne suis pas le genre de personne que l'on va emmerder dans la rue, enfin tu as pu le constater.

On commence sérieusement à se les peler. Être fumeur est bien difficile en hiver. Avoir froid en plus de se cramer les poumons. Compliqué.

- Donc je suis là. Je n'ai même pas besoin de ce salaire. Je t'en laisserai volontiers une bonne partie si tu en as vraiment besoin. Certains soirs, en plus de vous faire agresser par des vieux cons, vos pourboires sont minables. Enfin bon. Oui, je comprends que ça te déplaise. Je vous regarde faire, depuis le bar, enfin quand je m'ennuies quoi..

Je rougis légèrement. Ca non plus, ça n'est pas dans mes habitudes. Mais, cette fille plus vieille que moi qui ne semble pas s'intéresser à moi, cela me bouscule dans mes habitudes. Et je viens de lui dire, en gros, que je les regardais de temps en temps se trémousser sensuellement en tanga et en tenus sexy.

- Il fait froid, et pas mal de clodos vont commencer à traîner, surement bourrés. Retournons à l'intérieur, y'a plus personne.

J'écrasais ma clope avec précipitation, alors qu'il en restait encore la moitié, et m'engouffrait par la porte pour arriver jusque derrière le bar, par là où elle allait me rejoindre.

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Je ne lui avais laissé aucune porte de sortie. Enfin si, bien sur, il pouvait. Il pouvait toujours sortir, aller voir le principal. Et ce serait sa parole contre la mienne. Et si je décidais de porter plainte pour harcèlement sexuel, voyeurisme et compagnie.. il allait prendre cher. Et il ne me paraissait pas avoir beaucoup de caractère, ou du moins il ne le montrait que peu. Alors, j'étais sur qu'il viendrait. Mais je n'avais pas prévu qu'il viendrait directement nu.

Il entra, tel une ombre, discrètement. Nu. Il n'avait pas un corps d'athlète, ça c'est sur. Il était totalement androgyne. Très excitant, pour sur. Il essayait, tant bien que mal et d'une manière hautement ridicule, de cacher une érection proéminente. Je le regardais de la tête au pied. Il n'était pas japonais, surement européen. Et son sexe devait au moins faire une quinzaine de centimètres. Pas mal du tout. Très loin du mien, mais ça n'avait guère d'importante. Son phallus était pâle, comme le reste de son corps, et cela contrastait totalement avec le mien, bien bronzé, à la limite du noir.

Il s'approcha et nous sorti une réplique dont je me demandais si elle était préparée à l'avance pour me faire rire.

- Et maintenant Ängelsson-san ? Très, très drôle..

Je me décollais du mur et me rapprochais de lui, marchant presque tel un félin. Il était ma proie, j'avais décidé que cette douche serait un lieu de plaisir cette nuit. Il était à moi. Je fermais la porte, totalement, et posais une main sur son torse. Deux doigts se refermèrent sur son téton, que je pinçais en douceur.

- Et..maintenant ?

Je le repoussais contre le mur et le collais contre les carreaux glacés. Il plaqua ses mains contre ce même mur, et découvrit donc la partie de son anatomie qui m'intéressait le plus. Enfin, la seconde, juste après ses fesses. Je me collais à lui et lui prit la main. Je la posais sur mes pectoraux, puis la lui fit descendre jusqu'à mon pénis.

- Maintenant, nous ne sommes que tous les deux..et vu la réaction dans votre pantalon.. vous en avez envie, peut-être inconsciemment mais vous en avez envie. Je vais vous faire découvrir le plaisir..

Je lui caressais le ventre et vint prendre son sexe dans une de mes puissantes mains. Mes doigts se refermèrent sur ce si doux phallus, et je commençais instantanément à le masturber en douceur. Je le toisais de toute ma hauteur, et c'est sans ménagement que je vins le coller au mur et entrer ma langue dans sa bouche. Il était ma proie, et j'allais en faire mon dîner du soir.

Je sentais son sexe gonfler entre mes mains. Sensation ô combien réjouissante. Ma langue dansait avec la sienne, et phallus, qui avait l'air de l'impressionner, se faisait caresser par les soins du surveillant. J'allais le décoincer, et de fort belle manière.

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La soirée avait été, comme je l'avais prévu en arrivant, très calme. Je ne sais pas ce que je préférais. Une soirée où le bar était plein, avec des gens à servir, des pervers à dégager et de l'action, ou bien une soirée comme celle-ci, sans personne, limite chiante à mourir. Personnellement, je n'avais pas à me plaindre au niveau des pourboires, je n'étais pas ici pour l'argent. Mais pour certains employés qui galéraient, une soirée comme celle-ci, avec peu de pourboire, était une soirée perdue. Il devait être une ou deux heures du matin, les quelques clients étaient partis. Les filles étaient parties en coulisses se changer. J'avais vu partir les deux premières, que j'avais surveillé jusqu'à leur voiture. On n'est jamais trop prudent, surtout ici. J'étais sorti fumer ma clope dans l'arrière cour. Une nuit douce, quelques flocons tombaient, mais il ne faisait pas trop froid. Pour un brésilien, peu habitué à ça, un peu quand même, et ma veste à capuche n'était pas de trop. Je me retournais quand j'entendais la porte de derrière s'ouvrir. La troisième danseuse, celle qui se démarquait des autres, sortait fumait.

Brune, plutôt petite. Enfin petite..non, même pas, mais avec ma taille, beaucoup de gens étaient petits. Elle faisait une taille normale pour une femme. Un visage magnifique, très mature. Et, pour l'avoir vu danser, évidemment, un corps de rêve. Une poitrine bombée et apparemment totalement naturelle, des fesses qui devaient même faire rêver les femmes, et ce petit piercing au nombril en bonus.

Ce coup-ci, elle était habillée, et devait sortir en griller une avant de rentrer. Adossé au mur, je tirais une taff sur ma clope, presque consumée.

- Iinuki, le mec de l'autre soir ne t'as pas fais chier ? Il n'est pas revenu un soir où je ne bossais pas ? Si c'est le cas, n'hésites pas, on s'en occupera.

Je me tournais vers elle, à quelques mètres de là. Je n'avais que peu d'idée pour engager la conversation, ce qui ne me ressemblait pas. Moi, un charmeur invétéré. Personne ne m'avait jamais résisté, j'étais habitué à une réussite sans faille. Mais cette fille, Iinuki, n'avait jamais semblé daigner m'adresser un seul regard. Je jetais mon mégot et sortait une nouvelle cigarette de mon paquet. J'avais le temps, le bar était vide, plus rien ne me pressait, j'avais les clefs pour fermer en partant.


- On vous surveille le soir, quand vous partez, au cas où. Pas mal de débiles traînent par ici, de nuit. J'espère que vous avez toutes vraiment besoin d'argent pour venir bosser ici, parce que ça a beau être l'endroit le moins mal famé.. ça l'est quand même. Vous devriez faire attention. Surtout toi. Tu danses à merveille.

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Le quartier de la Toussaint / "Tu danses à merveille." [Pv Iinuki Hanazono]
« le: vendredi 11 janvier 2013, 21:58:13 »
Le Quartier de la Toussaint. Quartier que tout jeune homme ou toute jeune femme de bonne famille évite comme la peste. Le quartier dit "mal-famé" de la ville. Mais moi, j'y travaille. J'ai un père richissime, qui vit au Brésil dans un luxe certain, une mère japonaise qui vit aisément un peu plus au nord du pays, et moi je suis là, à travailler dans un bar. Un bar qui n'est pas parmi les plus pitoyables du quartier, j'ai tenu à bosser dans un endroit où je ne risquerai pas d'attraper une maladie en me coupant sur un couteau rouillé. Non, ce bar-là, certains clients payent cher pour y entrer. Surtout pour l'activité principale de l'endroit. Nos filles. Plusieurs barres de lap-dance sont installées un peu de partout dans la salle. Moi, je suis un des deux barman. Je l'avais déjà été, une fois au Brésil, et je me démerdais pas mal du tout.

J'ai été embauché il y a quelques temps, peut-être trois semaines. Bien sur, j'ai regardé les filles danser, de loin, depuis mon bar. Elles sont bien évidemment très douées, et ce n'est pas déplaisant. Mais, des danses comme ça, je peux en avoir bien souvent chez moi, et pour pas un sous. Alors j'ai l'habitude.

Un client me sort de mes pensées.

- Un whisky glace s'il vous plait. Vous le rajouterez sur ma note.

- Bien monsieur.

Je lui sers son whisky glace machinalement. J'ai l'habitude. Je profite pour m'en servir un petit que je pose sous le comptoir. Je me replonge dans mes pensées. La soirée est calme. Quelques clients assis sur les canapés, regardent les filles danser. L'autre barman n'est pas là, mais si jamais il y avait une bagarre, je m'en sortirai très bien tout seul. Il faut dire que personne ici n'a envie d'embêter un homme dont la couleur de peau ne rappelle pas le Japon, avec une tête peu avenante. Un autre client.

- Bonsoir, un verre d'eau s'il vous plait.

Un verre d'eau ? Il se fout de moi ou quoi ? S'il voulait un verre d'eau, il n'avait qu'à aller dans un des restaurants chics du centre ville. Soirée de merde..

- Bien monsieur.

Je lui sers son verre d'eau et, bien entendu, ne le lui facture pas. Il retourne s'asseoir. Ce soir, trois filles danses. Deux sont jolies, mais sans plus. Une des trois semble plus vieille que moi. Une belle fille, ou bien une belle femme. J'ai 20 ans, je lui en donnerai entre 23 et 25. Elle danse particulièrement bien et ne laisse aucun client indifférent. L'autre soir, j'ai bien failli en tuer un qui approchait sa main un peu trop près de ses fesses. Ca arrive souvent. Mais, elle n'a jamais semblé réceptive à mes regards charmeurs, depuis le bar. Alors, je n'ai pas insisté. Je détourne le regard, me tourne au dessus du lavabo et commencer à nettoyer trois verres qui traînent. La soirée promet d'être longue.

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Les alentours de la ville / Re : Un Servant à votre merci ? (Pv Anderson)
« le: vendredi 11 janvier 2013, 21:27:42 »
Je suis sur cette plage depuis plusieurs heures déjà. Il y fait bon, mais il y a trop de monde pour moi. Beaucoup de voyeurs, de pervers qui n'attendent qu'une seule chose, voire une femme enlever le haut pour bronzer. S'il n'y avait pas des lois et des prisons, certaines femmes se seraient déjà faites violer ici.

L'eau est bonne, mais un peu trop fraîche pour moi. J'ai l'habitude des eaux chaudes du Brésil. Alors, évidemment, je fais un peu le frileux. Tant pis, je préfère m'asseoir sur la plage et profiter d'un peu de calme. Je n'ai pas besoin de bronzé, ma peau l'est déjà naturellement. Je ne pense pas rester longtemps, du monde arrive, encore et toujours, et me prend toujours un peu plus d'espace. Soudain, un peu d'agitation sur ma droite. Je vois toute une troupe de ces pervers, certains munis d'appareils photos, se tourner. Tous vers le même endroit. Très vite, je comprends la raison de cette excitation collective soudaine.

Une créature extraordinaire déambule sur la plage. Un déhanché extraordinaire, clairement là pour attirer un homme. Un maillot deux pièces, des seins venus d'un autre monde et..une espèce de bosse sous son bas de maillot..étrange. Un visage d'ange. Que dire de plus ? Elle est clairement magnifique. Beaucoup d'hommes la suivent. Si je voulais, je me lèverai, et elle viendrai à moi. Seuls les non-humains peuvent peut-être me battre au jeu de la séduction. Pas un humain.

Je la suis du regard en m'étendant sur le sable, puis me couche et ferme les yeux. Je crois pouvoir me reposer tranquillement, commence à me détendre..et reçois une grande salve de sable blanc. Je reste calme, ouvre les yeux et vois..deux chevilles, probablement féminines. Je commence à remonter les yeux, en suivant une paire de jambes plutôt extraordinaire. Non.. ce ne serait quand même pas elle ?


J'arrête mon regard. Je tourne la tête. Plus aucun de ces pervers avec leurs appareils photos, leurs petits pénis tout durs à l'idée de voir une femme nue, et leur caquètement incessant. Etrange. Une autre salve de sable.
Si c'est bien elle, toute magnifique qu'elle soit, elle risquerai de m'énerver.

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La situation était des plus étonnantes. Moi qui m'attendais simplement à pouvoir prendre ma douche tranquillement, voilà que ce surveillant venait me déranger. En théorie, ce pion était capable de me sanctionner pour ce que j'étais en train de faire. Prendre une douche dans le vestiaire réservée aux internes, de nuit. Dans ma vie, je n'avais que très peu souvent respecté les règles. J'avais pourtant toujours été dans des écoles "huppées" au Brésil, du fait de la grande fortune de mon père. Mais je m'étais permis certaines choses qui ne seraient peut-être pas passées..chez des fils aux pères moins aisés. Oui, j'en avais profité. Depuis mon arrivée ici, j'en profitais beaucoup moins. Mon compte en banque était toujours aussi bien garni, mais les japonais rigolaient moins avec le règlement. J'étais donc un élève plutôt calme, poli et respectueux. Alors oui, en théorie, il était capable de me créer de gros ennuis. Et bon nombres d'élèves auraient pu le penser. Mais pas moi.

Ce pion était apparemment d'une nature assez timide depuis son arrivée. Il n'était pas bien sévère, avait l'air un peu efféminé, et ne se faisait que peu respecter par certaines élèves qui jouaient les rebelles. Mais là, sa situation était bien pire. Il était en train de m'espionner pendant  que je me douchais, quitte et plus pendant que je m'accordais une petite séance de..bien être personnel. Il m'espionnait..et apparemment, ce qu'il avait vu lui avait plu, puisque son pantalon était encore ouvert, et une petite bosse pointait le bout de son nez sous son boxer gris. Très, très mignon. Je le reluquais de la tête aux pieds. Pas mal. Je m'arrêtais sur son boxer avec un sourire amusé, qu'il dû voir puisqu'il rougit instantanément. Bon, il n'avait pas l'air aussi bien monté que moi, mais ça avait quand même l'air très intéressant. Mon sexe eut un soubresaut et se redressa. Je remontais mes yeux jusqu'à son visage et le vit remonter les yeux. Tiens tiens, lui aussi se rinçais seul. A la moindre différence que j'étais complètement nu devant lui. Il pouvait donc observer ce qu'il n'avait pas dû voir chez beaucoup de japonais. J'avais été fortement gâté par la nature, et, au vu des réactions de cet Ängelsson, ça lui plaisait.


Il tenta de me réprimander. C'en était presque mignon tellement il était perdu, et il fini sa phrase presque en chuchotant. Il tentait vainement de reprendre ses esprits, mais mon pénis l'empêchait apparemment de se concentrer.
Je me passais une main sur le corps, en terminant par toucher ce qui devenait apparemment l'objet d'un désir inconnu pour lui. J'affichais une moue moqueuse en le regardant du haut de mon mètre quatre vingt-dix. Il reprit la parole, cette fois plus posément. Il semblait avoir comprit qu'il se trouvait dans une impasse. Le genre de situation où il est impossible de s'en sortir sans dégâts : il faut seulement savoir les limiter. Je ne l'écoutais que peu, mais sa dernière phrase m'interpella. Je ne sais même pas si, tout innocent qu'il était, il avait saisit l'ampleur et la portée que pouvait avoir ces mots. Amusant.


- Ängelsson-san.. Tout ce que je veux ? C'est bien les mots qui me sont parvenus aux oreilles ?


Le pauvre. Il n'était pas tombé sur le bon élève. Certains n'auraient même pas prit conscience du boulevard qui s'offrait à eux. Certains se seraient fait avoir, aurait tout fait pour qu'il ne les dénonce pas, et seraient parti sans demander leur reste. Mais il se trouve qu'il se masturbait en me regardant prendre une douche. Et, si je pouvais être sanctionné pour cette douche interdite, lui pouvait être démis de ses fonctions, et bien pire si je décidais d'informer les autorités de ce voyeurisme. Comment ne pas profiter alors du bâton, que dis-je, de la perche qu'il me tendait ? Je me rapprochais de lui, et, alors qu'il se reculait instantanément, il se retrouva contre le mur. Je ne m'approchais pas plus.

- Ängelsson-san.. Vous me dérangez pendant ma douche, alors que manifestement vous auriez aimé la prendre avec moi ? Au lieu de ça, vous jouez le petit voyeur en vous tripotant en solitaire derrière une porte.. Dites, ôtez moi un doute, ce n'est pas interdit pour tout salarié du lycée ça ? Se masturber devant un élève ? Il va vraiment me falloir une bonne raison pour ne pas vous dénoncer..

Cette intimidation avait l'air de fonctionner à merveille. En face de moi, sa peau changeait de couleur, passant du blanc au blanc pâle, puis au rouge, et je cru même apercevoir un espèce de bleu clair. Je me rapprochais alors, mon phallus touchait presque son ventre.

- Ängelsson-san, vous m'avez l'air tout..tendu.

J'avais, au moment même où le mot tendu était sorti de ma bouche, attrapé son sexe de ma main droite, par dessus son boxer. Je le malaxais quelques secondes. Bon, il était de taille forte acceptable. Parfait pour jouer. Je le relâchais, tournais les talons et lui offrais maintenant une vue dégagée sur mes fesses. Je retournais vers la douche, ouvrait le porte, entrait dans la pièce et la refermait. Il savait exactement ce qu'il avait à faire. Il était coincé, sans issu de secours. S'il sortait de ce vestiaire, il perdrait son poste.
J'allais au fond de la douche, me plaçais en face de la porte, le dos appuyé au mur. J'avais attrapé le poisson dans mes filets, il suffisait donc maintenant de remonter la corde.

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(Je rajouterai que je suis prêt à commencer un RP dès ce soir ou demain, ou bien dès maintenant ou même plus tard, à votre convenance. Je vous attend, n'ayez donc pas peur  ;D )

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Pour tout vous avouer, la douche de chez moi était apparemment en panne. Pas moyen de faire sortir ne serait-ce qu'une goutte d'eau. Assez embêtant. J'aurai pu, en effet, me doucher sur mon lieu de travail. Oui, j'avais trouvé un petit taff, dans un restaurant de la ville. Serveur. Pas trop mal payé. Mais la douche était absolument miteuse. Et je n'avais guère envie de me doucher entre poussières et araignées. Alors, j'avais opté pour les douches du lycée. Interdites aux élèves non-internes. Donc, interdites pour moi. Mais je devais bien me doucher. Je n'avais donc rien trouver de mieux que d'y aller à la tombée de la nuit, quand elles étaient même interdites aux internes. Je ne pouvais pas m'y rendre avant.

J'avais donc attendu dans un couloir la fermeture du lycée. La nuit tombait, plus personne n'était passé là depuis près d'une heure. Avec mon mètre quatre vingt-dix, j'étais difficile à cacher, mais j'avais réussi à me mettre dans un coin et à passer inaperçu des différents "pions" qui rôdaient par-là.
Toutes les portes du bâtiments étaient fermées.. toutes sauf une. Une petit porte, une issue de secours au fond d'un couloir que personne n'empruntait jamais, au fin fond du bâtiment. Elle donnait sur une arrière-cour au fond de.. la cour, et permettait d'accéder aux douches en quelques secondes, puisque celles-ci se trouvaient à une trentaine de mètres. J'avais ouvert la porte sans bruit, en vérifiant, de mes yeux verts, que personne ne passait. Puis, j'avais traversé les quelques mètres qui me séparaient des vestiaires sans un bruit. J'y étais enfin.

Arrivé dans les vestiaires, je vérifiais qu'aucune fenêtre ne donnait sur l'extérieur avant d'allumer la lumière. Simplement une petit lucarne, mais personne ne verrait de lumière par là.. Je m'asseyais sur un banc et me déshabillait en vitesse, posais la main à côté de moi pour tenter d'apprêter ma serv.. ma serviette.

*Merde.. j'ai dû l'oublier dans le couloir. Celui qui va tomber sur une serviette demain ne va pas comprendre*

Bon. Je devais donc faire sans serviette. Je posais mes habits en vrac sur le banc, laissant tomber mon boxer par terre, et pénétrait dans les douches. Je prenais la première venue, plutôt spacieuse, et laissait la porte légèrement entre-ouverte. L'eau commençait à couler, d'abord tiède, puis d'une chaleur réconfortante. Une sensation de bien être s'emparait de moi. Rien de mieux qu'une bonne douche. Ma longue crête, trempée, retombait sur un côté de ma tête, tel un coq mouillé par la pluie. Bon, un coq brésilien plutôt bien monté, mais un coq quand même.

Je dois vous avouer que je ne sais pas comment c'est arrivé. Etait-ce cette terrible sensation de bien-être, ou alors la privation sexuelle contre laquelle je devais faire face depuis au moins..5 jours -Bon d'accord, on a connu pire comme disette-, je n'en avais aucune idée. Mais je me retrouvais, la main autour de mon imposant pénis, en train de satisfaire une envie des plus primaires. Les yeux fermés, une main appuyée sur le mur, je me servais de ma main pour rendre cette douche encore meilleure. Dommage, j'aurai bien joué avec quelqu'un, mais il n'y avait personne. Du moins je le pensais, jusqu'à ce qu'un grand bruit me tire de mon plaisir solitaire. J'ouvrais les yeux, lâchais mon sexe tendu, et me retournais vers la porte, sexe dressé. Elle était légèrement entre-ouverte, comme je l'avais laissé en entrant. Mais derrière se trouvait, à genou, un homme qui, dans un état second, avait..la main dans le pantalon. Il semblait reprendre ses esprits. Lorsqu'il releva la tête, je m'aperçu qu'il était un des pions que j'avais tenté d'éviter durant tout le temps où je m'étais caché dans les couloirs.

La situation était très, très amusante. Moi, de toute ma hauteur, sexe dressé par plusieurs minutes de masturbation intensive, face à un pion, à quelques centimètres, à genou.. Amusant. Et..pourquoi pas ?

- Angëlsson-san.. Vous vous êtes perdus ?

Je le regardais, d'un de ces regards aguicheurs qui font succomber pas mal de femmes..et d'hommes. Je me rapprochais d'un pas, mon sexe se trouvant seulement à quelques centimètres de sa tête.

- Je peux vous aider Angëlsson-San.. ?

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Mesdames, mesdemoiselles & messieurs, bonjour.


Il y a de ça 5 mois, je commençais à être un membre plutôt actif de ce forum quand, pour divers problèmes personnels que je garderai secrets (tout va mieux à l'heure actuelle), j'ai dû arrêter toute activité sur le forum, sans prévenir les diverses personnes avec qui j'avais un rp en cours : Je m'en excuse. Maintenant, une nouvelle année commence, et j'en profite donc pour faire un Come-back sur le site.

Pour rappel, Anderson est un jeune homme d'une vingtaine d'années, humain, grand, musclé, brun, originaire du Brésil.


Je recherche si possible une femme (si la proposition vient d'un homme, je peux y réfléchir) pour participer à mon come-back, avec surement un RP Hentai.

Je peux accepter maximum 3 RP, ne vous en faites pas, j'aurai largement le temps pour participer aux trois. Je vous garanti de pouvoir répondre au moins une fois tous les deux jours, je pense même que je dois pouvoir répondre tous les jours.
 De bon niveau RP, je peux vous proposer un nombre de ligne fort satisfaisant et une qualité d'écriture qui vous conviendra surement, sans fautes d'orthographe et de syntaxe ou presque. Pour plus de détails, discutons en par MP ou même ici !

En espérant, mesdames, mesdemoiselles et messieurs, que ma rapide explication et ma demande vous intéresseront.

Bonne journée à vous, et à très bientôt je l'espère  ;)

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Le quartier de la Toussaint / Re : Une nuit de folie [Anderson]
« le: mercredi 29 août 2012, 19:48:40 »
Cette prostituée était une véritable perverse, à n'en pas douter. Et ce qu'elle me dit ne me laissa aucun doute sur ce qu'elle allait me faire.

"Oh oui... Et si j'ai envie que mon petit cul prenne cher... Le tient doit y passer avant !"

Je n'étais pas du tout contre le fait qu'on s'occupe un peu de mon..petit trou. J'avais eu de nombreuses expériences sexuelles, et cela en faisait partie. Je la vie lâcher mon pénis et le laisser là, recouvert de sa salive, et s'emparer d'un gode-ceinture de très bonne taille. Elle revint vers moi, s'en équipa. Elle avait désormais une queue au moins aussi grosse que la mienne. Ses mains vagabondèrent sur mon torse musclé, elle revint pincer mes tétons. Puis, elle me retourna sur le ventre. Je me retrouvais allongé, les mains attachées dans le dos. Elle se glissa contre moi, prit une poignée de mes cheveux et me les tira pour me tirer le visage.

"Je vais prendre ton petit cul avec ça ma belle... Je vais y mettre une jolie capote et c'est partit !"

- Déglingue moi ma belle..

Elle sorti une capote, apparemment au goût cerise, et l'enfila sur son gode. Elle attrapa mes hanches et pointa le bout du gode contre mon anus. Je savais que j'allais le sentir passer.
Elle tira sur ses bras, lentement, et le bout du jouet sexuel vint écarter les bords de mon petit trou. Puis, avec violence, elle enfonça en moi le gode, qui déchira les parois de mon anus et m'arracha un cri.

- HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN..Haaaan...han..

Elle commença les va-et-vient, m'arrachant à chaque fois un cri supplémentaire. J'écartais les jambes au maximum tandis qu'elle..tandis qu'elle m'enculait de plus en plus fort.
Mon sexe, plaqué contre le matelas, frottait contre les draps, et bientôt, j'éjaculais contre le drap, le trempant entièrement.

"Je t'avais dis... han... que ton petit cul... était à moi... ce soir... han..."

- Haaaaaaaaaaaaaaan..

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Le quartier de la Toussaint / Re : Une nuit de folie [Anderson]
« le: mercredi 29 août 2012, 17:04:09 »
Je léchais avec envie ce téton central qui pointait fièrement devant ma bouche. Ma langue le caressait sans ménagement, et je sentais l'excitation monter en moi, se manifestant par une érection qui montait en puissance de seconde en seconde. Marie me retira mon jean, puis mon boxer, et mes chaussettes, me laissant absolument nu comme un ver. Mon sexe se dressait fièrement, de toute sa belle longueur. Légèrement plus de 20 centimètres, ça ne passait que difficilement inaperçue, et la jeune prostitué avait bien vu qu'elle avait affaire à un client..bien monté. Elle empoigna ma queue et commença à me branler en léchant mon téton gauche. Ma tête bascula en arrière. Elle se débrouillait mieux que bien. Elle me demanda si j'aimais ça, mais je ne pris pas la peine de répondre, mon attitude lui montrant bien si j'aime ou pas. Elle tira sur mon téton, ce qui me fit frémir, et me fit asseoir sur le lit. Elle prit les menottes et m'attacha les mains dans le dos, d'une manière si sensuellement que je ne protestais pas le moins du monde.

Elle revint devant moi, revenant s'occuper de mes tétons. Elle les pinça, titra dessus. Je me mordis la lèvre en ne la quittant pas du regard.

"Tu es tout à moi ce soir mon mignon..."

Je n'avais pas vu arriver ce qu'elle allait faire. Elle fit glisser son petit string en dentelle noir, me révélant un vagin parfaitement rasé et humide..une "chatte" comme je les aime. Elle s'approcha de moi et me posa le sous-vêtement sur le visage. J'avais l'odeur de son intimité, et le string me rentrait dans la bouche. Je le suçais doucement, recueillant quelques gouttes d'un doux liquide. Elle le récupéra soudainement, et recula. Puis, elle me fit passer les jambes dans chaque trou du sous vêtement, et le remonta le long de mes jambes. J'étais habillé d'un string noir en dentelle, et mon membre, dressé à l'extrême, débordait par tous les côtés. Mes testicules, plutôt du genre imposantes, débordaient de partout, et mon sexe dressé sortait par le haut du string. Si j'avais été une fille, j'aurai été ravi de me faire prendre par un homme avec une si belle queue.

Marie se mit à genou et, sans plus attendre, se mit à lécher les bouts de mon membre qui sortait. Je vis une de ses mains se diriger entre ses jambes, et elle commença à se toucher.

- Haaaaaaan...J'espère que tu l'aimes mon gros membre..quand je serai détaché, tu vas prendre ma belle..

Je balançais la tête en arrière et gémit, sentant le plaisir monter, une goutte de sperm perlant au sommet de mon gland.

27
Je t'ai contacté en MP  ;D

28
Le coin du chalant / Re : "Il est bon mon RP ! Il est frais mon RP !"
« le: mercredi 29 août 2012, 11:45:00 »
Allez, un petit up..en espérant que ça attire au moins l'un ou l'une d'entre vous, merci d'avance  :)..

29
Archives / Re : Les tabou et envie des membres
« le: mardi 28 août 2012, 17:08:24 »
Tabou >

Je ne sais pas, je ne vois pas quelque chose dont j'ai du mal à parler ou qui m'excite moins qu'autre chose.. Après, si on parle de quelque chose qui me dégoûté totalement, dans ce cas là, la zoophilie !

Envie >

J'ai presque 20 ans..et j'aimerai le faire avec une femme assez mature, de 45-50 ans si possible. Pourquoi ? Je ne sais pas, une femme d'expérience de 45-50 ans, bien conservée, ça peut être pas mal du tout  ::)

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Le quartier de la Toussaint / Re : Une nuit de folie [Anderson]
« le: mardi 28 août 2012, 15:13:23 »
Sur le chemin de son appartement, elle salua une amie à elle, prostituée aussi, noire. Très à mon goût, mais ce serait pour un autre soir. Après quelques minutes de marche silencieuse, nous étions enfin parvenu à son appartement. Nous y pénétrèrent par l'échelle de secours extérieure, dans une ruelle sombre. Je grimpais rapidement derrière elle, et entrait par une fenêtre. Le lieu était sobre, à l'apparence lugubre, et assez..miteux. Si tous ses clients payaient 500 000 yens, il était étrange qu'elle reste dans un lieu comme celui-ci. Mais bon, je ne ferai pas le difficile aujourd'hui. Elle se dirigea vers une petite armoire et ouvrit un tiroir, d'où elle sorti des menottes et une corde. J'eus un sourire amusé. Elle revint vers moi, se colla à moi et, sans attendre, m'enleva mon t-shirt, révélant ma très intéressant musculature. Plus petite que moi, son visage était à hauteur de mon torse. Elle glissa sa tête contre et me fit frissonner en quelques secondes quand sa langue vint sucer un de mes tétons.

"Ca t'excite que je te touche comme je touche une minette ?... Tu veux le forfait où on fait tout alors... On feras plein de trucs pervers..."

Je n'eus pas le temps de répondre qu'elle retira sa veste. Elle était nue dessous. Jusque là, rien de bien spécial. Mais son anatomie, elle, l'était. Je du fermer les yeux et les rouvrir pour m'assurer que ce que je voyais n'étais pas un mirage. 3 magnifiques..seins. Pas 2, mais 3. De très bonnes tailles, et particulièrement alléchants. Décidément, Seikusu me réservait bien des surprises.

"Regarde... Tu aimes ce corps spécial ?..."

Je me laissais basculer en arrière et tombais sur le lit, assis.

- Tu es très, très intéressante.. Tu vaux bien tes 500 000 yens je crois mais.. allez, prouve le moi. J'espère que tu es en forme, j'ai payé pour toute la nuit.

Je l'attrapais par la taille, la fit bascula sur moi et, sans attendre, attrapais son téton central dans ma bouche, le mordillant avec envie.

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