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Salles de cours et bibliothèque / L'ange fait du droit.[Jinsha Bara]

« le: dimanche 16 octobre 2011, 22:13:57 »

Je commence mon travaille de surveillante, non sans avoir une mauvaise appréhension de la journée, en quelques minutes je saisi déjà un groupe de délinquant voulant taguer sur les murs, il est évidant que dans ce lieu il manque cruellement de personnel pour y faire régner l'ordre et la discipline. Après on s'étonne du nombre de brebis décadente ayant été converti par les douce promesses du Malin.

Pour une fois la salle d'étude fut vite remplit, entre les lycéens qui dégradent le matériel, les lycéennes qui sont dans des tenues dont le Seigneur ne peut oser imaginer, étant d'une indécence telle qu'elles auraient été sans aucun doute jetée du Paradis. Personne en haut n'aurait osé se trimbaler avec des tenues exposant autant de chaire. Dire que tout ce "beau" monde a été ressemblé une heure après la sonnerie du premier cours, ne parlant pas des retardataires et des brebis ratant les cours pour aller sombrer dans l'alcool et la luxure.

Autant de soucis m'en donne presque mal à la tête, mais il faut savoir tenir et s'estimer heureux de ne pas avoir affronter des créatures démoniaques, même si certaine femmes en avait déjà l'état d'esprit. Il me suffirait de les corriger un peu, mais pas pour l'instant.

- Clémence, tu pourrais aller à la salle de droit, le professeur vient d'appeler. Il ne pourra pas venir car sa fille est malade.

- Allons bon ... J'y vais, vu que personne ne semble vouloir se dévouer ... Ha ! Les élèves présents dans cette salle auront deux heures de colle, j'ai tout expliqué sur le papier.

D'un pas rapide je me dirige vers la salle en question, les élèves devant m'entendre arriver avec mes chaussures à talon. Comme j'avais une apparence plus féminine que masculine j'avais pris le rôle d'une femme, le Seigneur ayant approuvé ma décision et congratulé mon initiative. D'un mouvement ample mais précis, j'ouvre la porte et me dirige vers le bureau.

Les élèves put voir la fameuse Clémence Thibiret, surveillante venant d'Amérique du nord, je porte sur moi un soutient gorge de sport, par-dessus une chemise blanche et une jupe noire. J'avais un visage pas commode et assez sérieux, digne d'un professeur en tout cas.

- Votre professeur ne pouvant assurer votre cours ...

Certain élèves se mirent à clamer leurs joies, ma main droite atterrit sur le bureau ce qui calma leurs allégresse.

- Je disais donc, vu que votre professeur est absent, je suis en charge de le remplacer.

Je saisi le livre sur le bureau et feuillette les pages rapidement. Puis je tombe sur le trombinoscope, enregistrant chaque visage et les associant à chaque noms. Je désigne une personne au fond.

- Jinsha Bara ... oui toi ... J'aimerais savoir quel a été votre dernier cours de droit.

J'entendis un chuchotement ,d'un geste précis et calculé, je saisis une des craies pour le jeter sur le front de l'inconscient qui c'était attiré mes foudres.

- Que je te surprenne encore à parler avec ton compagnon et c'est trois heures de colle pour vous deux. On est en cour pas dans un salon de thé.

Je me mis à regarder de nouveau Jinsha, je pouvais toujours espérer qu'ils aient au moins fait le premier cours. Au quel cas ce serait à moi de le faire.

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Le coin du chalant / Nom de Dieu !!!!

« le: dimanche 16 octobre 2011, 21:33:01 »

Le lieux devra se trouver sur Terre inévitablement, l'ange n'ayant pas connaissance des portails et j'ai pas envie de le faire balader à droite et à gauche sans arrêt.

Lycée

Salle de cours : Votre professeur est malade, aussi pour votre plus grand "bonheur" c'est l'ange qui s'occupera de vous faire cour, la matière ? Droit, je sais que vous allez adorer ça.XD

Réfectoire : C'est tellement bon le menu que vous allez sans doute convertir cette "bonne" nourriture en projectile ou autre chose, mais gare, la pionne surveille. Sauf si c'est elle la cible, qui n'a pas rêvé de voir une tronche de pionne purée pomme de terre carotte.

Bureau de la direction : Vous êtes ici pour des formalités administrative, malheureusement la directrice et sa secrétaire ne sont pas là. Vous allez devoir vous adresser à la surveillante pour recevoir de l'aide ... A moins que ce soit pour l'histoire d'un pétard dans les toilettes où vous vous êtes fait chopper misérablement par la pionne. 

Centre commercial : Vous connaissez l'ange ( étant soit une voisine ou dans son métier professionnel , élève ou professeur.) et vous l'invitez à faire un petit shopping, vous aurez sans doute une connaissance sur ses goûts assez particulier, sans oublier une chance de découvrir son secret.

Quartier de la Toussaint : L'ange c'est légèrement fritté avec des mafieux ou des policiers corrompus, on vous a appelez pour résoudre le problème, vous avez carte blanche.

J'en rajouterais un peu plus tard.

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Prélude / La Douleur de Dieu. [Ange] [Valiplantée!]

« le: dimanche 16 octobre 2011, 19:10:11 »

Je me nomme Sibahaia, successeur de l'ange qui porte comme nom La Douleur de Dieu, héritant de ce titre.

Je ne possède pas de surnom, le Seigneur ayant jugé que seul les âmes faisant pénitence se verront remettre le droit de me nommer autrement, sauf si leurs vils langues se mettent à cracher le venin de Satan.

Je ne possède pas de sexe, évitant aux suppôt du Diable de nous humilier davantage.

Vous me demandez mon âge, seul le Seigneur peut vous le dire, j'ai passé tellement de temps au frontière du Paradis que je ne sais plus mon propre âge.

Vous me parler de sexe ?!!! Arrière ! Nous ne sommes pas des engeances de Satan qui forniquent, à quoi bon s'embarrasser de sentiment issue de la luxure, pêché de chair.

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Le Seigneur dans sa grande générosité nous as offert à tous un corps qui est notre armure contre les engeances démoniaques. Tout d'abord notre apparence de femme n'est qu'un subterfuge pour attirer dans nos bras saints les brebis égarées et chasser plus facilement le Mal. Mal qui est imprégné dans l'âme des humains ayants été joués par les suppôt de Satan.

De notre poitrine née le lait saint qui nourrit les âmes purs qui se doivent d'être récompensé. Il s'agit aussi d'une des armes pour purifier les engeances du Diables, de la souffrance d'où ils ne tireront aucun plaisir ils devront choisir entre le repentit et la mort. Jusqu'à ce jour aucune âme pervertit n'a choisi la pénitence.

Notre peau est imprégné des préceptes éclairés du Seigneur, donnant une apparence pure et clair à notre épiderme. Nous n'avons pas les mêmes cheveux, ni les mêmes yeux, cela pour que les engeances du Mal soit pris au dépourvue. Ainsi pour ma part j'aie une chevelure brune, mon iris étant un mélange de marron et d'orange, seul le Seigneur sait la raison à cela.

Notre corps est la sublimation de notre âme, nous faisant accéder à un niveau de conscience supérieur, ainsi il est naturel que notre corps évolue aussi, étant plus fort et résistants que les brebis pour lutter contre le Mal.

*****

En acceptant le titre de Douleur de Dieu, j'ai acceptés toute les obligations qui vont avec, y comprit ma tenue en tant que représentant du Seigneur. lLe bleu étant la couleur de la Douleur au Paradis, je porte sur moi une cape de cette couleur, frôlant le sol et claquant l'air quand je le rabat avec fermeté. Vient ensuite une tiare muni d'un saphir, pierre me protégeant des fourberies du Malin. Un autre saphir est incrusté dans un collier qui protège mon cou contre toute agression physique à ce niveau.

Après je possède des épaulettes en plumes blanches, qui sont mes ailes quand je les cache à la vue des âmes. Vient plus bas une tenue dans une matière que les brebis nomment latecsse, laxte ... Bref une matière assez moulante qui s'attache au-dessus de ma poitrine par une broche en or, cachant l'endroit où les brebis devraient avoir leurs sexes. La tenue serre aussi mes fesses, les rendant fermes et bien ronde tout en les protégeant du touché malsain des engeances démoniaques.

Je porte des gants de la même matière que ma tenue, partant jusqu'aux épaules sous la forme de spirale. Sur mon poignet droit se trouve un bracelet en or où sont gravés le nom de mon arme "Caviel" une épée sacrée forgée par le Seigneur pour combattre le Malin. Il me suffit de l'appeler pour qu'elle apparaisse une claymore que tout ange de mon rang se doit de savoir utiliser d'une main.

J'ai le droit de porter le fouet, signe d'une pénitence dans la souffrance, qui est en soit une pénitence vrai, car nul ne peut mentir sous la douleur, hormis ceux ayant fait un pacte avec Satan. Ce fouet est baigné dans de l'eau sainte, rendant son contact brulant pour toutes engeances malsaines. Les brebis qui n'ont pas eu un repentit sincère garderont longtemps les marques, comme l'ont été ceux qui ont été séduits par les parole du Malin.

Je porte des bottes à talons, remontant jusqu'à la moitié de ma cuisse, le Seigneur jugeant qu'il était vitale ne pas laisser les démons toucher aux jambes des envoyés de Dieu.

*****

Guider les brebis égarées dans la douleur et conduire les suppôts de Satan dans le tourment éternel, tel est ma ligne de conduite.

Je suis le bras vengeur du Seigneur et nul ne devras commettre crime ou blasphème en ma présence sous peine de subir le châtiment qu'il mérite. J'admets par la volonté du Seigneur que les païens offre de la résistance à la conversion, mais un mot blasphématoire est pour moi une raison suffisante pour lui apprendre, que le Seigneur est le Dieu unique et qu'il faut l'adorer.

Étant l'ange de la Douleur de Dieu, je me dois de ne pas avoir la main faible quand il s'agit de punir ou de mener au repentit les brebis égarées, éprouvant un plaisir inavoué mais pardonné lors de l'exécution de la sentence.

Seul le Seigneur est mon maître et quiconque voudrait le devenir sentir mon fouet ou ma lame, étant ce que les âmes vivantes nomme "dominante".

A cause de mon entrainement il vous seras difficile de voir mon vrai visage, car un ange se doit d'être aussi impartial que le Seigneur.

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Le Seigneur eut dès le début des projets pour un groupe d'ange, sa bonté voulut que je puisse être présent dans ce groupe. Dès lors nous fûmes placé sous l'aile protecteur d'un Archange qui nous enseigna les arcanes du Paradis, cette instruction mit près de deux siècle, les tests supprimant petit à petit les anges qui pourraient tomber au combat. Leurs laissant d'autres chances de prouver leurs valeurs au lieu de les envoyer et prendre le risque de les croiser dans les bras du Malin.

Suite à la dernière épreuve nous avons été envoyés chacune dans la grotte du Choix, au fond de celle-ci se trouve quelque chose, je n'ai pas le droit de vous dire de quoi ou de qui il s'agit. Au fond ce cette grotte nous sommes confrontés à nous-même et devons trouver notre voie. Peut importe le temps passé l'important est de savoir écouter la voix du Seigneur nous indiquer notre voie.

J'ai du tendre l'oreille pendant près de trois siècles avant que le Seigneur m'indique enfin ma voie. Ce fut un moment d'allégresse, la seule de toute ma vie futur. Ainsi je devins l'apprenti de l'ange de la Douleur de Dieu, m'entrainant pour le remplacer s'il advenait qu'il tombe au combat.

Je ne sais plus le temps passé à ses côtés. Puis un jour il disparut sans laisser de trace, des rumeurs circulèrent au Paradis. Pour y mettre un terme je pris la place de mon maître, usant du fouet pour faire taire le Malin, qui faisait frétiller les langues de certains anges.

Pris par une obligation que je savais lourde je me mis en marche pour prouver ma valeur, entrant dans les champs de batailles, purifiant les brebis de toute attaque venant du Malin. Cette obligation devint pesante, mais jamais je ne perdis pied, n'oubliant pas de remercier le Seigneur pour sa bonté. Prennant un moment pour prier le Seigneur, pour qu'il veille sur mon maître et le ramène vivant au paradis.

C'est alors qu'un jour Dieu me fit remontre une missive. sSur Terre, au Japon , à Seikusu, une émanation avait été repérée, l'acte d'un démon très puissant que je me devais de combattre.

Je pris très rapidement la place d'une adulte répondant au nom de Clarence Thibiret. C'est dans le lycée que je vins à m'installer en tant que surveillante. Les lois de l'enceinte me semblaient trop laxiste mais je n'avais pas le droit d'y redire, juste l'appliquer scrupuleusement.

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Le rapport charnel n'intéresse pas les anges aussi nul besoin de savoir cela.

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J'en connais beaucoup sur la douleur qu'elle soit physique ou morale, je peux étendre mes ailes à tout moment, mon lait saint brule de l'intérieur les engeances de Satan.

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Aucune brebis ne m'a guidé jusque dans ces lieux, j'y suis arrivé tout seul.

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Aucun comparse ne voudra m'écouter, mais j'essaierai d'en parler autour de moi.