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Les alentours de la ville / Petit ange deviendra ... non pas grand.[PV Tinuviel]
« le: dimanche 19 août 2012, 02:14:13 »
- Vous êtes sur qu'aucune fille répond à son signalement ?
Une voix dans le combiné téléphonique répondu avec calme.
- Oui, c'est absolument ça, aucune lycéenne disparut répondant à la description que vous avez faite. Contactez donc le département de l'immigration, ils sauront la renvoyer chez elle.
- Bon merci.
Le policier raccrocha avec "douceur" le téléphone, se dirigeant vers la cellule où Liafe regardait le sol, les yeux dans le vague.
- Si tu pouvais nous dire ton véritable nom, cela m'arrangerait.
- ...
- Hého, ... Répond moi merde, je vais pas faire la causette à un mur.
Un autre agent de police vint poser sa main sur l'épaule de l'officier qui commençait à perdre patience.
- Cela suffit, elle n'est pas en état de parler, la seule réaction sur tu obtiendra sera similaire que parler à un légume. Pour l'instant laisse la tranquille, le médecin a administré du benzodiazépines, cela pour la calmer.
- Il parait qu'elle mordait tout le monde, même une gradée c'est faite mordre au cou après avoir tenté de la maîtriser sur le dos.
- Elle était sous état de choc, quiconque étant effrayé aurait attaqué ainsi. Pour l'heure on ne peut faire que des supposition. Ce qui m'inquiète c'est sa santé physique, elle n'a pas bu une seule goutte d'eau et les plats sont systématiquement renvoyés dans la figure de ceux qui les apportes. Si cela continue on aura un cadavre sur les bras.
- Moi je te dis que cette fille est schyzo, faudrait la mettre dans un asile.
- Je le pense aussi, mais c'est aux docteurs et à ses connaissances d'avoir le dernier mot.
Une sonnerie fit bouger les policier vers le poste d'accueil pour s'occuper de la personne qui venait d'entrer. Liafe se mit à profiter de cette diversion pour tenter de se libérer, tirant sur les menottes qui étaient attachées aux lit. Il s'agissait d'une mesure de sécurité, pour éviter que Liafe est l'idée de se cogner à mort contre le lavabo, se pendre avec les draps ou de se nouer dans la cuvette des toilettes. Le visage de l'ange se crispa, un marteau piqueur frappant dans sa tête, sans doute à cause des médicaments, ignorant la douleur aux poignets pour tenter de s'enfuir.
L'une des menottes se mit à céder et elle réussit à se libérer. Ce que l'ange ne vit pas fut qu'un agent avait assisté à la libération et se précipita pour la maîtriser au sol. Liafe se débattit avec rage, le visage rouge sous l'effort, l'agent de police frôlant l'un des omoplates, qui eut comme effet de le rendre plus violent encore.
- Calme toi, on aimerait ne pas avoir à te mettre sous morphine pour que tu te tiennes tranquille. Ici tu es en sécurité,comprit ?
La réponse fut une tentative de morsure, acculé, Liafe agissait comme une bête sauvage.
C'est alors que voix totalement inconnue se mit à interpeler le policier.
Une voix dans le combiné téléphonique répondu avec calme.
- Oui, c'est absolument ça, aucune lycéenne disparut répondant à la description que vous avez faite. Contactez donc le département de l'immigration, ils sauront la renvoyer chez elle.
- Bon merci.
Le policier raccrocha avec "douceur" le téléphone, se dirigeant vers la cellule où Liafe regardait le sol, les yeux dans le vague.
- Si tu pouvais nous dire ton véritable nom, cela m'arrangerait.
- ...
- Hého, ... Répond moi merde, je vais pas faire la causette à un mur.
Un autre agent de police vint poser sa main sur l'épaule de l'officier qui commençait à perdre patience.
- Cela suffit, elle n'est pas en état de parler, la seule réaction sur tu obtiendra sera similaire que parler à un légume. Pour l'instant laisse la tranquille, le médecin a administré du benzodiazépines, cela pour la calmer.
- Il parait qu'elle mordait tout le monde, même une gradée c'est faite mordre au cou après avoir tenté de la maîtriser sur le dos.
- Elle était sous état de choc, quiconque étant effrayé aurait attaqué ainsi. Pour l'heure on ne peut faire que des supposition. Ce qui m'inquiète c'est sa santé physique, elle n'a pas bu une seule goutte d'eau et les plats sont systématiquement renvoyés dans la figure de ceux qui les apportes. Si cela continue on aura un cadavre sur les bras.
- Moi je te dis que cette fille est schyzo, faudrait la mettre dans un asile.
- Je le pense aussi, mais c'est aux docteurs et à ses connaissances d'avoir le dernier mot.
Une sonnerie fit bouger les policier vers le poste d'accueil pour s'occuper de la personne qui venait d'entrer. Liafe se mit à profiter de cette diversion pour tenter de se libérer, tirant sur les menottes qui étaient attachées aux lit. Il s'agissait d'une mesure de sécurité, pour éviter que Liafe est l'idée de se cogner à mort contre le lavabo, se pendre avec les draps ou de se nouer dans la cuvette des toilettes. Le visage de l'ange se crispa, un marteau piqueur frappant dans sa tête, sans doute à cause des médicaments, ignorant la douleur aux poignets pour tenter de s'enfuir.
L'une des menottes se mit à céder et elle réussit à se libérer. Ce que l'ange ne vit pas fut qu'un agent avait assisté à la libération et se précipita pour la maîtriser au sol. Liafe se débattit avec rage, le visage rouge sous l'effort, l'agent de police frôlant l'un des omoplates, qui eut comme effet de le rendre plus violent encore.
- Calme toi, on aimerait ne pas avoir à te mettre sous morphine pour que tu te tiennes tranquille. Ici tu es en sécurité,comprit ?
La réponse fut une tentative de morsure, acculé, Liafe agissait comme une bête sauvage.
C'est alors que voix totalement inconnue se mit à interpeler le policier.
