Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Hikari Tenoshi

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 La petite fête venait de se terminer. Les courbettes incessantes, devoir faire la docile geisha jusqu'au bout, ça devient vite étouffant, au moins en dehors je n'ai pas besoin de jouer un rôle, et c'est vraiment reposant. Seikusu regorge d’endroit où l’on peut se retrouver seul avec soi-même, mais depuis que ces gens bizarres ont débarqués sur Terre, il est difficile de ne pas apercevoir un personne sillonner les nuages et jouer avec les avions.
Je erre  dans les rues, et je remarque que le soleil est encore haut, mais le crépuscule ne va plus tarder, c'est pourquoi je décide de profiter des derniers rayons sur les toits de Seikusu. En effet, la nuit tombée, je devrais me rendre quartier de la Toussaint et mener ma petite enquête…

Au détour d'une rue un peu moins bondée, je m'agrippe à une gouttière apparente assez solidement fixée au mur pour supporter mon petit poids, et je grimpe jusqu'à atteindre la dernière terrasse. Je m'assure rapidement que personne n'y est, je décide donc de me mettre en équilibre sur la barrière et de me hisser sur le toit. Les tuiles sont encore tièdes, je monte sur la cime de la maison et m'y assoie, faisant profiter à mes cuisses et mon postérieur de la chaleur des tuiles. Ça me détend. Mon visage baigne dans la douce chaleur du couché de soleil, nimbé dans une belle lueur orangée.

Je soupire, et repense à cette journée. Mon anniversaire, mes oncles, mes parents et leur merveilleux cadeau bien caché contre mon dos, sous mes vêtements. Je veux la contempler, encore. J’attrape le manche, et sors doucement le long katana de son fourreau, sa lame scintille et sa garde brille d’une lueur sombre. Je caresse le plat de la lame avec la paume de ma main, et observe avec quelle finesse elle fût forgée. Une merveilleuse lame, pour un nom si modeste « Hari no Oni », l’aiguille du démon. Je la range avec satisfaction.
Le soleil semble vouloir m’accorder encore une petite heure d’attention, je décide donc de m’allonger, faire le vide, et profiter encore un peu de ma solitude, yeux fermés.

L’air se rafraîchit… Anormalement… Je n’entend rien, mais contre mon coude, les tuiles vibrent légèrement… Quelque chose, ou quelqu’un approche, avec une discrétion quasi féline. Mes yeux restent clos, et mes oreilles au aguets…

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Le quartier de la Toussaint / Curiosité, mal placée... ? [PV Félicia]
« le: vendredi 20 juillet 2012, 23:11:12 »
Cette petite fête m'a réellement ennuyé. J'ai fais bonne figure afin d'épater le gratin bien-sûr, surtout en ces temps troubles où certains petits litiges entre clans commencent à s'ébruiter. Ce n'est pas le genre de choses à prendre à la légère, c'est pourquoi en cette fraîche soirée, je me permet une petite balade nocturne au sein du quartier qui porte très mal son nom : "Le quartier de la Toussaint". D'après ce que j'ai compris, une tradition européenne, un truc du genre. Étrange dans un Japon conservateur, mais il faut bien signifier aux gaidjins qu'ils sont les "bienvenus".

*Ahahah, pauvres touristes, s'ils osaient s'aventurer ici...*Pensé-je.

Cet après-midi, j'ai reçu ma seconde arme blanche, la première était un wakizashi adapté à ma petite corpulence mais ayant pris de l'âge et un peu plus de force physique j'eu le privilège de recevoir "Hari no oni", l'aiguille du démon. Nom modeste pour le magnifique katana à la garde noir et rouge sang, couleurs emblèmes des Tenoshi. Comme à mon habitude, je le place dans son fourreau laqué, le long de mon dos sous mes vêtements histoire de ne pas signifier clairement ce que je représente, prenant soin d'avoir le manche près de ma main afin de dégainer rapidement en cas de problèmes. Jusque ici, je n'en ai jamais eu besoin, mais qui sait...

Je me balade dans les rues sinueuses de ce quartier dans lequel je me sens étrangement à l'aise, sûrement dûe à mon statut, malgré les regards en coin de pauvres laquais de Yakuza, des "Host" prostituées au masculin. Beaucoup d'entre eux se prennent pour des chefs de gang, mais une simple gifle suffit à les faire redescendre.
Je lance mon regard le plus noir à l'un d'eux ridiculement coiffé d'une tignasse blonde en épi dressé sur son crâne, accompagné d'un sourire narquois :

*Eh oui mon pauvre petit, t'es sûrement à la botte d'un copain de Papa.* J'éclate d'un petit rire hautain qui lui fait comprendre le fond de ma pensée.

Je me permet même de m'arrêter près d'un stand de sucreries ne devant sa survie qu'aux bonnes faveurs d'un sous-fifre et m'en achète quelques une. Et c'est donc avec un bâtonnet de sucette à la bouche que je marche d'un pas nonchalant vers un coin un peu plus problématique.
Je n'ai pas été mise au courant de cette histoire, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs, mais le nom de cette rue m'est souvent venu aux oreilles lorsque je tentais d'écouter les réunions secrètes de papa.
Au bout de cette rue qui se fait sombre trône là une somptueuse maison, affublée avec goût. Sur le portail est soudé une sculpture métallique, un blason, sûrement celui de la famille à l'intérieur. Il me dit vaguement quelque chose, mais...

"-Qui ça peut bien être ça...." Me demandé-je à haute voix, lorsque soudain, presque inaudibles, j'entend des pas se rapprocher de moi avec assurance...

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Nom/Prenom/Surnom : Tenoshi Hikari

Âge : 20

Sexe : Femme

Race : Humaine

Orientation sexuelle: Bisexuelle

Description physique :

Au premiers abords, nous sommes surpris de constater la douceur des lignes de cette jeune femme disposant de tous les traits de caractères typiquement japonais : un visage arrondis surmonté de pommettes saillantes, un nez légèrement aplatis et une petite bouche charnue et rosée. Sa peau est digne des plus élégantes geishas : pâles comme les neiges du mont Fuji et duveteuse comme une pêche en pleine saison. Son visage est mis en valeur pas une chevelure noire et soyeuse comme du satin.
Cependant, un détail reste intriguant : la couleur de ses yeux. Un bleu azuré qui sous-entend que la jeune femme est peut-être issue d’un métissage lointain. Un nordique, ou autre race des contrées froides. De petite constitution, elle ne dépasse pas le mètre soixante, et ses membres sont fins et délicats, malgré des muscles souples et élastiques. Malgré cette fébrilité physique, son épaule droite est ornée d’un tatouage, une estampe japonaise typiquement Yakuza.

Caractère :

Hikari dégage une aura de sérénité, un grand calme quasi funéraire en toute circonstance, mais ceci n’est qu’une facette, sous ses airs innocents et dociles, elle est dotée d'un caractère bien trempé qu'elle n'use qu'à bon escient. Déterminée, elle ne lésine pas sur les moyens d’avoir ce qu’elle veut. Offrez lui une récompense, et elle serait capable de retourner ciel et terre pour accomplir sa mission. Plus vous serez généreux, et plus elle sera docile, en revanche, tentez de l’arnaquer, et vous pouvez considérer votre vie comme terminée, et ce, dans le meilleur des cas.
La jeune femme dotée d’un sens de l’observation et de déduction inouï, peut vous embobiner et vous manipuler aisément si vous ne prenez pas garde à vos dires. En petite pro de l’informatique, elle sait effacer ses traces quand la situation devient trop délicate.
Épicurienne de nature, et malgré sa culture très conservatrice, la jeune femme aime se satisfaire de peu de choses, mais la chaleur humaine reste uns de ses passe-temps préférés, où elle dévoile tantôt tendresse féline tantôt une violence démoniaque, tout dépend de son partenaire de jeux...

Histoire :

« Je fête mes vingt ans aujourd’hui. Toute ma famille est réunie autour de la table, mes cinq oncles et leurs femmes sagement postées près de leur mari. Je suis en tête de table, dans un silence morbide, à attendre que le shaman termine son numéro. Mes parents sont en retrait derrière moi, postés comme des empereurs sur des coussins plats en soie écarlate. L’odeur d’encens enivre la pièce et l’espace d’un instant, je me perds dans les tréfonds de ma mémoire.
J’ai vécu une enfance heureuse, fille de Yasu Tenoshi, à la tête du clan Tenoshi depuis le décès de son père. Ce nom effraie autant qu’il inspire la gratitude et le respect, c’est pourquoi depuis toujours je suis l’objet de nombreuses attentions de la part des habitants de la ville. N’ayant connu l’école publique qu’à partir du collège, je n’étais pas mise à l’écart mais je sentais cette appréhension dans le regard de mes camarades de classe, et pour être honnête, j’ai toujours adoré cela. J’étais crainte, mais appréciée. En effet, la clef d’un bon futur chef de clan est de savoir s’entourer, il fallait donc que j’use de toute ma patience pour me faire aimer de mes « amis », ils me seraient sûrement utiles plus tard.
 A quinze ans, on m’encra de mon premier tatouage, un dragon noir aux traits graphiques, preuve de notre évolution permanente dans le monde qui nous entoure, orné de symboles traditionnels.
Pourquoi une femelle est-elle destinée à reprendre les rênes d’un clan Yakuza ? La raison est simple. Hina Takahashi, fille du cinquième fils de Shin Takahashi, était en son temps une femme courue et convoitée. C’est par alliance stratégique qu’elle fut mariée à mon père, a qui elle offrit le plus magnifique des enfants, moi (ahah !). Seulement, chez les Yakuza, la femme n’a aucuns rôles martial, politique ou encore stratégique à jouer, et c’est lors d’une énième fausse couche que le verdict tomba : son organisme ne pouvait accueillir autre descendant. La honte est tombée sur elle à défaut, par bonheur, de tomber sur la famille.
C’est donc depuis cette tragédie que mon père me forma pour cette destinée. Très vite, il m’apprit à user de ma cervelle, faute de pouvoir utiliser mes muscles. Je me rappelle encore les heures durant passées devant un jeu de go, à devoir anticiper tous ses coups, apprendre à ne jamais être surprise et toujours avoir un coup d’avance, tandis que d’autres professeurs grassement payés m’enseignaient les matières de bases, ou m’instruisaient à d’autres disciplines plus modernes comme le hacking, la programmation, et autres choses qui me permettrait d’avoir un œil et un impact cybernétique sur les affaires.
Cela s’averra très utile, jusque là, Papa n’a jamais eu idée de mes petites aventures avec mes chers cousins, tout aussi discrets et raffinés que moi. Je ne me suis encore jamais aventuré à consommer d’autres personnes que ceux de ma famille, même si les tentations furent lourdes lorsque que j’étais au lycée.
Je respirais profondément, et me rappelait cette période, où une chose étrange m’arriva. Ce jour là je retrouvai Takeshi, mon cousin, dans une allée sombre de la bibliothèque où nous aimions nous adonner aux plaisirs de la chair pour notre dernier jour de lycée. L’apogée de notre plaisir commençait à nous envahir, et dans une grande lumière blanche, nous furent comme… transportés. Je ne suis pas folle, Takeshi fut aussi témoins des merveilles que nous y avons trouvé ! Une grande contrée peuplée de personne étranges et pourtant merveilleuses ! Où toute personne pouvait s’adonner à ses fantasmes sans retenue !
Je sens mon ventre frémir d’envie. Je regarde le shaman danser sur la table basse, il a terminé ses gesticulations, et toute ma famille se lève et vient m’embrasser avec retenu.
Une chose est sûre, cela fait près de deux ans que j’ai quitté ce lycée. Mais une chose est sûre, je retournerai dans cet endroit, qu’importe ce qu’il en coûte…»

Situation de départ : Quelques expériences osées avec ses cousins.

Comment avez vous connu le forum : Google :3

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: Je ne crois pas... :/

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