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Sujets - Axis Lestuaire

Pages: [1]
1
Complexe d'études secondaires et supérieures / Tell me I'm wrong. [Dylan]
« le: samedi 15 février 2014, 22:02:16 »
Aujourd'hui a vraiment été une journée de merde. Le genre de lundi pourri qui te fout en rogne toute la semaine. J'ai toujours eu une chance incroyable pour m'éviter les emmerdes, mais pas cette fois. Parce qu'aujourd'hui, on m'a envoyé chez le psy.
Enfin je veux dire, ça partait pas forcément mal, j'ai réussi à me lever sans soucis, j'ai rien oublié en partant, je suis arrivé à l'heure, et mes cours se sont pas mal passés. Mais non, il fallait que ça dérape. Parce que j'ai pas verifié mes mails hier, et que personne n'a jugé bon de le mentionner dans la salle des profs, qu'un inspecteur venait visiter mon cours de onze heures. J'me demande si ils le savaient, en fait. C'est que dans l'équipe, je suis pas super apprecié. Remarquez, j'ai jamais caché mon ressentiment envers les profs, alors je comprendrais qu'ils ne me portent pas dans leur coeur.

Et donc, mon cours de onze heures s'est passé comme je l'avais prévu avec mes élèves: on avait profité du beau temps pour aller faire un barbecue dans la cour du lycée, et j'avais fait cours sur un petit tableau installé à côté du grill, que je surveillais. Les élèves étaient assis dans l'herbe et se faisaient passer les plats avec les saucisses et les brochettes, et c'était plutôt convivial. L'idée, c'était qu'avec la bonne ambiance et la bouffe, je pouvais gratter sur l'heure de midi pour avancer le cours, parce qu'on était un peu à la bourre, par rapport à mon planning du trimestre. Mais l'inspecteur a déboulé avec une sale trogne, contrarié de nous voir en train de grailler et de passer du bon temps plutôt que de nous faire chier dans une salle de classe. Bon, en règle générale j'essaye de rendre mes cours intéressants, mais à onze heures, on ne peut pas se concentrer parce qu'on a faim.
Sauf que non, j'ai eu beau lui expliquer que je tenais quand même mon cours et qu'il pouvait à loisir interroger mes élèves, il continuait de m'engueuler. On lui a même proposé de se joindre à nous et de prendre une brochette, rien à faire. "Scandaleux", avait-il dit. Et il m'a traité d'imbécile et d'irresponsable. J'ai pas apprecié, du tout. Au vu de mes résultats l'an dernier, il avait dû se donner une idée fixe du prof modèle et studieux, et s'attendait sans doute à me voir assurer un cours de la façon la plus conventionnelle possible. J'avais démoli ses idéaux, et il me crachait sa frustration au nez devant mes élèves, surpris. Alors je l'ai coupé sec:


"Et sinon, vous allez la fermer? Vous perturbez mon cours!"

Et là, il a fait demi-tour sans rien ajouter, alors que mes élèves riaient. Je l'ai senti mal, et j'avais raison.
Début d'après-midi, je me retrouve dans le bureau de la C.P.E, qui m'incendie royalement. Oh, elle connait mes méthodes, mais elle ne s'attendait pas à ce que j'humilie un inspecteur. J'emmerde les élitistes et les étroits d'esprit. "Il a réclamé à ce que vous consultiez la psychologue du lycée si vous vouliez conserver votre job. On a dû accepter.", qu'elle m'a dit sur un ton grave. Alors je me suis retrouvé là.
Et vous savez quoi? J'ai grave les boules. J'ai toujours eu peur d'aller chez un psy. J'aime pas qu'on lise en moi. J'veux pas qu'on m'incise des idées dans la tête parce que ce que je fais, c'est pas "bien". Alors maintenant, c'est moi qui suis frustré. Je suis assis dans le couloir, juste en face de la porte de la psy. J'me souviens même pas qui c'est, en plus. Et je fusille du regard tous les gens qui passent, pour leur faire comprendre que c'est pas le moment de me gonfler. Il est dix-huit heures putain, j'voudrais juste rentrer chez moi. Les écouteurs sur les oreilles, j'écoute un peu de musique pour me changer les idées. Et ça marche pas des masses. Je tape du pied nerveusement, j'me craque les doigts, je tiens pas en place. J'ai pas envie de faire transparaître quoi que ce soit, mais c'est plus fort que moi. J'aime pas attendre. Et j'veux pas y aller. J'ai qu'une envie, celle de me tirer.

2
Vous nous quittez déjà ? / Wéééé, c'est la rentrée!
« le: samedi 24 août 2013, 17:03:41 »
Comme dit dans le titre, rentrée oblige, je serai absent à partir de jeudi prochain inclus. Pour une durée indéterminée, du fait que je ne sais pas du tout quand j'aurais de nouveau la ligne, une fois revenu à la résidence étudiante. J'estime mon absence à environ trois semaines, quand même.

Alors, est-ce que je vais remettre mes RPs à jour avant de partir, j'en sais rien du tout. Le fait est que j'ai à faire, que je fais rien parce que je prévois rien, et que du coup, je suis pas forcément d'humeur à écrire. Je compte déjà avancer la réécriture d'X-SMYLE qui est au point mort, mais ça non plus, j'suis pas motivé ces temps-ci.

3
Les alentours de la ville / When everything you had got destroyed.
« le: jeudi 09 mai 2013, 02:28:39 »
C'était la seule que j'avais. Et il me l'a prise.
Je gueule, je crie. J'le secoue et je lui file des coups de pieds en l'insultant, en jurant. Je veux juste qu'il me la rende. J'en ai pas d'autres. Je regarde à gauche, à droite, personne. Il n'y a pas un chat. Nulle part.

Je me suis réveillé trois heures plus tôt. Je ne pouvais pas bouger, et je sentais des poids, partout sur mon corps. Il faisait noir, la lumière ne filtrait pas, et la chaleur était étouffante. C'est en m'extirpant progressivement et en cherchant désespérément une voie d'air que j'ai fini par me retrouver au sommet d'une montagne de décombres, qui autrefois était mon lieu de travail, le lycée. J'avais une plaie superficielle sur la joue , couverte d'un mince filet de sang séché mêlé à la poussière des débris. Le verre gauche de mes lunettes était fissuré, et j'avais donc calé la paire dans le col de ma chemise, dont j'avais dû arracher une manche pour libérer mon bras droit. J'avais mal partout, je toussais et je boitais. J'avais erré dans les rues désertes.

Si certains bâtiments s'étaient effondrés de façon hasardeuse, d'autres se tenaient toujours debout, les vitres brisées. Le plus étrange étant que toutes les fenêtres semblaient avoir volé en éclat depuis l'intérieur. Et aucune trace d'autres êtres humains, même dans les voitures carbonisées qui chevauchaient le trottoir et la chaussée, qui s'étaient encastrées dans les murs, retournées.

Je n'ai absolument aucun souvenir de ce qui s'est passé, et je ne sais pas combien de temps je suis resté inconscient. Je devais être un miraculé, quelque chose du genre. Tu parles d'un miracle. J'avais toujours voulu assister à la fin du monde, mais je ne pensais pas vraiment y survivre. Et là je me retrouvais à cogner sur un distributeur de sandwichs, qui m'avait pris ma dernière pièce de 10 yens. Personne à droite, personne à gauche. J'ai vu personne, aujourd'hui. Je balance mon poing au travers la vitre du distributeur, on est plus à un carreau pété près.
Ça se passe toujours vachement bien quand quelqu'un brise un carreau dans les films. Moi j'avais des bouts de verre fichés dans la main gauche, que je retirais en grimaçant. Puis un sourire. Souvenir d'enfance, la première fois que j'ai brisé une vitre à poings nus. J'avais cinq ans. Je grognais tout de même, attrapant deux ou trois sandwichs qui s'offraient maintenant à moi. Dans l'immédiat, trouver de quoi bander et désinfecter ma main gauche, ce serait bien. Et puis, parce que finalement j'ai mal et qu'un peu d'aide ne serait pas de refus, je gueule dans la rue déserte:


"Ooooooï! Y a quelqu'un?"

4
Le coin du chalant / Apocalypse! Now!
« le: mardi 07 mai 2013, 01:46:15 »
Je propose un RP particulier. Il s'agirait d'une grosse parodie de séries TV post-apocalyptiques, avec des situations totalement invraisemblables et absurdes et des retournements dramatiques exagérés. Il pourrait être rejoint ou quitté à n'importe quel moment, je pose juste deux trois conditions:

- Me MP, au mieux poster ici avant de rejoindre.
- Avoir un personnage avec peu ou pas de capacités surnaturelles.
- Respecter l'ordre des t... Nan ça on s'en balance, mais à plus de deux participants, je demande juste que vous laissiez au minimum deux réponses entre vos interventions.
- Les caméos sont autorisés.
- Un minimum de 8 lignes de narration par post. Parce bon, quand même.


Je lançerai quand j'aurais au moins un intéressé.

5
Prélude / J'vais détruire le monde! [Valawdé]
« le: mardi 23 avril 2013, 03:12:44 »
"Le prof de français? Ben il est... Spécial. On sait jamais si on doit le prendre au sérieux, et il est assez flippant, des fois. Il parait qu'au début, les élèves le prenaient pour un yakuza, et qu'il en aurait tabassé quatre la veille de la rentrée. J'me demande pourquoi ils ont pas porté plainte d'ailleurs, faudrait demander à Tomoe, une élève de troisième année."
- Misaki, élève de deuxième année.

"Monsieur Lestuaire? Un très bon élément, je suis content qu'il ait rejoint notre lycée. Il n'en a pas l'air, mais c'est un excellent pédagogue. Rendez-vous compte, sa carrière a débuté l'an passé, et le taux de réussite de ses élèves sur les tests de fin d'année a atteint quatre vingt-dix pour cent! Quatre-vingt dix! Sur une matière aussi secondaire, c'est un score remarquable!"
- Mme Takamura, C.P.E.

"Lestuaire? Un bon à rien, indigne d'enseigner! Il ne suit même pas le programme! Il n'utilise même pas de manuels! Il se contente juste de s'asseoir sur le bord de son bureau et de raconter des idioties pendant une heure! Si ça ne tenait qu'à moi, il n'enseignerait déjà plus! Rendez-vous compte, cet homme a tabassé quatre de ses élèves avant même son premier jour! Et ils n'ont pas porté plainte... Entre nous, je suis certain qu'il a des contacts avec la mafia, il a dû leur mettre la pression, pauvres enfants!"
- Un collègue anonyme.

"Ah, m'sieur Lestuaire... Tout le monde l'aime bien, parmi les élèves. Les filles le trouvent chou et le fantasment à mort, et les mecs le trouvent cool, avec son tatouage dans le cou et son regard vague. Le mec dès son premier cours, il est entré dans la salle en faisant "Yo!", et direct il s'est présenté en faisant "Je m'appelle Axis Lestuaire, je serai votre prof' de français, j'ai vingt-six ans et j'ai pas d'copine!". On a direct compris qu'on se ferait pas chier, avec lui. Et faut voir le mec que c'est, aussi. "Je suis prof que dans l'enceinte du bahut et pendant les heures de cours, le reste du temps, faites pas chier", qu'il a dit une fois."
- Kota, élève de troisième année.

"Je... Comment expliquer... C'était la veille de la rentrée, il faisait nuit noire et je rentrais chez moi. Et là quatre garçons sont venus me tourner autour et à me faire des avances déplacées... Et puis d'un seul coup ils se sont énervés et ils m'ont entrainé dans une ruelle. J'ai senti leurs mains, sur ma bouche et... Partout. L'un d'eux avait un couteau, j'ai vraiment cru que c'était la fin, vous comprenez... Et puis ce type es sorti de nulle part, comme dans un rêve, et il a... Oui, on peut dire qu'il les a balayés comme un rien. Il avait pas l'air très costaud, mais il les a battus à mains nues, tous les quatre sans même se faire égratigner. Il les a traités de déchets et il est reparti comme ça, sans rien ajouter. Le jour de la rentrée, j'me suis retrouvée dans la classe des quatres garçons, et j'ai eu si peur que j'en ai pas fermé l’œil de la nuit. Et le lendemain, on découvrait le nouveau prof de français. C'était lui."
- Tomoe, élève de troisième année.

"Monsieur Lestuaire? Oh vous savez, il n'est pas très bavard, c'est dommage pour un professeur, je suppose. Il est arrivé ici il y a un an, tout souriant en disant qu'il était venu de France pour enseigner ici. Il ne parle pas beaucoup de son passé, mais il a souvent l'air nostalgique. Et son regard est rude parfois, on dirait qu'il a vécu beaucoup de choses, jusqu'ici. C'est un peu triste quand j'y pense, un fier jeune homme avec des yeux si tristes. Il est souvent souriant, galant, poli et courtois, mais... C'est comme si de vieux démons le hantaient, vous savez. Il a causé quelques problèmes au voisinage, à force d'écouter de la musique à haut volume, mais il suffit d'aller le voir pour que le problème soit résolu. Ah, un jour je lui ai demandé pourquoi vouloir faire professeur si loin de chez lui. Et il m'a répondu avec un sourire "j'vais détruire le monde"."
- M. Teramoto, propriétaire de la Sakura House où réside Axis.

"Oh, Axis? Plutôt mignon, grand, cheveux noirs, yeux bruns, lunettes fines... C'est un européen, mais il se promène souvent en kimono, il dit qu'il s'y sent plus à l'aise. On prend souvent le thé ensemble, et... D'accord j'avoue, son tatouage dans le cou me fait fondre, c'est le kanji de la nuit. Il a la peau assez pâle aussi, il ne sort pas beaucoup de chez lui. En général il est vautré sur son lit devant son ordinateur, à bosser ses cours ou à jouer. Je m'inquiète un peu pour sa santé, il ne sait pas cuisiner et il se nourrit exclusivement de plats préparés et autres sucreries! D'ailleurs pour ce que j'ai pu voir une fois alors qu'il était torse nu, il n'est pas très musclé non plus. Il semble s'entretenir un pau mais... Sans plus."
- Melle Teramoto, fille du propriétaire.

"Axis Lestuaire? Oui, je l'ai observé quelques temps. Il semble assez introverti au premier abord, mais développe rapidement ses liens affectifs. Plutôt intéressant je dirais, il semble à la fois appliqué dans son travail et déterminé à ne pas faire comme tout le monde. Il prétend être devenu professeur parce qu'il déteste les professeurs, et que ça lui permettrait de "détruire le monde". Je dois avouer que sa logique m'intrigue quelque peu. J'ai aussi l'impression qu'il refoule certaines pulsions de violence, comme s'il avait peur de se mettre en colère en public. Je suppose qu'il a eu de mauvais antécédents."
- Dylan Ellison, psychologue.

"Cet abruti? Ha, ça fait longtemps qu'on s'est pas revus. Déjà quand on étudiait c'était pas trop ça, maintenant qu'on est profs chacun à son bout du monde... Enfin ouais, il est un peu lourd, mais il est sympa. On a vécu les même choses et on partage à peu près les même points de vue, c'est à la fois rassurant et... Terriblement irritant. On s'considère l'un l'autre comme des adversaires de valeurs, ce genre de trucs. "J'suis le seul qui ait droit de te mettre au tapis et de te piétiner comme une sous-merde", qu'il m'a dit une fois. On s'parle de temps en temps via messagerie sur le net. J'avoue que l'idée de le revoir, boire un coup et déconner comme avant, ça m'pince le cœur, des fois. Et puis ensuite, je l'explose, pour la forme."
- Lambert, rival d'Axis.

"Hein? Tu veux des infos sur moi? Putain, pour la dernière fois j'suis pas un yakuza, regarde ma serviette, j'suis un prof, un prof! Je m'appelle Axis Lestuaire, vingt-sept ans, prof de français célibataire! J'veux détruire le monde et vivre dans une ancienne auberge avec des sources chaudes! ... Je sais pas dans quel ordre, encore. Et puis c'est quoi ces questions, il est sept heures du matin, je dois être au lycée dans une demie-heure et j'aime pas être à la bourre! En plus j'ai encore paumé mon kiseru, moi et ma mémoire légendaire... Tu veux quoi? En savoir plus sur ma vie avant mon arrivée ici? J'en avais pas. Casse-toi. Déchet."
- Axis Lestuaire.

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