Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Silvia Del Casario

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- Bienvenue ! Bienvenue pour de 100 ème tournois d'Osiris !  Installez-vous, le spectacle d'introduction va bientôt commencer !

L'arène avait subit d'importante modification, quelques mois avant le tournois, de nombreuses guildes furent appelées, notamment dans le cadre de la construction. L'arène avait jailli de sa cachette, étant un magnifique Colisée. Les cellules furent dispersé dans les sous-sol de l'infrastructure, les esclaves ayant trouvés grâce aux yeux du Maître de l'arène avaient des cellules plus spacieuse. La pierre était de qualité, tout comme les places des spectateurs, ayant des coussins pour les plus délicats. De nombreuses cuisines avaient été aménagés, comme il y avait eu un lourd recrutement de cuisiniers. Des sommes faramineuses avaient été investit pour acheter des esclaves féminin de grande beauté, ainsi qu'engager des gardes de la guilde des assassins pour prévenir à tout débordement. une garnison entière de gardes impériaux avaient été loué pour permettre d'endiguer une possible rébellion. La nourriture de qualité avait été transporté par des bateaux pour permettre un approvisionnement de mets délicieux en masse.

Dans tout Ashnard le tournois était le sujet de conversation, que cela soit les esclaves ayant des qualités aux combats et physiques, le Maître de l'arène qui était un véritable tombeur ou encore la prime de ce tournois, qui s'élevait à 50 pièces de platine. Les motifs étaient nombreux pour venir observer ce tournois.

Pour les personne désirant participer au tournois, une somme minimum était demandé, 5 pièces d'argent. Autant dire que cette somme était assez facile à obtenir, ce qui posait problème était surtout le contrat à signer en même temps, stipulant qu'aucun contrat d'assassinat ou décret impérial ne pourra être fait si le participant venait à mourir. Pour les habitués, ils savaient que le possesseur des esclave voulait des combats intéressants et que le risque de mourir obligeait les combattants à se donner à fond. Il ne désirait pas voir ses faux combats comme il pouvait en observer dans d'autres arènes. Les participants devaient par la suite suivre des druidesse qui vérifieraient leurs états et marquerait des détails, comme les armes emmenés et les magies utilisable, le tout à l'abri des oreilles indiscrètes.

Une fois les inscriptions clôturées, la cérémonie d'ouverture pouvait commencer.  Le Maître de l'arène se mit à se lever de son trône rouge et jaune, dans un style très romain. Il vint à faire quelques mouvement de l'index, lançant un simple sort d'amplification de voix.

- Bienvenue pour le centième tournois d'Osiris. Je me nomme Augustus Maximilien, chanceux possesseur de cette arène qui vous offrir plaisir et sensation forte. De mignonnes esclaves en robe blanches seront là pour vous servir. Les esclaves rouge circuleront pour prendre les paris qui se clôtureront une minute avant l'entrée des combattant . Il vous sera demandé de ne pas voler ou entraver le travail des esclaves sous peine de sanction.

La dernière recommandation était bien plus qu'une menace, les gardes et les assassins avaient comme ordre de se débarrasser de tout gêneur, il s'agissait d'un lieu qui avaient tout de même des règles à respecter.

Quatre grillages, située à chaque point cardinaux, se soulevèrent dans un bruit qui fit frémir les spectateur qui se turent tous. 

- Nous ouvrons le tournois avec une exhibition de quatre de nos combattants. Venant de la porte Ouest, nous avons Akarim, le plus vieux de nos combattant encore en vie. 


De la dite porte jaillit un homme qui avait les traits du temps sur son visage, sa chevelure et sa barbe étant blanche. Son corps n'était pas décrépit, on pouvait sentir tout la puissance et l'expérience dans ses gestes. Il portait une armure en cuire, avec des épaulières et des genouillères en fer, sa cape blanche volant sous le léger courant d'air circulant sur la zone de bataille, qui était un banc de sable encore blanc de toute souillures. Le vieux combattant avait une rame assez atypique, une épée émoussée où jaillissait des effluves magiques, une arme enchantée, ce qui n'était pas interdit. Il vint tranquillement vers le centre de l'arène et attendit la prochaine annonce.

- De la porte Nord nous avons Azuka, un de nos rares combattants montés.
 

Quelques seconde après la phrase, des bruit de sabots se firent entendre et un bel étalon brun surgit à toute vitesse, monté par une homme équipé d'une armure japonaise en cuir, avec des protections en plaque de fer, il portait un simple katana à la hanche. Le combattant se mit à faire deux tours, montrant la vitesse de sa monture, sans trop tirer dessus, avant de le faire trotter et se mettre à côté, faisant cambrer sa monture qui salut le Maître.  L'homme sur la monture ne fit pas de salut, attendant, comme son prédécesseur le bon moment.

- Il plait beaucoup aux demoiselles et il participera à ce spectacle, Tranche Herbe !

Un joli adolescent à la chevelure d'un brun très clair vint à passer la porte Est, causant un déchaînement chez certaines femmes qui se mirent à l'appeler. Il portait une tenue militaire, mais ce qui attirait surtout le regard était une simple dague. On pouvait très aisément soupçonner qu'il avait un atout dans sa manche et que la fourberie serait son style.  Comme pour répondre à cette question silencieuse, il vint à se téléporter à côté du cheval qui ne bronchait pas.

- Et enfin ! Beaucoup l'attende. Elle est aussi belle qu'une fleur mais possède des épines mortelles. La Rose pourpre !

De la porte Sud vint à apparaître une magnifique blonde, avec une robe rouge avec des dorures, laissant voir un sous-vêtement blanc sous le tissus semi-transparent blanc qui couvrait le devant de sa tenue.  Elle portait des bottes de combats, avec une fine pellicule d'or. Tout était fait pour la rendre noble et sublimer sa beauté. Mais cette tenue était aussi faite pour donner un aspect d'allumeuse, le dos étant partiellement découvert et laissant voir la début de la raie des fesses. Cette fois ce fut les hommes qui étaient en effervescence, mais al combattante rejoignit les trois autres combattant.

- Pour cette exhibition nous ne laisseront par les spectateurs décider du sort du perdant. Il s'agit d'une simple exhibition, il faut savoir ménager vos futurs adversaires.

Le Maître vint à s'asseoir et les combattants levèrent ensemble leurs armes en criant.

- Que nos lames ravissent vos oreilles !  Que notre sang émerveille vos yeux ! Que notre mort attisent vos applaudissements !


Un sont de cors se fit entendre et les combattants se placèrent pour combattre. Pour des personnes expérimenté, on pouvait voir que ce combat était tout de même d'un bon niveau. Les coups étaient là pour tuer. L'expérience des combats, la vivacité de la monture, l'agilité assassine ou encore des réflexes de parades permirent d'éviter que les coups n'assènent de grave blessures. Le combat se fini au bout de dix minutes, le vieux avait gagné, la seule femme du groupe avait terminé deuxième, le combattant monté avait dû rapidement courber l'échine pour ne pas blesser sa monture. Les combattants reprirent la place de leurs cellules, recevant des soins magiques pour récupérer rapidement, ils reçurent des boules noires riches en vitamine, efficace bien qu'ayant un goût infecte. Silvia ne plissait pas du front, elle était, comme les autres, habitué à cette mixture, pouvant enchaîner les combats les uns après les autres.

Pour l'esclave combattante, ce tournois n'était rien d'autre que des combats contre d'autres personnes, elle finirait par s'écrouler le soir totalement fatigué, le corps paralysé par les combats, dormant à peine six heures avant de recommencer une journée de combat. Ce mode de vie avait au moins une qualité, elle avait les compétences pour se défendre. Le vieux vint à passer devant sa cellule.

- Ton premier adversaire sera  dans dix minutes, tâche de ne pas perdre trop vite.

Il repartit, laissant Silvia fermer les yeux et se ressourcer. Elle ne devait pas perdre, se faire violer par des étrangers était certainement pire que par des personnes qu'elle connaissait, le réconfort de connaître sans doute la dite personne.

Les combats s'enchaînèrent. Silvia n'eut aucune défaite, enfilant une tenue propre et intacte avant chaque combat. Le Maître n'avait pas lésiner sur les tenues de rechanges, sachant pertinemment que ses esclaves doivent avoir une apparence soignée.  La combattante se mit à prendre quelques minutes pour rester silencieuse quand elle entendit que le combattant monté était mort, ayant rejoint le destin de sa monture. Si beaucoup ne portaient que peut d'intérêt aux autres, une petite partie prenaient le temps de rendre hommage aux esclave mort l'arme à la main.  La jeune femme eut un sursaut en voyant le vieux poser une main sur sa tête.

- Alors petite brindille, toujours là ? Ne perds pas trop de temps à penser aux morts, sinon tu vas les rejoindre trop tôt. Allez c'est ton tour, offre un jolie combat au Maître et tu pourras certainement demander à dresser une tombe dans une cellule libre.

Silvia vint à se redresser, enfilant son masque de force, changeant du tout au tout. Elle vint à enfiler sa tenue, prenant en toute fin son arme. Elle attendit que l'on annonce son nom de combattante et que les grilles s'ouvrent pour entrer dans l'arène, sous l'acclamation de la foule.  Elle vint à tendre sa main droite, tenant l'arme, vers le ciel, comme désirant pourfendre cette mer lointaine, avant de saisir l'arme à deux mains et se mettre en posture de combat. L'épée était légèrement inclinée vers le ciel, une posture assez proche des chevalier, mais là s'arrêtait la ressemblant, son épée ondulée, sa tenue et sa façon d'être était différente. Elle ne comptait pas attaquer la première, devant en savoir un peu plus sur le style de cet homme. L'esclave sentait qu'il était différent, elle ne savait pas en quoi,d d'où une plus grande méfiance.

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Le coin du chalant / Bienvenue noble spectateur.
« le: jeudi 04 août 2016, 15:29:02 »
Fiche : http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=18532.0

Résumé rapide :  Silvia Del Casario vient d'une famille qui a été désigné comme traître. Elle évita la mort en étant vendu à un haut dignitaire qui vnit à la former dans son arène personnel, afin d'être une esclave gladiatrice. La renommée des combats d'arène de son maître actuel est importante, bien que peu légale, permettant un divertissement et une rentrée d'argent pour renouveler les morts.  Silvia perdit son identité, pour être remplacé par son nom de combattante, à savoir, La Rose pourpre.

C'est une humaine toute à fait classique, hormis 14 ans de formation intensive aux armes, elle n'a pas de pouvoir ou de sort magique. Elle n'est plus vierge si certain(e)s veulent poser la question. 

Point de vu caractère elle se cache sous un draps de force et de dureté, mais reste une femme qui est en alerte, qui craint pour sa vie à chaque instant, étant de la folie sans pour autant franchir cette porte. Elle ne quitte jamais son arme, étant pour elle une présence qui la maintient saine d'esprit, mais qui est aussi la seule chose qui puisse défendre son corps. 


Ce que je vous proposes : Pour le moment je ne peux proposer que des rps de combats d'arène, d'intrusion dans sa cellule ou encore une rencontre avec l'autorisation/convocation du maître de l'arène. 

Cela peut tourner combat / social / hentaï.

D'autres trames viendront plus tard.

3
Prélude / La vie est courte, autant la protéger. [violidée ~♥]
« le: mardi 26 juillet 2016, 15:55:22 »
Identité : Silvia  Del Casario
Surnom : La Rose pourpre
Âge : 20 ans
Sexe : Femelle
Race : Humain
Sexualité : Bisexuelle, par obligation.

Physique :

Silvia, sous ses vingts années d'existence, est en possession d'un corps. Elle possède des muscles forgés sous les combats et les entraînements, engendrant des détentes fulgurantes, pouvant tournoyer sur elle-même très rapidement  ou encore asséner des coups rapide. Ses muscles roulent parfaitement sous la peau légèrement dorée par le soleil du désert. Sa longue chevelure de la couleur du blé est attaché à l'arrière sous la forme d'une longue tresse enroulée, ne laissant que deux mèches pendre devant ses oreilles pour donner une touche de féminité.  Ses yeux sont certainement la spécificité de Silvia, étant née avec des yeux de la couleur de l'or,  n'étant le fruit d'aucune magie ou malédiction, juste du hasard naturel.

Sous les bon et mauvais traitement, la demoiselle a acquit une poitrine d'une taille modeste, mais qui va de paire avec un fessier rebondit. Elle ne semble pas dérangée que sa poitrine dandine à chacun de ses pas. Poitrine qui fut de nombreuses fois salvatrice, les hommes n'aimant pas trop abîmer cette "jolie poupée".

Ses jambes galbées sont, en partie,  dissimulées par des jambières en fer, recouvert d'une pellicule dorée, remontant jusqu’aux genoux, mais laissant l'arrière de ceux-ci totalement à découvert d'un coup. Le reste de son corps es recouvert par une robe rouge à manche longue,, mais tellement courte sur le devant, que l'on voit une culotte blanche. Le maître de l'arène ayant joué sur le côté noble tout en le tournant vers la vulgarité.  

Caractère :

Parlons tout d'abord de ce qui est resté chez Silvia, pour ceux et celles qui l'ont connu toute petite.  Elle a conservé sa capacité d’apprendre, observant les combat, assimilant les techniques, mais aussi combiner cet apprentissage avec son empathie, permettant d'avoir de bonnes intuitions, d'utiliser des parades et des attaques sans avoir à réfléchir, combattant de manière fluide, se laissant emporter par le rythme du combat.  Elle a deux tics. Quand elle doit réfléchir longtemps, se trouvant bloqué dans une situation, elle a tendance à tendre son regard vers le sol et se dandiner un peu. Quand elle gagne une partie contre Arthur , elle ne pouvait s'empêcher de faire a fière et de dire, d'une voix un peu grave, "Grazie", se voulant un peu masculine devant son aîné. Elle a gardé ses deux tics devant ses adversaires.

Silvia possède deux facettes, l'une dans les combat et l'autre en dehors.

Quand elle foule le sol sableux de l'arène, elle se voile sous une apparente force de caractère. Sous ce voile se cache une créature qui sait que la défaite est sans doute pire que la mort, ses geste, bien que fluide dévoilant une véritable volonté de tuer son adversaire. Elle devient une bête acculée qui n'a d'autre choix que d'attaquer. Plus elle est acculée, plus elle va se battre par intuition, la rendant plus vive, plus violente et plus difficile à contenir. Elle sait que dans les combats c'est tuer ou être tué, même si pour elle c'est tuer ou être violée. Comme on lui a apprit, elle saura se donner en spectacle.

Elle ne fait confiance qu'en une chose, sa lame, son arme est tout pour elle, à défaut d'avoir autre chose d'important à ses yeux. son arme fait partie de son corps, la toucher revient à souiller son corps, frapper l'arme revient à la frapper, trancher une personne reviens à la trancher avec ses propres mains. Silvia ne se séparer jamais de son arme, même en dormant, elle l'a contre elle, tel le serait un amant.

Quand elle passe la lourde grille, elle redevient cette femme qu'elle a toujours été. Si elle a tué, elle ne pourra s'empêcher de répandre ses tripes au sol, ne pouvant se faire à la sensation de tuer une personne, d'ôter une vie.  Elle sera sur le qui vive, mais plus comme un chat apeuré, serrant son arme avec force, quitte à se couper légèrement. si vous venez à l'acculer dans un coin, elle agitera son arme pour vous intimider et si vous vous coupé, elle fuira, ayant des frissons à voir le sang sur elle. Si vous arrivez à la désarmer et dominer la situation, elle se recroquevillera, comme une misérable chose, sachant qu'elle ne peut plus rien faire sans son arme.  

Ce qu'elle a perdu depuis son enfance ? La pudeur, la vaillance, l'honneur et bien d'autre choses qui faisait la fierté de la famille Del Casario, n'étant plus que le reflet d'elle-même.  Porter des tenues provocantes ne la dérange plus, devoir se mettre à genoux et lécher le pied d'une personne ne la répugne plus. Elle se soumet à plus puissant qu'elle, ne combat que si obligation, sais vivre avec beaucoup, comme avec rien. Elle pourrait être une esclave, si son instruction avait été toute autre.

De quoi a-t-elle peur ? Que l'on brise son arme, ce qui reviendrait à briser une partie de son corps, vous seriez étonné de voir les effets sur Silvia. La défaite, qui est synonyme de viol. Que des serviteurs voire pire, des membre de sa famille, la découvre. Elle serait couvert sous la honte et n'oserait pas se montrer, n'étant plus bonne à marier, semblant se satisfaire de cette vie de meurtre ou de débauche, même si non consentit.

Histoire :

Silvia est la dernière de la famille Del Casario et en étant la cadette, elle fut la source d'attente plus ou moins importantes. La jeune fille n'eut aucun signe distinctif à sa naissance, ayant beaucoup plus hérité de la beauté de sa mère. Toute petite, elle avait une grande empathie envers ses aînés, elle savait faire des bêtises quand son frère et sa soeur se faisaient réprimander, sauvant des fois ses derniers de longues leçon de moral. Cette enfant fut assez précoce pour son âge, tant dans l'apprentissage de la lecture que dans le fait de parler. Elle n'avait pas beaucoup de qualité première si ce n'est d'apprendre rapidement, d'être curieuse.

Silvia vint à s'intéresser aux  séances d'entrainement de son frère, elle était toujours joyeuse de voir son frère faire des gestes qui la semblait difficile à faire, essayant de les reproduire avec une branche en secret, car son père, Francesco Del Casario, considérait qu'elle était encore trop jeune pour apprendre à se défendre. Sa capacité d'apprendre fut un calvaire pour Arthur, qui devait des fois se plier devant l'intuition de la cadette, appliquant rapidement ce qu'elle avait apprit, si bien qu'aux jeux d'échecs Arthur du laisser tomber toute idée de gagner à la régulière.

Elle eut six ans quand l'attaque envers la famille Del Casario se produit. Ce fut certainement le souvenir le plus douloureux et le plus violent qui existe dans sa mémoire, après d'autres qui sont survenue plus tard. Elle a tenté, en vain, doublier cette journée où l'odeur du sang, les cris de peur et d'agonie étaient présents.  Elle ne put oublier cette journée où ses jambes étaient devenue si douloureux, que sa grande soeur dû la porter. Elle ne put oublier le cris de cette dernière quand une lame vint à la trancher et la fasse tomber sur le sol.  La jeune fille ne put savoir si sa grande soeur avait survécu. La cadette ne fut pas tué, pour la simple raison qu'un membre de la troupe vint à proposer de capturer la petite et de la vendre sur le marché noir. Il était hors de question de vendre la progéniture d'une famille désignée comme traître à la couronne sur le marché classique. Le marché noir était le lieu parfait, seul la certitude d'un produit en bonne santé était respecté, vêtir n'était pas obligatoire, bien qu'apprécié et les vendeur pouvaient battre les esclaves qui l'ouvraient trop.  

La cadette passa une semaine au marché noir, se prenant des baignes quand elle chouinait trop. Au bout de cette semaine, elle fut achetée par un haut dignitaire d'Ashnard, enfin ... haut dignitaire n'était que l'image dont il laissait paraître. Il était commun, chez lui, d'acheter les enfants sur le marché noir pour les lâcher dans son arène personnelle. Son instruction en tant que combattante ne fut ajourné, dès les premières minutes dans ce lieu où la vie en tenait qu'à un fil, elle reçu une dague en main et opposée à un adulte. Le résulta fut inévitable, se faisant battre à plat de couture, se faisant entailler la hanche droite. Dans ce lieu horrible, elle apprit que la moindre défaite pouvait mettre fin à la vie.

L'acheteur de Silivia avait laissé des consignes, ne pas trop l'abîmer, mais être plus sévère que les autres sur les punitions. Ainsi elle apprit rapidement à craindre la défaite, une défaite suffisait pour qu'elle n'ai pas de repas, assez pour qu'elle souffre de faim ou de soif, mais pas trop pour éviter qu'elle ne soit trop faible. Quand elle fini son instruction, elle se fit retirer son nom et son prénom, étant la dernière étape pour que le seigneur de l'arène ai la main mise sur ses combattant.

Le nom de Sivlia Del Casario vint à disparaître de son registre pour être simplement appelée "la Rose pourpre", elle reçu aussi l'interdiction d'utiliser sa vrai identité, devant se cantonner à son surnom. Au début elle voulu faire preuve de rébellions, mais quelques punitions corporelles suffit à rapidement la remettre à sa place de simple combattante.  

Elle vint à participer à son premier combat à douze ans, étant mise avec les enfants. Oui l'homme avait conçu deux catégorie de combat, les enfants et les adultes. Silvia put s'illustrer dans les premiers combats. Le maître de l'arène refusait que les enfants ne s’entre-tue, préférant l'humiliation de la défaire, qui était source d'amélioration des jeunes combattants. Si les premiers combat furent facile, il n'en fut pas autant pour les autres, subissant défaites et victoires. Toute les semaine, les combattant devaient passer trois fois, minimum dans l'arène, sous le regard des spectateurs qui pariaient.

Silvia, comme tous reçurent des cours pour se donner en spectacle. Elle qui avait reçu une éducation pudique, dû apprendre à porter des tenues légères et s'habituer au fait que ses tenues de combats étaient aussi là pour émoustiller les spectateurs.

Ce ne fut qu'à quinze ans qu'elle vint à changer de catégorie. Elle était devenue très belle et le maître d'arène vint à lui offrir une arme qui allait l'accompagner durant toute sa vie de combattante. La Serpentine, c'est ainsi qu'avait été baptisé son arme. Les trois années de combat avait forgé la jeune fille pour être une combattante qui ne reculait pas, reculer ici était synonyme de défaite et elle avait conscience qu'en rentrant dans la seconde catégorie, sa vie n'était plus assurée.

Pour 'fêter' l'arrivée de Sivlia dans le monde des adultes, elle dû combattre le champion de l’arène. Elle ne fit pas long fut et comme défaite, elle perdit sa virginité devant une foule toujours en délire devant le dépucelage d'une combattante. Le champion s'assura qu'elle se souvienne de cette défaite, n'hésitant pas à la frapper su plat de sa lame. Battue et souillée, elle eut, le  lendemain, un autre combat avec un homme. Effrayé à l'idée de se refaire violer, elle souilla pour la première fois ses mains du sang de l'adversaire, l'ayant embroché. Le champion revint à la fin pour la complimenter d'être une jolie tueuse.

Les journées qui suivirent furent tout aussi difficile, devant supporter de se faire prendre en cas de défaite, devant supporter le poids de prendre des vies pour gagner et ne pas se faire souiller. Cette arène avait changé la douce et frêle Silvia en une combattante prête à tuer pour se protéger. En dehors des combats, elle avait la paix, elle recevait nourriture, soin et faveur selon ses performances.

En cinq ans elle vint à avoir une bon côte, pas excellente, mais les spectateurs étaient nombreux pour venir la voir tuer des personnes ou se faire prendre, si elle perdait face à une femme, cette dernière recevait de quoi assouvir sa domination sur Silvia, aucune pitié n'était accordée aux perdants, heureusement sa beauté vint à la préserver de la mort, jusqu'à maintenant en tout cas.

Autre :

Elle manie l'épée à une main avec une certaine expertise, notamment aux lames ayant plusieurs courbe, comme le déplacement des serpents.  

Silvia confond le mot rapière avec le mot grappin, étant une erreur qu'elle a apprise petite et dont personne ne l'a corrigé depuis.  

Image de l'arme et de la tenue : http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=2607792


Relation :

- Petite soeur cadette d'Arthur Del Casario.

- Possession du maître de l'arène.

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Plus disponibles / Un personnage qui lie l'un des votre. [Réservé]
« le: mardi 26 juillet 2016, 09:17:37 »
Je souhaiterais créer un personnage qui a un lien important avec le(s) votre.

Cela peut être de la rivalité, de l'amour, un membre de la famille, etc.

L'avatar actuel est temporaire, pouvant le changer et si vous avez même des images à me proposer je suis preneuse. 

N'hésitez pas à poster un message ici pour que l'on en rediscute par mp. :)


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