Sujets

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Vous nous quittez déjà ? / Je suis absente !

« le: samedi 21 juillet 2012, 07:59:24 »

Coucou

C'est les vacances, je coure, je coure ! Résultat je vais etre absente une semaine, là une semaine, absente une semaine de plus, là une semaine et absente pendant 10 jours, ce sera alors la reprise du boulot et du rythme normal ^^

Pfiou qui a dit que les vacances sont reposantes ?

Pardon à tout les mps que j'ai pas pu faire, avec les valises et autres préparatifs je coure je coure ^^

Boris je te réponds en revenant en attendant ne saute pas

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Bureau de la direction et infirmerie / Petit oubli en salle des professeurs [PV Gabriel Valmy]

« le: samedi 07 juillet 2012, 17:48:04 »

Assise à mon bureau, seule dans la salle des professeurs je soupire une fois de plus. Fin de la première journée, l'année va être difficile, les élèves ne sont pas particulièrement attentifs, un fils à papa m'a même répondu que l'art ne servait qu'à obtenir des réductions d'impôts. Mes collègues ont rit à cette histoire et j'ai bien vu que le professeur de mathématique pense que l'élève n'a pas tort. Toutes les années ne peuvent pas être de bonne année mais quand même ! Dire que je pensais que cette année serait intéressante et bien il faut croire que mes intuitions ne sont pas toujours bonnes !

Je soupire de nouveau, la tête entre mes bras, on pourrait croire que je dors sur mon bureau comme le font les élèves. D'ailleurs sans que je m'en aperçoive je dérive vers le monde des songes, peut être est ce parce que je suis dans une salle de classe, peut être à cause du rêve de ce matin. Je suis de retour en arrière, me revoilà à 17 ans, j'entre dans la salle des professeurs avec les joues rouges en compagnie de ma maîtresse, nous venons voir monsieur Dupré notre professeur de mathématique.

« Mesdemoiselles ? Que puis je pour vous ? », nous demande monsieur Dupré en levant les yeux juste un instant avant de reprendre la correction de ses copies.

« Allons Pupuce », me dit elle en me claquant les fesses.

« Oui maîtresse », je rougis et je retire mon chemisier en tremblant, ce n'est pas la première fois que mes seins ronds et blancs se balancent sous les yeux d'un homme mais la première que je le fais devant un de mes enseignants.

« Qu'est ce que cela veut dire ? Mademoiselle Delajoue arrêtez de suite je vous prie », je n'écoute pas, je le vois faire de grands yeux en posant son regard sur les anneaux en or qui brillent à mes tétons, je sens mes pointes durcir devant lui alors que ma jupe tombe au sol.

« Nous sommes là pour parler de ma dernière note de mathématique », depuis qu'elle me l'a ordonné je ne porte plus de sous vêtements et mon professeur de mathématique peut découvrir que son élève préférée est une vraie blonde à la toison finement taillée qui par mon pubis, une toison qu'elle a pris soin de dessiner pour dégager complètement la vision de mes lèvres les plus intimes.

« De votre dernière note vous plaisantez ? », dit il sans comprendre le rapport avec tout ceci alors qu'elle me fait un signe et que je me glisse à quatre pattes sous son bureau pour réapparaître entre ses cuisses.

« Je vous en prie mademoiselle Delajoue sortez ... »

« Clic »

« Qu'est ce que ?! »

« Regardez moi si l'angle de vue n'est pas bien choisi ? », elle montre la photo qu'elle vient de prendre sur son téléphone portable, je suis nue en chaussette et chaussures d'écolière entre les jambes de mon professeur, assis devant le bureau.

« Vous voulez me faire chanter si vous croyez que ... », il tente de se lever mais elle le retient avec mon aide.

« En effet et avec ça je pourrais détruire votre carrière … mais si vous faites ce que je dis, si vous transformez un 6 en 16 vous n'aurez pas à le regretter », ma main coure à la fermeture éclair de son pantalon, je l'ouvre et plonge ma main pour saisir son sexe.

« Arrêtez de suite si vous croyez que vous pouvez agir ainsi », je me fige de crainte.

« Allons monsieur si vous pensez qu'il vaut mieux que votre femme, votre famille, vos collègues voient ça plutôt que de profiter de la bouche de Pupuce je vous en prie, sortez », dit elle en souriant.

Il hésite, ne dit rien, ne bouge pas. Elle me fait un signe de la tête et je sors sa verge en rougissant. Je n'ose le regarder alors que ma bouche approche lentement. Mes lèvres se referment sur sa peau, son gland repose dans ma langue. Je l'entend gémir, c'est si réel que je sursaute. Je bondis devant mon bureau, j'ouvre les yeux, je suis dans la salle des professeurs toute seule, quelqu'un me regarde depuis la porte. J'ai les cheveux qui colle de transpiration, une main entre les cuisses, j'ai du me caresser pendant mon rêve sans en avoir conscience. J'avale ma salive et me lève comme si de rien était.

« Je peux vous aider ? », depuis combien de temps était il là ? Qu'a-t-il vu ?

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Bureau de la direction et infirmerie / Premier jour et rencontre impossible ! [PV Mélanie Rosenberg]

« le: samedi 07 juillet 2012, 15:29:20 »

Assise sur un lit de l'infirmerie, serrant la compresse sur ma main je repense à ma première journée de cours dans ce lycée. Je pensais bien que cette année serait pleine de surprise mais j'avoue que là ça commence fort ! Tout avait bien commencé pourtant, j'ai suivi un petit groupe d'élèves jusqu'ici en les écoutant discuter. Il était amusant de les entendre s'interroger sur le nouveau professeur d'arts plastiques et instructif d'apprendre deux ou trois petites choses sur mon prédécesseur. Visiblement monsieur Tanaka qui a atteint l'âge de la retraite l'an dernier était un petit peu décalé … Du moins c'est ce que l'on peut penser en entendant les élèves parler des sorties dans la nature et des heures passé à sentir les arbres en collant sa joue contre le bois sans finalement ne jamais en dessiner un.

Dire que je n'ai fait que deux heures de cours et que je vais déjà sûrement devoir annuler le reste de la journée … enfin tout dépendra de ce que va me dire mademoiselle Rosenberg. Je me demande s'il est possible que … Après tout ce temps ? C'est certes le même nom de famille mais ça ne veut rien dire, s'il faut je vais tomber sur une vieille fille, l'un de ces vieux dragons qui hantent les établissements scolaire. Je souris à l'élève qui m'a accompagné ici.

« Tu peux retourner en cours Alice, tout ira bien »

« Vous êtes sûre mademoiselle ? »

« Mais oui puisque je te le dis, ne t'inquiète pas je suis à l'infirmerie tu ne peux rien pour moi que ne pourra pas faire l'infirmière »

« Vous avez raison mademoiselle, je vous laisse, j'espère que ça ira »

« Vas donc, ça va aller », lui dis je gentiment.

Alice est une élève de mon premier cours de la journée. Les élèves ne prennent pas vraiment au sérieux les cours d'arts plastiques, encore moins ici au vue de mon prédécesseur. Pour changer cela je fais en sorte de rendre les cours plus vivant, plus attractif. Je commence l'année par un tour d'horizons des différents styles d'art, le dessin, la peinture, la sculpture, la poterie, je ne choisis que des disciplines que l'on peut réaliser en classe. Je présente ensuite différents courants, comme le cubisme, l'abstrait, le pointillisme. Pour cela j'utilise ma tablette graphique rien que ce genre de petits jouets high-tech ça fait de l'effet en classe. Le lycée n'ayant pas de soucis de financement j'ai pu faire installer pendant les vacances un vidéo-projecteur au plafond de la salle, j'ai accepté que la salle soit utilisé par le club de cinéma après les cours un jour sur deux en alternance avec le club d'art.

« Les cours seront découpés en deux parties, la première heure nous verrons ensemble le contexte historique et les caractéristiques de l'art que nous mettrons en pratique lors de la seconde heure. Je vous montrerais des œuvres de grands mettre du genre et nous discuterons ensemble de pourquoi ces œuvres sont considérées comme de grandes œuvres. », les regards des élèves varient toujours entre l'ennui qui s'annonce déjà et l'intérêt de quelque chose de différents pour d'autres.

« Les évaluations se feront en deux parties d'égale importance, la première sera une partie écrite sur les dates, définitions et œuvres que nous aurons vu ensemble, la seconde partie sera une notation de votre implication et du travail que vous réaliserez pendant les cours », comme à chaque fois le brouhaha qui suis cette déclaration me contraint à attendre un instant. Je laisse un instant les élèves évacuer leurs frustrations avant de claquer la table du plat de ma main pour faire revenir le silence.

« Ce n'est pas à discuter jeunes gens, vous pouvez maintenant choisir les trois formes d'arts que nous verrons ensemble cette année, en fin d'année j'organiserais une exposition des plus belles œuvres que l'ensemble de l'établissement aura produit. Maintenant qui veut prendre la parole, voulez vous faire du dessin ? De la peinture ? Vous sentez vous l'âme d'un sculpteur ou encore d'un potier ? »

Le reste du cours a été consacré a un moment d'échange entre les élèves avec moi pour arbitrer et finalement établir un planning pour l'année que tout le monde accepte. J'ai ensuite parlé du club d'art en précisant que pendant le club chaque semaine un membre du club servirait de modèle aux autres. On m'a demandé si je serai aussi modèle et j'ai répondu que oui j'aurai mon tour comme tout le monde. Tous les ans on me demande si on fera du nu et comme tous les ans je réponds que s'il l'ensemble des parents du club signe un accord et que les élèves obtiennent l'accord de la direction je n'ai rien contre mais que non je ne serais pas le modèle de nue, même si au fond de moi je meure d'envie d'accepter.

Le cours s'est fini dans le calme, quand la cloche a sonné je les ai libéré et j'ai commencé à mettre un peu d'autre dans cette salle. Perdu dans mes pensées j'étais entrain de déplacer ce qui ressemble à une sculpture composé de lame de rasoir et de cuter. J'avoue que je me demandais comment monsieur Tanaka avait pu exposer quelque chose d'aussi dangereux dans une salle de cours et comment la direction avait pu le laisser faire, j'avais du mal à croire qu'elle puisse ne pas être au courant, les élèves sont bavards, tout le monde doit connaître la sculpture de rasoir du prof de dessin fou.

« Mademoiselle Delajoue ? »

La voix de l'élève ma surprise et j'ai lâché la « sculpture », un rasoir a glissé sur ma main m'entaillant méchamment l'intérieur de la main.

« Aie ! »

« Mademoiselle ! », l'élève, Alice, se précipité paniquée, « Vous allez bien mademoiselle ? Je suis désolée ! »

« Allons allons, ce n'est pas ta faute », je la regarde, « Alice c'est ça ? »

« Oui mademoiselle »

« Conduis moi à l'infirmerie veux tu ? »

« Oui mademoiselle »

Et voilà comme je me suis retrouvée là, à attendre en serrant une compresse sur cette coupure que j'espère pas aussi vilaine qu'elle en a l'air. Attendant avec hâte, espoir et peur à la fois que mademoiselle Rosenberg arrive, que soit levé le mystère … Et si c'était vraiment elle ? Comment vais je réagir ? Que vais je lui dire ?

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Le coin du chalant / Recherche partenaire :)

« le: samedi 07 juillet 2012, 07:31:02 »

Bonjour à tous 


Je viens tout juste, enfin il y a un jour ou deux, d'arriver sur le forum et je cherche quelqu'un, homme ou femme pour commencer à jouer Voici tout d'abord le lien vers ma fiche pour vous faire une idée de mon passé avant que je vous propose des pistes de jeu :

http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=8962.0

Comme vous avez pu le lire je suis abstinente depuis ce soir où le proviseur nous a attrapé, je vous propose donc un rp qui ne sera pas forcément hentai. Voici les pistes de jeu que nous pouvons suivre :

- Premier jour au lycée, visite du campus et énoncé des légendes des lieux (qu'elles soient vraies ou inventées)
- Premier cours de dessin, entraînement sur une nature morte, la classe aborde le sujet du nu
- Inscription au club d'art après les cours

Les trois premiers thèmes sont normalement soft, pour briser l'abstinence dont je vais preuve il faudrait :

- Être la demoiselle de mon passé
- Être l'une des personnes qui a participé a des jeux érotiques avec moi dans le passé avec la volonté de refaire de moi Pupuce (homme ou femme)

Le lycée offrant des possibilités amusantes par la suite je préférerais un(e) lycéen(ne), un (e) enseignant(e) ou quelqu'un qui ai la possibilité d'interagir avec. Cela dit je suis ouverte à toutes propositions qui peuvent vous sembler intéressantes pour votre personnage et le mien !

Je rajoute une nouvelle trame complément différentes :

- Les années ont passé et le plaisir ressenti à la soumission de l'époque a laissé place à la frustration et l'envie de recommencer mais cette fois en faisant vivre à quelqu'un ce que j'ai moi même vécu, de devenir la dominante et non plus la dominée.

Pour avoir une idée de ce que je peux imaginer voilà mes deux premiers rps, il y a dedans des souvenirs intéressant pour ma futur(e) victime.

Mon rp avec Mélanie qui se passe à l'infirmerie http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=8971.0

Et celui avec Gabriel dans la salle des profs http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=8972.0

Un gros bisou à tous !

Pour le moment je ne cherche plus de rp, je peux pas gérer trop en même temps, merci à tous !

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Prélude / Florence Delajoue dite Pupuce - { Validée }

« le: jeudi 05 juillet 2012, 08:37:11 »

Nom/Prenom/Surnom : Delajoue / Florence / Pupuce

Âge : 24 ans

Sexe : Femelle

Race : Humaine

Orientation sexuelle: Tout et n'importe quoi

Description physique :
Une belle … libre à vous de compléter j'ai entendu déjà bien des mots s'associer à cet adjectif avec le temps. Si je dois me décrire de façon plus fine je suis hélas une fille grande, très grande, je fais 1m90 ce qui depuis l'école primaire m'a toujours fait faire une demi tête voir une tête de plus que les garçons. Si quand j'étais petite cela était un avantage ça en a intimidé plus d'un à l'adolescence.
Peut être est ce pour compenser cela que maman a fait des pieds et des mains pour que je puisse suivre pendant des années des cours de danse classique, elle devait avoir peur que je ne sois pas assez féminine mais grâce à cela je me déplace de façon souple, avec une aisance et une grâce propre aux danseuses.
Une taille fine au dessus d'un fessier bien rebondi et légèrement musclé, il faut dire que faire des pointes ça muscle l'ensemble de la jambe jusqu'aux fesses. Une poitrine fort avantageuse même pour ma grande taille j'ai des seins forts imposant, si bien que les garçons et parfois les filles ont tendance à plus me regarder dans les seins que dans les yeux mais après tout est ce vraiment de leur faute si c'est juste à la hauteur de leurs yeux bien souvent ?
Pour compléter ce tableau j'ai les yeux roses, une particularité que les docteurs n'expliquent pas, de très longs cheveux noués en tresse qui descendent jusqu'à mes genoux et de couleur soleil. Oui je suis blonde … vous imaginez tous ce que j'ai du entendre en cumulant tout ça ?
 
Caractère :
Je suis d'un caractère enjoué, j'aime aller vers les gens, j'ai du m'y habituer car j'aurai été seule toute ma vie sinon. J'impressionne par mon physique et ma grande taille me complexe beaucoup alors j'essaie d'en rire et de faire de l'auto-dérision un moyen de protection quelque part. Je n'ai pas ma langue dans ma poche et je ne supporte pas de voir des enfants victimes d'injustice, peut être est ce pour cela que je suis devenue enseignante d'ailleurs.
Si on me connaît comme quelqu'un qui semble bien dans sa peau en apparence, en réalité je suis rongée par le doute, la peur et la frustration. Qui pourrait imaginer que je cache un lourd secret, un secret dont j'ai peur que quelqu'un le découvre mais en même temps dont il m'arrive ardemment d'espérer que quelqu'un finisse par mettre la main dessus ...

Histoire :

« Avances ! »

La main claque sur mes fesses et je pousse un gémissement de plaisir qui provoque les rires autour de moi. Je baisse la tête honteuse comme toujours dans ce genre de cas. J'aimerai mais je ne peux m'empêcher d'entendre les commentaires graveleux qui sont fait sur mon attitude et sur mon fessier affichant déjà une belle couleur rose … C'est faux, j'adore entendre leurs remarques et surtout les siennes, c'est d'ailleurs pour elle que je fais tout ça …

« Mais tu mouilles déjà chienne »

Je sursaute à sa voix douce et un peu moqueuse mais qui exprime en même temps toute la fierté qu'elle ressent à m'exhiber ainsi à la vue de tous. Elle tire sur la laisse de métal juste pour que le collier presse ma gorge, juste pour me faire sentir un peu plus ma condition. Je repars lentement à quatre pattes dans ces couloirs que j’arpente habituellement en tant que déléguée de ma classe de terminal. Nous passons devant la porte du proviseur, j'ai toujours la même appréhension, la même peur que la porte s'ouvre. Cela fait partie du jeu aime-t-elle me dire et puis que ferait il dans le lycée après 23h ? Nous ne devrions nous même pas y être. Nous passons et poursuivons notre chemin encore une fois sans que la porte s'ouvre, sans que nous soyons découvertes.

« Qu'est ce que ça veut dire que tout ceci ?! »

« aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!! »

Je me réveille en sursaut, j'halète, ma nuisette colle à ma peau tant j'ai transpiré dans la nuit, tant le rêve a été intense. J'entends encore la voix du proviseur comme s'il était présent dans cette pièce, je vois encore le regard de ma compagne, je peux lire dans ses yeux qu'elle est désolée mais aussi la peur de ce qui va suivre.

« Encore ce rêve … tous les ans … à la rentrée des classes ... »

Je m'aperçois que je pleure alors, je sèche mes larmes et me dirige vers la douche, une douche bien chaude sous laquelle je laisse couler mon chagrin. Je n'avais pas encore 18 ans la dernière fois que je l'ai vu. Après que le proviseur nous ai surpris mes parents m'ont placé en internat sans aucun contact avec le mon extérieur jusqu'à mes 21 ans. Quand je suis sortie ils refusaient encore de me parler, ils sont morts 1 ans plus tard sans que nous ayons pu nous réconcilier. J'ai alors essayé de retrouvé ma compagne mais sa famille a déménagé quand on nous a attrapé, personne ne l'a jamais revu. Le passé étant trop lourd à porter j'ai vendu la maison et moi aussi je suis partie. Je suis professeur remplaçante, je change d'établissement toutes les années, ça sera ma troisième affectation cette année au lycée de Seikusu.

Je reste un bon quart d'heure sous ma douche, jusqu'à ce que le passé s'éloigne, alors je me claque vigoureusement les  joues pour les faire rougir et je sors de ma douche. J'ai un teint bien meilleur avec des jolies joues juste rosies, je me maquille, quelque chose de léger, il ne faut pas que les élèves se fassent des idées, juste le tour des yeux, un rouge à lèvres pas trop appuyé et un peu de fond de teint. Je prend la brosse entre mes dents, enfile mon peignoir et comme tous les matins depuis une semaine que je loge ici je me pose sur mon balcon pour profiter de l'air frais pendant que je me brosse les cheveux et que je fais cette longue tresse qui me caractérise bien.

« Bonjour Florence vous allez bien ? Pas trop stressée pour votre premier jour ? »

« Bonjour monsieur Harp », je réponds à son sourire par un sourire.

« Appelez moi Ned je vous l'ai déjà dit »

« Je vais faire un effort Ned mais c'est difficile d'appeler son propriétaire par son prénom »

« Ne me voyez pas que comme un logeur mais comme un ami à qui vous pouvez demander de l'aide si le besoin s'en … fait … sentir ... »

Alors qu'il ma parle sa voix se fait plus lente, les mots plus espacés, le regard plus appuyé. Je suis ce regard pour découvrir mon peignoir qui baille laissant voir mon sein droit.

« Oh Ned petit polisson »

« Pardon ce n'est pas ce que … je n'ai rien ... »

Je ne fais pas un geste pour arranger mon peignoir, finissant ma tresse sans rien dire de plus, le laissant là tout rouge de confusion mais sans qu'il ne cesse de jeter des coups d’œil. Je me demande si on voit encore les traces du piercing que je portais à l'époque. Je me souviens comment elle m'a embrassé dans le bureau du proviseur alors que nous attendions nos parents, elle a repris les anneaux qu'elle m'avait posé en me disant que c'était sûrement la dernière fois qu'on se verrait, de ne pas l'oublier et qu'elle garderai ce souvenir de moi précieusement.

« Je dois vous laisser Ned, je ne veux pas être en retard le premier jour »

« Bien … bien sur … à demain matin »

« A demain ! »

Je rentre et laisse tomber mon peignoir avant de fermer le rideau, lui laissant voir furtivement mes fesses. Penser à elle m'a toujours rendu coquine même si depuis son baiser je n'ai partagé aucune lèvre. Je me dépêche de m'habiller, en retard le premier jour ne serait vraiment pas une bonne chose ! Lorsque j'ouvre la porte de chez moi il fait beau, le ciel est bleu, les lycéens passent dans la rues en riant. Je m'engage et je suis l'un des groupes avec le sourire, une belle journée pour une belle année qui commence ! Je ne sais pas pourquoi je sens que cette année va être exceptionnelle !

Situation de départ : Expérimentée mais abstinente depuis 6 ans

Autres : Comme vous l'avez compris j'ai un drôle de passé, ça comprend différent personnage non nommé et dont vous ou un reroll pourrait avoir été acteur alors n'hésitez pas à venir discuter de ça en mp:)

Comment avez vous connu le forum : Google est mon ami

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: Pas qui me viennent à l'esprit