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Sujets - Rubis Starling

Pages: [1]
1
Vous nous quittez déjà ? / Kidnapping vacancier en vu !
« le: mardi 06 août 2024, 00:10:02 »
Coucou à tous ^o^ !

Ce petit message pour vous prévenir que je vais bientôt me faire kidnapper pour des vacances à partir de ce dimanche 11 jusqu’au… 29 août.

Et si je n’ai pas de chance (ce qui arrive malgré moi), je serais victime d’un autre kidnapping mais familiale cette fois, du 30 au 31 août (où je serais dans un endroit sur terre où internet ne semble pas vouloir faire un tour du côté de chez Swan /sbaff/).

Donc voilà, tout ça pour vous dire que je serais malheureusement moins active sur le fofo (rp et blabla) et Discord de par mon kidnapping éè.

J’essaierais de passer le matin ou le soir (ou les deux) si j’ai un moment de liberté par mon raviseur, histoire de faire un petit coucou tout de même par MP à mes partenaires chéris ^^ et aussi à tous les amours du Discord \o/ *jette des cookies et fait des câlins à qui veut*.

Vala vala, vous allez me manquer ;-;.

Des bisous à tous \o/ !

2
C’était une soirée après le travail, un vendredi soir de plus ou le samedi matin très tôt pour certains vu qu’on était 3h du matin passé. Rubis partait du bar où elle travaillait, ayant fini son service et proposer un coup de mains à ses collègues qui restaient pour finir le nettoyage mais qui avaient refuser en disant à la demoiselle de rentrer chez elle se reposer, surtout après ce qui s’était passé ce soir…

Des clients éméchés il n’y a que ça dans tous les bars, celui où travaille la demoiselle albinos ne fait pas exception bien entendu. Des clients lourds, des pervers et des connards aussi, c’était un peu les risques du métiers comme on dit, surtout pour les serveuses qui étaient souvent confronter à de drôles de numéros.

Ce soir la jeune femme y avait droit encore, évidemment, il y en avait encore qu’il l’avait enquiquiner mais un en particulier était vraiment aller un peu loin, l’attrapant par la taille en lui disant de ne pas faire sa sainte-nitouche vu son job. Le gars s’était fait remettre en place par un de ses collègues masculins qui avait dû utiliser un peu la force pour le foutre dehors comme il refusait d’entendre raison.

La demoiselle marcha doucement dans les rues, passant par des rues éclairées même si elles étaient peu animées par l’heure tardive, repensant à cette histoire. Mais elle fut sortit de ses songes en entendant une voix presque familière qui lui fit ouvrir de grands yeux.

« Comme on se retrouve petite sainte-nitouche… »

« … Mais c’est pas vrai… Qu’est-ce vous n’avez pas compris tout à l’heure ? »

« Que tu faisais peut-etre ta compliqué car tu étais au boulot ? »

La jeune femme leva les yeux au ciel avant de soupirer en secouant la tête en se retournant, pour retourner en arrière et prendre un autre chemin. Mais la jolie serveuse fut surprise en tombant sur deux gars derrière elle, clignant plusieurs fois des yeux en entendant l’autre abruti derrière rire, amusé par la situation.

« Alors ma jolie, on fait moins la maligne sans garde du corps ? »

Rubis pencha doucement la tête, se demandant bien c’était quoi ce traquenard et comment elle allait sortir de là… Un coup de genoux dans les parties ou tarte ça peut marcher sur un type, mais trois… Comment elle allait faire pour se dépatouiller de tout ça ?

3
C’était une fin de journée ordinaire, belle et ensoleillée pour l’été, une douce brise qui vient rafraîchir l’air dont la fraîcheur est renforcé par la végétation des arbres alentours.

Rubis, une jeune femme plutôt atypique pour le Japon, une étrangère de surcroît par son jolie minois avec des yeux d’un rouge écarlate et une chevelure d’un blanc neige éclatant : c’était une albinos. Elle se baladait dans le parc, comme chaque jour après son travail à la librairie, en route pour rentrer chez elle pour ensuite se préparer à son autre travail du soir au bar.

Mesurant le mètre 68, elle était un peu plus grande avec ses talons aiguilles la faisant mesurer dans le mètre 74 ainsi et elle avait un physique des plus avantageux avec sa taille fine et ses formes voluptueuses mais pas trop.

Elle était habillé d’une manière très féminine et élégante, des vêtements près du corps constituait d’une chemise blanche cintrée et d’une jupe courte noir le tout assortie à des collants semi-transparent foncé qui laissait apparaître la peau de ses jambes diaphane tout comme son teint de porcelaine qui était d’une blancheur à en faire palir plus d’une qui aurait voulu être aussi pâle.

Il fallait dire qu’elle ne passait pas inaperçu dans son ensemble, s’attirant parfois des ennuis par la gente masculine beaucoup trop emprenante ou insistante à son égard. Malgré son apparence douce et innocente, la gentillesse était marqué au fer rouge sur son visage, elle savait se rebeller et élever le ton quand il était nécessaire ou qu’on allait trop loin avec elle. Oui, c’était un drôle de numéro sans qu’on puisse s’en douter et malgré son apparence réservée et fragile, elle savait envoyer valser quand il le fallait ou donner de belles gifles (c’était plutôt rare mais ça pouvait arriver).

Donc cette charmante demoiselle se baladait dans le parc, tranquillement, doucement en regardant en l’air pour admirer la cime des arbres dansait au gré du vent en souriant. Puis, comme elle ne regardait pas devant elle bah… l’inévitable finit bien par se produire, il fallait bien que ça arrive un jour à avoir la tête ailleurs comme ça hein !

Rubis rentra dans quelqu’un et manqua de tomber en arrière mais se rattrapa de justesse sur ses jambes. Sonner quelques secondes elle secoua la tête pour revenir parmi nous et regarda la jeune femme qu’elle venait de percuter. Affichant une mine gênée et terriblement désolée, elle se pencha pour s’incliner et s’excuser platement.

« Milles pardons ! Je vous prie de m’excuser, je ne regardais pas où j’allais… Je vous demande pardon, désolé madame ! »

Puis elle se redressa légèrement en mettant une main devant sa bouche avec toujours son doux visage inquiet.

« Vous allez bien ? Vous n’êtes pas blessé ? »

4
C’était une fin de soirée comme les autres pour  Rubis. Après son travail au bar dans une soirée intense comme c’était le cas en cette saison estivale, elle rentra chez elle après la fin de son service, échappant une nouvelle fois à l’une des demandes d’extra de son patron qui voulait la faire repartir avec un client. Son refus avait encore agacé son patron mais pas au point de la menacer ce soir pour lui forcer la main, au grand soulagement de la jeune femme.

Arrivée chez elle sans encombres donc, elle enleva ses talons aiguilles qu’elle rangea délicatement avec ses autres talons, marcha en direction de sa cuisine et alla jeter un œil aux tisanes qui habitaient son placard. Elle en prit une au hasard parmi celles qui étaient destinées à aider au sommeil puis la prépara sans grande joie. Pour être tout à fait honnête, après en avoir essayer une flopée qui soit disant aider à favoriser le sommeil et passer de bonnes nuits, constatant que cela ne marchait absolument pas, même si au fond d’elle elle avait des doutes sur le fait que ça puisse marcher mais au cas où ça ne coûtait rien d’essayer, à part la déception que ça ne fasse rien. C’était donc plus par habitude qu’elle se faisait infuser des tisanes que pour leur véritables vertus, aimant tout de même le goût des plantes infusés.

Pendant que sa tisane à la camomille sauvage et à la rose blanche infusait, elle se dirigea dans sa salle de bain, se déshabilla, prit une douche puis enfila ensuite un simple débardeur et un shorty en coton avec un peu de dentelle de couleur noir. Sortant de sa salle de bain le plus simplement et légèrement vêtue, marchant pieds nues sur son plancher, elle retourna dans sa cuisine et attrapa délicatement sa tasse de tisane, venant se poster devant sa fenêtre pour regarder l’horizon en soufflant sur l’infusion chaude avant de la porter doucement à ses lèvres.

Après quelques minutes à admirer le paysage nocturne qui donnait vu sur le parc à côté de chez elle tout en sirotant sa tisane, elle retourna en cuisine et lava sa tasse avant de se diriger sans sa chambre. Une chambre des plus simples, mur bleu très pâle à la limite du blanc, une armoire et une commode sur laquelle il y avait plusieurs piles de livres sur l’astronomie, l’espace et les théories du multivers, domaine de la science qui l’intéressait particulièrement. Il y avait aussi quelques livres sur la théorie des rêves et cauchemars, du plus farfelus au plus sérieux avec appuie psychologique, sur lequel elle avait mis des postit où elle avait noté « néant », voulant dire ainsi qu’il n’y avait rien là-dedans pour l’aider à mieux dormir ou comprendre ses rêves (à part des trucs dont elle se doutait déjà un peu mais rien de bien interessant tout de même).

Un grand lit dont le linge de lit était de couleur noir simplement en satin, matière qu’elle aimait bien toucher dans les doublures de ses vestons ou de ses sacs, qui la décida à prendre du linge de lit en cette matière et quelques kimonos légers pour la nuit quand elle avait envie de porter autre chose que son débardeur et shorty pour dormir. La jolie demoiselle prit place avec délicatesse sur son lit, laissant tomber sa tête sur un de ses oreillers puis elle regarda le plafond, se retrouvant dans l’obscurité qui cohabitait avec les quelques reflets de lumière de l’extérieur qui passait au travers des rideaux de la fenêtre de la chambre. Puis elle ferma doucement les yeux, fatiguée et épuisée car cela faisait 3 nuits qu’elle avait résister au sommeil, ayant peur comme à chaque fois de fermer ses yeux et retrouver ses horribles cauchemars. Elle espéra dans un désespoir habituel que cette nuit ne soit pas trop cauchemardesque cette fois, avec un peu de chance elle rêverait peut-être d’un doux moment, chose qui était d’une rareté absolue tout comme son albinisme.

Rubis ne tarda pas à trouver le sommeil malgré la crainte qui la prenait au ventre de s’endormir. Malheureusement, comme à chaque fois, ses cauchemars commencèrent à la prendre d’assaut, la ramenant dans son passé et face à son défunt fiancé.

La jeune femme était dans une grande chambre, elle portait une petite robe courte sans manche de couleur noire et était pied nus, retournant ainsi à son petit mètre soixante-huit. Mais elle était collait au mur, tremblant de tout son être et avec quelques bleues sur ses bras et ses jambes, une trace de main bien rouge sur sa joue gauche, le visage en larme mais les sourcils froncés dont le regard se portait sur un homme à quelques mètres d’elle. Un jeune homme dans la vingtaine comme elle, plutôt baraqué mais pas trop, le mètre quatre-vingt pour 80 kilos, peau très pâle, des yeux vairons (un bleu très clair et un marron noisette), des cheveux lisses et mi-longs d’un blond pâle digne de tout suédois de ce nom, habillé dans une tenue classe : chemise blanche, cravate rouge, veston et pantalon ainsi que des chaussures noirs. 

Il se dégageait une ambiance électrique de tout ça, on sentait une tension palpable très forte mais aussi le drame de la scène. Le beau blond face à la jolie albinos n’était pas des plus souriant, il était même plutôt en colère, la regardant en serrant presque ses dents et en serrant les poings. Il fallait être aveugle pour ne pas comprendre qu’il avait sûrement passé ses nerfs sur elle et qu’elle lui tenait tête par-dessus le marché. Malheureusement ce n’était pas fini et il l’attrapa par les cheveux pour la tirer violemment vers lui alors qu’elle serra des dents à cause de la douleur, essayant de poser ses mains sur les siennes pour qu’il la lâche, mais en vain. Le blond la jeta ensuite sur le lit non loin d’eux, la faisant tomber face au lit avant de se positionner au-dessus d’elle à l’arrière, attrapant de nouveau ses cheveux en la faisant crier de douleur, remontant doucement la tête de la jeune femme alors qu’il approcha la sienne pour lui parler à l’oreille.

« Je suis désolé mon amour, mais tu ne me laisse pas vraiment le choix… » dit-il en jetant violemment la tête de la jeune femme sur le lit avant d’attraper ses poignets et les placer au-dessus d’elle, tandis que de son autre main il desserra sa ceinture, pour venir ensuite attacher les mains de la jeune femme aux barreaux du lit avant de déboutonner son pantalon et remonter d’un coup le bas de la robe de la jeune femme pour laisser apparaître ses fesses bombées habillait d’un shorty en dentelle blanc « Je vais devoir sévir Rubis… C’est pour ton bien tu sais… Puis je t’aime… »

La jeune femme ouvrit de grands yeux paniquait en sentant ses mains ligotés tandis que sa robe se faisait remonter, elle tremblait sous cet homme qui était au-dessus d’elle de dos alors que des larmes pointaient aux coins de ses yeux « Vi… Vi… Viktor… Je… Je… Je t’en prie… Non… Pas… Pas ça… Pas comme ça… » supplia la jeune femme d’une voix pleine de sanglot en tournant doucement la tête pour le regarder, se prenant une belle gifle de la part du blondinet qui la dominait alors, faisant tourner son visage de nouveau face au lit alors qu’il descendit son visage de nouveau vers elle « Il fallait pas me dire que tu voulais me quitter mon cœur… Ça m’a fait très mal… Et j’ai bien l’intention de te faire ressentir ce que tu m’as fais ce soir… » lâcha t-il avant de mettte sa main autour de son cou et l’étrangler tandis qu’il baissa la braguette de son pantalon, pour s’amuser un peu avec sa jolie fiancé alors qu’elle n’en avait absolument pas envie et qu’elle était effrayé.

La jeune femme transpirait dans son sommeil, elle tremblait, elle attrapa ses draps et les serrait, suffoquant presque alors qu’elle suppliait l’homme de son cauchemar d’arrêter ce qu’il faisait « Pi…Pi…Pitié… Vi…Vi..Viktor… St…Stop… Par pitié… Me fais pas… Ça… Pitié…  » répétant sans cesse ce genre de mots alors que des larmes coulaient sur son visage dans son sommeil dans cet horrible cauchemar, revivant avec horreur cet abus de la part de son fiancé qui ne semblait pas l’écouter et était d’une violence des plus romantiques à l’égard de la jolie demoiselle.

5
Le soir où ils s’étaient quittés, la jeune femme avait céder au sommeil en repensant aux doux mots de son collègue sur le fait que si elle faisait des cauchemars tout cela ne serait pas un rêve. Et aussi parce qu’il lui avait dit de se reposer pour ne pas être fatiguée le lendemain pour son autre emploi. Malheureusement cette nuit-là, comme la plupart où elle s’endormait dans les bras de Morphée, elle enchaîna les cauchemars les uns derrières les autres, se réveillant parfois en panique avant de se ressaisir en se rappelant qu’elle était en sécurité maintenant, enfin, à peu près si elle omettait les détails par rapport à son patron.

Mais cela ne l’empêcha pas d’enchaîner sa journée comme d’habitude, d’aller travailler à la librairie le jour et au bar la nuit, retrouvant ainsi ses collègue dont le beau barman qui lui avait fait chavirer son cœur. Étonnamment la jeune femme arrivait bien à contenir ses émotions et ses petits chamboulement qui pouvait la faire rougir ou sourire en admirant le barman discrètement de temps en temps, ce qui n’avait sûrement pas échapper à sa collègue jalouse comme un poux qui pour attirait son attention se mettait à lui claquer les deux fesses en même temps, faisant sursauter la pauvre demoiselle qui soupira ensuite à cause des taquineries de sa collègue amoureuse d’elle (faisant comme si elle l’ignorait même si dans sa tête elle ne pouvait s’empêcher de comprendre de nombreuses choses maintenant).

C’est ainsi que 4 jours s’était donc écoulées depuis la soirée qu’avait partagé Rubis avec Karl. Enfin, plutôt 3 soirs vu l’heure tardive à laquelle ils s’étaient quittés en bas de l’immeuble de la demoiselle après qu’ils se soient remercier mutuellement pour cette magnifique soirée qu’ils avaient passés ensemble avant de se confier chacun leur tour être impatient d’être à leur prochain rendez-vous (qui était quelque part leur premier rendez-vous après s’être avoué leurs sentiments).

Le matin de leur premier rendez-vous donc, la jeune femme s’était réveillé en sursaut jusqu’à en hurler d’épouvante tout en se recroquevillant sur elle-même en plaçant ses bras au-dessus de sa tête en larmes « Pitié… Arrête Viktor… Arrête s’il te plaît… » chuchota t-elle en tremblant comme une feuille, revivant presque ce moment qu’elle venait de revoir en cauchemar où son défunt fiancé l’avait cogné jusqu’à lui ouvrir le crâne avec une bouteille car elle avait essayer de fuir pour lui échapper, ce qui ne lui avait pas plu des masses et avait fait passer l’envie à la demoiselle d’essayer recommencer à se sauver de l’enfer dans lequel elle était à cause de lui et par sa naïveté aussi.

Retrouvant doucement ses esprits tout en reprenant son souffle, elle enleva doucement ses bras au-dessus de sa tête, se redressant doucement en regardant dans le vide un peu encore sous le choc du cauchemar. Elle se disait que ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas rêvé de ce moment-là précis où elle avait tenter de prendre la fuite. Pourquoi elle en rêvait maintenant ? Aujourd’hui précisément ? Certains diraient sûrement que c’est peut-être parce-qu’elle aime un autre homme maintenant et comme elle a rendez-vous avec lui aujourd’hui, son inconscient essaie de lui faire comprendre qu’elle est entrain de passer à autre chose par la représentation de ce cauchemar d’un moment qu’elle avait vécue où elle avait essayer de partir pour justement passer à autre chose. Peut-être bien que c’était possible tout comme ça ne l’était pas, peut être que c’était même un simple hasard en faite, allez savoir, ce genre de choses lié à la psychologie la laissait dubitatif car elle ne savait pas quoi en penser, se demandant parfois si tout cela n’était pas juste de la manipulation de pauvres gens qui souffrent.

Secouant doucement la tête à ses pensées divergentes lui permettant ainsi de penser à autre chose que cet horrible cauchemar, elle reporta son regard sur son réveil au loin pour regarder l’heure et elle vit qu’il était 5h05 du matin. Double chiffre en heure maintenant ? Le hasard s’amusait d’elle aujourd’hui décidément. La jolie albinos se leva de son lit, vêtue d’un simple débardeur et d’un shorty tour deux de couleur noir puis elle vint refaire son lit avant de prendre son réveil et couper les alarmes qui devaient la réveiller dans 25 minutes. Elle se dirigea ensuite dans son armoire et prit délicatement une chemise blanche ainsi qu’une jupe noire avant ensuite de prendre ses sous-vêtements avec une paire de collant puis elle alla ensuite posait tout ça dans la salle de bain, où elle entra pour se préparer.

Une fois sa douche prise, brossage de dents et cheveux et compagnie, elle enfila les affaires qu’elle avait préparé et termina par un coup de gloss transparent sur ses lèvres comme elle faisait d’habitude. Elle sortit ensuite de la salle bain et vit qu’il était 5h30. Elle avait prévu de partir à 6h mais finalement elle se dit qu’elle allait partir plus tôt vu qu’elle était levée et prête. Avant de partir, elle prit un peu de thé qu’elle avait mis au frigo la veille (elle aimait bien le thé glacé donc boire du thé froid parfois le matin ne la dérangeait pas et lui éviter d’avoir à en faire et surtout en gaspiller, ce qui serait fort dommage selon elle) puis lava la tasse et se sauva ensuite de son appartement.

Arrivée en bas de celui-ci, elle admira le parc en bas de chez elle qui était magnifique la journée surtout de beau matin comme ça quand il n’y avait encore personnes dehors, laissant ainsi volés dans les airs le chant des oiseaux qui gazouillaient et le son de la douce brise qui soufflait dans ses cheveux. Elle souria un peu bêtement en regardant le parc avant de rougir un peu et rire doucement en se mettant en route, ne pouvant s’empêcher maintenant de lier ce parc à cette magnifique soirée qu’elle avait passé avec Karl il y a 4 jours, lui faisant ainsi chaud au cœur tandis que ce dernier battait la chamade rien qu’à penser à lui et encore plus aujourd’hui car elle allait le revoir dans un peu plus d’une heure. Elle avait si hâte et avait attendu ce jour avec impatience, n’oubliant pas ses mouchoirs qu’elle avait mis à l’avance, laver et repasser, dans la poche de sa jupe, le tout emballait dans un petit tissus pour ne pas les abîmer.

La jolie albinos avait traversé le parc pour ensuite atterrir dans les rues de la ville qui commençaient doucement à s’animer avant de prendre le métro pour descendre à la station de la gare. Le matin de si bonne heure c’était encore calme dans les transports en commun, surtout le métro qui n’était pas encore bondé de monde et qui évitait donc d’être collés les uns sur les autres et d’avoir une ou deux baladeuses venant se balader sur elle, chose qui l’exaspérer au plus haut point en se disant que ce n’était pas possible qu’il ait autant de pervers qui profite des transports pour ça. Donc voyager si tôt était plutôt un soulagement pour elle et en plus c’était moins bruyant aussi, donc c’était doublement bénéfique.

Une fois arrivée à la station de la gare, elle descend et prend les sorties adéquates pour se retrouver devant la gare du centre-ville qui était le lieu de leur rendez-vous. Devant la gare, elle leva sa tête en direction de la grande horloge qui habillaient la devanture de cette immense bâtisse et elle put voir qu’il était seulement 6h06. Ha tiens, encore un double chiffre en heure, décidément c’était la journée, elle ne put s’empêcher de se poser quelques quelques questions sur ce drôle de hasard assez étrange aujourd’hui.

Sortant de ses songes tout en ne quittant pas l’horloge des yeux, elle se disait qu’elle était bien en avance et se demanda bien ce qu’elle allait pouvoir faire, même si restait à rien faire ne la dérangeait pas, d’autant plus qu’aujourd’hui elle ne travaillait pas à la librairie car elle était fermée à cause du mariage du cousin de son patron qui a dû y aller avec ses parents, donnant ainsi congés pour aujourd’hui et demain à la demoiselle, ce qui tombait plutôt bien. Tandis que la demoiselle baisa la tête pour reporter son regard car elle avait entendu un peu d’animation à quelques mètres d’elle, elle regarda ce qui se passe. Rubis put voir que c’était des jeunes gens qui faisaient un petit spectacle d’animation en chantant et dansant, essayant de faire sourire les passants qui passaient devant la gare, arrachant un sourire amusée et attendrie à la demoiselle qui regardait leur petit spectacle sympathique tout en attendant son beau collègue, n’entendant pas les bruits de pas qui se rapprochait d’elle pendant ce temps.

6
Centre-ville de Seikusu / Quand la musique est bonne [PV Em]
« le: lundi 01 juillet 2024, 03:30:38 »
Aujourd’hui était une soirée spéciale au bar où travaillait la jeune femme, car c’était une soirée à thème rock et métal avec la déco qui avait été arrangé pour coller à l’esprit de ces puissants et divers styles musicaux.

Les employés étaient habillés dans la thématique pour l’occasion : look total noir, veste, jupe, short ou pantalon de cuir, chemise noire, gants, bas et collants noir le tout avec des chaussures assortis. Certains avaient même poussée le jeu au point de se faire une coupe assortie ou de faux tatouages (pour ceux qui en avait pas), cela renforcé l’ambiance de la thématique de la soirée et les clients semblaient apprécier cela en plus. Rubis quant à elle c’était retrouvé habillé en jupe de cuir avec une chemise transparente dans le dos et sur ses jambes des bas résilles accompagné de bottines à talons aiguilles, toute de noire vêtue. 

Ce soit le bar avait été envahis par pas mal de monde et notamment beaucoup de métaleux et rockeurs, c’était amusant de voir des clients habillés comme les employés (même si c’était plutôt l’inverse en faite) et ça amusait beaucoup ces fameux clients qui n’était pas avares pour donner des conseils aux serveurs et serveuses pour améliorer leur look, c’était même plutôt amusant à voir.

Tandis qu’une nouvelle musique se jouer et était diffusé dans toutes les parties du bar, la jeune femme albinos ferma doucement les yeux en l’écoutant, bougeant très légèrement sa tête ainsi que son corps en l’entendant, conférant presque a la demoiselle une impression de danser pour ceux qui pouvaient l’observer en nettoyant la table alors qu’elle se souvenait de cette musique qu’elle avait écouté avec un bon ami, qui normalement passerait ce soir, car il aimait ce genre de soirée à thème et surtout ces types musicaux.

———
Musique de fond sur lequel « danse » Rubis https://youtu.be/aZ_Cbiw9U9g?si=OV_8TVU4zjqVQfbF

7
Le parc et son sous-bois / Rencontre féerique [PV Alphen]
« le: lundi 01 juillet 2024, 02:53:39 »
C’était une belle journée ensoleillée aujourd’hui et c’était un jour férié en plus, ce qui offrit un jour de vacances à la jeune femme albinos qui en avait sûrement besoin au vu des deux emplois qu’elle cumulait, deux emplois qu’elle aimait beaucoup (hormis quelques détails dans son second emploi) mais qui avait un certain impact sur la fatigue de la jeune femme, qui en plus, avait de grandes difficultés à trouver le repos car elle fuyait le sommeil comme on fuit son banquier à la fin du mois quand y a quelques soucis sur le compte.

Rubis avait profité de cette journée pour aller se balader dans le sous-bois du parc, qui étaient généralement moins fréquentés que le parc, lui permettant ainsi de pouvoir profiter du calme qui y régnait et profiter du doux chants des oiseaux qu’elle aimait bien entendre.

La jeune femme marcha doucement sur un petit chemin entre la terre, le gravier et le sable, regardant tranquillement les alentours, levant sa tête en l’air pour pouvoir regarder le ciel qui étaient cachés par les feuillages des feuilles qui filtraient la lumière du soleil, venant donner quelques touches de lumières par-ci et là sur le visage de la demoiselle et son corps, lui donnant presque l’allure d’une apparition, alors qu’elle admirait avec douceur le ciel tandis qu’un papillon vint se poser sur le bout de son nez, l’intriguant avant de la faire doucement rire amusée en admirant ce dernier « Bonjour vous, aurais-je l’honneur de savoir qui s’est posée sur mon nez ? » demanda t-elle amusée en continuant d’observer le papillon qui bougeait des ailles mais ne semblait pas vouloir s’envoler, avant d’entendre soudainement une voix qui la surpris dans sa contemplation.

8
Rubis habitait dans un immeuble près du grand parc et de ses sous-bois, non loin de la ville. Elle aimait bien cet endroit dans lequel elle avait emménagé il y a quelques mois à peine, vivant dans le centre-ville avant. Mais elle a décidé de déménager pour trouver quelque chose de plus calme, un peu éloigné de la ville et de son animation permanente puis surtout… loin de toutes ces lumières de la ville ! Car oui, les lumières de la ville ne lui permettait pas de pouvoir admirer les étoiles le soir et son télescope qu’elle avait installer sur son balcon dans son ancien appartement ne pouvait lui offrir un joli spectacle à cause de toutes ces lumières qui polluent le ciel… Ce qui l’a décida à déménager et à trouver un endroit un peu éloigné de la ville mais pas trop, histoire de ne pas être trop loin non plus pour ces deux emplois.

La jeune femme albinos a la peau de porcelaine était sur le toit de cet immeuble qui comptait 7 étages et quelques appartements, deux ou trois, voir parfois un seul par étage (tout dépendait de la taille des appartements, ces derniers étant bizarrement conçus et ayant des tailles totalement différentes). Elle habitait le dernier étage et sur son balcon se trouvait une petite échelle qui lui permettait de pouvoir monter sur le toit de l’immeuble où était installer un petit set de mobilier de jardin, permettant de pouvoir s’installer confortablement sur le toit pour profiter de la vue, du temps ou bien encore du ciel, tout comme le faisait la demoiselle aux jolis mirettes couleur rougeâtre, qui avait installait son télescope là-haut sur le toit, afin de pouvoir admirer les étoiles de plus près quand ça lui chantait.

Rubis était assise tranquillement, sur le bord du toit, ce qui était plutôt dangereux pour être honnête et même insouciant quelque part, mais la jeune femme n’y avait sûrement pas pensé. Elle était trop occupé à admirer le paysage, à regarder les étendues de verdures du parc et de ses sous-bois, qui étaient illuminés par les jolies couleurs du coucher de soleil, offrant ainsi un magnifique spectacle à la jeune femme qui regardait cela avec un regard rêveur, se perdant dans ses pensées et entendant à peine de légers bruits non loin de là, peut être dans les appartements en-dessous, peut-être dans les étages ou même sur le toit ?

Aller savoir ce qui se tramait non loin d’elle qui n’entendait rien ou presque, car elle était tellement perdue a admirer le paysage au loin, assis sur le rebord du toit de cet immeuble, perdue dans ses pensées.

9
Le coin du chalant / Douce demoiselle recherche des rp mortels et rêveurs ~
« le: dimanche 23 juin 2024, 22:40:21 »

Bonjour/bonsoir à tous,

Comme vous avez pu le voir dans le titre la douce demoiselle que je suis est à la recherche de belles et grandes aventures (douces romances, passions d’une nuit, rencontres amicales, etc) \o/ !

Rubis est une demoiselle toute douce (aussi bien de caractère que de peau /sbaff/) qui ne demande qu’à faire votre connaissance (et à trouver de doux bras pour quelques heures ou pour bien plus longtemps si on veut d’elle) ;).

Elle travaille dans une librairie le jour et la nuit elle travaille souvent dans un bar, il lui arrive même parfois certains soirs de devoir accompagner un client quand son patron lui demande (car il a déjà embauché les sousous voyez-vous donc…). Vous la verrez aussi se perdre dans les bibliothèques, être en admiration dans le planétarium où tout autre endroit en lien avec l’univers et l’astronomie, se balader dans le grand parc à côté de son appartement ou… tout autre endroit que vous pouvez me suggérez aussi x) !

J’adore rp donc je suis assez ouverte à toute proposition (hormis les choses délicates en lien avec des excréments ou liquides ou autres… pas vraiment ma tasse de thé), donc soyez pas timide ^o~.


10
Identité : Rubis Starling
Âge : 24 ans
Sexe : Femme
Race : Humaine
Sexualité : Hétérosexuelle

Physique : Rubis est une jeune femme de 24 ans, albinos, à la beauté saisissante et au caractère délicat. Ses cheveux courts, d'un blanc immaculé avec de doux reflets lavande, encadrent un visage empreint de douceur et de timidité. Ses yeux, d'une tendre couleur rougeâtre, semblent toujours exprimer une certaine vulnérabilité, mais aussi une profondeur romantique.

Elle mesure 1m68, avec une silhouette mince mais bien proportionnée. Sa taille fine met en valeur ses formes généreuses : une poitrine pleine et des hanches voluptueuses, rehaussées par ses longues jambes et des fesses bien rebondies. Sa peau est très claire, presque diaphane, ajoutant une touche éthérée à son apparence.

Elle préfère les tenues qui mettent en valeur son corps sans être provocantes, optant souvent pour des chemises et des jupes près du corps. Ce choix vestimentaire reflète sa volonté de rester élégante et féminine, tout en affirmant discrètement sa sensualité naturelle.

Caractère : Rubis est de nature douce et réservée, mais derrière sa timidité se cache une grande romantique, rêvant de relations sincères et empreintes de douceur. Elle aspire à rencontrer quelqu'un qui saura apprécier sa véritable nature et non seulement son apparence, même si cela ne lui déplaît pas de passer un doux moment dans le creux des bras d'hommes car ces moments fugaces lui donnent l'illusion d'être désirée et aimée.

Malgré sa discrétion, Rubis a aussi son petit caractère et elle sait se défendre lorsque la situation l'exige. Lorsqu'on l'importune ou qu'on dépasse les limites, elle trouve en elle la force de se révolter et dire ce qu’elle a dire à celui ou celle qui abuse de sa gentillesse, de sa naïveté ou la prend juste pour une jolie poupée.

Elle est très sensible et est sujette aux cauchemars, conséquence des hommes qui l'ont traitée violemment lors de rapports ou d'autres événements traumatisants de sa vie qu’elle essaie en vain d’oublier. Ces mauvais rêves la hantent, la laissant souvent épuisée et luttant contre le sommeil malgré une fatigue persistante.

Investie et passionnée, Rubis travaille comme vendeuse dans une librairie, un métier où elle s'épanouit pleinement. Elle adore conseiller et aider les clients mais aussi partager ses coups de cœur littéraires quand on lui demande. En dehors de son travail, elle nourrit une passion pour la science, en particulier l'astronomie : les étoiles et les mystères de l'univers la fascinent depuis toujours.

La nuit, Rubis travaille également comme serveuse dans un bar, un environnement souvent difficile. Il lui arrive de se faire importuner par des clients, habitués à pouvoir coucher avec certaines serveuses. Parfois, sous la pression de son patron qui accepte de l’argent de certains clients, elle se retrouve à repartir avec eux. Cette situation la trouble profondément mais elle garde en elle l’espoir un jour de rencontrer quelqu’un de vraiment sincère, mais faute de prince charmant, elle espère au moins pouvoir faire de douces rencontres qui lui laisseront un tendre souvenir qui l’aideront à nourrir ses nuits de doux rêves de tendresses pour les fois où elle ferme les yeux et se retrouve dans les bras de Morphée.

Histoire : Rubis a eu une enfance heureuse, entourée de parents aimants. Ses magnifiques yeux rouges lui ont valu son prénom. Ses parents, bien que non albinos, étaient tous deux scientifiques, ce qui explique peut-être sa passion pour les sciences.

Malheureusement, à l'âge de 9 ans, elle a perdu ses parents dans un tragique accident de voiture. Placée en orphelinat, elle a trouvé du réconfort auprès des autres enfants et du personnel attentionné. Elle n'a jamais été adoptée, mais cela ne l'a pas dérangée car elle a passé une enfance et une adolescence agréables, entourée de ses camarades. Elle aimait aider les travailleurs de l'orphelinat avec le ménage, la gestion administrative, la cuisine, l'accueil des potentiels parents adoptifs et la gestion de la bibliothèque, une activité qui l'a peut-être dirigée vers son futur métier.

À 18 ans, Rubis a quitté l'orphelinat et a commencé à travailler dans des librairies et des bibliothèques, parfois comme serveuse dans des salons de thé ou des restaurants. Cherchant à gagner plus d'argent, elle a fini par travailler dans des bars la nuit, ce qui lui permettait de concilier ses emplois diurnes.

Jeune, naïve et vierge, Rubis était timide avec les hommes et n'avait jamais eu de petit ami. Elle recevait souvent des déclarations et des propositions indécentes qu'elle refusait poliment, parfois en s'énervant pour qu'on la laisse tranquille. Mais un jour, a ses 20 ans,  elle a rencontré un hommes. C’était un barman du bar où elle travaillait et il semblait différent des autres hommes : il était doux, gentil, tendre, il la faisait rire et lui parlait d'astronomie, une passion qu'ils partageaient tout deux.

Leur relation évolua comme un joli roman romantique et Rubis était amoureuse, croyant naïvement à la sincérité de cet homme. Cependant, les choses prirent une tournure sombre lorsqu'il lui commença à lui demander de faire des choses étranges, comme accompagner certains clients à des soirées, comme une escort girl (mais sans coucher), puis petit à petit il l'encouragea à aller plus loin. Il lui disait que ce n'était pas grave, que ce n'était pas de l'amour ce qui se passait entre elle et ces hommes mais qu'eux deux si, c'était différent. Par amour et naïveté, Rubis accepta, plongeant dans une spirale infernale.

Puis un jour, elle décida de dire non. Son fiancé réagit violemment, frappant Rubis pour qu'elle se soumette. Il faisait passer ses accès de violence pour des élans de colère passagers, et au début, Rubis le croyait. Mais elle finit par découvrir la vérité : il la manipulait et voyait une autre femme derrière son dos. Tout ce qu'elle faisait, c’était pour cette autre femme et pour lui, réalisant ainsi qu'elle n'était qu'un pion naïf dans son jeu cruel.

Elle était terriblement blessé en découvrant la vérité et elle se disait que de toute façon elle avait été bien naïve d’accepter tout ça… Mais que c’était fini maintenant, elle allait arrêter tout. Et c’est ainsi qu’un soir, lors d’une pause devant le bar où ils travaillaient tous les deux qu’une violente dispute éclata après qu’elle lui ait dit qu’elle savait tout et qu’elle arrêtait tout, que tout était fini entre eux, même si lè entre eux n’avait jamais existé. Fou de rage, le barman s’apprêta a frapper Rubis et dans un mouvement malheureux, il glissa en arrière et tomba sur la route où il fut percuté par une voiture. Le spectacle fut horrible et le choc immense pour Rubis, qui s'effondra en larmes. Ses collègues tentèrent de la réconforter, mais elle pleurait surtout de soulagement : cette tragédie marquait la fin de son calvaire. Elle n'avait plus à faire ce qu'il demandait, plus à subir ses coups ou ses moments violents. Pour Rubis, cet accident fut une libération presque même un miracle, comme si quelque chose avait mis fin à tout ça ou qu’un ange gardien veillait sur elle. Mais elle se sentait coupable de se réjouir de sa mort malgré tout ça.

Après cet accident, Rubis quitta son emploi au bar et dans la librairie où elle travaillait puis elle déménagea et commença une nouvelle vie. Aujourd'hui, elle travaille à temps plein dans une grande librairie et continue de travailler dans des bars le soir, changeant souvent d'endroit pour ne pas rester trop longtemps au même endroit. Travailler la nuit l'aide à lutter contre le sommeil et les cauchemars qui la hante qui sont les souvenirs de sa vie passée et des hommes violents qu'elle a rencontrés.

Rubis s'est abstenue de relations intimes pendant plusieurs années à cause de tout ça. Cependant, à cause de son travail dans les bars, elle a fini par côtoyer de nouveau des hommes. Mais moins naïve qu'avant, elle ne se laisse plus manipuler et profite de ces moments pour se sentir désirée, même si ce n'est qu'une douce illusion. Malgré son passé et sa triste aventure, Rubis continue de rêver d'amour sincère et espère qu'un jour, quelqu'un l'aimera pour ce qu'elle est vraiment. En attendant, elle profite des rencontres pour recevoir un peu d'amour et de douceur tout en restant une grande romantique au fond de son cœur.

Autre : Elle habite dans un immeuble au dernier étage (le 7) dans un quartier plutôt calme (l’immeuble en question a peu de locataires d’ailleurs et se situe près d’un grand parc). Étant habitante du dernier étage, elle a une petite échelle sur son balcon qui lui permet d’accéder au toit de l’immeuble où elle a installé un télescope pour admirer les étoiles et un petit coin avec des chaises, une table et un petit canapé de jardin pour pouvoir manger sur le toit, se détendre ou juste regarder le ciel en se perdant dans ses pensées. Elle n’a jamais ramené de monde chez elle ni sur son toit.

Comment avez-vous connu le forum ? En recherchant un forum de RP français (mon amour pour le RP, notamment les RP sensuels et plus plus plus) mont dont amenés ici ~.

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