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« le: samedi 26 juin 2010, 21:29:23 »
Le jeune homme observa un instant la jeune fille qui s'éloignait du groupe alors que ses camarades étaient en train de prendre la direction des vestiaires. Le jeune homme somme toute assez innocent en terme de sexe, n'avait jamais vu une seule femme "fourrée" de la sorte. Cependant sa science du corps humain, tant dans sa manipulation que dans sa destruction, lui apprenait sans peine à sa démarche et à la raideur de ses reins qu'elle n'était absolument pas "vide". Dans ses mouvements il décelait la tension des muscles initiées soit par le désir, soit par la présence d'un objet dans sa cavité anale. Son regard perplexe la suivit jusqu'àce qu'elle se soit installée dans l'herbe, lieu où elle soupira d'aise comme s'il s'agissait d'un bain chaud qui suivait une dure journée de labeur. Elle avait quelque chose d'extatique, comme si elle était sur minuterie, à tout moment capable de perdre contrôle de son corps. Il ne comprenait pas tout à fait pourquoi mais le fait qu'il n'arrive pas à déceler la cause d'une réaction physique suffisait à lui faire présager quelque chose : ça avait sans doute trait au sexe. Il était donc sorti de son état d'entraînement, un état qui ne lui demandait aucune concentration du fait de son extrême faculté à maîtriser son propre corps. Il avança tranquillement dans sa direction et s'agenouilla face à elle, ses muscles magnifiquement musclées, cachées par un pantalon assez ample, souplement repliées sous lui. Il posa ses mains juste au dessus de ses genoux, le dos droit et chercha le regard de l'inconnue. Celle-ci avait l'air plutôt belle pour tout dire, il ne doutait pas un instant qu'elle devait plaire aux hommes. Lui-même ne comprenait pas trop tout ceci, sans doute parce qu'il n'avait jamais connu le sexe. Il ne dit pas le moindre mot, laissant son instinct agir. A l'aide de son don il s'affaira à produire un maximum de testostérone, il sentait souvent son esprit réduit de la sorte, mais il avait remarquer que les femmes lui montraient tout de suite plus d'intérêt. La parole n'était pas sa science, tout au contraire du corps.