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« le: samedi 03 juillet 2010, 00:15:27 »
Il l’observa en train de prendre son membre en bouche… Il avait a peine eut le temps de se remettre des flots aux allures incessantes qui s’étaient jetés sur lui peu après qu’il ait senti tous les muscles de la jeune femme se contracter comme sous l’effet d’une décharge électrique. Après l’état de transe dans lequel elle s’était retrouvée, elle était venue chercher le liquide comme si elle en adorait le goût, lui-même savait que son corps y était sensible et à vrai dire celui de sa partenaire le semblait aussi. Pas autant, mais il sentait sans peine le reflux de ses hormones qui suivait la jouissance, étrangement elle ne semblait en rien rassasiée ce qui dénotait quelque chose de peu naturel. Il savait que le corps aimait prendre du repos pour que l’esprit soit de nouveau apte à saisir les données qu’ils lui envoient, à la façon d’un homme qui a besoin de calme pour se remettre d’un combat – même s’il n’a pas été blessé. Serrant les dents, il tentait de comprendre l’origine de cette chose peut compréhensible à ses yeux, mais après tout il ne savait rien du sexe, il se fit donc la remarque de retenir l’information pour l’avenir.
Elle était tout contre lui, léchant cette boisson divine, il sentait sa langue sur sa peau et celle-ci semblait réagir. Il avait déjà connu des sensations différentes mais d’un même genre sous l’effet de plantes ou d’insectes. Sauf que sa peau qui dans les cas précédents s’était mise à repousser ses intrusions semblait ici accueillir avec joie une caresse humide. Son sang circulait plus vite, comme pour fragiliser son être et le rendre plus sensible. Son sens du toucher n’avait jamais été aussi développé et il savait qu’il aurait prit du plaisir s’il avait été comme les autres hommes. Elle lui léchait le sexe a présent, un peu à la manière d’un chat qui serait en train de faire sa propre toilette, ses mouvements engageaient sa tête et étaient fluides, félins pourrait-on dire… Puis soudain elle changea, assez brusquement, et il sentit le signe caractéristique de ce qui aurait été un frisson chez tout autre que lui. Ses nerfs ne fonctionnant pas exactement de la même manière, il ressentait simplement la chose sans la vivre réellement, il était parfaitement immobile alors qu’elle embouchait délicieusement son membre jusqu’à ce qu’il sente son extrémité en train de toucher le bout de sa bouche. Elle n’arriverait pas à le prendre en entier à moins de le faire passer dans sa gorge, ce qu’elle fit sans trop de mal, et puisqu’elle n’était sans doute pas pourvue du même don que lui pour la maîtrise du corps, se devait être le fait du travail. Une capacité acquise plutôt qu’innée. En ça elle avait sans doute du mérite aux yeux des autres hommes qui devaient mourir de plaisir en sentant le fer si sensible de leur lance de chair en train d’être enserré dans un canal si étroit. Alors il comprit, non, il ne prendrait pas tout le plaisir qu’on lui avait contait, tout ce qu’on lui avait dit sur les merveilles du sexe ne s’appliqueraient pas à lui. C’était ainsi, toute la douleur qui n’atteignait pas son esprit était égale à tout ce plaisir dont il n’aurait conscience que physiquement. Il sentait parfaitement les choses changer dans son sang, ses muscles et sa peau… Mais rien ne lui venait à l’esprit sinon le plaisir qu’il avait eu à lui en donner. Oui, il faisait ce qu’il voulait : donner du bonheur plutôt que du malheur.
Elle arrêta bientôt et il sentit que l’activité aurait sans doute ravi n’importe quel autre humain, mais il n’était pas exactement humain non plus… A vrai dire sans doute que ça aurait satisfait bien des mâles de toute espèce ! Il n’y pensa pas plus longtemps, allongée ainsi, ouvrant son sexe à leurs ébats, elle lui donnait envie de lui donner plus de plaisir encore. Il avait adoré son odeur et sa voix lorsqu’il l’avait entendu jouir un peu plus tôt. Il savait déjà à quel point il aimait faire atteindre le septième des cieux les femmes, les entendre hurler de bonheur. Oui, il voulait revivre ça, maintenant, avec elle, tout le temps, avec toutes ! Oui… Il obéit sans être soumis à elle, la prenant avec sa force et sa virilité tout en voulant son bonheur. C’était comme s’il la dominait pour son bien. Au dessus d’elle, il se plaça à genoux, cuisses écartées, les fesses du bel asiatique touchant ses talons alors qu’il se mettait en place. Il passa bientôt les jambes de la belle au-dessus des siennes, de part et d’autre de son torse, toujours allongée sur le dos. Il n’usa même pas de sa main pour guider son membre jusqu’en elle, mouvant son bassin avec souplesse pour glisser son gland sur ses lèvres. Doucement il laissa celui-ci tapoter son entrée, frappant légèrement sa perle de bonheur. Il voulait que ce soit lent, d’une part parce qu’à ses yeux il fallait un peu de temps à un corps pour se remettre du genre d’expérience qu’il l’avait vue vivre un peu plus tôt, d’autre part parce qu’il savait qu’elle lui en demanderait plus s’il la faisait un peu attendre. Ainsi durant deux bonnes minutes il laissa sa verge glisser entre les lèvres intimes de la belle sans la pénétrer, son gland frappant légèrement son clitoris par moment. Finalement après un instant il se hâta légèrement et mit le bout de hampe dans le chaud entrecuisse de la belle. Avec une lenteur incroyable, prenant cinq minutes entière pour accomplir le mouvement, il la pénétra une première fois. Son geste, déjà peu enthousiaste au début bien que sa queue soit dure comme le marbre – et nervée tout comme celui-ci, allait en ralentissant, plus ses hanches approchaient de celles de la belle, plus il allait lentement. Ses mains tenaient fermement l’aine de sa partenaire pour ne pas que celle-ci gâche le moment en s’avançant sous l’effet de l’impatience… Lorsqu’enfin il fut totalement en elle, il lança des vas et viens brutaux et incroyablement rapide, sans la moindre transition, son corps habitué à l’effort ne trouvant aucun mal à accomplir un si soudain changement de rythme.