Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Val’Arrinian

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Le quartier de la Toussaint / Perdu dans un nouveau monde[PV adia]
« le: vendredi 12 novembre 2010, 20:29:40 »
« Plus vite bordel ! »

Il tentait aussi bien à la voix qu’avec les talons de continuer à pousser sa monture alezane à accélérer. Si le pauvre animal ralentissait, Val finirai avec les mains, et ptetre même la tête, séparées du corps. L’adrénaline montait, il se sentait presque invincible, il ne serait pas attrapé, il avait déjà souffert de s’être fait coupé la main et avait trouvé le moyen de la récupérer, d’une manière dangereuse, certes, mais il l’avait récupérer, et c’était l’essentiel.

Il mit pied à terre, et n’entendant plus le bruit des soldats, et quitta le sentier, empruntant un ruisseau pour brouiller les pistes, puis, deux lieux plus loin, il reprit un chemin forestier, et se dirigea vers Ashnard, il pensait voir peut être là bas quelqu’un qu’il connaissait de plus ou moins longue date, une femme qu’il n’avait jamais oublié, restant souvent au premier plan dans sa tête.

A la fin de la journée, après avoir allumé un bon feu de camps dans une clairière, il se coucha et s’endormit, demain il devrait mettre de la distance entre lui et ses poursuivants, plus vite il aurait rejoins la sécurité des murs d’une ville considérée comme ennemie de terra mieux ce serait, enfin, sécurité, tout est relatif. Complètement claqué, il s’allongea à coté du feu et s’endormit.

Il se réveilla au son d’une mélopée en pleine nuit ;, en sursaut, comme si il avait senti une menace, mais rien apparemment, les flammes continuaient à danser, et cette mélopée gagnait en profondeur et en force, ces paroles étaient prononcées par une voix caverneuse, ressemblant à une épée raclant un rocher. Il vit une vive lumière, puis les ténèbres les plus complètes.  Et à nouveau la lumière, plus ombre

Où était-il ? Avait-il franchi cette fine barrière différenciant la vie du trépas ? Il n’en savait rien. Il était complètement perdu. Heureusement, il avait toujours son sac était toujours là, avec quelques provisions, notamment un lapin tué de la veille, son cheval était toujours avec lui, et à sa selle, une autre partie de son matos était sanglée. Parmi elles, il avait deux pyrites, de l’amadou, des silex, et une petite provision de bois, à ne pas confondre avec son carquois de selle dans lequel il avait rangé son petit arc et deux douzaines de flèches.

Dans la chiche lueur du crépuscule, il explora là où il avait atterris, il se trouvait dans un grand bâtiment, une immense pièce de près de  peut être bien 900m², dont le fond semblait formé d’une plaque métallique qui, aux vues de ce qui était apparent, une sorte de barre de fer pouvant tourner et autour duquel la plaque semblait de voir s’enrouler. Il ne comprenait pas comment, mais cela importait peu.

Après avoir bien observé ce mécanisme vraiment ingénieux, il fit le tour de l’endroit, trouvant une ouverture dans le mur, il s’y engouffra pour déboucher sur un couloir qui semblait ne pas finir, et celui-ci, en pente, montait vers le sommet du bâtiment.

La pente se transforma en escaliers raides qui finirent par déboucher sur le toit. Il était bon pour redescendre. Mais en arrivant au rez-de-chaussée, il remarqua qu’il manquait de la poussière à des endroits où il n’était pas passé. La poisse. Il suivi ce qu’il pensait être des traces, retournant dans la première salle. Il n’y avait pas d’autres sorties.

Un bruit étrange, comme une chansonnette d’enfant mais avec des paroles qu’il avait déjà entendu. Mais ou les avait il déjà entendu ? Il ne se souvenait plus exactement.

Attendez une minute ! Il savait ou il avait entendu cette phrase ! C’était la nuit passée !  C’était la voix caverneuse ! Et peut être cette jeune femme était elle la source de son « déplacement ». Il hurla alors dans la pièce un tonitruant :

« Qui est là ? »

Puis il courut jusqu’à sa monture et pris son poignard pour le glisser à son ceinturon, puis, il prit son arc, enfila à coté du poignard quelques flèches et arma une. Et ajouta sur le même ton de colère, de rage, et d’incompréhension mêlée.

« Et qu’est ce que je fous ici au nom des dieux ! »

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Les terres sauvages / Soirée mémorable chez le receleur [PV Saori]
« le: vendredi 05 novembre 2010, 15:11:58 »
Il marchait depuis plusieurs heures, le village de son « ami », ou plus précisément, d’une de ses relations de travail avec qui il avait beaucoup eu affaire. Et c’est justement pour cela qu’il allait le voir. Il portait sur son dos un gros sac à dos de toile rempli d’objets d’origines plus ou moins frauduleuses, allant de la belle montre en argent au collier de perle. Il ne transportait rien de lourd, ni de trop fragile, juste ce qui s’écoulait facilement. Avec son contenu, il aurait de quoi vivre sans difficulté pendant les cinq prochaines années. Mais il était trop généreux, il en donnerait à des mendiants,...

Il avait prévu aussi ce qui lui servait de laisser passer, une demi-douzaine de bonnes bouteilles d’un hydromel qu’il avait fait lui-même, pendant son petit moment de tranquillité, en prévision de ce jour. Il avait volontairement surchargé de miel l’eau pour qu’il soit très alcoolisé, car plus il en avait dans le sang, plus il revoyait ses prix d’achat à la hausse pour un verre de plus. Méthode honteuse, peut être, mais c’était son seul moyen d’avoir un prix équitable, et éviter l’arnaque. Il en avait soupé, pendant un bon moment il s’était fait floué, alors il estimait qu’il était plus que normal qu’il floue un peu les autres à son tour.

Il frappa trois coup, puis un, puis deux, et il posa deux bouteilles d’hydromel au sol, et se retira dans l’ombre du grand creux d’un arbre voisin, prévu à cet effet. Ces bouteilles servaient un peu comme un signal de reconnaissance. L’étiquette était un code. Di son contact sortait et rentrait les deux, il devait le suivre avec un peu de décalage, la porte ne serait pas fermée, di il n’en prenait qu’une, il devait attendre qu’il prenne l’autre, si il n’en prenait pas, il valait mieux s’en aller. Un code discret, un code efficace, un code » connu d’eux seuls.

Un homme de petite taille, mais de panse assez développée sortit, vit les bouteilles au sol, regarda vers l’arbre creux, comme s’il essayait de discerner la présence du voleur dans les ténèbres de la nuit, puis il rentra une bouteille, et récupéra l’autre une dizaine de minutes plus tard, laissant sa porte entrebâillée, l’invitant donc à entrer.

A pas de loup, il se glissa dans l’ouverture sans faire grincer les charnières, referma doucement la porte derrière lui. Il retira sa cape de voyage noire comme les ténèbres qui recouvraient de leur manteau  ce monde. Il se dirigea ensuite, sans aucune forme de politesse dans le salon de son hôte, déposant le sac à ses pieds.

« Mon cher Val’Arrinian, cela fait si longtemps ! Presque six lunes que je ne t’ai pas vu ! »

Pure hypocrisie, il savait parfaitement, les deux le savaient très bien et chacun jouait son rôle dans cette comédie, mais elle était importante, le premier qui parlerait franchement risquait de se trouver en position de faiblesse dans les négociations.

« Comment va mon plus fidèle client ? Ce cher Eltarnon ? C’est vrai que cela faisait longtemps ! Je dois avouer que vous me manquiez un peu ! Les bons acheteurs sont rares de nos jours, et aucun ne vous arrive à la cheville tant en intégrité qu’en honnêteté sur les prix proposés. »

« Tu me flattes mon jeune ami, mais nous parleront affaires demain, ce soir, fêtons la joie de nos retrouvailles ! J’ai cru entendre dans ton sac sonner le doux bruit du nectar des dieux disparus ! »

« Oui, je vous ai apporté une demi douzaine de bouteilles d’hydromel, mon meilleur ! Et fait maison en plus ! »

« Et bien, qu’attends tu pour le sortir, l’heure estr à la beuverie ! »

Et voila, il était tombé dans le piège, il allait boire, boire, boire jusqu’à plus soif, puis il entrerait dans le vif du sujet pour obtenir le meilleur prix. Il se pencha, sortit les quatre autres bouteilles du sac, fit sauter le cachet de cire du bouchon pendant que l’autre posait deux chopes sur la table. Val servit les deux à raz bord, le regardant boire cul sec en sirotant du bout des lèvres la sienne. Si sa relation tenait l’alcool, lui pas, il devait faire attention.

« Ah ça fait du bien par là ou sa passe ! » Il s’en resservit un verre. «  Et bien, bois, fait pas semblant ! Il est vachement bon en plus ! Bois ou tu vas m’offenser, et il n’est pas bon d’offenser son hôte ! »

Non, c’était lui qui s’était fait piéger. Il n’avait pas le choix, et dut vider trois chopes dans la soirée, vu la taille des chopes, autant dire qu’il voyait un peu trouble, et ne marchait plus droit. Son interlocuteur en revanche, avait bu tout le reste des quatre bouteilles pour atteindre le même état.

« Je…je t’ai préparé la chambre d’ami ! » Puis avec un œil lubrique, il ajouta : « Et il y a même un p’tit cadeau pour l’hydromel ! Je suis sur que ça te plaira, elle n’est pas droguée car j’aime quand ell, et de celui-ci e se débat la nouvelle, mais si tu préfère, regarde dans la table de nuit, faudra attendre un peu mais bon ! »

Val traina son sac plus qu’il ne le porta jusqu’à sa chambre, heureusement, il n’y avait pas d’escaliers, tout était de plain pied, sauf la cave. Il ouvrit la porte de la chambre et compris ce qu’il avait entendu par cadeau, et il comptait bien en profiter. Une jeune femme aux cheveux parme était attachée.  Ses poignets étaient noués à ses chevilles dans une position assise dans doute inconfortable. Elle avait les cheveux en bataille, des traits fins, de légers cernes, comme si son hôte ne l’avait pas beaucoup laissé dormir ces derniers temps. A son cout était ajusté un collier alliant le cuir et le métal auquel était attaché une sorte de laisse qui descendait et se perdait entre ses magnifiques seins parfaitement adaptés à ses gouts et finissait sur son ventre plat. Il ne pouvait de là ou il était apercevoir son intimité, cachée par ses longues jambes fines. Elle avait une peau blanche qui mettait tout en valeur chez elle.

Et dire qu’il avait toujours rêvé de posséder une esclave, mais il n’en avait jamais eu les moyens ! Il sourit à cette pensée, ferma la porte à double tour, ce qui lui prit une bonne minute, ne serait ce que pour mettre la clé dans la serrure, puis il fixa la jeune femme et d’approcha, en murmurant de manière parfaitement aufible pour elle : « Je sens que je vais m’amuser moi ! »

3
Les terres sauvages / Le voleur attrapé [PV Denna]
« le: jeudi 04 novembre 2010, 19:06:30 »
Val avait suivi une caravane de loin, il y avait toujours de quoi manger quand on savait où aller et comment y aller. Et puis, il se donnait un petit coup de pouce en cas de besoin. Pendant qu’il faisait le guet, il allait se servir, accompagné par lui-même, et les deux derniers lui assuraient une surveillance à distance.

Il avait encore un bon repas en perspective ! Il s’humecta les lèvres en y pensant. Il avait vu deux saucissons pendouiller derrière le chariot, et ça lui avait rappelé qu’il n’avait rien mangé depuis bientôt un jour et demi. Et bon, c’était dangereux, mais la faim le tenaillait tant qu’il n’en avait plus rien à cirer.

Il s’approcha lentement, à patte de velours de la carriole de réserve de nourriture. Tout se passait bien, il était passé inaperçu pour le moment, pourvu que cela dure ! Il sentait l’excitation le gagner. Il était au milieu d’une caravane, et tel un être de la nuit, il se mouvait sans que personne ne le voit, ni même l’entende. Et s’il faisait un tour pour voir ce qu’il pourrait trouver ? Cela pourrait être intéressant. Il se demandait quelles découvertes il allait bien faire en vadrouillant. Mais il devait être très prudent, il y avait surement des gardes.

Ce plaisir de se sentir seul maitre en ces lieux, certains auraient paniqué à l’idée d’être pris, mais lui cela faisait plus de dix ans qu’il volait pour survivre, et ce genre de petite caravane avait au moins, un coffre dans lequel les caravaniers mettaient leur possession, et dont la clé était le plus souvent, au cou du chef de la caravane. Encore fallait-il l’atteindre. Mais bon, il ne faisait pas trop de cas de cela, il y arriverait.

Insouciance ou témérité, qui sait, toujours est il qu’il se dirigea vers le centre du cercle que formaient les caravanes. Il y avait une petite tente différente des autres, et c’était sans doute par là qu’il devait chercher les clés du coffret qui devait se trouver pas loin non plus, ces richards se gardaient bien de confier leur pognon, ils le gardaient avec eux, et ne le partageaient pas, pour rien au monde ils ne le feraient !

Il détacha délicatement l’ouverture de la tente, avec le plus de finesse et le plus silencieusement possible, il l’ouvrit et se glissa comme une ombre dans la tente. Elle était plus spacieuse que cela n’en avait l’air ! Elle aurait largement pu abriter deux ou trois personnes de plus, mais elle était occupée par une unique couche dans le fond. Il s’en approcha doucement, il entendait une respiration tranquille, comme si l’homme dormait du sommeil du juste ! Mon œil ! Il dormait juste parce qu’il avait rien de mieux à foutre oui. Ce genre de bourge qui s’occupait que de ce qui pouvait lui ramener du pognon !

L’homme était couché là, il respirait calmement, un cours instant, la clarté de la lune, révéla un léger reflet de métal, comme si il s’était agi d’une chaine, ou quelque chose semblable. Il s’approcha et se pencha sur la personne allongée. Il ne voyait rien, il se baissa espérant apercevoir encore l’éclat de cette chaîne, rien.

Il sortit sa dague et l’approcha tout doucement du corps de la personne. La dague, légèrement chauffée par le contact permanent avec sa peau, était plus légère et opposerait un contact plus léger et donc plus discret. Il couvrit la lame d’un bout de tissu et la fit glisser au niveau des épaules de la personne, cherchant le contact de la chaîne, mais quelque chose clochait, alors qu’il arrivait à saisir du bout de sa dague la chainette, il heurta un relief qui n’avait rien de masculin.

Pire encore, la femme avait ouvert les yeux et le fixait d’un regard perçant. Un regard qui lui glaçait le sang, et le pire, c’est qu’au bout de cette chaînette, il n’y avait pas de clé. Et avant qu’il ait pu faire quoique ce soit, elle lui avait saisi le poignet dans un véritable étau de fer.

Citation de: HRP
Bon, j'ai du mal à me rendre compte si ça va ou pas, faut dire que les intros, c'est pas vraiment mon fort

4
Le coin du chalant / tout a un début
« le: mercredi 03 novembre 2010, 23:48:50 »
Bon et bien, je recherche une personne voulant rp avec Val'Arrinian, pour commencer doucement.

Concernant le sujet, et bien, je n'ai rien de précis en tête, tout dépend de qui propose.

Concernant le niveau de rp, j'en ai cure de la taille, ce n'est pas ça qui fait la qualité du rp.

Point de vue trame, c'est à voir avec la personne intéressée.

5
Prélude / Encore un nouveau [Valibreizh]
« le: mercredi 03 novembre 2010, 22:28:07 »
Nom/Prénom/Surnom : Val’Arrinian, dit Val

Age : 21 ans

Sexe : masculin

Race : E.S.P.e.r

Orientation sexuelle : Hétéro


Description physique :
Des cheveux bruns, des yeux marron, mais très foncés, presque du noir, Val est un humanoïde tout ce qu’il y a de plus proche de l’humain si ce n’est son don (ce sera expliqué plus bas). Plutôt grand et mince, cet homme est dans la fougue de la jeunesse. Son corps est finement musclé par un exercice régulier (qui est plus proche de la fuite après une rapine qu’autre chose, et croyez moi, c’est du sport !). Ses avant bras sont recouverts d’un bandage blanc sale sur lesquels on peut distinguer des tâches de sang séché, dernières traces de sa tentative de suicide. Il les garde non pas parce qu’il ne peut pas les changer, il les change souvent, mais plutôt comme le souvenir d’une bêtise à ne plus refaire.
Il possède une belle cicatrice en dessous des côtes à gauche, une belle marque de brûlure de la taille de son poing, peut être légèrement plus grande, cette cicatrice n’est pas récente, c’est juste le souvenir d’une fuite et d’une réception qui a mal finie, au milieu des braises d’un feu de camp.
Il a dans son dos des marques laissées par le fouet, des rares fois où il s’est fait rattraper par des soldats ou des gardes sur Terra.


Caractère :
Rêveur, Val est trop gentil, il a tendance à un peu trop vite se laisser faire, et ce, même si il donne l’impression d’être un peu sauvage, c’est pour tenter de cacher un tant soit peu sa grande timidité. Solitaire de nature, peut être est ce du à sa nature d’E.S.P.er, ou peut être est ce seulement une conséquence de sa vie de rapine et de misère. Toutefois, cette solitude lui pèse de plus en plus.
Débrouillard, il estime toujours avoir vu pire d’une façon ou d’une autre, ainsi, il peut être vu comme quelqu’un de très optimiste, et comme quelqu'un sur qui on peut compter, car son amitié est aussi assurée que sa confiance, une fois qu’il la donne, c’est pour la vie. Mais il est très dur de se plier à ses standards, car sa vie l’a rendu assez méfiant pour qu’il faille du temps, ne serait-ce pour qu’il enlève les poignards de sa ceinture,…etc.
Pour lui les cicatrices qu’il possède sont à la fois une fierté et une honte, tout dépend du souvenir associé, certaines sont glorieuses, d’autres beaucoup moins.
Il aime passer du temps à ne rien faire, constamment échapper à la prison ou à la main coupée, cela commence à devenir lassant pour lui. Il compte partir de cette ville, partir et trouver un coin qui lui sera adapté pour poursuivre son existence en paix. Loin de tout ce raffut. Et qui sait, peut être trouver une compagne.


Histoire :
Que raconter de la vie de Val ? Il en a vécut tant, et si peu à la fois. Il est né durant une nuit de lune rousse, dans un petit village perdu dans les montagnes qui eut tôt fait d’être rasé par des créatures dont il n’a pas le souvenir. Tout ce qu’il sait, c’est qu’il baigna plusieurs heures dans le sang de son père, les jambes brisées. Il fut recueilli et vécu de ses trois ans à ses huit ans avec l'homme qui le sauva. Au cours de ces années le vieil ermite qui l’avait recueilli lui appris à lire, à connaitre les plantes, et comment les utiliser. C’est comme s’il fut formé à devenir herboriste.

Mais le vieillard décéda au mauvais moment, alors il dut partir, brulant la maison derrière lui, comme l’avait voulu celui qu’il avait appelé « le vieux ». La seule période qu’il put considérer jusqu’à présent comme une vie heureuse. Dure, laborieuse, mais toujours riche tant en enseignement qu’en plaisir simple. Mais cette période était finie. Et bien qu’à regret, il se mit en route vers la ville la plus proche.

Le jeune garçon avait alors quatorze ans, et peu à peu, il avait été intégré dans la troupe de va nu pied de la ville, ces voleurs à la tire qui faisait la décrépitude de la ville. C’était contre tous les enseignements du vieil ermite, mais il n’avait pas vraiment eu le choix, s’il voulait survivre. Il avait du intégré la plus redoutée de ces bandes de gosses désœuvrés, son chef, Ren’ark, n’hésitait pas à recourir au meurtre, au viol, à la torture. Dans ses rangs, on reconnaissait un enfant obéissant aux nombre de doigts qu’il lui restait. Plus il y en avait, plus il était digne de confiance, et le jeune E.S.P.er les avait tous encore. La seule fois où il désobéit, ce fut en refusant de tuer l’un de ses compères, sous prétexte qu’il l’aurait trahi. Oh, il ne lui rétorqua pas, il n’y alla tout simplement pas, et resta cloitré dans une de ses planques. Ce qu’il ne savait pas, c’est qu’alors qu’il sut par des rumeurs que pour cela, Ren’ark l’avait balancé aux gardes, comme étant le chef de la bande. Il s’était servi de lui pour limiter la casse lors des prochains sales coups. C’est durant cette dernière course poursuite qu’il chuta sur des braises et fut finalement arrêté, et fouetté jusqu’au sang.

Cet acte mit le jeune garçon dans une colère noire, et ce fut sous l’emprise de cette colère qu’il utilisa pour la première fois son don. Il matérialisa un clone, animé des pires intentions, et ayant les moyens de les mettre à exécution. Cette nuit, Ren’ark fut saigné comme un goret, et on le retrouva exsangue sur la place publique. Première manifestation de son don. Ce ne fut qu’à son réveil qu’il se rendit compte qu’il était le meurtrier. Mais lorsqu’il en parla, il ne reçut que les pierres. Alors il vécut seul, vivant de ses propres rapines, apprenant petit à petit à maitriser ses clones, à les utiliser, les contrôler, à doser la volonté, distiller l’intelligence qu’il donnait à chacun d’eux. Pour certains cela ressemblerait à de l’alchimie, et ils n’auraient pas tord, c’était comme doser les plantes d’un élixir. De la précision, du doigté, de la patience dans l’apprentissage.

Il arriva alors à un moment où non seulement il volait ce dont il avait besoin avec un clone, mais pendant ce temps, l’un apprenait à forger le métal, un autre apprenait la tannerie et l’assemblage du cuir, quand aux deux derniers, ils se musclaient ou luttaient ensemble, combattaient aussi, quand ils avaient les armes appropriées.

Mais au fur et à mesure que sa puissance augmentait à force de travail et de patience, il était de moins en moins bien intégré, et quand, par malheur, son secret fut dévoilé, il fut battu à mort. C’est suite à cela qu’il s’ouvrit les veines au niveau des poignets. Il ne sut pas exactement ce qu’il se passa, mais il se réveilla dans un lit inconnu, dans une maison inconnue. La seule certitude fut que ce n’était pas la prison ou le paradis. C’était sale, ça puait, mais ses plaies avaient été pansées, et il eut honte de ce qu’il avait tenté de faire. Tellement honte qu’il les laissa se refermer, mais ne fit rien pour faire disparaitre les marques. Bien au contraire, avec les bandages, il les mit en valeur.

Il devait avoir vingt ans lorsqu’il se rendit compte qu’il n’avait plus rien à faire dans cette ville, qu’il devait s’en aller. Il ne prit même pas la peine de prendre ses affaires, il n’avait pas grand-chose, juste ses poignards.


Situation de départ : Val’Arrinian est puceau jusqu’au bout des ongles.

Chronologie des rps :

1-/ Le voleur attrapé Avec Denna (en cours)
Faits et changements en découlant : une bien plus grande résistance à la douleur, une tendance occasionnelle à la violence durant l'acte, et dépucelage

2-/Un souhgait jeune homme ? avec Azastohes (en cours)
Faits et changements en découlant : à compléter

3-/Soirée mémorable chez le receleur avec Saori Kido (en cours)
Faits et changements en découlant : à compléter

Autres : Comme tout E.S.P.er, il a un pouvoir unique. Chez lui, cela se manifeste par la création de clones parfaits, ou presque, ils n’agissent qu’en fonction de la volonté et de l’intelligence qu’il leur insuffle. Mais même avec la plus grande concentration du monde, il ne peut les rendre plus intelligents que lui, ni même se répliquer à leur tour. Ils peuvent agir d’eux même, mais dans la limite des capacités offertes par leur créateur. Ils finissent par disparaitre au bout d’une dizaine d’heures. Il ne peut en manipuler plus d’une demi-douzaine à la fois. Il ressent en temps réel tout ce que ressentent les clones, les changements qui pourraient s’appliquer sur les clones les feraient aussi sur l’original, dans la mesure où il ne décide de ne pas les refuser, c’est un choix qu’il fait.
Il peut faire la même chose avec un autre être vivant, mais il ne peut maintenir qu'un clone et ce pour une paire d'heure au maximum.


Comment avez vous connu le forum : grâce à une membre : Marine


Avez-vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels : Je ne sais pas vraiment…. Enfin, j’essaierai !

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